
[page-n-1]
RCHIVQ
DE
•
RE'HISTO~IA L EVANTINA
HOMENAJE A
O.I.~IDRO BA1.LESTER
TOMI>
111
}\XVARlO DlL SElMCIO DE IlM!6IlGAClON JlRIIHlrn)RICA
U
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€'XC'w.. O
tPVTACION O ROVDlCIM. DEV .AU!NCL\.
(NSTlTVCION
}\LfONSO
EL
MAGNANINO
INSTITVTO RoDRI~O CARO DEL C.
VAUNCIA. )(CM\.lV
S.
DE
J. C.
[page-n-2]
•
[page-n-3]
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ARCHIVO DE PREHISTORIA LEVANTINA
v
-1954
[page-n-5]
I NST IT U T O
D E
A R QUEO L OG I A
"RODRI G O
CA R O "
CONSEJO SUPERIOR DE INVESTI G A C I O NES
C1ENTIFICAS
I NS Tl TUC ION , A LFONSO EL MAGNAN IMO.
EX C ELENTISIMA
D!PUTA C I O N
VALENCIA
P. R O VIN C IAL
[page-n-6]
fiRCHIVO
DE
PREHISTORIf'i
LEVf'iNTlNf'i
HOMENAJE A O. ISIDRO BALLESTER TOHMO
TO~'IO
111
I'IN UI'I RIO DEL SERVI CIO DE INVESTIGMClON
PREHI5TOR ICl'I DE LI'I EXCELENTlS IMI'I
DIPUTl'IClON PROV I NCII'IL DE VI'ILENC II'I
VOL. V
1954
VI'ILENCIl'I, MCMLlV
[page-n-7]
ISSN - 1989 - 0508
Edhmial F.-iJo",.,.eoll. S. A • Mar , t9. V.I."d.
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J.
G A U TH IER
(Fran rin)
!:Itation Néolithique de la Fontaine Vacher
(collullune de La Couronne, Chorenle)
A 2 kilometres QU Sud du Bourg de Lo Couronne (O kms. au
Sud d' An90uJé~eJ pres du homeou de la Courode et en bordure de
la roure dépor,tementol e N,- 103 (S t -Yrieix Ca Claix gafe) se Irouve
au lieu dit " Lo Fon taine Vocher", une s talion néolithique occupon l les parcelles 308 -309-3 16-3 17 du plan cadostrol, sect ion E,
dans lo vollée de la Boeme (Fig . 1).
Du poin! de vue géolog ique nOU5 5ammes en présence cl 'un terroi n secondoire d'étage cénomanien de sable o Ostréa Biauriculato e l d'orgiles tégu lines.
HI STOR IQUE : En 1945 Mr. Poirier, octu el propriétoire du gisement, me commun ique quelques sílex qu'il avai t recuei ll is en surfoce dans une vigne qui occupe la porcel1e 316; mois le terroin
trap bouleversá por les lobours successi fs ne permet pos de sovoi r
s' ,1 s'ogi t lo d'un simple lieu de possoge ou d'un hobitot rendu
possible por lo présence toute proche de lo Boeme et de lo source
Vocher. Lo stotion qui se situe o I' en tour de lo ferme de Mr. Poiri er est occupée por des vignes jusqu'a lo porcelle 317 pu is por un
petit beis de chénes qui descend en pente douce vers lo Boeme .
Elle est encod rée o l'Est et a l'Ouest por 2 ploteoux co1coires d'ossez fo ible oltitude dons lesquels son t percées queJques petites covités dont cer toines semblen t ovoir été occupées des l'époque Mogdolénienne. Lo présence dons lo "Grotte du Creux du Loup " d'une
grovure poriétole oujourd'hu i disporue mois visible en 1948 confirmeroit cette opinion . Sur ces ploteoux fUr ent recueiUi s un certoin nombre de si lex toil1és de type moustérien métongés o quel-1-
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2
J. GAUTHIER
ques preces néolithiques don t aucune n'offre d'intenH suff ison t
pour étre étudiee id. (Fig. 2).
NATURE DE L'OUTILLAGE : La m otlere premiere utilisée est
soit du .sil ex qui se frauye en obondonce sur les ploteoux voisins,
soit du jaspe assez fréquent dons les gisements 'Poléolithiques de
lo regían ou meme parfois du gres
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Fig. 1.- Situotion d e la Chorenle
Les 55 outils recueillis jusQu'o ce jaur se dassent en:
24 pointes de flech es, une gouge, un e herminette, 7 haches ou
hoche ttes, 3 rocloirs, 10 grattoirs, 8 lomes, 1 ou t íl tria ngulaire el
tronchon t tres abrupto
Pointes de fl eches.-Dons les pointes ir convíent de distinguer:
8 pointes de fle ches, pédonculées sons oilerons (sílex blenc et
blond) dont deux d'une facture particulieremen t soignée en roche
verte. 3 pédonculées sans ai lerons (silex 6 pa tine blanche avec troce de rouille) . 13 foliocées dont 3 en silex noir pourroient étre
confondues, si ce n'étort leur époisseur, ovec des paintes de tech-
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STATION DE LA FONTAINE VACHER
3
nique solutréenne . Ceci d'oilleurs ne doi t pos nous é tonner ou tre
mesure puisque les origines memes de lo poin t e proprement dite,
les poi ntes a oi lerons et pédonc.u le comprises se placent ou SoluIréen ( 1) .
Nous avons jugé a ce propos qu 'il ne sero it pos sons intérel de
.+.
»,
,
u. , •••••
1
l'\ouIln do. lo.
~
c-.4.
\
Fig. 2. -SiTuar¡on d ... gisemenl. Extroit d ... plan codoslro1. Commune de Lo
Couronne.
foire une comporoison ovec le gisement plus connu de Recoux
(Chte) -comp for ti fié- qui o livré:
4 3 pointes de fleches .
6 poinles de fl eches t riongu loi res o base convexe du type
Sohorien.
8 pointes de fl eches o pédoncule.
104 pointes de fleches o oilerons et pédoncu le.
53 pointes de fleches foliocées .
(1) L. PERICOT GARCIA: "Lo cueva del Por~Uó (Gond¡a). Excovaciont!S
del Servicio de 1nvesl igoción PrehislÓfico de lo Excmo. Dipu tociÓtl Prov incial de
Valencia", C. S. de J. C., Insli tulo Diego Vel6zQuez, Madrid, 1942
-
9 -
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4
J. GAUTH IER
F'g. 3.- 1 Q 5: Pal nt es foliocees.-6: Lome OpPOin,ee.-1: Pointe foliacee brisée
du Iype feuille de sou le (2 el 3 égolemenl }.-8: Lome brisée dont 1 ' ,on0
(a tufe a e le relouchée.-9: Lome a encoc::hes formon, j:lfotlOir Q une eK_
I,émllé.- IO e l 11; Paintes Q oilerons, de stel;on triongu loire - 12 el 15:
Paintes sa ns oilerons, de SKtion triongu loire. 13: Polnte o Iron.cnOnl
t,onsversol.- 14: Lomelle minee relouchée en gro lloir sur une exlremité.
- 16: Roelo;, epais bifoce pDflont sur choque foce e l syme t,iquefflenl une
cavi lé circ u loire volon toiremenl oménogée.- l1: Roelal, épOis.- 18 : Ha _
che loillee (tronche!?)
(2/3)
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STAT10N DE LA FONTA1NE VACHER
5
MoIgré ces chiffres il fout remorquer que clons lo région les
poi ntes o oilerons e t pédoncule o I'encontre de ces deux stotions
ne sont pos les plus nombreuses; ce son t des poi ntes o t ronchont
tra nsversa l et les foliocées qui dom inent (FeuiJlade Chte) contrai·
rement o ce qui se posse dans le Languedoc, chez les Campign iens
pas teurs des plateoux (2) . Néonmoins on en trauve également o
Ste. Cotherine (4 kms. d'Angouléme), au moulin de Boud ion (6
kms. d' Angoulé me) a insi qu e dans la 'pluport des dolmens des environs (Foré t de lo Boixe, Chauve t) .
Les fhk hes o tranchan t t ransversal san t plus nom breuses aux
Pe rrotes, o Fontenille, a lo caverne du Placord, o Puymoyen, a
Voulgézac, ou Bois -Menu, dons lo forét de lo Boixe e t o Fe uillade .
IFIg. 1).
Les pointes foliocées se rencontrent fréquemment o lo Boixe,
a Feuillade, sur le plateou de Voeil, ou Bois-Menu, o St.-Froigne,
aux grottes du chofoud (Fig . 1) .
Les pédoncu lées se rencontrent fréquemm en t o lo Boixe, o Feu iI'ode el le Roc de lo Fode o Fon lenille o fourni quelques fleches o
oilerons el pédoncu le.
Herminette et gouge: Ces objets ossez rores en Fronce son t lCl
d'une fa c ture particulierement soignée. La herminette est e n silex
patiné blonc ovec quelque trace de rou ille produite por le choc des
instruments arotoires. Lo herminette plus soigneusement palie fui
.reta il lée o son extrémi té sons d ou te pour fovoriser I' emmonche ment o (F ig . 5,28).
Grottoirs: Alors que le per~o ir domine en Saintonge (3) , I' instrument couron ! des compigniens de la région Choren te, Dordogne
est le grottoir;
40 o Recoux.
50 aSte. Co the rine.
Tres nomb~e ux o Feuillode (Ch te) e t a Etouors (Dordogne) .
Ceux que nous evons recueillis ó lo Fon taine Vacher sont dons
I'ensemble soigneusement retouchés e t semblen t ovo;r été utilisés
tres longtemps . 6 sont en si lex gris avec une pa tine assez doire .
(2 ) M. LOU IS: " Préhistoi re du Long ... edoc Med ilerraneen el du Roussi llan" ,
Nimes- Paris, \94 8.
(31 J. ARNAL el R. RIQUET: "Reloc;ones ent re Los Chorent as froncesos y el
Sud- Este español en lo época de los dólmenes", dans Cr6nico del 11 Con~ reso No·
cIonol de Arqueo1ogio {Madrid 195 1J, Zorogo;¡:o, 1952, pp. 203 o 2 16.
11 _
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6
J . GAUTH IER
len silex nair (Hg . 3, 14). 2 en silex blond (tig . 4, 19) , e t 1 en
silex patine blenc ovec t roces de rauille.
Les racloirs : Son! tres f réqu ents dons lo region m ois son ! génera lernent b ien moins beaux (Claix, Recoux-Comps de pla teoux) o
part ceux qu e nOU$ Qvans recueiUis el Feuillode don! 10 f inesse de
trovoll es ! excep tionnell e, lIs son ! lous les 3 en silex gris e l d/ossez peli te tai lle (7 6 9 cms.) (fi9 3 el 4) . Les lomes -son t peu épaisses de sec t ion t riongulaire, en sílex blond, Icutes son! brisées, e lles
en ! poru servi r ossez longt emps el deux d'en t re e lles porten ! q ue Jques retouches olternées (Fig . 4, 24) .
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20-
F¡g. 4._ 19: Grottoir lo térol pedoncu h!. -
20: Roelo;r epO is _ 21 : T (anche t (?)
ovec troces d 'eclo tement.- 22: Rodo;r d i$COide epO i,. - 23 : Oulll b:isé
e l omenoge en gro lloir.-24: lome mince de seclion lroonguloire du l)'pe
fréquent o Fonlo ine Vacher.
(3 / 4)
12 --
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STATION DE LA FONTAINE VACHER
7
Loo h.,he" Elle, ront toute, pol; e, de toH le moyonne (5 6 8
cms .), de forme trionguloire o talan pointu . 11 n'o été trouvé ou·
cun exemploire o boudin, o bouton, perforé, con t roiremen t o ce qui
orrive en Bretogne et dons lo regían porisienne. Les hoches o bou ton sont d'oilleurs rori ssi mes meme dons leur cen t re qui eSI lo Ven·
dee. 11 o élé recueilli 7 haches ou hoche ttes. I1 convien t de distin·
guer une hochette 8 x 3 cm. toi llee en silex pa tine morron· rouge,
4 +"!ochettes dont lo toj lle oscille en tre S el 9 cms. (toutes en s íl ex
pa t iné gris ovec t race de roui lle).
25
Fig. 5. -25 : Hache palie, silex joune.- 26: Poinle bifociale epoisse.- 21 : Hoche
palIe en gres IU$tre. -28: Hache palie formont herminelle.
(3 / 41
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8
J. GAUTH IER
2 en gres lust ré, dont I'une ovale ó tolan droit, ¡'cutre trianguloire o talen pointu. 1 hachette en silex patiné ¡aune cloi, (Fig .
5,251 .
11 convient oussi de signoler deux outils toiltés el éclotés au feu
qui pourraient etre ó la rigueur des tronchets (Figs. 3, 18 el 4, 21).
CONGLUSION
Régrettons I'absence de la poterie qui auro; ' daté plus exoct emen t. Pourtont le mobilier de silex est tell ement typique qu'il
et oit in téressant de le signoJer. 11 correspond exactemen t o ce que
Bosch -Gimpero a décri t sous le nom de civilisation Seine - Oise Marne (4).
Si le mobilier est plus grossier e'es l qu e nous avons affaire (1
une s lo t ion de plein oir, 6 des ou t ils obimes el obondonnes sur
place.
Les lomelles, les fleches tronchan tes son t méditéranéennes mais
por lo forme t rapézo'idale de ces demieres et la présence d'ormatures de fleches o ailerans et pédoncules, nous sammes au temps
des ollées couvertes de la région porisienne (S)
Cóté campignien il y a les haches en sil ex, le gros tranchet,
les gra ttoirs et les rac1oirs.
Ce complexe est bien attribuoble o la civilisation Seine-OiseMame qu i a royonné de lo Belgique jusqu'o la Garonne et qui couvre la France d'un immense croissant.
(4) P. BOSCH_GIMPERA el J . de C. SERRA RAf OLS: "Eludes sur le Néoli_
IniQUe el l'EnéolilniQue en Fronce", dOr>!i Revue Anlnropolog iQue, Por ls, 1921; d .
V. G. CHllDE dons "l'Anlnrcpologie", 1950, n. 1.
(51 O. Confe-retlce SUr le mobilier du Dolmen de Recl u$ fouille por l' AbbC
F()(el el publie dons lo Revue Ard.eolog ique, 1936.
-
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ANDRES MONZO NOGUES
(V~I.nd.)
La "Ibardeia
(Albol.! rlels Toro nchers, Voleneio)
Escribimos estos líneas con el único propósito de que no falte
nues tro modesto colaboración en lo pruebo de afecto que a la memoria de don Isidro BoUester Tormo dedicon sus discípulos, colaboradores y amigos 01 cumplirse los veinticinco años de lo funda ción del Servicio de Investigación Prehistórico.
Nos ha costado decidirnos sobre el tema, ya que reiteradamente hemos escrito sobre lo arqueología de lo comarco que mós o
fondo hemos reconocido (1), escogiendo, finalmente, entre ot...os
muchos estaciones dignas de ser detenidamente estudiados, Lo
Albardeta, por ser lo menos conocido, yola que sólo hemos
mencionado, inciden talmente, en uno ocasión (2) .
La Alba rdeta es un cerro o cabeci ta muy destocado, que se descub re debajo del Garbí y casi frente a la estación del fenrocor,il de
Estivella -Al balat. Un profundo barranco la .s~pora del Gorbí y otro
barranco del despob lada prehistórica de Els Terrers. Se hoJla en término muni cipal de Al ba la t deis Toranchers, o lo derecho del río
Poloncio, entre el Borranquet de Put;ol y el ot ro que poso por la
entrado de la mencionado estación del ferrocarr il de Aragón .
El yacimiento presento los siguientes característ icos : por el NE,
dificultosos r6pidos, sembrados de mal eza y algunos pocos pinos;
•
(1) A. MONZO NOGUES: " Nolos orqlleológicos de l ogro soguntino", en
Anot es del Centro de Cul turo Volenciono, XIV, num o 15, pó¡¡. 58 y nUmo 15.
pág. 139, Valencio. 1946.
121 A. MONZO NQGUES: " El Mi iores y el Miioren5e", separo ta de Anoles
del Cent ro de Cultura Valeoc:iano, pág. 40, noto, Volencia, 1951.
-
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z
A. MONZO NOGUES
por el E. se hallo defendido por un tojo de bastante ahura, por d eboja del cuol siguen los dificultosos rópidos; por el SE., tros un
trecho de unos doce o quince me tros de bravos escarpaduras, sua."izados algún tanto por los derribos de paredes y murallas, se une
o los cercanos montes por un calladito, donde se ven, muy tr itura dos, algunos restos de cerómica neolítica. Como a un tiro de honda
y o bastante menos altura, mano la fuente de ricos aguas denominado, antiguamen t e, Fan t del Sopo y hoy, del Gorbí. El cer ro
estó formado por concreciones de rojizo rodeno, del que se extraje ron centenares de metros cúbicos poro el pavimentado de lo copitol. El camino carrel-ero abierto para el acarreo de bordones y
adoquines, conduce casi a la mismo cumbre del cerro. Los can teros
des truyeron uno buena porte de lo muralla de grandes bloques de
piedra, que les facilitó considerablemen t e su toreo, y abrieron allí
nuevas canteros. Por fortuna aún qu edan algunos restos de dicha
muralla, como se distingue bien en lo lómina 1. En la actualidad
se han abandonado los canteros, pues de segui r el ritmo de hace
cuatro lustros, ni raSlros quedarían al presente de nuestro yacimiento, de indudable importancia si se encontrara intacto.
Los restos mós importantes de mural las se descubren en lo que
podríamos llamar el pie del poblado. y su totalidad debía cubrir
todo lo que no defendían los despeñaderos. Estó constituido con
grandes blOCjues de radeno, de diferentes tamaños, notándose en
ellos los efectos de uno continua erosión . Su trazo es bien parecida
o los restos de la vecina estación de Les Robases, aunque en ésta
son de calizo .
Algo más arriba percibense, a fl or de t ierra, señales de muros
más senci llos. En lo parte SE. parecen verse ángulos como de torre,
no pudiéndose afirmar con certeza, por causa de los grandes derribos de paredes y demós restos de construcciones.
En lo porte NO. yacen, de manera impresionan te, lo mayar parle de los derribos. También en lo porte cime ra no se descubre otra
cosa, al presente. Las piedras de esto cumbre no poseen ot ra ligazón que las arenillas, ocasionadas por la erosión.
En esta parte más alta se suelen descubrir bastantes restos cerómicos neolíticos, de varios clases, pero imprecisbs en sus formas
por causa de su diminuto fragmenta ción . T ienen desde tres milímetros de sección hasta de nueve. Son negros algunos y con mayor
abundancia de arenillas o tros . En los de mayor tamoño se puede
apreciar el in terior de la vasija como reforzado con un color rojizo,
-
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LA ALBARDfT A
3
de formo semejan te o como ocurre en los fragm en tos recogidos en
lo Muntanya Redona. De Les Raboses y Els Terrers no poseemos
ningún resto cerámico con esto carac teríst ico.
Podría ser qu e Lo Albarde to pasara o fu sionarse con Els Terrers, y que más tarde, a mbos o uno, se bajaron o los ori llas del
Polancio. A todo estación eneolí ti ca de nues tro término municipa l
corresponde uno ibero-romano, cuando no ibérica, de cerámi cos
sencillas y s in decorar, con señales de esparto en e l int erior de los
vasijas más grandes o de otra clase de .hierbo. y o esta gen te pertenecen los hornos alfareros, que llamaríamos de cubo, por su forma circular, ya que hemos encont rado uno en El s T erre rs y otro en
Lo Muria, correspondiéndose con sus estaciones de montaña. Estos
hornos, de diferentes secciones, con pa redes de borro de unos doce
a qu ince centímetros, endurecidos por la acción del fu ego que les
ha proporcionado un color g risáceo, y muestran en derredor, o cerco de ellos a l menos, abundantes restos cerómicos. Se nos insi nuó,
que pudiera tratarse de hornos de cal mós mode rnos. Estos se ven
por lo montaña, y son de distinto técnico, no encon trá ndose en sus
proximidades restos de cerámica. Ademós, en lo ori llo izqu ierdo
del Borronc del Pl o de l'Aljub se descubre uno, que tiene sobre su
porte super ior más de metro y med io de acarreo. Y sobre todo ello,
los restos cerómi cos copiosos y típicos. Son los hornos ibéricos que
siguen trabo jondo poro los conqui stadores, que no cambian los t éc_
nicas de horno alfa rero, por lo menos en lo que conocemos hasta
el p r~sente .
Como mós ca ract eríst icos mencionaremos a lgunos fragmentos
cerámicos :
o) Fragmento pequeño, de color amarillento blanquecino, perfec t amen t~ pulido y fac turo gris con arenillas. Reborde suave con
sección semi circu la r.
b) Fragm en to de mediano vasi ja de caracterís t icas parecidos
al an te rior, fa ct uro t errosa y t ipo carac terís ti co de l Argar.
cl Fragmento de gran vasija, de espesor de 9 mm . en su borde, que se mues t ro simétr ico, con un pedúnculo bosta osi como su
aplicación sobre el mi smo, que se ve a unos t res centímetros de lo
boca. Es más basto, con gran can t idad de arenillas y color rojizo
en su parte interno . Si segui mos el paralelismo de sus vecinos, el
pedúnculo debe estor pegado o la vasi ja valiéndose de un agujero
en lo m ismo, siendo luego remachada, bas tamen te, can los dedos,
en su parte visibl e.
-
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4
A. MONZO NOGUES
Dijimos 01 comenzar que, como o un tiro de hondo del poblado, manaba uno fuente de ricas aguas que los viejos del pueblo 110 mOfan Fon t del Sopo. Como resulto que el topónimo 10 hemos visto
aplicado o bastante número de fuentes, creemos oportuno decir
algo sobre él, paro term inar .
Hemos estudiado tres fu en tes con el mismo nombre y los tres
manaban en terrenos arenosos o de rocas de aren isco, que ta mbién
suel ton su can t idad d.~ arenillas sedimentados en el pozo donde
cae e l agua . Asi, pues, se t ro ta de un topóni mo de romanio (si es
que ésto no lo tomó del país) orig inado de sabulo. Aqui observa 0
mos, no lo conversión de P en B, si no qu e 1 P noció de la obligado
pronunciación de los átonos - bulo, como cualqu iera puede ob se rvar. Lo pronu nciación de los átonos nos proporciono fenómenos
en los que debiéramos de fijarnos bien, yo que se noto uno te n dencia en el lenguaje popular o oglu linar y transformar los mis mos. Entendemos que lo supresión de le tras es fenómeno menos
corrien te de lo que o primero vis to parece. De lo cua l podemos
condu k que Fon t del Sapo es lo mismo que Font de l' Are no.
~-
18 -
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LAM, I
MONZO NOGUIS.- La Alba,d. ta
Res tos de lo muralla, cons truido do grondes
blOQue~
d e piedro
(Foto Mon z:ll
[page-n-21]
MIGUE L
O L IVA
((l~rfln.J
El dolmen de la Creu d'En Cobertella
(R.o!)a!), Gerona), y !)u cercano poblado
ibero-romano
A la so lido de Rosos por el este, posando por la ca rretero mi Iilor que, bordeando o trechos la costo, conduce o Codoqués, se
llego en poco mós de medio hora de comino o un oltozono que es
un estribo rocoso del Puig de les Aligues, en el poraje conocido por
Can Marés, donde se hallo el sepulcro de corredor llama do lo ereu
d' En Cobertella, uno de los monumen tos megalíticos mós imponentes y famosos del grupo del Alto Ampurdón, y el que tiene la
loso de cubierto mayor en t re todos los de Cataluña (1) (16m . 1) ,
muy popular en el país y frecuen temente visitado por los excursionistas, habiendo estado o veces en t ronce de desaparecer, o pesa r
de haber sido denunciado el peligro de su destrucción mós de una
vez (2) . Convendría que se procedi ero o su consolidación y 01 de·
rribo de las cons trucciones anejos que lo rodeon desf igurándolo
considera blemen te, ya que este dolmen si rvió de dependencia de
(1 1 M . CAZURRO: "Los monumen tos megol íticos de lo provincia de Gecono", Centro de Estud ios Históricos, Modri d, 1912, pOgs. 29 y n.
lo PE RI COT GARC IA: " Lo ciyilizoción megalítico co tolona y lo culturo pirenaico", Borcelono , 1925, péIg. 92.
A. PANYELLA \' M . TARRADElL; "Excovociones en dólmenes del Al to Ampur.
d6n", en Ampur ios, V, Barcelona, 1943, pOg . 181.
J. GARR IGA PUJOl: " No tos de orqueologío ompurdoneso" . en Es tudios, 1,
Barcelona, 1950, póg. 11.
L. PERICQT GA RCIA: "los sepulcros meg.oliticos co tolones y lo cul turo pirenaico", segundo edici6n, Borcelona 1950, póg. 140.
121 Véose "Mern6ries del~ Amics de l'Arl Vell" , 1929- 1935. Borcelo~.o.
1935, piIg. 54.
-
19_
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2
M . OLIVA.
uno coso de campo, hoy desaparecido, que lo uti lizó como corral.
Con lo limpi'eza de los paredones modernos que se hallan en sus
inmed iaciones, podría estudiorse bien lo disposición del monumento y excavar sus can tornos, labor que es tá todovía por hacer.
Es te dolmen mereció la visito del sabio arqueólogo francés M.
Joseph Oecheletle en 19 12, según se desprende de un recorte de
per iódico que casua lmente ha venido o nues tras monos (3) .
Inmediato 01 dolmen y en lo vertient e poblado de olivos que do
sobre la corretera, S-~ encuentron obu ndont ísimos fragmentos de
cerómica, que denuncian la exist encia de uno es tación ibero-romono emplazada en aquel lugar, hasta ahora inéd ito .
En lo vi sito que efectuamos duran te las excovociones de la
Ciudadela de Rosas en noviembre de 1946, tuvimos ocasión de recoger uno regu lar cantidad de fragm entos de cerámico gris, del t ipo
llamado ampuritano, correspondientes o vasos de m uy dis t in tos tamaños y de formas bicónicas, con oso latera l acanalado; algunos
trozos de vasos de ceróm ica basta, o mano, conteniendo la posta
muchos granos de feld espato, cuarzo y mica; otros de vasos comu nes, de cerómica rojiza, hechos a torno, y tipos de vasos ovoides
Fragmento de cerornico companiense con grofilO iberico (T. n.).
con boca de bordes vueltos . Un fragm en to de borde de kolothos
ibérico; un trozo de tapadera troncocónica con pivote cen tral ; pero
lo que mós abundaba ero la cerámico com poniense en sus t ipas A
y B, y de lo especie de borniz luc ien t e; en t re oellos hoy fragm en tos
de borde de boca correspandi- ~n tes o piezas en formo de pequeños
13)
Ve ose "Dia rio de Barcelona", Barcelona, l." d e m oyo d e 191 2, nUme-
ro 120.
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20 -
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EL DOLMEN DE LA CREU
3
cuencos (pateras) , bases de vasos con rosetas estampados en su
interior; un trazo de lucerna de tipo helenística igualmente ~n ceromi ca componiense, y finalmente, de la mi sma cerámico es el
fragmento de vaso en forma de cuenco, que pertenece al llamado ti po A de esto clase de cerámica, llamada también cerámico de Ischia ,
el cua l ostenta el grafito ibérico que publicamos, grabado en caracteres incisos finos y profundos, de 15 y 12 mm . de a ltura (In ven tario General número 3, 1 13) (fig . l.").
Del vocablo inscrito folton proboblemente letras en su comienzo y final, por rotura del vaso, conservándose solamente dos caracteres que, habido cuento de las muchas variaciones de detalle en
la formo de las letras del alfabeto ibérico, pueden carr-espondu
a uno M, N o Y (?) lo primero; siendo uno N bien cloro lo segun do, de ocuudo con el alfabe to de G)mez Moreno (4) .
(4) M. GOMEZ MORENO; "Mlscelóneos. Historia-Arle-ArqueoIOl)jo (Disper_
sa, emendoro, adillo, inédila), Primero serie: Lo Antigü@(jod", C. S. 1. C., Madrid,
1949, póg. 275.
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OLIVA PRAT.-EI dolm e n de la C.eu
LAM. l .
Vi, la del dolmen de Rosos, conocido pOr "Lo Creu d'en Coberlella", y zona de 5U5
Inmediaciones, donde se holl" el poblado ibero-romono
(Fola Olivol
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J.
DE C. SERRA RAFOLS
llIantlou)
El e!>tudio de la Cultu ra Megalftica
Catalana
Con razón dice el profesor Pericot que pocos manifestaciones
de la Prehistoria resulton ton fáciles de estudior como los sepulcros megaliti cos, pues "son éstos ton visibles que mucho ont.¿s de
que los eruditos inicioron el estudio científico de los vestigios prehistóricos, los ... dólmenes habían atraido ya lo otención de los aficionados a lo antigüedad " ( 1).
Con todo, la que fue tesis doctoral de nuestro viejo a migo y su
segundo edición (esta vez en verdad "corregido y aumen tado") (21
quedon continuamente superadas por los nuevos descubrim ien tos
como él mismo prevé y deseo, en cuan to o su corócter de catálogo
exhaustivo de los monumentos mega líticos ca tolanes.
y es que los dólmenes, a pesar d¿ su visibi lidad, se acuitan
mós de lo que parece posible y siguen proporcionando nuevos e jemplares de estas sepulturas las comarcas mós frecventados por todo
género de viandan tes, desde los pseudo - excursionis tas, que sólo
desean devora r kilóme tros y realizan sus travesías con un carócl'é!r
poco dif.erente de sus botas y bastones, hasta los que, mien tras
andan, investigan el paisaje y sus elemen tos naturol-es y humanos.
Señolemos como ejemplo muy demostra t ivo, bien reciente, el descubrimiento por el Coloborador d~ la Comisaría Provincial de Excat 11 l . PERICOT GARC IA: "la cultura megalilico en .... rogan·· , Pirineos,
VIII, pÓg. 485, Zaraga:la, 1952.
(2) lo PERICOT GARCIA : "la civill:loc;ón megalítico cOlolan.o y la culturo
pirenaico", Barcelona, 1925.
L. PERICOT GARCIA: "Los sepulcros megalílicos catalanes y la cultura pire _
noico", Barcelona, 1950.
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2
J. DE C. SERRA RAFOLS
"odones Arqueológicos de Barcelono, don Antonio Guilleumes, de
los dól menes mós próximos o la capital ca talona que se conocen
hasta ahoro, en una zona que, desde hoce t¡ ~ m po. se conside raba
agotada en este aspecto (3) .
Recordemos o es te propósito las campañas sistemóticos orga nizados RO' nuestro maestro Bosch -Gimpero llevando como ouxilia r
01 mismo Perico ! y que teni endo, como quien dice, megalitos 01
a lcance de lo mano, se iban o buscar, en penosos excursiones, casi
o 200 kilóme tros de distancio .
Si es to poso en los transi tadisimas montañas que tocan o Barce lona, se puede suponer que daben quedar sin s'3ñolor decenos y
decenos de estos sepulturas en los vastos manchas exi stentes dentro de la zona dolmenica, donde no se seña lo ni un solo megal ito
(4 ), en comarcas donde no ha habido ningún investigador local
(precioso e indispensa ble colaborador de la investigación ~ n c ral ,
01 que con frecuencia se regateo y hasta se n iego lo beligerancia),
y lo mismo e n aquellos qu '~ han sido mós o menos inte nsamen te ex plorados.
Ademós ha de considera rse casi un axioma que, incluso los
dólmenes mós des truidos y aquellos que son mas visibles y que por
la tonto han sido violados desde mós antiguo y de seguro innumerables veces, contienen todavía algún resto eh los hombres que los
levantaron y de sus industrias, y con fre cuencia de aquellos que los
utilizaron posteriormente. Incluso dólmenes que han sido excava dos por pe rsonas experimentados, no siempre es seguro estén agotados en sus hallazgos. Es frecuent ~ qu e en los compañas de e xploración dolménico no se cuen te mós que con unos escosas horas (o
seguido de una camina ta agotadora) poro explorar un megalito, y
que esto Ipbor se rea lice apresuradament e, en uno verdade ro carrero con t ra el reloj . Como se aprecio en seguido que el dolmen ha
sido violado, y por lo tonto se sabe qu e su conten ido ha de aparecer
removido, se considero qu e los observociones de car6cte r es tra ti gráfico no han de dar resultado alguno, y por lo tonto casi se prescinde de ellos. Libl'es de este es torbo que obligo o trabaja r lentamente, los exploradores buscan ton só lo recoger lo mós rópidamen t e posible las restos de huesos o mobi liar ia que hayan podido
(3 )
,ovo•.
Dolmen d e
VoJlfornan~,
;ned ito, pero eKplorodo, y o lro todov¡o sin ell(-
(4) Veose el mós rec iente mapa de su d istribución en L. PERICOT: "Los sepukros megoHtic:os ... ", fig . 86.
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2'1 -
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ESTUDIO
D~
LA CULTURA MEGAlITICA
3
subsistir, y como estos suelen reducirse o fragmentos de cerómica
liso, con frecuencia ton menudos y desg:Jstodo;; que resultan casi
inclosificabl~s, pronto se agoto, junto con el escoso ti empo de que
se dispone, el in t eres del explorador, y sin que honradamente se
puedo a firmar que ha sido removido y ta mizado todo lo tierra susceptible de con tener olgun resto, se do por terminado lo excovación . Y este termino es poco menos que defini t ivo, yo que el dol men explorado estó ton alejado del pun to de residencio y partido
del arqueólogo, que es muy di fic il que este vuelvo o encantrar ocasión favorable poro repetir lo la rgo y penoso excursión, que esto
vez tendró el -escoso aliciente de visi tar un megal ito yo conocido y
teóricamente excavado. Personalmente hemos de reconocer que en
los no muy numerosos dólmenes en cuyo excavación hemos colaborado, hoce yo mucho;; años, no tenemos lo seguridad (ni incluso
dentro de lo que son los seguridades humanos) de que estén exhoustivamente excavados. Y si nuestros colegas Que han intervenido en compoñas seme jan t es quieren ser sinceros, reconocerán lo
mismo en cuanto a gran numero de sus trabajos. Hoy que pensor
que esto faha, que serio menos que venial en excavaciones de salvamento, es decir, aquellos realizados apresuradamente y forzosa mente poro salvar todo lo posible de yacimientos que van o ser
destruidos por motivos ajenos o la arqueología, es más grave cuan do se troto de excavaciones intencionalmente llevados a cabo, en
lugares que o veces podrían esperar tranquilamente tiempos futu ros, incluso generaciones futuros, en Que los cosas pudieran hacerse en mejores condiciones.
Por esto o lo pe t ición que hoce Pericot de Que se comprueben
los plantos de los dólmenes conocidos, un imos por nuestro parte
que se comprueben los excavaciones efec tuados, cosa que él tam bién aconse jo; lo rec tificación de plantas ha de ir acompañado de
observaciones minuciosas sobre lo existencia de en losados, formados por piedras mós o menos planos, de dimensiones no muy grandes. Nos ha admirado que en dos dólmenes cuyo reciente excava ción detenido hemos presenciado y orien tado, pertenecien tes o comarcas bastante dis tant es y de características geográficos y geológicos diferentes, hayamos podido comprobar la -existencia de ta les
en losados en sus respectivos cámaras. Nos resis timos o creer que
se trote de casos excepcionales; más bien opinamos que tol-es pisos
en muchos cosos han posado desapercibidos a los exploradores y
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4
J. DE C. SERRA RAFOLS
que su exist encia debió ser bastante mós g!nerol de lo que se de duciría de los estudios efectuados (5) .
Son estos labores muy Q propósi to, como primeros a rmas en 10
arqueología de campo, de las nuevas y numerosas promOCiones de
jóvenes arqueólogos que aparecen continuamente en el palenque
cien t ífico. Aleccionadoras por uno porte y científicamen te útiles,
por otro, Ahora bien, quienes los verifiquen han de pensar que
codo megalito o replan tear y reexploror requ iere, poro hacer bien
los dos cosos, un t iempo bastan te largo, ya que poro recoer en lo
fa lta que hemos de tallado no vale la peno de gas lar nuevos ener-
gías.
•
Repu tamos, pues, que en el es tr ic to campo de los mega litos que
lIoma mos pirenaicos queda uno considera ble labor a hacer, qu e si
se hoce bien, puede proporciona r todavio elemen tos de es tudio muy
importa ntes.
Pero, como sigue señalando Pericot, al lodo de las dólmenes
en su mismo órea geográfico, exist en ot ros 'estaciones que revelan
uno cul turo idén t ico y cuyo est udio, poro usar sus propios palabras, "ofrece todavía un amplia campo a lo invest igación" (6) .
Bosch Gi mpera fue el primero, yo hace años, en apreciar esto
iden tidad cu ltura l (1) y esta apreciación ha sido a m pliame n te
comprobado por los nuevos hallazgos. Se t ro to principalmen te de
cuevas, en lo que me jor conocemos de ellas, de cuevas sepulcrales.
Es decir que también aquí, pora conocer lo manero de vivir de
aque llos gentes, nos hemos de va le r de sus sepu ltu ras . Ton to es lo
iden tidad cul tural de estos tumbos trog lodí t icos y megalíticos, que
juzgamos no hay mot ivo de separar el anólisis de los elementos
proporcionados por el estudio de los a jua res descubiertos en unas
y en ot ros.
También aquí, y todavía mós que en los dólm enes, ha de intentarse corr-egi r lo imperfección de los excavaciones. Uno cueva, aun
(5) L. PERICOT GARCIA: "Los sepulcros mepoli ticos ... ". póg. 39. dice unicomente o prOpÓsi to de lo existencio de povimen tos en los dólmenes: "en \fOrios
cosos se ho observodo uno espeo;:ie de e nlosodo hecho con loso, delg.odos en lo
porle de lo en trado; osí, en los sepulcros del Barranc y de lo f ant del Ra ulo en
Espolio, y de COl lelltou ".
Como hemos dicho, e n los dos cosos citodos el ensolodo ho sido descubierto
e n los cómoros 9ropiomente dichos. Uno de estos enlosados, el del dolm en de
Vollromones, ofrece circunstoncias especioles Que OQul no pOdemos delollor.
(6) L. PERICOT GARClA: "Los sepulcros megolllicos ... ", pllg. 91.
PI P. BOSCH-GIMPERA: "PrehistOrio Catolono", Borcelono, 1920. En es to
ob
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26 -
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ESTUDIO DE LA CULTURA MEGAUTICA
s
siendo pequeño, se considero ya uno entidad con mayor personalidad que un dolmen y, por lo tonto, yo no se juzgo que unos horos
de apresurado labor basten poro excavarlo. Pero lo proporción de
t iempo y esfuerzo que o ellos se dedican, en relación al volumen
de trabajo que en realidad ofrece su exploración, es del mismo orden del apreciado en los dólmenes. Un ejemplo aleccionador de lo
formo de explorar, y publicar, una muy pequeño cueva sepulcral
(no importa pertenezco a ot ro cultura que lo dolménica pi renaico
de lo que nos ocupamos ahora), nos lo d io don Isidro Ballester, en
su excavación y publicación de lo covacha sepulcral de "Cam í Real"
de Albaida (8) . Puede si se qu iere, hacer abst racciÓn del capítulo
IV de lo monografía qu e dedicó o ello, y de lo ú ltimo porte de l VI,
de.; tinodos o comparaciones, pero lo restan te, dedicado 01 estudio
propiamen te de lo covooha, puede ofrecerse como modelo, t rasun1"0 de uno ·excavaciÓn igualmente modélico, y hoy que recordar que
se t ral6 de uno excavación de salvamen to, verificado, ciertamente,
en ópt imos condiciones.
Así, pues, algunos de los cuevas que cataloga Pericot, hoy que
reconocerlos nuevamente an tes de considerarlas agotados. Exceptuaríamos los cosos en que se hubiese, intencionadamente, de jado
una porción por excavar como testimonio, próctica ton aconsejable, Siempre que seo posible, coma poco ate ndido . P\! ro no recordamos que se hoyo seguido en ninguno de los cuevas de excavación
reciente que se enumeran .
Pero el campo más amplio de las nuevos investigaciones se encuentra en los cuevas y abrigos bo ja roca no explorados. Mas aquí
no nos cansaremos de aconsejar 10 máximo prudencia, lo m ismo o
los investigadores locales que a los arqueólogos profesiona les, con se jo que, na turalmen te, no se refiere sólo o las cuevas de la zona
de 1 cu ltu ro megoHtica pirena ico, sino o todos los de l país. Si uno
0
cueva no corre peligro de ser dest ru ido o vaciado por cua lquier
causo, a removido por personas ignorantes, es decir, si hoy motivos
para creer no será tocado su yaci mien to, 10 excavación no ha de
emprenderse sin que se cuen te con todo seguridad con Jos medios
adecuados poro llevarlo adelante con los máximas garantías ci en tíficos de que ninguno observación podrá perderse, y no hablamos
del material, pues éste es mós fócil de recoger que no los observo(8) l. 8ALLESTER TORMO: "La covacha sepulcral de Comi Reol d 'Alacanl
(AIIJQido,", Archivo de Prehistoria Levont ina, 1, p6g. 3 1, Valencia, 1929.
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6
J. DE C. SERRA RNOLS
ciones referentes 01 mismo. Hay que pensar que es en los cuevas
principalmen te donde podemos esperor encon t ror estratigrafías, y
que és tos pueden perderse por fal to de tiempo, de atención o de
conocimien tos, y entonces, si tales estratigrafías existian, el volor
ci entífico de los objetos recogidos es pun to menos que nulo en comparación 0 1 Que habrían podido lener. Hoy que con tor, pues, con
el t iempo suficien t e y los med ios económicos indispensables, odemás de los conocimi en tos y lo próctica necesarios y ta m bién la aptitud inno ta pora ser 'e xcavador (9) Que hoy que suponer en todo
persono qu e se enfren te con empr.esa de esto na tu ra leza .
Claro que lo legislación arqueológico vigen te sólo concede 'e l
¿-erecho de rea lizar toles traba jos o personas competentes, previamen te au torizados, y que ni los Comisarios de Excavaciones arqueológ icos, Directores de Museos o Profesores Universitarios, no
t ienen, por su si mple calidad de tales, esta autorización . Pera esta
legislación, como tantas otras, 'resu lto, con aflict ivo frecuencia, in operante en Jo práctico. Poro frenar impaciencias hoy Que pensar
que <.le lo misma manera que no nos cabe duda de que ac tual mente,
por lo general, excovamos mejor que lo hadan nuest ros predecesores de comienzos de siglo, tampoco la tenemos de que mejor
lo harán nuestros sucesores de principios del siglo próximo. No es
que pc
!nsemos que el progreso de los técnicos y los reolizociones
cien t íficos en estas moterias, s igan una I¡n eo ascendente ininterrumpida, hoy sus altos y sus bajas, que tados podemos apreciar,
pero r.as parece que un concepto mós exac to de lo que se busco en
estos exploraciones, que no es la recolección de objetos poro llenar
vitrinas de museo; o colecciones privados, ni lo lia tisfacción de una
Simpl e cur iosidad, sino lo ~edacción de un capítulo de 1 H istoria,
0
influye a lgo en que coda cual siento la responsabil idad que contrae
a l realizar uno tarea de es te orden .
Heohas estos digresiones, en ,el campo de los estaciones de
esto clase, donde hay una labor ton vasto o hacer, queremos señalar muy particu la rm ente el interés que ofrece uno cat egoría de
(9 ) Ho y personas con grondes conocim ientos a rqueo lógicos y verdadero talento de inves tigadores Que na son capaces de permanecer pac.ientemente, o vec es
durol'll e largos dios, las ocho o mois naros de la ¡o
tol es es muchisi mo mejor Que no excaven y e n cambio a coso puedan aprovechar
magnificamente los resultados de los excavaciones a jenas. No d iremos o ... e excaven dl!$Co rg óndo<;e to tal mente, de hecha, e n bvenas ayudant es, ounq"' e estos na
d eberian falt a r n ... nca , P"' e$ e n este coso na serón ellos los verdaderos elCcovodoO'i
res, y 01 hacer lo cons ta r así en 1 publicaciones se ves tlrón con plvmos a jenos y
los grajos de lo lóbul o n ... nco no<¡ han si mpatiza do.
-
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EST UD IO m . LA CULTURA MEGAU T ICA
1
ellas, que viene o cons tituir un intermedio -entre los dól menes y los
cueva s sepulcrales propia men te dichas, y que, en dete rminadas coma rcas, ofr ecen caracterist icos peculiares, sobre la s que no se ha bia f ijado debidamen t e la a tención.
El abr igo bajo roca (admit imos esto expresión o pesa r de su
carác ter de galici smo) es un ti po de estación bi en conocido, y que,
según su a mplitud, el hombre pri mit ivo u t ili zó poro refu gio de vivas a de muertas. Insensiblemen te se pasa de él o lo cueva, con
todos los grados de t rans ición . Aun en te rre nas quebrados, según
seo la composición geológica de l s uela, na a bundan o na exis te n
las verdaderos cuevas, pero los agentes na tu rales no ha n de jado de
desgas ta r desigua lmen te las rocas, creando pequeñas refugias que
han s ida muy buscados por los gen tes de vida pr imitiva. Debida a
los reducidos proporc iones de muchas de ellos, gran núme ro han
desa parecido, yo seo que la s aguas, los ali maña s a las m ismos
hombres las hayan vaciada de su con te n ido ant iguo, ya seo que
los acarreas los hayan cub ierto tota lmen te (en cuya coso for man
uno na despreciable " rese rva" pa ro la arqueolog ía del porveni r)
(l O) .
En la camarca lla mada de la Maresma , en las sierras a l evante de Barcelona, elemen tos de la viejo cadena hercin iana que all í
bordea el actua l litoral , el te rreno está cons tituido por granitos
que han sufrido uno m u/ti mile norio eros ión y descomposición quí m ico. Lo que debieron se r mon tañas elevadas se han conver tido en
suaves co linos de pocos cen tenares de me t ros de oh uro sobre el
nivel del mor, que ahora baño sus pies. El hombre prim it ivo, queremos refer irnos a las gen tes del Neo lí t ica y Eneoli tica, en parl e
encon t ra ron el país e n uno forma no muy ditere.nte de la a c tual,
0
por lo Que se refi ere o su re li eve. Es cie rto que desde en la nces 1
erosión ha segu ido traba ja ndo inte nsamente aquellos roca s, cuya
superf icie, some t ido o la acciÓn químico que de te rm ino su caolin izoción, se disgrega fócil men te por lo acción mecónica del agua y
del vien to. La pruebo la tenemos en la enorme acumu loción de
orenos (lo descomposición del sauló de la te rm inologío local)
110) Lo covocno de Com í Reol , Q lo q ue nos helTlO!; referido , es un ejemplo
de eSle modo d e desopOric iÓtl, v sólo u no casuali da d lo PUSO 01 descubierto. Los
covocnas del Borro neo de Son t Ole-guer, e n Sobodell, con enterramientos de segu ndo g rado del e neol ilico o Bronce 1, son 01 ' 0 ej emplo parecido , en Un terreno de
consliluclOn geológ ico semejon le. Vease poro eSlos: J. de C. SE RRA y RAFOlS:
"Sepoullu ros con YOSO camponifor me descubiert os en Sobodell" , Ivronono, vol. 1,
;>p. 17 -92, $obodell, 1950.
-
29 -
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B
J . DE C. SERRA RAFOLS
qu e se han acumu lado en los valles y en los borra ncos y que cubre,
con estra tos potent ísimos, restos de lo a nt iguo presencio humana
E'n estos lugares ( 11) . Pero de la parte a lta de lO sie rros, la denu S
doción ha sido en genera l menos in t enso que la acumulación de
arenos e n los barrancos y portes bo jas, arrancados aquéllos principal men t e de los laderas.
En este relieve suave, en muchos ci ma s exis ten pequeños pla n icies donde e l suelo se ha ma nten ido o un nive l seme jante 0 1 de
hoce cuotro milenios. De ello tenemos uno pruebo arqueológico,
proporcionada precisamente p or los dólm enes ex is ten t.es en es tos
lugares, qu e no se ofr ecen ni enterrados por acorreos, ni sobreelevodos por reba je de los tierras circundan tes, Los lúmu los, natura lmen te,
probabl emen t e con ac tivo cooperación humano , .Ejemplos de lo que
deci mos son La Roca d'En Toni, de Vilossor de Do lt, uno d e los
dólmenes ca ta la n es conocidos desde fecho mós an t igua, y 'e l de
Yollromones, uno de los de descubr imien to mós reciente.
En es tas mismas zonas los grani tos erosionados se ofrecen en
forma de acumulaciones de rocas de -pe rfiles suaves y desgastados,
que a veces reciben el nombre de boles, precisamen te par lo formo
vagamen te es fé rico que a fec tan en ciertos casos sus portes más
salien te s (12). Estos a mon tona mientos graní t icos, surgiendo d e un
medio vege ta l de pinar y matorral no espinoso, no e xces ivamen te
densas, en el que a veces subsiste n algunos elemen tos test imonia -
,
11 11 Uno necrópolis de urnas de la Primer a Ed ad d e l Hierra, sit uada en u na
nondana da de la riera de Argentona, ce rca de Mo toró, no librado unos pocos
tumbos, encont rados casua lmen te 01 per forar pozos, o pro fu ndidades d e nosta 22
me lros. Un miliario de la Vio Augusta, desc ubie rto el 12 de junio de 1954, cerco
de la pa rt ici Ón de los tér minos de Vilossar de Mar y Cabrera d e Ma to ró, jun ta 01
110modo Ca mí del mig, en Un terreno abierto y 110:'\0, en el que lo acumulación
de tierrClS arenosas no es particula rmente activa , queda ba e n lo par te superi or di.!
lo bese, q ue corresponde 01 nivel de had o comi e nzos de lo Ero, o cerco d e dos
me tros d e p ro fund idad , Sobre los n ive les a ntiguas en es to comarco véase M . RISAS
Y B~ RTRAN : " El poblame nt d 'lId ura" , MemOries de la Secció Hlstórica - Arq ueoIbg ico d e l' lns litu t d'Es tud is Ca la lans, Barcel ona , 195 2.
(1 2) Al es tudiar los mega litos hoy que lener en cuen to 1 no luro lez a pe rro_
0
gró fico de los pied ras que los forma n y e l medio climó tica en qu e se leva ntan,
paro explicarse varios hechos referentes o los 1
050S de que es tó n hechos y su condesaparecer, ma teria lme n _
servación. Los dólmenes de grani to están d es ti nados
te, podr iomos d e<: ir, poi' disoludón, cOflvirtiéndase en areno. No es mejor la suert e
q ue han d e correr los formados poi' aI ras racas todavía mós sujetas o resquebra_
jarse, en especial en zOnas d e helados in tensos. Cloro que es to lo p
los generaciones futurClS, Si los ge ntes de l poleoli tko In ferior hubiesen levo n loda
dólmenes, no Quedado ninguno de ell os. e xcep to los que hubiesen sida p ro teg idos
por sus tumu l05, des tru idos poi' lo acciÓn lenta pero im;¡locoble d e los agen tes
na turales,
°
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ESTUDIO DE LA CULTURA MEGAlITICA
9
les de antiguos encinares y robledales, llegan o forma r un paisaje
muy característico de los crestas de estos sierros, intensamente
mediterráneo y no exento de belleza . Con frecuencia unos rocas se
apoyan sobre a Iras y don lugar o lo existencia de cavidades más o
menos amplios, que no pueden llamarse propiamente cuevas, y que
en lo comarco reciben o veces el nombre de caus (a lgo osi como
guarida o madriguera). Como es natura l, tol es caU$ sue len t ener
varios entrados, a unque ero fáci l cerra r una o más ar t if icial men t e.
Los más visibles tienen nombres, ot ras carecen de él. Al lodo de estos caU$ o guaridas bien definidos, hoy masas graníti cos qu e se
han desgastado mós por la base o que se han incl inado has ta formar precarios abrigos.
El primer g rupo de es tos for macion2S na tu ral es que en lo co marco llamó 10 a tención de los estudiosos, fue el si tuada cerco de
la masía d e Can Baquet. Allí el colaborador de la Comisario de
Excavaciones Arqueológicas de Barcelona dan Jaime Ventura, que
es el delegada de lo misma en Vilassar de Dolt o San t Genis de
Vi lassor, térm ino muni ci pal 01 que per tenece lo masía ciloda, y
varios colaboradores suyos, especial men te Pablo Ubach, efectuaron
uno prospección en aquellas rocas, y los resultados obten idos fu eron verdadera mente óptimos, Con gran cuidado se exploraron dos
de es tas caU$, uno llamado cou de la Granoto, probablemente por
lo vago formo de rano que a fecta uno de las grandes rocas que lo
forman ; 'el a iro sin nombre, que fu e bautizado cava d'En Pou. por
el de su descubridor, situados a un cen tenar de metros de dis tancio
el uno del otro,
Los hallazgos efect uados en ellos pertenecen plenamente o lo
cultu ro dolménico, y de la proximidad de es tos estaciones arqueológi cas o un megali to da ideo el que el citado dolmen de La Roca
d'En Taní se ha llamado también dolmen de Can Boquet. Ef ec tiva mente, del dolmen o los dos caU$ citados hay menos de qui ni entos
me tros de dis tancio. Se tra to de lugares util izados poro en terramien tos, y ello evidencio qu e lo población eneolí t ica en cuyo com ple jo cultural figura ba el rito o costumbre de sepultar a sus mu ertos en tumbos formados por gra ndes piedras, 01 encon tra r a montonamien tos de rocas que en muchos cosos a mayor escalo p roporcionaba n uno estructuro semejan te, no los desdeñaban poro
u tilizarlos con lo m ismo fina lidad .
A base del ma teria l encontrado, abundan t es cuchillos y bellos
puntos de fl echo de s ílex, ploqu itos de pizarra, granos de collar,
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J. DE C. SERRA RAFOLS
cerómica , no puede reputarse que quienes aqu í r¿ posaron fueron
de cond ición distin ta, mós hum ilde, que los sepul tados en los dólmenes (13) .
Ot ros a br igos próximos con menos p~(sono1idod , pertenecientes
0 1 mismo núcleo de Can Boquet han proporcionado ta mbié n ind icios de util ización por el hom bre pri mitivo, a unque de menos entidad. Se Ih!go casi 01 conve nci mien to de q ue toda roca o con jun to
de rocos qu e o fre cía un leve refug io fu e a provechado desde t iempos a n ter iores a los dólme nes hasta época más recien te que e llos,
ya que los ha lla zgos, gene ralme nte reducidos a pequeños fragmentos de cerámi co, va n desde los t iempos de lo decoración cordial
has ta lo época ho lls tótti ca .
El núcleo de Can Boquet, del que forma n p ort e con juntos laberín t icos de amon tonamientos de rocas, como el llamado Roca Llabatera, de exploración muy d ifícil por su complicación, es trechez
y peligrosidad de sus gri et as y espesor del ma torra l, no es un coso
ún ico n i excepciona l 'e n nuest ros sierros de Levan te o Maresma .
Al con tra rio, exis ten en o tros té rm inos zonas de caracterist ica s seme ja ntes; seña lemos como ejemplos el Cou o COYO del Dimoni, er.
té rmino de Premió de Da lt, ta mbién descubierto como estación
prehistórico por el señor Ven turo, parcial men te explorado, y que
ofrece tes t imonios de u t ilización primitivo, no sólo en su conten ido
(limi tado o fragm e n tos de ba rros), 'Sino e n res tos de labro h um an ~
claramente percept ibl es en las rocas que lo forman.
En otro lugar de pa recido aspecto, en lo porte monta ñosa del
t érmino de Uinós de l Vo ll és, ,ho sido explorado o tro ca u, seña lado
por el ci tado y act ivisi mo colaborador de lo Comisario señor Gui-
t 13) No haremos oqui lo publicoci6n de es los eslociones. Indiquemos que
en el citado libro de RIBAS y BERTRA N, se dio uno breve not ici o d e e llos. De
hallazgo realmente muy reciente. ~on prócticomenle ined ilos. Con lodo observoremo, Que I~ reSl~ de huesos huma r.O$ eron extraor d inariamente escasos. Creemos Que eUo es d ebido mós Que o lo remoción de los COY I, especi alme nte par 10$
a limoños, lobos y zorros principalmente, Que debían tener en ellos sus g uoridos,
nosT Que próc ticomen te se ex tinguieron en el eu rlO del siglo pOlOdo, o lo no turo_
o
le;r;a silíceo del t('<"reno. Lo vegetación exiSTente e!'l tol6 terre!'los es óvido de los
subs tancias eoli;r;os y 10$ d igiere rÓpidame"te. Es to delOiXlrición d e los huesos lo
hemos observado, tooovio mUs acentuadomente, en dólmenes si tuados e n condi ciont$ de T
erreno semejan tes. En los ,a UI los raíces penetran menos abundantemente
y por ello se conserven tadovío a lgunos restos de hu esos. En el dolme n de I/ollro_
manes, en i¿e n lico terreno ócido, pero ll eno de vegetación, uno escrupuloso rebusco no pe rm itió encontrar n ingún fragmen lo óseo, e n tont o Que ptoporcionoba
l(llet'esonte material de a Iro clase. Serio muy util Que los conocedOfes d e estos
problemas de Do lónico y edafología estud iasen toles cuestiones, QI.>t, nosotro:;,
sólo POdemos trotar muy ligeramente, par fo h o de conocimien tos especia!i;r;odos.
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ESTUD IO DE LA CULTURA MEGAUTtCA
11
Ileumes, de características naturales muy interesan tes, y cuya ex cavación, todavía na terminada, y que ha sido fr uto de uno si mpá tica y desinteresado co laboración de e!ementas de Barcelona y
de muy diversas l oca l ¡da ~·~s de la com a~ca, que caincidian en el
lugar de trabajo proceden tes de las cuatro puntos cardinales, ha
dado resu ltados compa rables o los apuntados en Can Boquet y los
hallazgos enca jan también dentro de la culturo dol ménica. Hemos
bau ti zado esto guarida con el nombre de Cau de la Mustela 11, por
existir, mejor dicho, haber existido, o cinwenta posos de distancia,
otra madriguera cC!1oci:;!a por Cau de la Mustela en la que también quedaban res tos de utilización por e l hombre primi ti vo.
Esto nos obligo a consignar uha no ta pesim ista fi na l. Rocas naturales como todos los citados, si tuadas en lo alto de los s ierras
en terrenos de basoui! y motorral, parece deberían estor per se,
preservadas de lo d ~s trucc¡ón por le acción humana. Desgraciada mente nodo mós lejes de ella. Lo proximidad de un núcleo humano
monstruoso como Barcelona, de necesidades in:Jgo tobl .~s en tod:Js
los órdenes, ha det ::!rminodo el nacimiento de pequeños can teros
que explo tan los grani tos poro abastecer o lo urbe de bordillos poro sus calles. Resultando mós económico explota r es tas boles q ue
profundi zar en lo roca, pequeños contratis tas arri~ndan parcelas de
mon te poro "limpiarlas" de ellas. CU:Jnda nuestro compoñera
señor Guilleumes visitó el lugar, el CaU de la Mustela había yo desaparecido casi totalmente en una de estas explotaciones, y sólo
pudo verificar que entre los rocas que lo form aron aparecían fragmentos de cerómica prehistórico. Localizado en otro cau sin nombre, se inició su exploración pensando fuese "de salvamen to", en
lon to la Comisaría h:Jcia ges tiones, que momentóneamente han
t enido resultado, para S'J preservación, ya qu~ se troto de un con junto tan típico que, o pesar de ser natural, ofrece ve rdadero interés arqueológico conservarlo, sin contar que formo parte de él
un monolito na tural con impor tantes s::!ñales de trabajo humano.
Esa qui ere decir que, a lo menos hasta donde llego desgrac iadamente la ¡nfluencia des tructora de lo capital, es tas exploracion es
tienen mÓS urgencia de lo que aparentemen te padría pensarse.
Las notas anteriores demuestran que existen aún amplios cami~
nos paro aumentar el caudol de conocimientos que tenemos sobre
esto cu ltura que ti ene su espina dorsal en lo cadena pi renaico y
cuyo origen y desarrollo ofr~ce to:::lavía tontos prabl .~mos no resuel los.
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ENRIQUE PLA BALLESTER
(Yalc" rle)
La "Coveta del Barranc del Ca!otellet"
(Cnrrleoln-I' aleneio)
Desde que en 1929 'e xcavara don Isidro Boll ester Tormo lo pequeña covacho del Barranc del Cost ellet, fu e su intención publicor
los resultados, como lo anunció 'e n varios de los trabajos que edi·
toro, pero siempre, por una u otro rozón, se fu e demorando su pu blicación . Poco antes de su fallecimiento nos entregó el diario de
los excavaciones realizados en la covacha, osí como a lgunos pocos
notos referen tes o los ma t eriales que esto proporcionó. No pudimos tampoco inmediatamente completor su estudio, que hemos
venido haciendo estos últimos t iem pos, con in t errupciones largas
dedicados o ot ros quehaceres. Por ello consideramos que nuestro
me jor colaboración en este homenaje a la me moria del fundador y
pri mer Director del Servicia de Investigación Prehistórica, con el
que tan fuertes lazos de parentesco y afecto nas unían, debiera ser
lo publicación del estudio de la Cove ta del Ba.rrane del Cast e lle t,
que tan to deseara él ver t erminado. Sea pues, éste, mi recuerdo y
mi homenaje.
ANTECEDENTES
En la prime ra decena de siglo, unas vecinos del pueblo de Ad·
zaneta de Albaida aue se hallaban cazando de noche por el Barrane
del Cast ellet, té rm ino mun icipal de Carrícola, al que rer ensanchar
10 boca de una madriguera en lo que habio re negada el hurón, hi cieron cede r unos gruesos piedras que lo topaban, de jando a l descubier to la en trada de uno 'Pequeño cueva . La curiosidad les movió
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E. PLA BALLEST-fR
o penetror en e lla, hollando un esqueleto humano echado o 1 lar0
go, y fue tal lo impresió/l que recibieron que, recogiendo el hurón,
abandonaron el sitio lo mas rópidamente posihle .
Hacia 1927, despues de haber excavado don Isidro Bcllester el
despoblado ibérico de Covalto, y haber efec tuado alguno que otra
prospección y coto en otros yacimien tos cercanos 01 pueblo de Adzoneta de Albaida, produciéndose con ello los consigu ien tes comentarios en t re tas gen tes de la localidad que le proporcionaron mul litud de noticios de hallazgos, un vecino d~ dicho pueblo, Vicente
Soler, que -había tomado porle en la acciden tada expedición cinegético, le refi rió o aquél lo ocurr ido unos años antes.
Na turalmen te mostrase el señor Ballas ter interesado en el descubrimi en to y decidió girar una visi ta a l lugar, para 10 que pidió
ayuda a los componentes d~ lo referida excursión, pero éstos se
apresuraron a ad~ l an tarse en busca del t(,.$oro, d es truyendo el esqueleto y cavando y revolviendo el yacimiento. Sólo hollaron un
pequeño vaso de perfil en escoro que ofracieron en venta al señor
Ballester, que no quiso adqui rirlo poro no acostumbror o las gentes
a socar d inero de talas rebuscas. Se vendió luego a un chamarilero
ambulante, vi niendo o parar a monas de persono ton ale jada de
los estudias arqueológicos como ero el arquitec to alcoyano señor
Aroci!' Ignoramos ac tualmente cuól seo su des tino.
Según declaraciones de los propios profanadores de 10 covacha,
el esqueleto yacía alorgado en posición decúbito-supino, sobre una
especie de banco hecho de tierra, la cabezo 01 fondo y los pies ha cia lo en trada. Junto o él, casi superficiol, se encon traba el vaso.
Ex tendido lo noticia de este hallazgo, fue muy visi tado la cueva por gentes de muy diversos clases, en tre ellas algunos aficionados a lcoya nos que, según todas los referenc ias, únicamen te racogieron pequeños fragmentos de hu esos, al parecer humanos, qu izó
pertenecien t es 01 esqueleto.
Por rozones de trabajo ineludible, y por lo creencia de que n ingún resu ltado positivo se logra ría sacar ya de tan profanado enterramien to, no fue visitado por el señor Bollester hasta que, o principios de 1929, al const rui rse un camino por los Ingen ieros de
Mon tes de lo Repoblación Forestal de lo cuenco del Albaido, qu e
posaba precisamen te por delante mismo de la cueva, se terminó
d! vaciar és ta, empleando su relleno en lo cons trucción de aquél
en el tramo que va desde frente o 10 covacha has ta uno curvo
existente mas 01 Norte. Ello obligó o que don Isidro Bollester se
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COVET A DEL BARRANC DEL CASTELLET
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apresurara o visilarla e i nl~nlara recoger 1 poco que pudiera res0
tar. Así lo hizo el primero de junio de 1929, rea lizando uno peque ño excavación que dio, o pesor de todo, bastan te buen resultado.
Los materiales que s~ hollaron estuvieron duronte muchos años
en el pequeño Museo particular de don Isidro Ballester Tormo, en
su coso de Adzaneta de Albaida, y actualmente se encuentran en
el Museo del Servi cio de Investigación Prehistórica de la Excmo.
Di pu tación de Valencia, 01 que hizo donodón de su colección hoce
varios oños (1)
EL "BARRANC DEL CA5TEU,ET"
Lo sierro de Benicode l1, bien conocida en lo Geogra fía regional,
si rve de lím it e por esto zona entre los provincias de Val encia y
Alicante. A dos terdos aproximadamen t e de altu ra de su umbrío,
en lo ver t ien te inmediato 01 puebl.~ci ll o de Carrícolo, exis te uno
ligero hoyada formado por dos vaguadas, separados por pequeño
altozano, qu e se unen en lo alto cerca del naci miento de uno fu en t e, lo Fant del Caldero, que do nombre o lo partida. Y aquí s'? ini ·
do el Barronc del Costellet, cara 01 valle, ahondándose y con la deros abrup tos y de raudos pendientes.
Lo vertiente que miro 01 NE. termino, yo sobre el valle 01 f inol
de lo barranquera, en un a ltozano o espolón rocoso sobre el que se
alzan los ruinas de un castillejo, conocido en todo el valle de Al baida por Coste llet de Corrícolo, que pertenedó 01 señorío de Al baida y del que se conoce el acta de su posesión por el Cardenol
don Luis de Miló en 1471. Y que quizá formara siglos an t es, junto
con e l costilla d e Benio tjor más a Levante, lo atalaya de Benica deJl 01 SE. y el cas tillo de Carbonero en medio, el conjunto de fortif icaciones qu e sirvieron de refugio al Cid en sus luchas 01 Sur de
10 provinda de Valencia. En lo lóm ino 1, B, dornas uno visto gene ra l del Borronc del Costellet, en lo que se des toca lo porte a lta
del cast ille jo, y en lo lómino 11, A, se ve perfectam~nt e éste desde
dentro de 10 covacha.
Lo vertiente opues ta, continuación de la d el Caldero, bien so leada -por m irar 01 SO., es en generol ton abrupto y bravío como
( 1) En variO$ de las publicaciones del señor Balle:;ler se hocen referencios a
e:;le yocim lenlO. Cfr. 1. BALLESTER TORMO: "Lo cavocho sewlcral de Comí RII!OI.
Alhnido", Arch ivo de PrehislO1io Levontina, 1, 1928, Valencia, 1929, ~s. ·13
51.
°
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CQVETA DEL BARRANC DEl CASTEllET
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la fron tero, inaccesible en alguna:; puntas, sobre todo en la porte
mas ba ja, pues desde medio ladero es practicable, aunque con difi ·
cultodes, en muchos sitios. A medio ladera y o unos 250 metros
del comi enzo de lo barranquera se encuentro 10 cova cha objeto de
este trabajo, y cercano a el la varios madrigueras y OQuedades que
pudieran se r o tros en terramientos, aunque de su $OfTIero explora·
ción nodo se pu ede a firm a r. En la lamino 1, A, se ve lo ladero que
describi mos, y en ello la senda forestal y, casi imperceptible, lo
covacha (fig. 1) .
LA CUEVA-ENTERRAMIENTO
Nodo puede decirse del aspecto de la cueva anterior o lo expoliación, aunque es de suponer que sólo -se vería exteriormente uno
pequeña oquedad, semejante a tontas y tontos madrigu eras de conejos como exis ten por sus cercanías.
En su origen, mas que cueva sería abrigo, de algún fondo, cuyo
amplio entrada cerrariase con grandes piedras, algunas de las cuo·
les fueron los quitadas por los obreros forestales, dejando lo oque·
dad en el estado en que se encontraba 01 ser visitado por el señor
BaUester, y que yo no ha variado hasta el presente.
Una vez vaciada la cuevo quedó su en trada estrecho y alta, de
formo irregular, como puede verse en lo lám ina 11. Al parecer esta
entrado debió ser, en lo forma definitiva de la cuevo, menos alta,
pues lo piedra que .hado las veces de dintel fue tirada por los expoliadores poro facilitar el poso. Al quitar la tierra que Il enabo el
inferior "Se dejó también sin apoyo otro gruesa piedra a lo izqu ier·
da entrando, con gran peligro de desprendimiento. Ello nos confirmo lo posibil idad an tes mencionado de que originariamen te fu ese
un abrigo, yo qu e los rocas qu e sirvi eron poro completar lo covacha estaban muy sueltos, como puestos adrede.
La planto de lo cueva (fig. 2) es irregular : lo pared de 10
derecho entro casi en línea recto hasta encontrar, formando antes
uno lig ero rinconada en arco, lo del fondo, y ésta presento un salien te convexo que produce o lo izqui erdo un hondo rincón; lo po·
red de es te lodo, casi o parti r del rincón dicho, se ahonda forma n·
do uno hoyada y luego de un pequeño saliente, dej a otro rinconada a lo izqu ierdo en t rando.
El 'techo, que va a umentando de a ltura hacia la en trado, es
también muy irregular, y presento un orificio superior, especie de
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CQVITA DEL BARRANC DEL CA$TELLET
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respiradero, que debió yo estor abierto en tiempos anteriores 0 1
empleo de lo cueva como enterramiento, o juzgar por el color de
lo roca.
El suelo, uno vez vaciado totalmente lo cueva, muestro ligero
pendiente hacia d~ntro, que aumenta a portir del primer tercio, al
mismo t iempo que ta mbién se indino de derecha a izquierda, sien do muy pronunciadas ambos pendientes en el rincón de lo izquierdo del fondo, qu~ al parecer sería el lugar por donde desaguaría
la cueva.
Por último, las pa redes de lo derecha y del fondo son casi perpendicu lares respecto al piso, mierl tros que la de lo izquierdo se
indina hacia delont~ hasta unirse a l t echo, formando en su parte
inf erior uno boja y estrecho covachuela (fig . 31 .
Al parecer pues, lo actual l,.ovocho es en realidad mixta : abrigo rocoso en el fondo, constituido por una concavidad nat ural, poco
profundo, de amplio en trado y planto aproximadamente rectangular, de p~rfil muy s inuoso, con pendi en te hacia el fondo y hacia lo
izqui erdo, y de bóveda de arranque boja que aumentaba de altura
conforme se acercaba o lo boca; y cueva logrado artificialmente
aprovechando el abrigo originario, que se toparía u tilizando una
roca suelto de extraordinario tamaño que existiría (o "Serio puesta)
o lo izqu ierdo de lo en trada y que se asienta sobre gravas y terreno de aluvión, mientras qu e el resto de lo entrado fue tapodo con
otros gruesos piedras, de mena r tamaño, puestos entre aquéllo y
lo pared rocosa natural del abrigo o la derecho. Estos piedras son
los que en porle desmontaron los expoliadores de lo covacha, sin
grandes dificul tades puesto que es taban muy sueltos. Ello, junto
con el peligroso estado en que quedaron otras piedras y lo grieto
o fisura que en el interior de lo cueva pu ede verse en tre la piedra
mós grande dicho y lo pared de la izquierdo de la covacha, apoyan 1 hi pó tesis de que ésto es mixto, mitad cueva artificiol y mi 0
tad abrigo.
EXPLORACION EN LA SENDA FORESTAL
El primero de junio de 1929 se ¡nicioron los trabojos de exploración y excavación de lo qu e restaba intacto en la covoooo, así
como de lo senda forestal. Como labor previa se trabajó en ésto,
paro cuyo construcción se -había empleado lo tierra sacodo de lo
covacha y que por su coloración y por conMner fragm entos de hu esos se distinguía perfectamente de la ot ro tie rra empl eado.
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B
E. PLA BALLESTER
Se nolabo que la tierra del es trato sólo había sido utilizado en
el tromo de senda que va desde delante de 10 boca de lo covacha
hosta la primero curva existente lodero adelante . (Véase lámina
1 Al .
,
En uno primero exploración se hallaron sup~rficiales tres ho jas
de sir ex, un t iesto de ceramico campaniforme, otros troz05 de cerómico liso y un pequeño punzón fragmen tado de hueso.
En díos posteriores, uno vez terminados los trabo jos en el int erior de la covacha, se fue con sumo cuidado recogiendo 10 t ierra
suelto qu e exis tía en la superf icie de lo senda, siendo cribada y
vuelta o poner en su si tio, no pudiéndose cribar mós porqu e paro
ello había que deshacer lo ca lzada y luego volverlo o const ru ir.
El cribado de estos tie rras dio gran cantidad de obj etos : pun tos
de fl echo de sí lex, cuchill itos y hojas da 10 m ismo, cuentos de collar, ti estos cerómicos decorados y lisos, etc. O sea, el mismo ma terial que se encon t ró en los pequ eños r incones del interior de la
covacho que aún pudie ron ser excavados, o los qu e nos referimos
a con tinuación .
EXCAVACION DE LA COVACHA
Los obreros qu e lo vaciaron de tie rra se dejaron, afortunadamente, a lgunos partes de estra to sin tocar y éstos fueron excavadas por el señor Ba llester, lo más cuidadosamente posible, pues de
los observaciones que se lograron dependía el estudio de lo covacha
y de su en t erra mien to.
Los restos de es trato estaban distr ibuidos por 1 cueva (fig . 2)
0
s iempre arrimados a las paredes, sit ios donde lo ex tracción de t ierras por qui enes lo vaciaron resultaba mós c;l ificultosa. Estos zonas
intactos morcaron lo pau ta a la excavación, y di6se les a coda uno
un número poro facilitar los referencias.
Así se llamó zona o sec tor 1 o lo poco can tidad de es tra to qu e
quedaba arrimado o lo pared de la derecha enti'o ndo, hacia su
mitod; zona 11 , o los res tos oigo mós abundan t es de ti erra qu edados en la rinconada interior de lo de recho; zona 111 la existente
en el cen tro de lo pared del fondo; zono IV lo de 1 rinconada iz 0
quierdo ; zona V lo situado f r e n t e a lo rinconada a nterior
0 1 lodo del saliente de lo por e d del fondo; zona V I lo pequ eño covachuela estrecho y de poco altura que se abrío cosi al
fino l de lo pared de lo izquierdo; zono VII lo exist ente o mitad de
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CQVET A DEL SARRANC DEL CASTELLET
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lo pored del mismo lodo, y zona VII I la de la rinconada de lo iz quierdo entrando. (Véase la distribución de los restos de estrato en
lo figura 2, y el fondo de lo covacha antes y después de ser exco·
vado en lo lómino 111 ).
Los masas de relleno que re ~ tabon, presen taban generalmente
una coloración blanco o gris claro, por debajo de lo cual asomaba
tierra gris oscuro O negruzco; inferiormente, en los sitios vaciados
completamente por los expoliadores, se veía una especie de piso
de tierra arcil losa rojiza. En los paredes quedaban restos de los di ferentes rellenas, especial men te del de ti erra blanco, pudi endose
deducir de ta les señales que esta capa se inclinaba hacia dentro,
casi paralelamente o lo inclinación del suelo.
Deba jo del agujero existente en lo b6veda y 01 que ya hemos
hecho mención, se veía el 'terreno más suelto, con teniendo cen izos
y carbones en un espacio de un05 60 cms. de diómetro, como indi cando lo existencia de un hogar colocado en un punto de lo covacha a propósito poro lo salido de humos.
Lo excavoci6n de los d iversas zonas se realizó durante varios
dios, y su resul tado fue, en sín tesis, el sigui en te :
Lo sono 1, en lo que qu edaba muy poco ti erra, no dio ningún
material. Asomó en seguido la tierra arcilloso del fondo, que re ·
sult6 completamen te estéril.
En lo sona 11, de t ierra negruzco, Sé! encontraron los siguien tes
objetos : dos puntos de flecho de sílex, un diente de sierrecillo también de si lex, varios fragmentos planos de útil de hueso, un frag _
men to de colgante de hueso decorado con acanaladuras y uno
cuento de collar verde en for mo de olivo.
En lo s ona 111, entre la t ierra bla nco superior, habían huesos
mezclados; por debajo, tierro negruzco yo, se encont ró: dos puntos de fl echa de sílex, cinco dentaliums y un pequeño frogmento de
c! rómica cardiol.
Lo :lono IV constituía la por te mós hondo de lo covacha; ta mbién aparecieron huesos mezclados con lo tierra blancuz ca, en t re
ellos uno vértebra, y el cribado de lo t ierra de lo copo inferior, gri s
oscura, proporcionó lo siguien te: Un colgante, varias cuen tos d e
collar discoidales, verdes unas y blcncas ot ras; un ti esto de cerÓ·
mico inciso y varios de lisa, y a lgunos carbones.
Lo s ona V dio los sigu ien tes hallazgos en la capo de tierra
oscuro : Dos puntas de fl echo de silex, varios lóminas de si lex tam bién, un posible raspador y uno lasca, igualmente de pedernal ; un
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eo. PLA MLLESTER
dentolium, uno ciprea, un pectúnculo, dos conchos de cordium, dos
incisivos de cóprido, uno de ellos horadado; un colmillo de cerdo
horadado, uno cuento de collar discoidal blanco, un trozo de laminilla de cobre o bronce y un trozo de cerómico liso con mamelón .
Lo zona VI proporcionó, ta mbién en el c rihado de su ti erra oscuro, los sigu ien tes obje tos: De sílex, tres puntos de fl echo y una
lóm ino pequeño, un pequeño punzón de cobre o bronce, y bucn nú '
mero de cuentos de collar: tres discoidoles de piedro verde, una
cilíndrico negro, cuatro discoidoles tamb ién negros y varios discai deles blancas.
El cribado de lo t ierro, escosa, existen te en la I:ono VII, sólo
dio un dento lium .
y en lo sona VIII salieron, una punta de fl eoho de sílex, varios
la minas y lascas de lo mismo, dos cuen tos de collar di scoidoles ne ~
gros, otro ci líndrica también negra, varias discoicloles blancos, un
fragm ento de cerámico con decoración inciso y un pequeño punzón de cobre o bronce.
Lo excavación del resto de lo tierra de lo covacha, que yo hnbía sido revuelto, no dio ningún ob je to.
Se pudo observa r lo existencia de uno copo infer ior de 1ierra
rojizo arcilloso, qu e formaría el piso de lo covacha, comple ta m ente
es téril; el material arqueológico sólo sol i6 en lo parte de estrato
de tierra gris oscu ro O negruzco, y sobre ést e exist ió uno copa de
tie rra blanco, como de col, en lo que se encon t ra ron fr ecuen temen t e restos óseos, como formando brecho. En el cen tro de lo cue·
va apenas si qu edaban restos de estra to gris y su c ribado fu e in fru ctuoso. Ta m poco dio nado lo mancho de cenizos mezclados con
tierra suelta y a lgún carbón que existía, jun to o uno grueso piedra,
debajo m ismo del agu jero de lo bóveda.
EL MATERIAL ENCONTRADO
Como se desprende de lo dicho hasta aqur, lo mayor par te de
los ob jetos p rocedentes de esto covacha se encontraron e n el cri bado de tie rras extraídos antes de lo excavación, y que si rvi eron de
rell eno o un tramo de la senda forestal const ruido por dela nte
mi smo de aquéll o. Sólo uno m ín ima porte se ho lló in situ, y por lo
visto en lo excavación parece ser qu e el n ive l arqueol6gico estaba
formodo par lo t ierra gris oscura o negruzca .
El detalle de los obj etos recog idos es el sigu ien t e:
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COVET A Del BARRANC DEL CASTELLET
II
METAL
Fue muy escoso el material metólico encon trado, pues se redu ce o tres pequeños punzones y dos laminillas que, debido o su r~ ·
ducido tamaño, no nos hemos atrevido a analizar, desconociendo
por lo ton to si son de cobre o bronce, aunque por su aspecto nos
inclinemos por lo primero.
o) Punzones.-Son tres, de pequeño tamaño y secclon rom boidal. El prime ro apareció en lo zona V I y m ide 36 mm. de longi tud por 3 de ancho móximo; sus dos extremos terminan en ounlo,
aunque uno de ellos seo mucho mas aguzado que lo otro. El menor,
procedente de lo zono VIII, mide 22 mm. de largo por a lgo mós
de 1'5 de ancho móximo, y termino uno de sus puntos muy oguzodomente mientras q ~le lo opuesto es romo. Y el tercero, aparecido
en lo tierra de lo sendo, mide 29 mm . de largo por casi 2 de grosor
móximo, y, como el anterior, un extremo termino en punta aguza do y el otro es a lgo romo (Iómino VI, Al .
b) Laminillas. - Son dos las que se encontraron, uno muy
oxidado, informe, algo curvado, hollado en lo zona V, cuyos di mensiones son 16 mm. de longitud, 6'5 de ancho y 1'5 de grueso.
Lo otro es uno delgada cinta curvado, con el extremo que quedo mas pequeño que el resto de la lómina y sin perforar (lamino
VI, A, derecha); parece que se hizo o golpes de martillo por los
señales que lleva en su superficie; la coro superior estó ornamentada mediante una serie de pequeños incisiones hechas casi en '!I
borde y por grupos de lineas paralelas, igualmente incisos,
de los que se ve uno formado por tres líneas cercano al ex tremo
que quedo y parte de otro grupo, del que 'SÓlo se ven dos lineas,
in terrumpido por lo rotura de lo pieza . Mide 18 mm. de longitud,
5 de ancho y 0'5 de grueso. Fu e encontrado en los t ierras !!x traídos de la covacha y que sirvieron de rell eno o la senda. Es pieza
que puede ser iden t ificado como OI'rocada, pues nas parece porte
de un objeto semejante 01 que, clasificado de tal, se hollaro en L'Es querda de les Roques de El Pony (Torrellos de Fa;,,) (2) .
(2) p . MARTI GRIVE : "L'Esquerdo de les ROques de El Pon" IPencdesl",
Anuorl de l'I~liIut d'E~ tudI J Co tolons, vol. VIII, MCMXXVII -XXXI , Borcelon:J,
1936, pógs. 19 o 35 .
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12
E. PLA BALLESTER
CERAMICA
No son muchos tampoco los restos cerómicos proporcionados
por lo covocha y aún éstos en fragmentos de pequeño tamaño. Son
los siguientes:
o) Fragme nto de cerámica cordial. - Pequeño fragmento de
borde de un vaso indeterminable, decorado, poJ 10 poco que se ve,
mediante uno serie de lineos incisos paralelos y en posición horizontal, de los que surgen hado arriba y obl icuamente otros series
de incisiones de borde de cardium, terminado coda serie en su ext remo supe rior por impresiones del notis (16m ino IV, el . La posta
es bostan te bueno, oscuro en medio y pardo hacia su superficie
ex terno, qu e presenta un bruñido lúcido, 01 parecer logrado median te espotulado. Se encon t ró en tre las tierros de lo senda.
b) Cerámica puntillado. - Cinco fueron los fragmentos encon trados de es to clase de cerómico, de ellos dos muy p.equeños.
Uno (Iómina IV, A, 1) es porte del vientre de un pequeño vaso
de formo inde t erminable, dz pasto de mediano calidad monrón
oscuro con lo superficie interno negruzco, y cuyo cara externo va
decorada incisamente, viendose en lo que hay, una banda horizon tal formada por series de lineas de puntos, por enci ma de la cual
s e ve surgir una royo inciso continuo en sent ido oblicuo, y por deba jo de ella se pusieron mós puntos, notóndose algo mós a la de recha porte de o tra línea continuo incisa; lJOdria deducirse que la
decoración debió ser de bandos puntillados sobre las que descan sarían trióngulos de línea inciso rellenos a su vez de puntos . Es de
observar que el puntillado se logró incidiendo oblicuamente sobre
lo pasta blanda con un objeto aguzado (punzón o algo parecido) .
Otro t iesto (Iómina dicha, A, 2) es igualmen t e parte del vien t re
de uno vasi ja de formo indeterminable, de posta algo m6s cloro
que lo del on t.uior ~ragmento, aunque su coro inte rno esté mós
ennegrecido; presento en su coro externo restos de espotulado '!
unos ligeros su rcos horizon tales muy débiles, como huellas de jados
por lo espótula. Lo decoración est6 compuesto por una bando horizon tal formado por tres líneas paralelos de puntos, de lo que,
hacia lo mitad del tiesto, nacen hacia arribo y en dirección oblicuo,
otros dos líneas puntillados y paralelos en tre si. Las incisiones de
lo bando horizontal son sem ejante~ a las del tiesto antes descri to,
pero los que forman los dos línea!. paralelos superiores son mós
tinas, menos profundos y hechos, 01 parecer, incidiendo el punzón
u objeto aguzado perpendicularmente a los paredes del vaso.
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COVET A DEL BARRANC DEL CASTEllET
13
Otros dos fragmentos son de muy pequeño ,tamaño, quizó perte.
necientes o alguno de los vasos o que corresponderían los fragm entos antedichos. Lo posta y coloración no di f iere de aquéllos y uno
es tá decorado con puntos inci~s como los que formaban las referidos bandas, mi en tras que en el otro el puntillado es fino, igual 01
de los líneas oblicuas del últimamente descrito.
y porte de un borde (lámina IV, A, 3) de vasa, 01 -parecer de mediano tamaño y de formo indeterminable, aunque su cuello pudie ra ser casi cilíndrico ensanchándose ligeramente hacia abajo. Su
pasta es me jor que la de los t iestos anteriores, mar,'6n oscura en su
co ro externo, ennegreciéndose paulatinamente hacia el interior.
Lo cara externa esló muy bruñida, brillante y decorada median te
puntillado, de- cuyo ornamen todón resto uno líneo de puntos, de
incisión p~rpendicu l or, parolelo y cercano 01 borde, y aIro serie de
puntos de incisión oblicuo, formando una lineo inclinada que corre
precisamente jun to a lo roturo lateral inferior del ties to; en el óngula que forman en lo parte de rechc los dos lineas de roturo parecen verse dos royas incisas con tinuas, uno que debía estar deba jo
de lo de puntos y lo otro perpendicular o ello.
c) Ce rómico componiforme.-A es to variedad cerómica pertenece el mayor número de fragmen tos recogidos, lo que es de in ~
terés por tra ta rse de uno especi2 poco conocido hasta lo fecha en
nuestra región .
Un pequeño frogm erllo (lámina V, El, de pasta de mediana
calidad, gris rojizo ex teriormente y negro en su coro interno, esputu lado por fuera y decorado mediante lineas de profundo incisión, limpiamente hechos como o pun to de cuchi llo, formando uno
serie de 1rióngulos interiormante rellenos por rayado paralelo :l
uno de los lodos.
Otros dos fragmentos van decorados median te líneas hor izon tales incisos combinados con pequeños trazos ver t icales for mando espino (Iómino citado e y o), y parecen pertenecer 01 m ismo vaso, uno al borde y otro o lo port e inferior del vient re, yo que
la posta seme jo ser igual aunque lo coloración superficial seo distinto en codo uno, producido seguramen t e por lo fragmentación
de los vasi jas desde tiempos prehistóricos y lo permanencia de uno
de los tiestos en lo copo de tierra blanca como de col, donde fue
encontrado al excavar lo covacha.
Los res tantes fragmentos campan iformes per tenecen todos a un
mismo ti po ornam enta l: bandos paralelos compuestos por dos lineas
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E. PlA BALlESTER
horizontales rellenos con reticulodo formado por trozos oblicuos
entrecruzados, todos hechos med iante incisión continuo. Entre los
tiestos uno es el fondo plano de una vasija (lamino V, A , 6). y
otro, porte del cuerpo de un vaso indudablemente caliciforme (la
mismo lámino, B); de los restantes fragmentos sólo puede decirse
que son parte de los poredes de vasos de formos imprecisobJes, debido o su dim inu to ta maño. La posto de todos parece 5(!r igual,
Qunque es dificil precisarlo, y su coloración, rojizo en principio,
tomo algunas veces un tinte oscuro achocolatado. La superficie
ex t erna, única que vo decorado, presento en algunos cosos restos
de bruñido, que debían llevarlo todos y haberlo 'perd ido por el tiem po, pues uno de los fragmen tos, el B de la lómina V, compuesta
de dos trozos, en uno conservo el bruñido y en el otro no. Es interesante destacar el hecho de que en algunos fragmentos (lámina citada A, 2, 3, 5 y 7) los zonas decoradas se encuentran en un plano
in feri or a los lisos, como s i an tes de producir el rayado ornamental se hubiese presionado sobre la posta blanda formando zonas
horizon tal es alternos, unos en resalte y los otras remetidos, y luego sobre estos últimos se trozoro el motivo decorativo. Imposible
es decir si todos los fragmentos encontrados p ertenecieron o un
mis mo vaso, pero creemos que no, puesto que ni el grosor de la
cerámica ni 10 curva tura de los tiestos porecen indicarlo, aunque en
estos cerámicos hechos o mono no son estos razones suficientes
paro llegar o tal conclusión; sólo t enemos dos dotas seguros: lo
existencia de un vaso del tipico pe rfil en compono, y lo base pIona de ese mismo vaso campaniforme o de otro. Tampoco se puede
afirmor si 1 -pasta blanco que se conservo en los incisiones fue
0
puesta adrede o no; uno primero observación nos inclinaría o de cir que es producto voluntario, pero 01 verse o veces sobre los zonas li sos y, casi siempre, recubriendo en porte lo superfieie interno, en donde no producia ninguno función, así como en tre los poros de la masa en los bordes de roturo, junto con lo existencia en
la cueva de uno copo de tierra blanca, como de ca l, que ha teñi do
en porte a los objetos qu e estaban o estuvi ~ ron en con tocto con
ella, nas hacen sospechar qu e ta les res tos de pintura s~on consecuencia de uno mero casualidad (31.
13) Para la comparaci.:m de los cerómicas d escrl ta$ hasta oqui, can o tras
cantcmparón.ro$ d e yaCimien tos eercanos, clr. 1. BALlESTER TORMO: "Unas cerámicos interesantes en el Valle de Alba,da", Culturo Valenc iana, 111 , 3 / 4 , Valendo, 1928, pág. 11 y ss.
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COV ET A DEL BARRANC DEL CASTELLET
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d) Cerámica lisa. - Ta mbié n fueron basta nte numerosos los
fragme ntos de cerá mico de posta de mediano ca lidad, oscuro, enneg recido en su coro interno y, general me nte, bruñida med ian te espa tulodo lo exte rno .
In te reso destocar aquí unos fragme ntos que pa rece n ser po r t ~
de l fondo de un casqu ete esférico, a parecidos en la zona IV, y un
t ies to de media no ta ma ño (lá mina IV, B) , procedente de lo zona
V, que es p ort e del borde de un vaso de paredes cilíndricos 01 parecer, por lo menos en el cuello, some ra ment e ornado mediante
dos zonas horizonta les en resal t e de cas i med io coño, lo superior
de las cua les ll eva un ma melón semidi sco idal a proxi madamente,
pues to en p osición .horizontal ; presento lo part icu larida d d e ten er
o lo derecho del ma melón y un poco por deba jo de lo zona superior
resa ltado, ca si 01 lodo mi smo de lo rotura, un orificio perfecta men te ci rcula r que se va es trecha ndo a modo de embudo de fue ro
a den t ro, excep to en su fina l que vuelve o ensancharse casi im percep tiblemen te, de formo ta l que su d iámet ro e n lo par te ext erior es de 11 mm. y en lo interior de 6. ,Es to es, si n dudo, restos de l
la ñado de 10 vasi ja, que debió repararse poro su reu til ización .
Por último nos re fe riremos 01 ún ico vaso aparecido ente ro y
que, como quedó dicho 0 1 principio, no figuro en [a colección Que
se conserva en el Museo de Prehistoria d e Valencia . Fue encontra do por los profanadores del enterram ien to, qui enes manifes ta oran que 6e holl aba super ficia l junto 0 1 esquele to que , en pos ición ex tendido, vieran al entra r por primera vez en lo covacha . S e t r o t o de un peque.ño vaso (lámina IV, D) de
pas to de flo jo ca lidad, oscura, si n restos de pulido, de cue rpo carenado y base en tulipa (4) . Su fo rma y ca ra cte rís t icas 1 indu 0
('1 ) C. VI SECO MOLTO: "Breu noticio sobre It'$ pri me' es edots del metal! n
les proxJmi lOts d 'A!coi", BU lllelí de )'Associoció Co lol ono d 'Anlrooologio, Etno logio I Preh is tórlo, vo l. 11 1, fosc. 11, Barcelo na, \92 5. póg . 11 3. Lo pu blico el a ut or
como p rocede nte d e u n en terramiento de Ad:.oneto de Alba ida, vert ien te norte de
lo ,ierro d e Ben kodell , en lo lóximo X IV, 3, aUnQue sin hacer refere nc ia ning uno
del m i~mo en el le >
es u no confu si:)n 1
6oico, pue$l O que quie nes lo encc--. tr or on y ve nd ie ron eran vecinos de d icho pueb lo y, oJ emas, lo covacha de l Borro nc de l Co~t ellel e~t ó, o unQue
en termino de Corrico la, muy cerco del limite con el término municipa l de Ad ~ o
ne to. En eurec ho reloción con e~te voso eSló.-. los de 10 MunTonyeto d e Cobrero
del VedoT d e Torrente, oún inéditos, y a lgunos de N'.cs de Menen te de Alcoy, d e
u-. Bronce 11 mt Servicio d e InveUigociÓtl Prehis tórico y su Museo en el pasado año 193 1", Vu·
leneio, 1932, pOg. 18; F. PO NSELL CORT ES: " Excov(lCiones en lo finco Mas d e
Menen te, T ino de Alcoy". J un io Suoetior de E"coyoc;ont'$ y An tigüedode$,
erm
Memorio nUm o 18, Madri d. 1926; y L. PERICOT GARClA y F. PONSELL CO R_
TES: " El pob!odo d e Mas d e MenenTe (Alcor)". Archivo d e PrehiSToria Levan tino,
" 19 28, Valencia, 1929, póg. 10r.
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E. PLA BALLESTER
yen, de conformidad con 10 utilísima tipología propuesto por Cuadrado Dioz, en el tipo 5 (vasos aquil lados, carenodos o tulipiformes), subtipo 11 , lo que nos evi to dor uno descripción más detallado (51 .
SIL E X
Abundantes fueron los restos de sílex encontrados, destocándose los pun tas d~ flecha, de las que se recogieron quince ejemplares, cuat ro puntas geome tri cos, uno posible raedera, lám inas y lascas, re tocados unas y si n re toque ot ras.
a) Puntas de flecho. - A quince ejemplares asciende, como
acabamos de decir, el núme ro de puntas de fl echa encon t rados,
ocho de ellas den tro de lo covacha y los res tan tes entre las ti erras
sacados para relleno de la senda. Su con junto es bastante homogéneo, pues todos los tipos pueden ser derivados del romboidol y
del foliáceo, con pocas variantes. De la serie se destacan como
formas ex trañas dos pun tas : una en sílex gris oscuro, romboidal,
casi triangular (lá mina VII, e, 14), ligeramente retocado por su
cara posterior, con pequeños muñones, uno de el los bien destocado
en el lodo recto; es pieza qu e porece derivación de los puntos de
t ipo geométrico, de las que también se encuentran varios en este
yacimiento, y no es muy frecuente (6); se encon t ró en lo zona VI.
La otro pieza ex tra ña al conjunto (lámina V II , B, 1) es de sílex
blanco, con el cuerpo en formo de ho ja, dos pequeños muñones y
base triangu lar; parece fUe hecho de uno hoja de sección triangu lar, en lo que solamente se retocó lo imprescind ibl e poro darl e su
actua l formo y destacarle los muñonas laterales.
Cuatro puntas ,Son de tipo romboidal. La más característico
(lámina VII, B, 4) ti ene el rombo formada por das triángulos opues_
tos por la base, el superior isósceles y el inferior equilátero, y en
lo unión de a mbos se nota, muy ligeramente, el inicia de das muñones; es tá h~cha sobre síl ex amarillo melado, es de labro bifacial
y de técni ca muy b ~ena, y se halló en la zona 11 . Ot ro, de form a
más irregular, t iene los dos t riángulos casi del mismo ta maño, li 15 } ·E. CUADRADO DIAZ : "Utiles y orma~ de El Argor. Ensoyo de ' ipol og io" , Crón ico de l I Co ngreso Noc ional d e ArQueologio y del V Congreso Arqueológico de l Sudes te jAlmeria, 1949), Car'ogena, 1950, póg. 103.
161 En Cami Real d'Alocant y e n Cavo d e l a Pas tora se DUeden V<'r punt o~
d e fl echo muy poredd os. e fr. 1. BAlLESTER TORMO: Ob. cit. en L not o 1, Ino
m ino VIII, A, 4 , y pag. 61, e IBID: "lo labor d el Ser vic io de Inves tigación Pr... his tórico y su Museo en los posodos oiíos 19<1 0 a 1948", Valencia , 1949, póg. 5 '
y lóm. VI, A.
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geromen te más a largado el superior y destocándose algo los muñones late rales (lá mina di cho, e, 12) ; es de silex gris, de labra
bifacia l aunque de retoque no total en ninguna de los dos coros y
de técnico bosta. De forma semejan te es uno tercera pun to (Iómina citada, B, 8) sobre sílex blanco, con retoque incomple to por
ambas caras y de técnico también poco depurada; solió en lo zona
VI r J. Con el triáflgula superior muy destacado y los muñones latera les b ien visibles, es lo cuarta pieza de este tipo (lo mismo lámina,
C, 15), de sílex melado, con la ca ra superior totalmente retocada y la inferior sólo en los bordes, de técnico algo mejor que los
úftimas; se encontró en lo zona 111.
Los tipos biconvexos y sus derivados más próximos es lán repre sen tados por los t res pun tas sigui entes: Uno, perfectamente bi convexa (lámina VII, B, 6, invertida en el grabado), de perfil sua ve, hecha en sílex blanco, de bella labro bifacial y bueno técnica,
a lo que le falto el extremo superior, y que se holló en lo zona V.
Lo segundo recuerdo las pun tas de laurel de cu lturas mós antiguos
(lo misma lámina, B, 11) , es de sílex amarillo tostado y de buen
retoque bifociol. Y lo tercero (lámina dicha, B, 9), participo de los
formas biconvexo y romboidal, tiene como un principio de muñones
y el cuerpo más alargado que lo base, y es de sílex amarillo tostado jaspeado de blanco, tolla bifocia l y buena t écni co.
Por últi mo hay un grupo de pun tos Que .pueden considerarse
como tipos derivados de los anteriores. Uno es básicamen te rom boidal, con el perf il algo curvo y con los ángulos latera les muy
destocados como inici6ndose los muñones (Iómina VII , C, 131. de
sílex acaramelado translúcido, tollo bifacial y buena técnico. Ol ro,
ligeramen t e asimét rico (lámina dicha, B, 10), es también de perfi l
romboidal con los lodos algo curvados y muñones Que se destacan
bi en, cuerpo muy alargado y base tr iangular; es tó hecho de sílex
blanco rosado, con la coro superior lotalment~ ta ll ado y la pos terior, plana, únicamen te re tocado en los bordes y bas~, de bueno
técnico. Tambi én algo asimétrica y de perf il parecido 01 de lo an terior, aunque con sus lodos menos curvados (Iómina ci lodo, B, 2),
es la punta aparecida en la zona VI, con los muñones laterales bien
destocados, de sílex amarillo tos tado jaspeado de gris oscuro, lalta
total en su cara anterior y sólo en los bord~s y base en lo posteríor,
de técnico muy perfecto. Seme jante a las dos anteriores es otra
pun to, procedente de -la zona V, asimétrico, de perfil romboidal
can los lados ligeramente curvados, muñones destacados y con el
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E. PLA 8AlLESTER
cuerpo superior menos a la rgado q ue tas descritos an tes (lámina
mencionada, B, 7), estó hecho de sí lex blanco con to llo tota l en su
coro anterior y sólo en los bordes de su envés, y es de técnico no
muy perfec to. Como t ipos m ix tos de los dos bósicos de que a ntes
habla mos existen dos pun tos, u no de cuerpo triangular i50SCél icv
apoyado sobre un equ ilá te ro, que forma lo bose (Ióm ina dicha, B.
5). con lo par ticu la r idad que el lado de ést e sobre el que se apoyo
el triángulo superior es de mayor longi tud, sobresali endo u n tonto
por a mbos lodos y dando lugar o la existencia de m uñones, mientras que los ot ros dos la dos estón ligeramen te curvados; es de sí lex
blanco a mari ll en to, de cuerpo m uy delgado, 'tollo bifociol y técn ico
muy bue no: se encontró en lo zona VI. Y lo otro de tipo mix to (le
mismo lá mina, B, 3) es uno de los e jemplares comple tos me jores
que se conservan en e l Museo de Preh istoria del S. 1. P.: m ide 51
m m. de a ltu ra, 15 de ancho máximo y 3 de grueso; el cuerpo su perior, olargado, ti ene los lodos graciosamente curvados formando
o jiva y term ino en pun to muy afilado; la base, triangu lar, sobre·
sale, como en lo pun to an te rior, lateralmen te formando muñones;
es de sHex melado, tallado total mente en la coro an te rior y sola ·
mente en los bordes de la posterior; el retoque es muy fino y del icado, de técnico perfecto {1) .
b) Sílex geométricos.-Cua t ro fueron los piezas de esta clas-?
Que se encon t raron en el enterramien to Que es tudiamos, todos trapezoidales y con retoques salomen te en los lodos superior e inferior. Podemos agruparlos en dos t ipos: propiamente trapezoidal y
trapezoidal casi triangular. Al primer t ipo sólo pert enece un eiem(11 Entre los yacimientos más cercanos, el Que propOrcionó el conjunto más
semejon te 01 nues tro fue la Cóva de la Postoro de Al coy, y también parecidos,
en porte, SOn los de lo Ereto del Pedregol de 'o Marja l d e Novorrés, el d e l MO:"l te
de lo BorSl!~lIo de Torremonzonas y el de Los Blooquiz:ares de Lebor de ToH.. .,o.
Curiosa el la difere ncia entre la serie de puntas de Corrlcola y las del cerceno
en terromiento de Comí Reol d'Aloco nt , a pesor de la proximidad (unos tres kilóme tros) y poder ambos clasificorse como con temporá neos. Apor te d e los estocione;
onora citados, hoy puntos de flecho de tipOli pore<:idos a 10$ de 10$ nuest ros en
Mas de Modes to y Molo Remigio en lo provincio de Coslellón y en lo cueva de La
Roca de Qrihuela, en lo provincio de Alican te, entre o tros.
1. BAlLESTER TORMO: ab. ci l. en lo noto 6, págs. 51 y 52 y lóms. VI y VII,
Y p6gs. 89 a 93 , 10m. XXII I.
J . BELDA DOM INGUEZ : "Excavaciones en el Monte de lo Borsello, termino
d e Torremanzanos (Al icontel" , J un io Superior de Excavac iones y An tigüedades,
6m
Memorlo .,úm . 100, Madrid, 1929, 1 . V, y Memor ia núm . 112, Modrid, 1931 ,
p6gs. 16_ IB, lóms. V y VI.
J . CUADRADO RU IZ: " El yocimiento eneolítico de Los Blanquizares de L~_
boI", en lo provincio de Murcia", Archivo E$poñol de Arre y Arqueologio, VI, Madrid, 1930, pélg. 51, fjgs. 8 a 10.
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piar (lám ina VIII, A, 1), est recho y largo, con el borde superi or
más inclinado que el inferior que es algo convexo, tolloda sabr~
uno lámina de sección t riangu la r de sílex melado cloro; se encontró ep lo zona 11. Los o tros tres ejemplares son de tipo tropezaida;
casi t riangula r por acortam iento del lodo izqu ierdo: el primero (Iómino ci tado, A, 2). hollado en lo zona 11 1, tiene los bordes la terales divergentes hacia arribo, siendo el mayor algo curvo, y el bo~de
superior, de muy buen retoque, fu ertemente inclinado, mi ~ntras que
el inferior, tombién de bueno toll o, es cóncavo; se h izo sobre ancho
lá mina de sí lex blanco-amarillen to, jaspeado de gris, plano e" su
envés y de tres choflanes en su coro antariar. Sobre lámina de sílex
rosado, tambi én de t res chaflanes en su coro onterior y plano e.,
lo posterior, es el e jemplar mós triangular de todos (lámina citado, A, 3), cuyo lodo izqu ierdo es muy corto, e l superior muy incli nado y el inferior casi horizontal. Por último y hecho sobre lámina
pla no en su envés y de dos chafl anes en su coro anterior, de sílex
melado oscuro, es un ejemplar con el lodo mayor cu rvilíneo, el superior muy inclinado y el inferior cóncavo (lám ina dicho, A, 4) (8).
e) Otros objetos de silex,-También se encontroron buen número de ho jas y loscas, retocados algunos de ellos, que pueden verse
en los lóm. VIII, A y B y IX, A. Solamen te son de des tocar lo posible raedera sobre sílex blanco con retoqu es en su fi lo (lá mino IX,
A, 1), un nódulo-buril (lo mi smo lámina, A, 7) , dos gruesos lascas
largos, posibles cuchi llos, con retoqu es en sus f ilos (lám ina dic'-lo,
A, 6 y 8), lo pequeño hojita traba jado en todos sus lodos mediante
fin ísi mo retoqll! (lámina VII I, A, 10) y los dos ex tremos de láminas con los bordes reba jodos y terminados en pun to (Iómina dicho,
B, 1 y 2) .
Piezas traba jados, con retoques, son los de lo lámina VIII, A,
12, 13, 15 y 16 y a , 3 ; y sin retocar los restantes (lámina VIII , A,
5,6,7,8,9, 11 y 14; a, 4 y 5, y lómina IX, A, 2, 3, 4 y 5 ), aunque
a lgunos piezas t ienen señales de u tilización en sus bordes.
OBJETOS DE ADORNO
In teresan tes y abundan tes son los objetos de adorno encontra dos en lo covacha. Los agruparemos en diversos aportados poro s\.l
mejor descripción .
IBI Aunque en cosí todos los cuevas cont emporóneos o lo nuestro Que se conocen en el Levante exis ten también silex geOmé tricos, los tipOS son .no obs tan te
muy diferentes. No se hollaron en Comí Real d'Alocont, en el Monte de lo Borseno ni en Los Blonqui:zores' de Lébor. Clr. bibliogra fía de 1 noto an terior.
0
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a) Cue ntas de collar. - Fueron d2 dist intos tipo,> y mot los encon tradas, la mayor porte aparecidas en el cribado de tie rras
de la senda y a lgunos pocos en las zonas excovados en el in te rior
de lo covacha .
De uno ma te ria bas tan te b lando, de color g ris oscuro hast a
negro, qui zá varios de estea t ita o piedra ollar, o tros de lignito y
ta l vez alguno de azabache, s:! encon tra ron 53 enteros y a lgunos
fr ogmen tados. Abundon las d iscoida les de p los 2'5 mm . de diáme tro por menos de 0'5 de espesor, hasta tipos
bastan te mayores (7 m m. de dióme t ro por 4 de grosor); dos son
cilínd ri cas, e n basta nt e mol estado de conservac ión pues se agr ietan y seccionan con facil idad, y m iden 7 mm. de dióme tro por 7' 5
de la rgo, uno, y la o tro 7 mm . de diáme t ro por 7 de long itud . Es ta
último, jun to con dos discoidales, se encon tra ron en lo zona VIII ,
y la o tra ci líndrica más d ieciocho discoidales en la V I. (Lá m ina X I,
A,3y 4).
De ca llais seguramen te, de formo discoidal, son ca torce cuentos enteras y fragme ntos de var ias más, con coloraciones que van
de un verd~ cloro, pasa ndo por in tenso, has ta ll egar a azulado; sus
ta maños oscilan en tre los d iáme tros 5'5 y 7 mm. y los espesores 2
y 4 mm . (los e jemplares e xtremos miden 5'5 mm. por 2 ; 7 mm . por
3 y 6'5 mm. por 4 ). Se encon traron dos e n lo zono IV, cua t ro en lo
V I y las res ta ntes -en lo senda (lám ina X I, A, 2 ). Qu izó ta m bién de
la m isma maler ia verdosa son los seis cuentas de colla r en forma
de oliva, normal mente a largados, que se reproducen en la lá mina
X I, A, 2, cen t ro. Lo mayor mide 16 mm . de largo par 10 deo diá me tro má ximo, pero los res Ion tes sálo osci la n en tre 10 y 13 mm de
longi tud por 5'5 y 8 mm. de grosor. Except uando una que a porec;ó
en la zona 11 , las de mós lo h ici eron en el cribado de t ierras de lo
senda . E igualmen te de calloi s pa rece ser uno cuen to de color verde in tenso y de formo cilíndri co con 10 5 ex t " ~ mo s a cha f la nados, de
5 mm . de largo por 4 d e diáme tro. Se encont ró entre ,los t ierras de
lo senda y se reproduce e n lo lóm ino X I, 2, en t r
de lo izqu ierda y lo prim ero .en formo de olivo.
De ma teria blanco-amarillenta (piedra cal izo o concho), Con
a lguna tend iendo a gris cloro, d io lo covacha cerca de dosdentos
cuentas d iscoidales (el coll a r reproducido en lo lómino X, 3, ti ene
190 p iezas que fu e ron los únicos que so lie ron comple tos), y, a l
igua l que observara 'é! 1 señor Bal les tcr a l estud ior los del enjerra-
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COVETA DEL BARRANC DEl CASTElLET
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miento de Rocofort (9), pueden distinguirse unos delgados, f lojos
yen mol estado de conservación, que bien pudieron ser de conchos
de molusco aunque no se ve en ninguna de ellos restos del costillaj e de aqué llos, y otros, fu ertes y gruesos, brillantes, bien conservados, podrían ser de piedra calizo. Los tamaños oscilan entre los
3 y 1 mm . de d iómetro por menos de medio milímetro o 2 mm . de
~rueso. Uno se encontró en lo zona VI, otro en lo V, tres en lo IV
'1 veinticuatro en lo VIII; las res tan tes en lo ti erra de lo senda
ex traído de lo covacha.
De formo casi esférico, con los polos achatados, es uno cuent·:)
de collar de regular tamaño (1 0 por 15 mm .), de piedra muy blondo
y de color blanco verdoso . Su perforación es tó hecho, como en lo
mayor portie de los que acabamos de citar, por dos ·talodros algo
cónicos que se encuen t ran en el cen t ro de lo cuento. Es tó repro
ducido en lo lómino XI, A, 1, centro.
Por último, y de piedra negro brillan te, quizó azabache, es uno
pequ~ño cuento de formo bitrancocónica irregula r, con bueno perforaci ón logrado med iante dos conos opuestos que se encuen t ran
en e} centro (lá mina dicho, A, 5) (1 0).
b) Colgontes.-Tombién se encontraron en nuest ro covacha
algunos objetos de hueso y concho, con un orificio poro su s uspensión , que describimos o con t inuación.
De pecten seguramen te son dos colgantes de formo ova lado,
uno convexo por uno coro y con uno depresión alargada semielipsoidal por lo otro, que no ll ego o los bordes, de los que lo separo
un bordonci llo; está horadado en su parte superior, por donde se
rompió, y se encontró en la zona IV. El ot ro, encontrado en lo sen
do, se conservo entero y es casi plano por un lodo y abombado poi
el otro, 'especia lm en te en lo porte inferior. Se reproducen en lo lámina VII, A, , y 3 .
(91 l. BALL ESTER TORMO: "El enteHomiento en cuevo de Rocofort", Serie
de Trobajos Varios del S. r. P., númefO 9, Vo lendo, 1944, póg. 22.
( 10 1 Cuenlos de collo, de todos eslos lipos se encontroron en 10$ lonlos veces
cilodos cuevas de lo Postora, Blonqu¡:
Los en formo d e olivo d e piedro vefdoso no 50n frecuen tes, hasto ohoro, en I:J
re-gión volenciono. Cfr. r. BALLESTER TORMO: Ob. ci t. en lo noto 6. p6gs. 58-59
" l6ms. IX '1 X; J . . BELDA DOM INGUEZ: M emor¡o 112 d iodo en lo noto 7, lóminos XI o XIII , y J. CUADRADO RUIZ : Ob. cil. en lo noto 7, ligs, 8, 10 y 13.
lo PERICOT GARCIA: "Sobre alg unO$ ob!e los d e ornomen to del ln eolitico del
Es te de España", Anuorio del Cuerpo Focul totivo de ArchiverO$, Bibllotecorios '"
Arque6!OgO$, Homenoje o Me lldo, vol. 111, Madrid, 1935,p6g. 129'1 ss,
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2Z
E. PLA 8ALLESTER
De h ueso es una lóm ina algo curvado, cortado por los ex tremo.3
casi rectilíneomente, que lleva un tal adro en lo porte superior. Fue
encon t rado también en lo senda y ge reproduce en la ló m ina VI .
B, 5.
y d~ dien tes de ani mal son un incisivo de cóprido y un colmillo,
qu e mós bien parece de cerdo que no de jabal í, a mbos horadodo.i
en su extre mo puntiagudo o raíz, y -encon t rados en el sector V.
(Ló mina V I, B, 3 y 4) .
Por ú lt imo existe un fra gm ento de hueso cilíndrico, de dos cent ímetros de longi tud y 5 mm . de di ómet ro, con un acanalado o rayado en espirol, roto por un extremo. Es, sin dudo olguno, 1 partE'
0
inferior di- un colgan te en espira l o formo de torni llo, seme ja nte
o los d e las cuevas de La BQuello, de Torremonzonos, de Les Llome tes, de A lcoy, e tc. Fue encontrado en 10 zona 11 y se r e p(oduc~
en lo ci tado lámina VI, B, 8 (11).
Concho$.-Los ton fr ecuen tes conchas.con or ificios poro ser
ensartados en collares no abundaron en nuestro covacha. Los ha llazgos se reducen o los sigu ien tes:
Dos eje mplares de Nosso, con uno solo perforación artificial,
encon trados en el cribado de t ierras de 10 senda (lám ina X, 1, en
los extremos).
e)
Sie te ejemplares de Trivio orctico, con doble orificio, también
hal1odos en e l cribado de t ierros de lo senda (lá m ina d icho, 1, ceno
troj.
Dieci nu eve ejempla res, m ós o menos comple tos, de Dentolium
(ló mino c itado, 2), de los que cinco aparecieron en 1 zona 111 ,
0
uno en lo l~ y o tro en lo VII ; los res tantes en lo senda .
Ademós se encon t raron en 10 zona V uno concho de cordium y
o tro de pectúncuJo, a m bos horada dos en el no ti s (ló mino X II , 5 y
7 ), y entre los t ierras de lo senda o tro pectúnculo, de m enor ta ma ño, igualmente horadado en e l mismo si tio (1 citada lómina, 6 1
0
112) .
(11) L BALLESTER TORMO: Ob. cit. en lo or.O IO 6, pétgs. 49 y 50, 1
6m. V.
J. BELDA DOMINGUEZ: Ob. cil . en lo noto 1, Memoria 112, 1
6m. X.
J. CUADRADO RU IZ: Ob. cit. en 10 nolO 1, lig. 13.
E. VILAPLANA JULIA y J. VILANOVA y PIE RA: "Lo gru ta de Les Llome tes,
en AIc:OV". pág. 61 y ss. del vol. J de lo "Historio de AIc:OV'" de V. Remlgio Vicedo, Alcoy, 1923,
(12)
Cfr. los obras ci todos en los dos notos onleríorH.
-
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CQVET A DEL BARRANC DEL CASTELLET
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OBJETOS DE HU ESO
Aporte de los objetos óseos de adorno, que han sido descritos
anteriormente, poco fue 10 que proporcionó lo covacha.
Los punzones fueron escasos y ninguno completo. Un pequeño
fragmento de lo parte superior de uno, 01 que también le fal ta lo
pun to, de sección circular, bien Irabajado (lámina VI, B, 13); aIro,
finísimo y también incomp1.~ta, de sección plano-convexo, de dos
milímetros de ancho máxima por menos de uno de grueso (lámina
dicho, B, 12); un ,tercer fra gmen to, labrado sobre pequeño hu eo;o
largo, muy pulido y brillante (lo mismo lámina, a, 9), y, por último,
otro logrado aprovechando un hueso delgado y fino, de ove 0 1 po·
racer, que conse :"Va la articulación en su extremo no aguzado. To ·
dos se encon t raron en los tierras de la senda .
Se d ieron también algunos fragmentos, planos y estrechos, de
sección biconvexa u oval muy aplanada (lámina VI, B, 6 y 7, y e),
das de los cuales están negros como si hubieron sufrido lo acción
dal fuego. Son res tos de punzon~s o agujas planas, Ion fr ecuen tes
en e910ciones similares . Excepto un fragmento hollado en el sec tor
11 , los restantes salieron entre las tierras de la senda .
Por último, mencionemos los restos de una planchuela o lami n¡lb de hueso, ancha y muy plana, incompleta, encontrado en dos
pedazos al excavar lo zona II (lámina VI, S, 11 ).
OBJETOS VARIOS
Ademós de todo lo descrito hasta aquí, se encon traron también
los siguientes objetos:
Una pieza de piedra calizo, larga y estrecho, muy aplanado,
de sección bi convexa, con un extremo casi rec to y el otro curvo.
Presen to en su superficie, especialmente en los bordes, fuertes señales de utilización (lámina IX, B). Lo hemos clasificado como afi lador, y se encon tró en lo senda.
En su estado na tural sa encontró un pedazo de cristal de roca
(lámina VII, A, 2) y otro de yeso crista lizado (lámina VII I, B, 6) .
y un pequeño -trozo de una delgado loseta, de color morrón, que
rayado con uno novaja deja un surco rojo in tenso, y que tampoco
parece haber sido trabajada por la mano del hombre (lám ina dicha,
B, 7).
De aspacto como de corcho, pero más duro, salieron unos trozos de forma indeterminado, que se reproducen en lo lámina XI ,
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E. PLA BAlLESTER
B, Dan la impresi6n de trotarse de pequeños esquirlas de madera
que han estado en contocto con algunas moterias colorantes, pues
unas tienen un tinte amarillo, mien tras que otras lo tienen rosado
Por último, se encontraron, en diversos puntos de la cuevo, y
hasta mezclados con las tierras sacadas de aquéllo y puestos en !o
senda, restos de ca rbones, indudablemente made ro quemado, como
dejan ver algunos fragmentos incompletamente carbonizados.
RESTOS DE ANIMALES
Debieron ser abundantes los huesos de animales que contendría
10 covacha, pero 01 ser saqueado se fragm entaron de tal formo ~ue
noda aprovechable paro el estudio de su fourlO se ha podido recoger. Solamente existe un diente de cobra y un colmillo de cerdo o
jaba lí, semeja ntes o los descritos anteriormente en tre los colgantes, pero carentes en este caso de perforación, y Urla pequeño lobo
(lámina VI, e, " 2 y 10).
Y conchas sin horadar se encontraron varios de ca rdium, un
fragmento de pecten y uno cipreo (lámina XII , Bl .
RESTOS HUMANOS
El hallazgo de un esqueleto fue lo primero noticio que se tuvo
de la existencia de esta covacha, pero, por desgracia, los expoliadores lo des truyeron de tal forma qu e, cuando lo yisit6 el señor Bo lIester por primero vez, sólo qu edaban pequ eños fragment os de
huesos esparcidos, inu t ilizobles paro el estudio. Se sabe que los vi sitan tes que a cudieron 01 conocerse lo exi9tencio del en te rramien to, recogieron los huesos más completos, principalmente largos.
Al excavarse el interior de lo covacha se encontraron sólo pequeños esquirlas, algunas mezclados con la tierra blanco que formaba 10 copo super ior, y también pequeños fragm entos de cráneo,
ton diminutos que tampoco sirvieron poro el estudio antropológico.
Tonto en los t ierros de 10 senda así como en los restos de estrato del iNteriOr de io covacha se encontraron buen número de dientes humanos (Iám. XII, Al , que han s ido estudiados por lo Odon tólogo doña Agu edo Alcino Franch, de cuyo detall ado informe (13 )
se deduce la existencia de por Jo menos seis enterrados, entre los
que uno seguro fu e muj er, y, por lo menos dos, de edad avanz·odo.
(13 1
Reproducimos a l fi"al el "I"farme" de la Odontólogo Agueda A!cifICI.
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COVET A DEL BARRANC DEL CASTEllET
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Nodo puede decirse de los característi cos ant ropológicos d~ éstos,
excepto que eran individuos de caro oncha y pómu los salientes,
menos uno que era de ca ra aval y alargada.
COMPARACIONES y CONCLUSIONES
Del con junto de ob jetos hollados en 10 Coveta del Borranc del
Castellet, 1 primero que llamo lo a t ención es 10 inexistencia d~
0
hachos o azue las de piedra pulido, que aco:Tlpañon siempre o los
complejos materiales de yacimientos semejan tes. No creemos que
se hayan perdido 01 saca rse los t ierros y esporcir9:! por lo senda,
pues to que ob jetos mucho mós p .~queños fu eron también ex tra ídos
y sin embargo S2 ho llaron 01 crib:Jrse aquéllos. Habró qu~ buscar
lo rozón de lo carencia de tol-es instru:llen tos, en los condiciones
de vida del pueblo o que per tenecieron los enterrados en la cava ·
cho . Los a lrededores del lug:Jr en que se hallo ésto, y hoy que su ·
poner que el poblado no estaría muy a lejado, no son en lo ac tuali dad aptos para el cu lt ivo agricola, pues aunque ~ mon te no es muv
agreste, tampoco hoy espacios en donde, si n grandes dif icultades.
S2 puedo dedicar el terreno 01 cult ivo. Y si hoy, gracias o los esfuerzos de varios generaciones de agricultores, existen algunos compi tas escalonados en pequeños tablas por las laderos :-nenas inclinados, hoy que suponer que en los pri meros t iempos de lo civi lización ogricolo, con los rudimentarios métodos utilizables y con sobro
de espacio en donde establecerse en mejores condiciones, no ocu rriría así. Por lo que el enterramiento lo serio de un pueblo que no
practicaría lo agricultu ra, manteniéndose aún en una economio de
ti po ganadero y cazadora.
Por el material no cerámico se puede situar el yaci mi en to dentro del conjunto de enterram ien tos, más o menos si milares, qu e
lonto abundan en nuestro región : Comí Real d' Alacon t (Alba ida).
niveles medios de Covo de les Moravelles (Gandío). Cova de les
Foydes (Tabernes de Valldignal. covacha de 1 Caseto Molino (Bo0
cai ren te). cuevas de Les Llometes y Lo Postora (Alcay). cueva del
Monte de lo Ba.rsello (Tarremanzanas), enterrami entos de Rocatort, Cu llera y Chivo, etc. (14). Los puntos de fl echo, cuen tas de
(14 ) l. BALlESTER TORMO: Ob. cit. en noto 1.
E. PLA BAlLESTER: "COvo de les Morovelles (Gondia¡", Ar~hivo de Prehisto·
rio Levantino, 11 , Volen~;o, 1946, pag. 191 Y ss.
F. VAliENTE: "Algunes dodes per a I'es tud i de lo prehistorio de VolldiQnn.
lo cOvo funerario de les Foyetes", Toula de les Uetres Volenciones, nUmo 19. Vo_
lencla, 1929, pág. 10.
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collar, colgantes, el extremo de ci lindro acanalado, los restos de a lfileres de hueso plonos, los pequeños punzones de metal, nos ponen
en estrecho con tacto principa lm ~m t e con dos estaciones: Covo de
la Pastora y cueva del Monte de lo Borsella, ambos en lo provincia
de Alicante, aunque no muy a lejadas de lo nuestra .
En la Cava de la Pastora se dieron todos los mismos moterialzs
qu e en lo de Corrieolo, excepto la cerómico decorado, pero en ma yor abundancia y cubriendo seguramente un periodo moyor, pues
los puntos de flecho lIegon a t ipos mós perfectos, aparecieron hue ·
sos-idolos aculados pintados (1 5 ), cuentos de á m bar, ídolos planos
de hueso recor tados y a lgunos ob jetos más que fol tan en ' o que pu blicamos. Lo mismo puede decirse que ocurre respec to a la cueva
del Monte de la Barsello, donde en lo necrópolis inferior se dieron
materiales oen todo seme jan tes o los de la covacha del Barrane del
t,
Castelle- a unque también mós ricos y abundan t es.
Así, pues, en ¡¡ste grupo de cuevas habrá que situar la del Barrane del Castellet, pero distinguiéndose de ellas por la I!x istencio
en és ta de cerám ica campaniforme, que ll egaría seguramente, no
con el complejo del material propia de las cU'evas enterramien tos
levantinos, en los que no se ha encontrado hasta ahora ceróm1ca
de esto especie, sino de los cercanos pobladitlas situados en los o! ·
rededores de Bélgida, de los que excavara hoce ya años don Ma riona Jornet algunos fondos de cabañas (Alfagós y Atareó), 2ncon trando los mejores vasos de cerámico campaniform e hallados
hasta el presente en la provincia de Valencia (16) . Aunque más tejana , pero situado en e l camino de expansión de los culturas del
sudest e hacia el nort e, está la cueva de Las Blanquillares de Lébor
(Tatana, Mu rcio), en lo que jun to o un mater ial semejante 01 de 10<;
cuevas valoencianas ci tados presenta 'tombién cerómico campani .
for me, por lo que el pa ral elismo con lo nu estra es mayor que el de
aqué llos.
El hallazgo de un solo fragmento de cerámica cordial úni camen te pued e ser indicio de uno perduración de este tipo ce rámico
neolí t ico, O quizá de uno anterior ocupación de la covacha qu c?,
(15) 1. BALLESTER TORMO: "ldolos O(ulodos yolendol'\05". Archiyo de Pre _
historio Levon tino, 11, Vo lencio, 1946, piIg. 115.
(161 M. JORNET PERALES: "Prehistoo-io de Be1gido, 1" , Archivo de Prenistodo Levonlino, 1, Volencio, 1929, pcig . 91 l' ss.
1. BALlESTER TORMO: Ob. ci t. en flo to 3.
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por su situa ción geográ fica, se ha lla en uno zona rica e n halla zgos
co rdia les: cuevas de la Safsa, Coveta de l'Or, Ccseta del Ge neral
y Caseta Molino, en t re ot ra s, todos ellos en ambos es tribaciones
del Ben icodell ( 11 ).
Respecto 01 vaso carenado, propia del Bronce II o a rgórico,
encon trado, según noti cias, superficial y junto O un esqueleto humano extend ido sobre el piso de lo cueva, habremos de referirnos,
poro encontrar paralelos, o los noticias que dieron Vila nova y Vi laplana de l hallazgo de esquele tos en ta l ;>osición, con vasos de
t ipo argárico, en lo cueva alcoya no de Les Llomet es (1 8) forma ndo un pri me r nivel, por deba jo del cua l exis tía ot ra con esqueletos
en te rra dos encogidos, que proporcionó ins trumen tos de piedra pu lido, cuchi ll os, raspadores y pun tos de f lecho de sí lex, punzones
de hueso, colgante cilindrico de hueso con acana laduras, e tc. La
semeja nza en lo disposición de es tos dos n iveles con los qu e exist ieron en lo covacha que es tudiamos es muy interesanl'e.
Del examen de lo covacha y de los pocos res tos de est ra to quP.
se pudo excavar, se puede deduci r que el enterra mien to sufr irío las
sigu ien tes fases:
Sobre el fondo de lo covacha, de arcillas rojizos u ot ra t ierra
apisonado, debióse vi vir en pe ríodo a nterior a l del e n terro m i'~n to:
uno amplio mancha de ti erra cenicien to con a lgún ca rbón, así como los restos de éste encon trados en la ti erra arci lloso frecuent emen te deba jo de gruesos piedras, a lguna piedrecila calcinado, y el
hallarse la s cen izos precisamen te deba io de lo aper tu ra existen te
en lo mós o lto da la bóveda, es decir, en el pun to mas adecuado
poro deshumar, nos hocen sospechar el primi t ivo empleo de lo covacha como vi viendo. Algunos abj'¿tos podríon ser de este primer
momen to, especialmente los restos de cerómica cordia l.
(l7) J. SAN VALERO APARIS I: "Nolo! paro el es tudio de la cerá mica cor _
dial de lo cueva de lo Sorsa (Valencia)", Actos y Memori as de la Sociedad Espariolo de Antropologia, Etnogra l ja y Prehistoria, XVII, Modrid, 19'12 . pcigs. 87 y ~s
J . SAN VALERO APARISI : "lo cueva de la Sor!iO (Bocoirenle-Volencio}", Seri e de Trabajos Varios del S. 1. P., nUmo 12, Volendo, 19S0.
P. MARTr GRt VE: Ob. d I. en lo noto 2. ObsCrvese Que lo sucesión estroligro' ico de la hQuerd o de l eli Roqul!1 de El Pony deb ió ser muy parecido O lo (I ~
nuestro covocho.
No mendonamos OQuj lo Covo del Solumon, pOlque segun nos comun ica el colaborador de eli te SIP, don Vicente Poscuol, de Alcoy, en di~r50$ explorociotleli,
elcc tuodos en lo mismo, no he e ncontrado ni un !iOta fragmen to de cerómo cor_
co
•dio!.
(18) E. VILAPLANA JUl.IA y J . VllANQVA y PIERA: Ob. cit. en lo nolo 1I
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E. PLA BALLESTER
Encimo de este posible n ivel de viviendo se en t erraria, 'en segundos inhumaciones, ya Que los res tos humanos y sus ofr lo que se pudo observor de lo poco excavodo cuidadosamen te, se
hollaban dispersos, demostrando ello uno remoción semejant e o lo
de Comi Real d'Alocont, con lo que por otro parte ton pocos pun tos de contacto tiene, y no el proc edi mien to de enterrar por pa que tes de huesos y ob je tos que se observara en la Cava de la Postora de Alcoy.
Este estra to sepulcral, de tierra gris negruzco, se cubrió con uno
copo de ti erro blanca, como d.e col, que, por los restos excavados
y por los indicios dejados en las paredes de la covacna, tuvo muy
d is tinto espesor, llegando en algunos casos o mezclarse con restos
humonos y fragmen tos de cerómica, lo que puede hacer sospechar
que di cha cub ier to d ebió revolverse alguna vez, quizó al abrirse
poro depositar otros restos humanos, quedando aprisionados en ella
a lgunos de los preexi stentes a l ser colocado de nuevo.
Y, .por último, sobl'¿ esto copa de tie rra blanca se inhumó indi ·
vidualmente en periodo mós moderno, como se deduce del vaso carenado y del esqueleto primeramen te hollado por los expoliadores
de lo covacha.
Seguramente era el período de los enterrami entos colectivas de bió convert irse el primi tivo abri go en lo covacha que se excavó y
en tonces se ce rraría a rtifi cialmen te esta, como se ha de jado apun tado con anterior idad.
Lo situación cronológico de lo covacha, en lineas generales,
podemos considera rlo del sigu ien te modo : Tras uno posible ocupa ción durante el Neolítico hispano-mauri tano como viviendo, se ente rró colec t ivamen te por los ibero-sahar ianos del Bronce l. Lu ~o,
du'-ante el Bronce 11 , se u tilizaría por última vez como en t erramien to de inhumación, quedando entonces cerrada la covacha hasta nuestros días.
En su momen to mós importan te, el de los en te rramien tos co lec t ivos, debió signi fi car un ja lón mós -en la expansión de lo cultur:l
al meriense duran te lo fose de apogeo de Los Millares hacia el Norte, por lo cos ta levantino. El vaso cam paniforme, por su base piona, pued¿ significar uno fase más antiguo dentro de lo evolución,
por a Iro parte Ion discutida, de este t ipo ceróm ico, y el hecho de lo
inexis tencia, o en todo coso estado rudimentario, de la agricul tu ra,
corroboraría ta l momen to. Podría, pues, con todas reservas, consi derarse paralelo o Los Millares 1, por lo que, en el esquema del
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COVETA DEL BARRANC DEL CASTEllET
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Dr. Pericot, estorio en el período XXI, Bronce 1, o, con uno cronologia absoluto oscitondo entre el 2.000 y 1.700 antes de J . C, coinciden te con la que indi co también e l Dr. Mortínez Santo - 010110
(1 9 ).
Fijar con mayor exacti tud 1 cronología relativa de este yaci 0
m ien to es tarea, por ahora, que no se puede hacer. Hoy que esperar o que, en un futuro próximo, se realice el ton necesario estudio
de todas las estaciones levantinos de lo Edad del Bronce, que, si en
general, tienen muchos puntos de con tac to, cuando S'Z estud ian
mós detenidamente presentan diferencias qu e pueden signi fi car
momentos diversos de la expansión de los ibero-saharianos en su
comino de sur a norte,
IN FORI'IE SOBRE L OS DIENTES HUI'IANOS
"1.
P ¡e~os
" ( 1)
"(2]
"13)
"( 4 )
"(S )
super iores:
5 centra les (uno derecho con absolut o seguridad , los otros
"dudosos):
"o) individu os: 5; b] edodes: dos cmciorlO$ (mucho obro_
5ion); se>tOS: uno posiblemen te femenino; los reslontes de
hombrl!S.
~ lo teroles izquierdos: o) individuos: 3 .
3 caninos ¡~ Qu i erd05: o) ind ividuos: 3; b) se>tos: uno 0 ( 0 '>0
"de mulero
3 caninos derec ho:i: o ) ind ividuos, 3; b) edodl!S: uno .xo"boblemen le de anc ia no; e l se>tos: el mismo eorrespon" d e o hombre .
5 bieüspid es: o) individuos: 2 d iferenciodos y 3 pie~ os -:lu .
"dO$O'S; b) detalle: los dos piezas d iferenciados son. 4
"superior izqu ie rdo y 5 superior; e l edad y se>to dude-
"sos.
"(6]
3 pri meros molor es (2 izqui erdos y 1 derechol: al ind,vid uos
"2
Ó
3.
" (1 1 4 seg undos molo'es (2 der echas y 2 izquierdos): o) ind" i.
"dUal: 2 por 10 menos.
"(8) 2 terceros mo lares (del juicio ) izquierdos: o) ind ividuos, 2;
bl edades: más dI' 18 o 20 oños _
" 19) 5 molores inde te,mi:-odos luno de c llos onbmola) .
1191 J. MARTINEZ SANTA -Ol AlLA: " Esquema polelnol6gico de lo P e n; n~u .
lo Hispánico" , 2 ,- edición, Madri d, 1946, pág. 59 y $$ .
l , PERICOT GARC IA: "Lo Espoiía Primitivo", Barcel ona, 1950, páQ. 356 .
-
63 -
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30
E. PlA BAllESTER
"ti.
Piezos inferiores:
"(10)
"(11¡
"(12)
3 segundos incisivos Izquierdos: o) indiYlduos: 3; b) ed:wf'
I
5
"(13)
3
"(14)
4
"( 15 )
,
"(16)
2
"(11)
3
"(l8)
"(19)
"indeterminado (no joyenes); e) sexo: probo~lemenle
"hombres.
segundo indsiYO dere<:ho.
cen tral es: o) individuos: proboblemente 4; b) edod: no
"jóyenes; c) sexo: prOlbablemenle mascu lino.
d ientes inclasificables (uno posiblemenle de niño).
segundos bicUspides d ere<:nos: al Indiylduos: 4; b) eda d '
"adul tos (dos de ellos jÓyenes).
bicúspides izquierdos (2 primeros, 3 segundos y 2 ¡nde ..
"Ierminooos): 01 individuos: pOI 10 manos 3; b) ed.ld:
"uno ondono; e l otro posiblemen te femenino.
primeros molares (ur'\() izquierdo y el otro de recho ): "j
"indiyiduos, 2 .
segu ndos molares (2 derechos y 1 iz~ul erdo): o) indiyi"dues: 3; b) edades: dos vi ejos.
tercer molar izqu ierdo (del ju iciO ): o) individ\lOs: , ; b l
"edad : odullO no muy viejo.
muelo anómalo.
"Conclusio.1es:
"( 11
" (2 )
"(3 )
Número de individuos: Según el examen pordol de coda
"pieza hoy por lo menos 4 ind ividuos (ycose núm. 14).
"Pero como eslOS bicúspides inferiores d ere<:hos no co"rresponden por su tamaño o los cinco bicúsoides ;z"quierdos, hoy que deducir se troto de un tOlol por lo
"menos de 6 ind,v iduos .
Conservación: Muy dis linlo Qrodo de conSl!fVOCIOn. Algu~
"estón d eformados por 10 acción de elementos naturales.
"Unos ejemplares porre en haber sido resgl>Ordodos d el
"medio ambien le o son mOs modernos.
lo fOl"ma de 10 cara d e estos individuos se puede deduci r
"por lo de los d ien tes. El con junto corresponde o indi_
"yiduos de coro
y pÓmulos solienles (formo tr ia,,·
"guiad; hoy uno excepCión : 1 de un ind ividuo de coro
0
"ovol y o lorgada (se deduce del central superior mÓ5
"gronde)" .
oncno
"Volencio, 21 Marzo 1952.
"Aguedo Alcino (firmodo)".
-
6< -
[page-n-68]
U.M. l .
PlA BAllESTE R.- Coveto del Borrone del CollcUe t
A
•
Á.- lodero del Borrone del CasleUel, en 10 que se obre lo (oyocno·en lerromienlo ~
B.- Viuo del Borrone del CosteUel . A lo i¡:quierdo, lo lodero e n lo q ue se eneuenIro lo coyocho.
;
{Folos Bo Ues terl
!~~:'
\..~
[page-n-69]
LAM. 11 .
PLA BALUSTER . -Co'fclo del Barrane; dcl Cadcllcl
•
A._ EI Cos tellel d e Corricolo
B.-En/fado de 10 covacha.
VIS I O
desde dent ro de 10 covocho.
(f o tos Bollesterl
[page-n-70]
PLA BALLESTER.-Cotldo dlll Borrone del Costellet
LAM. IU .
A
•
A. - Estodo del interior de la covacno antes de in iciarse los excavoclanel por el señor Bollester.
S. -La covochc una vu termInados los trabalos.
(Falos Bolles!e!')
[page-n-71]
PLA BALLESTf R•.-COYCltcl dol Borrarle d. 1 COII Cl llol
LAM . IV .
A
e
B
o
11: Frag mentas de cerÓlTlico puntillado (reducidas o 2 ¡3 1._8: Trazo de botde de
YOSO hlO (reducIdo o 3¡·U.--C: Fragmento de cerÓlTlico cordial (T. n.I.- O·
Voso co,enado enlero (se ignoran \us medl~1.
( Fotos Grallo '1 Vicedal
[page-n-72]
PlA
BAlLESTER .-Co~eto
LAM. V.
del Borron, del Costellet
A
•
e
o
Cerómico companilOfme. (A y B, reducidos a 2 /3;
E
e,
D y E, a tom. nat.).
{Fo tos Grollo)
[page-n-73]
PLA BALLESTER._Covetllll del Bllllllllllnc del Cllllite llet
LAM. VI.
A
•
,e
A' Punzone$ y lominillos de metol (T. n.l.- B V C: Objetos de hueso {reducidos '1
<1 /5 1.
(Fotos GrollOJ
[page-n-74]
PLA BALLESTER.-Cowoto del BOI,onc
d~1 Cost~lIe l
LAM. VII.
A
B
e
{1
Ir
A: Colgantes d e pec:ten y frogme nl O de cri$IOI de roca /T. n.l. B y C : Punlo$ de
flecho de $lIex (4 / 51.
[Fotos Grol1o l
[page-n-75]
LAM. VIII .
PLA BALUSTElt- Covelo del 8orto"c del Cotlellet
A
3
1
8
r
,
7
Ob;etO$ voriO$ de , ile• . (A : 4 /5; B: T
o"
n.!'
(Fotos (;.-01101
[page-n-76]
PLA BALLESTER.-Conto dlll Barronc dlll Castu Ullt
LAM. IX.
,
•
,
•
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E
•
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§
•
g
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[page-n-77]
PLA BALLESTER ._ Coye to del Barront del COlhll. 1
LAM. )( .
.-
e
,
o
v
•
~
[page-n-78]
PLA BALLESTE R._Coy " tCl d,,1 BCI"Clrlc dol CClslolld
3
f
•
A: Cuen tas de collor de d lvl!nOS espec ies.-8: Pasibles res lOS d e modero . (T . n.).
LAM. XI.
[page-n-79]
PLA SALLESTER .- COye lu del Sorroll e de l CC ell et
lSl
LAM. XII.
A
•
A: Oientes
hYmQnQ~.-·B:
Conchos de cordium, ele peclen y cipreo. (2 / ::11 .
(Folos Grollol
[page-n-80]
JaSE ALCACER GRAU
(hl.nd.)
El Puntal
d~
Cambra
(Villa! del Arzubispa-Valencio)
ANT ECEDENT ES
En el Noroes te de lo provincia de Valencia se ex t iende una pequeño llanura s ituado o unos cua t rocien tos me tros de a lt itud, porl e de la cual pert.eneció o lo antiguo Baronía de Chu li llo y hoyes
conocido con el nombre de campo de Lirio (fig. l ,a). Act ual men t e
forma parte de 105 términos municipales de Villor del Arzobispo,
Loso del Obispo, Casinos y U r io, estando limitada por los maci zos
montañosos llamados Pinare jo, Coleto, Bolos y Peña Roya, que se
exti enden en dirección NE.; el cerro de los Clochas, Plantón y el
Mocho por Levante, los cuales dejan entre sí amplios collados que
lo comunican con los llanos más ba jos de Casinos y Li rio; pequeñas
alturas no supe riores a quinientos met ros por el Su r la separan del
valle del Tu rio, y el cerro Castellar y las estr,i baciones de las montañas de Chelva por el Oeste completan el ce rco. Sus aguas, recogidos por varios borroneas (Rambla del Vi llar, Salobrar, Mizqui t ilIos, Cinglo, Antigón) forman lo rambla de lo Aceña, que, uniéndose o lo de Costellordo, vierte en el Turio entre Pedro lvo y li r io
Il;g. Z.' ).
Esta comarca ha debido reunir muy buenos condiciones de hobi l0bilidod po ro los pueblos prim itivos, a juzgar por lo obundon -
65 -
[page-n-81]
2
J. AlCAGER GR AU
cia de es taciones prehis tór icas descubiertos en 'S u suelo (1 l. En
efec to, mi entras los numerosos cerr iles les proporcionaban fóci l d e-
...._..i._....;·:...-'l'
I!. ...
.... .
°' 0
0-
Fio;¡. l."-Mapa de la zona de Vmar del " ,¡¡obispo
tenso, los buenos campos de cultivo y pos tos a segu raban sus me dios de subsis tencia . En tiempos protohi stóricos por su situac ión en
(J I Mi buen a m igO don Vicente lic Ios, infa tigable p.()$pKIOf de leI comarco
y Qu e ka dodo a conocer gron nUmero de yoclm ien t05, nos
prOpOrcionado muchos de los dotos que aqui se consignan. Queremos nacer constar aqui nuestro
agrodecimienlo (1 su amabili dad y (1 lo coos lon re y di!'Sinteresodo colaboración Que
siempre nos ha prestado, lon lo 01 S.I.P., como a "lOSOIros per$Onolmen le. Véonse
iU$ trabojos: " Estociones prehislÓt'icO$, ¡bericos, romonos y orobe$ d el término mU_
nicipo l de Vlllor del Ar zobispo y colindo nles", en Soilobi, oño V III , nUm o 28, Valencia, 19<18; y "Mapa arqueológico de Villor del Arzobispo V su comarco". en
curso de publicoción por e l Servicio de Investigoción Prel"!i$ tó,ico de Volencio.
no
[page-n-82]
EL PUNTAL DE
3
CM~ BRA
•
..
.'
d,
'.
'<
ID
..
YACIIYII(Hi05
,
. .
". ".
Fig. Z- -Mopa de lo comarco de Vi llar del ArzobispO con jndlcación de los mós
impor tanTes yacimien T del Bronce.
os
-
61-
[page-n-83]
•
4
J. A.LCACER GRAU
el comino na tural que une Valencia con Arogón (liria, Villar, AndiUo, Begís y Barracos), fue ocupoda por multitud de coseríos ibero-romanos, al igual que los d~más terrenos comprendidos en esto
vío (2) y según recientes estudios his tóricos, en su t erritorio se desarrollaron importantes acciones bélicos entre sus pobladores y los
cartagineses (3) .
II
EMPLAZAM IENTO
Sa liendo de Villa r por la carrelera loca l de Andi llo, posados el
cerro de la Cruz y el em palme de la carretero de Higueruela, quedo a lo derecha un espolón que, desprendiéndose del elevado cerro
de las Cobras, vo descendiendo escolonadomen te hacio Villar, terminando en el est recho borranco de Ca lderón o Mizqui til los. A
continuación se encuentra un doble cerrito, el mayor de los cuales,
de 550 metros de altitud, e;; conocido con el nombre de Puntal de
Cambra (tomado de un an t iguo propi e tario de unos campos de sus
laderos), distante t res ki lóme tros del pueblo y situado en lo partido de Cañada Palamara, que también do nombre 0 1 cerro. Por su
pie poso una antigua vereda de ganados que, proc!!diendo de Andilla y bordeando el barranco, se diri~e o Bugarro y Lirio. En el
ext.remo orien tal de su falda se encuen tro lo Ca .. acha de Llatas,
interesante estación mesolítico que ya dimos o conocer hace unos
años (4) . En el cerrito inmedia to no -hoy indicios de ocupación, pero
si en unos campos distan tes poco mós de cien me tros, donde se encuentra cerómica ibérico y romona; viñedos y olivares son los cu ltivos ac tuales de los alrededore;;, algarrobos en los to ldos de los
mon tañas, pinos y encinos disem inados en los a lturas.
(21 D. FLETCHER VALLS: "EKplOfoClones orqueológicos el> lo comorco de
Casinos", en Comul>kociones del S.I.P. 01 Primer COl>greso Arqueológico del Levante (Noviembre 19461, número 10 de lo Serie de Trobalos Vorios del S.I.P.,
Volencio, ~941, p6g. 65.
131 N. P. GOMEZ SERRANO: "Guerras de Anibal preporotorio~ del litio de
Soguntum", Volencio, 19S 1.
(4) F. JORDA CERDA y J . ALCACER GRAU : " Lo covocho de Llotos (And i_
110)", número 11 de 1(1 Serie de Troba¡os Vorio~ del S.I.P., Volencio, 1949.
-
•
68-
[page-n-84]
EL PUNTAL DE CAMSRA
5
111
EL YACIMIENTO
Lo porte superior del cer·~o t erm ino en uno foja estrecho y alargado que tiene su mayor anchura en su parte central ; por el Oeste,
grandes rocos desnudas y puntiagudas ocupan el tercio de lo exI-ensión; o continuación se encuent ra la porte mós elevado, dond~
se hallaba un amontonamiento de piedras sobre una construcción
dando lo impresión de uno mayor altura; la faja de t&:reno sigue
estrechóndose en pequeño declive hasta llegar al vértice, emplazamiento del gran mojón de separación de los términos municipales
de Vi llor y Andi lla. La vertiente Norte que li mito con el barranco,
es inaccesible en muchos lugares (Ióm . 1, b), prin c ipa lm ~ nte en lo
parte ocupada por el poblado; no osi 10 opuesto, que do fren te a
Vi llar, ounqlle tiene también pronunciado pendiente (Ióm . 1, a).
Cuando, entre otros yacim ien tos, lo visitamos en 1947, estaba
muy revuelto, aflorando cen izas, fragmen tos de cerómica y, en mu chos lugares, la roco, quedando poco estroto arqueológico, como
ponía de.relieve uno calicata rea li zada por su descubridor yocompañan te nuestro, señor Llotas. A tal es tado habían con tribuido, entre otros, los varios reconocim ientos de mojones efec tuodos en los
últimos s iglos, por hallarse allí, como hemos dicho, el de separación
de los términos municipal es (5 ), los cazadores deshaci endo los paredes poro cons.!ruir sus casetas, y la acción natural de los agentes
a tmosféricos, principalmen te lo lluvia, que al desaparecer las murallas había arrostrado las t ierras, dejando sin rostro de paredes ni
estra to buena par te del yacimiento.
No obstan t e su es tado de destrucción, el ·en tonces Director del
S. I. P., don Isidro Ballester, o cuya memoria ofrecemos es te modesto trabajo, creyó conveniente que se excavase, considerando, por
una porte, su proximidad 01 Castillarejo de los Moros, poblado del
Bronce qu e excavamos por enca rgo del S. r. P., y que actualm en te
tenemos en estudio, y, por otra port e, ci erta seme janza con el no
muy lejano d e la Atoloyuelo, de Losa del Obispo, igllolmen te excavado y estudiado por dicho Servicio (6).
151 Según dOlOS focililodos pOr e l señor lIOIOS, Cronista de la localidad, des_
de la constilución del término muni(ipal en 1334 naslo lo octuolidad, hay (onslanda de rKonocimien ta de mojones en los años 1549, 1639, 166 1, 1669, 1141,
1710 y 1906.
16) l. BALlESTER TORMO: "lo lobor del Servicio de Invesligoci6n Prehis_
t6rica y su Museo en los oños 19'10 o 1948", Volencio, 19'19, pci.g. 101 y ~S.
-
69 -
[page-n-85]
6
J. ALCACER GRAU
IV
LA EXCAVACION
Se reali zó por compJeto en una compaña, en agosto de 1948.
Los trabo jos se extendieron desde el torreón hacia el Este, oleonzando una extensión aproximada de 24 me tros de longitud por 16
de anchuro, poniendo de manifiesto lo existencia de seis departamentos y un sistema defensivo formado por los restos de l torreón
mencionado, 10 muralla y un muro transve rsal (figs. 3 y 4) .
Al
Sistema defensivo
Del sist ema defensivo qu edaba lo base de uno torre cuadrangu la r (E) de 4'5 m. de base y 0'70 m . de a ltura, apare jada con grandes piedras unidos entre sí con borro, estondo situado en la porte
más alto del yacimiento, limitóndolo por Poniente 116m. 1, d y el.
De uno de sus ángulos solía un muro (F) , de 0'90 m. de ancho,
también de grandes piedras, desaparecido en porte, que tomando
lo dirección Noreste terminado en un escarpe casi inaccesible de
lo vertiente Norte, cerrando el poblado (16m. 11 , cl . Adosado 01
muro por el exterior aparecen otros dos, más pequeños, circulares
escalonados (G y Hl, de 3 m. de diómetro y distantes entre sí 7 m .,
posibles boses de torres de defenso, hollándase al m ismo nivel que
los departamentos 3 y 6 (Ióm. 11 , bl. La muralla (MI, de lo que
sólo quedan los cimientos, se extiende desde lo torre hacia el Este,
bordeando lo vertiente Sur, protegiendo lo ladera más accesible,
debiendo rodear el poblado por Levante, donde estaría lo enNada,
no quedando en dicho lugar n ingún vestigio de esto construcción.
Todo la vertiente estaba llena de piedras caídos de lo muralla, habiéndose utilizado muchos en lo construcción de corrales y paredes
de sos tén de los campos circundantes {16m . 1, fl.
BI
Habitaciones
Se han señalado seis departamentos de formo cuadrangu lar
irregular o diferente nivel, acomodándose o los irregularidades del
terreno. Así, el primero, segundo, tercero y cuarto, pueden considerarse formando un solo plano (fig . 4." y 16m. 1, cl; el quinto se
hallo o 1'80 m. de profundidad respecto o los anteriores, y el sexto
o 1'SO m. respecto 01 quinto. Poro lo cons trucción de estos dos ú lt imos departamentos fue rebajado el terreno, quedando empotrados en el suelo. Sus paredes eran de piedra, por lo menos hasta
-
70 -
[page-n-86]
El PUNTAL Dé CAMBRA
7
cierto altura, estando protegidos por un enlucido de 3 o 5 cms. de
espesor, si bien en lo base del torreón llegaba hasta 10 cms. Los techos, como es couiente en esto clase de poblados, eron de coños
,
PUNTAL DE CA MBR A
Villar dtl ArlOb itro
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M
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»
e
Fig. 3.a -Planla del pobloda
y romos, algunos de bastan te d iómetro, según se desprende de los
restos hollados, cubiertos de barro endurecido por el fuego. El suelo
se formó nivelando los irregu larida des del mon tículo con peqlJeños
-
71 -
[page-n-87]
8
J. ALCACER GRAU
piedras y tierros, sin mós preparación, por 10 que no ha sido posible
su presencio duran te las excavaciones, 10 que pudiera conf irmar la opinión del señor Viroseca, de que estos departamentos
sean solamente depósitos situados debajo de los viviendas destrui dos, a l igual que ocurre actualmen t e en los pueblos de la montaña
(7) .
ocuso~
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s.... ~.
r~"'B
.. .t.!.~ .
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• _ ."'" ,.¿.,l, l. " .... ,,;_
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...,. ,
,
., .
S ... ,;. f" (D
,
Fig. 4 .__Sección longi ludma! y Iro nversol del pOblado
Departa men to 1.°- Los poredes y techo debieron derrumbarse
por lo occión del fuego, como parece indicarlo grandes cantidades
de cen izos ext endidas por todo él, y los quemaduras de m uchos
mat eria les (cerómicos y cuarci tas). Entre los cenizas y tierras negros se hollaban fragmentos de cerám ico de imposible reconst rucci6n, correspondientes o pequeños vasos espotulodos; frag men tos
de cerá mico con cordones; o tros con ma melones, con el borde liso;
gran can t idad de cantos rodados de l tamaño aproxi mado de un
huevo, olgunos can señales de uso y otros O los que se les hobía
sacado loscas por uno de los extremos (fig . 5); fragmen tos de moli nos, e tc.
En los t ierras de relleno que nivelaban el suelo se ha ll aron toscos sílex, en tre ellos uno sierro (fjg. 6, o) . En est e departa men to
hemos de des tocar un pequeño espacio lim jtado por 'Piedras planas
puestas de corola (r), que en ot ros lugares se han considerado como
ni 5. VllASECA ANGUERA; "ColI del Moro, poblodo y 'ümulo po$ lhollstÓll ieos en Serro de Almots, term ino de Tivisso (Bojo Prlorotol", Estud ios loorieos,
1, del Ins tituto de Estud ios lbericos y Etnologio Volenciono, Voleneio, 1953, PÓgir'KI
2'1 .
-
72 _
[page-n-88]
EL PUNTAL DE CAM8RA
9
hogares (8). Junto o la muralla existe un espacio ovalado formado
por piedras irregularmente dispuestos, apreciándose en su interior
un enlucido formado por co l y arcillo (s).
Departamen to 2 ."- Fue· muy pobr
con el 4 ." apareció junto con un molino navitorme entero, una pieza
elipsoidal de cerómi ca, poco cocido, con dos agujeros, cuya util idad
no determinado con cert eza aún, parece que fue poro retorcer fibros vegetales (fig. 6, el. Abundaron también los cenizos y tierras
quemados estériles.
Fig. 5."- CUOfci tas talladas del departame nt o 1.°
Departamento 3 : -Junto o lo pared del 4 .° dio abundante material cerámico, que ha permitido lo reconstrucción de algún vaso
y lo de terminaci6n de formas de otros. No aparecen cenizas como
en los pn teriores. Entre los piedras y tierras cloros que formaban
el ...ellena del suelo se encuentran fragmentos cerámicos más bastos,
sin espatular, de color amarillento y con anchos mamelones (lámina
111 , b, y fig. 10, dI. En su porte Oeste, junto al muro tronsverso l,
hay uno masa compacta de enlucido que debió I"I2cubrir aquél (lámina 11 , o).
(81 E. '1 l. SIRET: "los pdmefos edades del metol erl el Sudeste de ESpO';a",8orcek.M, 1890, Album de 16mirlas, lomino 3." .
, - 13 -
[page-n-89]
10
J. ALCACER GRAU
Departamento 4 .o-Situodo bajo del tonreón, ha dado mues tras
de varios clases de cerám ico, entre ellas unos fragmen tos con cordones dispuestos en semicírculo y un raspador de cuarcita (fig. 7 ,').
Carecía de cenizos, siendo abundantes las t ierros arci llosas muy
apelmazadas, tal vez provinentes de lo descomposición de los adobes. Abundaban los "piedras coídos del torreón.
Departamento 5 .~-Como yo se ha indicado, está mós profun do que los a nt eriores; fue de gran riqL.l!!za cerómico, hallóndose en
él tres grandes vasos ovoides adornados con cordones, un gran
cuenco y otros vasos pequeños, la mayor parte de ellos junto O lo
Fic;¡. 6.a-Sierredlos de sílex: o) departamento 1.°; b) departamen to 5.°; tamaño
nol. pieza de ce r6mico, e) depon,omento 2."
pared divisorio del departamento 3 .... Oos de los grandes vasos aparecieron juntos, estaban apoyados laleralmente en las rocas Que
sobresalían de lo pared y descansaban como empotrados en el suelo firme (Ióm. IV) . Junto a ellos apareció una moledera casi descompuesta y un pequeño vaso, con bellotas carbonizados en su interior. Al igual qu e en el departamento 3.°, el r-elleno del suelo, for_
mado con pequeños piedras y tierras claras, contenía fragmentos
de cerómicas amarillentas con mamelones (fig, 10, f) y una .sie.
rreci ta de sílex (fig. 6, b) .
Departamento 6."- Solió poca ce rÓmica. Lo mós destacable fue
otro lot e de cantos rodados de cuarci lo, seme jante 01 ya indicado
del departamento 1.·, Un pequeño fragmento de cobre sin forma
determinado fue el único hallazgo de meta l que nos depar6 lo ex_
7<1 _
[page-n-90]
•
11
EL PUNTAL DE CAMBRA
covaClon . Adosado a la pared divisoria dei S," se descubrió un ban-
co enlosado en tre dos grandes rocas de 0'70 m. de ancho por 0'50
de a ltura, dividido en dos porles por una delgado losa vert ico l (lá mina 11 , d y f ig . 3, t).
Solamen t e .en el departamento 3 ," nos fue posible señalar lo
exis tencia de dos estra tos separados por una delgado copo, boston te uniforme, de piedros sueltos. El superior alcanzaba uno profu ndidod de 40 a 50 cms., estando formado por tierras de color rojizo
Fig. 7,--Rospador de cuorci ta d el de;>or lamento
4 .~.
A 1/2
oscuro, 'Si n manchas de cenizos, siendo abundan tes los piezas de
cerómi co, en lucidos, frogmentas de carbón, be llotas, e tc., y el infe rior, de gran pobreza y espesor irregu lor, contenía t ierras cl oros
muy apelmazados y piedras, que r.e ll enaban los desigualdades de l
su elo na tural ; en él se hollaron fragmen tos de cerómica de facturo
más grosero, en poco can tidad, siendo lo más des tocado el vaso
con mamelones ventra les qu.e solió, aunque aplastado, casi com ple~o (fig . 10, d y lá m. 11 , el .
Es to estratigrafía nos llevó a t ra la r de precisarla en los demós
depa rtamentos, en los que no se acusó de un modo decla rado. Así,
considera rnos como per t.enecien t es al nive l más profundo los sí lex
hollados en los departamentos 1.- y 5.°, a lgunos frag men tos de ce rámico de cordones y gruesas incisiones del depar tamen to 4.°, en el
cual, por ser el más a lto y revuel to y tener menos espesor, no es
posible conceder o sus ma teriales mucho crédito O este respecto.
Igua lmen te inclu imos en est e est rato los fragmentos de otro vaso
con mamelones hollado en el departamento 5. 0 (tig. 10, fl que solió
entre los dos copos y tal vez el hollado en e l depar tamen to 6 .0 (f ig .
10, el. sin que en est e coso pud ié ra mos precisar su si tuación.
-
15 -
[page-n-91]
•
J . ALCACER GRAU
12
C)
Holla:a:gos
1) Hueso.-Sólo apareció un pequeño fragmento de punzón
(departame nto I ,G).
2) Vegetoles.-Diversos trOZO$ de carbón, segumment,e pino,
y gran cantidad de bellotos carbonizadas, en todos los departamen tos, aunqu e más obundont.es en los 3 .° y S.·, en el interior de pe!queños vasos.
3) Moluscos y objetos de odorno.-Vorios helix (iberus) 0110 nensis, uno columbelo util izada paro coll ar y uno cuenta d iscoida l
plana de piedra.
4) Me taL-Pequeño fragmento de cobre muy descompues to
(departa men to 6.
Q
) .
5) Silex.- Se recogieron 18 piezas en los depar tam entos I .A
,
3 ,·, 5.- y 6 .", de los que sólo merecen señalarse dos s ierrecitas (depar tamen tos ¡ .H y S.") (Hg. 6), que presentan en ti dentado la pótino brillante característico de estos instrumentos. Todos estos piezas de s ílex aparecieron en los copos inferiores entre el relle no del
sue lo.
6) Molinos y molederaS.- Se recogieron cinco molinos naviformes, a lgunos incompletos y muchos fragm entos de otros; sus medidos oscilan de 25 o 30 cm . de longitud por 15 de anchura y de 6
o 8 de espesor. Se hollaron en todos los departamentos menos en
el 4 .-, El mós comple to de los molinos so lió en e l departamento, 2 .".
También se encon traron tres molederos, dos requemadas y descom puestos .
7) Cuarcitas.-Los encontra mos formando dos lotes: uno en
el depa r tamento 1.0, consti tu ido por la pequeños can tos de ta ma ño menor que un huevo de ga llino, 9 núcleos o los que se les había
sacado lascas por uno de los extremos, 12 fragmentos de núcleos y
29 lascas, restos de fabricación (fig . 5) . El otro lote corresponde a l
departamento 6 .° y es tó formado por 11 'pequeños con fas rodados
enteros, 8 núcleos t rabajados por un extremo, un núcleo con seña les de rozamiento por uno de los extremos y 14 lascas. Es tos cuar·
ci tos, cuyo técnico r.2cu2fda 10 de los picos astu rienses, pr.esentan
señales de uso. Lo aparición de tol es útiles sorprendió o los excavadores de los primeros yacimientos en que 'S e acusaron, dando lugar
-
76 -
[page-n-92]
EL PUNTAL DE CAMBRA
13
o interesantes trabajos con sus diversas opiniones (9) . Hoy se consideran estos hallazgos como normales, pues suelen aparecer en
muchos estaciones del Neolítico y Bronce, llegando incluso o época
romano. Así podemos señalar su presencio coexistiendo con ceró ~
mi cos del Bronce en Ar.eias Altos (Opor to, Por tuga l) (10); en lo Cava
de Janet, de Tivisa y Cava de la Vilo, de Lo Febr6, en Tarragano
' ( 11) ; en la Coñoverasa, de Maratalla (12) y en el Cabezo Redon
do, de Archena ( 13). ambas en lo provincia de Murcio. Par nuestra par t.e, hemos hollado cuarcitas ta llados en los inmediatos yaci mi en tos de Covacha de L1atas y (astillar-e jo de los Moros. Es tas
nódulos de cuarci ta son muy abundantes en el vecino Cerro de los
Bolos. de los que tomo el nombre, y de este lugar se proveerían de
ma terio primo los habitan tes de l Puntal de Cembro,
Del departamen to 4. 0 es un .aspador de cua rcita formado de
medio can to rodado (tig . 7).
8) CerÓmicO.-Como en muchas estaciones va lencianos y catalanas, presenta este yacimiento lo mezclo de cerómicas de cor~
dones con incisiones, bos tas y de molo cocción, con otrOs lisas, sin
adornos, mejor cocidos y de ma terial mós depurado, fre cu en te m en~
te espa lulodos, tipos que acusan la mezclo en este poblado de 10
influencio hispano-maurit ano e ibero-sahariana.
•
(9} CONDE DE LA VEGA DEL SELLA: "Lo t,onsic¡60 01 Neolí tico ~I\ la coslo canlób!'ico", Aclas y Merno
nog,olia y P'enistorio, IV, Madrid, 1925, pag. 171.
M . PALLARES y L PERICOT: "Els jntiments as turians del Montgri", Anuari
de !' Inst llut d' Eslud is Co tolans, MCMXXI -MCMXXVI, Barcelona, 1931, pág. 27.
J. CABRE AGUILO: " Instrumentos lallodm en cuarci ta en el af<)órico de lo
provirlCia de Avila", Actos y Memorio$ de la Sociedad Espoí'iola de AntropOlogía,
Etnogrofia y P,ehistorio, X, Madrid, 1931. póg. 285 y ss.
J. MART1NEZ SANTA-OLALLA: "Sobre el Neoli lico ootiguo en España" , A ,~
tos y Memorias de Jo 5o(-iedo
C. DE MERGELINA: "El seudo asturiense de La Guardio, Pontevedra", Boletín
de EstudIOS del Seminorio de Arte y Arqueología de lo Universidad, tomo VI, números XX II o XXIV, Valladolid, 1940, póg. 22 y ss.
J . RODRIGUEZ: "A propósi ta del pre tendido rejuvenecimien to del asturiense dI;!
Lo Guordio", Ampurios, 111 . Barcelono, 19'11, póg. 135.
(10} F. RUSSEL CORTEZ: "Aspectos do Neolítico de Portugal" , A rchivo !lo
Prenjstorlo Levantina, IV, Valencia, 1953, pag. 91.
( It¡ S. VILASECA ANGUERA: "Dos cuevas prenjstóricas de Tivisa". Ampurias, 1, Barcelona, 1939, póg. 159; S. VILASECA ANGUERA y A. PRUNER: "La
(Ovo de 10 Vilo de la Febró, en lo Sierra de Prodes", Ampt.lrlas, VI. Barcelona,
1944, póg. 87.
(12) E. CUADRAOO: "El poblada arg6rico de Coñaverosa (Mo.-Olalla)". Saltabi, númerO$ 9 y la, Volenc!a, 1945, póg 5.
(13) E. DEL VAL CATURLA: "Una nueva estación del Bronce medite.-rÓneo
en Archeno", Bolelin Arqueológico del Sudeste Es.poí'iol, núm. 3, Cartageno, 1945,
pág. 50.
-71-
[page-n-93]
14
J. ALCACER GRAU
Lo masa en genero l presenta muchos impurezas, siendo abundan tes los gronos de cuarzo, mico, etc . Su imperfecto cocción produce manchas de distin tas tona lida des. Su color es rojizo, amari llento, gris o negro; su formo carece de regular idad, siendo d e espesor variable inclu so den tro de Jo mi smo zona . No obstant e, hoy
ot ros vasi jas más bi.en modeladas, con materiales mós depurados
y me jor cocción, que suelen estor espo tulodos. Lo ornamentación
se reduce a cordones en relieve con incisiones, incisiones en los bordes y.en la porte loterol, osas y ma melones.
.~,~
~
•
u
Fig. 8,-
l os cordones en relieve ci rcundan generalmente el cue llo por el
arranque de las osas, otras veces presentan un dobl.e cordón para leja y en o tros vasos forman adornos en abanico o en semicirculo.
Las incisiones .estón hechas con un instrumen to cortante; con
palito, punzón u ob jeto cilíndr ico que deja huello de sección semici rcular; con uno cuño de sección en V; y con lo punto del pun zón, forma ndo hoyuelos.
Los osos encontrados son tubulares ci líndricos de sección ci rcu .
lar, tubul ar.es a planadas de sección ova l, y en forma de cin ta.
Los ma melones son ci líndricos, troncocónicos y aplanados ha.
rizontol es.
En cua nto a las formas ob tenidas pueden redu ci rse o los sigui entes:
o)
Cuencas.
Pequeña fragmen to rojizo oscuro ex teriormente y negro en el
interior, de superf icie espatulada y ma melón ci líndrico junto 01
borde. Dióme t ro de boca: 13 cm. aproxi madamente. Departamen to
l.. (fig. 13, nj .
Gran fragmento de calor gris con ma nchas negros, espat ulado
inferior y ex teriormen te, de bueno cocción, con pequeño oso en cin.
-
78 -
•
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EL PUNTAl DE CAM BRA
15
tao Medidas aproximadas: dióme tro boca, 36 cm .; alt. 16 cm ., espesor del cuello 6 mm .; espesar de lo base, 9 mm . Departamen to
5.- (fig. 8, a).
Otro gran fragmento de color rojizo exteriormente y negra en
su interior, de superficie rugoso y pequeño mamelón troncac6nic.t,
cerco del borde. Mide aproximadamente : Dióm. boca, 37 cm., oh .
15 cm .; espesor del cuello 6 mm ., espesar de la base 9 mm . Departamento 3." es tra to primero. (fig . 8, b).
Fragmento, de color grisáceo, de un vaso pequeño de paredes
delgados, con tendencia a cerrar hacia el borde; pequeña osa ci -
,
L!...U...J....I .....
Fig. 9.-
lindrica que arranca del mismo borde . Sus medidos aproximadas
son : DiÓm. de boca, 11 cm .; alt., 8 cm. Departamento exterior 01
muro (fig . 11, ¡j.
b)
Pucheros
Vaso casi completo, reconst ru ido, de color negro in terior y exteriormen te, con muchos puntos d e cuarzo en lo maso, de buena
cocción y espatuloda; sólo tiene un oso tubu la r, de sección oval,
colocado verticalmente, y su base es pequeña . Con tenía t ierra ce nizoso y un pequeño carbón. Alt . 12 cm.; dióm . boca, 14 cm .; diá metro móx . 15 cm.; diám . base, 5'5 cm.; espesor cuello 6 mm .; de
lo base, 9 mm . Depa rtamen to 3.·, est ra to primero (ti g. 9, y lóm .
111 , o).
Fragmen to de maso rojizo siena con abundantes puntos blan cos; ti ene un mamelón de sección oval a lgo inclinado hacia aba jo
faci liltando la .suspen sión; llevo incisiones en el borde hechos con
un pequeño instrumento cilíndrico. Dióm . aproximado de lo boca,
14 cm. Departamento 3.·, primera capo (fig. 13, m).
Vaso casi completo, recons truido, de color terroso cloro, con
manchas y muchos impurezas en lo pasto, superf icie in terior y ex_
19 _
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16
J. ALCACER GRAU
tariar llenos de picaduras. Por agarraderos ti ene dos mamelones
aplanados de sección ova l, en posición horizontal. Ah., 24'S cm .;
diém. boca, 28 cm.; dióm, móx., 29 cm .; dióm, bose, 8 cm.; espeSOr cuello, 7 mm.; de la bose, 10 mm . Departamento 3 ,·, segunda
copo (16m . 111 , b, y Hg. 10, dI .
Vaso cosi comple to, reconstrui du, de caracte rísticos seme jan tes
0 1 anterior. Alt ., 20 cm.; dióm , boca, 22 cm.; diám, móx., 23 cm .;
dióm. bose, 7 cm .; espesor del cuello, 6 mm.; de la bose, 9 mm.
Depa rta men to 6.°, segunda copa (16m. 111 , d, y fig . 10, el.
Fragmen to de un vaso semejan te o los anteriores, de moso ro j iza con manchas negros y mamelón plono horizontal e incisiones
1
Fij). 10
obiertas en el borde. Alt., 15 cm.; diám. boca, 16 cm .; dióm . móx .,
17 cm. Departamento 5.~, segundo copo (fig. 10, f) .
Fragmento de pequeño vaso de cuello apenas iniciado, posta
amarillento en todo su maso, de bueno cocción y superficie picado
y pequeños incisiones en el borde. Departamento 5." (fig . 11, h) .
Fragmento de un vasito en el que parece iniciarse lo formo
aquillado, de color amarillo cloro. Departamen to 3.", primero copo
(I;g . 11 , g).
Fragmento de pequeño vaso de color rosado 01 ex terior y negro
0 1 in terior. Departamento 3." primero copo (fig . 13, o).
Pequeño fragmen to de color negro, borde vuelto hacia fuero y
superficie picado. Departamento 3 .", primero copo (tig . 13, pI .
Pequeño fragmento de un gran vaso de color grisóceo, cerómi ca liso, cuello muy exyasodo y gran panza . Depar tamento 2." (fig.
13, 1).
-
80-
[page-n-96]
EL PUNTAL DE CM-\BRA
17
e) Aquillados.
Fragmen to de un diminuto vasi to de color negro. D¡Óm . boca,
6 cm . Departamento l .·.
Vaso oI'econst ruible de paredes f inas, color rojizo doro, muy espatu lada, de maso de buena calidad y cocción. T iene una delgado
capo arcilloso ex terior. OiÓm. boca, 21 cm.; d ióm. de quilla, 17
cm.; ol t., 10'5 cm.; espesor de cuello, 6 mm.; de lo base, 7 mm .
Departamento 1.-, primera copa (fig . 12, j).
Gran fragmento de maso ro ji zo oscuro en el ex terior y negro en
el in terior, espa tu lodo y con uno pequeño aso tubu la r junto O lo
,
Fig. 11
quilla. De dimensiones semejantes 01 anterior. Departamento 3.',
primer estrato (fig. 12, k).
Fragmento de un vaso semejante o los antariores, pero de mayores dimensiones, con gran oso en cinto . Departamento 5 .-.
Fragmento de un pequeño voso de cerómico amarillen to, sin
que se puedo precisor su formo, que presen to en su parte loterol,
dispuesto de arribo o boja, uno sucesión de incisiones circulares
hechos con lo punto de un punzón. Dimensiones: a lt., 2'5 cm .; ancho, 2 cm. Depar tamento 5. (16m. 111, fj.
d) Ovoides.
Gran vaso reconstruido, de color negro, en e l que se destocan
mu cho los pun tos blancos de cuarzo y mico; dos cordones en relieve
paralelos circundan el cuello, uniendo los orronques de los cuatro
osos de que estó provisto. Los cordones llevan incisiones h echos
con un diedro abier to. DiÓm . boca, 37'5 cm.; d iÓm . móx., 53 cm.;
olt., 61 cm. Departa mento 5 .~ (Ióm . IV, o).
Varios fragm en tos de un vaso de colo: rosado exterior y negro
in teriormente . Posee un cordón en rel ieve con incisiones, un iendo
los orronques superiores de los asas, cuyo número no puede preci sarse. Es semejante 01 anterior, pero mós pequeño. Departomento
quinto.
-
S1-
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18
J. ALCACER GRAU
Gron YOSO recons truible, de cotor terroso exteriormente debido
o una delgodo copa arcillosa, posible engobe, Que ocul ta los impurezas de lo maso. D~ mayor riqueza ornamen tol qu e los anteriores,
presen to un cordón que, rodeando el cuello, une los arranques de
sus tres a sas aplanados, y del que parten ot ros perpendiculares
que lIegon hasta el tercio inf.erior. D.e una de los osas nacen en
aban ico otros cordones mas pequ eños. Alt., 51 cm.; d ióm, boca,
36 cm .; dióm . máx .. , 45 cm. ; espesor del cuello, 10 mm . y espesor
de la base, 14 mm. Departamento S,· (1 . IV, b) .
6m
Fig. 12
Fragmentos que no unen, de un gran vaso de color rosado exterior y negro interior, con cordones en rel ieve formando orcos y
lineas perpendicu lares. Los incisiones de los cordones muy abiertos. Resalto lo gran seme janza de es tos dos vasos con otros h alla _
dos en nuest ros excavaciones de Peño de la Dueña (Teresa, Cast elIón) (14) . Departamen to 4.- (Ióm . 111 , e) .
v
CONSIDERAC IONES GENERALES
La edi f icación ero sólida, con paredes de p iedra en lucida, cuyo
a ltura no hemos podido precisar -puesto qu e los muros descubier tos
no ll egan o los 0'40 m .
Nodo podemos decir de su a limentación animal , pues no hemos
ha llado el menor fragm en to de hueso en que fu ndarnos. Como res(14 ) J. ALCACER GRAU : "Dos es taciones arj)Órica$ de lo Región Levont ina" .
Archivo de Prehi~tor¡a Levontino, vol. 11, pag. 151, Valencia, 19<15.
-
82 -
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EL PUNTAL DE CAMBRA
19
tos de a limentación vege ta l t enemos los be llotas, abundan tes en
los encinares q ue cubrirían los mon tes ci rcundantes, y tri go que
cu lt iva rían en los llanos de los a lrededores.
Los frag men tos de sierra de sílex fo rmarían par.te de haceoS como los conocidos en ot ros es taciones de la época, en tre ellos la del
Mos de Menente (Alcoy); los molinos, ton abundan tes en todos los
-
11
].
Fig. 1:L- A 1/ 2
depar tamen tos, servln an poro lo molturación de bellotas y trigo;
algunos cuarci tas enma ngadru pudieron servir como rudimen ta rios
ins trumen tos agrícolas; la pieza de cerómica con dos agujeros tal
vez estuviera deSltinodo o lo fabricación de te jidos para la confección de prendas de vestir.
Los unicos objetos de adorno que podemos me ncionar son una
col umbela y uno cuen to discoidal de piedra .
No hoy vestig ios de sus armas.
El cosería tuvo la rga perduración, puesto de manifi esto por los
dos est ra tos seña lados y, aunque todos los materioles puedan atri buirse o lo Edad del Bron ce, no hoy dudo que en tre los ob jetos de
uno y a Iro nivel exis ten algunas di ferencias, con t rastando lo cerómi ca poco depurado del inferior con lo mós cui:::lada y esp:Jtulada
del superior, lo que permitiría aceptar un pariado mós avanzado
del Bronce, y tal vez influencias de procedencia céltico llegados o
través dE! los tribus de pos tores que circularían por aqu ellos vera dos.
Lo impresión gen eral es que 01 ser abandonado el poblado, sus
habitan t es se llevaron sus a juares y cuan to podía interesarlas, su·
-
83 -
•
[page-n-99]
20
J . ALCACER GRAU
fr iendo después el caserío los con t inuos expoliaciones na turales en
Jos lugares abandonados.
Lo proximidad de es taciones de época ibérica a las de 10 Edad
del Bronce, fenómeno que venimos observando en ot ras m uchos tu ·
gares de la provincia de Valencia, nos induce o creer que nues tro
poblado fue ocupado hasta fecho avanzada, trasladándose sus me ·
radores o o tro emplazamien to donde d esarrollaron lo nueva fo se
cu l·lurol ibéri co, de la que se encuentron vestigioS en 1 proxim i.
05
dades, como decíamos al pri ncipio de este trabo jo.
-
•
84 -
[page-n-100]
ALCACER GRAU .-Pu"tal d, Cambr,
LAM. I
b
r
al V,~IO de la ladero S.---b ) VIsta de lo ladera N.-e ) V,sto generol de lo e>tcClVoción.---d1 8CKe del tarreón
desde el O.- e) Lo larre dnde el N. -fl Restos de lo muralla por el S.; 01 fondo el Cefro de los Cabros.
(Fotos Alc:ócerl
[page-n-101]
ALCACER GRAU ._PII"'al de Camb.a
LAM. 11•
•
al
Rincón O. del de;Ja,tomen to 3." -1>1
treOn por lo ladero N .- dl
Departa mento 6. u y colzodo circular.- c ) Muro que desciende desde el to-
Pored y banco del depor tom(>nlo 6." -
el
Departamento 3 .", fragmen tas del "'ClSO
"In situ".
(f Olos Alcocer)
[page-n-102]
LAM. 111 .
ALCACER GRAU ._ P"n tol de Comb.o
d
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l.
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01 '1 cl.- Ceramica del eS!roto superior d(!1 D;:Olo. 3 ....
bl. -Vaso del es trato In/erior del Opla. 3 ....
d) .- Vaso del OpIo. 6.~ .
e J.- Fragmen to de ceramica del Opta.
' l. -Fragmento de ceramica del Dpto. 5 .... (Med idos en el lexto).
(Fo tos G.ollo )
[page-n-103]
ALCACER GRAU._II PUlllal d. CamOla
LAM. IV.
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[page-n-104]
PIERO LEONARDJ
(11.1111. ,
1 Ca!>tellieri della Venezia Tridentina
Quondo i Romani risolirono le valla t e Alpine per estendere il
Joro dominio sulle popolazion i della Rezio (Genouni. Venostes, Isor·
ei. Breuni¡ ecc.) dovettero superare non lievi difficolto nel I'espu·
gnare i numerosi for tilizi che coronovano le sommito dei colli fion cheggionti le principali vie di camun icaz ione.
Arces trcmcndis Alp'ibus impositos chiamo Oroz ia questi far ti ·
li zi nella suO ode Q Druso, il conqu isto tore dell'Alto Adige (1) e da
questa s tessa citazione risu lto chiaro I'icnpressione che essi dovettero esercitare sugli invasori romani.
La fondozione di insediomen t i umani sui coll¡ dello regione
sembro risolire o tempi obbastonzo lontoni, all'Eto del Bronzo o
oddi ritura oll'Eneolitico, ma quest e cu lture piu on t iche sono rappresento te piuttos to sco rsomente ne lle s tazioni preistoriche otesine, mentre ci sono orma i perfetta mente note le cara tteristiche degli obi ta t i dell'Eto de l Ferro e dell'Eto romana.
I villoggi fQrt ificat i di cui s tiamo parlando, sono chiamoti
co.tellieri con una denominozione che risale obbos tanzo indie t ro nel tempo, poiché la troviamo -variamente altuala, ma sem pre focil men t e riconoscibi le- nei vari dial etti dell a regione : eostelir, casi ir, castlier, costelar, cOltelera, caltelot, castin, castion,
cosloc, costelos, costel pagano, geschlir, sehleier, ecc. Analogo si ·
gnificata ha ji t ermine tedesca Burgstall , dal quale derivona, anche
(11
D,ulu Ge naunol , imploddum genu,
lI.eunosqu • .,eloen d Q,ee,
Alpibul impolita, " emendil
De iec" ~,. (od e 14 .~ Nov. lO 5eog.L
-
85-
[page-n-105]
2
P. l ,EONARDI
in zone ¡talione, come ricordo d i popolazioni nordiche immigra te,
le denominazioni pu re obbastanza diffu se di Postol, Postel, Postal,
Bostel. I motivi che honno spi nto gil an t ichi obitatori della Venez io
Tr identina aporre i propri insediomenti su llo somm ita del colli sa no fod lmente intu ibi li.
N
...
..~
~.':
".
:
Fig. 1. -Sch in o lopogrolico del cos lell iere d i S. Pie tro di Fle (Vals). (Ri lievo den'
autore).
·Innonzitulto lo necessi ta di defenders i dog li attacchi di popalerisol to che fino olla conquis to roma na le popolazioni re tiche erano t utt'ol tro che omog anee e pacificomente conv iventi- sio m igron ti da l nord o dol sud;
e probobilmente anche dalle belve (or5i, lupi, eee.) che infestavano
le selve circastan ti.
zion i nemi che, sio indígene confinon ti -
Ma poi anche la magg iore so'ubritó delle. posiz ioni elevo te,
tenendo presente che speciolmente neHe valle del!' Adige iI d ivagare de' fium a su, fondo oll uvionale dovevo dar origine o zone pol us-
86 -
[page-n-106]
3
I (ASTELLlERI DELL A VEN!::ZIA TRIDENTINA
tr i tutt'oltro che propizie oll'insediomento permonen te. Del res to
lo costruz ione dei cen tri a bito t i in posizioni dominanti non e eselusivo delle popoloz ioni otesine e si puo di re che tole usonzo e
ossoi diffu so in tutte le regioni mon tognose e collinose del boc ino
mediterroneo dalle rive dell'Asio m inore f ino olla st retto di Gibil -
1"
5
o
10
~o ~
I'W w.iC,,~"oJ~==..====3i..........!
E..
Fig. 2.- Pio nlo del coslelUere Volnelsch-Kol zenlocherbühel
(R llievo di Giorgio Innerebner j.
presso
'o, "
l.: 1"
COSlelrollo.
t erro, porticolormente nel periodo di Lo Tene, mo anche in epoche
anteceden t i.
Bos ta pensare oi costellini dell' ls trio, della Bolconia e del10
Ugurio, oi Cast e!lars detlo Francia meridionale, e oi nume rasi C OI -
87 -
[page-n-107]
4
P. LEONARDI
t illares, castellares, c:o$tillitos e cQstellets delta Catalogno e de l]'
A ragono (2) che presentono tutt i s troordinarie onologie con i nostri ..,i 1 099i fortifica ti della Venez io Triden tino (fig . 2, 3 e 4).
1
Come si e delta i cas leU ieri sono frequenti sopro tutto sui collí
che fionc heggiono i fondivolle, in posi zioni che dominovono le li-
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0-,
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CAS'TELlltRE (BVRGl'rALL)
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DI VANPDlfJ
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Rg. :I.-Pion lc del Coslelliere di Yor>doies d i Sollo (N iedervintll . (Do Adrion Egger, 1941 1.
nee di comun iCQzione.
Essi sano qu indi frequenti soprotu tto nelle
vollate principali de!l'Adige e dell'l sarco, e porti colormen te nello
conco di Bolzano, e nell'Oltreodige, che nell' Et(¡ del Ferro risultana densamente obitoti .
(2} Colgo I'occosione per far rllevore la sl raord inoria somigliom:a d i ale",n;
vas; fillilí del cas leUicre Ircn tino del Dos Zelor, con analoghl vasi rinven",U in
ale",n; insedklmen li preistorici dell a regione d i Valencia ri feribili al periodo d i l o
Time.
Vedi: 1. BAllESTER TORMO: "UI'\(I$ cer6micos interesontes en el Valle de
Albqldo", C",It"'ro Vol enciono, 111 , c. O 3 / "1, Valencia, 1928, fig. 7,1 e Hg. 9.
-
88 -
[page-n-108]
I CASTELLlE RI OELLA VENE Z lA TRIDENTINA
5
Non mancano peró numerosi esempi di costell ieri onche nelle
volla te loteroli (Val d i Non, Val di Cembra, Vol d i Fiemme, Pusteria) , e perf ino nelle volli piú prossime olla spartiocque a lpino.
Fino o pochi onni or sono si ritenevo che questi forlilizi preislorid non onlrepassossero peró una certo allezzo oggirontesi su i
•
-10
'5
o
40
10 .....
,13wOE,""R,,"EIOE====3__iii_ _;;;I'
Fig. 4. -Pio nto d el cos telli ere e rur nefwo nd pre5SO Comedo (Ko rneid) . (Rilievo d i
Glorg io Inn erebne r) .
1.O metri. In realto le piu recenti scoperte, confermando le leggende lad ine che parlono di on t iche popolozioni di postor! e di
guerrieri obitanti sugli altipioni dolomitid e sulle montagne dell'
Alto Adige, ci honno dimos trato che insediomenti preistorici e protostorid di questo tipo ovevano roggiunto onche le dme di monta-
89 -
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P. LEONARDI
6
gne obbostonza elevo te, quali lo Roeca (m . 2439) (fig . 5 e 6) Ira
Bolzano e lo Val di Fiemme e JI M del Paseota (m . 2439) che domino lo conco di Bressanone.
Evidentemente Questi insediomenti casI elevol1, quondo non
ovevona un 519nifi coIO religioso, come iI luogo di culto del M. Coslello (Burg stall, m . 25 10 ) nello Sc ilior, che pero non presenta 01 cuno traedo di vallo o di costruzioni, roppresentovano luoghi di ri ·
fugio per le popolozioni degli a ltipion i so ltas tenti in t empi col o m itosi per lotte fra tribu e ¡nvosion i di popoli, e probabilmente venivono anche in lempo di pace come posti di vedetto e di segnalazione medi an te fu och; e ahri meni ott ici.
I fuochi che ancaro oggidi vengono ocees i sull e montogne delle
Humus
@íil
Terra scura carboniosa con restl
cultural!
Terra sabbiosa giatlastra
Roccla podlrlca
e
Fig. 5.-Profito 5C hemol ico Nord-Sud del cos lelliere del M. Rocco. 11 nord a d esIra.
(Disegno dell'oulOfe)
vollote t rentine 0110 vig ilia di quolche grande fes to religioso (per
esempio in Vol di Fiemme oHo vigilia del!' Assunz.ione) derivono con
ogni probobililo do questi fuochi preistorid occesi sulle dme o
scopo religioso o di segno lozione.
Fino od oggi sano s lote segnolote nella. Venezio Tridentina,
spedalmenle in Alto Adige, alcun e centinaia di questi coratte ri stid villaggi forti fica ti. 11 solo Ing . G. Innerebner oHa cui gentil ezzo devo al cune delle piante e delle fotografie qui riprodotte, ne ha
finora individua ti oltre 400.
La configurazione del Castelliere e a ssai cora tteris t ica: lo sommito dei dossi meno facilmente accessibili e ci rcondo ta do un muro
d i larghezza abbastanza rilevante (normalmente phi d i un m e tro,
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8
P. L,EONARDI
o Goide fi no a m. 1'75) e di alIeno vo riabile. Le pie tre sono di
grossezza ossoi vario: talara si honno veri e propri mur i con 9 r05se pietre (fino o un me t ro e men o d i lunghezz:o) regotormen t e 50 vropposte le une elle ol tre, come od esempio nel Jobenbühel sopra
Mon t icolo (fig. 7); in al tr i casi le pie t re $000 a nche abbas tonza
minu te e si dovettero oyere piuttosto dei volli d i sassi mistj o fe rro
piu ttosto che ve re e proprie m uro.
... •• Muri strat ¡f ica.ti
'1st R'st¡ cH', vaUi
14111 Se u i a,n ti cll¡
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Fig. 7,"
Lo malta per lo piu e ossen le e si tro to d i mur i O secco, mo non
ma ncano esempi di cost ell ier i con m ura le cu i p ie tre sono connesse
do molto biancost ro piu ttosto scoden te.
Tolvolto il vallo peri fe rico ci rcando de l tu tto I'i nsed iomento,
mo obbostonzo frequentemen te esso e invece incom pleto, quondo
su uno a piu la tí del calle pore t i scoscese castílu ivono uno di feso
not urole. Viceversa i lo t i pi u focilmen te occesibi li sano spesso di·
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I CASTELLtERI DELLA VENEZIA TR IDENTINA
9
fesi da due o piu vall; suceessivi piu o meno cancentrici e talara da
fassati, e non moncono in vari casi, attarno al valle principale, a
quota piu bossa, piceol i valli semicircolor i e variomen te odottat;
alla morfologia del call e, rispondenti od avamposti, che richiamono
concelti dello fortificozione moderna.
In alcuni costellieri vi seno indizi di torri o pionto circolare o
quadrata, collegole calle mura periferiche o ¡solo te al cen tro dell'
insediomento.
Fig. 8.- Coponno loppone di romoglio e zolle di 10. 00, che puO dore un'ideo dello
Slru tt uro delle copenne o base elrcolore dei coslellieri. (Do H. A. Bernol.
z ik, 1935).
Lo stoto di conseryozione di quest i volli e ossai vario. In quol.
che coso si honno traW di muro ancor ben conservati che si olzono
per qualche metro suJlo superficie del terreno (Tav. 11 , figs . ¡ ·3) .
Mo piu frequentemente I'ozione degli agenti otmosterici o I'opero
dell'uomo hanno quasi completamente demolilo le opere murorie
losciondone sussistere solo dei cardoni di pie trame sconnesso ---<:0·
me od esempio nell caste lli ere dello Rocco (Tov. 1, fig . 3) e in quel·
lo tuttoro inedito del M. Cas tello (Bu rgsta ll) sopro Ponte Noyooppure le sole fondozi oni appena offioronti dol suolo, come sul calle
di S. Piet ro a Fie (fig 1) .
Non soro mole accennare qui, o proposito di quest'ultimo cos·
telliere, che malta spesso sulla sede di questi antichi abi toti ven ·
nero costruite fortificozioni romane, barbariche O medioevoli (si
veda od esempio il Costel feder presso Oro in Vol d'Adige) (Tov.
1, fig. )) o ch iese, per lo piü dedícate o S. Pie tro, uti)izzondo i ma·
terioli delle murag lie preis toriche e COU50ndone quindi la piu o
meno totole sporizione.
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93 -
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10
. P. LEONA RO l
In a ltTi cosi la distruzione dei vollí e dovuto oll'utilizzezione
delle pietre da parte dO!i contadini per costruire i muri o secco che
delimitono i pascoli e le culture. CiD e ovvenu to od esempio --o
Quonto mi ossicurono gl i abi tanti del pasto-- su l Dos Zelór in Va l
di Fiemme, su l que le restono ben sco rse trocee dell'originorio vallo
perimet role.
Le obitazioni in general e eTano mol to primitive. Ve ne sono di
vOTi ti pi, o pion to quodrong olo re e o pian la circolore o ellittico. Le
pri m e ovevono per lo piu una bose in muraturo di pietre con o sen ~
zo mol to ed eTano costru ile per il resto in legnome onologa mente
a molti fienili a ttuoli deHa zona (ba ite ) con i quoli ques te ontiche
abiloz ioni dovevono oyere molti pun li in eomune (To\!. 111, fig . 3).
Fig. 9.-CovoH ino di !>ronzo con iscrlzioni dell o stlpe votivo di Sonzeno. (00 G.
Roberti, 1950).
Non manca qualche esempia di vere costruz ioni in murotura. Presso Br·essanone ne furono ri nvenute olcune de lla base di m. 5-8 per
2 e con muri che roggiugono I'altezzo di m . 1'70. Quolche vol to
esse erono apoggiote con un lo to e llo roccio, che risulto inciso in
corrispondenza (Tov. 111, fi g. 2) . Le dimension i sano varie. Quelle
do me scavo te sul Dos Zelór presentono de 3 o 5 me tr i di loto.
Le caponne a pianto circolore per lo piu non honno base in mu ro turo, ma erano semplici buche scovote nel te rreno ricoperte probobilmen te do un tetlo canica di romi e frasche, e presenlona nolevoli onalogie con i classici "fondi di caponne" di molti insediomenti preistorici dello pianurc veneta e podano. A questo tipo op-
•
94-
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CASTELLIERI DELlA VENEZ lA TRIDENTINA
11
partengono le obi toz ioni del piccolo costelliere dello Rocca (Tav.
111 , fig . 1). Esse dovevano presentare notevoli anologie con cerle
coponne attuoli della lapponio (Hg. 8).
I vori tipi di copanne risultano talara assacio t i. Nei tempi piu
ontichi le abitazioni erana turte comprese en tro il vallo. Ma col!'
aumen tare de lo popolazione lo sammitó dei colli non fu piu sufficien te a con tenere I'obitoto, e ques lo si esponse sui ripioni e suJle
pendici circoston ti, dimodoche il costelliere vero e proprio venne o
roppresentare solton to il ricovero in cui si rifugiovo lo popolozione
in coso di pericolo. Un tipico esempio ne e I'insediamento del Dos
Zelor in Vol d i Fiemme, in cui il costelliere suJlo sommito del colle
risponde oppeno od un quorto dell'oreo roggiunto dal villoggio in
epoca romano.
In general e quesli coste ll ieri venivano cost ruiti in prossimito
di sorgenti o ruscelli in maniera do po ter disporre perennemen t e
del preziosa elemento. Non moncono pero esempi di covi to noturoli o ortificio!i nelt'ombi to del vallo, che eviden temente dovevono
servire per roccogliere I'ocquo piovono in tempo di ossedio.
Non ci sono nole frequentemente le necropafi de; vad cos tel lieri, dimodoche obbiomo notiz·ie meno obbondon t i di quonto si
posso ritenere sui riti funebri delle relotive popolozioni. A cio si
oggiungo che in general e le sepolture preistoriche e protostoriche
otesine sano ossai poW!re di corredo, dimodoche spessa non ne e fo ciJe iI riferimento cronologico.
Nelle necropoti riferibili 0110 popalazione vene to prevale il rito
dell'incinerazione . I res ti dei cremati venivano depasti in piccole
cisle di las.lre di pielro oppure in vosi di lerrocotto. Uno dei piu
clossici esempi di necropoli con sepolture di incinero ti e quella scoperta o Monguelfo in Pusterio, che comprendevo 25 sepolture.
Non moncono pero esempi di sepolture secando iI rito dell'i nu mazione, che va onzi diffondend05i nella regione verso lo fi ne del
periodo di lo Te!1e e nel periodo romano. Citoro il c1assico esempio
de llo sepol tu ra doppio di Stufon presso Ortisei in val Gordeno (Tov.
IV, Hg . 3) e della piccola necropoli di Costello di H .:!mme (fig . 10)
(viO Avisio) e di Covolese (vio Posquoi), quest'uUima .riferibile al
IV secolo d . C.
In c¡ues te necropoli gli inumoti sano distesi su pi ni con le brac cía di stese lungo iJ carpo o incrociote' sul tronco.
DelIa religione degli obi totori dei coste Uieri, e in generole delb
r.egione ofesina obbiomo testimonianz-e obbostonzo notevoli e spes -
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12
P. l.fONAROI
so molto suggest ive, che troyano riseantro nel substrato di o1cune
Ira le piu poetiche leggende ladine.
La piu carotterislico e certamente costituita dalle tomase statue -mznhir, (Tev. IV, fig. 4-5) che scaperte dopprimo o Lagund:::l
(Algund) e a Termeno (Tromin), sono sIet e recentemen te rinvenute oncl-re presso Bolzano (3) .
•
Questi importantissimo repe rti, che venivono l empo oddietriJ
rHerili oll'Eto del Bronzo o addirittura oll'Eneolitico, sono attuol·
mente - piu a rogione e porer nostro-- ottribuiti oll'Etó del Ferro
o 01 massimo 01 periodo di t ronsizion'e trQ 8ronzo e Ferro.
Vanno poi r icorda le le obbondon t i 91ipi votive, costitu ite do
oggetti fittil i o meta ll id. T ro quest'u ltim i VQMa ricordoli i piceoli
Fig. lO. -Schelelro dello picc:olo necropoli di Coslello (Vol di Flemme). 1I cronio
ero slolo osporlOlo do .... no SCOYO precedente.
•
bronzi con in teressonti iscri zioni di Sonzeno (fig. 9) e do miglioio
di enelli bronzeiscoperti nel 1831 presso S. Mourizio (Moritzig) in
prossimito di uno sorgente sulfurea.
Tra gli anlichi sentueri della regian2 atesina merito un cenno
perticolore quella, gio citota, scoperto su llo sommito del M . Costello (Burgstall ) nel gruppo dello Scilior, per lo suo quoto eccezionolmente elevota di m. 2.5 lOs. m ., in cu i vennero riscontrO le indubbie test imon ianze di r iti religiosi consistenti nell'occensione di
enorm i rogh i, su i quali ven ivono brucioti animoli per lo piu doma:itid, e in libogion i con carotteris l ici boccali rost roti (Tav. V, fig . 6).
Secondo G. Inn2rebne r uno no tevole tes timonianza dello reli gione ol tootesina de'Eto del Ferro sarebbe costitui to do l costelliere del Jobenbühe l presso Mon t icolo, ji quole in reolto non roppresen terebbe un fortilizio, mo un luÓgo di culto .
Infatti ¡I muro perimetrale oltreche essere cos tituito con eccezionale perizio lecnico (Tav. 11, fig . 1), presento uno s tronissimo
•
131 Debbo Quest' .... lt imo segnolo1.ione 0110 tar tesio del Pro l. Rmmo, direllore
del Museo Ciyico di 8ol1.ono.
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I CASTELLlERI OELLA VENEZIA TRIDENTINA
13
pion to, con un prolungomento, uno specie di vio d'ingreso fionch eg ·
glota do mu ro, il cui osse nel Irotto inlerno indico il punto dell o
levoto del sale n2 1 solstizio inverna le, e nel tratto esterno moslro
lo corrispondente direzione del tramon to (fig. 7).
Sembro del resto, sempre secondo G. Inne ~ bne r , che I'astrono ·
mío -probabilmen t e in relozione col culto- fosse gi6 olloro col ,¡'voto, e che essa abbio de "~rminoto, anche in al t ri casi, port icolorí ori-en tomenti delle opere murorie o addirituro lo scelto del luo
go d'insediamento de i costellieri.
Fig. II . -Elmo in feno di l ipa cellico rinvenuto
Zomboni, 1(38).
O
S. Mou, l:. io. IDa P. LoviO"..o.
I! probobil e che obbiomo ín relazione con rit i (eligiosí le fre quenti coppel le tuttoro conservole sulle superfici rocciose l-evigote
doi ghioccioi o su mossi isolOI;, 2 cert i conoletti, pure incisi sulla
rocciO, che ·non raramente sano collegoti con le cappe ll e.
Meno chiaro e iI signi f icalo di olcuni p,~trog1i t i, che pur non
0
0
raggi ungen do neonche lontanoment e 1 ricchezzo e 1 elegonzo di
quelli de llo Vol Comonica, sano sta l i segnolali qua e 16 nello V alle
dell' Adige e nelle volli vicine.
Ricorderemo Ira ques t i gli slrani grofiti rami fico!i do me scoper 'i nel Das Zelor in Vol di Fiemme (Tov . IV, fig . 1) e quelli u lt;mam ente individuoti pure do me nelle ad ioc:mz e del Cos telfeder
presso Mon logno in Vol d'Adige (Tav . IV, fi g. 6) .
Circo lo vilo príva to e le usonze d~i costricoli o tesin i lo s ludio
dei moterioli provenienti do cosuali rinvenimen ti e soprotulto do
scovi regalar! ci fornisce dol i obbas lonzo obbondonti e precisi.
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14
p, t.,EQNARDI
Lo suppelle ttile sio fittile che metollico rivelo un livello culturole notevolmente elevata, specialmente nella secando Eto del
Ferro, nelle vallate principali (Valli dell'Adige e dell' lsarco) e nell '
Anounio (Val di Non), che per lo SUD grande f er tilita e per la SU;)
posizione o cO'lollo di uno linea di comunicozione ossoi importante
nello preis torio e protostada tra lo Lombardia e la conca di 601zo -
no, dovevo godere di un granae benessere.
Fig. 12. _ Ri cos tru:;ione dello cislo figuroto di bronzo
100 P. Lo vioso Zambo!", 1938).
loml ~o lO
di S. Mouri zio.
Lo ceromica della secando Etó del Ferro roggi ung e una perfe ziene tecnko assoi notevole e uno eleganzo di sogome 'C di ornoti
veromente deliz iosa nei suoi tre ti pi fondomenloli di Sonzeno (f ig .
13). di Meluno (Tov. V, fig . 5) e di Luco (Lauge n). Ques t'ul mo lipo di ceromico, derivonte del secando per groduol e evoluzione, pe r lo fil")!!zzO dell' imposlo buccheroide e per lo nob¡1t6 d2110
conformozione e degli ornoti roggiunge un livello veromente ele volo (Tov. V, fig . 6).
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t CA$TELltER t DElLA VENEZ1A TRIDENTINA
15
Anche lo recnico del metal1i si dimostro ossai progredita fin
dall'Eta del Bronzo con utensili enei vad (coltelli, rosoi, oghi, crinoli, ormille), mo sopro tutto con le oscie od olette, con i pugnoli
e con okuni mognifici esemplari di spade (noto sopro tutte que11a d i
Siusi ), che "eró non e ofotto escluso vodono in porte riferiti 0110
la Etó dl!1 Ferro per il ben noto fenomeno dell'ottordomento cultu role nelle voll¡ olpine.
Nell'Eta del Ferro, especialmente nel periodo di Lo Tene i mo nufotti metollici (fibule tipo Certoso e Lo Tene, pendagli, oscie,
oghi, ormille, ecc .) divengono porticolormente abbondonti e pre gevoli, e comprendono -fro I'ollro--, olcune ciste e situle in bron-
Fig. 13. -Vasa 'i"ite di Sanl.cna. (Da P. la ... i~-ZQmban ¡ , 1936).
zo lominoto e lovoralo o sbolzo che presentono strette anolog;e
con famas; e.gemplori delle culture atestino ed et>rusca, ed honno
un enorme interesse anche dolpunto di vista documen tarío pú j
costumi e le scene che rappresentano (fig. 12) .
Gli scovi compiuti recentemente ci danno notizie anche sulle
obitudini culinarie dei coslricoli otesini. Nelle sta zioni preistoriche
abbondano le osso di onimoli, per 10 piu spezzote, evidenti rifiuti
dei posti. Tro gli onimoli rappresentati prevalgono nettamente i
domestici (pecoro, capra, bue, maiole) ma non moneo quolche rappresen tanzo de; salvotici, consisten te per lopiu in osso o corno di
cervo e d i slombecco.
Risulto dunque eviden te che le' popolozioni otesine dell'Eto del
Ferro praticavano su largo scola ,'ollevamen lo del bestiame, pur
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16
P. l'EONAROJ
non trascurondo lo caccia oi nobíli abitator; delle selve e del
monti.
Circo I'epoca di fondozione dei costellieri obbiomo ancora ben
scarsi dati, perche finara sono pochi ¡ costellieri nel quali sono stoti fotti scovi m etadici con criteri strot ig rofici .
Come obbiomo 9;0 occennato, j piu antichi insediamen ti umoni nella Venezia Tridentina sembrono risolire a lmeno oll'EneolitiCO. Me non ci sono elementi precis i per stobilire che j cara tterist ic i
villaggi fortificati di cui ci st iomo occupando ri50190no o qu es t \~po
cc. Si puó ¡nvece ritenere abbos tanzo fondota la convi nzione ohe i
piu onti chi castellieri siona stoti fonda t i ne ll'Eto del Bronzo, in
quanto nei res t; cul turoli rinvenuti in oleuni insediamen ti d el gene·
re figurana aleuni repert i - sca rsi a dire il vera- ch e tipo!ogicamente sono riferibi li olJ' Eto sudde tta (4) .
Lo maggior porte pero delte opere murori e e dei resti culturali
dei costelti eri sono riferibili all'Eto de l Ferra e soprot ut to 01 periodo di Lo Tene, e lo assaciozione - consto tata anch e da me pe rso·
na lm en te- di monete romane de l periodo impe riale (fina 01 IV
secolo) a i res ti culturoli dellJl periodo Lo Tene nei fond i d i capenne di aleuni costelli eri (Tov. VI, fig . 5-6) d imostra che qu esti inse diomenN prosperorono conservando la cultura ind igena fino oi pri·
mi secali d. C.
Non in frequentemente i rest i del costell ieri presen tano trocee
indubbie di incend io, e mostrono che I'insediomen to ha ovulo fine
con catostrofi de l genere, mancando tes timonionze cu lturoli dei
seco!i successivi. Per esempio sul Dos Zelór, in cui tutti i fond i di
co pon n~ mostrono uno strola di co rboni, evidente prodotto del crallo dell e soprostrutture lignee corbanizzote, non c'é oleun repert:)
ottri buibi le a secoli successivi 01 IV d. C.
In altri casi, come gio si e occennoto, og li oppido ra moni, che
gio si erano sovrapposti a i castellieri preistori ci, successe ro farti lizi borborici e costelli medioevali , pe r lo cui cost ruzione vennero
utilizzoti i moteriali dei valli -preistorici .
Non si honno ancoro idee ma lta chiore sulle popolozioni cui sano dovuli i Costelli eri dello Venezi o Tridentino e che honno cer tamente appartenuto o stirp i d iverse nel corso del tempo.
(4) Ancne o questo proposito e bene pero tener presente i1 gio occenno to fenomeno dell'ollordomenlo culturole, in conseguenzo del quole non si poO ollribu ire o questi ri t rovoment i u n volore oS5Olul o.
-
•
100 -
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I CASTELlIERI OELLA VENEZIA TRIDENTINA
11
Al subs trato originario schiettom·: te m : iterroneo con eviden ·
m
d
li influssi delle óvi lto polafitticolo e terramaricolo della pianuro
padana, si savrapposera successivamente -Iralasciondo minori
ondale m igrotorie- piu o meno chioromente conosciute, come
quel la che ci ha losciato i ben noti "compi di urne" (5).
Vene li e Ga l1i, i quali, piu o meno amalgomot i Ira loro e con
il sudde tto substrato, vennero o cos tituire 0110 fine dell' Eto del Ferro
--01 periodo cu lm inan te dello sviluppo dei castellieri- una popolazione piuttosto et erogeneo che viene comunemen te indicata con
la denominoz ione di Reti, nello cui culturo risul tano ossimi loti, ta loro con no levoli attardamenti, e ,i elaboro ti in fu nzione dell e ca··
rotteris t iche a mbien toli, elemen li propri delle successive onda t e
cu ltu rali, e di popolozioni fi nitim e (fig. 11) .
Le nostre conoscenze su ll e antiche popolozioni della Venezia
Triden t ino ri mangono tuttoro olquonto lacunose, doto che fino od
099i g li s tud i si sano lim ita t i per lo piu oll'esome di mo terio le raccoi to casua lment e.
!: sperobil e che vere campagne sistematiche di scovo, condo tte
con severi criteri stra t igrof ici nei numerasi cosle llieri ind ividuad
nell'Alta Ad ige e nel T rentino, ei consentano di (isalvere i numerasi problem i che rimangona a ncora insaluti 01 riguorda di queS¡f i earatterist ió insediamen t i preistarici e protostorici dell e Al pi T rident ine.
151 Secondo recenli $t udi onche queslo ondoto migra torio dell'Eto del 8ron10
medio-$uperlore sorebbe ,iferibile o; Vene l;.
Vedó; G. B. PELLEGRINI : " A ptoposito de; Veneli" , pag. 3 dell'eslr.
-
10 1 -
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18
P. LEONAR DI
n en L 1 o G R A F [ A
11
21
3J
41
"
6,
71
81
91
BALLESTER TORMO, 1. - El code llet del Po rqu et; número 1 'de 10 Serie de
Trabajos Vori os d el ~y k¡o de Investigación Preh iSlo, ica, Va lencia,
1937.
Lo. ce.omico, ibéricos o. coiunh!1 va le nciana.; numero 10 de lo Serie
de Trabajos Varios de l Servicio de Investigación Pre his tór ico , Va len.
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21j
221
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2"
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27 1
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HOLSTE, F. -_ Die B.onse..,i, in den Alp en; Zei tschr. d . D. Alpenverei n~.
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Di e Logl olger Wollbul g be ; S. Ouoldo_Siu. i; ¡bid . 193 5.
Die Wo ll burg Bsloue lbiih f!/ bf! i CoJlepi etro ; ibid . 1935.
Wollbu.ge n Kolm büh el und B.unne ,wond om Ko.ne idc.bf! . ge; ib id.
1935.
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Die Woltb\lrg Gondbe tg ; ¡bid. 19 36 .
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102 -
[page-n-122]
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I CASTELLlERI OELLA VENEZIA TR IDENTINA
,q
32)
" )
34)
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'6)
n)
")
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741
-
10 4 -
[page-n-124]
LEONARDI .-Col tellie,i dello Vcnu;o TridentinG
lAM . I
, - --
I - Vcd!.lta del Cos lellcder pressa Ora in Val d'Adige. Fo!, P. Leonord ,.
2 . -11 Dos Zelor pre~50 Cos lella in Vol d i Fiemme (Trenlino) . Fol . P. leonord i.
_.- Resli di muro del cos lelliere del M. Rocca (m. 2439 s. m .). FOl . P. leonardi.
4 . - Pendoglio d i bronzo del Dos Zelar.
[page-n-125]
LAM. 11.
LEON AROL_ Calte Ui e,¡ dell a Ve nn ia T , ide ll t ina
1
5
l. IV .. a del cas lell iere Jabenbü hel pr~sa Mon licala jAita Ad ,ge!. Fot. G.
Inneleboer.
2. MUlO del cas lelhere S,",chkopf pr~so Merono (Alto Adigel. Fa!. G. Innerebne •.
3. Muro del costell ie.e di Lombrechl presso Applano (Alto Adig el. Fa!. G.
Innerebner.
4.- Pcrle d , cotl ano del Dos Zelo. (Trl1ntino l.
5.-F,bula romano di lxon1.O del Dos Zelo •.
[page-n-126]
'JQlaZ sea '0110:> DJJaj 1,.11 0iOP:lj ap osad- '!;;
'(OUi l UilJjj JQlaZ saa lap ouow o oU!lnw 'P o juawwoJ::I- ' v
'IPJDU0iI1 ' d "j0::l "au,!J. 01 'p opo,jad lau pawa l SOJ lap IUO!Z
-0l!qD allap oapl,un aJop Qnd a..,p '(a6iPV o l IV ) ou6opa~ ossaJd OI IDa- "E
'! pJouoa-¡ "d "\0::1 "(OU ! juaJ.l) JQlaZ sea lap DUuodo:> iP 0PIJ0::l - "Z
"!pJDIJOa, "d "1°::1
'(6EvZ "w) 0:>:>01:1 "W lap aJa!lIa jsoJ lap omw iP !ISilJ a aUlJodDJ IP !pu0::l- "I
s
'111 'W"'1
[page-n-127]
LEONARDI ._Costelli et. lIello V. nuio Tridentino
.-Pelrogl¡fi del Dos leló, (Trent ino). Fot. P. Leonardi.
2.--Coppelle sul fondo di Una caponno del Dos lelór. Fot. P. Leonardi.
3.- Doppio sepoltura di Stufon in Yal Gordena. Da Y. Filippone 1942.
4.-Slalua-menhir di Logundo presso Merono. Do P. Lov;oso lombo!!; 1938.
5.- SloIUO-menhir d i Termeno (Alto Adige). Do P. Lov ioso lombe Oi 1938.
6.- Pelroglifi presso C<>Slelfed er in Yol d'Adige. Fol . P. Leo·ordi.
LAM. IV.
[page-n-128]
U ONARDI ._ e/lilI, III,rl d, lIa VOllllla Trldonlhlll
LAM. V.
¡
v
1
2
4
3
5
6
l.- Muro d'ongolo del ~ o$ t elhere del M . Rocco (m. 2439). Fot. P. leonord¡.
2.- Pendoglio d¡ bro nxo del DOs Zelor (Tren tino).
3.- 0!lo fi!lile del Dos lelOr.
4.- Voso fi!lile del Oos lr.lor.
5.- Boccole fi, ,,le di Meluno IMeloun). Do P. lovioso lombo ll i 1936.
6.- Boccolr buccneroide del M. CO$, e!lo $u!lo $ciliar. R i~O$ trux ione de U'ou .
lore.
[page-n-129]
,"AM. VI.
LEONARDI.-Ca, lell l'rl della Venu:la Tridentino
2
3
5
4
7
6
8
9
I . -Ascio di brom:o rinvenu/o presso Cos/ello di Fiemme (Trenlinol.
2.- Spodo d i bronzo rinvenu lo presso Siusi 0110 base dello Seillor. Do P. La*
viosa Zambolli 1938 .
3.- ,4.scia d i bronzo rinvenUIO presso Coslello di Fiemme {Trenlinol.
4.- Fibulo in bronzo d el [)os Zelor (Tren tinol.
5.-Maneta d i Costonlina rinvenu lo su! Dos Zel6f.
6.- Monela di Anton ino del Dos Zelor.
7 . -Spirole di bronzo del Dos Zelór.
B.-Armilla d i bronzo della ne<:ropali di Vio Posquoi o Covalese (Trenl lno).
9 .-Chiave romano d el Dos Zelór.
IO.- Pugnoletlo di bronzo del M. Rocca (m. 24391.
10
[page-n-130]
N.
LA M BOG L JA
(llalla)
La cerámica "precampana" della Ba!>tida
L'oppido iberico delta Bastida de Mogen te, si tuoto o ci rco 100
km. O sud di Valencia ( 1), lungo lo vio di pene t raz.ionc preromana
ha il li torale e lo Meseta e sul li mite approssimotivo fra il territo·
rio dei Contestoni e dei Bostetoni (lig . l .a ) (2), e uno dei giotimen ·
ti fondomen toli per lo studio e per la dete rminaz.ione cronologico
dei moterio!i del IV secolo o. e, e in spetia l modo deUa ceromi co
compano o vernice nero, nello Spogno e in tu tia il Mediterroneo
occidentole.
Scavoto in piccolo parte ho il 1928 e jI 1931 (fig. 2 .- e 3 .a ) esso
ti offre il coso, ossa; roro fino od 099 ;, d i un obi to to iberico che,
dopo un periodo di vito non lungo e lega to a circostanze storiche
finoro oscure, fu definitivamen te obbondonoto in etc anteriore
oll e guerre puniche; e fu, a quonto s.embro, un obbondono ropido
e improvviso, che, non avendo consen t ito og1 obi ton t i di dors i ad
¡
(1) ~ ol la ell :O 100 m. sullo pionuro circos lonle, che dom ino per un 10roa
roggio. l o cotlino, ¡sololO, e oggi e do lempa ;mmemoroblle del lutr o incol lo.
(2 ) Esso fa porle del sis tema d i oppido iberici d e l relrO lerro d I He me roseo.
pi on e d i Akro Leuk ci (eslremo nord de llo regio Contesto nio l, che oppalono ' orl e·
mente e Ueni:u:oli e di c!,Ji sano principali coposo ld¡ lo Serrelo de A1coy, Covoho,
Cos lellon d e Rugol e 10 $leSSO- Soetobi s (JoI;VO). E I'eslremo pun to ovon'l'O IO ver·
sa lo 'l'ono ;nlerno di Albocele (Ierr itorio de i BO tetoni ). c he appore pure apel lo
l
fin de l V secalo (bronze tt l di Rollos e del Uono de lo Consolm;i6n; ceromlco d i Coso
del Monte, Mino tedo, Salobrol, Hoyo de Sanlo Anol 011 0 penetroltione commerci:Jle e cuLturole greco. Cfr. F. ALMARCHE y VAZQUEZ : "Lo an tiguo civili zación
¡~,;co en el Reino de Volencio"; Volencio, 1918; A. GARCI A y BELLIDO: " His·
ponio grneco" ; 1948, t. 11, p. 70 segg., 81 segg., 114 segg. Se ji nome de La
BOltido non fosse comune Per "ol turo for tilico to" in lullo lo zona del ll!VQnle,
si potrebbe onche irrvnoginore uno sovropposilt;one oc! un coleo senlO nt ico Iro iI
suo nome e quello dei BOltetani, d i cu i o rigore polrebbe essere un pOSto OVOn2.010.
Mo nullo po.>O provorlo.
-
10S -
•
[page-n-131]
V
LENTlA
,
•
M["C.01(OPlU Io
DIANIU M
.,
<:>
A l to y
•
ALOllole
e
o
..~-,J
.KII.
l[UK(
Fig. I .---Co rta d eUo re-gíone I! wd d i I/alencia, con l'i nd icoJ.ione lopogrofico "ello
Bastida I! d eg li allrJ oppidi I! locolilo flnora noli per lo prll'SC!'nZQ di oggelli
di impor toJ.ionl! tronsmaflna.
1
[page-n-132]
LA CERAMICA "PRECAMPANA" OELLA BASTIDA
3
uno fugo orgonizzoto, losció in situ, sul suolo s tesso delle case
incendiat e e in porte crollo le, lo maggior porte dégli ogge tti di wso
domestico e quotid iono, in uno regione difficilmen te occessibile e
poco esposta a saccheggi. Di qu i I'inconsueta quan t itó di vosi integri o ricostruibili, e di altri oggetti di ogn i tipo, che le prime compogne di scavo hanno permesso di roccog lie rvi (3) (fig. 4 .- e 5").
Quondo, nel 1949, vis itoi pe r lo primo vaho il Museo di Valencia, fui immediatomente colpito sia dalla stretta rossomig lianza
dello ceramica o vernice n~ro della Bastida con quella della
necropoli di Ensérune (4) e con quello di a h ri oppidi dello Cotalogno (5), sio dalle eccezionele omogeneita del ma leriole, che non
sola non pre'sen to olcun inquinamen to d i oggetti pos l eriori al IV
secolo (6), ma a nche per quanto ,iguarda lo ceromice iberica off re
13j 1. BALLESTER TORMO e L. PER ICOT: "La BQ$lida de " Les Alcus~"
IMagen!ej"; in Archivo de Prehistoria Levon l,":>, I ( 19281, Valencia, 1929, pp. 179
e ss., con XX lavole. Gil scov; si sono sVQlti nella porle cenlrale e piu olla del 'oppida, la cui ci nla muraria si In lravcde ancora ai marg,ni del pianora. Una larga
e!plora:r.ione resla ancora posslbile, e resta pure da ricercare la necropoli, che darebbe cerio grondi risullal i. Nel10 mio visi la al SilO, il 17 settembre 1952, 'n
compagnia del Direl lore del S, 1, P. Domingo Flelcher, del1a Srto. Morio Ang eles
Me:z:q ujri:z: e del sigo Glner Boiro, un limi to tissi mo soggio d i scovo in una del1 ...
cbi lo:tioni ancora inlolle ha dOlO confermo del10 stra lig,ofia assoi semplice gja
onnala la dal Balleste, e dal Perlca l; SO ll O I' hum us recenl e si ,ncontra un primo slro_
10 di di5 Iru:tione, conle."pora neo o di poco 9QSleriore all'abbandona dell'oppido, e
uno Slrolo arc heolog ico in silu, im med io lamenle an terlore 0110 distru:z:ione. Ne5suno Iraecia si ha finara di un 'occupo:z:ione molto piu onlico del V- IV secolo a. C.
(41 xrivo inlen:tionolmen te "fose ibe,ica", rif erendoml 0110 necropoli del
IV-II! sKolo con cefamica campano, percne ri tengo che sio sopo-alulto Quesla, od
Enser une, la vera facies rOpPresen lolivo della eivil lo iberica, conseguenle 011'0"'_
vo deg!i lberi coo lo 1010 linguo e col loro alfobeto graf l ito su! vosi camponi. La
primo fase, ri!er ita 01 V 5«01 f"IO(1 e coro tler iu ola do olcuna serillo in coro Ueri
0,
ibericl e i vQ$¡ sana greci, pseodoioniei od md igen;' Sutla nKropoli e su; material,
di Enserune V. per Ola spedolmenle F. MOURET: "COlpuS Vowrum Anl;quorum,
Fran.c:e, N.O 9, ColIKlion Mauret lFoultles d' En$érunel"; Paris, 1929: J. JANNO _
RAY ; "Les fou;Ues d'Enseru-ne", in Revue AreneologiQue, XXVI, (19461, pp. l.
41; J . JANNORAY: "Los excovaciones de Enser une y el problema de lo cerómica
"ibérico". Estudio de es trat igrafía y de cronología", in Archi vo Español de Ar _
Queologío, numo 74, Modrid, 1949, pp. 1-20; J. JANNORAY : "Les !a uilles d'Enscir une el les ci villso tions préromoines du Mid i de lo Fronee", in Riv;s la di 3tudi
lIgurl, XIV, Bordigh ero, 1948, pp. 85-103.
(51 I phi sl,ell i roppar ll si possono 'inora osservare, oltre che con gli slroli
di Ampurios, con l'Opt)ido d i Cabrero de Mata ró (1 materiall sono visibili nel Mu _
seo Archeologko d i Borcellono; cfr. J. DE SERRA RAFOlS: "Lo coU ecció Rubio
de la Serna al Museu de Borcelona", in Anuo,i de l' lns tilut d' Estudis COlolan5, VII ,
( 1921-26), Borcelana, 193 1, P. 67 segg.1 cd oro on.c:he con Quelli dell'oppida di
Ullos l'et in provincio di Gerona, in corso di $Cavo.
(61 L'esome di tUllo lo massa del maleria!e proveniente dogll $Covi dl!'l 1928_
31, roccol to nei maganini del Museo di Volencia, ha pienamente con!ermolO I'assolu to ossen:z:a di ceromica pos ler iore 01 IV secolo. Fa solo ecce:tlone un hommento di compana B (formo 5 1, che, se non é ' rutto di confusione nello rcdal.io ne
dcU'invcnlar io, soro cerIo troccia di un cosuolc possog.gio di persone due secoli
dopo.
-
10 7 -
[page-n-133]
4
N . LAMBOGLlA
uno faci es del tutlo primi t iva, es troneo elle for me e oi t ipi d~co ·
ra t i"i che s i off"'rmano nell'e tó delJe guerre puniche e otl'inizio
delta romanizzaz ione (7). 11 ma leriole dello Bast ida, parolleloment e o que llo di Ensérune, ha perció servi to di base 0110 clossificozione preliminore della cerern ice compano (8), especial men te 0110 de-
Fig. 3. -P ian lc deU'oppido dello Bastida, con 1'¡l'Idicozcione d dl'oreo esplorO lo fino
o; 1929. (xola I : 6000).
t erm inozione delle forme e de lla c ronologia generale d i quello produz ione piu on lico, di tronsi zione Ira 1 cerornice al l ica nOn de0
corota a vern ice nera e quella piu propriomen te e sicuramen le ori ginario della Componía, a nte riore 01 300 avon t i Cristo, che ha proposto d i defin ire col term ine generico e non impegnotivo di "ceromico precom pono" (9).
,) Cfr. BALLESTER-PERICOT, 1. C., pp. 202-213 e tov . X IV_XV III. Lo ~tei
so lo PERICOT; "Lo céromique iberique de San Miguel de lirio", in Revue A'cneologique (V Iii, 1936, p. 9,) , iconosce I' es t,elt o offinito deUo cerom1co iberlco delta
Bastida col gruppo del!'Andol ucio, pi utlosto che Con quelto di Lirio o di ElcheArcheno, che 51 retrovo invece negli oppicl o piu vicinl 0110 cos to (in reol to pero li
divide principalmen te 11 diverio eronologico di circo 3 s!!'Coli! ). Uno penet,ot.ione
d i prado" ; dol!'ovest per vio d i terra resta possibile, sop,ol utto se si ommeltesse
che 11 terri torio d ella Bostida appor tene5se 01 g'uppo emico dei 8 0. tot oni pl u ttos lo
che o quello del Co ntn to ni. Mo, pe, non cad ere in errare, soro ne1:essorio primo
conoseere oltroverso oll,i giocimenti dello casio I'eso lt o !ocies de llo ce, omico iberico de l Levante nel IV secolo o. e .. e dis linguerla do quell o del III e d el II per
quonta riguordo le fOlme e lo decorot.;one. II lolto piu evi dl!nle il per oro he.
Ira le forme dello Bas tida. manco tOlolmen te iI "sombrero de copa". lo cui dalu
;"it.iole e per me il primo !ondomento do s tobilire per finare lo crooologio dello
ceromico iber1co.
(81 N. LAMBOGlI A: "Per uno clossi licot.iOl'le preliminare de llo cer:lmico
campano" , In Attl del I Congresso In ternazionale di Stoo i Liguri, BOfdighero, 1952,
pp. I 39-206.
(9) Queslo defini t. ione il nato oc! En$érune, nelle d iscusionl IIolo- froncospagnole sul problema dello c(!fomico iberico d uron te i C()fsi In terl"lOt.iOf'loll di
Slooi U;uri del 1949. Esso he il gran von loggio di elooere, per iI momen lO, 11 pro _
blema dello provenienzo d i queslo piu o n tico ceramico o vern1ce nero, che
premoturo voIer risolvere, e consente d i inclooervi onche lo proc!uz iOf'le o figure ,osse
del V e IV secolq dello Grecio proprio non d!!'C()fo lo.
e
-
108-
[page-n-134]
~':" U fY
n,
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CROpV,IS
de las excavaciones del poblado iherico
de la Bastida-Mo~en.e
Fig. 2,-
[page-n-135]
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[page-n-136]
5
LA CERAMICA "PRECAMPANA" O::LLA 8ASTIDA
Fig. 4.- Schema slraligra fi,a dtgli $Cay; S. I.P. 1928·31.-1. Humus retenle. 11 . Tena acc\A'TlUlala dopa la d.slruz iane dell'appida.-III. LlYe!la atcneo·
log ico in silu.
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Fig. 5.- Slrahgraf.Q rolevala nel iOggia di scova del 11 HllembJe 1952.- 1. Hu·
mus 'lKenle.- II . Terra accumula la dopo lo disl ruzione dell'app,do.
11 1. Tetra ton carbone e cene!!:!, ricco d. fronvllenll in Silu.
-
109-
[page-n-137]
6
N . LAMBOGLlA
Ritengo oro ut ile 01 progresso d eg li studi cronologici sull o st es·
so ceramica ca m pano, e in oUeso che nuove osservozioni e nuove
compogne di SCOVQ occrescono ulteriorm en te gti elernen t; d i giudi·
zio, corrispondere 01 earlese invi to del Servicio de Invest igaciones
Preh istóricos dello Diputación Provincial de Va le ncia (e in portiealare del SU D dire ltore D. Domingo Flet che r Vol1s) e pubblicore per
eSleso, con uno docum enta z ione gra fico adeguo to, tutti ; vos, di
t ipo precompono, di cui nel S U Q a rticolo preliminore i1 compia nto
don Isidro Bolles te r ha do to solo un cenno e uno serie limitot e d i
fo togra fíe (1 0 ). Tol e ricerco servira o tissore, pe r casI dire, gli incunabo]i della produzione o ve rni ce nero imporlc la nell'estre mo
Occ id ent e fin do l IV secolo, a s tob ilirn e lo diffe re nziozione do
que llo del III ed o de te rminare in modo piu preciso, se possi bil e, le
coro tter ist iche e I'evoluz ione cronologico delt a pr incipa l¡ forme
"precampone" (21 -28, e dalla 40 in poi secando lo "Class ifi cazi one preliminare" citata) che si di tfondono in Spogna gi6 ne l IV s'a ·
co jo a . C.
Primo di far confronti e di trorre concl usioni d'insieme e necessa rio I'ono lisi de ttoglioto di tu tto il mate riole e delle sue cora tte ·
ris t iohe, seguendo e s .... iluppondo lo serie t ipologico d~1I0 "Clossif icazione preli minore" ci to to.
FORMA 21
E ro ppresento to do uno ricco serie di esemplori, che di mosl ro no essere ques to il t ipo di piotto f ine d i uso corre nte 01 momento
della d ¡s t ru zi o""'~ dell'oppido. Essi sano di dimensia ni ....oriabili, do
un d iometra mossimo di m. 0'24 o uno di m. O' 11; tutti peró recono cara tt erist iche comuni, che possono ri ossum ersi como segue :
o) pos ta rossiccio, iden tica aque ll o dell o campano A dei se coll pos terior; 01 IV, in t olun ; esemplor i altera ta e divenuto piu o
meno grig io sio pe r ozione del fuoco nell'i ncend io dell'oppido, sia
per efte lto delta prolu ngo to o impe rfetto cottu ra;
( l O} BALLESTER e PERICOT, 1, c., PP. 19€-10 1 e ta y, XI - X I I. I d iseg ni tal
no tu,ali, ,idO tutt i di me to ",e l cli( he} sana SIan; l'$eg ui li a cu ra de l S.I.P. d i Vo _
!li
lencia , da l sigo Alcócer. Pe, lo riprc duz ione d elle pa lme ll e - problema tecn ica d i
asso; djff ic ile so] uziane volendone do,e u no ,oppreo¡e nlaz iane g ,of,co lole do pe' me rte,e con fl o" I, su lo'go seo lo sen zo lo visione d eU'origlnole- ro fin' lo pe' see g lie'e il sis lema d i riprod urrc i cole n, o mo tita, ol quonto C()!; toso, me I' un ico CN:
d io ,isol to ti sodd isfoc",r li. in luogo d el d is"'9no o d ello oncor pi':' cos toso fo togralia d i og nuna $U I fando del vaso.
_
11 0 _
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LA CERAMIO, "PRECAM?ANA" ORLA BASTIDA
7
bl vernice nera malta fine e brillante, ma in malti esemplari
carroso e irregolore o per lo stessa causo di incendio o per lo natura
del terreno di eonservaziane, e in non poehi esemplari sfumato di
rosso per ossidaz;one de11a fiamma durante ro cotturo;
el presenza costante del cerchio rosso, di tradizione ottieo,
privo di vemice, sullo superficie estema del piede e spesso anch e
nell'ongolo tro il piede e 10 careno; e in due esemplor; anche delta
deeorazione a cerchi a lternatamente rosso e neri sull'i ntero superficie 001 fondo es tema, diretta continuazione o reminiscenzo dello
stile ottico o figure;
d) presenza quasi coslante (saltanto due esemplari ne sano
privi) deHo caratteristica "unghia" sul bordo in terno del piede, che
formo un gradina sopraelevato di uno o due mrn . ri spelto oll'esterno;
el piede vertieare assai alto e rigonf ia all'esterno, in qualche
esemplore anche can rigonfiomen to a spigolo vivo;
f) pare te spessa nella curvatura, assattigriota verso I'arla, che
formo sempre una rientranzo assai mareato;
g) presenza costante, sul fondo eslerno, di un "umbitico" al
centro, piu o meno ma rcato;
h) presenza costonte (solo un esemplare ne e privo) deUa
decorazione a polmette sul fondo interno, quosi sempre accompagnola da uno o due cireoli di strio ture o rotello, osso; fini e regolori.
Le polmette sono sempre impresse, ossio col disegno incovato e
il margine esterno e i vuot; intemi a rilievo: soto in un caso (num.
17) ques ta tecnica peculiare del IV secola accenna ad invertirsi,
come di regala ovviene nelle palmette del 1n e II secolo (11) ,
I mo tiv; a palmette sono in evidente rapporto con la dimensioni maggiore o minad del vaso, cioe con lo super fi cie orizzontal e
disponibile sur fondo stessa, per lo sviJuppo del disegno decora tivo
In base o ta te rapporto di misura si possona distinguere, seguenda
le definizio ni che ha gia cerca ta di fissa re neHa "Class¡fieazione
preliminare della cerornico campano" (pog. 201 -203) :
o) palm ette callegate da una serie d¡ sattili so1coture o gam·
bi stilizzot i (in diversi eSémptari, 4, anche da un cerchietto cen·
j 11 1 Ques ttl dislin z itlne ho in l rodolltl oppcna di Sfllggila neJllJ " Cloniflu_ io.
ne p.climino,e" piu val le ci loro ¡p. 204,. EsSQ e in feollo un elemen to d i giUdo:tiO
fondomenltlle pe! flconoscere le polmette "prec;ompone" do queUe compone.
_111_
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8
N, l AM BOGLlA
t role) troce¡a te a mano, con tccni ca meno regalare che nei plU O~ ·
·'ieh; esemplari c u id (o pa lmete "combinote" con fes toni ed
ovoli) , me sempre obbastanza fine ed occuroto;
b) palmette simmetriche, rovvicinote a croce plU o meno re·
galare, senza collegamen to di so1coture, in genere Q gruppi d i 4
contrappost e, mo non ancora o contatto !'uno con I'altro ;
el palmette 099ruppate. oddosso te e spesso anche sovropposte
I'uno 011'0 11(0, o gruppi di 4 come le precedenti, suí vosi che affrono uno super fici e orizzontole oncoro minore;
d) senza palmete.
A questa di ff eren zio zione corrispondono i due gruppi fondu men ta ri di vosi delta forma 21 in t egri o ¡n.gron par t e conservoli,
che si posSQno descr i v~re como s~gue (12) :
PATERE DI GRAN DI DIMENSIONI
(con polmetle collegol.)
l . Es. con verniee nero brillonle ben conservala, munlto d i unghla ne l piede
e d i cerchio r0550 sul piede es lerno e sulla carena. Jnv. 8 1530. Proviene dol vo~
no 169 e doll o slrolo 111 (8 luglio 1931).
2 . Es. eOll vern iee brillante come iI prec edenle, munilo di ungh io e d i cereMo ,~so. Inv. 8. 1528. Proviene del V
3. Es. in arg illa pi.. S(;u ro e con verniee pi.. opaca, per d ife llo di co lt u,a, con
polmelle quosi del lutlO corrose e righe tta ture meno fini; piede ad unghlo, ce,ehlo
rossa nel piede e nello careno. Inv. 8. 133. Provie ne da i vani 2S-32. sen za Indi.
co zione di $lrO lo (24 lugUo 1931).
4 . Es. con orgillo ross.a e verniee O5$Oi ben conservolo, con piede ad unghio
oppena morco lo, cerchio rosso nel piede e nello careno. Inv. S. 168. Proviene dol
vano 6, SIrolo III fl 6 luglio 1928).
5. Es. in orgiUo ross.a S(;uro, con ver niee brillante non ben conse,vo to e orrO$$O to sull'orlo e sul fondo Mlerno; unghio nel piede completomenl e consun lO, cero
chio r~so consunlo nel piede e nello corena. Moho frommen lOl o e con quall .. o
~i fari di salda lurll anliche. Inv. B. 1529. DoI valla 212, $lrOlo I (IS lug Ua
1932 ).
6. El. ¡,ammentario, in argilla scuro pe, coltura, con verniee meno br illan te
pOCo Orr0550tO, piede ad un ghio, cerchia rosso nel pi!de e nella careno. Inv. 8 .
2 501. DoI vano 192, strota I (S lug Ua 1931).
PATERE DI DIMEN SIONI MINORI
a} con polm e ttc coll egole:
7. Es. In argi llo rossa, con vernice nero bri llan te moho consun la , in porte
afrono to; polmette Quasi comple tamente scomparse per corroslone d el fondo, u n·
ghlo e cerchio rosso nel piede. Inv. B. 153. 001 vano 75, s tra to 111 (13 luglio
1929).
8. Es. In o,gi ll o ossal scuro pe' cOllu ro, con vern iee nera brillonle olQuonlo
carroso; palmelle in porte mancanti per rolt ura d el fondo; u nghio nel plede, cerchio r05SO nel piede e nella careno. Inv. S. 1516.001 vano 183, 51rOlo 111 (Iug lio
1925) .
(1 2) I numerl d i ¡,-.venlorlo s. riler,scono oll'elenco genero le de l materlole d ello
Boslida, focenl e parle del co tolOgO del Museo d, Valencia. I dali d i provenienza
sano IrO ll i dol giornale d i S(;ovo e i ,iferimen!i agli slra ti non honno par lieolore
va lore ctonologico, per lo ragione chiori lo sopro, noto 3.
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LA CERAMICA "PRECAMPANA" DELLA BASTIDA
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Formo 21
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N. LAMBOGLlA
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Forma 21
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LA C!:: RAMI CA "PRECAMPANA" ORLA BAST IDA
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Fo rm G 2 1
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N. LAMBOGL IA
9. Es, in argilla pi" ehiaro, forse pe. (olluro, con vernice nera brillonte ben
conservolo; ungnio nel piede, cerenio (0550 nel piede e nello coreno. Alqua nlo
mulilo. Inv. B. 1517. 001 vano 2 23, 51'010 III (22 luglio 1931).
10. Es. In orglllo olquon lo scuro, con bello vernlce nero brillonte; u nghlo nel
piede, cerchio rosso nel piede e nello careno. Inv. B. 167.001 vono 30, senzo in.
dicozione d i stro to (16 luglio 1928).
11. Es. in orgillo rosso, con vernlee mollo consunt o; ungnio 'lel 9iede, cerchio
'(X$O "el plede e nello careno. Inv. B. 15 13. DoI vano 242, 51.010 111 (28 luglio
1931).
12 . Es. frommentorio in argillo scuro, con bello verniee nero brillonte, ungh io
nel pitde, cerchio fOSSQ nel piede e nella coreno. Possiede Kce;rionolmenle pore
un cerchio marrane 5(uro su l fondo interno. Inv. 8. 2508. Senzo preciso indicozione di Pfovenienzo.
b¡
con polme ll e . imm eh iche:
13. Es. in orgillo moho 5curo per CO lturo od USlione, Can verniee brillonle
orrossola, mal conservo lo, unghio nel piedt, cerc h io rOS50 ntl piede e nello careno. rnv . 8155.001 vano 15, SlrolO 111 (13 luglio 19291.
14. Es. in orgillo rossO-$Curo e vernice ..,ero brillante alQuonlo carroso; piede
aS50i piu sottile e diverso doi Timonen ti. senza unghio, con cerchio rosso nel pie-d~
e nello careno. Inv. 8 . 1518.001 vano 223, $tr(l IO 111 (22 luglio 19311.
15. Es. In orgiUo moho $Curo per co ltu ro od ustiore, Can vernice nerO brillonle molla ben conservolo; unghio nel piede, cerchio rOSSQ nel piede e nello careno.
Inv. B. 1519.001 vano 128, slro lo 111 (18 lug lio 19301.
16. Es. in orgillo moho chioro, con verniee nero brillo nle 05501 conservoto;
unghio orel piede, cerchio rOSSO nel piede e nello careno. Inv. 8. 149. 001 vOn()
85, senzo indicozione di s lrolo (8 I"glio 19281.
cl
con polmett e og gruppol e:
11. Es. In orgiUo rosso, con vernice nero ben conservalo e fondo In terno lor_
gomenle orrossoto; unghio nel piede, cerchio rosso nel piede e nello care no. Inv.
B. 2510. Senzo eSO llo ind icozione d i pro~t'nlenzo .
lB. Es. f rommen lorio, in orgillo '0550, con verni ce ben conservo to, unghi o nel
piede, cerchio rO$so n el piede l' "'.ello coreno. Inv. B. 2 509. Senzo eSOllo indiC;j·
zione d i p
]9. Es. in orglllo onoi !>Curo per co n uro, con vernice neto apoCo ossol b@n
conservolO; unghio nt'1 piede, cerchio rosso nel piede e neJlu careno. Inv. B. 1503.
001 vano Z08, $trolo 11 (18 lugho 19311.
20. Es. in orgillo !>Curo per coltura, con vernlce nero opaco; ungh io nel piede,
cerchio rosso nel piede e nello careno. Inv. B. I SI. 001 vano 2 1, senzo ind icozione di s lrOlo {luOlio 19281.
21. Es. ih orgillo mol la SCUrO per cOlturo od ustione, con verniee apOCo 01.
quonlo 0"055010; unghio nel piede, cerchlo rosso ntl piede e ntl!o careno. Inv. r.
148.001 vano 7, s lrOla 11 (3 lug1io 1928)
2Z. Es. In orOi ll o rossa, con vtrnl ce nera 05501 brillanlt; unghio nel piede, ce.chio rosso nel piede e nello carena. I"v. B. 150. 001 vono 183, slralO 111 (lO lugllo
1931).
23. Es. olquonto ,"ulllo, in orgillo rO$so. eslernamcnlt $Cura per o zione del
fuaco; unghio nel piede, ce.chio rosso ntl picde e n,,1I0 coreno; cerchio rosso seufa anche nell'in lemo, con polmelle mol la mo le impresse, o groviglio. I"v. B. 1509.
001 vano Z08, stroto 1 (16 luglio 1931).
dI
Senzo po lm ett e:
2'1. Es. in 0101110 rosso, con verniee nero ben conservo lo, moho sfumoto di
rosso; unghlo nel piede, cerchio rosso nel piede e nello careno. Assoi coro tl eris_
Iko; per I'ossenzo delle polmette, SOSI;lulle do un sempliee cerch iolino o mono, e
per lo presenzo d i uno solo lineo di s trio lure o rot ella, sovropposle od un circol~
rosso sfumo lO. Inv. B. 154. 0 01 vano 75, 51rOlo 1 (13 lugtio 1929).
116 _
[page-n-144]
LA eERAMICA "PREeAMPANN' DEllA BASTIDA
13
l o formo 2 1 si presento dunque 01 Bastida con lo stesso fre10
quenzo e con corotteristiche onologhé! o quelle che si possano notare nello necropoJi di Enserune; mo olcuni elementi di differenzio·
zione sano do sattolineore.
Moncono totalmente 0110 Basl ido le forme con carena piu riolza la, che sfociono nello for mo 26, come pure le vorion t i con pore te meno spesso e meno rien t ron te, che parrebbero leggermente piu
evolu te; manco pu re totolmente lo for mo 26, ji che e porticolormen te sign ificativo per [o dotozione di quest'u ltimo od uno fose, sia
pur lievemen te, piu lardo.
Tu t-t i gli esemplori dello Bast ida presen tono lo caro tterist ico
unghia nel piede, e lutti in genere ir cerchio rosso precampano sul
piede e nell'ongolo della careno, men tre od Enserune le forme col
piede ad unghia si a llernono con oltre a piede smusso to o del tutto
piano (13).
Nelle polmelte, inf ine, si nolo olla Bas tida uno nolevole uni formi to e regolarita nel disegno, pur gio degenera to dalla trodizione
o ttica di cui sano proprie le polmette a disegno combinoto. TuIIOvio le polmette dello Basl ida sano ancora tu lte impresse, e muni te
dello voluto inferiore che si lego dirc ttomente olla :rodiziane greco,
menlre nello necropoli di Enserune oppoiono gio lipi piu evoluli
e privi di tole corotteristica (14) .
Questo 'Prima serie di oss~rvozion i , oltre od inquadrarsi nell'im ·
pressiane generale che i vosi deBo Bastida siona di dota leggermente anteriore a quall; analogh i dello necropoli d i Enserune, permet·
tono di in t rovedere, per la forma 21, uno lineo evolutiva, che portendo dalle prime ed outen tiche fo rme g reche, della prima meto
del IV secolo, giunge intorno al 300 ovon ti Cristo con esemplori a
pare te meno spesso nello curva tura, m eno r¡en tron te nell'orlo e
con piede sempre verticole mo privo di unghia , nei quoli la carena
a poco o poco si eleva dando luego olla for mo 26 o a t ipi in termedi
2 1/26 (I5) . E: ossoi probobile che duivi da un'evoluzione de ll0 for o
113) MI r¡¡t,isco pe, oro 01 ei l. " Corp u." del MOURET, lov. 22, e od UM
generole revl 5ione del moteriole di Enserune compiulo nel 1950. Honno piede smussola, od Ensérune, I numer i d'inv. MM. 183 e 48; piede piano senzo lJnghio ¡
numerl 44. 4 5. 62, 119, 63, 42, 164 , 33, 147. l'unghio ricorre sollonlo ne l nu·
me'; 186, 12, 60, 68, 58, 322.
(14)
I elloli esemplori con piede Pfivo di unghi o nonl'lO in tIO,Ikolori lutti :t
polmelll! o . meyo, ~so I'IOn p,"" coUegole se non do un eereh,e.lo, e Pft$tnl,J.t\O
¡ .....II •• un \en«i hile n~w"¡OHom~n'o npUn ..,...... ...
(1 5)
lo " Clou ¡, jCO"¡O prelim inore" cil., pp. 175_176. Ancke su que510
IlO
formo od Enserune compoiono piedi od unghio, smussol¡ e plonl, eon lo slesso COf_
,i5pondenzo ne l lipi di polmette ,ilevolo 011 0 nolo preced~n le.
ef,.
-
11 7 -
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14
N. LAMBOGlIA
me 2 1 "precompana" la successi . . a formo 5, cara tteristico della
campano A e B dol Ir r 01 I secaro o. C. {l61 .
FORMA 21 /25
Esso e rappresen ta to 0110 Bastida do entrombe le \larie to che
abbiomo 9iO riconosci uto nella def inizione pre liminore de"e forma
precompane: quello con prede normole verticale, sim ile a que llo
delfo forma 2 1 me privo di ungh ia {senzo dubbio O causa delle pic o
cale d imensionil, e qu ello con piede smussa to ossoi co ro tt~ r ¡s t ico,
molto largo ed obliquo, che loscio al cen tro una piccara cavi to od
umbilica.
I due soli esem pla ri che si hanno de l pri mo tipo sono muni t i, su l
fondo es terna, d i una peculiore decorozione o cerch i alterna tamen te rossi e neri, mot ivo di di re tta derivo zione a ttice. Que ll i piu
nume rosi del secondo t ipo presen tano ancoro su l piede un onalaga
disegno o due cerch i ne ri che inquodrano lo facda ros5O non vernida to, e il cerchio r05SO nell'angolo della careno.
La for mo 2 1/25 si d iff erenzio dol ti po piccolo della formo 2 J
per le sue proporz ion i ancora minori, che ne denundono I'uso come "dotolo" e la avvidnano perció alle fo rme 24 e 25. Pel rima nen te lo sogoma dello careno, con orlo 05501 rientronte, e onaloga
o quello delta formo 2 J, ed e evidentemente od esso con temporoneo e di identico praven ienza, anche per lo quoJi tó dell'orgillo, rossa negli esempla ri non degrodati dol fuaco.
Ricorrono su questo formo sio le pal mett e simm etriche sio queJ le oggruppa te (mai natural men te quelte callegare), con le medesim e coro tterist iche gió natate per la formo preceden te, sempre prive d i st riot ure o rat ella per lo 5t rettezza del fondo piona.
T IPO /lo (con pie de no,ma le yo.tica lo)
~J
¿
2 5. Es, in orgilla rOS$O_S'uro per otione del fuoco, con verni'e brillante be..
conse,vo lo, decoro to sul fondo es lerno con cerenl ol le rnO lomen te rO$$1 e neri;
munito sul fondo di polmelfe impresse simmetriche. Inv. B. 146. Da l vano 14, se n_
2.0 Indico2.ione d i slrolo (12 lug lio 1929),
26.
Es. in orgi llo rossa e vernlce discretomenle conservo to , del:orolo come iI
prel:edente sul fondo es terno, mo privo di polmelle. Inv. B. 1501. 001 V0l'10 20~,
$Iroto 1I (lB lugHo 1931).
1161 Parlico:ore sig n iflcoto honno 01 riguardo olcuni esemplo rl d i Ensérune
(MM. 161 , 243), che possono essere consideroli come d i Ironsizione Ira lo lormo
21 e lo forma 5. L'evolu2.ione di questo nel corso del 11 1 seco lo reSlo perottro do
slobillre.
_
IIB _
[page-n-146]
LA CERAMICA "PRECAMPANA"
D~LLA
BASTIDA
15
TI PO B ( o lo. go p;.,de obliqlO o)
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27. Es. In orgillo $Curo per ozione del fuoco, con vern;ce di$Crelomenle con·
servOlo, mun;Io ,1,11 fondo di polmelle jmpr~e, simmelricne ma o conlollo doto
lo limilolo superl iCie. Inv. B. 147. 001 vono 74, senzo indicozione di urato (12
luglio 1929).
28. Es. in oroillo rouo e vernice ben cOllservoto, con piede obliquo mu nit;)
oOlChe di ungnio inlemo; polme"e oggru;>po te , piccole e mole impre$se. Inv. B
1506.001 vano 208, slrolo 11 {18 luglio 193\}.
29. Es. In orgillo $Curo per ozione del fuO(o, con vern;ce ben conservolo e
con polme"e simmelriche mole impresse. Inv. B. 145. 001 vono 24, se nzo Indl.
cozlone di 51ro l0 (12 lugllo 1929).
30. Es. frommenlorio, In o.gillo rosso, con vernice ne.o brillo nte e londo Inlerno 0"055010; palme"e simm elr ic ne mole impresse e irregolori, entro un quodrupl1ce eerenio di slr/o lu re o ro re llo. Inv. B. 2505. Senzo indicozione di prOV'tnienzo, in mogozzino.
31. Es. lIevemente mu tilo, in orgillo seu.o pe. ozione del luO(o, mun ilo oncne
di ungnio Interno nel piede come il n. 28; polmetre impresse simmetriene, 01.
quonto i" *'orl, uni!e do un eerchiolino in terno. Inv. B. 2504. Senzo indlcozlone di provenienzo, in mogoz:r.ino.
32. Es. in orgill o .osso, con vernice molto corroso e moncon te, con polmelle
impresse simmelriehe, olsoi irr*lo.i. Inv. B. 144 . Dal vano 24, senza indicozione
di strato (12 lugllo 1929).
33. Es. in oroillo rosso e vern;ee OISO; deg.odoto. con polmelle impresse, simme l.iche mo o eonlollo, ossoi .*lor;' Inv. 8. 143. DoI vano 19, $enzo indicoziooe di SI.010 (16 lugllo 1928).
34. Es. in orgillo rosso e verniee discretamente conservo to, munilo di ungni
-
119 _
•
[page-n-147]
16
N. LAM80GlIA
in terno come; n , 28 e 31; palmelle assoi min ...5Cole impresse, OQOruppo le ¡.reoolarmenl!!. I"v, B. 142.001 vono 12, :¡.enza indicozione d i $1.010 (lB lugho 19281.
35. Es. in orgUla rOSSO-$Curo e vern ice opaco degrodoto, con palmelle simme·
Iriche quosi o confoUo. I"v. B. 1525. 001 vono 126, slrO IO 1I (151119"01930).
36. Es. in orgiUa ros.so e vernke degradolo, con piede o bese QUO$i d el 11,1110
orlnonlole, privo di polmelte. Soro lievemente piu lordo de; pre
1523. 0 01 vono 242, 51.010 I1I (28 lug lio 1931).
Anche per la cronologia di ques to formo ji confron to con lo fa cies di Ensérune El particolormente significa t ivo: quivi la formo 21
/25 A non presento pi u lo co rotN!r ist ica se rie di cerchietti sul fondo
esterna, e lo formo 21/25 B El presente in due sol¡ esemplor i, cioe
in minoronzo rispetto a l t ipo A (17), mentre 0110 Bastida lo si tuazione e inversa. QU2sto puó anche essere na t uralmente frutto del
coso ed e prema turo t rorne illozioni general i circo lo dala di estin zione dello formo 21/25 B, ma e certo che qu esto continua e si
sviluppa nel 111 secolo, com binandosi con le forme 24 e 25, m 2n1fre
la 21/25 B code precocemenle in di suso.
FORMA 22
Con perfetto parallelismo rispetto 0110 si tuozione di Ensérune,
questo formo occompogna lo preced2n te formo 2 1 con un minar
numero di esem plori: 4 integri e pochi oltri riconoscibili dai fram mentí, con tra 24 della formo 21 ; od Ensérune 2 soli esemplori, contra 18 di forma 21 (18) . Essa presento caro tter istiche onologhe
01 forma 21 nel pi2de ad unghio, nei cerch¡ rossi sul fondo est erno
10
e nello decorazione a polmette; e si nolono due vorieló fondomen tolí nelle dimensioni: uno grande (n. 37 ) e uno medio (no 38-40).
37 Es. grande, con porete o perletto c ... rvot ... ro o Q... orto di cerchio; in orgme
rO$$·O con vernice discre tomen le cOnservolO; piede od unohio e cerchio rO$$O nel
piec!e e nell'ongolo dello careno; palmette impresse collegote (In por le moncon li
pe, ro n ... ro), entro "'1'1 deppio cercnio di striol ... re a rotello. Inv. 6. 169. 001 vono
6, SlrO lo 1I1 (16 I"'olio 1926).
36. Es. di mino, i dimensioni, con porele o per feHo quorto d i cerchio mo 01quonlo piu ,Iolzoto delle precedenle; in orOlllo rO$$O e con vem ice nero brillante
ben conservo lo; piede od ... nllnio e cercnio rosso nel piede e nell'ongolo dello coreno; mun ito di 5 pal mette impresse collellote, 05$Oi Irrt~olo,l, can cercnlollno 01
cenlro, entro doppio zono d i strio""re o ,olello. ¡"-IV. B. 2506. 5enzo indicozlone
di provenienzo.
39. Es. di piccole dimensioni, con parele o perfetto quarlo di cerenio ma ~on
orlo olquonto espon$O e piu verlicole delle preceden!i, In orolllo '0550, o vernice
ben conservo lo; piede od unOnio e cercnio r05SO onel piede e nell'on-golo deUo careno; munito di 6 polmetle coUegole, entro zono di s lr lo lu'e o roleUo. IrIV. IJ.
1515.001 vano 223, slroto III (22 luglio 1931) .
(17) el.. " Clouificazione prelim inore" dI., pp. 174_175.
(18) i! pure 0$$01 sinlomotico che onolOQO PfOpOrzione e ossociozione Ira le
forme 21 e 22 si rilevino od 0111'110 in Grecia (v. l'opero Ci lOIO oll,e, 1'1010 29).
--.. 120 -
•
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LA CERAMlCA "PRECAMPANA" OELLA BASTIDA
11
40. Es. di piccole d ime nsioni, con perete o perfe lto quorto di cerchio mo (on
orlo onc he p iu espenso del precedente, in argillo rO$$O con vernice pure moho
arra~so lo; piede od u nghia e cerch io r0550 nel piede e nell'ongol0 dell o careno;
muni lO d i 6 polme ll e collegole, con (erchio lir\O 01 centro, e nt r'b zona d i s lriolure
(] rOlello. Inv. 8. 152. Do! vano 21, senzo ind icoz ione d i 51rolo (lugliO 1928).
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11 confronto con Ensérune puó consentire onche qui di introvedere lo lineo evolutivo dello formo 22 nel corso del IV seco)o : i
quottro esemplori dello Bastida honno tutti uno curvatura dello parete piu o meno perfetta e regalare, e solton!o I'orlo ha Jo tenden-
121 -
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18
N. LAM80GLl A
ZO od espondersi leggermen le. Ed Enserune in ...ece s i noto uno vor ieto piu careno la e o pore te quosi fle sso, che roppresento probobilmente I'evol tlzione final e dello formo, assente nell0 ceramica
campana del 11 1 5ecolo ( 19).
FORMA 23
Del carotter isti co "pion o a pesee", comune 0110 ceramica graca o figure rosse e a vernice nefa non decora to, non si honno olla
Bastida esemplari molto nume rasi: uno solo in tegro e quolche olfro
framm ento. Ció e forse in relazione con Jo posiz ione lantano dol
more e con l' effettivo uso di tole vaso pe r servire iI pesee, che cer tamen t e non era Ira i cibi normal; olla Bastida ,
41 . Es. in orgilta rono simile o quella delle forme preceden!!, con pied e piano
privo di un.ghio e o semplice ce.chio rosso sullo superficie inferiore; fondo o 10r')0
umbilieo e eoviló in lerflO bene oTrolond%, or·1o penden te relt o e poco obHquo.
Inv. B. 15 10.001 vano 123, s lrOIO 111 (11 luglio 19301.
Toli ca rott erist iche concordono notevolm·: le con quell e dello
m
stesso formo 23 od Ensérune, e roppresentono evidentemente lo fo.
se di svi luppo di tole formo nel IV secolo. L'evolúzione successivo
res to totalmente da s tabilire (20) .
FORMA 24
Esso rtcorre olla Bastida in ur numero limi to to di esemplori, e
di un tipo ma lta uniforme, ne ttomente "precampano" e di trodi zione ottico per lo perete moho spesso e rien tronte, per ¡I piede
sempre malta largo, quosi quonto k. bocco. 11 piede ha sempre la
caratteris lica " unghio" delle forme 21 e 22 e I'umbil ico al c·~n tro.
Lo vernice enero briqante, talara arrossoto come negli ese mplori
dello forma 21, l'orgill 0 rosso quondo non e alterata pe r oziane d ~1
fu oco. Si trolto dunque con cer tezzo sem pre de lla medes imo fo bbrico.
(19 J Clr. " Cfollificol;onc p.c lim;no. c", ei l., p. 111 -17 2; MOURET, " CO.PUI"
e;I., rov. 22, n . 48 e 49.
(20) Ho cre-dulO d i po leme ;nd ieore lo Itaceio, "CloSlificniono p. elimino.e"
cil ., p. 172 oello pOssibile odozione d i uno eoneovi la od 000010 negll esemplo. i pi':'
rec;enli; mo e do nolore ene nello nave romano d i Mo.siglio, dot a ra inlorno 01 180
o C. (cfr. F. BENOIT, "L'o. ehéoiogie sovs-mori."le e n P.ovence", In Rivislo di
Srudi Ligud, XVII I, Bordigne.o, 1952, pp. 244 segg.) si trOVCl Un esemplote d.
"piollo o pcsce" od inc:ovo londo, del lipo c ne polevo g iudicofsi pi':' on tieo. Deve
I.olt o.sl perció di uno d iffe.en zo d i fobb.iene e non d i cronología.
-
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LA CERAMICA "PRECAMPANA" ORLA BASTIDA
19
°
I sei esemplori in lC!gri, oltre
pochi oltri fr omm en ti, prese1tona un ospetto casi iden t ico che e superfluo una descrizione pa rt icolareggioto . Mi limiten> a darne la provenienzo :
\ J2
\ J2
\ J 2 \J
42.
43.
44.
4 5.
46.
".
Iny.
Iny.
Iny.
Iny.
Iny.
, ~.
B. 1524 . 001 YOrlO 242, s lrOlo
(28 luglio (931).
varIO 242, slrolo 111 (28 lugUo 1931).
YOrlO 37, Sefl:r.o indi to z ione d i ~lrO IO· (' 8 l"'Olio 1928).
yana 37 , u nzo ind,tazione di $lrO IO (1 5 iuglio 19281.
YOrlO 242 . slrolo
(2B ruguo 1131).
'la.
yono 75, senzo inditozione d i s lrOIO (13 l... gUo 1929).
"'
8. 1520. 0 01
B. 14 i. DoI
B. 139. Dal
B. 1521 . Dor
001
B. 1
'"
Anche per ques·ta forma si opre, ottraverso ji confronto con Ensérune, la strodo per scoprirne uno possibile evoluzion e cronologica: gli esemplari di Ensérune, ol lre non passedere piu I'unghia nc l
piede, hanno t utti lo parete ossoi piu sottile e normole, il piede
piu stretto rispetto olla boceo.. led obliquo.
Malta significativo e I'ossenzo totole, 0110 Bastida, dello decorozione a roselle, che diviene normole negli esemplori di Ensérune,
e di ogni oltro segno sur fonda interna. ¡; pure do rilevore che moncano completamente le vorionti 24 B e 25 B con orlo a boccelloture . ¡; probobile che queste coro tteristiche siano entrombe posterio ·
ri 0110 data in cui si es li nse I'oppido della Bastida .
°
_
123-
[page-n-151]
20
N. lAMBOGUA
FORMA 40
Cratere, rappresentoto do un numero non grande di esemplori:
a tto in 'tutto integri o quasi, di piccole dimensioni. Sono tutti di
iden tico quolito di posta rosso-vivo 2 vernice brillante come i precedenti, con piede od unghia e modanoto come nelle varionti O e
E di Ensérune, me sempre pri"i di decorazione a fes toni groffiti e
dipinti e di ogni al tra decorazione, tranne str ioture o ro lello ed an che polmette curiosamen te impresse su l fondo nonoston te lo ristreHo concavitó (n. 51, 52 e 53). L'arlo e sempre piu o meno pendente, I'ansa a lingu slonciato, corrisponde a l tipo E di En séruna, che pure ha il piede
sogomoto in modo ono1090. Si possono distinguere :
al
tipo con orlo pe nd enta CI can bocce llotu,e:
•
48. Es. in orgi llo '0550, con bello vernice nero brillante, orranolo da un loto,
munilo di baccelloture 51,.1110 pondo. Inv. B. 160. 001 vano :n, senzo indicozion(l
di 5trol0 (19 IU\l;io 1928).
b)
tipo con 0.10 pe nde nte lenlO bocullotll.e:
49. Es. quos; idenlico 01 pre<:edente mo privo di baccellolure e poco piu slonciOIO, con vernice apOca. ¡nv. B. 159. 001 vano 26, senzo Indicozione di Slroto
(13 lugUo 1928).
50. Es. In orgillo rosso e vemice quosi completament e carroso. Inv, B. 16 i .
001 vano 11, sl.oto 11 (3 luglio 1928).
51. Es. mutilo do un loto, in orgaJo rossa e vernice ooaco consun lo, munito sul
fondo di quoltro polmette impresse, slmmerriche, plccole e olQuonlO i,regolorl, con
doppio zano di strio ture
rolello. Inv. B 164. 001 vano 3"1, unzo Indlcozione di
sl,oto (22 lugl io 1928).
°
-
124 -
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LA CERAMrCA "PRECAMPANA" DElLA BASTIDA
,
50
5l
-
125-
21
[page-n-153]
22
N . LI\MBOGLlA
el
tipo (on 0,10 upo nto ¡e".o boccellolu,e:
52. Es. In orolllo IOS$O e vl!fnice OpOCo, con $lliolure o rOl ello e probobllmenle palmelle obfose sul fondo i" lt'rno. Inv. B. 157.001 vono 7, Itrolo 11 (3 lugl'o
19281.
53. ú. idenlko 01 precedente. C Vl!fnke ossoi ben con~IVOto e :zono di
M
SllIo lule o 10lello s.ul fondo interno. Inv. B. 158. Dal vono 1 1, ,trolo 11 t3 luglio
19281.
54. El. idenhco al precedente, ma con velnice comple tamenl e orlossota. e con
«poio zona d, Sllloture a 101e110. Inv. B. 162. Dal vono 15, sllo lo 111 (13 log:¡Q
19291 .
-
126_
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LA Ct.RAM1CA "PRECAMP ANA" D ~LLA BASTIDA
23
Per lo cronologio di questo formo, ossoi comune nei giocimenti
del IV e del 1II seeol0 o. c., e soprot utto notavole lo moneonzo olIo
Bost ido dello vorieto di grandi dimensioni, che e la piu frequent e
ad Ensérune e oltrove, decorata nelJo s l ile de tia " di Gnazia" o fes·
ton; ineisi e fog li e sovradipi nte. L'onteriorito del giocimento della
Bast ido e indica to dolla mancanza di ogni treccia di questo s li le
decora tivo; e colpisee inoltre il fatta che tutti gli esemplori deseri t t i siana di piceale dimensioni e del lo s tessa t ipo, basso e poco sloncioto, che anche in Grecia oppare como il piu an tico (2 1) . Se ne deve forse canclude ra che I'evoluzione del cra te re piu gronde e decoroto e post eriore 01 350 a . C. ed e in relozione can lo gradual e
esti nziane della produzione o figu re rosse, che t enevo primo il
cam pa incon tras tato, come og g~ tto di lusso nelle obitazioni e come
urna cineraria nelle necrapoli.
Anche ques ta osservozione puó essere di fandomentole imporlanzo per lo cronologia del la ceromica precampona e campano, e
dovro esserne tenuto can to nelte ricerche fu ture, par accerlarne ';)
meno il valore generale ed ossoluto.
FORMA 42
Kylix apoda, di eui esis lano due vorie to fondomentali : uno a perlo, o pare le molto inclinota, che con tinuo di rettomen te lo tradizio
na a tt iea e decoro la o f igu re, un'al tra concavo e o pareli vert icali,
che costituisce il precedente della kylix campana del 111 e 11 S2colo.
Lo primo formo, roppresen tota da un solo esem pla re piu com ple to e do numerosi oltri f rammenti dell'orlo, e carotlerist ico spcciolmente per ji piede, oncoro di t ipo puramen te attico, con c~ rc hi
rossi e neri o lterno ti, e pe r il bordo ingrossa to, che all'in t ernu formo uno leggero rientronzo .
ss
55. Es. po."iolmen le .kosl ..... iIO, in 0'9i ll o .C».50 e veroiee mol to brillon te, Instro lucido; co n p ie_
lemomenle decQtolo d o .... no filiO ~r¡e di eerch¡ eoneen l.,,1
de bo~so ed ob llQuo, privo d¡ ungh io , ed oose oblique, mu tile. Inv. B. 2503. $en"O p.e-c.$O indico" ione d i provenien"o.
°
(21) Ved. i risullol. degli 5-Covi di Olinlo, nell'opero cllolO oltre, nolo 29. l""1v.
183-192.
-
121 -
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24
N. lAMBOGLlA
Lo secando vorian te, con onse quasi orizzon lali, pore te ricurvu
ed orlo vert icole non sagoma to, e pure 0550i coro tterist ico, rispetto
09 1i esemplori pi ':" evolu li del II I gecolo, per lo presenza nel p¡ed~
di un'unghia molto piu marcala che nelle s tesse forme 2 1 1;0 22, éi
un cerch io rosso e di uno profondo soleOl uro nell'ongolo della coreno . Tu t t i gli esemplari (quo tt ro in tegri e molr¡ frammen ti) ha n no su1 fondo strio ture o ra fello e pol m ~ tt e s imme trkhe o aggru ppo te, che seguono I'evoluz ione e lo t ipologia delle fo rme 2 1 e 22.
56. Es. ;ntegra, in orgillo rossa cOn vernice apoca olquonlO consu nlD , m .... "i.
to su l fondo in terno di 4 .palmelte impresse oggr upPOte, entro un cetchio di slriaTure o ,afelio. Inv. B. 166. 001 vono 20, senzo indiCO'lione di slrO lo (3 luglio
1928).
51. Es. olquonlo mu tilo, in orgillo chioro per O'lione del fuoeo, con vemiee
nero brillonte ben conservo to e fondo in terno orr05so to; muni lO di 4 po lme tt e lmpresse simme triche. colll!gole da un ce"hiell o. Inv. B. 1511. 001 vano 2 42, s lroto 111 (2B luglio 1931).
58. Es. o lquonlo mut ilo, in argillo rosso olteroto dol fuoco. con bello verni ce
nero brillonle, muni lo sul fondo inlerno di 4 :>almelle impresSe simmelr iche, col.
lego le do un cerch iellO. en lro Una 10no d i s lriolure o ro lello. Inv. B. 1531 . Dol
VOf'O 163, Slroto IJI t2 IU91io 1931).
59. Es. olquon lO mulilo, in orgiUo rano e vern lee brl llonle poco or'O$$olo, can
cerchio r~~ nel piede e nell'angalo delta careno, munilo sul fondo inlerno di
quollro polmette simmelriche impresse, en l,o uno 'lono d i slrio ture o ,olello. Inv.
B. 1509. DoI vano 208, 51.010 I (16 luglio 19311.
60. Es. in orgillo rO$$O e can vernlee apoco, di formo legge'mente pi .. operto
delle precedent', con cerchio r 05SO nel piede e nell'ongolo dello careno, muni l?
sul fondo interno d i 4 polmelle oggruppole impresse, ent,o >:ono d i s lriolure o '0_
tello. Inv. B. 165. 001 vona 40, sefl>:O indico'lione d, Slrolo (2 0 luglio 1928).
Contra ria men te o quon to si potrebbe sospettore o primo visto,
lo kylix dello forma 42 B non e uno sviluppo dello tormo 42 A, ne
e esclusivo del 11 1 secola: entrom be coesis lono gia 0 110 Bost ido,
come pure ad Olin to in Grecia (221, e ques !'u1timo loca lita d imostra che anche la formo 42 B ha origi ne an tedore olla me ta del
IV secolo. Gli esemplori dello Bas t ida risulta no pero inconfondi bil i
pe r le cora tterist iche del piede e de llo carena che obb ioma sopra
occenno to, e permettono torse di fj ssore un momen to ben de finito
ne ll'evaluzione di ques ta formo, con una cu rva tu ra o quar to di
cerchio q uosi pe rfe tto. Gio diversi oppaiono g li esemplori d i Ensérune, dove lo pore te l ende o diven tore vert ico le oppure o fl e tte rs i
(poro ll elomen te o quon to owiene per lo formo 22 ), e iI piede e od
unghio basso oppure semplicemente obl iquo, le pal me tl e gia a r i·
lievo e stocca te, e compoiono anche le rose tte ch~ oll a Bastida 50no totalmente ossen t i.
t22}
Ved i 1'0P. d I. oltre nolo 29, lov. 205-213.
-
128
[page-n-156]
LA CERAMICA " PRECAMPANA" DELLA BASTIDA
2S
FORMA 43
Lo skyphos oppore moh o roro 0110 Bos t ido, e solo poch issimi
frommenti, oppor tenenti 01 fondo, possono r iferi rvisi. Ci t iomo ¡ se·
guenti :
61. Es. mutilo di tu ll a la parte su?eriare, in aroillo
ntra b
6 2 . Fr. úel fondo, con piKlt qlJ(l~i mancon te e in;zio
noto; non siC.lfomen te per tinent e oc! uno skyphos. Inv.
indicoz;one di provenienzo.
129 -
rosso con bella vemice
provtnie nzo.
dello parete OHQ; Inel i8 . 2511. $enza Pfll!C iiQ
[page-n-157]
26
N. LAMBQGltA
Appare chiaro, dalla solo inclinazione delta porete, che si t ral to a ncoro di esemplori o tt id o d i t rodizione c tt ica o forma ova le,
an teceden !i 0 110 svilu ppo dello skyp!'-os cam pono con pore le f lessa
o ven t re r io lzoto, che a sempre lo pare te ¡nferiare quasi verlieale
(23 ).
FORMA 44
Oinochoe, roppresenta la do un solo escmpl are ecceziona le:
63. Es. c.on boceo o lob; ondulo t; e con al to onso superiore 0110 b!Kco, mun;·
10 di baccelloture in ' 1,.1 110 lo me ta ¡nferiore d el carpo. ~ in org ill o rO$$O come lu llí
j preceden!i, con bello vernice nero brillonte. Inv. B. 163. 001 V(lno 37 , senZQ indl co:tlone di 5lro lo.
Ha !rova to od esso finara un solo po roll elo acl Emporio" (24) ,
per quon tb (¡gua rdo la $pagno e ,'Occidente. Essa ha r iscon !ri ne llo Grecia e nell'Orienre nel IV secol0 (25) e non sembro focdo
porte del repertorio comune dello ce romico compano piu tordo . Lo
suo presen za 0 110 Bast ida e camunque do ri tene re come un pun to
d 'appoggio per gli s tud i futuri.
(23) Queslo ipotesi ha ovonzoto in " CloSliliu :lione pr elim ino. e" ,ir., pp. 190191, e soronno lU ttovio 00 vedere i limili aello SUD ve.osim ig llonzo.
(24) " Clonifi cO:o; io ne p,climin o. e" cit., p. 192.
125 ) Ad Olinto IROBINSON, cp. cit. o. nolo 29, lov. 154 e pOg. 211 ). e
nell o necropoli di Sdolbi lE. BRECClA, "lo ne<:ropoli ::Ii Sclolbi", 11, lov. XLIV).
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130-
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•
LA CERAMlCA "PRECAMPANA" D~lLA BASTIDA
27
FORM E 45 E 46
!: ossa i coro t teris t ico I'ossenzo quosi totole, anche Ira i from men ti, di avonzi di lucerne e dei vosi impropriamen te definiti "gutti", in reol ta por toal ío per lucerne oper te (26) .
Di questo genere di vosi 1'unieo s ignificativo e comp!eto e il
guttus od 051r090 1 (form o 46) descritto 'SOtto.
0
Del "guttus" piu comun~, boc:cellato e con beccuccio o protome
leon ina, un solo trammento esis te, e quo1che ahro from:-n~ntino con
boccello ture, che potrebbe riferirvisi. In confronto con la frequenza
delle a ltre forme e!·.!mcate finara, la rori !o di questo t ipo di vo:>o
oppa r-e sintoma t ica, e debe o Q\lere un significa ta cronologico o
ind icorne lo scorso uso Ira gil ¡ndigen i delta Bastida. Sto p~ró di
fotto, in concomitonzo con le o~tre osservozioni gió fo tte sopra,
che ji "guttus" baccelloto e proprio sopratulto del II I secolo a . e,
e che lo suo asse nza puó benissi mo spiegors i con lo doto piu anli ca in cu i I'oppido fu obbondonoto.
64. Gult us od os tropolo, mulllo d el colla e deU'o nso superiOfe, in o rgi llo rosso
con bello vern ice nero brillonte. Inv. B. 172.001 va no 68, UrOIO 11 11 0 luglio
1929,.
Questo vaso, gió no to in ollri giocimen ti occiden toli mo non mai
molto fr2q uen t e (27) e cer Io esclusivomenle dé'1 IV s ~colo, se non
del V, a. c.; non ne obbiomo alcun esempio 0:1 Ensérune . La suo
cronologia, fi nora ossoi indetermino to, riceve qu indi LIn primo pun to di oppoggio 0110 Bast ido.
(26) Di lucerne vere e plap,ie, o vernice 'I1e,o , nan oppore in mogo1.ziou .c
non Un piceolo frommen lO (dol vano 68, 10 luglio 19291, sen zo coto "er islic~,e
d,stlnguíbili, ma che sembro oppor lenere od uno lucerna aper lo, d i u no formo lipico de l IV secalo.
(27) Un fi!mplore inleg ro • nel Museo Atcheolag ico d i 80rcellona, prove"i e!'lle do lb;::::! lfiguralo in " ClolI;" 'o,;o"" preliminarc" ci t., p. 1931. BAL!..ESTE~
PERICCT (1. c., p. 22 no to l hanna g ia ci lala gU esempl:JIt de l Brilish Muscum
tWALTERS: "Corpus Vosor u m Anti(luarurn" , fase. 4, p. 3 1. Cfr. pu re K. KRYSIAK :
"The tibiol lorsol bone 01 o $lag tC~rvus Elop!1usl os o ?O"e'v mode l in ancienl
Grece", in Sprowo1.danio P. M. A. ¡Varsovia), 11 (i948- 49), pp. '11-''13.
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131 -
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28
N. LAM80GlIA
FORME RARE E SPORADICHE
Oltre olle forme comun i sopra descritte, si possono r;levare, nel·
la mOSSa de; frommenti (oltre 2000) di ceramico attico o precompona che sono sto!; roccoll; nelle compogne di scavo 1928·3 1, 01 ·
cuni pezzi che si riferiscono o forme eccezionoli, e che conviene
segnolare per futu ri cenEron !i con altre s tazion i coeve. Essi sano:
65. Cope.chictto di un vaso piccolo o o boceo anal SIro! 10, tOO preso supcriore a pkeala pomo, piano di poso op;¡iottito e cancovi la interno 05$01 prolondo.
Inv.
1522.
e.
66. Fr. di coppo pert inente forse alfo forma 56 Imor'lOO:'Iso tol. con porete
cu'v(I e orlo non 5Ogomolo. Inv. 8. 2513 .
,j.
.7
') t
~,,(
67. Coppo parziolmen1e ricom;>o."\ibile do vod fromment¡, in orgillo rO$SO con
vemlce complelomenle conSUnTo: si puó ri ferire olla forma 22 mo ha la parllre
p io o;¡er lo e I'orlo olquonlo pendenle, ed é d i dimensioni ossol maggiori. Sul fon~
do ~onservo Un lembo dello de~oroz:ione o polmeOe combinale, di lipa on~oro prellomenl e olli~o. Inv. B. 2101.
\
\
;;
,
68. Fr. di c:oppo ~on orlo oppiollilo e poreli leggermen le ricurve, non ri feribile od o1cuno delle forme ri~O<1O$Ciule sopro; é in orgillo rosso, con vernice o5soi
op:xo. Inv. 8. 2515.
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132 -
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LA CERAMICA "PRECAMPANA" DELLA BASTIDA
29
69. Fr . di eoppo con orlo sogomoto ed ~nso, munilo di uno rienlron~o interno simile o Quello che obbiomo risconlrolo ne l tipo A dello formo 42. Conservo
uno bello vernice nero brU1onle; I'orgillo e griglo-scuro per o~ione del lu oco. Inv
B 2514 .
PALMETTE SU FONDI DI VASO DI FORMA
NON PIU RICONOSCIBILE
Esistano inol tre, tro i from ment i in moga zzino, num (!ros; esemplori di decoroz;one a pol me tte su fondí di for mo non piu ricono::;·
dbile, e che si
no una varieto ossoi moggiore di quelle descri tte sopro, epuo essere util e dome I'elenco porticoloreggiato. E .speciolmente do notare
lo presenzo di un numeroso gruppa di "polmette combino te", con
festan i ~d ovoli, che oppartengono o vosi evidentemente pie. an t ichi
di quelli conservoti integri a l momen to dello distruzione dell'oppi do (28).
01 Pal mette combinot e
Fondo o eefchi olternoti rossi e oeri, sen:.o unghio , con due giri di 001melle e :.ono semplice di Slrlolure a rO lello. Inv. B. 2001 . 001 vano 125 (15 lu.
glio 1930111. Fondo ollieo o vernice brillonle, con piede verlicole sen:.o unghio. F05l;io
di ovol; enlro sconololure, e neU'inlerno 15 polmelle sciolle; 01 centro forse un:.!
lIello entro un eerchio. Inv. B. 2002.
72. Fondo olllco o cereh' ross l e neri. Foscio di ovoli piccoli e stiliuotl, con
frongio es lerno di flQlmelle e fes loni, entro Irípliee ~ono di slriolure o TOlello. Inv.
B. 2003, (19291 .
73. Fondo otlito o cercni rossi e neri, bello ver nice brillante. Foscio di ovoll
piceoll e $Ill1uotl e Irongio di polmette e les lonl, come nel precedente. Inv. B.
2004 . 001 vano 115, slrolo 111 (19301.
74. Fondo Oll lco o cerehi r05si e neri; vernice e or9illo degrodole Der o:.ione
del fuoco. Zona di ovoli Iro due seonololure e 'rongio di polmette e les lonl. Inv.
B. 2005.
'/5. Fondo oUleo o eerehi rossi e neri; vernice nero brillonle. Dopoio giro rli
polmelle o f6 10ni ¡n(focioli, seporote do uno ~ono di strlolure O ro lello. Inv. B
10.
2006.
76.
Fondo ollito O cerehi r05si e neri; verniee degrodoto per fuoco . Doppio
giro di polmetle o feslonl Introcioli, separole do slr;olure o rOlello, come il pre~edente. Inv. B. 2007.
(2BI EssI moncovono di uno
numero 2001 01 n. 2054.
numero~ione,
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133-
e sono sloli elencoll ex novo dal
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N. lAMBQGUA
30
11. Fondo aUico (1 errehi r
del luoco; piede verticale 51'''10 unghio. Doppio frono io di polmelle (1 leSTonl, 51'porole da uno foscio di ovoH. Inv. B. 2008. 001 "'0' 0 18 (1930).
18. Fondo auico Q ce,ehi rossi e neri; piede Q'quonlo obliquo s.enzo ungh;:!
Fascio di oYol¡ e foscio esTerna di polmetle poco regalad, en lro sconalolUre. In ....
B. 2009.
19. Fondo anico (1 eerehi rossi e ntri; o.gíllo e verniel! degrodole. Festin d;
oyoll, con frongio di palmelle (1 feslon;; cerchio';"'o interno ;solo lo. Inv. B. 2010.
80. Fondo ouico (] cereni rossi e neri. Al cenlro 5 polme lle simme triche intorno od Un cerchio; foscio di ovol' piccoli e slili1zoli (come nti n. 12 e 13) e
!rangio "terno di 90Imelle e fesloni. Inv. 6. 2011 .
81. Fondo ollito (1 eerehi ross; e neri; ... er"ice brillonte, argillo degradot.,.
Polmelte simme trkhe (?) 01 centro; 105cio di ovoli, Irongio di palmetl~ o les toni
Incrocio tl, ed esternomenle zono di punlini rodi. lnv. B. 2012.
GIi esemplori descritti finoro sono lulli di lipo 'non solo precom;xlnO, mo quosI
certomen te o Uico, coro ll erizzoto spe<::iolmenle doi cerehi multlpll fossl e neri sul
fondo esterno. Inveee quelli che SeguOnO, sempre o polmelte combinole, presentoro un londo nero uniforme, interro llo do u n solo cerchio rosso. Si pairo dire
in luturo si questo dlversito corrispondo od uno evoluzione cronologico O od uno
vorie to ' di fobbrico.
82. Tre frommenli, con (Jiede od unghio mol lo morco lo. fOf$e di ky lix. Polmel le interne, forse simmelriche; zOllCl di ovoli Ira s<:onolot ur e e fronglo d i pa lmelte o feslOni. Irw. 8. 2013 . 001 vono 115, $trolo IV (19301.
83. Vernlce brillonte e piede od unghio morcolo come 11 precedenTe. 20na d i
ovoli e frongio di polmette o festoni . Inv. B. 201'1 . 001 vano 115, $trolo IV
(1930).
84. Vernice brillllnle e pitde od unghio mareolo. Polmelle simmelrkhe i-n_
lomo o un cerchiello cen trole; zono d i ovoli e Irongio di polmelte o leston;' Mol.
lo $imile oi due frommenli precedenli. Iny. 8. 2015. 001 'lOna liS, $lrO lo IV
(1930).
85. Polmelle inlerne o lesionó. Zono di ovoli e Irorgio di polmelle o feS lon!.
Inv. B. 2016.
86. Piede od ungh io non riolitoto; orgillo piu chioro e vernke ossoi rO$50. lorse per eHelto di colluro. Cerchio di ovoli 01 centro e ',ongio di palmelle o feston;
olQUonto Ifregolor i, inlomo od Un cerchio; zono estema di striolu'e o .otello. Inv.
B. 2017 .
87. Fondo o ?Orele molto soltile; vernice brillante. Polmelte simmetriche ;JI
cen tro, e 2.0no di ovoli lltl'esterno. Inv. 8. 2018 .
88. Fondo o porele molto sotlHe; vernice brillonte. Zona di ovol; e frongio di
polmeTle
feslC<-li .
°
b)
89.
Po lm ette colle9 0le
Piede od unghio. Polmelle collegote do lesloni regalo'; Incrocio tl, e quoI'
Ira polmelte simmelriche sovroimpresse 01 cen lro. Inv. 8. 2020.
90. Fondo es lerro
luoco. Po lmelte collego te do lestoni in(rocio ll; en tro 2.ono di s ldo lurc o rOfello
c:¡uod ruple. Inv. B. 2020 bis. 001 vano lIS, $!ro to IV (19301.
91. Piede od unghio morcolo; vernlce interno degrodo to. Polmelle coUegole
do les loni regalori incrocioli, e 01 centro due cerchielli concenlrkl Quosi impe r.
ce.l libili; oll'esterno zona multiplo di strloture o rOlell o (otto li lel. Inv. B. 2021 .
92. For:do comple tomenle nero, od umbil ico; piede od ungh io no" marcolo.
Polme ll e COIf~(lle do les toni regalad incrocio li; zona Ir ipllce di Slrioture o rolello. Inv. B. 2022. 001 vClno 99 (1930).
93. Fondo nero od umbllico, piede od unghio non morca ta. Polmelle coll~o!e
do fesloni regalori 'ncrociOIi. Inv. B. 2023. 001 vano 99 (1930).
94. ~ondo nerO od umbiti,o. Pol ....eue cotl~te d o;> IHlon; ;"";rociotj .. l<.t ..... n1o
irregolo 11930) .
-
134 ;-
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LA CERAM ICA "PRECAMPANA" OZLLA BASTIDA
31
95. Fondo nero od umbilico; ve,nice brlUonle; piede od vO!Jhio non riolzolo.
Polmetle eoll~le do fesloni iocrocioli regolori. Inv. B. 2025.
96. Fondo ... e,o od vmbilieo; vernlee nero moho brillonte. Ove ee'chiolini
concenlrici oll'interno COme nel n. 91. Polmelle collegote do festonl ioc,ocioli regolorl; zono mvlliplo d i striolure o rotello. Iny. B. 2026.
91. Fondo neto od umbilico e piede od unghio. Polmelle eollegole do feslon;
olquonlo im:golori; zono muhi;>lo di Uriolu,e o ro leUo. I.w. B. 2021.
98. Fondo cd umbilico; yernice degrodolo e rossiecio oll'inlerno; piede soll:le,
od unghio non riolzOlo. Polmelle collegole do lesloni al~uanlo irrepolori irn;racio!!. Inv. B. 20 27 bis.
99. Fondo nero od umbilico e piede od unghio. Polmelte collegole do festonl
Inlreccio!!, obbaslonzo regolori, con cerchiello sovroppoSlo nell'inlerno; zona di
minule slriolure o rolello. Inv. B. 2028. 001 vano 99 (19301.
100. Fondo nero od umbilico; piede od unghio. Polmelle colle90le do feslO'll
a 10songo. Inv. B. 2029.
101. Fonda neto od umbilico. Polmell e collegole do festonl 510ceoll, COn ee:chleno In terna. Inv. B. 2030.
102. Fondo nero od umbHico; picde cd urn¡hio non riol:.olo. Polmel 1e eoll,.go te do lestonl rodioll olquonlo irregolor i, con cerchiolino a l cenl ro. Inv. B. 203 !.
103. Fondo nero od umbilico; verniee r0550 deqrodolo; piede od unghio non
riolzolo. Polmelle collegole do festonl inerocioti, olQuon to irregolori; zono eSI"'ro di slriolure a ro le llo. Inv. B. 2032. 001 vano 115, 51rolo IV (19~01.
10'1. Foooo od urnbllico; vernice fo~ d'imitoz ione, bruno ed opaeo. Polmel'e
collegole da leiloni; zona di sl rio lure a rofello pio rodeo Inv. B. 2033 . .
105. FOl1do od umbilico, inlernomenle orrossOlO; piede od unghio poco riolzo10. 4 polmetle collegale da fesloni o losange, con eerchiolino 01 centro; duplice zona di $I
106. Fondo od umbilico; vernice pio chioro degrodolo e fo,se d'imilozione.
Polmelte colle-gole do feslani incrocio li, con ce,chiolino 01 centro. Inv. B. 2035 .
el
Pal melte _immchic he
°
r01. Piede d i lipo ollico cerehi ,oss; e neri. 4 polmelle dispaste o croce ;n.
lorno un cerchlello, enlro Un cerchio eslerno cor.centrico. Inv. B. 2036. 001 vano
62.
°
108. Fondo con yernice poco orrOSSOlO. <1 polmelle dlsposte o troce; zona e-.;.
lerno di slrÍ1:lture a ,olello. Inv. B. 2031.
109. Fondo
vernice deg rodoto (opporliene o un voso d i forma 21 / 25 8 1.
4 palmelt e dispoMe o croce olquonlO irregalore. Ir"IV. B. 2038.
110. Fondo od umbilico e pil!de CId unghio. 4 palmelle disposte o:. croce (egolore; zona rnultlplo di slrlolure o ro le ll o. Inv. B. 2039. 001 vono 99 (1930\. ,
111 . Fondo nero od umbilieo, piec!e od unghio morcolo. 4 palmell e d l$po~t é
o CrOCe o lquonto irregolore, ¡n torno CId un ce,chiolino; zono d i slr iolure o rotello.
Iny, B. 2040.
1 12. Fondo CId un,bilico, orrO~SOIO e con vernice deg,odolo> pieile' M u~g¡,io
morCO IO (pertinente o u no k~I¡.) . 4 polmette d ispOS t ~ a ( roce, entro zono ,di slrío;
lure o ,olello. Inv. B. 2041.
113. Fondo e5ternomenle orros5O lo, con piede od unghio ' morCO lo (pe'rtlnen tCl
O uno ky li. ). 4 palmelte dispos te
croce intorno o Un cerchiolino, en tro diJplic~
zono di , slrio lure o rotello. Inv. B. 2042.
114. Fondo nero od umbillco; piec!e od unghio non morcolo. 4 ""Imelle dlspos te o croce olQl.lOntd irregalore, enlro zona di slrio ture o rOlello. Inv. , B. 2043.
I 15. Fondo od umbilico; verni~ olQuon lO degrodo to ed eslernomenle orros,
solo; piede od unghio osso; so ll ile, con cerchio rosso. 4 palmetle d isposle o croce.
;ntorno eS 1.11"1 cerchiolino, entro duplice ze..,o, d I slrio lure b ·rolello. lriv. -8. 2043 bl~\
116. Fondo olquanlo orrossolo, con vernice forse d'imi lo zione; piede CId un·
ghio non marcolo. 4 polmelte disposle o croce, e'1lro zono di slr.i0lure o rQ~ello
rcdc. Inv. B. 2044.
°
°
_
135 -
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32
N, lAM80GUA
111. Fondo, pertinente forse a Un VO$O 5U piede (ky lill ?); piede od unghiJ
non ';01:'010. " polmelle poco simmeukne e ;,regalad entro :tona di slriotu,. o
rolello. Inv. B, 2045.
118. Fondo a vernite oliVOs lra, for se: d'imilo:.ione; piede od unghio non tial
dI Palme n e G99.uppole
119. Fr. di vaso su piede (símil. 01 n, 111)." pa lmelte cvgruppot. o croce.
Inv. B. 2041,
120·125. Se¡ 'rommenli di formo 21 / 25 S, con bello vemiee neto o leililermente orrossolo. " pa lmelle oggruppole o croee olquonto ¡rregalare. Inv. B. 2048_
1053.
126. rondo o v.,nice neto opa.co, lotse d'lmito:r.ione. 4 polne". oggruppole,
05501 ¡,reootari. Inv. B. 2054.
I
Lo clossificazione delle polmette precampone che abbiamo tracdato sembro dunqué! reggere 0110 provo di un piu vas to gruppó di
moterioli del IV secolo o. e, che rientrano tutti in uno delle quot ~
tro co tegori-e def inite.
Sembro pure confermoto I'ant eriorito delle polme tte "comb i ~
note" su quelle "collegate", e. fra queste ultime, di quelle a di segno molto regalare su quelle in cui i festoni si vonno in t recciondo
e s taccondo ,'uno dol1'altro, con tecnico progressivamente piu scodente. ¡: notevole che iI primo gruppo ricorro in moggior parte su
frommenti che pie. sicuromen te si possono definire "o llió" ed oscrivere 0110 fine del V e 01 principio del IV secolo. mentre le altre
apportengono ai vosi in uso 01 momento della distruzione dell'oppido. 1 frammenti con polmelte combino te di cui si hanno ancora i
dali di provenienzo si riferiscono infotti a live!! i profondi (III e IV
st roto) an teriori olla distruzione .
¡: infine confermata. dalla descrizione de; frommenti, la cons_
tataziane che tutte le palmette presenti olla Bastida sano impresse, e che percio la data di inversione dell o tecnica, con odozione
del disegno in rilievo, e posteriore oll'abbondono della locali ta .
• • •
Qua li insegnomen ti genera li si possono trorre de l maleria le del la Bastida per la cronolog ía e la diffusione della céromica precampano e campana in Occidente?
Sono pochi gli elementi di confronto su cui si posse fore offidomen to sicu ro: I'unico f inoro val ido ne! Mediterraneo occiden ta le
e quello de llo necropoli di Ensérune, databile intarno a l 300 o . e,
o cui ci siamo gio piu volte riferi t i. Vol la peno di fis sare in sun to
gl; orgomenti che ci portono a giudlcare lo facies tinole della Bastida anterrare di due o tre decenni o quella di Ensérune. cine fra il
350 e il 330 avont; Cristo:
_
136 _
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LA CERAMICA "PRECAMPANA" DELLA BASTIDA
33
o) Seno assenti 0110 Bastida i vasi decarati nella stile detto
"di Gnazia", largamente rappresenta t i ad Ensérune, e in part ieolare ¡grande erateri di for ma 40;
b) manco olla Bastida i1 vaso pr~campona di forma 26, che
ad Ensérune si associa 0110 forma 2 1 e ne sembra una di re tta evoluzione;
e) manco pure ogn i esempia sia della t ípico coppa bocee Ilota
24/25 B, frequentissi ma ad Ensérune, sia delle forme 25, 27 e 28,
proprie della piu an t ica ceramiea campano, come pu re del "gtJol tus"
o baeeell atu re (forma 44);
d) le pal metl e sano sempre impresse, non a ri lievo, e manco no total mente I·e pol me tte s taceate; lo lega t u ro de ll e polme t te e
sempre abbastonza accurota e regalare, mal trescurata e convenzianole come appare 0 110 fine del IV secola ad Ensérune;
e) e costan te lo presenza su l fondo dei vasi e in torno 01 piedc
del motivo e cerchl rossi e neri, proprio della ceT ice attica a fi am
gure, m<
!ntre ad Ensérune si puó consta tare che esso e in piu avanzato stodia di scamporsa .
In tutt'altro ambiente, ed assai piu lontano, ci offre un buan
porallelo il materiale di Olinlo, in Grecia, distrutto e abbondonota
nel 348 o. C. e perció eorolteristico dello primo metó del IV secolo
(29). 11 confron to con Olinto rivela uno not evale serie di onologie
nelle forme e nelle decorozioni, per quanto ivi lo gamma della produziane sio infinitamente piu riceo e piu vario. Rileviomo in portio
colare:
o) lo presenza de; vasi di formo 21 e 22, con sagome e poimelle onaloghe, e I'assenzo del vaso di for mo 26;
b) lo presenzo delle m inori for me 2 1/25 e I'assenza delle for me 24/25 con boccello ture, nonché de lle al t re for me della cam pana piu antica sopro citote;
c) lo presenza de l cratere di for mo 40 solo in esemplori di
piceole di mension i e con sempliee zona di baccellatu re, priva di decarazione savradipin ta;
d) le pa lmette ma lta regalari, di solito "combina te", e I'assenzo di que lle co ll~ga t e con disegno irregolore.
129) I vosi di Olinto $Ono pubblicoti e ompiomen te sludioti do DAVID M.
ROB INSON : "Ellcovotions 01 Olynlnus, XIII; VOSl'$ fovnd in 1934 ond 1938",
Boltimore, 1950 (seguito o Quelli gio pubbticotl nel vol. V, Soltimore, 1938).
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34
N . LAMBOGLlA
Poiché lo dato dell'abbondono di Olinfo e finara lo 5010 mat~
maticamente esotto, ne consegue che "obbondono della Bas tida
non puó essera od esso posteriore se non di uno o due decenni, 11
che el ovvicino sempre piu al limi te del 340-330 ovan ti CriSlto, che
crediamo di poter in t rovedere. E: questo difotti lo dato oHertaci pure da lla non grande quantitó di ceramica greco o figura rosse che
olla Bos tida accompagno lo "precompana" : il frommento piu tor o
do, secando il BeozJey, puó oppunto cadere in torno 01 330 o . C.
(30) .
Si offaccia oro na turalmen t e il quesito : qua! e il luego di pro veniem.a di questo ceromico, come di t utto quello o vernice nera
che ero im porta la in Occidente, e porticolormen t e sulle cos te della
Spagno, primo dell0 general e diffusione del10 ceromica propria men t e campano?
Lo risposto piu ovvio e che questo cen t ro obbio do ricercarsi
nel10 stesso Componio, o comunque nell' ltolio meridionale, ed esso
sorebba indubbiomente suggerito anche dall'anologia delta posta
rossa con quelto della campana A dei secoli successivi. Ques to ¡potesi non t rovo pero conferme, finara, in questo supposto p:l trio
d'origine: 0110 stoto o Huole delle nostre conoscenze si c~rchereb!::le
invono, nel mondo itolioto, uno stre t to riscontro di forme e un:l
ano logia di tecnico con lo ceromico precompono dello Bastida o di
Ensérune, tole do legittimore lo supposizione. Quel che e oro possibile osservarvi dorebbe luogo piuttosto olt'ipotesi con t rario : lo
posta e di solito color nocciolo e piu chioro, le forme non sano iden fiche anche se presentono notevol¡ elementi di offinifa . Solo om ·
mettendo che lo produz ione "pr-ecompona" o posta rosso sio lo dire Ita onteno to dello campano A, e che lo vorieta o posta rosso sio
escl usivo dell'e fobb riche isch itone ed obbio perció roggio d'oz ione
morittimo e non t errest re (31 j, si pot rebbe acce Hore I'ipotesi che
gia dalla Companio provenissero i vosi o vernice nero dello Bost ido.
L'alt ro possibili ta e che quest i vosi provengono ancoro do ignoti
cen tri dell'Ellode e siono s trettamente legoti 0110 produz ione attico
non decorota a figure, nelle sue vorieta e nell e sue imi taz ioni da
••
(30 ) Dalaz iane comun icala da l Bea zley, per il fr. di vaso con la sce no d i Tr it lo lerno, a P. BOSCH-GIMPERA: " La formación d e los pueblos de España", MeJeica, 194 5, p. 230. V. gli allri frommenli pubblical i In mon imo pOrte d o BALLES·
TER-PER ICOT, l. C., lav. XIII .
(3 1) Clr. " Clallifico&;one p,clim;..a,e" cit ., p. 16 3 Scg{J .
-
138 -
[page-n-166]
LA CERAMICA "PRECAMPANA" DELLA BASTIDA
•
35
parte di fobbriche 10coli. Ci manco finara egni punto d'oppoggio
per offermarla o per negarlo, e sol ton to dol progresso delle ricerche
sio nello Gracia prapria, sia nell'l talio meridional e, potra scaturire
lo verilO. Questa incertezzo legittima uno vaho di piu il termine
di "ceromica precompona", per tutto lo produzione del IV secolo
non oncoro sicu~omente ottes tato in Componio e che si \.390 oncoro
s trettomente 0110 trodizione Ofllico . Aquesto constotoz ione credo
che dabbiomo per il momento orrestorc:i .
Un lungo comm ino resto ancoro do compiere per determ inore
i coposoldi cronologici e il flu sso delle corren t; commerc:io li ante riori 0110 romanizzozione nel M~diterroneo occiden tole. Giocimenti
come quello dalla Bastida possono oprire lo vio od uno soluz ion2
del problema, mo e necessorio che essi si mahiplichino e che !rovi no onzitutto le loro bos; cronologiche in laco lito dotote do eventi
s torici ben conosciu ti.
-
139 -
[page-n-167]
[page-n-168]
LAMBOGLlA.-CC jca "pfICampana" d.lla Baltlda
fam
Po!melle " collegole" dello ICN'mo 21
LAM. 1.
[page-n-169]
LAM, 11 ,
Polmelle "col1egclle" dello formo 21
[page-n-170]
LAM. 111.
Palmette "callegale" della farma 2'
[page-n-171]
LAMBOGlIA.-C• •omico " p. llco mpOrl O" d. llo Bost ido
Palmelle "colleoole" de!1o formo 21
LAM. IV.
[page-n-172]
LAM80GLIA.-C"ClmiCCl " prlCClmpClIICl" d, IICI 8C1ltldCl
Polmell e "callego1e" dello formo 21
LAM. V.
[page-n-173]
LÁMBOGLI .... _ Ctrornlco "procompollo" clona BOItlclo
Polmette "coUegote" dello forma 21
LAM, VI .
[page-n-174]
LAMBOGLIA. -Ce.omieo " p.e( ompano" dello So.lido
Polmeltl! ",lmmetrlcne" della formo 21
LAM. VIL
[page-n-175]
LAMBOG LlA . -Cc romico " ptcco mp ono" delto BOltido
LAM. VI II.
21
11 / 23: Polmelle "oggruppole" deU o formo 2 1
24.- 5en:<0 polrnl"He
[page-n-176]
LAMBOGLlA.-Ce.amiea " p.ecampana" dclla Bastida
Pal me lle • simm ... l.iche" e "oggruppcle" della forma 211.25
LAM. IX.
[page-n-177]
lAMBOGLlA.-Cerom ico "prec;ompono" dello BClstidCl
\
Polmelte "collegote" dello formo 22
LAM. )( ,
[page-n-178]
L... MBOGLI ...._C..omlco " P'l compono" d, lIo So. t ldo
Polmelle e ,Irlolu,e dello formo 40
L"'M XI .
[page-n-179]
LAMBOGLlA.-Ce.amiea " p. l umpana" de lla Battida
Polmette "simmetriel"le" e "oggruppote" dello forma 42
LAM. XI I.
[page-n-180]
LÁMBOGLIÁ.-Cera",ica " precal'l'lpana" deUa Bastida
Polmet te "combinate"
LÁM. XIII .
[page-n-181]
LAMBOGLIA .-Ceramica "precampana" dalla Baltlda
Pa!melte "combínate"
LAM. XI V.
[page-n-182]
LAMBOGLl A.-e.tcaMleca "pr.Ult'lpcallca" dellca Bcaltldca
Polmette "combinote"
LAM. XV.
[page-n-183]
LAMBOGLIA. -Ccrami co " pr cca mpana" da lla Bast ida
Palmelte "combinore"
LAM. XVI.
[page-n-184]
LAM. XV . I.
Polmetle " combi not e "
[page-n-185]
LAMBOGLJA._Ce,,,m;co " p.ccompono" del! o Bostido
Palme lt e "callega!,,"
LAM . XVIII .
[page-n-186]
L MBOGLI ....-c:.romlca "pr. campo"o" deno BOltldo
...
L"'M. XIX.
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•
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:.~
2..:.-
Polmelt' "collegot,"
\
[page-n-187]
LAMBOGLIA.-Ceromico " precompono" dello Boslido
PalmeUe "call egote"
LAM. XX.
[page-n-188]
LAM80GLlA.- Ce tom lco " ptecompa no" della Bal tida
."
"
Pa!melle "callega' e"
LAM. XXI •
[page-n-189]
LAMDOGLl A . -ee'Q mic:o
LAM. XX II .
~
.¡,,
,
Palmelt e " 5lmmelriche"
:'1;', 1I
Oi
[page-n-190]
LAM80GlIA.-CtraMk .. "prtC:OMpOllO" deU o 8."tido
Palmelle "$immelriche"
LAM. XXI II.
[page-n-191]
LAMBOGL IA.- C. ,om;eo " p, ec:om pono" dello BOltido
Pcl meE I!! "cgQ'uppo'."
LAM XXIV
[page-n-192]
J.
H. C.
KERN
(Hllla " dal
Nolice ~ur une oenochoé attique
a glac;:ure noire au f"Iu~ée de
Pr é hi~toire de Valencia
(Espagne)
Lo tres ¡alie oenochoé (planche 1, 1), qui a eté découverle o Lo
Bas t ida de Les Alcuses (Mogen le) (1), el se trouve oujourd'hui ou
Musee de Prehis toire de Valencia, n ,- 163, entre dans une séri,e -:le
voses o tliques 6 glo'iure na ire d u 4éme sitkle ovan! J . ehr. L'oe·
nochoe Va le ncia 163 mesure 12'5 cms, de haut, diame tre du gOUI0!
frené 5 '5 cms., diometre du pie d, en form e de menu tore 5uppor·
tonl, 4 cm. Forme 2 d'oenochoé, d'apres 10 nomenclature dans le
grand ouvrage de J. D. BEAZLEY, Attic Red Fig ure Va se Painters
(Oxford, 1942). Lo panse mon tre des cat.es vertica les, mode lées
dans I'orgile, qui pourra ien t bien suggérer des pro totypes en meta l (bronze, orgent) . Tout le vese est couvert d'une bonne gl o~ur e
noire, ossez lu isonl e, o I'exterieur, ainsi que tou t en hout de -I'i ntérieur.
I1 yo une longue serie de pieces stric temen t onologues, don t
on o t rouvé pos mol d' exe m plo ires sur tout outour du bossin oriental de lo mer Méditerronéenne, ainsi que de lo mer Noire. Le contex te, al.! il es t cannu, semble ind ique r une dote ve rs 400/350 avon t. J.
(1) 1. 8ALLESTfR TOR MO e t L. PER ICOT GARCIA: "Lo Bost ido de Les Al _
cuses (Mogente)", Archivo de Prehistorio Levonl;no, 1, póg. 179 el ss., pI. XI ,
H, Volencio, 1929.
N. LAM8OGLl A: "Pe<' uno dossilicozione preliminorc dello t eromico comp:!no", All i del ..- COfl9re~so Internozionole di STl.Jd¡ ligur; (19S01, pOg . 192 ove:
lig. A (des~i n) el lo no le 179, Bordighero, 1952 .
-
141 -
[page-n-193]
2
J . H. C. KERN
ehr. Le lieu de fab r ication de telles o~nochO nes. La di st-ribution extremement répandue des exemplaires, de 10
mer Naire d'u:1 cóté, jusqu'a l'Espogne, de l'outre coté, s'explique focilement por la voje du commerce.
En donnant suite a une oimoble inv itat ion par M. D. FLETCHER, Directeur du "Servicio de Investigación Prehistórico de lo
Excmo. Diputación d~ Valencia", je m' empresse d 'offrir ei-opres
une pelite lis te des cenochoai parolléles, qui me son ! connu es d'opres les publico t ions, ou d'ou tops ie meme, dans dittéren ts Musées.
Je veux fair e comm encer men énumérotion ovec un exemploire OU
Musée Notional d'Antiquités o Leyde (Hollonde ). q ui Q été c?n:;tomme nt sous mes yeux lors de la rédoction de ces notes.
l .-LEYDE (Ha Honde), N." K. v . B. o 62. Repraduit su r notre
Planche 1, 2. J: F. JANSSEN: Cato (1848), 11, 1490 ; J . H. HOLWERDA: Co to (1 905 ), XXV, 125; J . H. HOLWE RDA : ... Gebruik ·
$oordewerk ... (1936), n." 69 sur p. 13, f ig . 1 sur p. 10; J . D. BEAZLEY : Etrusca" VO$e-painting (Oxford, 1947), p . 257, al! la piece
est da nnée comme probablement a t lique. Naire oenochoé fui trou vee lors des fouill es protiquées par le Consu l-Genéral des Pays-Bas
o Tripoli (Afriqu e du Nord), ~e Jonkheer (o peu pres I'équivalen l
de Baron) ' Cli fford Kocq van Br-eugel, dans les reg ions de Gherna
el Derno en Cyrénaique. Peu apres, en decem bre 1838, le mem e
Clifford Kocq van Breuge l faisait don de !ou te so collection d'obje!s trouves da ns la Cyrénoique, au Musée de Leyde. Ces t alors,
que natre oenachoé cólelée elle-oussi esl ent rée dans naire Musée.
Houleu r 12'25, d ia metre de la panse 7 cm .
2.-SALON IQUE 34.2 52. ,D. M. ROBINSON : Olynthus XIII
(19501, N.- 295, planches 154 el 159. Lo piece tul décauv-!rte 19 34
dons lo ma ison A - l O d'Olynthe (Grece sep tentrionale) . Le contg)(te,
d'apres le fouilleur, serait quelqu es onnées ova nt la dest rudtion
d'Olyn lhe, qui tombo en 348 ovon t J . Chr. L'oenochoé, un peu
mutilée, mesure 11'5 cm. de haut .
3 .-Autrefoi s o KARLSRUHE, coll ec tion A. Vogell, J . BOEH LAU : Sommlung Vogell (Cossel, 1908), N." 211 sur p . 24; pos
d'itlustrotion . Provient sans doute de la Mer Noire . Hau teur 19'4
cms.
4 .- Autrefois o KA RLSRUHE, collection A. Vogell , J. BOEHLAU : Op. cit. N :' 21 1 su r p. 24 e t pI. 6,32. Provenonce comme 3 .
Cou ronne de feu illes dg lourier foit es o lo borbotine aulour du col.
Hau teu r 19'5 cms.
-
1'12 - _
[page-n-194]
QfNOCHOE ATTIQUE AU MUSEE DE VALENCIA
3
5.-Aulrefois o KARLSRUHE, collection A. Vogell, J. BOEH·
LAU : Op . cit. N.- 212 sur p. 24 : pos d'illuslration. Provenance
comm.! 3 -4 . Hauleur 10'9 cms.
6.-S0FIE (Bulgariel 71 86. Fouilles et recherches 11 : Apollonic
Pontique (1948) (texle bulgore, ovec un resume en fram;ois) p.
41 et fig . 45 sur p. 42. Trouve o Apellanie Pon tique, tombeou 10 .
Hout.eur 18 cms.
7.-BOULOGNE-5UR-MER (Fronce) 503 . Provient de la colleclion C. L. F. Panckoucke . T rouve o Co lymnas (Dodecanese) . Hou·
teur 19'2 cms.
8.-BOULOGNE-5UR -MER (Fronee) 366. Provient de la callee lion C .L. F. Panckoueke. Piece endammogée, I'onse manque pour la
plus grande perlle. Hou teur préservée 17'7 cms.
9.-NAPLE5. E. GABRIC I dans Monumenti Antichi 22 (1 913 14) . Col. 649, pI. CIV, n.- 5 o droite. Trouve 1880 o Cumes (Com panie), tombeou 188, cantexte 4éme siéc1e avam J . Ghr. Houteur
22 cms.
10.-MICHIGAN (U. S. A.l . Université 4 .663. e v Michigan
1, pI. 19, 11 . Aurail été trouvé oux olenlours de Noples. Houleur
19' 1, diom~'tre 11'5 ems.
1 l.-BARCELONA. A. GARCIA y BELLIDO : Hispon i'o Groeca
(Barcelona, 1948), vol. 11, sur p . 168 el pI. CXI, n. 138. Trouvé o
Emporion (Ampurias) . Publié comme camponien, mais sons doute
oltique, je dirais d'oprés lo reproduction.
12.-CRACOVIE (Pologne) . Musée Czorloryski 1460 e v Pologne 2, Crocovie Czortoryski pI. 14,3 . Houteur 14 cms. diamétre 9
cms.
13.-LYON, Musée du Palois Sto Pierre (réserves, gronde etiqu ette 22) . Houl eur 20'2 cms.
14 .-MAR IEMONT (Belg ique) G. 134. D. FEYTMAN 5 dons Les
Antiquités du Musée de Moriemont (1952) G. 134 su r p. 11 5, pI.
42 . Hou teur 18'3, diomé tre 9'7 cms.
M
La liste que nous venons de dresser d-dessus reste ro necessoi rement incompléte el monquan te sous tous les ropports. Elle ne
couvriro, en réolite qu'une tres foible portie des exemplaires de ce
Iype : oinochoé forme 2, panse cotelee, g loc;u re naire, haut.eur qui
varie entre l O et 22 cms., qui son t con~rves dons I ~ s Musees el les
callections un peu portout. Toutefoi s, nolre liste pourro servir comme groupernen l represento tif, pour donner une idee opproxim:Jtivc
_
143 _
[page-n-195]
4
J. H. C. KERN
de lo dislribution de t.elles oinochooi, déjó dons "onliquit é. Ces!
un ves te t err itoire I¡ttorol méditerronéen, qu i vo de lo Mer Naire
jusqu'o l' Espogne.
Ce n'est pos toujours facile de distinguer en t re les voses o 910~ure naire de travoil QUique, el Jeurs imi totions, souvent fideres,
fobriquées en t er;r itoire d2 Magna Graeoio, sur tout lo Companie.
Or, en ce qui concerne na Ire liste, Qui vise 6 ne recuei ll ir que des
exemploires oUiques, ir y o lieu d'jnsis te r sur "importance des pi¿ces trouvees autour de la Mer Noi re (nos. 3-6l 'e l du bossin ori ental de la Me r Méditerranéenne (nos. 1-2 e l 7) . En effe-t, les exem plaires trouves dons de t ell es régions 21 en contexte d'environ 400 ·
350 ovan ! J. ehr., semblent a ttes te r d'une maniere tres certoin!':,
qu e leur t rovoil sera attique. En tout cos, rien ne justifi e I' idée
d' une exportatia n massive de vases noi rs campani ens vers ces rivages lai ntains.en Russie et en Grece, qui, exacte ment, a la dite epoque, importaien t des vases attiques presqu'a exclusivite, laissant
tres peu de possibilites pour les produits campaniens.
11 sera i! done a conclure, que les nos. 1-7 énumerés en haut, seraien ! certainement de manufac ture ott ique, chose qui es ! pleinemen t confirmee d'oi lleurs por lo nature de I'argile el lo tonoli té si
choude e t ploisante de lo glasu re .
Paur les nos. 8- 14 de notre liste, il n'y o pos I'indice de lo provenance, qu i puisse nous oider pour ottribuer les pieces aux o t.eliers
ottiques. Bien ou contraire, des li eux de trouvoill e comme Cumes
(no. 9), "oux olen taurs de Naples" (no. 10) sero iel1't parfoi t ement
compa t ibles ovec I'idé-z d'une fabrico tion compa n ienne; nous S'J·
vons en ta ut ca s qu'il y ovoi! une grande production de voses noirs
en Campan ie pendan t tou te une longue période qui s'échelonne du
3eme ou l e r siecle ovan t J. ehr. Pour les deux oinochooi de Lo Bas tida, a Valencia (sujet de nol re no te) e l d'Ampuri os, 6 Barce lona
(no. 11), on seroit oussi tente de c roi re a une origine camponienne, sur tou-t quond on considere I¿> grond nombre d'importations
campon iennes en motie re de ceramique dans ces régions.
Ceci di t, nous t iendrons 6 remorquer que c'est en ver tu d'une
ressem blonce des plus étroites en t re les eX' ~ mploir es (nos. 1-7) el
les autres (Valencia el nos. 8-14), que nous n'hésiterons pos a ot tribuer ces dernie rs e ux-aussi oux o tel iers ottiques.
Le poin! ne manque pas d'intéret, espérons nous, pour I'archéologie de lo Pén insule Ibérique . En effet, il y o de nombreux echan ·
til lons de céramique ottique a gla!Oure noire, qui da te nt justement
[page-n-196]
O';NOCHOE ATTIQUE AU MUSEE DE VALENC IA
5
du 4eme siecle avan l J. Chr., aux Musées d~ Barcelona el de Vo·
lencia . Ainsi dans Atti del 1,- Congresso Interno.ionole di Studi
ligur¡ 1950 (Bordighera, 1952), p . 202, fig . 1· 3, M. NINO LAM·
BOGLlA reproduil des decorations de palmetles, imprimées o I'oide
d'eslampilles dans I'in térieur de plats noirs, qui son ! indubitable·
me:'It de fabricatian ottique : ces pieces anl eté !rauvees o Lo Bos·
lido el sont mointenant canservees a Volencia . Oons ~aucoup de
cas, ces voses son! appeles pre -camponi ens dans les publications.
Le terme, ossez vogue, sero it o preciser : d'abord grec, avec lo de terminatlon plus exocte comme attiqL:e, e !c.
Or, le principal bul de ma peti te note c'etal ' jus!-ement d'indi ·
quer, que I ~s Musées espognols obriten t de tres importonts mor·
ceaux de céramique otlique nai re du 4éme siecle ovo".! J . Chr . Ces
exemplaires meriten t d'é, re étudiés dans un cadre comparatjf, qui
vise ó trocer le territoire de dislribution sur tout te littorol de IIJ
Me r Médi!erraneenne des types respectifs. Oans ce sens, les oinochaoi de Barcelona -e l de Valencia consli tu~ nt un fort précieux té·
moignage, de noture o enr ichir sensiblement le tobleau de distribu ·
tian oncienne des voses en question .
-
1"5 -
[page-n-197]
[page-n-198]
LAM. l.
KrAN .-Ocncchoí dc LCI BcllldCl (Mo, entc )
- - - ----""_
.........
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~
[page-n-199]
E.
KUKAHN
Estatuilla de bronce de un guerrero
a caballo del poblado ibérico
de "La Bastida de les fllcuses"
(Mogenle -Vnlelleio)
Loo pequeños bronces de los santuarios prerromanos de Españ:J
presentan en general un carácter que, o pesar de los f~rtes in fluencia s locales, no pueden desmentir que pertenecen o lo comú.,
civilización de lo cuenco del Mediterráneo. Efectivamente, no adm iten uno closi ficoci á n cronológico impecable según el método
aplicado en los países clásicos, pero nos don uno impresión muy
cloro de lo población de lo Península Ibérico de entonces y de su
nivel cultural , y juS'ti f ican su denominación de ibéricos. Es caracte rístico en los piezas de esto roma de lo producción artístico no
encon t rar represen taciones de dioses ni diosas, sino exclusivament e exvotos cuyo significación, hasta el memento, no ti en-e mós que
un interés arqueológico (1 J. Entre los diversos exvo tos ho llados, pri meramen te sin observación cie ntífico a lguno, y luego e n excavo ·
ciones s ¡ s t~m á t icos {2) rea lizados bajo lo protección del Estado, se
(1 1 Solamente nuevos inves tigaciones en los sonluorios ibé ri cos pueden oper_
tornos mejores result odO$ respec to o los relac iones de los exvotos y de los d ivI n i_
dades o los que era n dedicados, lo que yo no sido en porte .eolizodo ¡}(Ir los '!x
(ovaciones de El Cigorrolejo, el. E. CU ADRADO DI AZ : "Excovaclones en el sonluor io ibérico del Cigorroleio (Mulo, Murcio)", Informes '1 Memori as de lo ComIsario General de Excovociones Arqu eológicos, núm. 21 , Modrid, 1950. Al fin:)1
de n ues tro ar ticulo tro toremos sobre es to cuestiono
(2) Rem ito s," enume.orlos o tod?s los Dublicaciones su fici en teme nte ci tooos
en lo com;¡leto bibliogrofio d e F. ALVAREZ-OSSORI O: "Museo Arqueológico Na _
0$
c'l)nQl . Cotologo de 1 exvotO$ de bo-once, ibéricos". Moorid, 1941, pÓg. 156. CI.
,ombien H. CBE RMAIER : "Al t.beriscM VOlivbo-onzen". Pontneon, 1931, pOg. 2 51
_
147 _
[page-n-200]
2
E. KUKAHN
encuentron, 01 lodo de piezas pobr.es y de un mediocre volar, otras
de uno cierta calidad artístico. Con lo ayudo de los rQsgos estilísticos y de otros indicios que no tienen anologías en lo esfera del
orte ibérico, la opinión de que han sido influidos por
no parece equivocado. Las investigaciones recient03S en este sentido han proporcionado yo resultados destacables (3).
Así, la estoluilla
no 1) de origen ibérico, de Volencia (5 ), merece nuestra a t enció",
sobre todo porque se distingue de las demós por una ciert a calidad
01 mi smo t iempo que ti ene un volor arqueológico,
El caballe ro f u e encontrado juntamente con un torito en
bronce, con su yugo y un fragm ento de timón, que debió formar
par te d~ uno yunto, en el poblado ibéri co de La Bastida de les Al cuses (Mog<2n te, Va lencia) (6).
Es un bronce ploeno, de 7'3 cms. de altu ra, excelente desde 31
punto d<2 vista técnico, de superficie suave y pátina v~rde oscura
bril lante. D~spués del modelado, los detalles del rastro fueron retocados.
Sentado sobre un caballo, un poco pequeño, estó un guerrero
desnudo mirando 01 frent..e, .erguido, con la cabeza oblongo, y Je
aspecto atrayente. El cobol lo 9~ apoyo sobre las potas sin coscas,
de formo cilindrica, que desde la par le superior se hacen más gruesos; el cuerpo es igualmente carla, algo cilíndrico y 10 cola va pr:gada, en lo porte alta, haciendo curvo, y volviendo a pegarse sobre
las patas troseros del animal. Además de los detalles de la cabezo
(ore jas punt.iogudas, o jos, nariz, boca -ent reabierta), también estó.,
indicados las largos y grandes crines.
131 De uno gron impOr loncio son los investigodone5 clenlff komen le fundados d e A. GARCIA y B!:LlIDO: "Relaciones en lre el Arte etrusca y el Ibero", Archivo Espoñol de Arte y Arqueo logio. !. VII, Madr id, 1931, P. I 19 y ss.; "Un
ApOlo orcoko Ibérico de bronce", !.P.E.K. 8, 1932-33, Berlín, 1934 , p. 99; "ContoCIos ./ re la ciones entre lo M09na Grecia y la Península Ibérico según lo Arqueología y los te>c tos clósicos", Boletín d e lo Academia d e la Historio. Madrid . 1935.
r4~
Valencia, Museo de Prehistoria del Servicio d e Invesligación Prehistórico
d e lo E>ccmo. Dipu tación Provincial, Palado d e lo Gen!ra lidad del Reino.
15) Las fotografios y los d ibujos d",lallados de vasos iooricos los d",bemos o
lo gontile:r.a de dan Domingo Fletcher VoUs, Di recta.. de l Sa,vicia de Investigación
Pr ehis tórica, al que agradecemos el permiso paro publicar es te in tereson'e bronce.
(6) l. BALLESTER TORMO: "La 1
000r del ~rvkio de Invest igación Prehistórica y su Museo en el pasada año ¡931", Vol encio, 1932 , lóm. V, l. 2.
L. PER ICOT GARC IA: "Historia d e España, r, Epocos ..... imit iva y romana",
Barcelona, 1934, pág. 403.
A GA RC IA y BELUDO: "Ard..oologiscne AUigfObur'lglln und Forscnungen In
Soonien, 1930_ 1940", ArckOologischen Anuiger, c.- I y 2, Betlín, 19.¡ 1, P. 22 I
f,g. 26.
-
14B -
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EL GUERRERO DE LA BASTIDA
3
El caballero está, como hemos dicho, s.:mtado, actualmente 10
parte alta ligeramente inclinado hacia lo derecho, y can las piernas
colgando en con lacta con los potas delanteros del caballo. El brozo
derecho lo tiene doblado en ángulo hacia atrás, de forma que, In
espado que llevo en lo mono presto o golpear, reposa sobre su mu:;lo; lo riendo de este lodo, sólo visible en la porte delantero, está
verosimilmente sostenido por la mono derecho. Lo mono izquier.
do, obl icuamen te extendido hacia adelante, parece agarrar 10
ri endo cerco de lo brida, acción ocultado por un pequeño escudo
redondo con umbo. Sobre los muslos se ve un objeto oblongo, seguramenta lo vaina, dirigido hacia la izquierdo . De jando libre lo m irado, el caba ll ero llevo un cosco de rebordes reforzados, que le protege lo cabezo has ta el cuello, coronado por un penacho o modo
de cimero, tocando el casquete y el reborde posterior, sostenido
par ancho soporte, a lo manero de los cascos greco-corintios. El rostro está caracterizado por lo linea que va desde lo nariz 01 frontis
d~1 cosco y por los ojos, en formo de almendro, con los con tornos
rehundidos y cinc.alodos. Lo boca, cuyos comisuras están un poco
levantadas, está abierta .
Aunque lo ejecución es, en parte, ruda en lo es tructuro orgánico d~ 1 caballero y caballo y en lo masa del cuello y de los mi embros, groseros y redondos, el motivo está bien comprendido y la
acción muy claramente plasmado. El caballero retiene los riendas
en tanlo s ~ lo permite el hecho de sostener sus armas, y lo cabezo
de l caballq responde o dicho movimiento quedando un instante en
esto posición.
Muohos ejemplares parecidos 01 nuestro se encuentran en lo,>
grandes col ecciones de bronces ibéricos. Por ejemplo, una ~sta tu i 11 0 (7), actualmente en Madrid (Iám . 11, 1); pero parece que no
existe ninguna que seo en teramente comparable con nuestro gru po, sobre todo desde el punto de vista de 10 ca lidad, como nos
muestra el Católogo de bronces de Madrid (8). De los cuales, desde
el punta de vista estilístico, aunque son más recientes, se difer·encia el nu-estro, primero por representar un t ipo arcaico y después,
por el hecho de que aquí se reproduce un cosco con al to penacho
flotante .
(7/ Madrid, Colección del Ins tituto del Conde de Va lencia de Don Juan. O .
COSSIO- PLJOAN: " Summo A' lis" , Vol. VI, Madrid, 1946, póg. 422, fig . 649.
(8) Cf . ALVAREZ _OSSORIO: Ob, cit . en noto 2, 10m. 77- 79.
_
149 -
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4
E. KUKAHN
Por ello vale la peno ras trear qué modelos pudieron haber influ ido en el broncista ibérico. Lo firm e formo plóstica y lo exactitud en los detalles de la obro, coract-e rizan un tipo generalmente
ll a mado grcai'co. Asi, nuestra esta tu illa se relociono con los produc tos del mismo estilo de origen m ~diter róneo y sobre todo con
103 proceden tes del orea dominado por el orl e griego o de regiones influenciadas por éste. Lo afinidad ti pológico con lo terracoto
de Atenas (9) (1 0m. 11 , 2), que reflej a tra zos de arte geométrico
remontabl e hasta el siglo VI Q . J . e, es fácilm-~nte visible. Lo estruc turo severa de los formos redondeados del c uerpo y de 105 pier nas, lo colo curvado, lo ejecución de los ore jas y la mo ta de crin es,
asi como la forma dibu jada de los detalles, acredi ta n, a pesar de
las diferencias de material , los mi smos fu ndamentos plóst icos aun que en e l bronce apa rezcan mas moderadas y fa ltos de vivacidad.
El caba ll ero ibéri co es tó sentado con ligereza y par el lo es mós
comparable con represen taciones del mi smo género pe rtenecientes
01 fin de la época a rcaico o ya al comi enzo del siglo V o . J. e, como el caballe ro con cosco (1 01 de Korlsruhe (lóm. 11,3). Todos esI'os comparaciones que nos ind ican cómo el mismo ti po sO! cons ·~ rvo
y continúo con un derta retraso en ~I modelado (11), son salomente de volar poro nuestro bronce en ton to nos muestran las mismos
especies de la comunidad mediterráneo . Aquí, .al espacia sólo nos
permite señalar el problema. Lo producción artístico de pueblos
separados no se desarrolla al m i s m o t iempo ni progresa en
las mismos etapas. Aun en una misma comunidad, uno part e,
a veces, permanece más o menos largo tiempo en un estadio de propansián hacia el e.iti lo arcaico. En -es te sen tido séome permitido
señal a r un d isco en t erracota de lo necrópolis de Doui mes (12) (lá m ina JI, 4) que represen ta en relieve un caballero que S~ dirige ha cia la derecha acompañado por su perro, frente o uno plan ta . .'\
pesor de lo continuidad del es tilo an t iguo, -evidentemente gri ego,
en gene ral recordando los produc tos de lo Magna Grecia, lo plan ta
(9) At enas, Museo Nocional, Inventario 4 .011. Cf. BCH, 14, 1890, 16m. 13.
1101 I
(11 ) En es te sent ido 1 te,rocot05 50n mas significat ivos que 1 esto tulllos
05
0'$
en b,orn;e, que deion en !)enerol
<1
su producóón. l
dO lado por el conjunto hacia fing les del s'glo Vi o. J. C.
1121 CI. DElATTRE: "Musee lov igerie de SI. loui$ de Cotthog,", 1, Pori~,
1900, lóm. 20, 5.
-
150 _
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EL GUERRE RO DE LA BASTIDA
5
mencionada ,tiene sus ana logías en discos decorados más rec¡ent~s
de origen púnico. De la relación del reli eve de Douimes con repre sentaciones ibéricas habremos todavía de tratar más adelan te.
Para el arte ibérico en bronce, Raymond Lanti er ( 13) desde hoce t iempo ha comprobado lo con tinuidad del arca ísmo en los niveles mós recientes de las excavaciones. espoñolas y lo improbobll'l
de uno influencio griega directa . En cosos especiales no S2 puedo
ev i.tar aceptar uno infuencia indirecto, que, por ejemplo, en re lación con nues tro grupo, consiste menos en ~ I tipo del caballero
arcaico, que en lo acepción del gran penacho de tiempos pre ~c1ási~
coso
El escudo redondo con limbo, 10 espado corto O folcoto españo~
la corriente, el cosco, osi como los lanzas, per tenecen en general
01 armamen to ibérico (14). Las fuente s antiguas (1 5 ) nos cuen tan
sólo que el cosco normalmente estaba hecho de cuerdos tramados
o de bronce de un color latón a marillo y decorado por un símple n
triple p enacho. De ello se deduce que se utilizaban d iferen tes formas. Hasta el presente no conozco ningtln original (1 6) comparo ·
ble con el casco de nues tro bronce y por ton to dependemos de los
representaciones sobre vasos pin tados, bronc es o ·terracotas, que o
causo de su estado de con se rvaci6n no nos son de utilidad por lo
general.
(13) R. lANT IER: "Bronzes VOI; ' s iberiques", I.P.E.K ., 1930, póg. 38.
( 141 el. H. SANDARS: "TIle weopons 0 1 Ihe lberlom" Arcnoeologio LX IV
Oxford , 19 13, p. 2 05.
"
,
(1 51 OI ODORO, v , 34; ST RABO, 111 , 15 y 16.
r 16) ExCeplo los dos cascos corinti os impor tados d e Gr(!(:;o y encontrados en
el Med iodía d e lo Peninsulo (Huelvo y J eru de lo Fron tero, el. e. PEMAN: "Sobr~ el cosco grieg.o de l Guodole le", Ar ch ivo Espo lÍor de Arqueología, l. XIV, Mo_
dnd, 1940-41, pag. 4071 yel mayor nümero de COKOS d e tipo lo T~:ne procede., les de muy diversos lugares, conozco w lo el COKO de gola en plato de eoudete (Valencia), mencionado en GARel A BELLIDO: Op. cil. en noto 6, 'póg. 243
conservado en el Insliluto de Valenc ia de Don Juan (Madrid). Es o es le au tOr ~
Qu}en .debo . el. conoci mien to de eslO pieza el
bricación. cetltco, pero el el
bargo. $eome perm it ido remi t irme o los relocionC$ entre lo técnico de lo ",",oto y
lo formación de c uernos, de C$ le cosco y el adorno publicado en "Germanio" 20
1936, 1 . 21. En lo o ho I talio ~o ir,fl uencio local $e dejo $enti. en lo Irod'ició~
6m
ticnico nollstótlico, mien tras Que aqui es prefedble admitir uno in flu encio c&l t ico
sabre lo Pe ninsulo Ibé rico. Con rC$pec lo ti esto opinión veose J. MARTINEZ
SANTA _OL ALlA: "COKO de plato céh i<;o de la Edad d e l Hierro" InveSligació:l
y ProgrC$o, olÍa VIII, nÜm. 1, pág. 22, Madri d, I 93't.
'
.
-
151 _
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6
E. KUKAHN
A vec~s los estatuillas de bronce (17) lIevon un bonete prole
gicndo lo cabeza hasta el cuello, dejando libre la coro, lo que tam bién muestro nuestro caballero. Las mejores onologíos es tón represen tadas por dos eslatuillos (18) de guerreros o pie, portadores de
vasos de ofrendas procedentes del Santuario de Do:!speñaperros, de
los que uno (16m. 111, 1) estó bien conservado, permitiéndonos uno
comparación estilístico, con lo única diferencio de que el penacho,
colocado sobre el casquete, es mós pequeño.
Entre las pinturas de vasos ibéricos, con roz6n datados como
de fec ho muy tard ío (19), aparecen un gran número de coscos di versos y verosímilmente no todos de metal, pues su dibu jo, a veces
recordando 'e l est ilo cre tense, impide un onólisi s cloro de los for4
mas. Lo for mo de lo representación geomét rico (20) (fig. 1.·, arribo) no difiere- mucho de lo del estilo geométrico griego, lo que
equiva le o decir que solamente se puede dis tinguir lo cresta del
penacho indicado por si mples líneas. En 'el esti llo llamado rico y dasa rrollado (Hg. 1.·, centro y bo ja) (2 1), el penacho estó indicado,
sin detalle, tocando el casquete o flotando. Un alto penacho, como
el que ll eva nuestro estatuilla, no ti ene analogías. El cosco estó supedi todo o los detalles del rostro o, mós corrientemente, se indico
sólo por el penacho (22). Las bonetes si mples no metóli cos son mÓs
numerosos. Pintura, raticulado y decoración de escomas, vivifican
lo representación, -pero no dan ningún trozo común con nuestro
estatuilla, hecho nodo extraño dado lo epoca de su fabricación .
1111 el. 01 lodo de lo figurilla reproducido en lo 16mino 11, 1, F. ALVAREl.
OSSORIO: Ob. til, en lo noto 2, lómino LXXVIII, numo 603; lóm. LXX IX , numo
607. e. DE MERGElINA: "El sontuorio hispano de lo Sierro de Murcio. Memor,o
de los El
de El
(18) Madrid, Museo ArqueolOgi co Nocional, num o 28.615 y 28,614. e l . F.
ALVAREZ_OSSORIO: Ob. ci t., lómino XXXVII , num o 232 y 230.
(1 91 Recien temente, A, GARCIA y BELLIDO: "Nuevos dol os sobre lo "0.'10logia lino l de lo cer6mlco ibérico y sobre su el
Español de Arqueología, l. XXV, 1952, primer semestre, Mod ri d, 1952, pág. 39.
(20) Cascos pintados sobre los VO$OS del Cerro de Son Migue l de Urio. el. 1
BALLESTER TORMO: "Lo labor del St-rvicio de lnvestigacl6n Prehist6rico V su
Museo en el posado año 1934", Valencia, 1935, y "Lo labor del St-rvkio de In _
gestigoción Prehistórico y su Museo en los oños 1935 o 1939", Valencia, 1942.
CI. lambie n: "Corpus Vasorum Hispanorum. Cerómico del Cerro de Son Mi guel. Lirio. Museo de lo El
de Arqueologio "Rodrigo Caro", Madrid, 1954 .
(21) Véase bibliografía citodo e n lo noto anterior.
(221 CI. por eiemplo el vaso de Archeno, en H. SANDARS: Ob. d t. en Jo noto
14, lóminos XV V XVI.
-
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EL GUERRERO DE LA BASTIDA
7
Sin embargo, exist e un t razo común corac te rís t ico en r etoc i ó~
con la formación del cosco ibéri co. Fal ta el s~n tido pa ra una forma
a rt icu lado y orgón ica, lo que es significativo poro el cosco gri ego y
sobre todo pa ra el corin t ia, most rado aquí por un bronce mesen io
(23) de A tenas (Ióm. 111, 3). El cosco ibérico no t iene nodo d e común con lo f igura g ri ~ga: consist e en un bone te colocado como un
1)~ft~,,9
~
Fig. 1."-Diversos tipos de coscos ibéricos represen tados en los vasos cer6micos
del poblado de San Mig uel (Liria).
c ubo sobre lo cabezo, en ~ I que sólo lo por te del rost ro ha sido recortado. De este tipo si mple y próc t ico derivan todos los demós
e jem plar.es, mós o menos variados, y se ~ncu en tra en lo zona griego del Medi terr6neo, en lo Italia etrusco, osi como en los países
orien tales veci nos de Grecia (24). Pero -en estos ú ltimos parece s~r
que fueron inventados independ ien t emen t e.
En cuan to a los cascos griegos can un cuadrado recor tado e~
la part e fron ta l, me remito o lo invest igación que sobre las m ismos
hemos hecho (25). Para aclarar las r<:! lociones mutuas, séame per-
(23) CI. "ArcMoiol. Deltion", 2,1916. lóm. A; W. LAMB: "Greek and Roman
Branl.es", 16m. XXXVII I, b.
(241. Cosca en bronce, en otrO tiempo en Berlín, Anliqvarium, I",v. 30.932,
Ma ll ada en el d is tdta de Kuba n y verasimilmente de aflgen escita.
(25) '''Der GrieCMische Helm", Marburg, 1936, 15, 53. Segun los recien tf!s
halla:r.gos, especialmente en Olympia, y de los represen tociones, el t ipO se pUede
señalar cama cosco de cabollera griego de afigen medilerr6nto (l(lentol, (Jue desde
el siglo VI se enc uen tra solamente en gran número, entre lOs pueblos de 10 Grecia
s~ lenrriono l.
-
153 -
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8
E. KUKAHN
mitido completor las observaciones, apoyóndome sobre represen tociones. Estas y o tros recien t emente holladas, muestron que desde
el siglo VII antes ó.:: J . C. el tipo de casco se encuen tro no sólo en
las islas del Egeo, sino también en lo Grecia continental, lo que
permite suponer que tuvo sus orígenes y desarrollo e n el Mediterróneo orien tal. El hé roe de lo lliodo en el comba te con motivo de
la preciado armadura, sobre un vaso del grupo de Melas (26) (f igura 2 ,"), y los dos guerreros de un relieve en terraco to de Rod'Js
Fig. 2. o- Representación de combote en un vaso del grllpO de Melos.
(27) (lám . 111,2), en o tro tiempo en Berlín, lo llevan con penacho
mós detall ado. En un alabas tron prola-corintio (28) (Ióm . 11 , 5 )
de lo is la de Cre ta, lo llevo uno esfinge, m ientras qu e en un fra gm ento con t emporáneo (29), ejempla r muy interesofl'te recientemept e encontrada en Megara HybJaeo, es tá represen tada un guerrero
can él.
(26)
11 1.
(27)
(28)
(29)
Alenos. Mu~ Nocionol, el. A. eONZE, "Melische Thongefi:i5se", 1
0m.
el. Be,berl. MU5een, ]939,31 , lig. ].
GI. JHS 53. 1933, 293, lig. 17; BeH 58. 1934, p6g. 268, lig. 35.
"Fosl; Arcl->oeoJogici", 6 . 1953, póQ. ]59, Ilg. 53.
-
154 -
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EL GUERRERO DE LA BASTIDA
9
Todos estos cascos se di ferencian del ibér ico por su sis temótica
coincidencia en un casque te, limitado sobre los ojos por uno línea
horizon tal y par los corrilleros, unidos en rectá ngulo y descend iendo
hasta los ora jas. Su desarrollo y perfeccionamie nto se deben o lo
Grec ia con tinen tal, donde desde principios del V II siglo o. de J . e,
lo simple forma genera l (30) (Ióm . 11,6) reempla zó 0 1 casco cóni co, y esto formo aparece todavía des pués y se conservo sobre todo
en los ma rf iles (31 L o veces con trozos corin t izont.es en los corri ·
ll eras (32), pero es abandonado por el casco vise ra cor int io, que
pres to uno mayor protección, y de origen gri ego, a l que imita en la
6m. IV, 1) . De estos orígenes si mples
formo de los ca r,ril le ras (33) (1
se desenvue lve lo forma pr incipa l (34) (Ióm. IV, Z), qu e llego o ser
el ca sco especí fi co 00 los ca ball e ros de lo Grec ia septen t rional,
predominando e nt re los Tracias y los Ili rios desde -e l siglo VI. Pero
ta mb ién su forma antigua , que recuerdo 01 casque t e de la estatuilla ibér ica , sa encuentra en la plóst ica y en lo pi n-Iura de l arte con ·
t inen ta l. Al lado de sencill as figuras en terracota, uno da las cua les, el ejem plar de Ka rl sruhe (Ióm. IV, 3), se reproduce aqu í, y de
o tros representaciones en a r te menor, lo llevo ta mbien lo f iguro de
Oinomaos antes de par tir poro lo carrera de carros, que se encuent ro en el fron tón del templo de J úpi t er en Olympio.
Poro lo in flu encio sobre el cosco ibérico es m uy signifi ca tivo
que tam bién en el arte e trusco- i'IÓlico, lo forma general (35) (Iá nl .
111 , 4 ) yo veces lo corintizante, sean muy conocidos, como se ve por
lo cabeza (36) de un guerrero etrusco d<:! Orvie to (16m. IV, 4 ), hoy
en Florencia, y, por ot ra par te, en los ca bezos de te rracota de Veii
(301 Sello de marfil del son tuorio de lo Hero Akroio, Corin to. CI. " llI us troud
London News", 2 de moyo de 1931, pag. 748.
(31) Proceden te de Espor to; JHS, XII , 1891, 16m. XI, 3. R. M. DAWKI NS:
"The SonctuOly 01 Ar temis Or thio", 1
6m. 99, 3.
(32) Corocteriuicomen te en ~os bronces procedentes del Peloponeso (p. e. 'lM
0m. 44, c. A. SAMBON, Lo coll. Worneck, 1905, nú··
Quor terlY,4, 1929-1930, 1
mero 136, lig. p. 2 3\. y en los relieves de morfil Que pueden remont orse o ,¡no
fue nt e orIen tal (en Oelphos, aCH 63. 1939, 1
6m. XXXV. P. DE LA COSTE- MESSELlERE; " Oelphos", Po,;s, 1943, 55, lig. 44, OJ.
(33) El orybolO$ ~Ofinlio del Museo del Louvre, "Corpus VOSOfum ...... IiQuo.
rLNTI", 111 , Co, 16m. 19, 21 (F roncio 4881.
(34) Berlin. Antiquorium Inv. L 33.
(35) E$toluiUo en bronce de Brolio en f lOfencio. CI. L. PERNIER, "DMolo",
11 . 1921-22,492. W. LAMB: Ob. ei l. en noto 23, 10m. XX Iv', O. Foto Brogi
22206-8.
(361 CI. G. GIGUOL I: "L'Arle E t ru~o", 1
6m. 120,21. H. MUEHL ESTEIN:
"Die Kuns l der Etrusker", fig. 235.
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10
E. KUKAHN
y en peq u ·~ños bronces. El poco espacio me perm ite solamen te m enta r los problemas de los re laciones e trusco-ibér icas. Parece lo mas
razonabl e pe rma necer o la especto tivo y con reserva s con respect,')
o ,explicaciones como las ex presadas por A. Schulten en su úl'linm
libro sobre To rtessos (37 ), Es bien seguro q ue se pu eden percibir
relaciones, pero solam en te la revisión o lo busquedo de hallazgos
nos apor taró n uevos resul t a dos en esto d irección , Si se -encuen tran
en tre los bronces de España esta t ui llas e truscos (3 8 ) como del t ipo
de lo reproducido en lo lóm , 111 , 6, por e jemplo, se puede suponer
que el cosco etrusco-griego, decorado con penacho, ero conocido
en t re los iberos. El cosco de l caba lle ro de Va lenc ia, no t iene, como
hemos vis to, de ta ll es carac teríst icos q ue lo re lac io nen con . 1 qu é llus,
lo que q uizó se deba o su inferior ca lidad. Sin pre tens iones nos
m uestro una fo rma común del Med it errá neo, e laborada más ex·
presivamente en algunos exvotos. Sólo e l hecho de es tor decoro :!o
con un penacho, ún ico del mundo ibérico, nos lo muzstra como inspirado en eje mplos Ha lo-g riegos, lo q ue ta m bién se puede postulo: ,
con toda reserva, po ro los estotuil las de guerreros de Desp.Jñap~.
rras.
Hemos comparado nuesfora es ta tuilla y su cosco, en generol, con
ob j ~tos de arte m eno r arcaico, lo q uz es debido o su seme jan t e caróc ter. De acue rdo con los periodos est iligticos de los pa ises clási ·
cos, cuyos ob je tos de estilo o riéntolizon te corresponden o los vasos
pintados sem e ja n tes de lo España del sig lo 111 a. J . e, Sl! debe situar el origen de n ues tro esta tuilla en uno época anterior geomé·
tricQ, lo cual significa en España e l período de ar te ibérico arca ico.
Lo helen izocián de lo cos to levantina, en 10 cual, un poco hil cia el in terior se encuentro Lo Bastida, comienzo yo en el siglo V
a. J. e, aunqu e los restos de cerámico figurado son m uy roras; se
muestro tempronamen t e, como nos lo ilus tran los r icos e j ·2mpla r ~s
de cerám ico negra estampado y lo producción ito lo - helenís tico,
desde e l sig lo IV a. J. e Es tos indicios fechan nuest'ra esta tui lla
(311 A. SCHULTEN: UTortessos", Homburgo, 1950.
(381 Cf. A. GARCtA BELLIDO: "Uno apottoción 1TlÓ$ 01 esTudio de los relaciones entre etruscos e iberos. Un bronce etrusco de Ampurias". Anuario del Cuerpo Facultativo de A., B. y A., Homenaje o Metido, vol. 11, Madrid, 1934, pélg. 303;
y CH"T
ículo "Los reloclones ... ", ci tado en lo noto 3. Vease Tombie n J. MART IN EZ
SANTA-OLALLA: "Nuevo bronce ibérico del santuario de Dcspeñaperros (Jaen¡"
en lo revisto ci todo, póg. 163.
(39) Es ta tui ll a en bronce de Karlsruhe, Museo Nocional, lnv. R. 501 .
-
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EL GUERRERO DE LA BASTIDA
11
en un periodo comprendido en t re el fin del siglo V hasta el IV, dotación comprobada .por el conjunto de objetos hallados, entre los
que se encuentran también piezas de cerómica griega per teneciente
o la época del estilo rico (40) .
Debido o que los estotuillos de caballeros y de caballos son de
gran importancia en los san tuarios ibéricos como exvotos, como nos
lo demuestran en particular los mÓS recientes hallazgos de El 090!'ralejo (Murcio) (4 1), F. Benoi! (42), en este mismo Archivo d ~ Pre ·
historia Levantino, ha planteado con rozÓn lo cuesti6n de si se troto aqu í en cuanto a su origen, de un celtismo o de un mediterraneísmo. Sin que yo intente llegar a un resultado defin itivo, me poreo:e
necesario remitirnos al tipo de lo representación de los dioses, junto a un culto hípico, que es de origen mediterróneo orien tal. ,El tipo
Fig. 3."- Fragml.'n lo d I.' vaso iberica de Elche (Alicanle).
heróldico de lo Gran Diosa, situada entre dos cabal los en Asia Menor, yo conocido desde los ti empos de los grandes mi graciones, ha
sido pres ta da a los re presen taciones ¿·e dioses gri egos, sobre todo
de Art emi s, si empre qu e el cul·to de la Gran Diosa no se hoya COrlservado inalterado en algunos son tuarios, en particular de los pa í.
ses que bordean el MeditErróneo.
Es carac terís ti co que lo Di osa puedo ser reemplazado por U:"'l
(40 1 e/. 1. BALlESTE R: Ob. CI!. I.'n lo r olo 6, pilg. 23.
e l . nota 1.
(41)
(42 ) F. BENOIT: "ehevoux du levont looriQUe. Cehisme 0lI Méditl.'rroneisme?"
Archivo de Preh,Slolio LevantIno, IV, Vall.'ncia, ]953, pag. 21 1.
-
151 -
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E. KUKAHN
12
s ímbolo vege to l, como por ejemplo en el voso pin todo (43) de Jonia
orientol , hoy en Bonn (Ióm . 111,5 ), con el cua l, en principio, son
equiparables el caballero fr ente o uno planto del mencionado disco
de Car loga (Ióm . 11 , 4) y seguramente lo composición sobre un
fragmento de voso ibéri co (44) (10m. IV, 5) . Por ot ro lado lo diosa
alada Toni ! t iene los caba llos en com pos ición heró ldica como en el
I
Fig ....· -f ragmento de varo ibérico de Elche (AUcont e!.
voso de Elche (45) (f ig. 3), o es tá rodeado de plan tos crecien do exubera ntes, como sucede en un vaso (46 ) de lo m ismo procedencia (fig. 4) . Lo va riación en la represen tación de lo d iosa, de
for ma humano o la vege tal, parece remon ta rse o 1 fuen te medi0
te rróneo mencionado an te riormen t e, por lo qu e as imismo ha s ido
inspirado el exvoto del coba lle ra de La Bostida de Mogen te.
(43) Bo nn. Akod. Kuns tmuseum , Inv. ¡ .524, Cf. " ArchQologiKhe n An
1936, póg. 394, fig. 5 1.
("14 ) CI. J. SAN VAl ERO APAR ISl y D. FlETCHER VA ..lS: " Pr imera cam·
paño de e~covotiones en el Cobezo del T ia Pio (Archena)", Informes y Memorios de lo Comisario Generol de E~covacoo.'es Arqueológicos, num. 13, Mo(hd ,
1947, IÓm. XVI II.
1"15) Rep
(46) Museo de E kh~. Quedo n"IV O!lrool!Cido n lo omobi lidod del señor Rom::.s
Folques, por haberme permitido uliliz ar la fol~ro fia.
-
158-
[page-n-211]
KUKAHN ._ EI IIUg.tc:tO dg Lo Bostido (Moge nt e)
r
LAM. 1.
[page-n-212]
LAM. 11 .
KUKAHN .- EI gu erre ro de lo Boslido (Moge nle )
[
•
3
-------
•
o
l.2.3.4 .5.6.-
Bronce ibérico del Museo de Volencio d e Don J uan.
Tenoco to de Atenos.
T er rOCO I0 d e Korlsruhe.
0isco e n terra co ta de lo neoópolis de Dou imes.
AloDas lr6n pro lo-corin tio, de ere to.
0 isco de mor fil, procedent e de Espor to.
[page-n-213]
KUKA HN .-II lIuon.ro do La Bastida ( Moll o ~ ta)
LAM. 111.
J
2
•
o
I.-~uerrero del San tuario de Despeñoperros.
2 .- Terrocoto de Rodos .
3.- Bronce mesenio, de Atenas.
4 . -Bronce de 8rolio, en Florencio.
5.-Vaso de Jonio oriental.
6 - Bronce e lru5CO .
[page-n-214]
KUKAHN._EI guerr ero de Lo BOltido (Mogent e)
LAM. IV .
.
~.
3
1. -Arybolos corintio del Museo del Louvre.
2.--Casca. del AnriQuo"um, de Bedin.
3.- Tenacoro de Korlsruhe.
"'.--Cobe~o de guerrero el rvsco de Orvielo.
5.- f rogmen ro de cerómica Iberica de Archeno.
•
[page-n-215]
M. R ANGELES MEZQU IR IZ
IP~ mptft n .J
La Cerámica de Importación
en San Miguel de Liria
Los excavaciones del Cerro de Son Miguel de Lirio, han sido uno
de los me jores conquistas de l Servicio de Investigación Pr.2h istÓrica
de lo Excmo . Diputación Provincia l de Valencia, o lo largo de su
vas to ac t ividad cien tí fico en el Levan te Español, sobre todo en lo
referen te 01 conocimiento de la cerómico ibérico ( 1) y O t ravés de
ello, uno considerable a m pliación de los invest igaciones en torno
01 al f ab~ to ibérico, por los numerosos vasos con leyendas que se
han ido encontrando, llegando o plan tear problemas ton sugest ivos
como el del famoso vaso Gudua Deitsdea (2) referen te o su relación con lo lengua vasco.
Estas excavaciones, de resonancia internacional, tienen una solo
coso que lamen tar y es, la fa h o de uno sucesión es trat igrófica, Qu e
hubiese dado, con exac titud perfecto, lo evolución d e esta cerómi ·
ca ibérico. Se tro to de un cerro con ver ti en tes de g ran desnivel,
que sólo e n su par te supe rior tiene uno p equeña plata forma, la cua l,
lóg icamen te, serio el lugar idea l poro pode r encon t ra r uno super pos ición de niveles, pero toda la por·te a lto del cerro estó ocupada
por la e rm ita y depar tamen tos conventuales de Son M iguel; los
excavaciones se ha n hecho, casi obsolu tament- en los que aflora con t inuamen te lo roca vivo . A pesar d.2 todo, se
,
1"
Veose "Corpus Vosorum H i~pooorum, Cerámico del Cerro d e Son M;_
guel. lirio. Museo de lo E"cmo. Dipu tación de Valencia", C. S. de 1. C., Inst ituto
de Arqu~log¡o "Rodrigo Coro", Madrid, 1954.
(1} L BALLESTER TORMO; " Lo toOOr del Servic io de Investigación Prehistórico y su Mus~ en el posado año 1934", Valencia, 1935, pOg. 57 y 58.
-
159 -
[page-n-216]
2
M,O A. MEZQUIR1Z
han podido establecer numerosos habitaciones, ounque los f rag~
men tas d~ ce róm ica, arrost rados por las aguas o el viento, se han
separado y espo rcido por todos portes, de modo que fragmentos d ~
un mismo vaso aparecen, algunos veces, en distintos habitaciones.
Existe pues, un ún ico est roto, O raramente dos, separados por una
lige ro copo de incendio, que no es continua en todo lo excavación.
Es, por lo tonto, de in t.:!rés estudior la cerómico de importación, escosa, pero suficien te, pora poder es tabl ece r los lími tes de
tiempo en qu e vivió el poblado que se a sien to en el Cerro de Son
Miguel de lirio. El término "post qu em" es to señalado por el haIlazgo, en lo compaña de excavación de 1950 (3) de un lekythos
griego de figllras negros del sig lo VI a . de J. C. Nosotros vamos a
es tudi a r la cerómica im portado de ba rniz neg ro, sin decoración,
p r'ecamponi ~ns~ y componi en s~, que presenta gran d¡v~ rsid od de
for mas, que juzgamos de in t erés.
ESTUDI D DESCR IPTIVO
FORMA 2 1
;;
,
Pla to de for ma 21, res taurado en porte. Mide 0'036 me tros de
altura; 0'123 m. de diómetro de boca; 0'0 \ m . de a ltura de l pie y
0'07 m. de dióme t ro del mismo (4 ).
13 1 D. FLfTCHER VALLS: "Lo labor del Servicio de Invesligocion Prehislorico y $'" Museo en el posodo año 1950", Valencia, 195 1, pilg. 26.
E. PLA BALLESTER: "Nalas sobre las cerómicos del Cefro de Son Miguel de
Lirio: unos frogmeolos de ¡nleres" . Cronica del 11 CongreKl Arqueológ ico Noclonol (Madrid 19511, Zoragoza, 1952, póg. 405.
1-11 Todo$ los dibujos de los YOSOS eslon redu
-
160 -
[page-n-217]
CERAMI CA D~ IMPORTACION EN LI RIA
3
En cuan to o su formo, se caracterizo por tene r el borde ligera mente realzado y lo pared oblicuo; ~I pie es un poco inclinado y
tiene uno típico moldu ro en lo por·te que apoyo, dicha porte, es de
color rojo; otro circulo rojo aparece sobre lo careno. El interior está
decorado con cuatro palmetas en bajorrelieve dispuestos en formo
de cruz y unidos 01 cen tro por un pequeño circu lo inciso; este conjunto de palmetas va den tro de dos circulas concéntricos de ruede ·
cilla.
Lo orcillo es de color roso cloro, aunque se advier te que ha sufrido alguno quemo posterior o su fabricación.
Nos parece que podría dotarse hacia lo segundo mitad del sig lo
IV a . de J. c. : en primer lugar, par lo composición de las pa lme tas
y sobre todo par estor éstos en bajorrelieve (5) y en segundo lugar
par la moldu ro del pie, que generalmente no aparece posteriormen t e o dicho siglo (6) .
eS.M ., Dep. 46, Campaña de excavación 1936, Inven ta rio número 505.
,
Plato de tipo á tico, de formo 21, con barniz negro muy brillan .
te y arcillo roja . Mide 0'073 m. de altura total; 0'215 m . de diá ·
metro de boca; 0'023 de al tura del pie y 0'125 m. de diámetro del
m ismo.
(5 1 N . LAMSOGl tA: " Pe. uno c!assif;ca1.;ane pretim;nore d ello ceramica
campano" . Arr i d el , .~ CongreSlO ' n letnozianoJe di Slud¡ ligur; /1 950 ). Bot-d ighe ro, 1952.
(6 ) N . LAMBOGl JA: Op. C;I ., pOg. nI.
_
16 1 _
[page-n-218]
4
M,a A. ME-ZQUIRIZ
Su formo se caracteriza por el borde comple tamente vuelto hacia adentro y pie perpendicular, con uno molduro seme jante a la
que vejamos en el vaso anteriormente descrito, también decorado
con circu lo rojo en la parte de apoyo y en la careno.
La decora ción del interior estó constituido por un grupo de pa lmetas ligados, im presas en bajorrelieve, de los que sólo se conservan dos, incompletas; limitando el grupo de palmetos va un círculo
compuesto por cua t ro líneas de ru edecí llo .
Su dotación, osi como sus caracterís t icas, nos parecen seme jantes a los del vaso a nter ior.
C.S.M . Dep. 25, Compaña de excavación 1935, Inven tario nú·
. .. ¡t :
mero 507.
"
Plato de imitación componiense, que m ide 0'052 m . de altu ra
total; 0' 17 m. de diámetro de boca; el pie ti ene uno altura d~ 0'009,
m. y un diá metro de O' 1 m.
Se t ro to de uno formo muy carac terístico, con lo pared curvo
y borde vuelto hacia adentro, que tiene como principal peculiaridad
un pie boja e inclinado con lo porte de apoyo oblicuo y formado
por siete estrías en relieve.
Lo arcilla es de calor gris, seguramente por efecto de uno cae·
ción demasiada len to, y su barniz presen to un color n ~gro - grisáceo
muy opaco.
Salvo lo formo del pie, es uno imitocián perfectamente canse ·
gu ido de la forma 21 componiense, hecho indudablemente copia ndo un plato de importacián, por lo que su cronología no creemos
puedo estor muy lejos de la ya establecida paro lo formo campo ·
niense (7) . El pie, ton caracterís t ico, nos recuerdo a l de la formo
21 /25 .
p)
N . LAM8OGLlA: cp . Ci l., pOg. 170.
_
162-
[page-n-219]
CERAMICA DE IMPORTACION EN LIRIA
5
eS.M., Dep. 20, Compaña de excavación 1935, Inventorio número 506.
Plato de imitación de lo formo 21 camponiense . Mide 0'095 m.
de altura; 0'305 m . de diómetro móximo y 0'125 de diómetro de
lo base.
Merece especial atención por ser un ejemplar absoluta mente
excepcional : por una parte, imita perfectamente lo formo 21 compan iense, tonto en el p~rfil de lo pared como en el pie, con lo úni co diferencia de que, en eSlle vaso, el comienzo de la careno forma
un óngulo más morcado que en los tipos normales. Lo a rcillo con
que se ha fabri cado es comple tamente diverso a lo del resto de los
vasos de este conjunto que es tudiamos y coincide de modo perfecto
con lo de lo cerámico ibérico, propiamente dicho; no llevo ningún
barniz .
En el in terior, el fondo está decorado con un círculo formado
par dos lineas de ruedecilla muy marcodas, separados por uno línea
inciso; en el cen tro hay cuatro ovos dispuestas regula rmen te en
formo de cruz, en lugar de polm~tas y un idos entre sí par unos líneas de puntos incisos trazados tambien con ruedecilla .
-
163
~
[page-n-220]
6
M.- A. MEZQUIRIZ
Es un coso de perfecta imitaci6n indígena dz uno formo impor.
todo, muy antiguo. Ahora bien, 10 fidelidad de lo copia nos hoce
suponer que no existe mucha diferencio de tiempo con el modeJo,
por lo que no creemos seo posterlor 01 s iglo IV o . de J. C.
es. M.,
Dep. 102, Compaña de excavación 1947, Inventario
núm, 383.
FORMA 22
J.. 110
Plo to de formo 22, de arcillo oscuro, casi gris, por efecto d e la
cocción; el barniz es negro, muy brillante, de tipo ático. Mide 0'08
m. de altura tota l y 0'218 m. de diómetro de boca; el pie, bastante
al to y perpendicular, t iene 0'025 m. de al tura por O' 125 m. de diá metro. Lo pared es ligeramente carenado.
Presento uno doble d~coroción : en el in terior, un espléndido
con junto de pa lme tas i m pr~sas en bajorrelieve, ligados entre si por
-
164 _
[page-n-221]
CERAMICA DE IMPORTActON EN LIRIA
7
lineos incisos, formando dos circulas tangentes o otros compues tos
por uno serie de p2queñas ovos muy finos; en el cen tro, un grupo
de cuatro palmetas unidos por un circulo inciso, formando cruz
perfec to .
Lo decoración de 10 porte exterior es también la característ ico
de los vasos áticos : circu las concéntricos de color cloro en el pie, y
otros en el comienzo de la careno y debajo del ensancham ien to del
borde.
Por las ca rocteris ti cas d escritos (8). creemos podría dolorse en
la primera mitad del sig lo IV a . de J. C.
e .S.M., Dep. 19, Campaña de excavación 1935, Inventario
núm . 120.
Ploto de lipo ótico, con arci lla oscuro y barniz negro brillont~.
Mide 0'015 m. d~ altura total por 0'252 m. de diámetro de boco;
el pie tiene 0'025 m. de altura y un diámetro de 0' 13 m .
(81
N. LAMBOGLIA: Op. cit., póg. 171 y 172.
-
165 -
[page-n-222]
8
M.a A. MEZQUIR IZ
La formo de 10 pared es muy carenado, con borde abierto y
bas tan te ancho; a mbos caract erís t icos 10 diferencian ligera men te
del e jemplar an t erior y le don una do tación algo más mode rna .
Viniendo a coincid ir con la dotación deducido de 10 formo, lo
decoración, en el interior, presen to un grupo de palme tos im presos
en ba jorrelieve, combinadas entre sí con líneas incisos, formando
dos círculos tangentes (] otros hechos con ruedeci llo; a pesor de la
seme janza con Jos palmetas del vaso anteriormen te descri to, es fóci l adver t ir en el que ahoro estudiamos, lo fa lto de los elemen tos
mós an tiguos, es decir, las ovos han sido sustituidos por la deco·
roción de ruedecil l0, eviden tement e más moderno . En el ex terior,
aunque conservo los círculos ro jos en el pie y en el com ienzo de lo
careno, no los llevo deba jo de l borde.
eS. M., Dep. 14 , Compa ña de excava ción 1934, Inven ta rio nú mero 119.
FO RMA 23
llfl
7
Pla to casi integro de arci llo roja y barn iz negro, muy bril lan te.
Pertenece al t ipo llamado comúnmen te " pla to de peces" y es el
que continúo en Occiden te los antiguos vasos á t icos e itoliota s decorados con fig uras ro jos de grandes peces.
Se carac l,eriza por uno concavi dad cen t ral y un borde vuelto
hacia a fuera, muy a ncho. Estó decorado con círculos ro jos a lrededor de d icha po rte cen t ral, e n el borde y en el pie. Mide 0'03 5 m.
de altura total; por 0'192 m . de diómet ro de boca; la foso cen tra l
t iene 0'0 I m. de profund idad por 0'05 m. de d iáme tro; el pie e'i
de 0'02 m. de a ltura, con un d iámet ro de 0' 108 m .
Creemos qu e su cronología puede es tablecerse hacia fin es d el
siglo IV o comienzos de l "' a. de J . e , yo que aparece, en tre otros
lugor-as, en Ensérune, coincidiendo con el es t ra to ibérico.
-
166 -
[page-n-223]
CERAMICA DE IMPQRTACION EN LIRIA
9
eS.M., Dep. 42, Compaña de excavación 1936, Inven tario número 11 8.
Existe también en el conjunto de cerómico componiense del
Cerro de Son Miguel de Uria, uno imitación del plato de peces, en
arci llo gris, sin barniz alguno y cuya formo imi,to o t ipos más tardíos, en los que fal to, por e jemplo, lo t ípico moldura en lo porte de
apoyo del pie, que veíamos en el an terior plato descrito.
eS.M., Dep. 17, Compaña de excavación 1935, Inven ta rio número 504.
FORMA 24
, , \;J
?
Vaso de formo 24 de arci llo de color muy cloro y barniz negro
brillante, algo deteriorado por el t iempo. Mide 0'035 m . de a ltura
totol por 0'068 m . de d iómetro de boca; el pie tiene 0'0 12 m . de
a ltura y 0'048 m. de diómetro.
·Esta formo es siempre de pequeñas dimensiones y abunda mu chísimo en toda ,la cerómica p"ecampaniense y campaniense an tigua : lo encontramos represen tada, junto con otros vasos, también
antiguos, d el siglo IV o. de J . c., en la Bast ida de Magente (Valencia) (9).
Como cara cterísticas de dicho on tigüedod seña laremos el pie
vertica l con la típica moldura en la parte que apoyo y círculos rojos en esta porte y en el com ienzo de lo careno .
(91 Museo de Prehistorio del S. 1. P. de Valencia, numeros 139-141, 1520.
1521 y 1524. Cfr. N. LAMBOGLIA: "Lo ceramico precampono della Bastido" en
este mismo volumen.
-
167-
[page-n-224]
M,a A . MEZQU IRIZ
10
eS .M., Dep. 12, Campaña de excavación 1934, Inve ntar io "úmero 113.
".\ J ?
10
Otro ejemplar de formo 24, de arci llo color oscuro y barniz br i·
liante, muy deterio~odo; parece evidente que ton to lo arcil lo como
el barn iz han sufrido olteroción du rante algún incendio .
Respecto o su for mo, nos 'parece que pr-esenra caracter ísticos
mas tardíos qu e los del \lOSO an t erior, ya que fol to 'o molduro en
lo part,e de apoyo del pie y éste es mucho mós bojo y menos per o
pendicular. Mide 0'035 m . de al tura y 0'062 m. de diámetro de
boca; el pie tiene uno altura de 0'006 m. y un diómetro de 0'045
metros.
es. M.,
m ero
Dep. 25, Campaña de excavación 1935 , Inventario nLl '
500.
FORMA 42
JI
Kylix de formo antigua (10), de orci llo ro jo y barn iz negro muy
bri llante, enrojecido en algunos portes o causo de uno cocción poco cuidado . Est e m ismo tipo lo encon t ramos en lo Bast ida de Mogente (11) y Ampurios (12), supone lo continuación de l modelo
clósico, griego, de f iguras. Estó provis to de dos osos senci llos, uno
de los cuales ha sido restaurado casi por completo.
( lO)
(11 )
la 9.
(12)
N. LAMBOGLlA: Op. ci t. , pág. 188.
Museo de Pre his torio de l S. l. P. de Volencio, nUmero 2503 .
Museo Arqueológico de Barcelona, números 1933 V 169.
-
168 -
V~e 1'00-
[page-n-225]
CERAMICA DE IMPORTAC10N EN URIA
11
Esto formo parece que no se encuentro pos teriormente a l siglo
IV a. de J . C. y mós bien creemos qu~ puede dotarse en lo primera
mitad de di "ha siglo.
Mide 0'051 rn . de altura total y O' 16 m . de diómetro de Ixlco;
el pie tiene uno altura de 0'014 m. y un diómetro de 0'09 m.
C.S .M., Dep. 102, Compaña de excavación 1947, Inventario
num o 11 5.
FORMA 40
I---r".......,.,.
"
..
12
Crótera de arciUo roja y barniz negro bastante bien conservo·
do. Mide 0' 127 m. de altura, en lo que quedo ; 0'078 m . de dióme"
t ro de boca, y 0'085 m. de dióme lro móximo.
Presento uno formo ovoide y alta; en tomo 01 cuello llevo uno
decoración, llamada de tipo "gnazia", es decir, pintura en blanco,
formando uno senci llo guirnalda; lo panza está formado por unos
gallones, poco abultados, que lIevon en su parte inferior y rodeondo el vaso un círcu lo rojo, que se r-epite unos centímetros debajo
de éste.
C.S.M ., Dep. 2, Compaña de excavación 1933, Inventorio nú ·
mero 108.
_
169 -
[page-n-226]
12
M,O A. MEZQUIRIZ
FORMA 45
Vaso conocido generalment e con el nombre de "Guttus", se cree
que ero utilizado poro llevar y echor el aceite en los lucernas abiertas. Es té decorado todo ed con ga llones y la boca poro vert er los
líquidos tiene formo de pequeño cabezo de león ; debajo de és to
lleva un aspa inciso, de tal le que aparece frecuen t emen te en ejemplares de es to época como vemos, por ejemplo, en un oenochoé
de l Museo de Barcelona, procedente de Ampurios (13) .
Parece ser que su uso decae cuando comienzo o utilizarse 10
lucerna cerrado y por lo tonto, estó ausen t e por completo en los
yacim ientos y estratos o part ir del siglo 11 o. de J. c., mientras que
en el 11 1 y especialmente en el IV alcanza su apogeo.
C.S.M., Oep. 102, Compaña de excavación 1947, Inven tario
número 111 .
(131
Museo Arqueológico de Bo,celono, ""umeros 722, 114, 11 5, 1132 '11 130.
-
110 -
[page-n-227]
CERAMIO. DE IMPORTACION EN LIRIA
13
FORMA 48
Voso de formo de cá liz de arcillo rojo y barniz negro, opoco,
casi verdoso.
Parece derivada del "cyathas" á t ico, aunque éste tiene uno
solo oso. Su pared es completamente curvo y el pie formo una doble moldura ; de las dos osos horizon tales, uno es completamente
restaurado . Mide 0'09 m. de altura por 0'098 de diámetro de
boca; el pie tiene 0'013 m. de a ltura y un diámet ro de 0'06 m .
En España conocemos un ejempla r muy seme jante procedente
de Ampurias.
eS .M., Dep. 25, Compaña de excavación 1935, Inventario nÚ ·
mero 112.
FORMA l4
Vaso de cerámico componiense, de t ipo A, de arci llo color rojo
doro y barniz negro, poco brillante. Pudiera ser un tipo de transi ción en tre la formo 25, mós antiguo y 10 34 propiamente dicho, en
lo que lo pared formo un ángulo más morcado que en el ejemplar
que estudiamos (14); por esto creC!mos que puede fecharse en lo
primero mitad del siglo II o. de J. e, yo que lo formo 25 pertene ce 01 siglo II I y lo 34 se uso en pleno sig lo 11.
11-4)
N. LAMBOGUA: Op. c'I.,
-
pag.
182.
11 1 -
[page-n-228]
M.& A. MEZQUIRIZ
14
En el interior no llevo ninguna decoración . Mide 0'041 m. d~
oltura total por 0'067 m. de diómetro de boco; el pie es de 0'01
m. de alturo y 0'04 m. de diámetro.
eS.M., Dep. 93, Campaña de excavación 1943, Inventario nú '
mero 114.
FORMA 27
Vaso incompleto de cerámica campan iense de tipo A, propia mente dicho; lo arcillo es de color ro jo-vinoso y el barniz. negro,
poco brillante y deteriorado; en el ¡ntoeríar de lo pared no llevo decoración y en lo parte externo solamente un grafito ilegible.
Es uno formo que tiene larga perduración; comen zando a fa bricarse en el siglo 11 1 a. de J. e, llega hasta los comienzos del
siglo 1; durante este t iempo sufre uno morcado evolución, posando de lo forma completamente redondeado de la pared y fondo de corado con rosetas, a tipas, que creemos pertenece el que estudiamos, sin ninguna decoración y cuya pared hoce uno flexión cerca
de 10 boca (151.
Mide 0'043 m . de altura total par 0'09 m. de diómetro de
boca; el pie tiene 0'007 m. de ahura par 0'041 m. de diÓme tro.
C.S.M., Dep. 20, Compaña de excavación 1935, Inventario número 501.
FORMA 36
Plato casi integro, de cerómico componiense de tipa A. Mide
0'04 m . de altura por O' 17 m. de diómetro de boca; el pie es .-je
0'007 m . de altura y 0'072 m. de diómetro.
(15)
N. LAMBOGLIA: Op. cit., pág. 116.
-
112 -
[page-n-229]
CERAMICA DE IMPORTACION EN LIRIA
15
Su arcillo es de color roso cloro, semejan te 01 que parece S2r
ca racterística de los fábrica s de Campania, propiamente dicha. No
es frecuente encontrar en nues tro Península cerámica procedente
de esos fábrica s, yo que se importaba, generalmente, 10 producción insular, como es, por ejemplo, la supuesto de Ischia.
Respecto o su forma, nos parece que pertenece 01 último pe riodo de su evolución: t iene, -en primer lugar, lo pared bastante
grueso, que se doblo en uno aris ta muy vivo, en el comienzo del
borde; éste es curvo y de bastante anchura; en segundo lugar, falto en el interior lo decoración de palmetas, que aparece siempre
en los formas mós antiguos, éstos e9tán sustituidos por un círculo
rajo en el cent ro, no hecho con a fán decora tivo, sino o causo del
sis tema indust rializado de fabricación, es decir, cociendo varios platos de uno vez, apilados unos sobre otros, de modo que lo porte central de uno ocupada por el pie del que llevo encimo, se ClJ'2Ce menos
y de ahí que presente ese color rojizo, ot ras ve ces morrón, e incluso
rojo vivo, según lo mayor o m·enor cocción que ha sufrido. En el pi e
y en lo careno hoy también algunos portes rojizos.
Es uno de las formas más difund idos por todo el Mediterróneo,
y su cronología ha podido ser establecido con exac titud, yo que se
encuentro obundantemenfle representado en perfec tos excavaciones estratigráficos como los de Tindori y Ventimiglia (16), y pertenece o lo segundo mitad de l sig lo 11 o . de J. c., continuondose
su uso durante casi todo el siglo 1.
eS.M ., Dep. 4, Compaña de excavación 1933, Inventario número 503.
J8
Fragmento de pie y fondo de vaso de cerámica companiense .:::le
tipo A. Su arcillo es de color rojo oscuro, con barniz de brillo me(1 6 ) N. LAMSOGlIA : " GIi 5cavi d i Albin tim il ium t la cro no loJia delb ceramico romana. Parle prima : Com;lO<) ne d i sc ova 19 38- 1940" , Bord ighero, 1950,
es trO IO VI.
-
173 -
[page-n-230]
16
M,a A. MEZQUIRIZ
tálico; lo pared es muy grueso decorado en el cen tro del fondo con
una rose ta, dentro de un círculo morrón . Creemos que puede fecharse hacia lo mitad del sig lo 11 o. de J . C.
eS .M., Dep. 21 , Compaña de excavación 1935,
In~ntorio
nú -
mero 502.
LUCERNAS
~
'"
"- ' / '
~.
19
LucerflO de ce rá mi co camponiense de barn iz neg ro muy brillon ..
te. Pertenece a l tipo de lucernas cerrados, con disco superior com pletamente liso; lo formo del pico es a largodo y en punto, pero
está desgastado y quemado desde a ntiguo. El cuerpo es cilíndrico,
con oso loteral delfinoide y pie muy inclinado. Es uno formo ti pico
del siglo ti o. de J. C.
Mide 0'035 m. de al tura to tal; 0'085 m. de longitud moxlma ;
el pie tiene 0'005 m. de altura y un diómetro de 0'042 m.
eS .M ., Dep. 102, Campaña de excavación 1941, Inven ta ria
nú m. 116.
-
174 -
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CERAMICA DE IMPORTACION EN LIRIA
"
I
ji ;
17
1
r
D
2Q
Lucerna cerrada de pasta gris y barniz rojizo, cosi morrón . Su
formo es de tronco de cono; en Jo parte superior llevo un disco liso,
con agujero sencillo en el cen tro. Como en lo lucerna anteriormente descrito, tiene aso delfinoide en un lado. Pu ede dotarse sin
duda den tro del sig lo II a . de J. c., aunque parece algo mós tardia
que aquéllo .
C.S.M., Dep. 12, Campaña de excavación 1934, Inventoria nú mero' 17.
• • •
El con junto de los vasos de ceróm ica precampaniense y camponiense encontrado en San Miguel de Lirio, aunque na muy abundante, tiene una rtCO variedad de formas que nos permiten rcco ·
rrer, desde los vasos, seguromenle ót icos, del siglo IV a . de J. e,
pasando por aqu ellos del siglo 1II y II Y llegar has ta las farmas que
serón de uso común en el siglo I o. de J. c., si bien, su fecha de fa bricación cae den t ro de l siglo 11 .
Los vasos que don uno fecho mós moderno son los formas 27 y
36 y los luo<=rnas, que podrían señalar el momento de destrucción
o abandono del poblado hacia fines del siglo I a . de J. c.; poro esto
hipótesis hemos tenido en cuento otro dato que merece señalarse :
1171
N. lAM60GUA: "Per uno clor.sificoz ione .. :', pág. 140.
-
175-
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M,O A. MEZQUIRIZ
18
lo fal to absolu ta de com poniense B; sabemos que lo tabri:oción
de esta ceróm ico comienza en lo segundo mitad del siglo 1I a. de
J. C. (1 7 ) y que e l apogeo eh su uso está señalado especiolmen t '~
en e l siglo I o. de J. C. El hecho d~ su ausencia en li ria, suponien do que ésta fuese destru ido poco después del año 100 o, de J. C.
podría explicors~ fóci lmen te, supon iendo q ue los productos imp:>r todos lIegaríon con cierto di f icu ltad, a couso de lo fuerte competencia que opond ría 10 producción local (pensemos en la inmenso
desproporción en tre lo ce rá m ico ibérica y [a importada, que se ha
encontrado), por esto, no es de extrañar q ue un produc to de últ i·
ma modo en e l com e rc io de l Medi te rró neo, no Ilegose inm ediatomen te a Liria y no serio e l prime r caso de ciudades, cuya fecha de
fundaci6n a chst rucción, se gu ra, es pos te rior al 150 a. de J. e, en
tos que ta mpoco se encuen t ro cam pan iense B, m ientras que en
o tros, qu e segura me nt e ocog ion con mós entusiasmo los innova ciones y ta m bién con cronologio segu ro, la encon t ramos abundon tement.? como en Volen tio y Palien tia, colon ias fundadas en el 138
•
y 122 o . de J.
respectivamen te.
Finalmente, aunque no in t en tamos profundizar en el in te resante problema de la posible id'en t ificoción de li rio con Lauro, dest ruido por Sertario (18), creemos poder a f irm ar q ue lo ceróm ico componiense encontrado, no con t radice esta tesis y puede es to r p.? rfec tamen te de acuerdo con el año 76 o . de J. C. cO"'o fecna fi nal
( 191.
e
(181 Fragmen T de li vio en FronT
O
ino, 2 , 5, 31. Véase A. SCHULTEN ; "los
guerras de 154- 12 a . de J . c.", Fantes Hisponioe An tiQuoe, IV, Borcelor'lO 193'1,
pÓg. 194.
(19) D. FlETCHER VAlLS: "El poblado ibé rico de Son Miguel de li rio", .",eTOS y Memorias de lo Sociedod Españolo de AnT rOpOloglo, Etnografía y PrehiSToria,
1. XVI, C.- I y 11. Madr id, 1941, pag. 112, y "Sobre los límiTe$ cronológicos de
lo cerómico pintado de Son Miguel de lirio" , Comunicoción ptl!WnTodo al IV Con .
greso Inlernoc ionol de Ciencias Prehistóricos y Protoh iSTóricos celebrado en Ma ·
drid en abril de 1954.
-
116-
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MARTlN ALMAGRO BASCH
(8 ....r.uJ
Sobre el origen y cronologla
de la "jlbula hi~pánica"
Deseamos con Jos paginas que siguen incorporarnos 01 jus to
homenaje que tan tos a migos y arqueólogos hemos quer ido t ributar
01 fundador del Servicio de Investigación Prehistórico de Vale ncia y
o su me ritorio labor en el campo de los 'es tudios de nuestro remo to
posado.
Con el presen te traba jo queremos dar o conocer el ha llazgo de
dos eje mpla res de fíbulas del tipo que ton to arraigó en todo el área
peninsu lar, que se ha dado en llamar vulgarmente "fíbula hispánico". No son únicas estas dos piezas en Ampurios, pero el da to cro_
nológico que nos proporciono el a juar funerario del que formaban
porte, el hecho cosi cierto de ser dos fíbulos griegas, o 01 m enos
per tenecientes a dos individuos griegos de la colonia focense d~
Emporian, nos han parecido hechos de gran interés dignos de ser
destocados poro mejor conoci miento de ton eX'l endido tipo de f íbula por todos los yacim ien tos de lo España prerromono.
El primer e jempl ar lo hemos hollado bastan te deteriorado. Se
t rota de una fíbula anu la r de bronce, de tipo "hispánico". Mide 3S
milimet ros de dióm . y llevaba un fuer te resorte ad~rido 01 aro. Lo
pieza ha perdido parte del an illo, del puen te y la aguja, pero de
estos partes recogimos algunos fragmentos. El oro es sencillo y no
sobemos exoctamen-te lo forma del orco o puente, aunque parece,
o juzgar por los simples fragmen tos recog idos, que t erminaba en
un ba tonci ll o yero también de sencillo alambre ci línd rico (Hg . 1l.
-
177-
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M. ALMAGRO BASCH
2
Fig. 1."_ Fibula de lo necrópolis MarI;, Inc:lneroción nUmo 9.
(T. n.)
Es to f íbula de ti po anulor, o pesar de su pequeño tamaño, es d ~
estructura idéntica a las fí bul as hispónicos . Se holló en lo N~crÓ·
polis Marti, inci neración núm, 9, y lo acompa ñaba un lekito á t ico,
cuyo fecho entre el 500- 480 es seguro (fig. 2).
F,g. Z.O-
Incineración Morli, 5epul luro 9.
{l / 3}
Otro e jemplar de este m ismo modelo de fíbula lo hollamos en
'o Necrópolis griega de Bonjoán, inhumación núm . 55, y es una
-
178-
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OR IGEN Y CReNOlOGIA DE LA "FIBULA HtSPANtCA"
3
pieza mucho mejor conservado, mós fuerte y d e mayor ta maño (figuro 3, núm. " . El oro mide 60 mm . de d iómet ro y es de grueso
ola mbre cil índrico de bronce. El orco, también de l m ismo meta l,
quedo bien suj eto en su cabecero por el resorte de lo agu ja, que es
muy si mple, en ton to que o sus pies quedo fijado por un loza hecho con dos vue ltos de olambre. Esto porte final de l orco de lo f íbula queda bien seña lada y ofrece un acanalado de su jeción poro
la aguja, que es recto y cilíndrico. El orco es omorcillada en su
centro, recordando la est ructuro, aunque muy suavizado, de las f íbu las de orco en forma de "naveci lla" . Esto f íbula, magnificamen12 fabricado, apareció en la sepultura ci tado típicamen te griega,
con un 'rico a juar que hemos pod ido fechar con exacti tud y qu ~
consis t ía en Jos sigu ien tes ob je tos:
0 -0
Fig. 3."--- NC1: rópolis de Bon joon, se;Jul1uro núm. 55.
(T. n.1
Un anillo de pla to de formo ci rcu lar, omorcillodo, con el sello
ovalado del mismo me ta l en lo por te superior, de 20 mm. de dió'
met ro (fig. 3, núm. 2) .
Un ja rrita de posta de vidrio policromo, en forma de anforitc,
con la base de bolo achatado y dos osas sobre la espalda, cuello y
boca con reborde. Decoración, sobre fondo azul in tenso, un fr iso en
zig -zog en a marillo y azul verde. Mide 72 mm . de altura (Iig. 4 ).
-
179 -
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4
M. IILMAGRO 6ASCH
Jarrita jonio focense, formo ven trudo, parecido a l olpe, con oso
lateral circu lor. Superficie muy desconchada, pero en lo que se
aprecian todavía restos de pintura en rojo que había cubierto lo
pieza . Altura, 115 mm. (fig. 5, num o 1¡.
Otro ja rrito igual al anterior, con restos de pintura rojo. Altura,
83 mm. (Hg. 5, núm . 2 ).
•
Fig. 4 .·-Ne
Vaso de cerómica gris ampuritona, de formo compon ifor m ~,
cha to, con dos oguj eri tos en el reborde de lo boca. Altura, 67 mm.
(Hg . 6) .
Lekito ático de figuras negros con la superficie muy descon chado, qu e afec to o la escena pintado, obro de l pintor de Hoimón
(480-470 o. de J. Cj . Decoración, sobre el vi..entre, de un fri so con
restos de cuat ro f iguras, uno da ellos, lo cen tra l es Dion is ias r ~·
costado sobre un lecho; a sus pies, apoyada, se ve uno mujer vestido con largo tún ico, segu ramente tocando lo lira; de trós de ello,
una orl o de mirtos. A los pies yola ca bezo de esta escena dos fi
guros mós, de pie . La escena que represen ta est2 vaso no se ve biell
par su mol estado de conservación, pero es la misma que aparece
en otros lekitos de la necrópolis Bon joan. Sobre el hombro, decoraciÓn muy perdido de capullos. Cuello res ta urado. Altura, 195 mm.
(1;9 . 7) .
-
180 -
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OótlGEN Y CRONOLOGIA DE LA "FIBULA HISPAN ICA"
5
Un vaso sim ilar ha sido publicado en el C. V. A. Cam brid g ~,
lám. XX II, núm. 22, fechado o f inales del sig lo V I o pri ncipios del
V a . de J . C.
C]
Fig. 5."- Necrópoli$
d~
Bonjoán, sepultura numo 55.
Fig. 6!- Necrópolis de Sonjoo", sepul tura numo 55.
(1 / 21
(1/2)
Lekita ót ico de figuras negros, desconchado, del estilo del Din ·
tar a ten iense llamado maestro d~ Haimón. Decorado sobre el vi en·
tre con un friso en el que se represen to dos guerreros mon tados
o cobo llo, luchando con uno lanzo. Sobre lo espalda, decoración 'e
-
181-
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6
M. ALMAGRO BASCH
capullos estil izados y gruesos puntos alrededor de la bose del cue·
110. En lo base ti ene grabados incisos 105 grafi tos IN. El color del
Fig. 1.·- NecrÓpolis de 8 0nj06n, sepultura numo 55. ( 1/, 2)
Fig. 8. a _ NecrÓpolis de Bonjoón, sepultura nUm. 55. t 1/2)
barnizado negro se ha posado al rojo en m uchos lugares de lo decoración . Altura , 160 mm . (fig . 8) .
-
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OR IGEN y CRONOlOGIA DE LA "FIBULA HI SPAN ICA"
7
Leki to á tico de f iguras negros sobre fon do blanco. Decoración,
sobré! el vientre, de un fr iso en el que se represen tan tres palme tas
extendidos en abanico de formo ovalado, incl inados y enlozados
en t re sí por unos lallos, del estilo del pintor de HoimÓn. limito a
esta decoración arriba y abajo un tema de tablero de ajedrez y fa
jos en la parte inferior. Sobre la espalda capu llos estilizados. Algo
desconchada la superficie y restaurado el cue llo. Altura, 140 mm .
(I;g. 9).
Fig. 9."-Necr6poIis de Bo,.. jOÓn, sepuhuro nUm o 55. (1 / 2 )
Paralelo o este vaso á t ico es el lekito ampuri lono correspondien te 01 núm. 69 del trabajo de FRICKENHAUS, Griechische Vosen
ous Emporion, publicado en el "Anuari de l'lns litut d'Es tudis Catolons", de 1908.
Dos lekitos áticos de figuras negros, exactamente iguales, d~1
grupo del pintor de Beldom, que traba jó del 480 01 470 a . de J . C.
Decorado sobre el vien tre con tres palmetas desplegados en formo
triangular alargado, con capullos est ilizados en los in tervalos. Líneas de ovos en lo base de estos palmatas. Capu llos esti lizados ra-
183 -
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8
M. ALMAGRO BASCH
diformes en el hombro y trozos finos a lrededor de 10 base del cuello.
Altura 113 y 111 mm. (fi95. la y 1 1).
Fig.
I O.-N.,;rOpoli~
de Bonjoón, sepuh ... ro nUm. 55.
fI / 2)
f ig. t I.- Ne
(1 / 2)
Vasos .similares a éstos pueden verse en el C. V. A. de U. S. A.,
núm , 8, Fogg. Collee. LÓm . XII, núm, 8, fechados o principios d~ 1
siglo V.
Lo aparición de dos fíbulas de este tipo entre los ajuares d,
sendas tumbos griegos ampuritonas de comienzos del sig lo V antes
-
184 -
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OR IGEN y CRONOL
9
de J . e , nos ha parecido de cierto interes, pues en primer lugar nos
aseguro 1 gran an tigüedad de este modelo de fíbula, que tonto SP.
0
generalizó en España . En segundo lugar nos han comprobado Icc;
hallazgos ampuritanas el uso muy frecu2nte en tre los griegos tle
Ampurios de este t ipo de fíbulas an tes de lo generalización de los
fíbulas de La Tene I y del tipo de Lo Certosa. Es este un doto que
qU2da bastante asegurado por los hallazgos de fíbu las en los sepu ltu ras de tos necrópolis de Ampurios, o cuyo excavaciÓn y estudio
hemos dedi cado un extenso traba jo recientemente públicodo (1) .
Parece seguro suponer que los foce nses extendieron con su comercio este mode lo de fíbula, que pronto se genera lizó por todo
nuestro Levan te e incluso Bo leares (Véonse unos curiosos e jemplares del Museo de Arló, procedentes del ta layot de Son Fobar, holl ados con cerámico campani ense del siglo 11I a . de J. c. j . Cab2
pen sa r que los centros urbanos del Sur-Este español, organ izados
muy tempranamente, produ jeron en primer lugar y en g ran con ti dad este mode lo de fíbu la, que luego penetró en el Valle del Ebro
y los Mesetas, ll egando hasta el occidente peninsular.
Ton largo duración del t ipo ha permitido el nacimiento de uno
seri e riquísi mo de variantes regionales, poro cuyo cronología, oú"
totalmente sin precisor, hemos querido destocar estos dos datos s~
guros, 01 menos poro el comienzo de esto fíbul a . Ello será uno aportación mós de los proporcionadas por las excavaciones de Ampuríos, siempre contero utilísimo e inagotable de conocim ientos y noticias paro la arqueología española.
¡J) MARTJN ALMAGRO: "Los Necró;¡olis d!' Ampurias. l/al. l. N!'crÓ?Q1is
griegos". Barcelona, 1953.
_
185 -
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DOMINGO FLETCHER VALLS
(Valrncla)
La cue.va y el poblado de
La Torre del f'\al PaSto
(Cn'lellno l' o·Caslellón)
ANTEGEDENTES
Hoce algunos años, don Ramón Marti Garcerón donó al Museo
de Prehistoria de lo Excma. Diputación de Valencia, un lote de
fragmentos cerómicos y otros objetos, recogidos por él en diversos
prospeCCiones que efectuara en uno cueva situado en el -para je de nominado Torre del Mol Paso, en los proxim idades de Castellnovo,
pueblo de lo provincia de Costellón, distante cincuenta kilómetros
de lo capital y tres de Segorbe, desde donde el yacimiento es fócil mente accesible posando por el coserio de Córrica (Peñolba) (fig.
l.') (1) ,
A lo visto del in terés que revestían algunos de los piezas donadas, se llevaron a cabo, por el Servicio de Investigación Prehistórico d e Valencia, dos compañas de excavaciones en lo citado cue va, en 1946 y 1947, previo lo autorización de lo Comisario General
de Excavaciones Arqueológicos y de acuerdo con el Comisario Provincial de Excavaciones de Castellón, don Juan Bautista Parear .
(1 l 1. BALLESTER TORMO: "Un donativo interesonl e al Museo de Prehis_
toria", Archivo de Prehistoria Levonlina, 11 , Valencia, 1946, pOg . 352.
, . BALLESTER TORMO: "La Labor de! Servicio de Inv estigación Prehistórico
'1 $1,1 Ml.ISeo en los años 1940 a 1948", Valencia, 1949, pag. 24 .
-
IB7 _
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D. FLfTCHER VALlS
2
Durante lo primera de estas campaños se exploró, asimismo, un poblado ibero-romono, emplazado en lo alto del montículo en cuyo
ladero se abre la cuevo, lográndose interesantes moteriales, Que
auguraban unos resu ltados satisfactorios, en porte hermanos de los
aparecidos en ésto, sin que a pesar de ello se hayan realizado nuevos trabajos en el mismo, por interferirse otros tar2QS de más urgente realización.
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Fíg, 1."- Emplol.cmiento del yacimiento de 10 Torre del Mol Poso (CQsteUnovo,
CO$IeIl6n l.
En lo presen te noto nos referiremos exclusivamente a los materiales ibero-romanos y posteriores tonto de la cueva como del poblado, aplazando la reseño de los niveles pre. ibéricos de aquélla
hasta tanto na esté t erminado el estudio de los cróneos que, de lo
mismo, estó efectuando el Dr. Fuste.
-
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LA TORRE DEL MAL PASO
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3
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4
D. FLETCHER VALLS
11
LA CUEVA
La cueva afecta lo formo de un largo pasillo, de unos 21 metros de longitud y 3 de ancho, por término medio, a excepci6ñ d~1
tromo final, en el que se abren, o lo izquierdo, unos pequeños ga lerías (fig. 2 .. ), siendo e n esta últ imo port'e donde efectuó sus prospecciones el señor Morf í Gorcerón, llegando o 10 profund idad medio de 0'50 me tros (fig . 2 ,", sector D) , En estos exploraciones sacó
o luz a bundante cerómi ca de diversas épocas, y a lgunos otras obje tos, mereciendo destocarse porte de un gron so,Tlbrero de copo,
reconst ruido posteriormente con o tros frogmentos logra dos en nues-
•
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Fig. 3."- F.ogmcn to de cerémico ibérico con voriada decoración, procedente de lo
cueva.
Iros excovociones (a lt. 32'5 cms., diam. móx. 38 cms.) (Ióm. IV,
núm. 2) ; frag mentas de vasijas ibéricos con decoración vario (fig .
3.", 4 ." Y 5."); dos grondes cuen tos ví treos policromadas (Iongitu:::l
media 2'2 cms) (Ióm. " núm . 2); un fragmento de cora l; un pequeño di sco de vidrio, con ornamentación en relieve (dióm . 1'9
cms.) y uno cuento, tambi én de vidrio (di óm , 1'7 cms.) (lóm. 1, nú -
190 -
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LA TORRE DEL MAL PASO
5
mero 3); una piedra con signos en relieve en ambos caros (long. 6
cms.) (Ióm. 1, núm . 5); fósiles (Iám . 1, núm . 4) ; porte de uno gran
tinajo con múltiples perforaciones cuadrados, hechos antes de la
cocción ; un oso de lucerno romano; uno escud jl la con agu jeros d'!
fig.
fig . 5." -MolivO$ decorativos en lo ceramico iberico proceden te de la cueva.
lañado (alt . 6'6 cms., d iám . 13'8 cms.) (lám . VI, núm. 2); una fu sayola cónica; un pequeña vaso (alt. 6'6 cms., dióm. 9'8 cms.)
(Ióm. VI, numo 3) ; porte de a Iro, de posto claro, con restas- de fuerte borniz rojo (a lt. 7'4 cms., diÓm. 9'5 cms.) (Ióm . VI, núm . 4) ;
-
191-
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6
D. FLETCHER VALlS
uno tapadero con perforación central, de posta grosero (diám . ]3'6
ems.) (10m. V II , núm , 3); y dos vasijas moriscos (att . 11, diám . 9'5
y 30 y 15'6 ems. respect ivamente) (16m. VII, núms. 1 y 2) ,
En cuan to a las excavaciones realizadas por el Servicio de Investigación Prehistórico, se p racticaron bojo 10 dirección de don
Francisco Jordá y el autor de estos lí"eos. Poro su mós metódico
estudio divid ióse la cueva en :diversos sectores. El E. corresponde o
la entrada, el e, 0 1 áreo situado debajo d~ uno chimenea na turol;
los A y B. o la port e centro l y el D, 01 último tercio de lo cueva.
Esto se ho llaba ma terialmente cubierto de bloques de piedra desprendidos de techo y paredes, a lgunos de los cuales no pudieron extraerse dodo su gran volumen y lo impos ibilidad de uti lizo r explosivos a couso de lo d.:deznable resistencia de lo cueva .
El resul tado de nues t ros traba jos, re ferido ún icamen te a los ma teriales ibero-romanos y poste riores, es el siguiente:
SECTOR E,
No proporcionó materiales comprendidos en este estudio.
SECTOR C,
Nivel l.o 1Hosto 0'20 mts. de profundidad) . - En el límit e
con los sectores A y B,fragmenlas de cerómica ibérico con decoro);
ci6n de ovos (fig. 6.& un pondus perforado (olt. 11 cms.) (Iám .
Flg. 6,"-DecorociÓn de unos fragmen tos dI! cer6mko ioorko (sector
e,
ni"el l.")
11, núm. 1); una agu ja de hueso (OCU $ crinoli s) y minúsculos chapi tos de cobre o bronce ·(diám . medio, 1'5 cms.) (lóm . 1, núm . 1) .
Nivel 2.--(O'20-0'3S).-Estéri l.
Nivel 3."- (O'3S-0'6U).-Frogmentas de cerómico ibérico decorado con series de circunferencias y sem icircu las ta ngen tes y con-
192 -
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7
LA TORRE DEL MAL PASO
céntricos ('ig . 1."); porte superior de uno onforillo (dióm . 19 cms.)
(Ióm. VI, núm. 1); un botón de bronca (dióm. 3'3 cms. ) (Ióm . 1,
núm. 7) ; uno hemisfero de hueso o marfil (dióm . 2' 3 cms.) (Iómina
11 1 núm. 11 ).
,
Nivel 4. - (O'60-0 ' 80) .-Estéril.
G
Fig. 7."-Temo orr¡omen:ol de uno vO$i¡o iberico (sector
e,
nivel 3.°) .
SECTOR A,
Nivel I .o ( Has ta O'201.-Delgadísimas planchuelas cuadrado:;
y circul ares como los hallados en C-l .~, y dos monedas valencianos
de haci a 16 10.
Nivol 2 .~-( O' 20 - 0·40) . -Algu nos fragm entos de cerómico mo
risco .
Nivel 3: - (O'40·0 ' 70) .-Abundantes piedras y ti erra ceniciento . Fragmentos de cerómica ibérico decorado con temas geométricos, y romano ; tres monedas, uno de Gordiano, airo de Alejandro
-
193 --
[page-n-250]
8
D. FLETCHER VAllS
Severo y otro valenciano de hacia 1610 (2); dos agujas de hueso
(olt. 6'6 y 4'8) (16m . 111, núm, 2 y 3); botón de bronce (di6m. 2'6)
(16m. 1, núm, 15) y restos de osa del mismo metal.
Ni,.el 4:-(0' 70- I 'OO) .-Un tejuelo de cerámico ibérica ; frag mento de acus erinali! '(olt. ¡'S) '(Ió:n . 111 , núm , 4); un anillo de
bronce (dióm . 2 '2) (16m . 1, num o 16) ; fragmen to de un brazalete
posiblemente de modero carbonizado (long. 3'5) (1 . 11 , num o 3).
6m
En lo por te boja de esto capa aparecieron ya puntos de flecha
de pedúnculo y oletos y cuchillos de sílex, con t inuándose en los n iveles inferiores. Los figuras S y 9 de lo lóm , II I (long . 4'3 y 12' 1,
respectivamente) corresponden 01 nivel 5 .°, con pun tas de flecho
de sílex.
SECTOR B,
Niyel 1 .~-(Hos la O'20) .-Fragmenlos de cerámica marisco V
trei nta chapitos cama 105 reseñados en C- l : y A- 1.-. Una monedo
de difícil identif icación (Honorio a Arcadia) .
Nh'el 2 .--(O'20-0'40) .-Cerómica marisco, planchuelas y un
fragm ento de acus crinalis.
Nivel 3.--(0'40-0'70) . - Tierras cenicien tos con abundantes
piedras, cama sucede en el mismo nivel del Sector A. Un fragmento
de brazalete de azabache (long. 3'5) (Ióm . 11, núm . 4) ; lam inillas
de bronce; un clavo de hierro; anilla de bronce (dióm . 2'1) (Ióm . 1,
núm. 12); un hueso espotulado (long . 4) (Ióm . 111 , núm. 8); frag mentos de cerómica ibérico decorados con teorías de eses V OV"lS
(f ig. 8) ; uno pulseri110 de ora, enl're cuyos es labones, formados por
finos hilos retorcidos en loza, se intercala un dado, as imismo d e
oro, con los ángulos redondeadas y la s caros c6ncavos con pequeña
circuli110 central grabado (long . 8'9) (10m . 111, núm . 13) ; dos mone das, uno de Ale jandro Severo y otro de Julio Mommeo .
El nivel 4.-, sin materiales que puedan interesar e n el presente
trabajo.
(21 Debemos o lo amabil idad de los sMot" Bel tro n Villagroso y Mal eo v
Llopi$ la c1osificoción de l conj un to mane tal de nlo cueva, siendo im pm,ble lo determinación de a lgu nas pinos o causo d e su de ficlent isimo ntado d e cQftl.enación. Desde " los li neos agr adecemos o ambos señOfn su valioso cola boradon.
-
194 -
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LA TORRE DEL MAL PASO
9
SECTOR D,
Nivel 1: - (Hosto 0'50, o seo hasta lo profundidad medio 01
·
canzado por el señor Morti Gorcerón en sus prospecciones) . Mezclado con abundante piedra suelto se holló cerámico ibérico
muy fragmenta do: un kólathos (olt. 14 '2, diám. 18) (Iám . IV, n ." 4 y
fi g . 9 ."); gran po rte de uno tinaja decorado con un pájaro, uno his·
Fig. 8."- Ornomenloción de un fragmento de cerámica íoor ica (sctor a , nivel 3 .").
toriodo cruz doble y otros motivos geometricos (fig . 10); cerámico
oscuro es tampado (long. 16'5) (Ióm. V, núm. 2); chopitos como los
mencionados en los niveles primeros de A, B y C; uno aguja de hue·
so (o lt. 6'8) (Iám. 111, núm. 1); uno hebil la de bronce (long . 5 ) (Iá.
mino 1, núm . 10); cerámico negro mote con circulil los estampados
(long. 22'5) (Iám . V, núm. 4); lam inilla de hueso (long . 4 '9) (Iá ·
mina 111 , núm. 6) y tres monedas de Grociono.
Nivel 2 .°-(0'50 .0'801 . - Uno cuento de vidrio; un botón d~
bronce (dióm. 3'3i (Ióm. 1, núm. 14); fragmentos de t erra sigillota
de lo llamado hispánico (olt . 8'7, diÓm. 16'5) (Iám. V, núm . 3); dos
anillos de hierra (dióm . 5'5 y 5'3 respectivamente) (Ióm. 1, núm . 6
y 13) ; chopi ta s como las ya descritas, y seis monedas, dos de Mar·
ca Aurelio, una de Septimio Severo, das de Moximino y una de Fi ·
lipo el Arabe.
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II
Niyel 3 . ~-(O'SO - I'1 O).-Abundante cerómica ibérico de 10 qU!!
reproducimos en los figuras 11, 12, 13, 14, 15, 16 y 17 . a lgunos
temas ornamen tales, geométricos, florales y zoomorfos, y una la rgo inscripción pintado sobre una tapadero; un botón de pasto vítreo (dióm . 2'3) (Iám . 11, núm. 6); gran parte de uno pátera de cerómica rojizo estampado (d ióm . 33) (Ióm. V, núm. 1); fragm entos
de anillos de bronce (dióm . 2'S) (Ióm . 1, núm. 9); clovos de hierro;
chopitas, de los ton reiteradamen te citados; una laminilla de hu eso (long . 4'6) (Ióm. 11 1, núm. 7), y se is monedas, dos indescifrabl es, t res de Faustina y uno de Commodo
Nivel 4."- ( " 10- 1'351 . - Gran abundancia de piedra sueh o y
a lgún fragmen to de terro sigillato tardío.
Niv el 5."-(1 '35 - " 60) . - Un fragm ento de terro sigillota seme jan te 01 menci onado en D-2.0; planchuela rectangular de bronce
con dos perforaciones (long. 3'2) (Ióm . 1, núm . S), y dos monedas,
uno de Adriono y ot ro de Morco Aurelio . En 10 porte bo ja de es t !
nivel aparecieron yo pun tos de fl echo y cerómica de lo Edad del
Bronce.
Nivel 6. ~-{ 1 '60 - 1 '80). - Fragmen tos de cerómica ibérico y
materia les de lo Edad del Bronce.
Niyel 7.°-(1'80-2'10) .-005 ostrógalos (long. 2'9 y 2'8 respectivamente) (Ióm . 111, nÚms. 10 y 12); fragmentos de mandíbula
humano; y un pasador de bronce (a lt. "2) (Ióm. " núm. 11).
Niyel S."-(2'10-2'40) .- Fragmentos de cerómico ibérico y uno
monedo de 50gun to con cabezo goleado en el anverso y proo de
nove en el reverso, sin poderse dis t inguir mós detalles o causo de
su deficientísimo estado de conservación .
III
EL POBLADO
En lo meseta deJ montícu lo, en cuya ladero se obre la cueva,
existen res tos de edificaciones mencionados por C. Pau (3), en tre
los que se distinguen muros de habi taciones y dos torres, uno cir-
(3J C. PAU: "Muros y castros de Segotbe", Bolelin de lo Sociedad Castellonense de Cul turo, e.O 111, Costellón, 193 1, póg. 121 .
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LA TORRE DEL MAL MSO
cu lar y o tro cuadrado, de lo primero de los cuales porten dos muros de piedra que von o morir en el cariado que delim ito lo mese ta
Por lo porte suroes te (fig . 18) .
Nuest ro prospección se ef.ectu6 en los proximidades de lo torre
Fig. II.- Trmo ornamentol e n ccrémico ibérico (seclor D, nivel 3.
fi
) .
Fig. Il.- DecorocIOn de V
circular, en uno pequ eño habitación (fig 19) que yo fue explorado, aunque superficialmente, por don Baltaser Rull, hoce algunos
años.
Lo habitaci6n, de formo rectangular, afreci6 los siguientes ca racterísticos:
-
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14
D. FLETCHER VALLS
El muro a, al llegar aproximadamente o un metro del b, desa parece, dando origen a una puerto. Este muro descanso directamente sobre la t ierro o lo altura del piso de lo hobitación, El muro
b se cimento sobre uno hilado de piedras por debajo del nivel de 10
habitación . El e, de iguales característicos que el anterior, t iene
uno ancha bose saliente; en su parte central, a 1'20 m. de profundidad, aparece destrozado en su coro interno, formando un hueco
como hecho exprofeso pora utilizarlo como vaSOr u hornacina, que
proporcionó abundante cerómica. El muro M descanso por lo parte
interior de lo ·habitación, sobre el suelo natural. Ignoramos los ca-
Fig. 13 .-Oe1iorrollo de lo omamentoción de un kólotnos ibérico (SKlor O, nivel
lercero).
racteristicas ext ernas de estos cuatro muros, yo que lim itóndonos
o uno si m ple exploración, no efec tuamos ningún trabajo fuero del
recinto.
El piso de éste se -hollaba o 0'80 m . de profundidad, referido a
lo superficie actual del mon tículo; estaba formado por fuerte copa
de tierra endurecida, de un espesor de 30 cms., por deba jo de lo
cual, 01 rebasarlo poro comprobar lo posible existencia de niveles
inferiores, nos encontramos con otro estrato fértil a 1'20 m. de
profundidad con respecto 01 piso actual de lo meseta.
Los hallazgos fueron los siguientes:
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PRIMER NIVEL (A O'SO de profundidad) :
Punto núm, l.-(Véose f ig. 19).-Un mortero de pi edro con
vertedor y dos apéndices late rales, y la base perforada por el uso
(long. 39) (16m. V III, núm, 2); frag men tos de ceróm ico, unos ibéricos con decoración geomé t rica y ot ros de pos ta grisáceo con oco -
Fig. 15.-De<:oroción de un piolo ibérico ( s~lor D, nivel 3.").
na taduras en el cuello (long. 15'5 y 12'5 respectivamen te) (lóm ino
V I, núms. 6 y 7). y dos c ris ta lizaciones de pirita d e h ierro, que son
abundantes en la comarca.
Punto núm. 2.-Un d isco de piedro perforado (dióm. 4) (lámi-
na
11, núm, SI.
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17
Punto núm . 3.-Abundante cerómica ibérica, con la que se ho
podido 'reconstruir dos kólothoi decorados con temas geométricos
(olt. 12 y 16'8) (10m . IV, núms. 1 y 3); uno piedra de formo oval
(long. 10'4) (Ióm . 11 , núm. 7) y uno caracola .
Punto núm . 4 .-Aporeció fragmentada el gran vaso ibérico de
perfil caliciforme y decoración geométrica reproducido en la lómino
VI II, núm . 1 (ol t. 36, dióm. 34).
Punto núm , 7.-Un pico de h ierro (long. 32'5) (Ióm . VI II , nú ·
mero 3), uno agu ja de fíbula y tres pondus qeshechos.
Punto núm . S.-Un pondus y un fragmento de t u ro sigillcta
igual a los reproducidos en lo IÓm . V, núm . 3.
Fig. 16.-Frogmento de ploto, cen decOtoción de peces (sector D, nivel 3.").
SEGUNDO NIVEL (A , '20 de profundidad)
Punto núm , 3.-Exoctamente debajo de donde oparecieron 10'i
dos kólothoi del mismo punto del nivel primero, se hallaron frag mentos de cer6mica gris oscu ro.
Punto núm . 4 ,-Deba jo de donde apareció el vaso cali ciforme
se halló en este segundo nivel una laminilla rec tangu lar de plomo
con un extremo agujereodo.
Punto núm, S.-Lógicamente debiera estor ocupado por el mu ·
ro e, pero, como yo hemos indicado, és te presen taba uno pequeña
oquedod en lo que se encontraron fragmentos de cerómica gris
acanalada, de iguales características Que lo hollado en el núm . 1
del nivel superior, pudiendo reconstruirse uno pequeño vasija (olt.
11'6, diÓm. 13) (Ióm. VI, núm. 5) y un plato (dióm . 19'5) (lám ina
VII , núm. 4) .
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O, FLETCHER VA LlS
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Punto núm . 6 .-Oos pondus, uno completo de 11 cms. de a ltu ra; dos crecientes o apoyos de vasos de sección triangular, uno
de piedra y otro de a rcillo (long, 14'4 y 14, respec tivamente); un
percutor de piedra con pequeños cazoletas en ambos coros (long.
8'8) (Ióm, 11, núm. 21, y tres fragmentos de cerómica camponiense.
Punto núm , 9 .-Un fondo de vaso de posta gris oscuro .
IV
LOS MATER IALES
Hecho suci nto relación de los hallazgos, expondremos algunos
consideraciones sobre los mismos:
l.- CERAMI CA
o) Ibérica.-La mayor porte de los temas ornamen ta les son
los corrien tes en lo decoración ibérico : circunferencias concéntri cos, secantes y tangen tes; líneas ondulados; postas ; teorías de eses,
etcétera, etc. Otros temas no son, si n e mba rgo, ton frecuentes, coma sucede con lo svás t ica de lo figuro 3, cuyo paral elo, hasta ahora, únicamen te podemos señalarlo en nuesllra región en yaci mientos próxi mos 01 nuestro, como son el de Rochina y el de Ondo (4),
pero creemos que ha de tener un origen europeo, ya Qu e, opart!!
de hallarse en Numoncia, aparece idén ti co aunque inciso, en cerómicas polacas (5 ). Poro lo doble cruz del vaso de lo f iguro 10 no
hoy parale los en los ce rómicos ibéricas valencianos, constituyendo
un nueva temo o incorporar 01 yo Ion rico repertorio ibérico (6).
Los golbos no presentan novedad alguno : pla tos, cuencos, tapoderos, killot hoi, etc., etc., mereciendo ún icamen te destocar el gran
tamaño de alguno de estos vasos y del ca li ciforme de lo l óm . VI II ,
núm. l.
{4} O, FLETCHER VALLS: "El poblado ibérico de Rochino", Actos y Merr>')dos d e lo Sociedad Esponolo de Ant ropologia, Et nogralía y Pre his torio, Mad rid ,
1940, pág, 125. f,g. 4 b.
B, RU LL VILLAR: "Noticio rio histórico de Onda", Alcira 1943,
/51 K, JAZDZEWSK I: "Pr
ooic
l och , 1951, 10m, 24 ,
(6) Lo primero g.an recopiladon d c t cmo~ o, n omen to les ibé;, icQ1 se hollo
e n el HCOIj)U~ Vasorum H,spano,um. Cerómica de l Cerro de San M igu~l, Utio",
redactado por ~I per5QnQ1 del S. 1. P. y Edi tado pOr el lnstitu la d~ Arqueologio
"Rodrigo Coro", del C.S.1.c., Ma drid , 1954.
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La vasi ja de posta clara y barniz rajo, muy pe rdido en lo ac tua·
lidad (Ióm , VI, 4 ). es semejan te a_otro de Son Miguel de lirio, co-
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Fig. 19.-Plonla y sfccianes de lo habitación nUmero
del Mal Pa$/),
rn .
del pe¡blodo de 1 Torre
0
rrespondiendo ombos 0 1 tipo d3 de la closificoción de E. Cuadro ·
do (7).
171 E. CU ADRADO: "Maleriales iberi(O$: cerámica rola de Pfocecfencio 1
".
(ier lO", Zrphyrus, IV, Salamonca, 1953, póg. 265.
"Corpus Va5Otuon Hlsponorom. Cerómico del Cerro de San Miguel, LIrio". 16·
mino, IX, 3.
-
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22
O. FlETCHER VAlLS
Lo e n for mo (Iám. V I, 1) corresponde 01 tipo que se ha dado en
lIa mor púnico, encontl'ándose con bastan te profusión en el Levante y Sur de España (8).
l a vasija con perforaciones cuadrangula res t iene su réplica en
otros poblados ibéricos, ta mbié n en vosos de gran ta ma ño, como el
de la Viña del Pau (Villof ranca del Pa nadés), da tado del sig lo 11
o. d e J. C. (9); su finalidad no estó clara, habiéndose considerado
como f il t ro, col mena y hasta recipiente poro lo conservación d e caracoles (1 0) . Vasi jas de menor ta maño, perforados en todo su su perf icie o solamen te en su t e rcio infe rior, se señalon en La Bostida
de les Alcu ses (Mogente ), Anseresa (Olius) y otros pu ntos (11) .
Destoco por su int erés ,lo tapodero con le tre ro ibéri co (fig. 17),
puesto que no s61 a um enta el núme ro de inscripciones ibéri cas del
0
Mu seo de Preh istori a de Va lencia (12) , si no que ademós am plfa el
órea d e los escritos sobre ce rómico hacia el in te rior de la prov incia
de Cas tellÓn . Lo in terpretación de alguno de los signos no es seguro
por lo borroso de la pin tura; son de cloro lectura el 1, 2, 3, 4 , 5,
6, 10, 11 , 12, 13 y 14; son dudosos el 7 (Bi o Ti ), 15 y 16 (A o ta l
vez. el enigmótico Y) y no hemos podido descin:or los signos 8 y 9 .
Nues tra lectura quedo osi (13) :
A T E U A s A a l ? ) A S ORDQN A
1 2 3 4 S 6 1 8 9 1 0 11 12 13 14 15 16
Tonto lo co lidod de lo posta cerómico como to ornamen tación
de los vasos ibéricos de nuestro yocim i2n to, son defi cien t es, lo que
nos m ueve o suponer que se t ro to de producción de época tard ío,
{81 M . ESTEVE GUERRERO: "Excavaciones en Asta R'.qi" (Mtln dp As to.
Jernl , campana de 194 5-1 946" , l{l larmes y Memorias de lo Com isaría Genera l
6m. XV. fiQ. l ." dch:l.
de b covacioncs Arqueológicas, núm. 22, Madri d, 1949, 1
(9) "Memorias de los Museos ArQueológi cos Provinciales". Mad rid, 1944,
1
6m. LlX, 3.
(10) P. GIRO ROMEU: "La cerornica ibérica de la Viña del Po", En el Pen~_
dés . Natas poro su estudia", Arc hiva Espa ño l de Arqueología, XX , Mad ri d , 1947,
póg. 200, lig. 28.
111) J. SERRA y VILARO: "Poblado iberico d e An sereso (Oli us)", Memorias d e
la Junto Superior de Excavac iones y An Tigüedades. n . . . m . g enera l 35, Madri d , 192 i,
16m. VI, b, nums. 1, 2 y 3.
Los ma teriales de La Bastida de l es Alcules IMage nT e l se hollan expuestos
en el Museo de PrehisToria de Valenci a.
112) D. FLETCHER VALLS: "Inscripc iones ibe rica5 de l Museo d e Prehistoria
de Valen.cia". Publicaciones del InsTil ula de Estudios Ibéricos y Etnología Valenciana. nUm o 2 , Volen.cia, 1953.
(13) D. Fl ETCHER VALLS: loe. d T. naTO an terior, pag. 5 1.
A. TOVAR, na ta crí' ico o la an terior obta. en ZephY'U5 V, Salaman.ca. 1954.
~. 86, lee: ATEUASABIR, ASORTONA ...
-
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LA TORRE DEL MAL PASO
23
dentro yo de lo pleno romanización, de la que con certeza son otros
muchos hallazgos de cerómica ibérica (14).
Ot ros elementos de ju icio que estudiaremos a continuación vienen a corroborrar nuestra anterior suposición.
b) Terra sigillota.- (Lóm. V, 3) . Los fragmentos hollados son
del tipo de lo denominado hispánico con ornamentación en circulillos y lineas verm iformes, que se hallo muy difundido por todo lo
Península, 'tonto en ambos Castillos, Andalucía y Portugal (15) como en comarcas mós próximos o nuestro yacimiento, toles como
10 necrópolis de Torragona, que comenzó a u tili zarse, según Serra
Vilor6, o mediados del siglo 111 , cesando los enterramientos hacia
el 400, de acuerdo con Jos monedas (16), aunque poro Schl unk no
¡ 14) A. GARCIA y BELLIDO: "Nuevos datos wbrc lo cronologio finol de lo
cer6mlca Ibérico y sobre su expansión e;o¡ tra_pe ninsular", Archivo Español de Ar_
queología, XXV, Modrid, 1952, p6g, 39.
D. FLETCHER VALLS: "lo Tyris Ibérico y lo Valentia romano", Boletín de 1.,
Soc:ieOod Castellonense de Culturo, XX IX, c. O IV, Castellón, 1953, pág. 291.
(1 51 MARQUES DE CERRALBO: " El Alto Jolón", Madrid, 1909, pOg, 159, fI.
guros 1, 2, 3 y 4.
J . PEREZ DE BARRADAS: "Los villas romanos de ViUaverde Bajo IModridl".
Anuario de Prehis toria Madr ileño, 11 - 111 , Madrid, 1932, póg, 101. Lo villa, situado en el arenero tercero del ventoffa del tia BI05, fue fundado posiblemente, se·
gun el autor, en los ultlmos años del siglo 1 d. J. e, deb ie:ldo ser destruido en el
11 0 ptinclpiQ$ del 111,
P. BOSCH GIMPERA: "Lo cerÓlnica hallslóltica en los cuevas de lo provinCIa
de lag,año y su oc::upoción en distintos ~pocas", Comisión de Inves tigoc:iOfles Po.
leontológicos y Prehistóricos, nUm. 5, Madri d, 19 15, róm, IU, 2 /6; proboblementt
del siglo IV.
J. MARTINEZ SANTA_OLALLA: "Antigüedcde$ romanos de Pazo de lo Sul
¡Burgos}", Anuario de Prehistoria Madrileño, 11 -11 1, Madrid, 1932, pág. 127, lómino XXI II , 14, 11 y 24 . El au tor considero que e$to cer6mico llego hasta fines
del Imperio,
S. GONZALEZ SALA: " HaUa",gos orQueológicO$ en el Alto de Yeclo, ~n Sont.,
Domingo de Silos ¡BurgQl.}", Actos y Memorias de lo Sociedad Españolo de Ant ro.
pologío, Etnogrofio y Prehistor ia, XV, Madrid, 1940, pOg. 103, lóm, X, 3 o 21 y
29031.
S. GO NZALEZ SALA: "El cos tlO de Yedo, en Son to Domingo de Silos (B ... , .
gas)", Informes y Memorias de lo Comisario General de Excavaciones Arqueológ i.
cos, núm. 1, Madrid, 1945, 16m. VII. El au tor lo denomino hispano-romano, con.
sider6ndola del siglo IV en ade lante.
M . ESTEVE y GUERRERO; "Contribución 01 conocim ien to de A$lo Reglo". Ac·
tos y Memorias de lo Soc:iedod Espoñolo de Antropologia, Etnogrolia y Prehlstono,
XV I, Madrid, 1941, pOg. 3B6, 10m. L1V, núm. 2 .
F, RUSSELL CORTEZ; "De terro sigillata tordio encontrado em Portugal", Bei_
ro Alt o, Viseu, 1951, fig. 24 , Considero los fragmentos del cos tra de Socoias lBr:Jgo~al (:omo del tipo D de 10 clasificoción de lo terro sigillota ellOOñola he<:ha por
Comforl.
(161 J . SERRA y VILARO: "Excavaciones en lo necrópolis romono-cr;st 1.lnO
de Tarrogona", Memorias de lo Junto Superior de Excavaciones y Antigüedades,
nUmero general 10<1, y número gl'nerol 133. Madrid, 1929, 16m. LXXIV, nVme' os
.5,22, 26, 21, 2R, 29 y 30.
-
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24
D. FlETCHER VALLS
hoy sarcófagos cris t ianos del siglo 111 ni de la primera mitad del
IV, fechando lo mós antigua inscripción en el 393 y la mós reciente en el 471 (17). Es de señalar que en Terragona, como en Costellnovo, esta cerómico s igillato aparece m~zclado con ceramico
estampado y con cerámico ibérico, lo que sucede también en Santo
Domingo de Si los, Socoies y otros lugar¿s. Algunos frogmentos pro.
ceden t es de Sogun to son iguales o los de la Torre del Mal, Poso
( 18).
".
Es tipo cerómica de período tard ío den tro de la rom~nización,
no siendo por ton to ex traño que aparezco con cerómico .es to'T'pada,
como yo hemos indicado.
el Cerámico estampado.- (Lóm . V,I, 2 y 4 h Los fragmentos
que se conservan corresponden o grandes platos de color rojo oscuro y gris, con divef"sOS mot ivos estom podos en el borde y fondo.
Es tipo cerómico ampliamente ex tendido, encon tróndose en Ing lbterro, Francia, Ale mania, Ital ia, et c. (19), y den tro de lo Penin sula Ibérica se señala en múltipl es yaci mien tos portugueses y españoles. Zeiss ci tó una bueno serie de ellos (20). ampliando lo relación Palol en un interesant ísimo resumen sobre la cuestión (2 1).
(111 H. SCHLUNK: "U n tall er de sarcófogos cris tio."lOS en Tarrogona", Ar.
chiva Español de Arqueología, XXIV, nÚl"ns. 83 y 8'1, Madr id, 195 I,?6g. 61.
1181 A. CHABRET: "Sagunlo, su historia y sus monumentos", 11, Barcelona,
1888, póg. 219.
(191 G. MACDONALD: " Forsá,ungen in Rijmisc.hen Britonnien 1914/19111",
Deutsc:he$ Archiiologisches Institut, ROmisch_Ge rmanisc.he Kommission, neun:z:ehnter Be
A. CON IL: "Note sur une ceramique o polmetles gaUo_romaine", Bullet in de
la Sodé té Préhis torique Frarn;oise, XXVI, numo 1, Pods, 1929, pag. 86, fig. 2.".
Se t,oto de un vaso can palme tas estampadas proceden te de "Les Chompl!lIans",
cerco d e Sain t-Fay-Lo Grande (Girandel, atribuida 01 ¡f¡¡la 11 .
H. KU HN : "Die vorgeschichtliche Kuns t Oeutsc:hland~", Berlin, 1935, lomi nos
410 y 411. Fragmentas de cerámica que el au tor denomino "Ironkische Tonge losse", considerándolos de hacia el 600.
N. LAMBOGLlA: "Nuav¡ scovi o Taggia e
San Remo" , RiviUo Ingauno e
Intemel io, VIII , 1, Bordig hero, 1942, p6g. l O, lig. 1. El autor la atribuye
lo
edad " tordo- romono".
N . LAMBOGLlA: "Gli sca ... i d i Albintimilium e lo cronolQSlio delta ceromica
romano . Porte prima. Campogno d i sc:avo 1938/40", Bordlghera, 1950, lig. 82,
nilms. 12 a 14. Closillcodos como de los siglos IV y V.
K. BOEHNER: "Die fronkischen G.Ober van Orsoy, Kreis Mors" , Banner Jahrbücner des Rheinisc:hen Landes Mus.eums in Bonn, Hel! 149, Bonn, 1949, pagino
146, lig. 9, nums. 3 y 6. Clasificada como del siglo VII.
1201 H . ZEISS: "Spi::it'Omische stempel';er ~ierte Keramik aU$ Portugal unll
Spani en", Homenogem o Mortins $armento, Guimaroes, 1933, p(t¡:¡ . 466.
(2 11 P. DE PALOL SALELLAS : " Lo Ce<6mica estompada romano-cris tiana",
Crónica del IV CQ:'\gre50 Arqueológico del Sudeste (Elche, 1948), Cartogeno, 19""9,
p6g. 450.
°
-
2 10-
°
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LA TORR E DEL MAL PASO
25
Posteriormen te Russe ll Cortez aportó nuevos hallazgos portugueses (22). A los listos dados por es tos a u tores podrían añadirse segura mente los "'a llazgas de lo Groto da Nascente do ,ío Almondo,
en Portugal (23) y los de Ho,nillos del Camina, Sa nto Domingo de
Si los, lo Cacasa, Toledo, Valencia y los que aquí es tudiamos proceden tes de Castellnovo, en España (24).
Se considero de época avanzado, como lo conf irman los ha llazgos de Ampurias (uno de cuyas fragmen tos se conservo en el Mu s~o
de Prehis toria de Val encia), encuadrados par Cazurro en tre los siglos V y VI, en pleno época visigodo (25); los de la sepu ltura 28
de lo necrópoli s de Can Flit, con monedas del 25 3 0 1 337 (26); los
de Mon t roy, proceden tes de un habitat d osificado como de t ie...,pos b izan t inos (27 ); los de Barcelona, can monedas de Vespas iano
o T eodosio (28), etc ., etc.
Mas o pesar de ello no exis te un criterio unón ime en cuan to o
lo exaota cronolog ía de esto cerómico. o su origen y 01 emplaza mi en to de .sus cen t ros productores.
(22) F. RUSSELL CORTEZ: Loe. dI. nola 15. Cita algunos nuevos VOClmll~n
las en los que lo cerómico nlompodo aparece con lerro sigillala h ispón ico V e n
algún coso con monedos imperlo ln del siolo IV.
(23) A. DO PAC;O, M. VAULTIER y G. ZBYSZEWSKI : "Gloto da noseenle do
d o Almondo", Trobolhas d e Antropologio e Elnolog io, XI , fase. l. Porta, 1947,
16m. XI, flUmS. 53 V 58.
(24) M . MARTlNEZ BURGOS: "Lo nec'ópolis de Horn illos del Comino"; M emorias de los Mu~ Arqueológ icos Prgyincioles, VI, Madrid , 1945, p:lg. 28, 16mino V, nÚms. 1I y 12. El ou lor considero esto ceromico como "la con linuoción
visigoda de lo lerro sigillolo de los últimos tiempos del Imperio", situando la necrópolis en "los comienzos de la dom inacion visi!,)Oda en Espoña".
J . L . MONTEVERDE: "Sobre la necrópolis romana de Hornillos del Comino
IBurgos l", Arc h ivo Espa';o l de Arqueolag'o, XVI II, Madrid , 1945, póg. 338. COi.lci de en su aprec iación cronológico con el anterior trobojo, si tuando lo cerómlco
es tampado en el siOlo V.
S. GO NZALEZ SALAS: Loe. ci l nolo 15. Encuadra esta cerómka en el siglo V.
J . DE C, SERRA RAFOLS: "La villa romana de la deh eso de Lo Cocaso". Ha daJoz. 1952, lóm, XXX iiI.
L DEL PAN : " El yacimiento prehis tórico y protohis lór ico de lo Albe rqu i110
(Toledo)". Bole l,n de lo Real Academia de la Historia, LXXXI , c." 11, Madrid,
1922, póg, 136, Ilg. 9.
Un fragmento de exce len te calidad fue hallado en los excavacio nes Que, bo lo
los auspicios del Excmo. Ayvn lamiento de Vale nc ia, reali zamos en la ca lle de l
Reloj Viejo de esta ciudad .
(2 5 \ M. CAZURRO: "Terro sigillolO: las vasos oretinos y ws im llacianes gola- romanos e n Ampllrlas" , Anuo, l de l' lns tilut d' Es tudi s COlolons, 111, Borcelor.a,
1911, póg, 290, fig. 30.
(26) J . COlOM INAS: " Excavaciones de necrÓpOlis roma,.,os en Ibiza V f Ol'_
mentera", Ampourias, IV, Barcelona, 194 2, 'PÓQ. 139.
(211 lo SIRET ; "Villoricos y Herrerías", Madrid, 1901.
1281 A. DURAN y SEMPERE : "Vestigios de la Barcelona romana en lo p¡o7.a
del Rey ", Ampurias V, Barcelona, 1943, póg. 5 3 , 16m. XV III, lig. 40.
-
211-
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26
D. FlfTCHER VALLS
Dechelette (29) copió lo que Giroul t expuso Q este respecto,
tomándolo o través de C. Jullion, quien no estaba de acuerdo co.,
lo datación dada del siglo IV o V, puesto que lo consideraba mós
bien del VI y aún quizá del VII.
Pora Conil (30) serio la misma técnico de fabricación y decoración que considera vossits y ocepto Dechele tte (31) como de procedencia 'e sencialmente céltico, llegando un poco modificado al si glo V con los visigodos; los cera mistas indigenos, 01 incorporar o las
pa lmetos otros motivos ornamell.toles (como se ven en Bu rdeos,
Nantes e Yverdon) origina ron este t ipo especial de cerómico denominada cri's tiona de Burdeos, existiendo por tonto fi lioción en los
procedimientos de fa bricación en t re esta cerómica cristiano de Bu r ·
deos y su predecesora de Chompellans, la que a su vez se origino
01 aceptar los celtas uno t écnico y decoración de tipo helén ico.
Discrepando de este criterio Mouret (32) afirmó no ser necesaria acudir 01 valle del Donubio poro encontrar esto cerómico desde
el siglo 11 , pues lo halla en las capas profundas de los ruinos de !o
ciudad de Vendres (an tiguo Prumuliog ), 01 lodo de lo sigillato
de lo Graufesenque, y aunque reconoce que los motivos cristianos
no hocen su aparición hasta el siglo 111 o IV, cree que esto cerómiCa ornamentado con temos paganos es tuvo en uso mucho tiempo
antes.
El llorado T orocena hizo en un bello opúsculo (33) mención o
este tema opinando, como Mouret, que la cerómico estampada se
encuentro yo en los siglos 11 y 111, comenzando su esplendor técni co 01 decaer el de lo sigilloto, no debil!ndo sobrepasar su existen·
cia el sigla IV a todo lo mós los comienzos del V. ya que sólo exc~pcional m ente aparece en los cementerios germónicos de los orlmeros tiempos de las invasiones y en cambio abundo en los yaci mien tos del siglo IV, 'o fines del cual comienzo o en t rar la cerómi ca africana decorado con símbolos crist ianos. Supone que en Espo·
ña hubo alfares de esta cerÓmico.
{29} J. DECHELETTE: "Les vas~ ceramiques ornés de la Gaule Romoine" ,
vol. 11 , Poris, 190'1, v. 1
6m. XI I y XII I, con cerámico semejan te o lo de nu~stro
yacimiento.
130) A. CONIL: Loe. cil. noto 19, y "Ci!rom iqu~ ó palmellH", Bullelin de lo
Societe Archoeologique de Bordeoux, XXXIX, 1920-21.
131) J. DEC HELETTE : Loe. cil., pág. 327 y 5$.
(32) F. MOURET: "Corpus Vosorum An t;qUOfum : FroMCe, Collection Mau rel
iFouilles d'EnsCrune)" , pag. 12.
(33) B. TARACENA AGUIRRE: " Lo cerámico antiguo españolo", Mod rid. oño
19'12.
-
212 -
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lA TORRE DEL MAL PASO
27
En el citado trabajo de Palal se estudian formas, pastos, bar nices, técnicos y motivos ornamenta les, reconociendo el autor lo
imposibilidad actual de establecer los exactos limites del comienzo
y fin de esto cerómica, pero parece ser qu e todo apunto hacia 1:)
segundo mitad del siglo V, exist iendo pocos ejempla res o tribuibles
01 siglo VI y siendo muy dudosos los datables en el VII. Poro Palol,
la cerómica estampada serio lo última proyección de lo terra sigi.
lIata, producto de olferes pa leo-cristianos provenzales, sin t en~ r
nodo que ver con el pueblo godo.
Russell Cortez, 01 aceptar los puntos de visto de Polol, conside ·
ro los platos de Bairral y Sed ielos como de fabricación local, tal vez
de los siglos V o VI.
En resumen, vemos que con respecto o lo cerómica es tam pado
se man ti enen crit erios dispares sobre su cronolog ía y origen. Sobre
aquéllo Mocdonold, Conil, Mouret y Taracena la creen de los siglos
11, 111 y hasta IV, m ien tras que Jull ian, Polol y Russell, tienden a
encuadrarlo precisamente a partir del siglo IV, hasta el VI, can
a lguno posible extensión 01 VI I. Respecto 01 origen, unos autores
lo creen procedente de talleres célticos del Danubio, y otros de ta lleres poleocristionos provenzales, con probables fabricaciones locales en diversos lugares de nuestro Península.
Creemos que ambos teorías pueden hermanarse, admitiendo la
existencia de diversas etopos y procedencias, hasta llegar 01 siglo
VII, en el que, con todo probabilidad, desaparece.
Los fragmentos de la Torre del Mal Paso los consideraríamos
como del sig lo V.
d) Cerámico gris.- (Lóm . VI, 5 o 7 y VII, 3 y 4) . Uno tapadero se recons truyó con los ~rog m entos donados por el señOr Morfi
Gorcerón; otros fragmen tos proceden del nivel l .· de lo habitación
del poblado junto con cerómi ca ibérica y otros se ha ll aron en el so
cavón del muro e.
Las primeros t rozos que hollamos en el nivel superior de lo referida hobit9ción, nos hicieron sospechar que se trotaba de uno
cerómica medieval, pero 01 reiterarse el hallazgo en el segundo ni vel, pensamos en lo posibilidad de que fuero cerómico romana de
facturo bosta, por lo que lo re lacionamos con lo gris con ocanola duros clasificado por Lamboglia como " tordo-romano", hallado en
sus meticulosos excavaciones de Ventimiglio, procedente de sus ni ·
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D. FLETCHER VALLS
.
veles 1- 11, Y contemporóneo de lo cerómico de los si glos IV y V (341.
El propio Lambog lia (35) habla de cerómica "dello piu torda ramon ita, farse del s. V", 01 referirse a un vaso de color ro jo con oso,
boca muy abierta y cuello ondu lado, cuyo perf il recuerdo el de
nuestros fragmentos. También presento un perfil semejante al d~
nuestro vasi ja de la Lóm . VI, núm. 5, lo reproducida por Sónchez
J iménez, procedente de "la necrópolis ibero-romano de época tar dio " de La Cueyo (36). Todo ello nos induce o considerar esta cerómica como de época romano avanzado, con lo cual se complico lo
cuestión de lo pervivencio de lo lIomado cerómico ibérico, pues
junto con ésto y por debojo, solió aquéllo en lo citado habitación,
que por haber sido excavado con sumo cuidado, no ofrece dudo al guno en cuanto a su estra tigrafía. Sin dudo alguno, en fu t uros excavaciones del poblado de lo Torre del Mal Paso, podrá dilucidorsc
esto in tetesan te cuestión de las pervivencias de lo c2rómica ibérico .
e) Ce rámica marisca.-{l óm. VII, 1 y 2) . Con los fr agmen tos
donados por el señor Mortí Gorcerón fueron reconstruidos dos vosi jas moriscos de posta amarillo-cloro con decoración da si mples
bandos y líneas ondulados en rojo oscuro, datables verasímilmC!'lte
en tre los siglos XII y XI II , y proceden tes de los al fa res de lo cuen co del Po loncia (37). Ignoramos el lugor exacto de hallazgo de e~
tas vasijas, osi como su estratigraf ía, yo que, como hemos indicada, fueron holladas por el señor Marti Garcerón en sus prospecciones en el sector D de lo cuevo, en los que no posó de 50 cms. de
profundidad.
2.-PIEDRA
El hallozgo de útiles de piedra es frecuente en los yacimientos
de época ibérico y ramana, por lo que no es difíci l señalar po,olclos
tonto poro el a lisador (Iám. 11, 7) como poro el a nillo (lo mi smo
lómi na, 5) y el percutor (Iómina dicha, 2), pero no osi poro el mortero (Iám . VI II , 2), del qu e no podemos señcila r tipo idén tico.
1341 N. LAM80GUA : Loc. dt no to 19, s~undo obro, ligs. 81, 88 y 104 .
(35) N. LAM8OGUA: "5ccvi nene lerme d i Cemenelum", Rivislo di Sludi lI ·
gud, XI 1194 SI, num o 1_3, So,dignero, 19<16, póg. 20, 'ig. 15.
(36) J. SANCHEZ JIMENEZ: "Excavaciones y Irobojos orQueol6gicos en lo
provincia de Albocele, de 19<12 o 1946", InlOfmes y Memorias de lo Comis,ltio
General de Excoyociones Arqueol6gicus, num o 15, Madrid, 1941, 1
6m. LVI I, b.
(37) DOloci6n y procedencia facilitados por don Jose L10rca Rodriguez;, o quion
desde eslos lineas agradecemos su colaboración.
-
214 -
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LA TORR E DEL MAL PASO
29
T ipos seme jantes de a lisadores los encon t ramos, por ej.!mplo,
en Son Miguel d e Sorbo, Coste jón de Arguedos y Los Cogotos (38);
an il los o arandelas en pi edra las hay en Cobecico del Tesoro (39)
y el percu tor 'tiene igualmente paralelos en diversos puntos de España, como Morlés, Constantino, Asto Regio, Los Cogotos, CostelIet de Boñolos, y en Cas te j6n de Arguedas, en el ml'imo nivel que
el alisador yo mencionado, etc, ele. (40) .
3.-HUESO
Las agu jas o ocus crinalis (Ióm . 111 , 1 o 4) son obundan t ísimas
en los yacimientos roma~os llegando has to tiempos muy tard íos,
apareci endo en muchos pca siones, como sucede en lo cueva de l
M?I Poso, con cerámica es ta m~oda.
Los astrága los (Iá m, 11 1, 10 y 12), que debieron se r util izados
en algún juego seme jante 01 pentelitho griego, se encuantran desde
t iempos de los colonizaciones hasta lo boja ramanidad.
Lo semiesfera (Iám, 111 , 11) debe ser uno pieza de aplique sin
coracteristicas d~fin idas, así como los restantes piezas de hueso de
lo mismo IÓmina .
Lo abundonlísi mo bibliografía referente o estos ob jetos nos ró!levo de hacer aqu í mención de fuga res de hallazgos.
(38 ) J . SERRA VILARO: " El poblado ibérico de San M iguel de So
rias de lo Junto SuperiOl' d e Excavociones y Antigüedades, numo generol 44, Mc _
drld, 1922, lig. X IV, 8 .
8. TARACENA AGUlR RE y J. VAZQUEZ DE PARGA: " ExcovociOl'les en N (1vaHO", Pomplono, 1941 , 1 . 1, nivel 3,-,
6m
J . CABRE AGUILO: " Excavaciones en Los Cagotos, Cordeñoso (Avi lo). 1, El
costra", Memorias de lo Junto Superior de Excavaciones y Antigüedodes, número
general 110, Madrid, 1930.
(39) G. NIETO GALLO: "No ticias de los excavaciones re
d e Est ud ios de Arte y Arque
Vollodolid, 1940, lóm. XXXI,
(4 0 ) J . SE RRA VILARO: "Trobono p rO lonis torico o Morlés", Anuo,i de l' lns_
l ilu d ' Eslud is CO lolon5, VI, BorcelOl'lO, 1923, pág. 513, lig. 328.
F. 8 ARRAS DE ARAGON : "Un obje to neolítico de Cons tantino (Sevilla}", Ac_
los y Memorias de lo Soc¡edad Españolo de Ant ropología, Etnogro lía y Prehis toria,
Mad rid, 1924, t. 3, póg, 11.
M. ESTEVE GUERRERO: loc. ci t, nolO 15, lóm. XLV II I, 1.
J . CA8R E AGUILO: loc. ci t . noto 38.
J . V ILASECA ANGUE RA, J . C. SERRA RAFOLS y L. BRULL: "Excovociones d el
Pla n Nocional en el Cos tellet de 80noles de T íviso (Torrogano)", Infarme$ y Memor i9s de lo Comi$O,ía Generol de E>lcovaciones Arq ue
1949 .
-
21 5 -
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30
D. FLETCHER VALlS
4. -METAL
o) Oro.-Por la técnica de construcciÓn de la cadenilla (reproducida en lo lóm , 11 1, 13, o doble tamaño) nos indinaríamos o
considerarlo de t iempos romanos avanz.ados, como los qu e se exhiben en el Museo Arqueológico Nocional de Madrid ; gron seme janza
técnico encon tramos también con una caden illa de bronce, dotable del siglo VII , procedente de lo necrópolis de lo Pon etieh e, en
Chompigny-sur-Yonne (Froncia), y con otra de PoUen tio (41) .
b) Hierro.-Lo pieza mós in te resonte es el pico (lám. VIII, 3)
aparecido en el primer nivel de lo habi tación excavado en el poblado. Aunqu e los herramientas son rela t ivamen te abundantes en
los poblados ibéricos, como por ejemplo Lo Bastida de les Alcusc$
(Mog ,mte) y Puig Cas tellar, ele., etc. (42), no hemos encontrado
pico de formo idéntico 01 de Cas tellnovo.
c) Bronce.-AI efectuarse el hallazgo de los prim eros chapi·
tos (Ióm . 1, 1), supusimos que se trotobo de restos de pos tas, de
cartuchos o cargo de trabuco, pero 01 persis tir los hallazgos en d iversos lugares y o diversas profundidades de lo cueva, dudamos de
tal atribución, s in encon t rar por e l momento otro que nos satisfaga
plena ment e.
El botón (Ióm . 1, 7), corresponde o un t ipo romano de gran di ·
fusión geogréfico y cronológico, apareciendo hasta en yacimientos
del 450 en adelante (43 ).
El pasador o gemelo (Ióm. 1, 11) ti ene Su réplica en Ta rragono, Los Cogotos y otros lugares, en los que también se encuantran
planchuelas como lo nuestro de la lám. 1, -8 (44).
(41 1 J. LL A8RES BERNAL y R. ISAS I RANSOME: "Excavaciones en (05 terreo
nos donde eSlvva e nclavado lo ci udad romano de PoUenlia", Memorias de lo Junto
Superior de EKcovociones y Antigüedades, n .... mero general 131, Madrid, 1934, 16m ino XIV. Los autores señalan lo aparición de monedas hoslo del 301 .
lo RENE, e n "Gollio", VI, 1.°, póg. 254, lig. 8.
(42) En el Museo de PrehislOtio de Valencia.
J. C. SfRRA RAFOLS: " El poblomiMTO de lo Mare-sma o cos to de Levante en
lo epoco an T
e-romano", Ampurias, IV, BarcelorlO, 1942, póog. 69.
(43) C. FOX: "Oykes", Antiquity; pág. 135, fig . 14, junio 1929.
(44) J. SERRA VILARO: Loe. cit. -noto 16, lóm. LXVII I, 3, l.
J. CABRE AGUILO: Loe. ci t. noTO 3B, 16m. LXIX,
A. HERNANDEZ MORALES: " Juliobriga, ciudad romano en Cantobria", Ce;'1.
Ira de Estudios Montañeses, Santander, 1941. Coincide también con nuestro yor. imiento pOr lo terro Ilglllolo y lo hebilla.
-
216
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LA TORRE DEL MAL PASO
31
La hebilla (Ióm . 1, 10) es tipo corriente en época romano (451
Dechelette, al estudiar esta clase de hebillas (46). expone el critedo de p. Por is, quien las denomina fíbula s portuguesas 'pOr su abundancia en dicho país, aunque se pregunto si na pudo haber sido
importado por los celtas, ci tando o e5te respeclo un ejemplar de
Trugny (Aisne). procedente de una tumba de inhumación, asocia do a una fíbula de La Tene 1, suponi endo, no obs tant e, Que la forma en omega debe se r más reci en te, puesto que se encuentra en
un ca. tallum del rimes germónico ocupado del 40 al 60, ¡por lo que
concluye considerándola como un tipo del s. I o. J. C. o qu izós más
reciente todavía.
Lo posibilidad de un origen peninsular ha sído postulado, igual.
mente, por algunos otros autores. Para César Morón (47) estas
hebi llas serían anteriores o la invasión romana de Galicia, Lancio
y Numoncio ; J. M. Luenga {481. las cree indígenas, 5i tuóndolas entre el s. 11 1 0. J. C. y la plena dominación romano; Russe ll Cortez
(49) las supone de tradición ibérica, pero llegando su utilización
hasta muy tarde .
Por nu est ra parte creemos muy poco factib le la posibilidad dg
un origen hispano, pero merece destocarse la frecuencia de su ha ·
lIazgo en tierras célticas peninsulares y su relativa escasez en el
oriente y sur de España. En Galieía aparecen estas hebi llas con monedas del s. 1. a. J . C. y en yacimientos próximos a los invasiones
bárbaras (50); en Asturias, San tander, Salamanca (con monedas
(45)
(461
DAREMBERG '1 SAGUO, 11, 2, pág. 1111.
J. DECHELETTE: "Les petits bronzes ibériques". L'Anthropologie, XV I.
póg. 29.
f471 C. MORAN: "Colección sal mont ino de líbulos", Revislo de Guimoroes,
XLV III , 1/3, Guimoroes, 1938, póg. 111.
(48) J . M. LUENGO: "Los fíbIJ10s '1 hebillos celtibéricos de Loncio (León)",
Actos '1 Memorias de lo Sociedad Españolo de Antropología, Etnogrofío y Prehisto.
rio, XVI, 3/4, Madrid, 1941, pág. 451. Apcllecen con (erómico dOlable det 5'010
IV d. J. c.
(491 F. RUSSELL CORTEZ : "As eK(avo.;oes orquealooico~ do CO$tellum d:¡
Fonte da Minho", AnDes do Instituto do Vinho do Porto, 1, Parla, 1951. Salen con
otros objetos clasificod05 (omo del 2~ o. J. C. al 25 d. J . C.
( 50) L. PERICOT y F. LOPEZ CU EV ILLAS: "Excovociones en lo citonia de
Troña", MemoriO$ de 10 Junio Superior de Excovociones y Antigüedades, num e'O
genero! J 15, Madrid, 1931.
F. LOPEZ CUEVILLAS y J. TASOADA: "Uno es tación galaico-romana en el
outelro de Bollar", Archiva Español de Arqueologia, 63, Modrid, 1946, póg. 111,
fig. 5.
C. MERGEUNA: "La (Ílonio de SonIa Tec·la". Boletín del Seminario de Estu.
dios de Arte '1 Arqueologia de la Universidad de Valladolid, XXXVII / XXX IX, Va_
II0d0Ud, 1945, póg. 13. El au lor las sitúa en época romona, hociendo uno esque0
ffiÓtica discriminación tipológico, o cuya tefcer t ipo corresponderío 1 de la rorro
del Mor Posa.
_
211
~
[page-n-274]
32
D. FLETCHER VALLS
hasta de T iberio), León, Bu rgos', Palencia (en lo necrópolis visigodo
de Herrero del Pisuerga, doloble del 485 01 620), Numancia y otros
puntos de las provi ncias de Soria y Logroño (Izono y Langa de Duero, da tados como del s. I o. J. C), Segovio (en lo necrópolis de Durotan, del s. Vl), Valladolid (necrópolis visigoda de Carpio de Tojo), Navarro (Cost ejón de Arguedas, aldea de los siglos I a l 111 1,
etcétera, etc. (5 1).
(511 A. GARCIA y BELLI DO: " El cos tro de Cooíia (Asl urlos ) y a lgunos no tos
sobre el pOsible origen de esta cultu ro". Archivo Espoñol de Arqueologío, 4Z, Madrid, 1941, ¡KIg. 188.
J. CARBALLO: "Col6looo del Museo de Prehistoria de Santander" Sonl onder,
1943, 16m. XIII. El eJemplor procede de Jullobfigo.
C. MORAN: "Reseño histórico-artístico de lo provincia de Solomanco", Solomanco, 19'16, póg. 95, fig. 33. Procede del Cerro del Berrueco, señalando el a utor
que los más rKientes monedas son del "13 o. J . C., aunque en sus "Excavaciones
arqueológicos en el Cerro del BerruKo", Memorias de lo Junto SuperiOr de Exc:lvociones y Antivüedodes, numero general 65, Madrid, 192"1, se ci tan como más
rKientes las monedas de Tiberio, indicando que el yacimiento estobo revuelto.
V. noto "18.
J. MARTINE Z SANTA_OLALlA: "Antigüedades romarlOS de POl.a de lo Sol
IBurgQ$}". Anuario de Prehistoria Madri leño, 11 / 1' 1, Madrid, 1932, póg. 127.
S. GONZALEZ SALAS: loe. cit. noto 15.
J . MARTINEZ SANTA-OlALLA: "Excavaciones en lo necróPolis visigodo de
Herrero del Pisuergo (Palencia)", Memorias de lo Junto SuperiOr de Excovociones
y Antivüedodes, número general 125, Modrid, 19H.
G. NlfTO GALLO: "El yacimiento pre-romono de Paredes de Novo (Palencia)".
Boletín del Seminario de Estudios de Arte y Arqueología de lo Universidad de Valladolid, XXXI/XXX ii i, Valladolid, 1943, póg. 189. Extrañamos el tí tulo de eslo
noto, pvesto que en ello se reproducen buen numero de objetos de tiempas roma_
~.
R. MELloA ALINARI y B. TARACENA: "Excavaciones en Numoncio". Memo, ios de lo Junto Superior de Excavaciones y Ant igüedades, num o general "19, M:ldrid, 1923 .
B. TARACENA AGU IRRE: " Excavaciones en los provincias de SOlio y Log,oño". Memorias de 10 Junto Superior de Excavaciones y An tigüedades, numero ge··
nerol, B6, Madrid" 1927, y n umo general 103, Madrid, 192~.
B. TARACENA AGUIRRE: "Excavaciones en lo provi ncia de Sorlo", Memorias
de lo Junto Superior de Excavaciones y Antigüedades, num, genera l 119, Madr id,
1929, ' En este trabajo vuelve o citar los de Langa, insistiendo en que hoy monedas
has ta del 9"1 n, J , C. En Monte Agudo de los Vicarios, podríamos hollar el pratalipa, pues los extremos del orco aparecen "ocolados en botones no doblados sobro;!
sí mismos, y lo ogujo suje to 01 oro par el muelle arrollado y no por pe rforación" .
El señor Toroceno lo clasificó como del s, 111 o, J, C., aunque por nuestro po: te
nos inclinamos par uno do taciÓn mós reciente, o lo visto de los demós objetos del
yacimiento en cuestión,
A, MOLINERO PEREZ: "Lo necróPolis visigod o de Durat6n ($egovial", Act:l
Arqueológico Hispánico IV, Madrjd, 19"18, Es lo unica hebilla de eSle tipo hol!c;do
en es te yocimiento; el autor lo considero como de t ipo romano.
C. MERGELlNA: "Lo necrópolis de Carpío de Tojo" . Boletín del Seminario de
Esludlos de Arle y Arqueología de lo Universidad de Valladolid, XLIX/L. Vallado_
lid, 19"19, póg. 1"15.
.
B. TARACENA AGUI RRE y L. VAZQUEZ DE PARGA: loe. cl!. no to 38. Al
dcsc,íb'r los hollol.gQ$ de Castejón de Arguedos, se clasifican como "objetas romo_
-
218
-.
[page-n-275]
LA TORRE OEL MAL PASO
33
También Portugal da buen porcen ta je de hallazgos (52), pero
és tos no son tan frecuen tes en los comarcas meridiona l, orien ta l y
sudeste de España (53).
Fuera de nuestro Penínsu la se encuen tran d esde Tamuda, en el
nort e de Africo, hasta Fin landia (5 4).
De la rópida enumeración qu e an tecede se desprende que e!
área de difusión y cronología de es to h ebilla san a mplísi mos, datón_
nos hallados en el primer es trolo del poblado", "uno nebilla circular de bronce
con los cabos doblodos nocla aluero, ocabodos e<1o bolones, l ipa Que noce 01 f'nal
de lo segunda Edad del Hi erro y paso al mundo im¡>(!riol romano".
(52) F. RUSSELL CORTEZ: loe. ci l. nOl O 49.
F. RUSSELL CORTEZ: " Mosaicos romanos no Douro". Anois do Insti tulO do
Vinno do Por to, 1946. Procede de Longroivo.
A. V IANA y A. OlAS DE OEUS: " Necr0p6l"s célt ico-romanos de El vos". ArchiY() Español de Arqueología, núm. 80, Madrid , 1950, pág. 229. Al noblor de e~le
tiPl) de hebi ll as, que denominan de lira, suponen que perdu,6 naslo com¡en~os de
lo ero criSliana.
153 1 H. KUHN : "Kunsl und Kultur der Iberer" . Monnus 25/30 moyo 1926,
Leip~ ig, 1921, p6g. 145.
R. LANTlER: "El Santuario lberico de Castellar de Santisteoon". Comisión de
Investigaciones Paleontológicos y Prehistóricos, núm. 15. Madrid, 1911.
L. SIRET: "A prOpOS de po teries pseudo-myceniennes". L'An lhropologie, XVI II,
póg. 211 .
L. SIRET: Loe. cit., Mta 21 . Lo denomino "variedad de libulo de lormo iberico" .
A. FERNANOEZ DE AV ILES: "El poblodo minero ibero-romono del Co~zo
Agudo, en Lo Unión", ArchiY() Español de Arqueología, XV, Modrid, 19<12, pagino
136. Se clasifico como nebillo de Lo Tene.
(54) P. QU INTERO AT AUR I y C. GIMEN EZ ARNAL: " Excavociones en Ta_
mudo, años 1943/45 y 1946". Publicaciones de lo Alto Comisaría de Educación
y Cul tura, nums. 1, 9 y 10. Los monedas de es ta ci udad, ses¡ún los a utores, llegan
desde liempas precriUial"lO$ has ta Conuontino y Arcodio.
En Ingla terra se encuentra un tipo muy parecido, llamado de Glas tonoory, con
espirales terminales en Il.1Qo. de bo tón. Se clasif ican como de La T~ne, v. ('.R IMES: "Gulde to Ihe Colleclion ill ustfa ting the Prehistary of Woles", Na tiono! Museum 01 Wales, Cordiff, 1939, póg. 125, lig. 4 3, numo 11.
J. E. K ILBR IOE-JONES: "xots loomorphic Penon nulor brooches". Proceedings a l
Ihe Society 01 Ant iq uaries 01 xO lland, LXX; si xth Series, vo l. X, Ed imburgo, 1936,
póg. 124. Son abundantes en Escocia con ojos o cabezos de animales en los termino les, algunas del S. 11 1 y IV d. J . C.
R. E. M , W HEELER and T . V. WHEELER: "The Ramon Amphiteo tre at Coerlean, Manmouthshire", Arckotologia or Miscellaneous T roe ts relatings to AntiqulIy, publlsned by the $ociety o / Antiquories of London, LXXV III , Londres, 1928
p6g. 111, lig. 14, num o 21, 22 y 23. Una de ellos sale osociodo Can cer6mlco de
tiempos de Adriano_An tonino; "this type kod o long lile but oecured in a deposi t
os eorly as 80/120 A. D.",
H. MULLER-KARP E: "Ein ro.nisches Gebilnde in Gouting (O~rboyern)". Germon10, año 30, c.· 2, Berlín, 1952, póg. 268, fig. 1.
JAZDZEWSK I: lac. cit. noto 5, lóm. 31. Supónelas un pOCO an tes del cambio
de era.
En el Reollexikon der Vorgeschichle, de Ebert, vol. 111, 16m. 143 y vol XIII ,
16m. 11 y 12, se señalan en Finlandia, como pe.r tenecien tt'$ 01 S. II I/ IV d. J. C.
-
219 -
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34
D. FLETCHER VALLS
dase desde el s. 111 o. J . C. hasta época visigodo . Por es to rozón,
como dice Supio! (55) "de no conocer procedencias", es difícil saber "si realmen te se trata de ob jetos visigodos, doJdo la antigüedad del t ipo y su mismo persistencia en el t iempo. En las necrópolis francesas correspondien tes o los sig los V y VI son abundantes"
Con ello se j usti f ico lo dificultad de uno exac to datación de la he billa de La Torre del Mol Pa so, pero ot end iendo que se trota de un
tipo ovalado y no circula r, nos incli namos o considerarlo de fines
de la romanidad.
d) Monedas.-Los monedas presen ton uno con tinuidad desde
el l' 7 0 1 249, exist iendo un hiatus 'entre esto última fecha y el
375, desde el que se llega a los in idos del siglo V, presentando
uno cierto relación estratigrófica en tre ellos, salvo la valenciano
de 16 10 aparec ido en A-3 y los dos de Morco Aurelio de D-2 .
Aquéllo pudo muy bien haber formado late con las o tros de igual
fecha, de A- 1, y haber llegado, por cualqui er remoción o causo mecón ico, un poco mós hondo (uno distancia menar de 50' cen t ímetros) . En cuan to al hallazgo de las dos monedas de Morco Aurelio,
con ot ras cuatro qu e oscilan del 193 al 249, no puede considerarse
como uno a nomalía si tenemos en cuento lo gran vigencia de circulación de los monedas, por lo que no es dificil que formara lote
con los restantes de 0 -2 . Ej emplos daros de perduración de las monedas se nos presentan en un sinfín de hallazgos peninsu lares y ex ,
trapeni nsul ores. Russell Cortez (56) menciona un pla to con monedas romanas de bronce del 253 a l 337 e insist e en que "en sepu lcros indudablemente pertenecientes 01 s. IV, hemos encontra'10
monedas pertenecientes o empe radores del s. 11 ". Este mi smo autor (57) habla de un t esoril lo de 700 denorias del 217 01 64 o. de
J . C. Afonso do Pa~o nos habla de otro t esoro de monedas de plato, procedente de lo Citania de Sanfins, del 230 a. J. C. 01 28 d .
J . C. y varios tesorillos mós, como el de Castro de Vilo rinho dos
Cotos. con 93 monedas de los s. 1, 11 y IV; el de Sesmorio, con 2 1
kilogramos de monedas de los s. 11 , 111 , IV y principios del V, ha-
(55) J. SUPIOT; "Fibulos visigodas", Boletín del Seminario de Estud ios da
Arte y ArqueolOgía de la U n¡ve~idod de Valladolid, X, Valladolid, 1936, póg. 79.
(56) F. RUSSELL CORTEZ: loc. ci t. no to 15.
(51) F. RUSSELL CORTEZ ; "O T esouro monetario da lugo, do pajo (Porodelo
de Guioes)", Nummus, 1, n. . . m. 1, Porto, 1952.
-
220 -
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LA TOR RE DEl MAL PASO
35
liada s dent ro de un án fora, y el de lo Quinta de Madeira, con 200
monedas republ icanos e imperia les de diversos fe chas (58) .
En España tenemos, en tre ot ros, los tesoros de Sierro Morena,
con denarios que van del 268 01 92, escondidos, según Sondors
(59 ) durante los guerras sertorionos, y el del Ce rro de Son Miguel
de Li rio con monedas del 2 14 01 43 (60) .
Fuera de lo Pen ínsula, seña laremos los hallazgos :le Tuillet (6 1)
donde en un fondo de ha bitación se encont raron, con aeus erinalis, monedas romanos de T rajano y Cons tancia 11 1; el de Loy, con
moneda s de Marca An ton io a Ale jandro Severo, y el de la cueva
Gignoc- Ia-Nor the, con monedas de l 11 al V, cerómica de Banassac
y otros cerómicas crist ia nos con decoración de círcu los y pa lm etas
(62).
Hemos aducido es tos pocos ejemplos poro demostrar que, si
b ien los monedas son orien tadoras para señala r un tope cronológi co, pues to que ningún resorillo puede ser anterior o lo moneda
de más bo ja fecha que en él a parezca, no siempre pueden se rvir
paro lo da ta ción absolu to de un yacim iento, dado el uso
prolongado de ellos a través de períodos de l OO, 150 y has ta 200
años, lo que hace posible su convivencia con objetos de fe cho muy
pos terior a l de la emisión de aquéll as.
S.-OBJETOS VARIOS
Los cuen tos de collar (Ióm. 1, 2) , de pasto a zu l, se encuentra n
en yacim ien tos de época avanzada y en cuanto a la s vértebras de
pescado, fósi les, cris ta lizaciones, etc., no falt an en los pobla dos
ibéricos (63 ).
1581 A. PA<;O: "Ci lo nio de Sonfins: 111 . Breve no ticio de .... m tesouro mon~
lorio" , Brole,;o, LVI, lisboa, 1953, pág. 613.
(59 1 H. SANDARS: "Aj)vnt e¡ sobre .... n tesoro de denarios romanos hollod05
e n Sierr o Moreno, en el S.... r de España " , Bolelin de lo Reol Academ ia de lo Histori o, LXXXIV, c.O V, Mad rid, 1924 , p6g. 489.
(50) F. MATEU y LLOP IS: " Holl ozg05 mone loríos" , Amp .... rios, V, Borcelo"lo,
1943, póg. 224.
(611 COUTIER, BRISSON e t DUVAL: " Fouille d'llobi tolion gollo-romoine o ....
T .... ill el, terrtloire de Mor oi"s. A .... lnoy (Morne)", B.... ll elin de lo Societc Prehisloriq .... e
F ro~oi se, XXVI , 7 / 8, Po ris, 19 29, póg. '129 .
(62) "GoUio", VII I, póg. 128 y 15 1.
(631 J . COLOMINAS: loe. d I. ~IQ 26.
L. SIRET : loe cil. ~ Io 21 , 1
6m. XVII , 52 y 63.
-
221 -
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36
D. FlETCHER VALLS
El brazalete de azabache no puede considerarse como hallazgo
corriente en nuestros yacimientos, encontrándose, no obstan te, en
todos los niveles del de Cha fecu -sur-Solinas {641.
V
FINAL
En realidad, poco más de 10 que acabamos de exponer sobre lo,;
ma teriales puede deducirse del estudio de los niveles reseñados de
la cueva, ya que la sensación que de ellos se soco es lo de cierto
revolti jo y mescolanza, a pesar de lo relativamente lógico estra t i·
ficación de los monedas. Por esto roz6n, la presencio de cerómica
ibérico, aunque para nos'otros de epoca tardío, junto o materiales
romonos avanzados, no nos autoriza, hoy por hoy, a considera rla
con temporóneo de éstos. Preferimos, por el momento, cons ideror
que esto coexis tencia en lo cuevo del Mal Paso se jus tifico por lo
revuelto de sus niveles más que por una real perduración de dicha
cerámica más allá del s. l d. J. C. (65) . Sin embargo, creemos que
bien vale la pena tener presen te el da to de la aparición de ob jetos
romanos de tiempos avonzados con cerámico ibérico, no echóndolo en olvido en futuros estudios y excavaciones, yo que es muy pos ible que en otros yacim ien tos menos removidos que el nues tro,
puedo darse esto conjunción probatorio de lo persis Nmcio de elemen tos ibéricos hasta tiempos avanzados del Imperio.
Sin dudo e l poblado de lo Torre del Mal Pasa podrá dar luz sobre este asunto, puesto que en la habitación excavada encontramos
cerómica ibérico en el nivel superior, prueba de que venia utilizándose en el momento de abandono del poblado, lo que d ebió suceder
bastante tardíamente si nos atenemos o los restos de terra sigilla ta hispanico del mismo nivel yola ceramica gris a car1alado del in fer ior. Este doto sería un buen punto de apoyo poro dotar lo cerámico ibérico de lo cueva, pero hasta ton to no se .realic en más am plios excavaciones en el poblado no podemos, en definitivo, fijar
los diversos etapas y momento final del m ismo y con él 10 cronol ogio de lo cueva.
164 1 M . PIROUTET: "La ci ta d elle holls ta lt ienne o po ler ies he ll en iQUt'$ d ...
Cho leaU-$ur_So linas puro)", Veme Cang.es In lerna lianol d 'Archeologie IA loe r
16 ay,i ' 19301, Alge., 1933, pág. 41, 1
6m. 11, nUm. 11.
(65 1 A. GA RCIA y BELLIDO: " Nuevos do lOS sobre 10 cranolOQja '¡nol ~ lo
cerómica iW.ica '1 50bre su expansión extra_pen insu lar", Archiya Espaóol d e Arqueología, XX V, Madrid , 1952, pag. 3 9.
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FLETCHER VA.LLS .-Torrl dol Mol PotO
LA.M. l.
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H
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.,
¡t
~
1. -Plor"ch .... ela¡, de cobre a b, once de d,versos ni v ~les y sectores de la c .... ey(].
Z, 3, 4 y S. Cuentos v treos, disco, fósil y piedra con signas en relieve, proceden tes de los c",,10 ",coner.
t, G"·cecor".
6, 13 y 1 ~.-Andlo$ y botó , de bror ce (D, Z).
7.- Botón ¿e brorc e IC, 3 ).
S.- Plonchuelo de bronce (O, 51.
9.- Andlo de bfonce (O, 3 ).
tO.- HebdI0 de bronce ID, 11 .
1 t . -Pasador de bronce (O, 71.
1Z._A,A,lIa de bronce lB, 3)
15.- 80tón de bronce lA, 31.
16.- Andlo de bfonce lA, 41.
""':1
IMed,dos en el le"tol
(Fo tos Grollo y Fler, ncrl
[page-n-282]
FUTCHER VALLS._ Torre del Mol PO lO
LAM. :J .
1. -Pondus !;on perforociones le, 1l.
Z. -Pe.cutor de piedra (pablodo, nivel Z.· ).
3.- Frogmento de bro1alete de modero l?i lA, 4).
4 . -Frogmento de bra10lele de o1aboche (B, 31.
5.- oiKo de piedra (poblado)
6.- 801 de poSlo ví treo (O, 3).
0..
7.-Piedra ovol (poblodo).
¡Medidos en el le>
(FalOS G.ol1o )
[page-n-283]
LAM . 111.
FUTCHER VALLS._Torre d,,1 Mel PalO
1_'
"
10-12
I Y 6.- Aguio y lomin,lla de hueso (O, I j.
2 y 3.- Agulos de h Ue5Q (A, 3).
4. -AguJa d e hue5Q (A, 41.
5 y 9 . -Huesos lA, SI.
1 . -Lam,n,llo de hueso (O, 3).
B.- Hueso espalulodo (8, 3).
10 y 12. Awóga:os (O, 1 1.
11 . -S4!m,esfera de huesa le, 3).
13. -Pulser1Ua de oro (B, 3) (reproduc,do o doble de
(Medidos en e l lex lOI
W
lomoñol .
(Falos Grallo)
[page-n-284]
FLETC:HU VALLS.-Tou, d,1 Mol POtO
LAM. IV.
Kólo lhol
1 Y 3.- Procede nl es d el pobloda.
2 . -Proceden te de los e~ plorociones Mo rli GorcerÓn .
... .- Procedenl e de D, 1.
I
(Med idos e n el
l e~lo l
(FOlos Grollo l
[page-n-285]
FUTCHER VALLS.-Torre d,1 Mol Poto
LAM. V.
1.-Pó lero d e cerámico roio, estompcdo (D, 31.
2 .- Pó tero de cerómico oscuro, es T mpado (D, 11.
a
3.- Cuenco de ferro sigilloro h ispó"¡co (D, 2).
4 . -Borde de pótero de ceróm ica neg ra mo te, estampado (D, 11.
(Fotos Gro Uol
(Medidos en el text o)
[page-n-286]
FLETCHER VALLS._To ..... eI ... 1 Mol Poso
LAM. VI .
l.- Porte superior de onlor illo (C, 3).
2, 3 y 4.- Vasijos proceden lei dI! las exploraciones M ar i; Gorcer6n.
5.-Pequeño vasija procedente del 5equndo nivel del poblado.
? - Fragmen tos dI! YOSOS d. pos to gris, acanalado, procedenlei del poblado.
6 y
(Medidos en el texto)
(Fotos Groll a)
[page-n-287]
fL[T CHER VA LL S. -Torr e o! el Mol Poso
LAM . VII .
3
2 y 3.- Vosos mori5COS y lopodero, procedentes de los explorociones Mari;
GorcerÓ n.
4 .- Ploto de
po~lo g ri~,
¡)loceden te de l 2." nivel del poblado.
(Medidos en el textol
(Fotos GrolloJ
[page-n-288]
FUTCHER VALLS.-Torr. d.1 Mol Po,o
Gro.", vaso ,berico, mortelO 'f
IMed¡dos e" e! TexTOI
PICO
LAM. VIII .
de hierro, procede"'1!1i del poblado.
(FOTOS Grollol
[page-n-289]
SEBASTlAN MAR INER BICORRA
("'Alud. )
Nota~
de Epigrafía Valenciana
LAS ANFORAS DEL MUSEO DE PREHI STOR IA
A).- EI ánfora completo
El 23 de julio de 1952 ingresaba en el Museo del Servicio do;!
Investigación Prehistórico, de Valencia, por donativo de doña Angalo y doña Maria Beltrón Gallort, un ánfora romano, pescada moterialmente a primeros del mismo mes entre los costos de Ibizo y
Denio, donde debia yacer o unos 300 o 400 m. de profundidad (1).
El curioso hallazgo fue divulgado en unos no los de la prenso diario
de aquellos fechas, notos que constituyen lo único escrito sobre di cho pieza hasta el presente (2) .
El estado de conse rvación del ónfora es perfecto, si bien lo superficie apareciera extensamente cubier ta de concreciones diversos,
que hocian imposibl e todo inten to de lec tura de 10 estampillo o estampillas qu~ las osos pudiesen presentar . Por fin, grocios o un
traba jo de minucioso lavado y desincrustación, rea lizado por los
técnicos del SIP, han aparecido est a mpillas en ambas osas con posibilidades de lec tura, Jo cual, o su vez, permite ilustrar con algu nos datos lo procedencia y época de lo pieza en cuestión.
(1) Dos ónforos d el mismo tipo, hollodo~ en poroje n.") muy d,Slanle Urente
al monte Alvedró, de Ibiza}, a unos 500 metrO$ de profu ... d idad , figuran desde
1943 en b coleccion Que dan Salvadar Morota pO$ee en el Grao d e Va lenc ia.
(21 B. BONO y BARBER: "El á nfora romana pesuda en aguas de las Islas
Baleares por e l ?eSQuero valenciano "Tio Pona", ha pasado 01 Museo de Prehis to_
ria de nuestra Dipu tacióo" , en el diario "Levante", de Valenc io, de 21 de jul,,,
de 1952.
-
225 -
[page-n-290]
2
S. MARINER BIGORRA
Por su formo (Ióm. 1, 1), corresponde 01 tipo 20 de lo closifica -
ción de Dressel. Mide 0'73 m. de ol turo; lo longitud del circulo mó ximo ~s de 1'9 m. Los diómetros exterior e interior d !! lo boca, O' 11
y O' 1 m 'I respectivamenta. A 0'6 m. d e ésta presento un pequeño
orificio circular de 0'007 m. de diómetro, que parece practiccdo
desde ontiguo. De se r así, 10 utilidad que pudo tener en un ónfora
de transporta es dificil de pf(~cisor . Cabe sospechor, pe:-o si n posor
de sospecho, que pudie ra emplearse para el vaciado de olguno por.
t e liquido del contenido (¿poso de aceite? ¿sal licuefacta?) qu e can vanio que no se mezclara con lo mercancía Que se vociaba por lo
boca.
Su copacidad (90 litros) corresponde, sólo aproxi modamenle, o
7 urnac romonos (en coso de que hubiese cont ·~ nido liqu ido) o o
10 modii (Si s~ toman los med idos poro áridos) . Vocio peso 31 .500
gramos.
Los dos osos oparecen estompi llodClS con morcas cuyos let ras corren en el mismo sentido: de izquierdo o de recho paro quien ve el
ánfora tal como aparece en lo lámina J, l . La d~l osa izquierda
(Ióm . 11, 3) es mucho menos legible que la del osa derecho (1 .
6m
11 ,2); con todo, parece que ambos se obtuvieron con lo mismo im pronta, dado lo identidad de dimensiones de los rectángulos que
encuadran los le tras (0'055 x 0'0 17 m .). Estos tienen también en
uno y otro oso lo mismo altura (0'005 m.) y di sposición :
F
S
e
I M
N I A NI
es to es, f (u"di) Scim"ia"i.
En lo porte opues to o lo que presento en lo lamino 1, 1, el c u ~ lla
ofrece (16m. 11, 1l. uno V gror1de, inci so, 01 parece r, antes eh lo cocción (0'055 de altura x 0'045 m. de ancho). Lo signi ficación de este
signo es dificil de precisa r; parece que no cabe pensar en lo inicial
de u (inum) como indicación de con ten ido, pues es común lo opi niÓn de que estos ánforas de lo' Bético, y muy particularment e los
del presente t ipo 20, se d edi caban 01 transparte de acei t e! o de lo
sa lazón llamado garum (3 ), o 101 vez también 01 de aceitunos, que
(3) J . SONSOR: "Los pueblos antiguos del Guadal Quivir V las o1far e,io$ '0·
monos", Revis to de Archivos, Bibliotecos V Museos. Mod rid, 1902, pág. 22.
-
226 -
[page-n-291]
NOTAS DE EPIGRAF IA VALE NC IANA
3
lo Bético exportaría yo entonces en importan t es cantidades (41Tal vez se t,rote de uno indi cación numeral, referente 01 lugar que
pudo ocupar esto ón fora en tre otros semejantes; o si, como parece
mej or, se lo supone incisa antes de lo cocción, puede ser la marca
perso nal del alfarero que lo fabri có.
Hasta lo hcho no se han descubierto otros señal es marcados
o incisas; n i tampoco ha sido posible apreciar si es ta ónfaro, como
otros ejemplares conservados, tuvo pintado en su superfici e alguno
ind icación sqbre su procedencia, dest ino, conlenida, navieros, peso
de embarqu2, etc.
Lo es tampilla f( undi ) Scimniani y ot ros si milares - f (unda)
Scimniano, fig(lin ae) Scimnianae- , estón abundantemen te docu mentadas (5).
8.
ii IVN'M.LISSI
E. T M ELlS5E~
6/
12
r SCiM
Il
f ig.
Ir SCIMV1 ¡
NI!
~
1.·-Mor~
NIANO
del taller de Scimnius (segun BonSOfI.
Corresponden estos marcos a una alfarería establecida junto o
Eci ja -osi admitiendo lo interpr2tación dado de Jos letros pintadas en el fragm ento C IL XV 2, 1 fig(linae) Scimnia nac As[ ti giJy concretamente, según Bonsor, en lo estación Los Delicias, o cinco
kilÓmet.ras de aquella ciudad (6) . Véase lo figu ro 2.', Con lo ubiccd on de los disti ntos alforeríos de dicha estación s2gún Bonsor.
(4) E. THEVENOT; "lo slo t,on ontiQue de$ Bo!ords Q Nuil$-Soinl-Geo,g",s
ICó le-d'Or)", Gallio, 1. VI, Poris, !950, pp. 289-341, especialmente pag. 300.
151 PAUlY_WISSOWA: "ReolencyklopOd",•.. .'F, .. A col. 820-821 y X col.
1.054. Véase asimismo en lo f,guro l." una reproducciÓn de algunos de dich ..n
morcQ'S segun figuran en lo lámina XXXII! de !Q'S l¡slOS de J. BONSOR; "The 0'choeologico! ex~di l ;on olong the Guadalquivir", trod. de Claro L. PENNEY, Nueva
York, 193!, especiolmenl e lo numero 83 que, aunque incomple to, parece corres··
ponder o la nuestro, sobre lodo por lo formo complicodo del punto Que aparece
después de lo f .
16) J . BONSOR; Ob. cit. en noto onterior, pp. 15-16.
-
227-
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S. MARINER BIGORRA
4
Lo duplicidad de denominación, fundus y figlina. permite sospechar que la figlina en cuestión fuese port e de una gran propiedad agrícola, del t ipo que menciona A. Grénier (7) : "ar ces gronds
propriétoires ne son t pos des industriels spéciolisés. Les omphores
- ()1'f< 'c,i. ~
(
2
SED' - 11 VI TVS
·I" L
"
t...
I VCVNJ>/VS
p·S · TVSCVS
'"
.....
FE.L./X
- .1
M.f.LlSSVS
5/LVESTfR.
'!>
~
SCLMNIANVJ
~
V)
.,
p.S. AVITVS
f\
(;.ERMANVS
I~
MEC.·--
Flg. 2,o_Ubicaclón de alfarerios
Q
orlllos d el Genil (~egun BOMor).
ne son t que ,'une des productions de leurs domoines. Un gran doma ine o ses f igli noe pour ]'écoulemen t de ses produits noturels. Lo
fabricatían des om phores es t un succédoné de lo cult ure de lo vigne, de lo fobricotion de I'huile, de la production des céréales" .
(7) A. GREN IER: " Ard..eologie Gollo-Romoine", Vol. VI del " Monuel d'A~ _
chéologie Préhistotiql>e. Celtique el Gollo- Romolne" de J . DECHELETIE, Porís,
193<1, póg. 628.
-
228 -
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NOTAS DE EP1GRAFIA VALENCIANA
5
El nombre del propietario en esta época, Scimnius, es dado como ibérico por Keune (8), aunque con alguno reservo : "Der Nome
5cimnius scheint iberisch zu sein" . Parece, con todo, mucho mós
probable que se trote de uno grafía incorrecto, bien que no sorprendente (los e jemplos de i por y abundan en lo epigrafía hispo no y, sobre todo. en lo onomástico, según puede comprobarse con
uno sencillo ojeado 01 Indice gramatical del C IL), de Scymnioni,
ad jetivo onomástico de ascendencia griego ( !: ~ IIIl ~ ", = Cotu tus), atestiguado en los formas Scymnus, Scymnis (fem .) y Scymnionus en lo onomóstica latino (9) .
Lo actividad de este tall e r con tal nombra, parece que ha de
fEchorse en lo último mi tad del s. 11 d. e, dado Que todo lo producción a mon tonado en el Testoccia se sitüo entre 140 y 25 1 de C.
( ID) y que pronto aparecen ánforas con dos estampil las distintos,
uno en codo oso; en uno de ellos se mantiene lo morco en cuestión,
m ientras que en lo otro se lee el nombre de los probables sucesores de Scimnius. o saber, lunjj Melissus et Melino (11).
Lo difusión de 105 piezas d e dicho foctoria fue notable. A loo;
ejem plares reseñados por Keune, numerosos en el monte Testaccio
(CIL XV 3168, ron nuestro mismo morco y otros con f (undo) Scimniono), algunos en Germanio (Singerbrück om Rei n, Meinz), uno,
incluso, en Inglaterra (York) (12), ha venido o agregarse esto magnífico pieza completo, perdido, seguramente, en su transporte
desde Hispon io o lo capital.
B).-Frogmento de ánfora.
Guardo tamoién el propio Museo del SIP desde el 8 de junio de
1954 el fragmen to superior de un ánfora del mismo tipo 20, pescado unos díos antes de lo indicado fecho en el mismo paraje qu~
lo anterior y por los mi smos equip05 pesqueros, algunos de cuyos
componen tes aseguran haber extraído en otros ocasiones otros
fragmentos de ánforas, a lgunos con estampillas, que, por su escoso
tamaño, devolvieron 01 mor .
181
(9)
PAULY-WISSOWA: Loe. ci t. en 0010 5.
J. PERrN: "OnQll1O$ticon tot;us 10Iinitotis", Potovii, 1920. s. v. "Scym-
nus" .
(la)
(11)
(12)
A. GRENrER : Ob. cit. en no to 7, pág. 606.
A. GRENIER: Ob. cil . en noto 7, p6g. 630.
A. GREN IER : Ob. d t . en noto 7, 1. U. c.
-
229 -
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6
S. MARINER BIGORRA
El qua nos ocupa, en cambio, comprende la porte mós impor tan te y significativa del ánfora (Ióm. 1, 2 ); fuero de lo copacidad,
peso y altura, las demás caracte rís ticos d~ 10 pieza pueden perte,~om ente de terminarse o reconstruirse o base de lo conservado: círculo móximo, 1'9 m.; di óm , exterior d e 10 boca, 0'16 m.; ích?rn
in terior, 0'1 m .
Ambos osos presentan lo morco de origen en letras capital es
(altura medio : 0'0 1 m.) grabados en relieve, 01 parecer con lo mi smo estampilla, Que corre en el sentido del asa desde -el cuello hacia
lo porte inferior (longitud: 0'085 m.), es trechándose un poco (de
0'018 o 0'0 12 m .) desde uno O otro extremo. Los bordes mayores
son rectilineos; los de ambos extremos o fllccen formo arqueada . Las
marcas están grabadas en dirección apuesta, de modo que siem pre
queden leg ibles (e. e., "de pi e") las le tras de lo morco que el observador tiene a su derecha.
Lo marco del oso de lo izquie rda para quien ve el ánfora como
en la ló:-nina 1, 2, apareció libre de concreciones, pero con las le lros
muy gastadas por la humedad y roce (Iám . 111 , 1). Lo de la derecha, en cambio, na ha sido legible (Ióm. 111, 2) hasta después de
librada de una espesa red de concreciones que cubrían la estam ·
pi lla.
La identidad de formo y dimensiones de ambas estampill as, asi
como del t ipo y tamaño de sus letras, conduce a pensar, como ya
se di jo, que estón obtenidos con la mismo impronta. De la combi nación de los letras que parecen seguros en el oso izquierda
F CVF
con los también ciertos de lo der2ch ....
LF CVF
y la resti lución de los rasgos que aparecen después de una y otra
F, se ll ega o lo lectura (letras dudosas, en negrito):
LFCCVFS
coincidente con el número 2594 o del Cl L XV 2.
Esfa morco y otros con variantes en los letras que aparecen
an tes de lo segundo e y después de lo segundo F, pueden verse
agrupadas, pOr contener el elemento común CVF (en algunas sólo
CV). en los núms. 2587-2603 del citado vol. XV del CI L, dedicado
a las ánforas del mon t e Tes taccio.
-
230 _
[page-n-295]
7
NOTAS DE EP IGRAFIA VALENCIANA
El origen hispónico de estas marcas porece también indiscutible . Bonsor (13) regis tro cinco morcas con -el elemento CVF en lo
estación d e Lo Dehesil la, y otras dos en El Cas t ill ejo (fig . 3."), uno
de los cuoles (núm . 22) no tiene ot ra diferencia con la nuesfra qu ~
el presen tar invertida lo S final. Según Bonsor (14), ambas alfarerías ribereños debieron de pertenecer a Jo mi smo empresa .
Dressel (15) deduce, de la comparación do! todos las estampillas que contienen CVF, que en el con junto aparecen designados
tres nombres de dueños. Nues tro morca corr-esponderío al primero
de los propietarios por él indicados, Cresce ns. Lo in t upretación d~
,_'-_ ~ ?ALM" DEL nlo
1
0
S
40
.
~--------~--------~I
I
,_
Flg. 3.a_ EI Guadalquivir de-sde PO$Odos (onliguo Delumo) h01ilo su confluencia
con el Genil, con lo ubicación de los e-s lociones de Lo Oenesillo v Castillejo (según Bon$Or).
CVF es problemótica. Basandose en un posible adjetivo Borcufiense.
registrado en dos inscripciones pin tadas en anforas del mismo T estaccio (3977, 397 8), Dressel sugiere lo adm isión de un opus Cu f(iense), si n ulterior explicación . No he hallado otras alusiones (1
estas vocablos fu e ro de los del Thesourus L. L. (16), que recogen,
si n mas, 10 sugerido por Dressel.
El desciframiento de esto marca, L(ucius ) F(?) C(rescens) CU!f (iense) 5(?), qu edo, pues, por ahora, lleno de inte~rogantes de di ficil solución.
(\3)
(14)
( 15)
(16)
J . BONSOR : Ob. ci t . en noto 5, lomino XXXI .
J . BONSOR: Ob. ci t . en nOIO 5, pag. 9.
CIL, XV, póg. 495.
"Thesourus L. L.", suppl. fose. IV, col. 139.
-
231 -
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8
S. MARINER BIGORRA
11
EL EP ITAFI O DE URSA
En el volumen 11 de este Archivo, correspondien te 01 año 1945,
y en un articulo d e don Mariono Ja rnet, benemérito i nv~s t igodo r
de lo arqueología de Bélgido, sobre antigüedades de aquello comarco, se do cuen to del ha llazgo de l fragmento supe rio r de una lópido sepulcral (Iám. IV, 4) (11 ). A uno bueno fotografía de lo pieza
acompaño uno transcripción y lectura pub li cado por e l cron is ta de
lo provincia, señor Mor t ine z Aloy, a bose de un ca lco que o t a l
efecto se le remitió (18):
D(iis) M (onibus ). I Urso, on (norum) XVIII! I h(ie ) s(ita ) e(st)
oera (rio) s (vo).
Por no pa recerme del todo satisfac toria lo suposición de que,
en la lópida de uno joven de 19 años, pudiese constar que se te
dedicó un epitafio con su propio dine ro (aparte de qu e e l vocablo
aerorium es impropio para designa r los bienes de un particu lar)
( 19), he creído convenien t e inten tar una revisión de dicho texto o
lo vista de lo lápida, que se guardo hoy en 110 vitrina núm. 5 de los
ins taladas en el an t iguo Palacio de la Diputa ción de la plazo ::Ie l
Te mple. De paso, procuraré dar algunos características de lo pieza,
que no pudie ron consignorse, como es natural, en e l artícu lo citado
por haber trabajado el señor Mortínez Aloy, cuya in t,erpretoción se
transcribe, sólo o base de un calco, según he indicado yo.
T rátose del frog m ~n ta superior de una lápida cuadrado o rec ·
tangu lar de mármol rosado, con escasos ve tos lineales de color a zu l
obscuro. La coro inscri to ofrece uno superf icie perfectamente pulimen tado; lo opuesta, fue también alisado, s i bien co n menos esm ero. De las dimensiones de lo pi edra dadas por el señor Jorne t en
el artícu lo ci tado (0'22 x 0'275 x 0'035 o 0'02), lo prim ero, correspondiente a lo longitud, se refier-e 01 borde derecho; e l izqu ier-
(11[
M. JORNET PERALES: "Prehistorio de Bélgido, 11", Archivo de Prehis to11, Valencia, 1946, pp. 266-261 '116m. IV, D.
(18) J . MART INEZ ALOY: "Noticiario arqueológico (Lo lópido romano d I!
Olas[", en el diario "Los Provincias" de Valencia, de 29 de oc tubre dI! 1914 .
(19) "Thes. Llng. La!.", 5. v.
ria
L~nti.no,
-
•
232 -
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NOTAS DE EPIGRAFIA VALENCIANA
9
do mide 0'2 m. y lo máximo del fragmen to es de 0'23. Lo variación en el grueso corresponde 01 decrecim ien to de d icho d imensión
desde el borde superior hasta lo supe rf icie de frac tura .
Lo inscripción que, por 10 forma de sus letras, especial men te
los M, A y R, cabe si tuar en los ú ltimos t iempos del paganismo.
presen to no pocos irregularidades en cuan to o lo dist ribución de lo,>
d is t in tos reng lones en 10 superf icie de lo lápida . Así, en los márgenes, de los que sálo el superior es cons tan te (0'0 18 m.), y aun ello
no .es muy no table, porque el pri mer reng lón se compone de sóJo
dos le tras. Lo variación en el derec·ho (de 0'08 m . en los dos pri meros renglones o 0'0 16 m. en el cuorto). pudo estor motivado por lo
di stinto longi tud de lo inscr ito; lo del izqui erdo, en cambio, qu e va
decr.eciendo o medido que ovonza el texto (2.0 r., 0'03; tercer reng lón, 0'021; 4" r., 0'025) no se expli co más que por inhabi lidad o
descu ido. Asi mismo, lo d istancia entre algunos le tras rompe lo un i.
form idod : osi, -en el r. 2.- lo que sepa ro lo R y lo S de VRSA (0'022
m., en ton to que en tre V y R median 0'0 15 y entre S y A 0'0 16).
El tamaño de los le tras es también varian te : de jando aporte lo S
de AERAS, grabado intencionadomen te con dim ensiones menores
que .Ios demás (0'02 m.J, hoy osci lación no sólo en tre las le tras de
renglones distin tos (rr. 1 y 2 : 0'033; r. 3, 0'035 ; r. 4, 0'039; do lo
impresión de que el tracisto fue oumen tondo el tamaño según iba
viendo Que tenia espacio suficien te), si no aún entre los de un mismo r.englán : osi, en el 3", los les del numeral de los a ños crece n
ostensiblemen te par el mismo mot ivo, pues dicho numera l rebaso
por este lodo izqui erdo el espacio que en el renglón an terior ocupo
VRSA, lo cual perm ite fácilm en te este notorio aumen to de tomoño
de los ú lt imos signos (hasta 0'04 m.l.
Es tas irregularidades, unidos o la estridente presencio de uno
ho jo ' de hiedra en t re dos let ras de un m ismo vocablo -A y N d ~
AN( norum)- hocen pensa r qu e e l grobador de Que dispusieron los
fam iliares de Ursa o ero bastan te inhábi l, o no puso mucho esmero
en la e jecución de su toreo. Y esto inhabi lidad o fal to de o tenció,
ha brá de tenerse en cuen to a propósi to de los incorrecciones Que
supone en el texto de lo lópido lo interpretación Que mós adelante
propondré; incorrecciones de más fócil explicación en uno inscripción de texto poco cuidado, como es lo presente.
Uno separación anormal de letra s, que aparece en el renglón
afectado por la fracturo, merece uno mención especial. El texto del
señor Ma rtínez Aloy do en dicho renglón uno A y dos trozos más,
-
233 -
[page-n-298]
10
s.
MARINER BIGORRA
cuyo interpretación debió de parecerle incierto, coso natural, pue'i,
justamente por estar en la extremidad del colco, no debió de reflejorlos éste con suficiente fidelidad. En cambio, lo lópida permite
dar Iy creo que puede tambien corroborarlo 10 fot0grofía adjunto)
como muy probable un comienzo MA. Lo fracturo sigue el trozo iz quierdo de 2510 u1t ima letra y doblo luego en sen tido casi paralelo
01 borde superior hasta el centro de la lópida, en que presen to una
muesco hocio el in t erior de ésta. Ningún resto de let ra aparece en·
tre lo A y la m uesco; como seo que, según pU2de apreciarse en lo
fo togra fía, la fractura corre aqu í más abojo del lugar o ,donde hu bieron debido alcanzar los extremos superiores de los letras de este
reng lón, se puede concluir con seguridad Que no hubo letra alguna
en el espaCio de referencia. A lo derecha de lo muesco, oporeca
también uno le tra: con gran probabilidad, uno T . Suponiendo para
lo A una anchura como lo Que t iene en VRSA, entre dicho letra y
lo T mediaría n 0'04 m., d istancia Que casi duplica la sepa ración,
ya en sí anorma l, Que se vio antes entre la R y la S de VRSA. Es
cierta que dicha diSltancia se vería ocartoda suponiendo Que 10 muesco en cues tión corresponde a lo parte superior de uno letra. Pero
ésta difícilmente pudo ser otra que 1, dada el exigua espacio que
medio entre ello y la T siguiente; o lo sumo, cabría admitir la pa sibi lidad de una L; tocios las demós letras, cuya parte superior cons ·
lo de a lgo mós que de un solo trozo vertical , quedan excluidas porque no aparece ningún resto de dicha porte superior o ambos lodos
de la muesco. Aun así, pues, lo distancio entre lo A y esto supuesta letra 1 o L serio notoriamente exagerado en comparación can 10
que separado lo M y la A, supuestos en el comienzo de este ren glón .
Obsérvese, em pero, que lo m uescu en cuest ión aparece rodeada
en ambas caros de la lápida por un declive, Que no parece natur:::ll
y praducto de lo fracturo, pues se presen to pulimen tado, especia lmente el de Jo cara anterior. Por ello pienso que se trotó adrede d~
practicar un orificio en este punto central de lo lápida, orificio
destinado bien a la aplicación de a lgún adorno me tólico, bien a lo
penetracián de algún soporte que fijaria la propia lápida. (Lo existencia de tal or ifi cio yo antes de lo fracturo pudo ser caUSa de que
ésto se realizoro precisamente en esta porte de lo piedro) . En esto
suposición, la distancia que medio entre A y T halla uno eXRlicación plausible: se habría dividido el vocablo que debía grabarse en
-
234 -
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11
NOTAS DE EPI GRAFIA VALENCIANA
este renglón, escribiendo antes del orificio la primera sílaba, MA .
y continuando después del orificio lo segundo parte del vocablo.
En esta segunda parte, la fractura, después de la T, va pen~
trando en la lópida hasta poca mós o menos lo mitad del espacio
entre la T y el borde derecho; a partir de dicha mitad, vuelve a ole jors~ de l borde superior. El lavada de la lópido eliminó de su superficie todos los concreciones, si las hubo; la superficie de fracturo
aparece también libre de ellos, excepto en das porciones que .s iguen
o lo T . Creo que estas concreciones han podido persistir precisamente porque allí coincidieran con la fractura las incisiones hori·
zontales correspondientes a dos letras. Y, como seo que o lo derecha de la segunda de dichos supu estas incisiones la frac tura pero
mite ver, según se ha dicho an tes, más pa rte de 10 lápida y en ella
no aparece señal de let ra a lguna, ,infiero que son .sólo dos los letras qu~ fal ton después de T. Y, en consecuencia, sugiero para este
renglón lo lectura MA TER, res tituida según aparece diseñado en
lo figuro 4 .
D
~
M
'VRSl\
f\ ,N ~X \l1lf[
H1S ~f,A[I\AS
Fig. 4."_ EI epitafio de la 1
6m. IV, 4, completadas las lelrQs de
lurado.
SLI
renglon frac·
Ello me obliga a ver en AERAS el nombre de lo madre de Ursa.
Dos dificultad es plantea esta suposición . Una de ellas es fócilmen te obvioble, a saber, lo fa lta de ortografía que supone lo A del comienzo. Creo, en efecto, que este nombre es uno de tantos derivodos de · 11 p.. frecuentes en la anomóstica griego y latina : He·
rai, (muj er), Hera (varón y muj er), Hero, (varón), Herosius, etcéte _
235 _
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12
S. MARINER BIGORRA
ro (20) . Lo grafía AeTos por He ros no -debe ext roñor. Dos motivos
de índole distinto pudieron causarl o: el parecido del trozado de
A y H; y la equivalencia que antes del i racismo griego debió darse
en t re oe (pronunciado e largo y abierta) y lj (e largo y abierto
también) . Prescindiendo de otros justifican t es de es to equivalencia,
numerosisimos, citaré justamen te uno muy o propósito en el 'Pres~"
te caso: lo adaptación en lo mitología romano de lo advocación de
- ll pII Y. llp l ll o - lI p~ y."úp~
seescribió normalme nt e AeraCura (21) .
No hallo solución ton satisfactorio lo segundo difi cultad aludido, a sober, qu e Aeras (esto Si el texto no contiene aquí errata alguna del lepiciclo (así, p. e" el
olvido de uno I an tes de S, grabada a menor tamaño, resolvería
todo cuestión con la lect ura Ae rois) y si no hay que in t erpretar
que la ma nera de escribir esta S a utorice a suponer una abrevia tu ra (Aerasia a Aerasiona eliminarían tambien la dificultad), parece
que no qu eda mas remed io que adm itir aquí una d e las e)(cepciona les aplicaciones de un nombre de varón a una m uje r.
Es cierto que el indice onomástico del CIL 11 señala un caso de
He ros como nombr~ de muj e r y precisamente _en la región levanti na (6038, epi taf io leido por Chabret en Benicalaf) ; pero no sin salvedades (lleva la indicación correspondiente a las lecturas no bas tante ciertas o de e)(plicación dudosa) _ En efecto, el texto del epitafio
HERAS DIDiAE . F . eRA ...
DIDIA . L . L . MVRTlS
L . 010rvS FVSCVS
AN . XXVII I H . S S .
no permite uno discr iminac ión segura o es te respec to. Admitiendo
con Hübner que, errore quodrotorii, el s~ gundo vocablo seo Didioe,
con lo cual Heros resulta, probablement e, hijo o hi jo natural (dado
su filiaci ón por el nombre de la mad re) (23) de L, Didius Fuscus y de
su liberta Didio Murtis, precisamen t e es to condición de ilegitimi dad quita a lgún valor (24) a la falta de pro enomen ante Heros,
(20)
1211
(221
(23)
1241
J . PER IN : Ob. cil . en nola 9, $. v.
" Tnes. ling . lal.", 1, cal. 1.052.
J . PERIN: Loe. cil. en nata 20.
J . CAGNAT: "Cours d'Epigroph ie La Tine", Par;5, 1914, pOg. 61.
P. BATLlE HUGUET: "Epig ra fia la tino", Barcelona, 19-'16, pp. 31 y 35.
-
236 _
_
[page-n-301]
NOTAS DE EPIGRAFIA VALENCIANA
13
(mico indicio de que se trote de uno muj er, pues nodo cabe deducir
su eognom en, fragmentado.
Lamento no podu dar un argumento más comproban t e poro
lo admisión de Aeros como nombre de lo madre de Ursa . Creo, en
efecto, que se reconoceró lo absolu to adecuación que con uno de
los estructuras corrientes en los epitafios ofrecería, de ser admiti dos mis conjeturas, el t ex to que propongo :
d~
D(is) M(anibu s) I Ursa I an (norum ) XVII 11 I h(ie) s( ita ) e( d ).
Acros I moter I [filiae pi entissimae et obseque ntissimae J .
Lo dimensión de l suplemento puede \lariar o tenor de lo ex tensión que se concedo o lo porte inscrito en el fragmento desapa recido. Mi propuesto de un suplemento bastante largo estribo en
que supongo practicado el orificio y partido lo lápida aproximadamente por su por te c-entroL
111
EL EPITAFIO DE FULVIA FILENIS
El num o 197 de los inscripciones hisponos publicados por Hübner como continuación del Supplementum del ClL ti (25) es un epitafio leído aceurate por el médico de Sogun to don Francisco Cho bret en 1892, con el siguient e texto:
D M
FVL
FILE
NIOI
AN
NOR XXII
ZOTICVS
MARI TVS
VXORI
KARISSI
ME
(25)
FIDELlSS
Berlin , 1897, pág. 96.
_
237 -
[page-n-302]
14
S. MAR INER BIGOR RA
I
!
=dO
c.m
F,g . 5·- O ,seno d e Un cako del epi.ofio de Fulvio Filen!,.
.
-
238 -
[page-n-303]
NOTAS DE EPIGRAFIA VALENCIANA
15
Con post e rioridad, se han dado lecturas de este epígrafe que
difieren de lo an terior (26) .
Debo 01 erudito conocedor de lo historio de es te re ino, don Em i~
lio Lluch Arna l, lo ubicación preciso de esta pieza, que, hollado
en Nules según los Additomcnto 01 Corpus, se encontraba en Villo ~
rreol según Sorthou y habría sido trasladada, junto con otro, o Bu rriono, según el P. Fito . El cipo hállase hoy en el jardín de lo caso
de don Vicente Pujol en Villarreal, núm . 18 de lo calle de Polo de
Bernobé.
He de agradecer o lo amabil idad del señor Pujal y de sus fami liares los facil idades que me reli eron poro verificar una lectura de
uisu del texto en cuestión; cl'eo que lo fotografío qu e con es to ocasión saqué (Iám . IV, 2 y fig. 5) compruebo suficientemen té que la
lectura acertado es lo de Ghabret; así que no haré mós que mencionar o modo de uoria lec:tio los discrepancias de Sart hou y Fita :
Renglón 2 : UPVE (Sorthou) ; IVL (Fito); FVL (Chabre t) . PHILEV (P y H en nexo, Fito ); FILE (Chabret y
Sorthou ).
Renglón 3 : UM (Sorthou); AN (Chobret y Fito).
Renglón 4 : MOR (Sorthou ); NOR (Chobret y Fita ).
XXIII
(Sorthou); XXIIX (F ito); XXII I (Chobret).
Renglón 5: ZOTIEVS (Sorthou); ZOTICVS (Chobret y Fita).
Renglón 9 : FIDEUSSI (Fito ); FIDELlSS (Chobret y Sorthou).
Renglón 10 : (inexis tente en realidad) ME. D. S. F. (Fito ).
Unicamente en el renglón 3, donde no vi el punto entre I y A, y
en el r. 4, o propósito del numeral, cr20 modificable la lectura de
Chobre t. Es cierto que no debe sorprender Ja gra fía XX II X, que vie-
(26 ) C. SARTHOU : "Uno lópido ramo no en Villo rreol". Rev isto de Cos telló" ,
Año 11 , nUmo 38. pÓg . -l. Cos tellón de lo Plof)o, 30 de sepT
iembre de 191 3.
F. FITA: "Lapido ib-erico de Cobones '1 ramonos de Almenoro, ViUorr eol V To_
rrogon.o", BoleTín de lo Reo l Acad emia de lo Hislorio, r. LXIV, Modri d, 1914, piIgi nos 193- 20 2.
V. FORNER T IGELL: "Uno colonia fenicio en el lermino de B.... rriono", BaleI;n de lo Socif"dod Cas lellonense de C.... It .... ' o, XIV, c." 111 , Coslellon de lo Plono,
1933, pÓg . 255, recOge el leXIO del P. Filo.
Los tres o .... rores ( ilodos debie,on de (Orecer de infor mación acerco de 10 lectura de Chobrel. El P. Fila trobojó sólo !-Obre .... n calco.
-
239-
[page-n-304]
16
S. MARINER BIGORRA
ne supuesto por el texto XX II , dado por él, paro duodetri ·
ginta; pero, aunque no es sorprendente, no dejo de ser anorma1. A
mi ver, lo que se ha tomado aquí como signo J no es sino la estrio
profundo, producida en una veto que corre en sentido vertical desde
el comienzo de lo porte superior O~ lo .piedra o lo inferior de la inscripción. El incisOr habría dejado ¡ntocto este espacio, y grabado
más 0116 de él uno X que aparece fragmentado por desgaste de l
borde derecho. Eliminando, pues, e l supues to segundo trozo verti cal, quedo lo grofio corriente XXIX.
Mi con jetura requiere que lo es tría ex istiese yo en lo piedra
cuando se grabó la inscripción; y qu e realmen te, el incisor soltara
el espacio averiado. Creo que una demostroción de que uno y otro
' coso son probables, la do la separodon en t re lo N y la I de NIDI
en el r. 3 : e nt re a mbos le tras medio también uno estrío, Que ca ·
rre desde e l barde superior del cipo hasta lo V inicial de l r. 7. Ello
habr ía de t erminado que lo d is tancio de N a I seo claramente mayor qu e lo que separo los demós letras de aQuel renglón, según
puede comprobarse en lo fotogra fí o. Obsérvese ta mbién quz, al grabar KARI SS IME, cor tó la palabro, pese o tener suf iciente espac.o
(si no hubi ese debido evitar lo estrío) para M y E en e l m ismo ren glón .
Ta mpaco me parece que los anaglypha q ue adornan la porle
superior del monumen to szan los que do e l Cll: un tr ióngulo ent re
dos círculos. Poro mí no hoy circulo n inguno; y en lugar del tr ióngula, una lín ea q uebrado en fo rma de M invertida (figu ro 6).
r VV]
.
.
Fig. 6."- Diserio del ocIorno en lo por te superior del epitofio de lo 1
6m. IV, 2.
Hoy también discrepancias respecto 01 moter:ol de l cipo : ex
lapide colcarío, según lo obra de Hübner; "de piedra mórmol gris",
según Sarlhou . Creo que se tra to de un mater ia l de mayor dur~zo,
lo que explico la irregularidad de la supe rf icie inscrito ; para mi,
salvo el m ejor parecer de los en tendidos, un basalto,
_
2'10 -
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NOTAS DE EPIGRAFIA VALENC IANA
17
Los dimensiones (que el Cl L no do) aparecen equivocados, por
errata, ton to en 50rthou como en Fito; hoy mide lo pieza 1'015 x
0 '41 x 0'45 m. de a lto, ancho y grueso, .respectivamente.
Los noticias que do 50rthou acerco de los diferentes vicisitudes
del c:ipo pueden ser ciertos; no así su con jetura acerco del posible
hallazgo de la pieza en el ex convento del Carmen de Vlllarreol :
según Ghabret, el monumento no pasó a poder de don Santiago
Pujol y familia desde dicho conven to, sino que fue hallado preciso.
mente en una finco de dioha señor. El t raslada del epitafio o Bu·
rriono, consignado por el P. Fita, parece que no puede comprobarse.
En cambio, son vólidas los explicaciones acerco del nombre de
Z otieu s y d ~ la difusión de lo onomóstico griega por lo cos ta levantino, dados por el P. Fita en su ar t ículo. En
tambié n griego (i\l 1J,.otIHd de lo mujer, no documentado en lo
epigrafía hispano en lo época en que se redactaron los índices onamas ticas del Supplementum del ClL 11 , puede ser de inte rés no tar
qu e se le cane::e ahora atestiguado ta mbién en uno lápida de 50gunla (21) : Aemilia M{arei ) I(iberta ) Phila enis, en donde di cho
nombre aparece escrito con perfecta ortografía, o diferencio del de
nuestro inscripción.
IV
DOS EPIGRAFES DE VILLALONGA
Dos inscripciones latinos he tenido ocasión de ver recientemente en Villalonga, gracias a uno indicación de mi buen amigo don
Jase Pavía yola deferencia de su~ familiare s
Una de ellos (¿inéd ito?) es un fragmento de un paral elepípedo
(Iórn . IV, 5) de mórmal rosado con vetos en f"orma re ticu lar, bien
pu lim en tado por sus cuatro coros la terales. La base supe rior está
fragmentado en sen t ido convexo; lo inferior, en cambio, ofrece uno
concavida d. Esto y el hecho de que debajo del último renglón con servado de lo inscripción queda un margen mucho mayor (0'05 m.l
que lo interlineación (0'01 5 m.l podrio hacer pensar que el frog .
127 1 J. SANC HI S SIVERA: "Epigrafía romana-valenciann". en "Lo D,óce'l15
Va!en lir>CI, E~ l ud ,O$ h's lóricos", Ana les del Inslituta General y T ecnico de Valencia, va l. V, nUm. 2 3, Valencia, 1920, pp. 31-198, lapIda rUmo 212.
-
24 1 _
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18
S. MARINER BIGORR A
men to corresponde prec isamen te o la par te inferior de lo in scripción; hoy que notar, con todo, q Ui! las bases de ,los cuatro ca ros la terales carecen de regula ridad, por lo que lo mós probable es que
también lo porte interior do? la pieza hayo sufrido algunos roturos.
Apareció hoce unos 30 años en uno finco de don Salvador Escrivá Puig (p::Jrtido de Buixerques de dicho término de Villalongo),
en uno de cuyos mórgenes, orientado 01 E. sobre lo carretera de
Adar, que bordeo el río Serpi s, la vi empotrado en 1 .~ de abril de
1954 (1 . IV, 3). De allí fu e ex tra ído por gestión de mi citado
6m
a migo, señor Pavío, y donado al Museo de l SIP, donde ingresó el 20
de mayo del mismo año.
Los dimensiones máximas del fragm en to son 0'258 x 0'225 )(
0'246 m., los dos primeros en el sen t ido de ancho y alto, respec ti vamen te, del roes to de lo ca ro qu e ll evo lo insc ripción. De dicho co ro
subsiste sólo uno superficie de 0'225 x O' 15 m. , respectivamente.
La follo móximo, como se ha dichc, porece ser por lo parte supe rior; a lo izquierda se conserva un resto de la primera le tra del ú ltimo renglón sufi ciente poro suponer un marg:m de 0'015 m .; o la
derecho fa ho lo última le tra del mismo renglón: puede conje turarse con probabi lidad un margen de dimensión par-ecida, de modo que
lo in scr ipción estorio parfectoment.e cen trado (16m. IV, 5 ).
Esto regularidad en lo simatria de los mórgenes se corresponcie
con otros indicios de que lo piedra procede de un bu en taller y fu e
traba jado con esmero: pulimen tado de las coros, perfecto paralelismo da los dos re nglones conservados, un iform idad en la incisión
de las le tras, en su distribución yen su forma: capital alargado
(altura : 0'048 m.), que puede fecharse entre los ss. I! y 111 d. c:.
La legibilidad, pues, da los dos renglones conservados es pCo'r ·
te::: to, según pueda compraba -se (10 e del r. 2, aunque fragm en tado, es seguro) :
VALERI
CAMPANV
esto es, Valeri ( usJ Campanu [s} , con supl ementos también al margen de todo dudo . Quedan restos de otro renglón, especialmente un
trazo inclinado, s ituado sobre lo E de VALERI, que no puedo a tri buir decis ivam ente a ninguno letra determinado.
Tampoco puedo dilucidar lo índole del monumen to. Con lodo,
la suposición de que los renglones conservados sean los últimos :lf!1
epígrafe me hoce sospechar que no fue de carócte r sepul cra l.
• • •
-
242 -
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NOTAS DE EPtGRAFt A VALENCIANA
19
Del segundo epígrafe o que debo referirme había publicado
dan José Sonchis Sivera (28) 10 siguiente lectura e interpretación:
AR INIV
NVAR IVS
AN LXXXX
H S E
LAELIVS SIN
SIVS P B M
[VJcuiniu(s) rJJanuarius, an (narum) non09into, h(ic) s(itus)
e( st). Laelius Sin(e )sius, p (osuit) b(ene) m(erenti) .
La onomás t ica del epitaf io, así como la interpre tación de los
s ig los f inales, han de ser, en m i opinión, modificadas.
Es cier to que lo lec tura presen to dificultades, pues lo piedra, un
enorme parale lepípedo ( 1'6 x 0'62 x 0'55 m.) de calizo, de color
gris amarillento pálida, que se intensi fica h acia lo parte inferior,
con abundan t es vetos obscuros en formo re ticular, ofrece basta nte
desgas tado lo supe rfic ie que contiene la inscripción; y quizá más
hoy que cuando se verificó lo lectura que aprovecharía Sanchis Si~
vera, pues esta coro está, lamentablemente, >en posición horizon ~
tal, que lo expone mós al desgaste por la lluvia y el vien to (Iámi~
no IV, 1) desde que se d~scubrió en 189 1, al remover unas tierras
en el m ismo luga r donde hoy se encuentra, linde N. de lo f inca propiedad de don Vicente Sast re Alemony, en la partido d e Al teret ,
a l O. de Villa langa. Despues de su descubrimiento debió de in t entarse remediar el desgaste de los letras resiguiendolas con un lápiz,
de lo cua l quedan hoy res tos eviden tes.
Dicha supe rficie no fu e pulimentada, sino sólo ali sada . Las caras la t erales, meramen te allanadas, parecen conservar todavía huellas d el t rabajo del cincel. La base no es llano; ofrece una profun ~
do concavidad en el cen tro, y no tiene señal alguna de haber sido
traba jado . Hoy presenta la pieza quebrados los cua t ro vér tices de
lo cara que con tiene lo inscr ipción, con una fallo móximo de 0'2
m. (vér tice inferior izqui'2rdo) y min.ima de O' 1 m . (ídem ídem derecho). De resu ltas de ello y de un desconchado que corre longitu-
1281 J. SANCH IS SIVERA: Ob. cil. en nota an terior, lápido num o 491 . l a pri_
mero mención de e$la lápidQ se encue ntra en . " EI Archivo", lamo VI , cuod erna
VII, ValencIa, septiembre de 1892, póg. 297, "lnKripdán romana en Villalon,¡a
(Gondia)", con igual lec tura que la de Sanchis Sivera.
-
24 3 -
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20
S. MARINER B1GORRA
JI
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Fig. 7.--oiseño de un calco del epitaf io d e lo lóm. IV, 1 lIos Irat.os di:;conlinuos
feprHenlan por lM de le lras gas tados o fragmen tados ).
-
244 .-
[page-n-309]
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NOTAS DE EP IGRAFIA VALENC IANA
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Fig. 8.&_ RH tit...ción d el epi toljo de la 10m. IV, I (Ie lras wp ,'1<><>'5 en !fOltO pun• ..
leodo) .
-
2'15 -
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2Z
s.
MARINER 81GORRA
dinalmente por el lado derecho, la inscripción aparece mutilado en
los renglones 1 (derecha e izquierda), 2 (ídem ídem), 3 (izouierdo),
6 (ídem) y 7 (ídem) (Hg. 7) .
En su integridad, debió ocupar esta porte inscrita un espacio
de 0'54 x 0'36 rn. Aparece enmarcado por los lodos y fa bose inferior, aquí a bastante distancia (0'285 m.l del último renglón, por
tres estrías profundas. La de lo derecho no deja margen alguno;
los renglones largos (2, 3, 6 y 7) llegan hasta ella. Lo de lo izquierda dejo un margen de 0'035 rn . En el borde superior, muy desgastado, parece rostrearse lo porte izquierdo de uno M, antes de lo
quiebro del vértice derecho. Un rebajado profundo, que no puedo
precisar si fue he~ho adrede o si se debe o occiden te, medio en tre
esto M y Jo que, en mi opinión, debió ser D, simétrico de lo M, )'
ocupando los dos el primer renglón, según ero corrien t e poro escri bir O(is) M(anibus). Si esto conjeturo fuese cierto, lo dimensión
probable del margen superior parece de unos 0'065 m.
Lo interlineación es prácticamente uniforme: 0'05 m . No así el
tamaño de los letras: pese o ser todos del mismo esti lo (capital
!ardío, muy con.taminado yo por rasgos del actuario: v. espec . los
A, B, E, H, M, P y V, probablemen t e del s. 111 d. C.) y calidad (muy
defectuoso), ,los de.los renglones 6 y 7, qu~ contienen los nombres
del dedican t e, son mós pequeños (0'043) que los de los rr. 1-5
(0'058) . Uno V diminuto (0'033) hoy quizós (en rigor, puede ser
un mero desconch~'do de lo piedra) 01 f inal de l r. 6. Es irregular
también la separación entre los letras, algunos de los cuales pare ce que lleguen o juntarse (N y V, I Y V de r.. 3; todos los X del
numeral d2 los años; V y lo letra precedente en rr. 6 y 7) ; otros,
en cambio, aparecen descompuestos, como si, diseñados descuida damente por el tracista, hubiesen sido incisos por el grabador sin
adver tir que se trotaba de trozos que d!bían ir unidos (toles los
0
N de rr. 4 y 6); algunos, por último, parecen mós separados de 1
siguiente justamente poro indicar un fina l de vocablo: osi ocurre
entre S y T de r. 6, 'entre S y P de r. 7 (¿y entre N y lo siguiente de
r. 4?) . No parece, en efecto, haberse usado lo interpunción en es te
epi tafio poro separar los palabras; los únicos puntos seguros, o mi
ver, son los que aparecen después de los siglos finales P, B, M, los
tres o medio altura, como es normal. Otros, dudosos, pues se holla rían algo mós bajos, se rastrean tal vez después de H y S en r. 5
(abreviaturas también) y después del numeral en r. 4 (aquí tal vez
poro ll enar el espacio sobrante) .
._
246 -
[page-n-311]
NOTAS DE EPIGRAFIA VALENCIANA
23
Mi lectura del epi tafio (fig . 8) se baso, según di je antes, en ia
interpretación de los siglas del r. 7. Lo abreviatura en cuestión
(29) acostumbra a interpre tarse p(atri) o p (atrano) b(ene) m(ere n.
ti ). o también p(oter) o p (arentes) b(ene) m(erenti ). Efectivamente,
el p (osuit) b (ene) m(erenti ) de Sanchis Sivera dejo en el aire justo·
mente lo que mós corrientemente se expresa en los dedicatorios:
lo re lación da parentesco o potronatus que une 01 dedicante con
el difun to. (De hecho, yo no he visto documentado tal oi nterpreta·
ción en ninguno porte). Ahora bien: de las cuatro interpretaciones
corrientes, lo úl t imo, p (orentes). es inadecuado en el presen t e coso,
pues precede un nombre de dedicante solamente, mascu lino y en
singu la r. Los demás, que establecen relación de paternidad o po·
tronozgo entre difun to y dedicante, ind inan a pensor que el gen·
ti licio de uno y ot ro sean el mismo. En el 2.° renglón correspond en
o dicho gen t ilicio los siguientes letras seguras (s~ñalo con negritas
los incompletos):
ER EN
VS
En el 6 .", los sigui en tes:
. EN V5
Creo que los coincidencias son suficientes poro apoyOr mi con·
jetu ro de una identidad de gentilicio. Los dos trozos verticales en·
Ire N y V no pueden en absoluto interpre tarse como dos ¡es. De excluir es también todo suposición de que represen ten uno e, pues o
ello se apona lo época del epitafio y el t ener esto le tro la forma E
en ot ros t res lugares seguros de lo inscripción. Ello llevo o observar
que en este epígrafe, de incisión poco hóbil (recuérdese lo dicho
acerco de lo N cuyo segundo trozo vertical aparece desunido en
rr. 4 y 6), algunos t rozos horizon tales fueron ta l vez descu idados
por el grabador, qu izós por coincidir con las lineas que pudieron
es tar diseñados como pou ta. De hecho, la lectura de Sanch is Sive·
ro do como L la le tra que precede o las cuatro X del numeral, y tom o
bién aquí el trozo horizonta l inferior falta . (Esta lectura, LXXXX,
tomando I como L, me parece, rea lmente, preferible o otros in t en·
tos de explicación que cabrío también sugerir: escrituro irregular
(291
J . CAGNAT ; Ob. cil. en noto 23, pp. 4 50-451.
-
241 -
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24
S. MARINER BIGORRA
del numerol undequadraginto¡ error del lepicido, Que habría grabo .
do como I lo que ero el trozo izquierdo de uno segunda N de ANN,
abreviatura de onnorum mós corr iente que AN con una solo N) .
Con je turando, pues, que el pri me r t rozo vert ical después de N en
el gentilicio que nos ocupa sea T y el segundo, I (precisamente por
t rotarse de gen t ilicio, el fin a l en -ius es lo mós p robable)' se t iene yo ERENTI VS; Y. tomando como po lo infe rior de uno T el trazo
que opol1ece en el r. 2 antes de la E, lo lectura TERENTIVS puede
suger irse con alguno probabilidad.
Prec:isomente en Hispan ia, a unqu e no en Levan te, si no en lo
Béti co -Salva t ierra d e los Barros- estó documen tado epigrófi comente (30) es te gen t ilicio unido a l nomb~ e de lanuarius, en uno
dedicatorio de época imperiol : Victorioe I Aug . sacrum I M. Te·
rentius I M. libertus I lanuariu$ I d. s. d, Ta l vez es to coinciden·
cio con el mi smo cognomen de nuest ro epitafio puedo opoyor en
algo m i suposición.
El praenom en del difun to, a juzgar por el trazo inclinado qu e
de él se conserva y por el espacio que debió ocupar, pudo muy bien
ser M(arcus) , como el del Terentius lanuarius de la dedica torio da
Salvatierra .
Del cognomen del dedicante leo en el r. 6 es tos le tras seguras:
THA
Como 01 comienzo del r. 7 (o juzgar por la extens ión del su p lemen to T E que supuse an tes de RENTI VS en el r. 6) caben o t res
le tras de a nchu ra norma l o dos s i entro alguno de las qu e exigen
mós espacio (p . e., uno M), entre los nombres ates tiguados en 10
onomástico latina que empiezan por las le tras indicados como seguras, los que me jor se sup lirion parecen ser Tha- [Iashius, despreciando lo posible V después de THA y tomando por I 10 le tra
precedente a V en el r. 7; y Thau -[ ma]stus, admit iendo aqu ello V
y toma ndo como T lo le t ra en cuestión del r. 7 .
En cuan to a lo in t erpretación de lo siglo final, si se admi te
paro ' el difunto la edad de 90 años, -parece 'exclu ida lo pasibi lidcd
(30)
Cll , ti , 983.
-
248 _
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NOTAS DE EPIGRAFIA VALENCIANA
25
de p (ater) b (enc) m(erenti), pues serio difícil que el padre de un
nonagenario viviese todavía; y de los dos que así Quedan, ambos
posibles, me porece o mí mós viable p (atrono) b (ene) m (erenti) Que
p (atri) ... , porque el C09namen del dedican te, indudablemente grie·
go (empezado par Tha -, cua lqui era que seo el suplemen to que se
proponga), 5'.;! acomoda mejor a la suposición de un liberto que o lo
de un hijo de M. Terenti'us lanuarius.
He aqu¡, pues, uno propuesta de lectura (ténganse en cuenta
los salvedades a propósito del numeral y del suplido Thaumostus,
qu e pudo ser también Thalassius) :
lO (is)] M (onibus) / M(arcus) Terentius / [lo] nuC'rius / an
(norum) LXXXX / h(ic) s(itus) e (st) . / [Telrentius ThouJ[ma]stus
p (atrono) b(en e) m(ere nti).
-
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[page-n-314]
[page-n-315]
MARINER BIGORRA,- Eplgtofio VolonciClno
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MARINa BIGORRA.- fpi,. afía Val" nc;anQ
Marcos del onroro completo. (Fotos Grollo)
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[page-n-317]
MARltUR BIGORRA.-Epigrafía Valencian(l
Morcas del á nfora incomple ta
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(Fa tos Grollaj
[page-n-318]
MARINER BIGORR ....-Epl"rClfill VIII,nclllna
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2
4
3
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I.- Insnipción de Morcus Teren tiu5, de Vitlolongo.
2. -Epitofio de FuMo Filenis. de Villorreol.
3. -lnscripción de Volet iU:5 Componus, d e Villolongo.
4 . -EpilOfio de Urso, de Olos.
S. -lo inscripción núm. 3, exento.
(Fotos 1, 2 y 3, Moriner; 4 y S, GrolloJ
[page-n-319]
ALBERTO BALlL ¡LLANA
La economra y los habitante!> no
hispánico!> del Levante espai\ol
durante el Imperio romano
INTRODUCCION
Fue en las costas de la Tarraconense donde, después de la Bética, se eje rció con mayor intensidad la colonización de Hispania
por los il61i cos ( 1). Junto a éstos, oporecen a lo largo del Imperio,
grupos originarios de otros procedencias. Nunca conoceremos exactamente lo intensidad y lo importa ncia de estos grupos, pero los
documentos 'epigróf icos y, a veces, los textos, nas suminis tran datos cier tos de la presencio de nu merosos extranjeros
La cos tumbre de señalar, singu la rmente en los inscripciones
fu nerarias, el lugar de orig en del difunto, .perm ite o veces a segurar
con ta clos que ya indicaban los hollazgos arqu eológicos y que com -
(1 ) C. SANCHEZ ALBO RNOZ: "Proceso de 10 roma nizoción de Españo d es d e tos Escipiones hosto Augus to", Anal es d e His torio Ant ig uo y Med levo l, 19 4 9,
Buenos Aires, 1949, págs. 5 o 35.
VAN NOSTRAND: "Tke Reorgo n izo tion 01 Spoi n by Augustus", 1916.
MC ElDERRY: " Vespasions recOl1$ truction 01 Spo ill" , Journol 01 Romo n Stu .
d ies, VIII , pág. 69 y ss.
HEN DE RSON: " Ju liU$ Coesor ond Lo tius in Spoill", 1942, pósJ. 3 y u .
F. Vr TTINGHOFF : " Rijmisc ne Kolon isotion u nd Bürgerreentspolit lk unl« Coesor und Augus tu$", Akod em ie der W issenchofte n und der Litero tur Geis tes und So·
z io lwis5ellschoftl ichen Klosse, núm. 14, Mo inz , 19 51.
-
25 1 -
[page-n-320]
2
A. BAlIL tLLANA
pruebon los estudios de las relaciones comercia les. Albertini (2),
hoce yo 40 años, reunió todos los dotos epigráf icos contenidos en el
C. l. l .; pogteriormen te han aparecido nuevos inscripciones, pero no
se ha in t entodo comple tor el t rabajo de Albertini, que es oún fun damental, qui zó porque los hollados con posterioridad 01 Supplementum de Hübner se ha llon dispersos en gran número de publicacion es, algunos no especio lizados y otros de d ifíci l consulto, por lo
que serío muy de desea r lo edición en España de uno revis to semejante Q L'Année Epigrophique, en la que se reseñaran todos los
hallazgos y rect ificaciones de lect uras, incluyendo asi mismo las
morcas de tegulae, ánforas, sigillota, e tc., re la cionándolos también con las formas (3) . Personalmente venimos desde hoce t iempo
reuniendo cuan tos inscripciones hacen refe rencia o ~x tran i eros residen tes en Espoña, descubiertas con post erioridad 0 1 traba jo de
Albertini, y a unque, por las causas indicados, no dudamos se nos
hayo pasado por alto alguno, s í creemos haberlos reuni do en nú mero sufici en te paro poder precisa r algunos de sus pun tos de visto
y circunscribirnos o un aspecto regional.
Las tierras del Levan te español han es tado siemp re abier tas o
los influencias extranjeros. Desde el Paleolitico hasta nuestros días
son ton eviden tes las pruebas de ello que consideramos innecesario
extendernos mós en este aspecto. La pax romano facilitó e incrementó el intercambio y los con ta c tos mutuos; itá licos y griegos,
africanos y golas, panontos y corsos, residieron -en ciudades de Levante. En es te a rt ículo reseñamos por nacionalidades ,los inscrip ciones y t extos ut ilizados, ind icando ta mb ien la ci udad o que hocen referencia y el nom bre y ·profesi6n del -ex tran jero, osi como la
época o que pertenecen . Pero antes trazaremos un breve cuadro
del ·estado económico de l Levante español, en especia l de sus exportaciones que, no pocos veces, cons tituyen el origen de estos residencia s (4) .
(2) E. ALSER.T INI : "Les et,o"llers résidon t en l'E5jKlgne pendont l'Empire
Romoin", Melonges Cogno t, Poris, 19 14.
(3) Redoctodcts yo es tos lineos, llego o nuestro ooder el inleresontisimo .suplemento a nual de Archivo Español de Arqueologío, " Hisponio Antiqvo Ep lgrophl _
co", 1-3, 11950-1952), MocIrid, 1953, que viene o lIenor el vocio que señalamos
en el texto.
(4) Siendo poco asequible el "Corpus Inscriptionum Lotino.urn", incluso en
10i bibliotecas especiolj;rodos, reproducimos e n el texto 105 Inscripciones Ciloclos.
_
252 -
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ECONOMIA y HABITANTES NO HISPANICOS
3
II
•
LA ECONOMIA DEL LEVANTE ESPAI"JOL DURANTE
EL IMPERIO
Lo situación de los costos y puertos del Levante faci lito cansí·
derabl<~m e nte su comun icación con los demós puertos del Mediterróneo, por lo Que, ya antes de lo conqu ista y especialmente duran t e esto, los exportaciones de productos mineros, salazones (5) y
cereal es levan tinos fu eron frecuen tes. Los comunicaciones moríli~
mas, de gran rapidez, facilitaban este comercio si n morcado dele! rioro de la mercancia (6); 1 introducción de la economía de t ipo
0
capita lis ta y lo explotación racional e intensiva de las fu entes de
riqueza, horian necesario es te comercio; por otra parte, el Levante
disfrutaba de uno completo a utarqu ía en cuan to o los mo te ria les
necesarios poro lo cons trucción de naves: maderos, a lqui trón, esparto poro el corda je, telas poro el velamen, etc.
Los productos O expor tar eran tan numerosos que han de menester una clasi f icoción:
Productos ogrícolos. Se explotaban los alcornocal es ampurda neses y de lo Selvo, como 10 ind ican Pl inio y Gctlia; Sidon io Apolli ·
nar refiere su utilización en A,.itocum, y en Hawara (Egipto) hallóse una sandalia con suela de corcho, que Pztrie consideró de origen
hispánico (7) .
151 Los ka la thai ,ooricos hollados en Ischio y Albintimilium, con dKoroción
levan tino, debt!n con~iderorse como envases de produc tos españoles, envoses ade··
mas llenos de ca la. loca l. Po, lo pequeño ca pacidad de las m ismos d ebieran con ·
tener al gún produc to de gran valor que justificara lo lujosa del envase e hiciera
product iva su e:
E. CU ADRADO OIAZ : "la cerómico ibérica de Ischio", Zephyrvs, 111 , Salamanca, 1952, p6gs, 197_212, ho supuesto recientemente que cantenian 5a la~a1'It!$, y BUCHNER : "Origine e paso ta d ell' lsalo d ' lscnio", Nopoles, 19118, cree que
con l ~ríon m iel. Persona lmente y aun reconociendo lo Impor tancia de lo miel ca·
mo ma teria de e:
ga rum de 0110 calidad.
(6) Los noves rópidos hacian la Iravesio de Ostia o Tarroco en cualro d ios,
lo cual no es muy e:
(7) PUNIO, No t. His L, IX, 141; XVI , 15 Y 32; GELUO, VI, 16; SIOONIO
APOlLlN AR. Ep is l , 11 , 12.
FLlNOERS PETR IE: " Howoro". Señalemos lo posibilidad de aue los 1I0mad0, pOr
SOnchez J i~nu entresuelos de COfCOO, hollados en los sepulcros de Onlu r, no
seon loles entrewelos, sino oulenlicos pisos d e COfCha, el. J. SANCHEZ lIME NEZ : "E:
a 1946" , Informes y Memorias, núm, 15, de lo Comisa rio General de Excovacio·
nes Arqueológ icos, Madrid, 1941 .
-
253 -
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4
A. BAUL ILLANA
Lo industrio vinícola alcanzó un gran desarrollo, introducido
probablemente por colonos romanos que burlaríon las rest ricciones
impuestos por lo ley protectora de los vinos itálicos, coído en desuso seguramente o fines del siglo 11 a . J .
y reimplantado, aun-
c. ,
que sin resu ltado, por Domiciono (8). Plinio cito los vinos layeta-
nos y louronenses, y Marcial lo gran producción d~ aquellos, aunque señalando su escoso cal idad . Muy alabados son los vinas de Torrogono por Plinio, Marcia l y Silio Itólico. Los morcos del Testoecio compruebon la exportación de vinos de Torroea y Lauro, e incluso es probable que lo inscripción C. I.L., XV, 2632, pese o lo refe rencia o Sogunlum se trotaro de vino de Lo uro (9) . Lo expansión
(81 LO$ teK tO$ que señalo:'! lo escasez de vino en hpaño, o mejor, su taita,
san numerosas. Schulten h.o preconizado su introducción por 10$ focenses; no comprendemos c6mo éstO$, comercian tes onle rodo, hubieron obor todo osi uno posibi_
I,dod de comercio. Si, aceptamos. lo exis tencia de viñedos en e l oger de sus colonios, pero no creemos que ellseñaron y difundieron su cultivo
10$ indígenas. Como ha supues to RO$lovtzeff, dicho cultivo, boja el dom inio ,Dm,mo. no debió opare-cer hasta lo época de los guerras civiles, y se in"oducido fraudulentamente;
cuérd ese lo interdicción del cultivo del vino en lo Transalpino, que 10$ normas
prote-ccionislos de 10$ viñedO$ itólicO$ eran muy severos y que el Senado pOnía en
su vigi lancia un especial cuidado. Añadamos que el unico testimonio cierto de lo
existencio de vino en un poblodo ibérico se halló en el Cabezo del Tío Pio (Arche_
noJ, en uno ón fo.o romano del tipo 3 de Oressel, con boca en molduro , es decir,
un tipo próximo 01 cambio de Ero. Cfr. J . SAN VAlERO APARISI yO. FLETCHER
VALLS: "Primero compaña de excavaciones en el Cabezo del Tío Pío (Archenol",
InforrTlft y Memorias, numo 13, de lo Comisorío General de EKcavociones ArqueolOgicDS, Madrid, 1947. En el Mas Castellar (Ponodes, Barcelona) se ha encontrodo
uno p.-enso de vino: P. GIRO: "Uno p.-emso iberico 01 Penod ~s", Museom, 11 ,
Barcelona, 1949, póg. 62, ounque no estó cloro lo relación existen te entre lo
. illo romano y el poblodo ibérico, cuyo .cronología se desconoce, pero es muy pasible Que, como sucede en lo mDyM par te de los poblodO$ de lo Costo CO lolono,
su abandono no tuviera lugar hoslo el siglo I O. J. C., lo p.-enso pud iera pertenecer o uno dependencia d e lo ci ta do .1110, y, odemós, su tipo es mOs semejante o
los romanos ut ilizados poro lo eloborocion det aceite. Cfr. S. LLOPIS y LLOP IS:
"Pie de pren$O de aceite, romano. de Son Ia Cruz. de Moyo (Cuencol", Archivo Espeñol de Arqueología, XXI, Modrid, 1948, pirg. 298; asimismo debierOn utilizor$e como pren$OS de aceite 105 curi 050S ejemplares to ll odO$ en lo raco, de El Tolmo
de M inOledo (Albocctl!l, publicados por 8rl!uil y Lon t;er y por $ónchl!z J I~nl!l.
Cfr. R. LANTIER el H. BREUIL: "Villages préromalns dI! lo Pé ninsule Ibérique ,
11, LI! Tolmo, 6 Minateda (Albocete J", Archivo de Prehistoria Levantino. 11 . Valencia, 19-'16, pag. 213 y ss., y J. SANCHEZ J IMENEZ: Oh. ci t. en lo noto 1. Lo
producci6n vinÍtolo hispani'a debió sufrir consi derablemente can lo invosion de
10$ francos, en I!I s,glo lit . pues Probo cui dó de su p.-Olección. Ello nos plan teo el
problema de si el hecho dI! que los vinos españoles no $I! c it en en el Edicto de
Diodl!tiono se del>e
un cese de I!xporloción por producción deficitario o 01 simple he-cho dI! que no SI! exportobon
Orien te .
Cfr. también O. FLETCHER VALLS: "El v;O'lO como faclor e-conómico '1 cultural
I!n lo Europa antiguo", Lo Sl!maO'lO Vjtivinícalo, IV, num o 1-'19, Valencia, 1949,
p6g. 27, y del mi5MO, "Lo mÓ$ onliguo marco dI! viO'lO valenciano" , Lo Semana
V, livinicol0, nUm. 335/ 336, póg. 43, Valencia. 29 nov,embre 1952.
(9) PUNIO, Not. Hist. XIV , 71; MARCIAL, 1, 26 y X III , 118; SILlO ITALICO, 111, 369; y C.I.l., XIV, nUms. 4.577 y 4.578.
°
,e-
°
°
-
25'1-
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ECONOMIA y HABITANTES NO HiSPANICOS
5
del cultivo de lo vid fu e rápido, hablando Plinio incluso de vinos
ba leáricos, siendo osi que lo falto de producción vinícola en estos
islas con an terioridad o lo conquisto romano, es bien conocido {lO!.
l o exportación di? cereales seró bi en conocido cuando se estu dien los morcas de ónforo y su d ispersión; se tienen referencias de
lo producción levantino, especialmen t e en Sagun ta y Cartagena,
en és to con grandes cosechas de cebado, según Plinio ( 11 ).
Numerosos son los noticias que se poseen respec to al esparto
levantino, en esp~cial 01 del ogro cartagenero, que se utilizaba, no
sólo en la fabricación de cordaj e:; paro los naves, si no también
poro capachos e incl uso sandalias, como af irmo Plinio y ha podido
comprobarse orqueológi comen le, llegando o expor ta rse o Romo,
según Vitrubio y Estrobón. Tambié n en el Edi cto de Diocleciano se
ci to el e.;parto español (12) .
l os h igos del l evan t 2 también se exportarían, como sin duda
lo fueron por los púnicos ( 13 ).
E igualment e se sobe que Cartagena exportaba, en tre ot ros productos, a lcachofas, qu e le producían un gran rendim ien to económico (14).
Ganadería . l o ganadería tuvo durante el Imperio muy poco
importancia en el l evan t e, como igua lmente ocurre en lo actuali dad . los referencias o ello son escasos y afectan exclusivamente o
los Boleares, que exportaban a Romo oves de tipo exótico, como el
flamenco y el cormorón, y un género de caracoles cavernícolas, los
can.t ici, muy apreciados poro el t ro tam iento de lo tuberculosis.
los ja mones ceretanos, alobadas por Est rabón, eran ob jeto de gran
consumo en Ori en t e, citándose en el Edicto de Diocl eciana, que,
(10 1 PUNIO, loe. ci l. l os text os indicondo lo ofición 01 vino de los mercenorias bole6r1cos (D IODORO, V, 171 y q ue gostaban sus pogos, 01 licenclorse, odqu lriéndolo poro lIevorselo O sus tierras, ind ican suficientemente Que no se eloOOrollo
en 10$ Boleares, donde yo se produce en epoca romano, ni en el Levan te, yo Que,
en tol coso, y dado lo foci! Que es su comunicoci6n morit imo, se hubiera expor todo. Ind iquemos asim ismo, con respecto al vino, Que lo ci ta de POUBIO, XXXIV,
9, sobre su bara tura e n Lusi tan ia, puede referirse concretamente o esto comarco,
en lo Que dicho au tor no est uvo nunca, o o un es tado de cosos anterior o lo conquis to romana.
(11) PUN IO, XVIII, 68 y 75; TITO UVIO, His t . XX I, 7, : y XXV I, 47 , 8.
!12} ESTRABON , 111 , 4,9; PUNIO, No t. H is t. , XIX, 27 y 30; MELA, 11, 86;
y VITRUBIO, VII , 3, 2 .
!l3} ESTRA8ON, 111 ,4, 16.
(141 PLIN IO, Not. H¡st ., XIX, 152,
-
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6
A. BALlL ILLANA
como se sobe, en los vers iones que se conservon, estabo des t inado
o regir sólo en los territorios orien toles del Imperio ( 15),
Pesca, Lo riqueza pisdcolo del Mediterróneo Occidenta l, y en
especial 10 de los costos levant inos de España, no sólo era objeto
de explotación sino que también estabo reglamen tada . En t re los
centros produc tores o exportadores figuraban Barcino, con os tros y
muria que se enviaban o Burdeos, y Torrogono Que exportaba ostros ( 16), Pero sin dudo, ere el garum e l principal producto deri
vodo da lo industria piscícola; el famoso gorum saciorum es ci todo
por varios au tores (17), exportóndose a 10 Golio; morcos de ánforas de garum han aparecido, en tre otros lugares, en Pompeyo y en
el Testoccio (18). Cartagenc era uno de los pr incipales cen tras de
expor tación de garum y salazones (19). Posiblemen te! lo salpa ebu sitana, ton apreciado y de ton dificil condim~ntoción, debía t rata rse d~ pulpos, m uy abundan tes en aquellos aguas.
Minería , Como es de suponer, los me tales preciosos, princi pal producto de come rcio de lo Espoñc- prerromana, también tenían
gran importancia en los exportaciones levantinos, aunque seguidos
muy de cerco por ot ros metales menos va liosos . Aporte del oro de
lo Boste tonia citado por Estrabón, la mayor fuent e de metales preciosos fueron los minos de p lo ta de Cartageno (20), donde se sacaba también plomo. El hierro se obtenía en Dianium y de los Bo leores se exportaba bermellón, cuyo comercio con Roma, Cortago y
Egipto es bien conocido (21).
PS I PlINIO, No!. Hist., X, 133 y 135, y XXX, 45; ESTRABON, 111, 4,11.
(161 AUSONIO, Ep¡st. 25 y 27.
(171 AElIANUS, De No!. Anim., XIII , 6; SENECA, Epist. 95, 25 ; PlINIO,
No!. Hlst., XXX I, 94; MARCIAL, XI II , 102; GALENO, XII, 637; y AUSONtO,
Epis t.2 1.
(181 C. I.L., IV , n',ms. 2.648 y 5.659.
P9) ESTRABON , 111, 1,8.
(201 ESTRABON, 111,4,2 y 111, 2,10 y 11; PLINtO, NoT. H ,~t. XXX II I, 97.
EK)lotodo$ estos minos de piolo b::J,o lo domi nación corTSt9ineso, conT inuaron opravechóndose duronle el Imperio; erun propiedad del Estado, pero se urrendobon o
POrlicu!ures. Sobre lo eXllloloción ",ineru en CarlogenCl, veose A. BELTRAN MAR TlNEZ : "Museo Arqueológico Municipal de CarTogeno (Murcio), 11 , Los minos
romanos de lo r~ ión de Corlogeno, segun los dol os de lo colección de su Museo",
Memorias de los Museos Ar~ueológicos Provincioles, 1914, vol. V, Madr id, 194 '),
pógs. 201 o 209.
121) ESTRABON, 111,4,6; PfTRONIO, 68; SUETONIO, Vil. Colig. 18; SAN
AGUSTlN, Epist. SO; y Papiro Ho!m.
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ECONOMIA y HABITANTES NO HISPAN ICOS
7
La sol ta mbién fue ob jeto de intenso come rcio : los salinas de
Egelas te, junto a Cartagena (22), permitian el flore cimi ento de lo
indus trio salazonero, y ésto, o su vez, e ro motivo de que se establecieron nuevos salinos. Se ci tan también salinas en la Bastetania
(23) . Los exportaciones de sol de Tarragona (24) no te ndrian probablemente gran importancia. Lo sol de España se empleaba, no
sólo como condimento, sino también en aplicaciones medicinal es
(25) .
Añada mos un producto de lu jo, los cerauni e del .pirineo, que,
consideradas como piedras preciosos, no eran un ob jeto común e n
las transacciones comerciales, pero t ienen poro nosotros el interés
científico paro conocer el saqueo de yacimientos arqueológicos.
La industria textil. T enía en Levan le uno importante base
prerramana . Industria casero prim ero, con la coloni zación posó o
s!! r una de las mós importan tes actividades industriales, junto con
los sa lazones y lo mineria . Ta rragona fue uno de los princi pa l!!s
centros, como lo a testiguan los hallazgos epigráficos en los que se
me nciona un collegium cen tonariorum (26); producia lonas para
velamen y velas finas, que se exportaban o Romo y o las Galias
(27), in t ervi nie ndo en su confección, de manera destocada, los mu jeres (2B), exporta ndo ademós sus t ejidos de lino, aunque no tenion la calidad de los de Soetobis, cuyas finos telas eran sumamente apreciados en Romo (29) . También Ampurias exportó tejidos de
lino (30) .
Relacionada con lo industria t ex til es tá lo 'Producción bal eóri ·
ca de ra íces tintóreas (3 1J.
Como con trapartida de todos estos exportaciones es taban los
importaciones de vinos itálicos, mosaicos, estatuoria en bronce V
piedra, vidri os, cerómica, elc.
(22) GELlO, An . Nocl. 11 , 22, 29; PLlNIO, Not. Hist . XXX, 80 ; y C. I.L., 11 .
numo 5.091 .
(23) ESTRABON, 111 , 2, 7 .
(24) SIDQN IO APOLLINAR, Epis l. IX, 12, 1.
(2 51 PLlNIO, Not . Hin . XXXI , 100.
(26 1 C. I.L., 11, num o 4 .3 1B
(271 PUNIO, No!. His l. XIX, 20; y CI.L., XIII, :-um. 3. 16B.
(2BI C.J.L. , 11, nUm o 4.3 18 O.
(29 1 CAT ULO, XII , 14 y XXV, 7; PUNIO, No!. H.s l. XIX, 9; Silla IT AU CO
111,373; y GRACI a. Cyncegel icon, 4 1.
130 1 E5TRA BON, 111 , 4,9.
(3 1) " Notitio Dignitol um" . X, 50, '1 ESTRABON, 111, 4, 16.
-
257 -
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8
A. BALlL ILlANA
Consecuencia del comercio fu e ron los despla zamientos de h is ~
panos, proceden tes de l interior, que se estableci eron en los centros
comerci ales del Levan te, ya paro atender sus negocios, ya po ro actuor como obreros (32) . Aná logamen te comerciantes extran je ros y
repres<=ntantes de grandes empresas im por tadoras se establecerían
en el Levan te, igua l que hicieron en la Bético (33) . O tros veces 1
05
extranjeros son obreros especializados o in telectuales y artis tos.
Es to a fl uencia de ext ranjeros, y si ngul a rmente lo de los nau tos qu e
tocaban en los puertos levant inos (34). osí como los esclavos que
cn éstos se vendían, fue u no de los vehícu los de in troducción de los
cu ltos orien.ta les, y el frecuente con toc io con c om ~rc¡o nt es itólicos,
e l a h o grado de romanización de las cos tos larraconenses y la fl orecien le economía de sus ciudodes, explicon la difusión de a lgunas
(32) Po ro los desplo~omientos de los hi$pOnicos en el in terior de lo Península,
véose el trobojo de IRENE A. ARIAS: "MoteriolP.i epigroficos poro el estudio de
los desplazom ien tos y viajes de los espOñoles en lo España romono", Cuadernos
de Historio de Españo, XII , 1949, pOgs. 5 o SO. Es un estudio d igno d e todo elogio, aunque lo au tora, llevado de sU propósi to de demostrar lo mu tuo reloclón
entre los habi tantes de Hisponio, ha de'>Cuidodo lo posibilidad de los relaciones
económicos, es mOs, lo ha recha~odo. Cierlomente, no deb~ verse en codo flomen,
honrado en uno Ciudad Que no seo lo suyo, un comercianTe. pero tampoco d ebe
rechazarse, como hoce lo au tora, lo pos ibilidad de Que fueron hombres de negocio; recordemos que en l.U mayoria procedio" de lo burguesio municipal, y T
e"OQSe
en cuento, tombien, que lo a ris tocraCIa local es tobo compuesto por ricos negocion11'$. Uno pruebo de todo es to es lo inesTabilidad y lo modernidad de d icho aristocracia. Lo inscripción de Torrogono (CI.L., 11 , numo 6.1101 no debe inTerpre tarse,
como hoce lo senorilo Arios, como un un;c um; o nuestro entender, CO" ml1.condi
causa se intenTa explicar su desplo~omien ' o evenTual o Torrogono IAuso 1"1() erJ
1..1." 0 d udad comercial, seguramen te!. y su sepelio en aque llo dudad , donde le sorprendiÓ lo muerle. Del es tud io de lo señoriTO Arios se destoco lo Impor loncio comercial de Torrogono; sus 13 inscripciones ind icando ciudodo"os nativos de a Iro.
ciudades españolas (prescindimos de los cosos dudososl fren le o los 23 de Mér id o.
los 8 de Córdoba y los S de Sevilla, no pueden explicarse por uno simple invocod6n
o lo capitalidad, o los e~I
dudoso, Y. añadamos, Que si bien lo 01..11010 desconoce, por lo lto de bibliografí a,
el caudal ~pigr6fico f'meritense con tc.,ido M J. R. ME Ll DA; "C1:1610no Monumen_
101 de Españ a. Provincia d ~ B'ldojoz" ti 901 - 191 01. Mad rid, 1925-26, de~conocc
asimismo los hallazgos tarraconenses Que permi ten outnenlor eSlos ci fras si n que
dismin uyo lo di ferencio indicado.
(33 1 E. THEVENOT : "Uno foma,o d e negocionles en aceite esloblecido e n !a
Boe tlco en el siglo 11 : los Aelii OpTol,", Arc hivo Español de ArQueologio, XXV,
Mad rid , 1952, pag. 225-23 1.
(34) Debemos inc luir en ellos, no sólo o los e~tronjeros (A. BELTRAN MARTI_
NEZ : "Obietos rornonos de plomo en el Museo de Cortogeno V sus inscripciones",
Memorios de los Museos Arqueológicos Prov incia les, 1941, vol. V III , Madrid, 1948,
pOg. 202; lo exportación d~e el puerto d e Cor logel"'o de lo producción de los minos de lo Boe tico V I:Js ondos ca.. inscripciones griegO$ hollados en Cor togeno),
sino tombien los españoles ¡CLL., 11 . numo 5.929 de Cortogeno y C. LL., 11 , n';' _
'1"lera -1.055 de Tortoso) .
-
258-
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ECONOMIA y HABITANTES NO HISPANICOS
9
modalidades funer a rios, como lo de los sepulcros de torre (35). Luego, los con tactos comerciales con el Norte de Af rico jus t if ican los
relaciones en tre el Crist ianismo h ispánico y el africano (36); en
epocas mós avanzadas los paralelismos se presentan con el Oriente
bizantino (37) .
Reseñados suma riamen te estas bases económicos, posemos o lo
enumeración de los extran jeros residentes en el Levan te español y
o las consecuencias económ ico-socialt:s qu e pueden deduci rse.
II I
EXTRAN JEROS RES IDENTES EN EL LEVANTE ESPAI\IOL
DURANT E EL IMPERIO
Galos,
Marsella: Inscripción griega hollada en Ampurios, dedicada o Tespis, hija de Aris toleo, natural de Marsella (Hübner : "6phemeriG Epigrophica", VI II, p6gino 160, núm. 291; Almagro : " Inscripciones
Ampuritonos", inscripción g riego núm . 3) .
6E:1: 1I1
A I' I !TOAEOr
MAY:AA I Ul'A
X A 1r E
1351 J. J. HATT : " l o lombe gollo-romCllne", Poris, 1951, estud,ondo lo onomósli,o tl!Óforo en lo epigrolio fu:-eroroo, ha demos trodo que lo eK
ponsi6n en lo
Golio, desde las puer tos de lo Narbonense has ta el inlefior del poi" coincide ,on
lo difusi6n del sepulcro de torre. lo difusion del mausoleo monumen T esto ~e
oI
glado pot moT ivos econémicos. Creemos que en España podrá IIcgo,se o oOOlogos
co nclu siones; Cid Pri~o señoló su coincidencia cen lo dis tribución de los hallo;r;gos
de A"il luneroriO$. Cfr. C. CID PRIEGO: "El sepulcro de tOlre med iterr6 neo v
sus relociones con lo lipologio ornamen tal", Ampurios, XI, Borcelona, 1949, pó_
$lino 91.
1361 P. PALOL SALELLAS: "Romonocristi onos y Visio¡odos (Ensoyo de , intesis
hisTol icoorqueol6gicol", Ampuri05, X II , S",rcelono. 1950. pÓ 239.
o.
p . PALOL SALEl LAS: "Uno provincio occidentol de arte poleocristiona. Nolas para un eSludio", Zephyrvs. 111 , 1, Salamanca, 1952, pag. 41.
P. PALOL SALElLAS: "Torroco hispano-visigoda", Tol rogono, 1952 .
(37) P. PAlOL SAlELlAS: "Bronces hisponovis;godos de origen medilerróneo,
" Jorritas y PQleno! li l':'rgicos", Institulo dt: Prehis torio Med iT
elróneo, Barcelona,
1950.
P. PALOl SALElLA5: " Ponderales y exogio roma nobhonlinos en Espoiio",
Ampurios, XI, Barcelona, 1949, póg. 127.
p. PALOL SALElLAS: "los incensorios de Aubenyo (Mollorco) y lIadó ¡Geronol", Am;>urios, XI I, Borcel000, 1950, pag. l.
P. PALOL SALElLAS: "Fibulas y broches de cinturÓn de época visigodo e n
Co toluño", Archivo Español de ArqueolOgio, XX III, Madrid, 1950, pag. 13.
-
25 9 -
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l O A. BAlIL ILLANA
Narbo : Inscripción de L. Valerio Montano. Lo dedicación
estó en nomina tivo, por lo Qu e debe ser del siglo
I a . J . e. Hollado en Sagunto (e. 1. L., 11, núme ro 3 .876).
L. VALERIVS MVNTANVS
TARBELLVS 1111 Sl gNANVS
DDMV.NARB .
(Noto: Las minúscu las indican le tras su pli das).
Norbo: Insc ripción de Q. Moneyo Verecundo, veterano
de lo Leg ión VI I G. F. Hollado en Tarragono (e.
1. L., 11, núm . 4 . 16 1) .
D.M.
Q.MONEIO
VERECVNDO
NA RBONENS I.V
ET.LEG.VII .GEM.
FEL.AELlA VALE
NTl NA.MARITO
BENEMERENT I
Nemauso : Inscripción de e. Valerio Avilio, veterano de lo
Legión VII Gémina . Dedicado en nomina tivo, a sociado o lo fórmula H,S.E. Hollado en Ta rragona
(C I.L., 11 , núm . 4 . 173).
C.VALER IVS
AV[LLlVS VOLT.
NEMAVSO.YET
ERANVS.LEG.VII
G. F. DEFVCTVS
ANN .XL . H.S.E.
Toloso : Inscripción dedicado por un grupo de li bertos o Ju lio Rufo, natural de Toloso y, seguramen te, comerciante . Hübner ll ego incluso o a firmarlo. Ha llada en Barcelona el año 1768 con oca sión de
realizarse obras en [o Iglesia de Son Felipe Neri,
const ruida sobre lo 'mu ralla romano (C.1.L., 11,
numo 4557) ,
iul i. f RVFO IVLlA.C L. IVLlAC F.e. IVLlO.e. F.
negot lARIO FAVSTA PRIMVIA RVFINO
domo TOLOSA
-
260 -
[page-n-329]
ECONOM IA y HABITANT ES NO HISPAN ICOS
'1
Vienne : Inscripción de Agathocul es (sic), esclavo nacido en
Vienne, de profesión dorador. Por el tipo de las
letras, lo dedicación en nominativo, lo ausencia
de lo fórmula D. M.S. o simplemente O.M ., puede fechorse hacia lo primero mitad del siglo I d.
J . C Hollada en Torrogono (C I.L. , 11 , número
6. 1071 .
AGA THOCVLES.VEr
NAV IENENSIS. ANNo
RVM.XV II II INAVRA,
OR.CORNEL.CRVSEIOis ,
SER.H.S. E.
Itálicos.
Albinti milium : Inscripción dedicado o Lucio Volerio Secundo, soldado de lo Legión VII Gémino . Estó en
nominativo. Hallado en Tarragona (C I.L. , 1" número 4 . 171) .
I.VALERIVS.L.F SE
cvNOVS.DOMO
olbeNTl BI Lr .M IL.LEG
VII G. F. PAMPHILlVS VARus
ET VALIVS.vELOX
milites.leg. eiiVSDEM
HEREDES POSVERVNT
(Noto: Lo restitución en lo línea segundo cv, cuar to ,.ii g, Y sexta mili tes.leg.eii, se baso en uno ca·
pia a ntiguo) .
Córcego : Inscri pción dedicada a L. Numi si us Uberali s, de
lo dotación de la tri era Morte, de lo escuadro de
Róvena . Esto es lo úni co inscripción hi spónico,
que conocemos, en lo que se menciono el nombre
de un navio. Hübn er cree, basóndose en los caracteres, que es de lo primero m itad del siglo 11 , en
apoyo de lo cual señalemos lo dedica torio en nominativo con Jo invocación o los Dioses Manes
Hallado en Tortosa. (CIL, 11 , núm . 4 .063) .
-
261 -
[page-n-330]
12
A. BAUL ILLANA
D.
M.
L.NVMISIV5. L1
BERALl5 M IL
Cl PR RAVENN
[11 MART STlP X II I
NAT CVRSICAN
M DIDIVS POL
10 HERES ET CQM
MANVP ET GELL I A
EXCI TATA
Pisoura: Inscripción dedicada a C. Tedio lanuario, liber to
de Cayo . Hallado en Torrogono (C. I.L. , 11, núm ,
4 . 165 ).
D.M.
CTADIO.C L.IANVAR IO
PISAVREN SI
VIXIT.ANN .XXX III I
C T ADIVS.l VCANVS
D. lEG.VI I.G.F.
Ll BOPTIME DE SE
MERITO
Roma : Inscripción dedicada o Q. Licinio Silvano Graniono,
fl e men de la Citerior, Prefec to de los cos tos lay Phileto. Segura mente ambos e ra n naturales de
Roma, pero explícitamente sólo oSe indico 10 pa tria
del dedican te. Hall ado en Torragona (C. I.L. , 11 ,
núm. 4 .226 ).
Q.LlCIN IO.Sll
VANO .GRANIA
NO FlAM AVG
PROV.H I$P.
ClTER
PRAEFECTO ORAE
MARITlMAE LAtE
T ANAE. PROCVRA
TORI AVGVSTI
CTERENTI VS.PH Il E
TVS. DOMO.ROMA
_
262 -
[page-n-331]
ECONOMIA y HAB ITANTES NO HI$PANICOS
13
Romo: Inscripción dedicado o Bebia Gallo, esposo de Licinio
Silvano Graniana, fl a minica de la España Citerior,
por C. Terencio Phileta. Holl ada en Tarragona
(Batlle : " Les inscripcions poganes de lo necrbpopolis romano-cri stiano de Tarragono", en Anuari
de l'lnsti t ut d'E s tu d i s Catalans, MCMXXV I IMCMXXXI, vol. VIII, póg . 342, inscripción número 19 ).
BAEB IAE .T.F.
GALLAE
SILVANI GRA
NIANI
FLAMI NI CAE
P.H.C.
C.TERENTIVS
PHILETVS
DDMD.ROMA
Roma: Inscripción sepu lcra l de T iberio Ju lio Materno. Lo
dedicación estó en nominalivo, faltando los fórmula:; O.M .S ., H.S.E. o S.T.T.L. Hallado en Ta rragona (C.I.L., 11 , núm. 4.322) .
Tl B. IVLl VS. T IB. F.
FAb;A MATERNVS
DOMO. ROM . ANN
XXVI II OlEr XII
Romo : Inscripción de Morco Lucrecio, peregrino de la tribu
Qu irina, cen turión . Hallada en la necrópolis de
Ta rragona (Serra Vilaró : "Excavaciones en 1 ne0
crópol is romano-cristiano de Ta rragana" . Memo_
ria de lo Ju nta Superior de Excovaciones y Anti güedades, núm. 133, póg. 66, Madrid, 1934) .
D M
M .LVCRETIO
QV IR .PEREGR INO
C. LEG.I.M INER.P .F.
IT,EM.L,EG. III CYRENA ICAE
PRAEF.COHORT. III LlNG
DEC.T AR RAC ADLECTO
LUCRET.EVCARPI A
PATRONO.lNOVL
GENTl SS IMO
-
263-
[page-n-332]
A. BALlL ILLANA
14
Romo: Dos inscripciones con textos muy parecidos, ded ic0
das o Lucio Emilio Recto. Hall ados en Cortogena
(C.I.L, 11, núms. 3 .423 y 3 .424). Hübner, basóndose en los caracteres, supone que son de época
de Trajano.
4
C.I.L. " 3.423
L AEM ILl YS. M.F.M. NEP. QYIR . "ECTYS. DO·
MO ROMA / QVI.ET. CARTHAG INÓ
NSIS ET SI ·
CELLlTAN. ET. ASOTAN ET LACEDAEMON/ET
ARCIYYS ET BASTETANYS SCR IB. QYAESTO·
RIYS SCRIB AED ILlCIYS CIY IS / ADLECTVS OB
HONOREM AEDILl TATI S HOC OPYS TEST
AMENTO SYO FIERI IYSSI T
C I.L. 11 .424
,3
Lineas 1, 2 y 3 como e'l lo inscripción anterior.
4 ADLECTVS OB HONOREM AEDILlTATIS CON ·
CORDIAE
DECYR IONYM TESTAMENTO SYO FIER I IYSSIT
• • •
L. AEMILlYS SENEX HERES SINE DWYCTIONE
XX ya TRIBVTORYM EX CCL L1 BRIS ARGEN ·
T I FECI T
Panonios y Germa nos.
A cuntium : Inscripción de C. Dom itio Ma terno, decurión de
Barcelona. Hallado en esto ciudad, en la calle de
Son Fernando, número 34, 01 derdbarse un li enzo
de muralla (e l. l ., 11, núm . 6 . 153) .
C.DOM ITJ O.L F.MATERNO ACYCENSI
HYIC ORDO BARCINONENSIYM
HONOREM DECYR IONATVS DEDI T
.U ... TI ... FAVO .. . N IA. .. AV ...
_
264 -
[page-n-333]
ECONOMIA y HABI TANTES NO HISPANICOS
15
lulia Emona : Inscripción de Marca Aurelia Vi ctorino, militar, dedicada por su hermana Aur elio Morcelino.
Es de fin es de l sig lo 1I .. Hollada en Tarragona (e.
I.L., 11, núm . 6 .087) .
D.M.
M.AVRELlO VICTO
RINO.M.F.IVLlA E
MONA. PATRIA EVO
Q.VIX IT.ANN .XXX IIII
MV I. D XVII I.STIP XV
AVREL.MARCELLINVS
FRATER .ET.AVRELlA
SABINA.HERD. FE
CERVNT H.S.E.
SIT T IB I TERRA
LEVI S
Poelovium : Inscripción de Marco Aurelia Lucilo, militar.
Hallada en Tarragona (C l. l ., 11, núm . 4 . 147) .
M.AVR .M .F.PAP.LVC ILiO.POETOVION
EK SINGVLARIB . IMP.LEGI
ADIVT.LEGII .TR.LEG. VI1 1.AVG
LEGXI III GEM ln .LEG VII CL.
LEGV II GEM ln HAST.PR
ANNOR .LKSTI
PENDIORVM XXXX
VLP IA IVVENT INA
VXOR ET HERES MARI
TO PIENTISSIMO
ET INDVLGENT ISS I
MO FAC IEND.CVRAVIT
asc ia
Orientales.
Atella : Inscripci6n de M. Emilio Zenón, libe rto de Marco.
Es de señalar el arcaísmo de la dedicación en nominativo y la ausencia de todo fórmula . La in t er-
265 -
[page-n-334]
16
A . BALlL ILLANA
pretación de la pot rio s~gún el profesor A. Belt rón Ma rt ínez. Hollado en Cartogeno (C.I .L. , 11,
núm. 3.445) .
M .AEM ILI .M .L.
ZENON IS
ATELLlANt
Grecio: Inscr ipción ded icado por su coliberto L. Em ilio Euhado (sic) o su educador L. Emil io Hipolito. Aunqu e sólo se ind ico la pa tria de ést e, es de suponer qu e el dedican te ta mbi én serío gr iego. Tanto
en Cortog eno como en Torragona, donde se ho lló
esta inscripción (C Ll., 11, núm . 4 .3 19), abundan
los libertos y escl a vos con nombres griegos, no
incluyéndolos aqu í por no expresarse sus naciona lidades.
o
M F
L.AEM Il,H tPPOLYT
L.AEM IL. EV HODV$
COLL IB.ET EDVC
B.M.P.Q.Y.ANNXCVII
SINE DOLOR E
Q. FVIT.NAT ION E
GRAECVS
Judíos: Inscripción dedicado a Isidoro, hija de Juan Toxiotes Tassi lius. Es muy posible que es to inscripción,
como la siguien te, no pertenezca a la época im +
ria l. Hallado en Mas deis Pa llaresos, provinc ia de
Tarrogona (Vives : " Inscr ipciones c ris t ia nos de la
Espa ña romana y visigodo", Barce lona, 1942, nú mero 430).
Judíos: Inscr ipción hallada en Tor tosa (Vives : Ob. cit., nú mero 428) .
Torso de Cilicio: Inscripción sepulcra l cristiano de Marco
Au relia Heliodoro, natu ra l de Tarso y habi tante
de Hispa lis, que falleció en Tarragona, en cuyo
necrópolis hallóse la inscr ipción (Sepu lcro número
-
266 -
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ECONOMIA V HAB ITANTES NO HISPAN ICOS
17
1. 803) (Vives : Ob. ci t., núm . 339; Serra Vilaró :
cit . pág . 71). Por la coexistencia de lo fórmu la D.M. con los cristianos debe fecharse en el
siglo IV.
Ob.
D M AVR. AELlODORVS NATIONE
GRECA.C IVISTARSVS CILlCIA
COMMORANS .ISPALI QVI VI
XIT ANNOS LXXX PM
REC. FIDELlS . IN . PACE
Africanos :
Africo : Inscripción honorí fi ca de L. Ceci lio Porciono, natu ra l de lo provincia de Afr ica, decurión de Torra gona, donde habitaba y se ha hallado la inscripción (C.L L., 11, núm. 4 .263) .
L.CAEC.PORCia
NVS.EX.PROVinc
AFRICA. DECVR lo ad
LEct.IN .COL. TArrac
ITEMQ.AED ..... .
LOC. D.EX.d.d
Afr ica : Inscripción de Claudia Saturnino. Letras del sigl o
11. Hollado en Torrogono (C. l.l., 11. 6.075, ont.
4.5181 .
CL.SATVRN I
NO.CL.FELI
CISS IMVS AFER
SAXO FAB
M.S. M.F.
Cesáreo 1 Inscripción de Voleria Melete, dedicado par su
01:
esposo Mumio Sa tu rnino, naturol de CesÓreo . Letras del siglo 11. Hallado en Tarragona (A. del Arco
" Nuevos lápidas romanos de Tarragona " , en Boletín de lo Real Academia de lo Historio, XLIII ,
póg . 453-4551 .
-
267 -
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18
A. BAUL IL LANA
D.M .
. ValeRIAE MELET
...... MMIVS.SATURNIN . ..
VE . .. CAESARIEN S.vXOR.PIISSIM ...
H.M ,H.N .
Seguramente en la cuerta lineo puede suplirse
VERnae y en lo último H .M .H.N.s.
Ci rto: Inscripción de Aufidio Prima. Los coract eres son del
siglo 1, lo que corrobora lo dedicación en nomi ·
nativo, la au sencia de 10 invocación a los Dioses
Mones y lo fórmula hic sita s um o Ha ll ada en Torragona (C.I .L. , 11 , núm . 4.320) .
AVF IDIA PRIMA
DOMO CIRTA.HI C
SI TA SVM.ANN XXXIV
POSVIT.FLORENTlN
VS. EIVS
Leptis : Inscripción dedicado o Pulicio Ziocos. Por el tipo de
los caracteres puede fechorse en el siglo 11 . Ho-
llado en Torragono (CI.L., 11 , núm , 6. 116).
D.M.5
PVLlCIO ZIO
CAS.Y.LEPTI
TAN .V.A.XCI I
P.FILlA.PVLlCI
A FLOR INA PATRI PIENTlSSIMO
Lixus: Inscripción funerario de P. An tonio Pudens. Por el ti ·
po de los letras corresponde 01 s iglo 11. Hollado en
Barcelona (C. I. L., 11, núm . 6 . 151) .
P.ANTON Ivs.r .F. PUDENS.LI X ITA
NVS SIBI ET
BAEB IAET.L.NOVELLAE VXORI
BAEBIAE PLACIDAE
ET CORNELlAE.PHAENVSAE. VXOR I
H .M. H.N .S.N .L.5.
-
268 -
[page-n-337]
ECONOMIA y HABITANTES NO H ISPANICes
19
Siccoe Venerio: Inscripció:1 dedicada a C. Cecilia Quar to,
veterano de 10 Legión VI I Gémina, por su esposo.
Hollado en los E:xcovociones de 10 necrópolis di!'
Torrogona (Bctlle : Ob. cit., inscripción núm. 25)
L. CAEC IL.QVARTO
VET .LEG V II GEM. F
BF.COS.ORIVNDO
SICCAE VENERIAE
SEMPR.FABIANA
VXOR MAR ITO
1NDVLGENTl SS IM
ET PRAESTANT ISS IM
B.D.5.M.
Aún podríamos añadi r uno inscripción dudoso, la número 123
del Museo Poleocristiono de Torrogona, que según la reciente lectura de S. Olivas Cana ls (38) puede interpretarse como la inscripción sepulcral de Nec taris, natural de Pit ermon, cerco de Tales
(Fayum). Téngase en cuenta, sin embargo, que par los lecturas de
Beltrón y Botll e (39), se trotaría da un sacerdote del templo de Am mon en T arrogono :
Lectura de Bel t rón y Bo t lle
~;Ne ,\ .l~
1\ ,\'1'
I'; I TAI K ~~K TA
PltTA AIITII:
XQI' n~ lI l 'J'E I '
2~Hl
N
Lectura de S. Olives Canals
~;:-;aA:lE
I\ A 'J'1t
I\[TA [ NE I\TA[' I:!: 'I'A ,\ U T E:
XQ I'IQ 11 1'1" 1
';1'
)[ Q N
(38) S. OLIVES CANALS: "'La Inscripción griego numo 103 del Museo PaleocriSliano de Torrogono", Balet;n ArqueolOgico, oño XLVI, epoco IV, fosco 3 _4 ,
Torrogono, 1946, póg. 41 .
(391 J. TUL LA, P. BELTRAN '1 C. OliVA; " Excovociones en lo necrópolis ro_
mano-cris tiano de Torrogono", Memodo numero 88 de lo JUnIO Superior de Ex _
covoclones '1 Ant igüedades, Madrid, 1921.
p. BATLLE HUGUET: "Les incripdons pogonc-s de lo necrópolis roma"o-crisllano de TQrra,)OnO" , Anuo '; de l' lm lilul d'Eslud,s COllllons. MCMXXVII MCMXXXI , vol. VIII, 8orcelcno, 1936, póg. 3<12, inscripción numerQ 123.
-
269 -
[page-n-338]
20
A. BAUL lLLANA
Incluimos también lo siguien te inscripción .hollado en Torragano, publicado por Mortorell ("lO), que leyó, COn algunos dudas,
en la tercero Iheo PROVINC(iae) LlB(yae), pero es de observar, coso que no tuvo en cuenta, Que no existe uno provincia Libya, y el
uso de Libyo por Africa aparece sólo en inscripciones métri cas (cfr.
C. I.L, VI II , nÚm s. 212 y 9 .018). Serio forzoso suponer qu e el lepicido hubiere errado en este sentido, o bien, que hubiese confundido reg i'o por provincio. coso muy improbable. Personalmen te, preferimos leer provincioe liberto; señelemas o este propósito que fal to lo indicación de lo tribu, lo que se relacionaría con la mención
del eontubernium.
D ,M.
GAVIAE ATHENAID
L. FAB1VS PROVINC.LIB
VICTOR CONTVBERN
CAR ISS IMAE ET
AMANTI SS IMAE
S.T .T.L.
Anólogamente, comerciantes levantinos se establecieron en el
extran jero, y así, tenemos noticias de un habitante de Oslio na tu ral de Torroea, y ot ro de Carlogo Novo que murió no lejos de Lug dunum Covenorum, asesinado por unos so lteadores (4 1).
Creemos que, de los datos expuestos sobre los extranjeros en el
Levante español, se pueden deducir algunos consecuencias. El establecimiento de itálicos como colonos es ~!!9uromente , como yo
sospechó Ros tovtz eff, anterior 01 Imperio, y ti ene su maximum du rante las guerras civile':;; el profesor Gordo Bellido ha ten ido el
acier to de destaco r un texto muy concluyen t e de César (42); asimismo creemos que la te mprano concesión de los , itu los municipales o coloniales o las ciudades del Levante confirma este hecho .
Durante el Impe rio, los descendien tes de colonos itálicos e'stán cons iderados como hispánicos.
Lo aportación de itálicos, duran te el Imperio, es en su mayoría
de funcionarios y militares. También la apor tación d~ la Panonia
(40, F. MARTORELL: " Inscripcions sepulcrols de Torrogono", Anuori de 1' 11110IHul d'Eslud.s COlolons, MCMXV_MCMXX, vol. VI, Barcelona, 1923, pag. 718.
(41, C. I.... , X IV, núm. 397 y XII, núm. 259.
(42, A. GA RCIA y BElLIDO: "Algunos problemas rela tivos o los Invosionl!§
indoeuropeos en Espoiio", Archivo E-;poñol de ArQueologio, XX III, nUm o 82, Modrld, 1951, pOg. 487. El ledo es CAESAR: Bell. Civ. 1, 51.
-
27 0 -
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ECONOMIA y HABITANTES NO HISPANICOS
21
es, igual mente, de tipo mi lita r. La Galio ti ene numerosas relaciones
comercia les con Hisponio, favorec idas porque la toso del portorium
e ro, poro esto último, de un dos por cie nto (quincuogesima hispa.
niarum ) (43). Este comercio fue muy intenso en el siglo 11 , según
los invest igociones de los au lares francese'.; (44). pero sin duda era
ya f loreciente en el siglo 1, a juzgar por lo gran cantidad de vasos
que exportó La Groufesenque. Durante el siglo 11, los ta lleres de
Lezoux cont inúan estas expor taciones, pero se han de en frentar yo
con lo competencia de lo producción de tall e res hispónicos (45). El
come rcio, que en el 'S iglo 1 se realizaba principalmente con la Nar·
bonense, se efec túo ahora con lo Galio Centra l.
Lo oporta ció., de Orien te no puede ser su fic ien t emen te conocido
por los do tas epigráficos. Los he lenos aparecen como actores o in telec tuales, pero es dificil afirmar su nacionalidad .por el sim ple
nombre helénico, sin indicación olgúno de origen; poro el conocimien to de su actividad, es menester recurrir 01 estudio de lo difu-
(43) R. CAGNAT: "Etude hiSloriQue SUI les impOts indi'e<:ls chez les romoins
¡usqu'oux i¡wosions des barbares", Poris, 1882.
S. J. DE LAET: "Protorium", 8rujos, 1940.
R. ETlENNE: "Quadragesimma ou Qu ifI(Juogesimmo hi,..oniorum?", Revue des
Eludes Anciennes, Ll II, 1951, p6gs. 62-70 (poro el comen tario c;.fr . A. 6ALlL
ILLANA: "Lo loso del por lori um en Hisponio" , Archivo Español de Arqueolog io,
XXVI, nUmo 67, Mad rid, 1953, p6gs. 185_1871.
(44 ) E. THEVENOT: "L'impOltolion de produits espognols chez les Eduens el
les Ungons", ReYUe ArchéclogiQue de l'Esl de lo Fronee, 1950, pOg. 65.
E. THEVENOT: "L'Ofigine du vignoble bourgognan", Annoles de Bourgogne,
XXIII, 1951, pag. 253.
Estado de lo cues tión y critico en A. GARCIA y BELLlOO: "Los expor tociont'$
del oceile andaluz 01 Est e de froncia en el siglo II de lo Ero", Archivo Español
do;! ArQueologio, XXV, 1952, 2." semes tre, núm. 86, Mad rid, 1952, póg. 399.
(45) Frente o lo tesis generalmente aceptad o que otribuío o la lorra I;gi ll (ll (l
hispOn ko u:-o di fusión lim¡tado 01 centro de Espa ña y noroC!S te del volle del Ebro,
los ultimas investigociones efectuados en Ampurias mues tra n ,Ier lo obu ndonc io de
ello en los niveles del siglo 11 ; asim ismo hemos podido comprobar lo oparición de
es to cerómico en 1 pil ae romanos de lo Moresmo (Museo de MotorÓI. excovo0$
cion!!"!; de lo Pla zo del Rey en Barcelona (Museo Municipal d e His torio de lo Ciudad, clasificada como gálico) y en los si los de Rubi (Museo Arqueológico de Bor_
celo..,o). Frecuentemen te hemos podido comprobar lo confusi6n de es tos ctramicos
con los gálicos, publicóndolos como toles. En algunos orcos d e lo necrópolis de
Torrogono fucron muy abundantes los hallazgos de lerro l igillata hispónico, corrC'ipondient es o pequeños ..illae.
Es muy posible que lo exportoci6n de totl er!!"!; como los de Mont ons, Bonnosoc,
Rheinzobern, etc., tuv iera uno impor toncio comparable o los de Lo Groufesenoue
o LezOl.lx, pero pocos vect'$ se d lslinguen en la bibliogrofío los especies fabricados
en eS los tollere5.
-
211 -
[page-n-340]
22
A . BAUL ILLANA
si6n de 105 cultos orien tales (46); anotemos sin embargo, que las
anclas cartageneros con la inscripción griego Júpit"r Cauio es el
que salyo y Afrodita es lo que 501,,0, per tenecieron sin dudo a lguno
o naves orien tales: quizá por tratarse de relaciones puramen te de
tránsito maritimo cabe explicarse lo fal to de inscripciones frent e u
lo abundancia de datos da caróc ter religio'SO. Recordemos de poso
que, como ha demostrado Polol, las influencias arqueológ icas orientales durante el Bo jo Imperio y lo época visigodo, actúon o t ravés
del Nor te de Africo, y, anotemos como un dato más, en el dualismo
Bético-Tarraconense, el hacho de la mayor importancio de lo colon ia orientol en lo Bética (47) .
Más importante es lo part ici pación africana. Bien conocida es
la in fl uencia ofri cana en Cortageno, demostroda, en t re o tros cosos,
por lo inscripción del rey Juba . Pese o qu e 'SÓlo conocemos lo existencia de colonio ofri cona en Tarragona y Barcelona, destaquemos
el hecho de que sólo en un caso conozcamos un ofri cono militar,
que, por otra parte, podemos reducir en su mayorío a l Noroeste
(46) Los hallazgos de Attís funerarios en Levante son bastante numerosos:
osi, figuran en lo Torre de los Esdpiones de Torrogono IC. CID PRIEGO: "El monumento conocido por Torre de los Escipiones en los cerco níos de Torrogono",
Ampuríos, IX-X, Borcelona, 1941-48, págs. 131 y 51.) Y otro en lo necrópoliS; en
Mohón noy indicios del culto o Attis y Cibeles IC.I.L., 11 , numo 3.106), uno esto_
tuo de esto .... It'mo hollóse en'Torrogono (HUBNER : "Antlke Bildwerke in Madrid" ,
Berlin, 1886, numo 413), Seropis luvo templ o en Volenc io (C.I.L., 11, numo 3.131)
y Ampurios (C.I.L., 11, núm. 6.IB5). bis fue venerodo en Torrogono (C. I.L., 11, numero 4 .0BO), Aquoe Calidae (C. I.L ., 11 , n.... m. 4.4911 y Volencio (C. I.L., 11, nu_
mero 3.130), etc. Cfr. R. lANTIER: "Les dieux orienloux dons lo Péninsule Iberl_
Que", Homenog~m ) Mortins Sormento, Guim('roes, 1933, p6g. 185. Por lo Que
01 culto de Mithros se refiere, su ext ersi6n y d is tri buci6n geogrOflco en lo Penín_
sula Ibérico, ho sido estvdiodo por el prof. A. GARClA y BELLIDO: "El cullo o
Milh. os en lo Península Ibérico", Boletín de lo Acodemlo de lo HiST
Orio, volumen
CXX II 11948), póg. 283.
(41) F. CUMONT: "Les syri~ns ~n Espogne et les Adon ies o Séville", 5yr;0,
VII I, 1921, póg. 330.
Poro el duolismo Boetico- Torroconense: R. THOUVENOT: " Essa; sur 10 provin_
ce ramoine de BéTique", Po ris, 1940, y el trobajo de P. DE PAlOl SAlELlAS:
"Uno provincia occidentol. . . ", ci lodo en lo flOTa 36.
J . VIVES: "Inscripciones cristionos de lo Espoilo romono y visigodo", Borcelono, 1942, esTudió los d iferencios en el formulorio epig.ófico, y tamblen S. MARI _
NE BIGORRA: " Inscripciones hispanos en verso", Borcelono-MOOrid, 1952, ha se·
ñolado los diferencias en .imo y sintaxis. Sin dudo, un es llldio de lipo económico
y sociol prof undo, permitido precisor es los diferencios.
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212 -
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ECONOMIA y HA BITAN TES NO HI SPANICOS
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peninsul ar (4 8) : la apor tación africano es, pu es, en Levan te, emi nentemen le civil, y ella justifico por sí solo lo dependencia del
crist ia nismo levan tino del a fricano (49). El Levant e no a ctuaba con
relaci6n a Afr ica sólo como exportador de sus propios productos;
por sus puer tos, comunicados en bueno porte con el in terior por el
va lle del Ebro, no sólo se exportaban mercancías y productos de la
Ta rraconense, sino que, na pocas veces, ta mbién los produc tos de
las reg iones limítrofes con lo Bético . Anotemos, f ina lmente, qu e la
dis tribución de las vías, uniendo las pri ncipal es ciudades levan tinas
y comun icándolas con el interior, con tribuía a aumenta r las ventojos de las ci udades ma rítimas cama cen t ros exportadores.
14 8 1 Un es tudio preliminar sobre la aportaci':'n de los africa nos en EspoilO fu e
el lema de nu es tra comun icoción 01 Primer Co"greso Arq ueolÓQico d el Ma rru ecos
Espe ñol: " Los a frica nos resid en tes en España d uron te e l Imperio Romano", que
tiene su com) lement o en "Los relaciones ecOnOmicas ent re Espona y Africo duran_
te e l Imperio Romano", pri mer esbo zo de To n omp lio terno, sobre el que perlsamO$
insist ir.
149 ) Esle ospe<: lo ha sido es tud iado por Palol, ton lo en la que se re fiere o lo
d ,ll.t5iOn d el cris tia nismo (aposTa!odo de Son Cucu late, de Son Fe lilt, e lC.) camo (,1
ospec lo a rqueo lógico {Cfr. P . DE PALOL SALElLAS: "Una provirn;io occid enTal .....
ci l. en lo no to 36, y R. LA NTIER : " l es orls chre He ns de lo Peni nsu le lbérlq ue
et d e l' Af riQUe du Nord ", Anuario del Cuerpo Faculta tivo de Archiveros, 8 iblio te carios y Arqueólogos, Homenaje a Metido, vol. 11 1, M odrid , 1935, pbg. 2571. El
o frican,smQ del cnslio nismo hiSpÓn ica fue defendido ya por el por Ivgués Olrveiro
Manins. s¿,olemos que el obis;>o Son Paciono 00 se hubiera preocupado mas d e
lo que $.I! prl!OCupO por lo herejio novodona si es to se hu biera desarrolla do en 5U
d ic.cesl$.
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PEDRO DE PALOL SAL ELLAS
(Uc rnM )
Una representación del Martyrium
de Jesucristo en el Museo Lapidario
de Narbona
Una de las piezas capi tales del arte poleocristiono del Occidente del Mediterróneo se guarda entre los antiguos fondos del Museo
Lapidario de Narbono . Muy poco difundido, y entre nuestros orqueólogos prócticamente desconocido, Ilomó poderosamente nuestro
otención uno posible lI'eproducción del sepulcro de Jesucristo talla do en un solo bloque! de mórmol de las canteros del Pirineo, ObSl!rvóbomos que lo pieza narbonense no hobía sido estudiado por el
profesor Grabor en su magnífico " Mortyrium" ( 1). 01 describir los
monumentos que se hablon edificado en el cen t ro del Anás tasi s
del sepulcro de Jesús. Tampoco aparecía citado dicho elemento arqueológico en lo descripción, reciente, que del Santo Sepu loro se
publicaba en el "Dictionnaire" de Cabral -Lec1ercq (2), aunque en
este Diccionario se estudiaba el ejemplar de Narbana en el a rt icu lo
"Memoria" (3) ,
Nues tro interés venía acrecen tado por la aparición de un estudio de F. Benoit sobre 105 reliquios de Son Cesóreo de Arlés (4),
( 1) A. GRA BAR: "Morlyrillm. Reche.cnes ~r le clllte des reliques el I'o rl
ch,é tien anl ique", Collége de F.ance, París, 1946. Dos voh::'menes de lexto y ur.o
de IÓmir>as.
(2) H, lEClERCQ: "Soinl-5epulcre", er: Dlctionnaire d'Archéologie Chrelienne el de Liturgie, fose. CLXVI_CLXVII , PGrlS, 1950,
(3) Arlicula "Memorio" e n el Docl ionnai'e d Iodo en no lo an tedat.
14} F, BENOIT: "Lf'$ . ellquf'$ de So¡ol Césoi.e, Archev~lle d'Arles", Cohiers
A.chéolog¡qlles. F,n de l'Anliqui te el Moyeo Age, 1, 1946, ¡,~. 21 y ss ..
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2
P. D1:: PAlOl SALElLAS
donde aparecía una representación plástico de lo que debió ser el
Sonto Sepulcro en los obras de embellecimiento que real izó Constan tino, y que concordaba perfectamente con lo reproducción del
mismo que hollamos en Norbono.
Reun imos todo la bibliog rafía concerniente y preparóbamos ;Jn
pequeño ar tículo de los represen taciones en el arte poleocristiona
del sepu lcro de Jesucristo con la inclusión de la pieza narbonense,
cuando tuvimos noticios de la existencia de uno comunicación a la
"Acodemie des Inscript ions el Sell es Le ttres" de Pa rís del profesor
Roymond Rey de Toulouse, que daba, precisamente, lo in terpretoción que había mos pensado paro el monumen to de Narbono, ut ilizando, en port e, los m ismas no t icias bibliográfi cas que t en íamos
reunidos (5) . Por ello r.enunciamos de momen to a nuestro propó_
sito, pensando dar a conoce:- O los inves tigadores españoles lo magnifica y raro pieza, como hocemos en esto noto redactado principa lmente a base de la comunicación del señor Rey,
Mós tarde hemos hablado de este problema concre to con el profesar Grabar, que nos ha expresado sus dudas en esta atribució,
del mórmol de Narbona, m otivo por el cua l no lo incl uyó en su
obro, Nosot ros creemos en -el interés de es to representación y no
dudamos en publicarlo, señalando lo posibilidad de que s"a real ·
mente un facsím il de la edificadón del centro del Anóstasis constantiniano y, en todo coso, o pesar de los grandes a na logías que
ti ene con las demás representaciones plás t icos que tenernos de t a l
cons trucción, el mórmol narbonense es uno pieza de capi tal impor.
tanda poro explicornas ciertos contactos est ilís t icos en tre Ori ente
y Occidente du ran te los siglos IV, V Y siguientes.
l a primera publicación cie'ntíti ca del edículo de Narbona se
debe a l a bbé Sigal (6) . En su estudio, que ca lificaba lo pieza como
un re li ca rio o memorio reliquiorium, y en 10 noto d e Rey del año
1949, pueden hallarse todos los do tas bibliog ráfi cos completos anteriores a sus respec tivos estudios, que no creemos necesario resu mir aqui. Presen tan los circunstandas de su ha llazgo en lo propia
ci udad de Na rbona, lo que hoce con jeturar o Siga 1 con pleno rozón
,
según nu estro juicio, qu e debió servir poro relicario de 10 ca tedra l
(5)
R, REY : " Lg Memor;g S
d~ I n~r;plions el Belln Letlrn, 19<19, PP. 21 y u ,
[61 A!>be L. SIGAl: "Un reliqua;re dv Ve. ~¡k le (luculus ou Memoria re;'quiarum) (IV Musee Lapido;'e de No,bonne", Bullelin de la Cornmission Archeobglque de Narbonne, 1924, lome XVI, ler pol lie, pp, 14 y u.
RernJus de l'Acodemle
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EL MARTYRIUM DE NARBONA
3
del siglo V construido por Son Rús tico obispo, en el año 445, sin
notar los profundos seme;onzas que con el martyri um de úisto
representaba esto arquitectu ra. El art iculo del "Dictionnair~" de
Cabrol-Leclercq que hemos citado lo reproduce con los mismos tér ~
minos inspirado precisamente en el estudio de Sigol. R~y, por su
porte, desonrolla plenamente lo con;eturo de seme;anzos anunciados, yo, por el canónigo Soltet (7), por el abbé Griffé, por Cotard,
Sig:J1 y Héléna (8, 9) qu~ señalan la posibilidad explícito de su propósito de reproducir el Santo Sepulcro.
Rey, pues, en su nolo, do todo esto bibl iografía y cote;o con la s
restan~s representaciones o descripciones del martyrium de Jesu cristo llevando has to el final esto posición.
El mórmol del Museo de Norbona reprodu ce (lóminas 1 y 11 ),
con el máximo delall~,
edificio religioso cuyas forma s y es tructuras decorativos no corresponden a 105 modos arquitectónicos qu ~
conocemos en el Occidente en época poleocristiano. Se t rota de
uno pequeño copilla fo rmado por una porte anterior o manero de
vestíbu lo o pronaos, según expresión de Sigal, en formo de pórtico
con cuot,ro columnas, dos en 10 porte delantero y otros dos en lo
posterior. Es lo parte más destruido del monum~n to. Los columnas
estaban unidos por uno transenna colada con orcos semicirculares
alternados, ton corrientes en el mundo poleocristiano. Los columnos
superpuestos sobre basamentos y capiteles corintios, de facturo
completamente orientol, sostenían un frontón con arquitrabe curvo, por los fragmentos que de lo misma se conservan. Lo porte
esencial del edificio estaba cubi~ta por cúpu la y en su interior,
formado por dos habitaciones separados: lo an terior en contacto
con .el vestíbu lo, de plan to semicircu lar, cubierto por una pechina
que adorno la bóveda en cuar to de esfera. Por uno pequeño enll:'ado rectangular, esto nove comunico con lo último cámara in terior
del edificio, cuyos paredes están levan tados en disposición poligonal y en el fondo aparece como uno especie de banco, ta llado ~ n
lo mismo piedra adosado o uno de sus muros, quizá recuerdo del
sepulcro de Cristo según nos viene descrito por los peregrinos.
UI'
(7) Bunet;n de lo Société Ard~ologiQue du Midi, Toulouse, 1930. R. REY:
Ob. cit. en nora 5, pag. 23.
181 E. GR IFFE: "Histo;re religieuse des anciens poys de l'Aude", París, 1933,
p6g. 48.
(9) "Lor>Quedoc medilerranéen, Aude", 1931.
R. R~Y: " L'An raman en ses origines", París, 1945, p6g. 42, nota 31.
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4
P. DE PALOL SAL ELLAS
Por el exterior, esto doble disposici6n desaparece y todo el edificio t iene uno perfecta unidad. Siguen las columnas que adornon
los aristas de las seis coros de este exógono. Desgraciadamente los
columnas han desaparecido, pero conservamos los basas y los capi ·
tel es del tipo del peristilo anterior. Un a rquitrabe corrido, siguiendo lo disposición poligona l de la planta de lo nao, t iene gran interés por recordarnos, como veremos, ciertos elementos decorativos
del circulo bizan t ino; y finalmente, uno cúpula achatado, poliédrica, de ocho paneles decorados rectongu larmen te con los m ismo:;
molduras del arquitrabe que sostienen los columnos. Lo port e superior de 10 cúpula tenía uno ranura poro insertar uno cruz o algún
otro elemento arqui tec tónico. Lo pared exterior de es ta nave in terno ti ene, también, Una apertura rectangu lar Que permi t ia introdu cir la mano en el interior de la pieza .
Desgraciadamen te no poseemos ninguno representación en vo ·
lumen de lo que debió ser el martyríum de Cristo en las reforma s
de Constan t ino. Pero es perfectamen t e posible comparar el tipa de
edificio Que represen to el mórmol de Narbona con las representaciones lineales que del ma,tyrium tenemos. En p'rimer lugar, lo for mo externo del edificio poligonal con columnas sobre bases corin,tías y capi teles del mismo estilo sosteniendo un arquitrabe tallado
y todo ello sobremontodo por uno cúpula poliédrico decorodo rodial mente, nos aparece reproducido en el broche de marfil del obispo Cesóreo de Arlés, muerto en el oño 442. Esto forma arquitectónico es lo porte superior de un edificio rectangulor que encerraría
el sepulcro, como oparece en lo escena de lo resu rrección del fa moso marfil de MilÓn. En los conocidos ompullae de Manzo, lo identidad de la representación con el edículo de Norbono corresponde
o lo visión del mismo desde la porte fron tal. Aparece el pronaos
o vestíbulo con su pórtico sostenido por 'dos columnas y entre ellos
lo caracteristica transenna . P,etO en lo s propios ampullae existen
variantes sobre lo represen tación del San to Sepulcro (I al . Aparece
entre ellos un edículo poligonal donde las columnas estón unidas
por arcos que sostienen uno cúpula cónica caronada por uno cruz
Otra forma mós estilizada, mues tro cuatro enormes columnas, d!!sproporcionados, con la puerta del edículo, Que tiene, en lo porte
superior, un alta frontón, que parece Que cubre lo tumba encerra-
P O)
H. lEClERCQ: Ob.
( ji .
en no lo 2, (01. 529-530 .
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EL MARTYRIUM DE NAR BONA
5
do dentro de re jos y cubierl a, también, por un tímpano y por una
cruz . Existe, además, otro formo todavía más estilizada, conser ·
vóndose,. únicamente, las columnas, los arcos, lo re jo, la cruz y la
cúpula. Es interesante la ....epresentación del interior del sepulcro en
estos ampullae; según Vincent ( II ) los rejos abiertos dejan ver
"en el interior, uno especie de losonje en el primer plano, y mól
lejos uno hornacina; el primero represento, sin duda, lo que hoy se
llama la piedra del Angel y que los antiguos veneraban como los
res tos de lo puerto del sepulcro que fue roto por lo victoria de Jesús
sobre lo mu erte y el segundo indico el Sepulcro del Salvador. En
el mi smo id ioma iconográf ico estos dos elementos explican lo dis·
tribución interior del monumen to en dos solos".
No son estos los únicos concomitancias en tre las an t iguas re ·
presentaciones del Santo Sepulcro y la pieza del Museo de Narbono. Si examinamos el morfil del Evangeliario de Gonnat, y las m i·
niaturas del manuscrita de la Ambrosiana reproducidos por Grabar, así como algunos de los incensarios coptos en bronce que este
autOr tambiim cita (12), halloremos uno identidad de elementos
arquitectónicos y decorativos que se avienen perfectamente con lo
inte~pretación del mármol narbonense.
Ver~mos cómo esto disposición arquitectónico responde, con
bastante fidelidad, a los pocas descripciones que de los Santos Lu·
gares nos han llegado, proporcionados especialmente por los peregrinaciones o Ti erra San to de los cuales debe proceder, con todo
evidencio, lo ideo arquitectónico que permitió tallar los estructu·
ros del mármol de Norbona . Utilizamos poro estos notos, además
de los referencias de Rey que, como el propio autor dice, proceden
de lo obro de Grabar, los noticias publicados más recientement~
en el "Oictionnoire" de Cobral-Ledercq.
De los textos presen tados por Grabar y del estudio que este au tor hoce .de los monumentos y edif.icociones alrededor del marty rium de Cristo, aparece ún icamente citado lo forma total externo
de l Anástasis en los descripciones de Eusebio, pero en Willibando
pr incipalmente, hollamos lo noticio de que, poro armonizar con es-
( 11 1 H. VINCEf'lT : "Quelques repnhen lotions onliq .... es d .... S. $épulcre cons·
lonlini_n", RevYe BiblJq .... e, X, 1913, póg. 104 .
H. LECLER:CQ: Op. di. en nolo 2, col. 529, noto 4.
(i2j A. GRABAR : oo. d t. en nolo " 10m. XV, 9 y 3. Vol .... men lel':lo " póg.
5B9, f igs. 19,20 y 21.
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6
P. DE PALOl SALEllAS
te rotonda constontiniona elevado alrededor del Sepulcro, lo roca
de éste fue d ecorada y tollado en formo de edículo. Lo describe
con mós minuciosidad el peregrino Bernardo el Monje, que cita:
.. ... colonnos in circuitu sui (sepulchri Domini)" y " (inter quas) po·
rietes optimis lapidibus", paredes que, según las representocion~s
del siglo V I, serían caladas, pudiéndose .reconocer en los mismas,
los conceles qu e ci ta en varias partes Eterio (13). Grabar por2C~
inclinarse o que estos const rucciones no fueron tollados en 10 roca,
sino que "rodeaban el sepulcro" " ex quibus nove m columnis quat·
tuor lunt ante foc:iem ¡psius monume nti (lo roca). quae cum suis
porie tibus cloudunt lapide m, corQm sepulchro positum, que m ongelus re,.ol,.it". Esta es Jo m isma descripoi6n que Photias com ple tará
con pocas variantes, dando por -e jemplo once columnas en lugar de
nueve.
Según Rey, la descripción de la piedra en los itinerarios de Eterio -o lo cual o pesar de los recientes estudios que demuest ran
claramen te ser españolo, concretamente de Golicio (14), considero
galorromano, dic2 posiblemente de lo Aquitonio- corresponde en
todo o esto fo~ma arquitectónico con su peristilo, sus canceles, lo
celIa anterior, etc.
Vemos, pues, las anologíos que estas descripciones presentan
con -el llamado relicario de Narbono. Por otro porte, lo evidencia
de sus formas arquitectónicos y decorativos nos habla de un monumento único en el Occidente, cuyos elementos son plenamente
orienloles, desde Jo construcción en cúpula cónico, hasta lo decoración de los paneles de lo mismo, con molduras rectangulares qu e se
repiten precisamente en los arquitrabes y que son una formo decorativa m uy fr ecuen te en -el mundo del circu lo bizan t ino, que ho lla_
mos, por ejemplo, en piezas del grupo estilís ti co del magn ífico ambón de Salónica o de las basílicas de Filipo en Macedon ia y que
aparece -en todo lo decoración bizantino de los siglos V y V I Y poste riores.
Es de notar, también can interés, lo observaci6n que hace Grabar (1 5 ) en su libro tontos veces ci tado, de los dimensiones reduci das qu e debía ten er el edículo que encerraba en el cen t...o del Anásta sis el Santo Sepulcro, que en los representaciones pl6sticas que
A. GRABAR: Ob. cit. en mto 1, yoll.HTlen 1, pOgs. 21'1 y 279.
Z. GARC1A y VILLAOA: " HistOfio EdesiÓ5tico de Espoño", tomo 1,
porte, Madrid, 1929, pOgs. 269 y ss.
'
(15) A. GRABAR: Ob. cit. en mIO 1, volumen 1, pOg. 273.
113)
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PALOL SALELLAS._EI Morl y, ium do Norbo"o
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EL MARTYRIUM DE NARBONA
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del mismo nos han llegado siempre aparece como un pequ eñísimo
y elegante edificio. Así, por ejemplo, en el broche de cinturón del
obispo Cesórea de Arlés, los soldados están apoyados sobre el zócalo prismótica que sostiene la cúpula . La plaquita de la colección
Trivulci las representa sentados sobre esta plataforma, etc ., etc .
De ser realmente la pieza del Museo de Narbona una restitución
de esta construcción del centro del Anástasis, no sería muy difícil
calcular o qué escalo esta reproducción está hecha, no al e jándose
sus dimensiones demasiado de uno tercero parte de l original, qu~
los citadas represen taciones y Jos datos de los peregrinos -que di cen qu e en el interior del ediculo habia que penetrar agachado y
que en el in terior de la úl t ima sola, f.rente al Sepulcro de Cris to,
sólo cabían tres personas a las cuales les ero dificultoso levantarse- permiten establecer.
Este bello ejemplar de mármol de Narbona apenas si aparece
ci tada entra nosotros en 10 bibliografía científico . Lo conocieron el
Rvdo. Serra y Vilaró (16), que lo cita ocasianalment..?, utilizando
una nata de l Dr. Vives (17), que tampoco vio el alcance que sus
formas podían tener. Por ello hemos creido necesaria darla o conocer utilizando especialmente las estud ios citados de Grabar y de
Rey. El edícu lo narbonense debe añadirse o lo largo serie de ele mentos arqueológicos que llegaron al Occidente por medio de los
peregrinaciones de gentes occidentales y hallamos en falto la cito
de uno pieza de esta belleza y de esto importancia -pues to que de
confirmarse realmente ser una reproducción del San to Sepulcro de
Jerusalén, serio otro prueba de lo fr ecuencia con que fue visitado
este Santo Lugar- en obras de ton ta ambición e interés como lo
publicado hoce poco tiempo por Salín (1 8), donde ton to importan .
cia hist6rica adquieren, paro este autor, las relacion'!!s con el Oriente cris tiano en tiempos de las grandes invasiones.
(16) J. SfRRA I VILARO: "Fru<:tu6s, Auguri ; Eu log l, mOrlis Sonts de Torro_
gono", Torrogono, 1936, póg. 61.
( 17) Rdo. J. VIVES; " UflO inscdpció "isto,ico deIs MOrlirs de Torrogono" ,
Anol~lo Sacro Torroconensio, 1933, pógs. 248 y n .
PS) E. SAUN : "lo civilisolion meroving ienne, d'opres les sepuflu rH, les ' ell'
IH el le loboroloire", 2 vals., Poris, 1950-1952.
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INDICE DE I'\flTERlflS
Abrigos bojo roe o: 21, 29, 31 033,39,41 y 6 2.
Aceite: 110, 126, 228 y 254 n.
AceilUnO$: 226.
At us erinolis: 99, 192, 194, 195,215 y 221.
Adobes: 7'1 .
Adorno, objetos: 53 a 56, 59, 60, 16 y 83.
Afil a dores de piedra: 51 , 21 4 y 215.
Africo nos: 212, 2 52, 2 59, 261 (1 269, 212 y 213 .
Agr icult u ra: 59, 62, 66, 83, 228 y 253 o 2 55.
Agujas plonos de hue so: 43 , 57 y 60.
Ajuores: 26 y 83; _ funerorios: 2 6, 62, 9S y 177 o 185.
Alaoostrones: 154.
Alcachofas: 255.
Alcornoqun: 2 53.
Alfabeto I~rico: 2 0. 21 , 107 n. y 159.
Alfo rerío: 212, 213, 221 (1231 y 211.
Ali men tación, al imentos, com ido: 8 2, 83, 99 y 122.
Almeriense, culluro: 62.
Alquilro n: 253 .
Ambo,: 60.
Ambon e5: 280.
Ampulloe: 278 y 219.
Anog lypho : 240.
Anos tosis: 2 75, 216 y 219 o 281.
AneJos: 2 58 n. y 272.
Anf oras: 221, ZZS (1 231 . 2 52, 254 n., 2 55 y 256.
A"'or illas: 119, 193 y 2 08.
A"illas de brooce: 96, 194 y 197; --de h ifiro: 195; --de piedro: 2 14 y 21 5;
--de piOl O: 179.
Arcoismo: 14 9 o 151, 156 Y 265.
Arci llos: 7 , 43,6 1,73 y 74 .
Argór ico, culturo: 11 y 61 .
Armos: 83, 99, 149, 15 1 Y 181.
Ar rocodos: 4 5.
Arte e trusco: 155; -geom'trico: 150, 152 y 156; ---griego: 150, 152 y 156;
- lbi,ieo: 147, 148, 151 y 156; -poleocristio"o: 27 5 o 261.
Arybo ll os: 155 'l .
Asperón: 8, 13 y 14 .
As tr6golos: 131, 197 y 2 15.
Astronomío: 97 .
Av~: 57 y 255.
Az oboche: 5 4, 55, 194 y 222.
Azuelas: 8, 11, 13y59.
8órboras, pueblos: 93, 100 y 217 .
80rbo ti"o: 142.
Borcufie"se: 231 .
Bosillcos: 280.
Bostetonos: 105, 106 y 108 n.
Bellolos: 74 o 76 y 83.
Bermellón: 2 56.
Bizont ino: pueblo, or le, elc. : 21 1, 2 59 , 278 y 280.
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[page-n-354]
Boneles: 152 y 153.
BOlone$: 193 o 195, 191 y 216.
Brozofete$: f94 y 222.
Breun;: 85.
Broches: 218 y 281.
Bronce, objetos de: 44, 45, 60, 94, 96, 98, 99, 105n., 141, 141 o 158, 171, 119,
192 o 195, 191,216 o 220, 251 y 279.
Bronce, !'dad: Ver "Edad del Bronce".
Bueye$: 99.
8urg5101l : Ver "Casten;eri".
8urile$: 53.
Caballero de Lo Baslida: 147 o 158.
Caballero en b,o.'1ce: 1410 148.
Caboños: 60, 91, 93 o 95 y 100.
Cabros: 58 y 99; -monleses: 99.
CadeniUos de oro: 194 y 216.
Col: <14,62 y 73.
Calices: 171.
Calizo: 54, 55 y 51,
Callo;s: 54.
Compiñense, culturo: I1 y 14.
Com~s de urnas: 101 .
Canceles: 280.
COpOChos: 255.
Copillas: 271.
Capitalismo: 2 53.
Capiteles: 271 y 218.
Cópridos: <14 y 56.
Caracoles: 56, 76, 203, 208 y 255.
Carbones: <13, <14, 58, 61, 15, 76, 79, 100 y 109.
Cordium: 44, 46, 56 y 58.
Cortogines, poueblo, arte, culturo: 68 y 256 n.
Coscas: 149 o 156.
Coslelir, Coslir, Coulier, Costelor, Cas telero, Costelol, Costin, Coslio;" Coslac,
Coslelaz, Cos tel pogono: Ver "Castellieri".
Costellors, Castellares, Coslillores, CosliUllos, Coslellets: Ver "Caslellieri".
Costellleri: 85 o 104.
Costellum: 2 17.
Colos: Ver ",A.brigos boja roco".
Covotici : 2 55.
Cazo: lOO.
Cozodore$: 59.
Cebada: 255.
Celta, cé ltico: pueblos, orle, culturo: 83, 151 n., 212, 213 y 217 .
Cellismo: 157 .
Ce<1;zos: 43, 44,6 1,69, 72 o 75, 79 y 109.
Cenomoniense: 7.
CerÓnlico: 14, 17, 25, 31, 32, 42, 44, 46 050,62,69, 72,73,75, 71 ~ 83,
96, 98, 105 o 139, 159 o 176, 187, 190, 197, 205 o 214 y 257 ;
---ético: 108, 132, 136, 138, 139, 141 o 145, 154, 157, 16 1, 164 o
166, 171, 17 5 y 178; ---élico de figuras negros: 180, 181 y 183;
---élica de figuras rojos: 108n" 122, 127, 138 y 166; ---de Banonoc:
221; ---de borniz negro: 105 o 139, 141 o 14 5, 156 y 160; --
143 , 144, 156, 159 o 176, 185 y 205; --
y 62; --
78,81 y 82; --
214 y 222; --gris ompurilano: 20 y 180; --I>o1l510 1lica: 32; - ibérico:
li, 20, 68, 10i, 10Bn., 151, 152, 156, 159, 160, 163, 176, 190 o
195, 197, 202, 203, 205 o 21 0, 2 13, 214 y 222 ; ---de Ischio: 11;
--neolítico: 16 y 60; -precomponien5e: 105 o 139, 145, 156, 160,
167 y 175; -punt illado: 4 6 y 47 ; -i"omono: 20,6B, 193, 2 13 y 219n.;
-sigillolo: 197, 203,2 12, 213, 216n., 221 , 252 y 271; - sigilto to hispá_
nico: 195, 191 , 203, 209 o 21In" 222 y 271; - lardo- romano: 21 e n.,
213 y 214 ,
-
28<1 _
[page-n-355]
Ceroun;e: 257.
Cerdos: 44, 56, 58 y 99.
Cereoles: 22B, 253 y 255.
Cerelon~: 255.
Ciervos: 99.
Cipos: 239 a 241.
Cipreos: 44, 58.
OSIOS: 95; -de bronce: 98 y 99.
Clavos: 194 y 197.
Cobre, obje tos de: 44, 45, 60, 74, 76, 99, 192 o 195 y 197.
Coleceion: A. Vogell (Korlsruhe, Alemania) : 142 y 143; - Ballester (Volenc;.]j:
37; --C. L. F. Ponckoocke (&ulogne-sur-Mer, FrO:"lcio) : 143 ; -Cliflord Kack van Breugel (Leyde, Holanda): 1<12; - Triyuki (llolio): 281.
Colgan tes: 43, 55, 56, 58, 60 y 99; -Qconolad~ de huesa: 43, 56, 60 '1 é: 1.
Colmenas: 20B.
Colmillos: 58.
Columnas: 277 o 280.
Columbelos: 76 y 83.
Collares: 31,42 o 44, 54 o 56, 59, 60, 76 y 221.
Collegium centonorior um: 257.
Comerdo: 105n., 139, 142, 144, 176, 185,226,252 o 260, 270, 271 y 213.
Comisarios de EKcoyoclones Arqueol6gicos: 23, 28, 31 o 33 y 187.
Conchas: 54 o 56 y 58.
Conqu isto romano: 86, 253 y 255.
Cons trucciones: 16, 19, 69 o 75, 82, 87, 90, 94, 160, 197, 199, 200 y 215
o 281.
ConleslonQ$: 105, 106 y 108n.
Copas: 132 y 137.
Capelos: 97.
Copto, orle: 279.
COtol: 190.
COtcho: 57 y 2 53.
COtí nt io, orle, pUeblo: 151n., 152n., 153, 155, 211 y 218.
COtmofOn: 255.
COtsa, 9ueblo: 252.
Cróneas humanos: 58, 96 y 188 .
Cró teros: 124 o 121, 137 Y 169.
Cremaciones: Ver " Incineraciones".
Cre tense, pUeblo, orle: 152.
Crislol de roca: 57.
Cris tiano: orle, cultura, elC.: 210,212, 219.,".,221,259,266,267, 273 y 275
a 281.
Cronología: 62, 63, 83, 95, lOS, 108, 110, 120, 122n., 123, 127, 131, 136,
139,1410 145, 147, 160 0185,209,2110 214, 2 16 o 222, 229, 233,
242, 246, 254, 260, 261, 26<1, 265, 267, 268, 271, 216, 211 y l~ J.
Cuarci la, objelos: 72 a 77 y 83.
Cuchillos de piedra: 31,42,61 y 194.
Cuencos cer6mica$: 21, 74, 78, 79 y 205.
Cuent os de callar: 31,42 o 44, 54 ,55,59,60,76,83,190,195 y 221.
Cuerdas: 151, 253 y 255.
Cuevas, con restos ibéricos: 187 o 223; -sepulcrales: 26, 27, 29 y 35 a 64 .
Cuila: Ver "Religión".
Cursos Int ernacionales de Esludias Ligur es: 108n.
Cyalhos: 171 .
Chopas metólicas: Ver "Lómlnos".
Defensas: Ver "Fortificaciones", "Murallas", "Torres", etc.
Dentotium : 43, 44 y 56.
Despoblados: Ver "Poblados".
Dientes, de animal: 44, 56 y 58; ---horadados: 44 y 56; - humanos: 58, 63 y 64
Dienles de sierro, de sileK: 43.
Dioses: 147, 157, 158 y 261.
Discos, de eer6mico: 150, 1S I y 158; --de piedra: 202; -de vidrio: 190.
Dólmenes: 11, 14, 19 a 21 y 23 a 33.
Domesticación: 99.
Ebusilonos: 256.
-
285 -
[page-n-356]
Economio: 251 0273.
Edod del bronce: 29n., 49n., 6 1 063,67,69,77,83 o 85, 96, 99, 100, 101n.
y 197; -del Hierro: 30n., 85, 88, 96, 98 O 101 y 219n.; - de lo p;~ .
dro: Ver " Poleolítico" y " Neolítico".
Edetonoli: 106.
EdiClo de Oiac leciono: 2 54n. y 255.
Eneoli tico: 17,29,31,85,96 y 100.
EnlO$odos: 2 5 V 75.
Enlucidos: 7 1, 73, 75 y 82 .
Enterramient os: 29n., 3 1, 35 o 64, 174 Y 209.
Envoses: 253n.
Eplgro fío: 225 o 2<19, 251, 2 52, 2 57 V 259 o 273.
Eplto flO$: 2n o 24 1 y 243 o 249.
Eseltos: 153n.
Esclavos: 258, 26 1 V 266 .
Eseoplos de piedra: 8 y 1 l.
Escud ill os: 191.
Escudos: 149 y 151 .
Esfinges: 154.
Espadas: 99, 149 y 151.
E ~or to: 17 , 253 y 255.
Esqu eletos: Ver " Huesos humonos" .
Estompill os: 145, 225 o 227 y 229 o 231.
EstóluO$- menhir: 96.
Eslot ui!los de bro nce: 94 , 96, 105 n., 147 o ¡ 58 V 257.
Esleolito: 54.
Elruseo, pueblo, orle: 99, 153, 155 y 156.
Evo ngeliorios: 279.
ExporT iones: 144, 227,252 o 251, 271 y 2 B.
ac
Ex lro njerO$: 251 o 273.
EXYOT
OS: 147 y 156 a 158.
Folco tos: 151.
Fauno: 58.
Fíbulas: 99, 203 y 217; ---griegos: 177; -hispOnicos: 177 O 185; - pot t .Jgue-sos: 2 17 .
Fig lino: 228.
FillrO$: 208.
Flomen : 2 58n., 262 y 26 3.
Flamenco, oye: 2 55.
Focens~, orle, pueblo: 177, 180, 185 y 254n.
Fondos de cobaña: 60, 9 1, 94 y 100.
For to let.os: Ver " Fort i ' iCCK ion~".
Forllficociones: 16,37,70,85, 88 o 90, 93, 96, lOO, 197 y 199.
Fósiles: 19 1 y 22 1.
Fronco, pueblo: 254n.
Fundus: 226 o 229.
Fusoyolos: 19 1.
Go lerios cubiert os: 14.
Go la, pueblo, orle: 10 t , 252, 2 59 a 261, 27 1n. y 280.
Go noderi o: 59, 66, 255 y 2 56.
Ganaderos: 59.
Gorum: 226, 2 53n. y 256.
Gemelos: Ver " Posadores".
Genoun lo, pueblo al pino anllguo: 85.
Germó"ico, pueblo, orle, elc.: 2 12 , 2 17, 264 y 265.
Geschli r: Ver "Caslell ieri".
Gno t. lo, estilo decorativo: 127 , 137 y 169.
Godo, pueblo: 213 .
Grobados parieT
ales: 7.
GrolitO$: 91, 124, 127, 172 y 182; - ibéricos: 20, 2 1 y 107n .
Gron 0;0$0: 151 .
Greco-cOfintios: 149.
Griego, pueblo, or te, culturo: 105n., 107"., 111, 117, 145, 150, 15 1, 15 3, 155
o 157, 160, 168, 177 o 179, 184, 185,212, 2 15,229,236,241, 249,
252, 258n., 2 59, 266, 271 y 272.
-
286 -
[page-n-357]
Guerro: 68, 86, 90, 95, 100, 105,221, 2 54«0. y 270.
Guerros I)\:,"icos: 68 y 108.
Guerreros: 89, 147 o 158 y 181.
Gu lluS: 131, 137 y 170.
Hachas, de pied ra: 8, 10, 13, 14 y 59; -de me tol con olctos: 99.
HolIs tottico, cul turo: 32 y 151 n.
Hebillos: 195, 21 6n. y 217 o 220.
Helenistico, orte: 21 , 105n. y 156.
Helix ollonensis: 76.
Herejío novotiona: 273n.
Hierro, edod : Ver "Edod del Hierro".
Hierro, objetos de: 194, 195, 197 , 20 3,216 y 256.
Higos: 255.
Hi!il;)Ono-mouri tonos: 62 y 77 .
Hoces: 83.
Hogares: 43 y 73.
Holas, de silex: lO, 42 y 53 .
Hornacinas: 200, 20 3 y 279 .
Hornos de alfarerio: 17.
Hueso, objetos de: 42, 43, 56, 57, 60,61 , 76, 192 a 195, 197 y 1 15.
Huews, de animal: 41, 43, 44, 58 y 99; --humanos: 31n ., 36, 41 , 4 3, 44, 5a,
59,6 1,62,96 y 197 .
Ibérico, pueblo, ar te, cuhuro, ele.: 17,20,21,84, 105 a 139, 141 o 145, 147
o 159, i90 o 195, 197, 202, 203, 205 o 21 0, 2 14 , 216, 217 , 221,
222, 229, 253n. y 254n.
Ibero- romanos: 17, 19 o 21, 68 y 187 o 223; -5ohor;onos: 62 , 63 y 7 1.
Idolos, oculados de nuew: 60; -planos de hueso: 60.
llioda : 154 .
Ili rias: 155.
Imperio Romano: lOO, 209n., 2 1 In., 219n. o 222, 248 y 251 0273.
Importaciones: 106, 1 10, 144, 159 o 176, 257 y 258.
Impronta: Ver "Estampillas".
Impuestos: 271.
Incensarios: 279.
Incineraciones: 95 y 178.
Indust rio: 2 57; - vinicolo: 254 .
1nhumociones: 35 o 64 , 95 y 217; - segundos: 35 O 64 .
Inmigraciones: 86, 101 y 157.
Inscripciones: 94 , 96, 197, 204 , 208, 21 0, 231 , 241 , 242, 252, 258n., ~59
O 270 y 272.
Isarcio, pUeblo retico; 85 .
Itálico, orle, pueblo, etc.: 156,25 1, 252, 254, 2 57, 258, 261 o 264 y 270.
IIO,"Olos: 138 V 166.
Jabalies: 56 y 58.
Jamones cerela nos: 255.
Jorros: 179 y 180.
Jaspe, objetos de: 8.
Jonios: 107n. V 180.
Judíos: 266.
Kalat hoi: 20, 108n., 190, 195,203,205 y 253 n.
Kylix : 127 a i29, 135 V 168.
Lomelles de piedro: 10 y 14 .
Lóminas de hueso: 43 , 56, 57, 195 y 197; ----de metal : 44 , 4 5,192 0195. ,97,
203 y 216; ---de piedra: 8, 10, 12, 43 y 44.
Lanzas: 151 y ¡81.
Lañados: 49 y 191.
Lápidas sepulcrales: 232 o 237 y 241 .
Lascas de piedra: 72 y 76; - de sílex : 43 , 44 Y 53.
Lo Tene, cul luro y período: 87, 88n., 95, 99, l OO, 151n., 185, 117 y 2 19n.
Louranen\.eS: 2 54.
Layelanos: 254 y 262.
Legión VII : 260, 261 y 269.
Lekythos: 160, i78, 180, 181 y 183.
L~ t ras, ib~rica5: 20, 21 y 208; _ Io tinas: 226, 227, 230 O 2 36, 239, 240, 242,
246 O 24 8 y 259 a 270.
-
287 -
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Libertos: 236, 249, 260, 262, 265, 266 y 270.
Lignito: 54.
Lino: 257.
Lobos: 86.
losetas: 57.
lucernas: 21, 131, 170, 174, 175 y 191.
Modero: 58, 194 y 253.
Mogdalenie-flSf!, culturo: 7.
ManuscriTOS: 279.
Ma"os $Obre cerómico: 227, 229 o 231, 252 y 2 54 o 256.
Marfil : 155, 193,278 y 279.
Martyrium de JesUCrisTO: 275 o 281.
Medi cino: 255 y 257.
Medloevol: 93, 100 y 213.
Mediterróneo, tipo, culturo: 14, 101, 144, 147, 150. 157 y 158.
Megol1tos: 14, 19 a 21 y 23 a 33.
Mercenarios: 255'1.
Mesenios: 153.
Mesolitico, culturo: 68.
Metal: Ver "Cobre", "Hierro", "Bronce", "Oro", "Plato".
Miel: 253n.
Miliarios: 30n.
Minería: 253 y 256 o 258n.
Minia turas: 279.
Modio, medido de capacidad: 226.
Molederos: 74 y 76.
Malinas: 72, 73, 76 y 83.
Moluscos : 44, 56 y 76.
Monedas: 209, 211,216 o 218n. y 220 o 222; - rQmO.'os: tOO, 193 o 195,
197,209,211 y 2t8 o 22 1; --$agunTinos: 197; -valencianos medievales: 193, 194 y 220.
Monumentos megoliTicos: Ver "Megalitos" "Dólmenes", "Golerías cubiertos".
Moriscos, VO§OS, arte, etc.: 192 o 194 y 214.
Morteros: 202 y 214.
Mosa icos: 257 .
Murallas: 16, 69, 70, 73, 90, 92 o 96, lOO, 107n., 260 y 264.
Muria: 256.
Muros: 16, lO, 82, 90, 94, 91, 191, 199,200, 203 y 213.
Musteriense, culturo: 7.
Nosso: 56.
Noves: 122n., 253, 255, 251, 261 y 212.
Necr6polis: 30r1., 60, 95, 107, 117, 127, 136, 150, 178 o 185, 209, 211 .:J
213,216,218,220,263, 266,269, 271n. y 272'1.
Neolitico: 1 o 14, 29, 60, 62 y 77.
Nódulos de sileJC: 53.
Nórdicos, pueblos: 86.
Nucleos de cuarcita: 76 y 77.
Oenochaol: 130, 141 o 145 y 170.
Ofrendas funerarios: Ver "Ajuares funerarios".
0lpes: 180.
Onomóstlco: 226 o 229, 231 o 249, 259'1. y 271.
Oppido: 100 y 105'1.
Orlentollzante, ar te, periodo: 156.
Oro: 194,216 y 256.
Osos: 86.
Ostros: 256.
Ostreo 8iou,iculolo: 7.
Ovos Impresos: 133 o 136, 163, 165 y 166.
Ovejas: 99.
Paganismo: 212 y 233.
Polofilícolo, culturo: 101.
Poleo-cristiano: 213 y 275 o 281 .
Poleolitico: 8 y 252; - inferior : 30t!.
Palmetas impresos: 110 o 137, 145, 161, 162, 164 o 166, 173, 210n., 212
y 221.
-
2 88 -
[page-n-359]
Pononios: 264, 265 y 210.
Paredes: 16, 69, 12 o 15 y 82.
Po~ores : 191 y 216.
PosTa víTreo: 119 y 221 .
Pouorn: 83 y 89; -de 105 llanuras, culturo: 11.
Poteroe: 21 , 112 y 191.
POlfonolus: 241.
Poviment05 de losos: Ver "Enlosados".
POIOi romano: 252.
Peclen: 55 y 58.
Pectunculo: 44 y 56.
Pedernal: Ver "Silex" .
Penlelilho, luego griego: 215.
Pe rculO1es: 205, 214 y 215.
Perforadores de piedra: 11 .
Peregrinos: 263 .
Perros: 150.
Pesco: 256.
Pescado: 122 y 221 .
Pelroglifos: 91.
Picos: 203 y 216; -osTur ienses: 16.
Piedra: Ver "SlIelOi", "Jaspe", "Asperón", elC .
Piedra, ollar: 54; -pulido: 11, 13, 14,59 y 61.
Piloe: 211 n.
Pinos: 16.
Pizarra, obieTOS de: 31.
Piri ta de hierro: 202.
Placas de pi zarra: 31.
Pl6slito: 150, 155, 216 y 280.
PIOlO: 141, 151n., 119,220 y 256.
Plolos: 110 o 118, 145, 160 o 165, 112, 203, 205, 210 y 220; -de pescodo:
122, 166 y 161.
Plomo: 203 y 2 56.
Poblados, ibericos: 11,84,88, 105 o 139, 141 a 14 5, 1410 160, 115,208,
216, 221 y 254n.; - ibero-romonas: 11, 19 o 21 , 68 y 181 a '223;
----pfehislórlcos: 15 a 18,59,60 y 65 a 104.
Pondus: 192, 203 y 205.
POflOfium, loso del : 21 1.
Poslol, Poslel, P05lol: Ver "Coslellieri".
Precomponiense, orle, cer6mita, elc.: 105 o 139 y 145.
Precl6sico, Orle, periodo, elc.: 151.
Preiberlco, Orle, periodo, elc.: 188 .
Prenso de vino: 254n.
Prerromano, arte, periodo, eIC.: 105, 141, 111,256 y 251.
Pronaos: 211 y 218.
PrOTocorinlio, arte, periodo, elc.: 154.
Puertos de mor : 253, 258, 259n. y 213.
PU¡)O$: 256.
Pulseras: 194 y 216.
Punito, orle, pueblo, etc.: 105, 151, 208 y 255.
Punlos de flecho: 8 o 11, 14,31,42 o 44, 50 052, 59 o 61, 194 y 191.
Pun¡r;ones, de hueso: 42, 51, 61 y 16; ---de me lol: 44, 45 y 60.
Puñal es de melol: 99.
Quinquagésimo hlsponiorum, loso: 211.
Quirino, tribu: 263.
Roederas de piedra: 8, 10, 12, 14 y 53.
Raíces lin Tóreos: 251 .
Raspadores de piedro: 8, 10 o 12, 14,43,61,14,15 y 11.
Reli carios: 216 y 280.
Relieves: 150, 154 , 155n., 190, 19 1 y 230.
Religión : 90, 95 o 91, 1'11, 151 , 258,259,212 y 215 o 28 !.
Reliquias: 215.
R,;¡ico. pueblo: 84, 86 y 101.
Ritos funerarios: 31 y 95.
Romanización: 108, 139, 209, 210, 211, 220, 251 y 258.
-
289
[page-n-360]
Rcmono, pueblo, arte, etc.: 77, 85, 93, 95, 100, 122n., 191, 193,213 o 2 11,
220, 222, 225 o 249, 251 o 213 y 280.
Rosetas imprl!$
Sahariano, arte, cul turo, etc.: 9.
Sal: 226, 251.
Sola;tan~: 226, 253, 256 y 251 .
Salinos: 251.
Salpa: 256.
Sandollos: 253 y 255.
Santuarios: 96, 141, 152, 155n. y 151.
Sarcófagos: 210.
Schleier: Ver "Castellieri".
Secundario, periodo goológico: 1.
Sellos, de marfil: 155n.
Senado romorlO; 254n.
Sepulcro de Jesucristo: 215 O 281.
Sepulcros, de corredor: 19; -megali ticos: 23 o 33; --de torre: 259 y 212n.
Sepulturas en cuevo: Ver "Cuevas sepulcrales"; - megolíticas: Ver "M~ l ltos".
"Se)ulcros de corredor", etc.
Sierre-cillos de sile.:: 43, 12, 14, 16 y 83.
Sile.:, objetos de; 1 014,31,42 o 44, 50 o 53, 59 o 61, 72, 74 o 16, 83 V 1~4.
Sile.: geométricos: 50, 52 y 53.
Sítulas de bronce: 99.
Skyphos: 129 y 130.
Sol utrense: 9.
Sombreros de cop-a: Ver "Kolothoi".
Svósticos: 205.
Talayon: 185.
Tapaderas: 20, 132, 192, 191,205,208 y 213.
Tegulae: 252.
Tejidos: 83, 253 y 251.
Tejuelos de cerómica: 194.
Telas: Ver "Tejidos".
Terracotas: 150, 151, 154 Y 155.
Terromorkolo, cultura; 101. ,
T erro $¡gillata: Ver "Cerómica sigillata".
Tinajas: 191 y 195.
Toro de bro."Ice de la 8ostida: 148.
Torres: 16,10,11,14,93, 191, 199 Y 272n.
Tracias: 155.
Tranche ts: 10 y 12 a 14.
Transenna: 271 y 218.
Trigo: 83.
Trivia arClica: 56.
Tumbos: 26. 30n., 31, 211 y 218.
Tumulos: 30.
Urna, medida de capacidad: 226.
Urnas funerarios: 30n., 95, 101 Y 121.
Vasares: Ver "Hornocinos".
Vasco, lenguo : 159.
Vasijas: Ver "Vasos".
Vasos, cerómicos: Ver "Cerómico"; -metólicos: 141 . -rostroles: 96; - de
vidrio: 179.
Véne tO$: ¡ 01.
Venostes, pueblo rético: 85.
Vestido: 83.
Veteranos: 260 y 269.
Vias de comunicación: 68, 85, 88, 98 y 105; -romanos: 30n. y 273.
Vidrio: 179, 190, 195, 191 y 251.
Villas romonos: 209n., 254n. y 211 n.
Vino: 226, 254, 2 55 '1 251 .
Visigodos: 211 . 212, 218, 220 y 272 .
Yelmos: Ver "Cascos".
YI!$
Yugos: 148.
-
290-
[page-n-361]
IN DICE DE
NO/"\B~ES GEOG~flFICOS
AceñQ, barranco (Villar del Ar'lobispo, Valencia): 65.
Acunllum: 26'1.
Adigio, río (Itolio) : 85,86,88 Q 90, 9 3, 97, 98 y 101.
Ado, (Valencia): Z
Adz ane lo de Alboldo {Volencio} : 35 o 37 y 4 9n.
Af rito: 261 o 269, 210 y 273; - del Norte: 142, 150, 151, 158, 219, 259
y
272 .
Aisne (Fronda ): 211.
Akro leuke (Aliconle): 105" y 106.
Albocele: 105n., 214, 253". y 254n.
Al baido (Valenci a) : 27, 29.1" 36, 31, SOn" 52n., 53n., 59, 62, 10S n. y ;06.
Albo101 deis Taroncners (Valencia): 1511 18.
Albordelo, la (Albalol deis TOfoncners, Valencia): 15 o lB.
Albln limilium, hoy Ventimillo (Itolia): 253n. y 261.
A"oy (A licante): 49n., SOn., 52'1., 55n., 56, 59 o 62, 83, 105n. y 106.
.... Iemanio: 142, 143, ISO, 153" . Q i56.", 158,210,229 y 231n.
AlfofofQ (Alicante) : 6 1n.
Alfogós, ¡parlido (8elg lda , Valencia): 60.
Algar (Antos, Almerlo ): 17.
Alican te: 37, 49n., SOn. , 52n., 53n., 55n., 56, 59 a 62, 83, 105n., 106, l 08n.,
157, 158,225 y 256.
Almedo : 11 y 62 .
Al pes, montes: 85, 89, 99 y 101.
Alt ere l, por tido (Vlllalongo, Vale..,cio): 243.
Alyedr6, mont e (Ibiza ): 22 5.
Am,urd6n, comarca (Gerona): 19 o 21 y 253.
Ampurios (Rosos, Gerooo): 107n., 130, 143, 144, 168, 110, 171, 117 a 185,
2\1 , 251, 259, 211 y 272n.
Anaunia: 98.
Anda lucía: 108n., 151n., 208, 209 y 219.
Andi llo (Valencia): 65, 68, 69 y 77.
Angulemo (Francia): 1 y 1 l.
Ansereso (Ol1us, Lérido) : 208.
An tas (Almerio ): 17.
Anl igón, borranca ¡Villor del Arzobispo, Valencia): 65.
ApOlonio Póntico (pon to Eux ino, Mor Negro): 143.
Aquoe Calid oe (Coldos de Montbuy, Barcelona): 272 n.
Aquitonia (Francia) : 280.
Arogón: 15, 68 y 88.
Archena (Murcio) : 77, 108n., 152 n. y 2 54n.
Areios Ahos (Opor ta, Portu-go l): 77.
Ares del Maestre ¡Castellón): 52 n.
Argor: Ver "Algar",
Argentana, borram;o ¡Motoró, Barcelona): 30n.
Arguedos (Nayarro): 21 5 y 218.
Aries (Fronda): 275.1. 278 y 281 .
Artó (Mallotcol : 18').
Asia Menor : 87, 157 y 266 .
Asto Regio (Códiz): 215 .
Asturias: 217 .
-
291-
[page-n-362]
Atalayuela, lo (Loso del Obi~PO, Volencio): 69.
Atarcó, pOr tido (Belgida, Valencia): 60.
Atelto: 265.
Alenos (Grecia) : 142, 150, 153 y 154n.
Auso (Vicn, Barcelano): 258n.
Avila: 215 y 216.
Avis la, do (Italia): 95.
Allltac:um: 253.
Bodajaz: 211, 248 y 258n.
Balrral (8aioo, Por tugal): 213.
Balcan/!$: . 8' y 280.
8alearH, Islas: 18" 255 a 25,.
8anas$OC (Francia): 221 y 21 1n.
8arcelono: 24,29 o 33, 45, 61n., 10'n., 131n., 143 o 145, 168n., no, 208,
211,215,216, 254n., 256, 258 o 260, 264, 268, 2,1 y 212.
Borcino, hoy Barcelona: 256.
Boronía de Cnulitla, comarco (Valencia ): 65.
Barrocos (Casle ll ón): 6B.
Borranc (espolio, Gerona): 26n.; ---del CosleUet (Carricola, Valencia) : 35 o 64;
- del Pió del Aljub (Albalot deis T aronc hers, Valenclo ): 11; -de Sonl
Oleg ue, (Sabode lt, 8orcelona): , 29n.; -de Putjol (Albalat deis Toroncners, Volencia): 15.
BarseUo, Lo [Torremonzonas, Alicante): 52n., 53n., 55n., 56, 59 y 60.
Bostetanio: 105, lOO, 256 y 25, .
Bastido de les Alcuses, La (Mogente, Valencio) : 105 o 131, 141 o 145, 14,
0158, 16" 168,208 y 216.
8egís ¡Castellón ): 68.
Belgica: 14 y 143.
Bélgida (Valencia): 60, 61, 106 y 232.
Beniarres (Alicante): 61.
Benialiar (Valencio) : 31.
Benicodell, monte (Alicanle- Valencia): 3" 49n. y 61.
Benicalaf (Castellón): 236.
Berlón: 153n., 154, 155n. y 23'n.
Bético: 226,22,,248, 251 , 25B, 212 y 213 .
Blanquizar/!$ de Lebor, Los (TOlano, Murcio) : 52n., 53n., 55n. y 60.
Bac:airenle (Valencia): 59 y 61.
Boeme, río (Franc ia ): ,.
Bois-Menu (Francia) : 11.
Boixe, lxKque (Francia): 11.
Bajos, monte (At>dilla, Valencia): 65 y n.
Balumini, cuello (Alfafara, Alicante) : 61n.
Bolzano (Venez io TridenTino, 110Iia): 8B, 90, 96 y 98.
Bonjoon, necrópolis (Ampurias, Gerona): 1,8 o 184.
Bann (Alemania): 158.
BosteJ: Ver "Caste1lieri".
Boulogne-sur -Mer (Francia): 143.
Bourllon, molino (Francia): 1 l.
Brogonc;o (portugal): 209n. y 210.
Bressonone (It alia): 90 y 94.
Bretoño (Francia): 13.
8rolio: 155n.
Brunnerwond (110110): 89.
Bugarro (Valencia): 68.
Buho:querques, partida (Villolongo, Volencia): 242.
Bulgorio: 143.
Burdeos (Froncia ): 212 y 256.
BurQOS: 210, 211 y 218.
Burriano (Costellón): 239 y 241 .
Cobecico del T esoro (Verdaloy, Murc ia): 215.
Cobezo Redondo (Archena, Murcio): n; ---del Tia Pio (Archena, Murcio) : 254n.
Cobros, Cerro de Los (Andillo, Valencia): 68.
Cabrero de 11101a.ó (Borc('IOI>O): 30n. y 107".
Codoques (Gerona): 19 y 253n.
COdiz: 151n. y 21 5.
-
292 -
[page-n-363]
Caldas de Montbuy (Borcelono): Ver "Aquoe Colidoe".
Colder6n, barranco: Ver "Mi:!'Quilillos".
Colymnos, 1510 (Dodeconew, Egeo) : 143.
Combridge (Inglolerro): 181.
Com; Reol d'Aloc;onl, covocho (Albaida, Valencio): 21, 29n., 50n., 52n., 53n.,
59 y 62.
Comlros (Radas); 15On.
Camónica, valle (llallal : 91.
Campania (It alial: 108, 138, 139, 143, 144 y 113.
Campa de Liria, comarca (Valencia): 65.
Can Baquel, maslo (Vaauar de Dal!, 8arcelanol: 31 , 32 y 33; -FU t (San An_
tonio, Ibi:r.a) : 211; -Mares (Rosas, Gerona) : 19.
Cañada Palomara, partido (Villar del Ar:r.abi~, Valencia): 68.
Cañaverasa, Lo (Maralalla, Murcia): 11.
Carbanera, cauilla (Benicadell, Valencia) : 31.
Cardeñosa (Avil a): 215 y 216.
Carpia de Taja (Valladolid) : 218.
Córrlca (Peñalba, CaSlellónl: 181.
Carricola (Valencia): 35 a 64.
Cartogena (Mu rcia): 255 a 258n .. 264, 266 y 212.
Cartogo: 158, 256 y 210.
Casa del Mon te, necrópolis (Valdeganga, Albacele): 105n.
Casela del General (Bélgido, Valencia): 61; -Malino, cueva (Bocalrente, Volencja) : 59 y 61.
Casinas (Valencia): 65.
Caslejón (Arguedas, Navarra) : 215 y 218.
Caslelfeder (Italia): 93 y 91.
Coslelroflo (llalla) : 81.
Coslellor, cerro (Villa, del Ar:r.abispO, Valencia): 65.
Coslellardo, borronca (Valencia): 65.
Cauellel, de Boñoles jTivissa, Tarragono): 215; --de Corricalo (Carricolo, Valencia): 35 o 64.
Coslellnovo (Cosl,lIón ): 181 a 223.
Caslello, monle (Scil lar. llalla) : 90 y 93; --di Fiemme (llalla) : 95 y 96.
Costellón: 5 2n., 68, 82, 1810 223, 239 y 241; --de Rugol (Valencia) : 105n.
y 106.
Coslillarejo de los Moros (Andilla, Valencia): 69 y 11.
Castillejo, El (posaOOs. Córdoba): 231.
COloluño: 19 (1 21, 23 o 33, 88, 101 y 254n.
Cou, de lo GranOto, cueva sepulcral (Vilossar de 0011. Borcelonol: 31; --de la
Muslelo I ¡Llin6$ del Vallés, Barcelona): 33; --de lo Mustelo 11 (Lllnós
del Volles, Barcelonol: 33.
Coudele de 105 Fuenles (Valencia) : 151 n.
Cembro, valle (1Ialia): 89.
Cerro, del Berrueco (Salamoncol: 218.~.; --de San Miguel de Lirio: Véose "Lido".
Cerlosa, Lo (Italia!: 99 y 185.
Cesórea 101 (Maurilonla, Al dea): 261.
Cigorrolejo, El (Mula, Murcio): 141n. y 151.
Cilicio (Asia Menad : 266.
Cingla, borroneo (And lllo. Valencia): 65.
Cire naico (Africol : 142.
CIrIO (Afrlca): 268.
Ci lonlo de Son'in,: Ver "Sonfins".
Citerior: 262 y 263.
Ciudadela de Rosas (Rosas, Gerona}: 20.
Civitavecchio (Roma, Ilalio): 253n.
Clol)( (Froncio): 1 y t 2 .
Clochas, cerro (Vi llar del Ar:r.abispo, Valencia) : 65.
Cocoso, Lo, villa romano (Badajo:!'}: 211.
Cagotos, Las (Cardeñoso, Avila) : 215 y 216.
Colelo, mon le (Anelllla, Valencia): 65.
Coll del WIOro (Serro de AlmOf'$, Tivlssa, Tarrogono}: 11.
Conslantino (Sevilla): 215.
Conleslanla: 105 y 106.
Córdoba: 231 y 258n.
-
293 -
[page-n-364]
Córcega, isla: 261 .
Carinta (Grecia): 155n.
Comeda (110110) : 89.
Costo Bravo (Gerona): 253<'1.
Costas del Levanle Español: 62, lOS, 108n., 138, 156, 2 53, 256 y 262.
Couronne, Lo (Choren lO, Froncio): 1 o 14.
Cava, del Oimon; (Premió de 0011, Borcelono): 32; --d'En Pou (V ilossor de 0011,
Barcelono): 31 ; --de les Foyetes (T abernes de Valldigno, Volencia): 59;
--de les Morovel1es de Morchuquero (Gandlo, Valencia): 59: --de 1
0
Pos tora (Alcoy, Alicante): san., 52n., 55n., 59, 60 y 62.
Covallo (Alboido, Va le ncia) : 36, 105n. y 106.
Covelo del Borrone del Cos tellet (Corrlcolo, Valencia): 35 o 64; --de l'Or (Beniorres, Al ican te): 61.
Crocovio (Polonia): 143.
Creta, isla: 154.
Creu d'En Cober lella, dolmen (Rosos, Gerona ): 19 o 21.
CreulO; du Loupe (Charenta, Francia): l.
Cruz, Cerro de lo (Vi llar del Arzobis,>o, Valencia): 68.
Cueva, Lo (Albacele): 214; --de lo Roca (Orihuela, Alicante): 5 2n.
Cullero (Volencia): 59.
Cumos (Campon ia, Ilo lia): 143 y 144.
Ch.ompellans (Sain t- Foy_La Grande, Francia): 21 0n. y 212.
Cnamplgny-su'- Yanne (Francia): 2 16.
Cnarenta (Francia) : 1 a 14.
Chateau-su,-Satlnas (Francia): 222.
Chouvel (Francia): 1'.
Chelva (Valencia) ; 65.
Chivo (Valencia): 59.
Chulilla (Valencia): 65.
Danubio, rio: 212 y 2 13 .
Dehesilla, lo (PO$odo$, Córdoba): 231 .
Delicias, Los (Ecijo, Sevilla): 221.
Delphas (Focia, Grecia): 155n.
Denia (A lican te): 225 y 256.
De r... a (Ci'enaiéa, Africa ): 142.
Despeñaperras !Jaén): 152 y 156.
Dianium, hoy Denia: 256.
Dodecaneso (Egeo): 143.
Dolomitas (Alpes, Ilalia) : 89.
Dordaña (Francia): 11.
Oas Zelor (Valle de Fiemme, Ilalia) : 88n .• 94, 95, 91 y 100.
Doui~ (Tunez, Afri ca): ISO, 151 y 158.
Duratan (Segavia): 218.
Ebro, rio: 185, 211 y 213.
Ec ija (Sevilla): 221.
Ed etanio: 106.
Egelas le (Car togena): 251.
Eg ea, mar: 143 y 154.
Eg ip ta: 253, 256 y 269.
Elche (Al icant e): 108n., 151 y 158.
Emporian: Ver" Ampurias".
Ensérune, necr6polis (8biers, Francia ): 101, 108, 111, 118n., 12~ o 124, 121,
128, 131, 136 a 138 y 166.
Erelo del Pedrega l (la Marjal, Navarr's, Valencia) : 52n.
Escocia: 219n.
Esparto (Gr8(io): 155n.
Espolia (Gerona): 26n.
Esquerdo de les ROques de El Pany (Torrellas de FallO;, Barcelana): 45 y 61 ....
Estados Unidos de America: 143 y 184.
Estivella (Valencia): 1S.
Eta uars (Froncia ): 11.
Fayum (Egip to): 269.
Febr6, La (Torragano) : 11.
Feuillade (Francia ): 11 y 12.
Fiemme, valle (It alia): 89, 90, 94 a 97 y 100.
_
294 _
[page-n-365]
Finlandia: 219.
Florencia {llalia!: 155.
Fanl, de lo Areno: Ver "Fanl del Sopo"; ---del Caldero (Carrícala, Va lencia):
37; ~el Garbi (Albolal deis Taronchers, Valenda): 16; ~el Roore
{E5o;lOUa, Gerono!: 26n.; -del Sopo (Albolal deIs Taronchers, Valencia) :
16 y 18.
Fonlaine Vacher (Francia): 1 o 14.
Fantenille (Fronda! : 11.
Francia: 1 o 14,81,101,108,111, I 18n., 120 0124,121, 128,131, 136 o
138, 143, 155n., 166,210,212,216,211,220 o 222, 256, 259 o 261,
211 y 275 o 281.
Goida (IIa lia): 92.
Golia : 256, 251, 259 o 261 y 271.
Golida: 211 y 280.
Gondia (ValenciaJ: 59 y 106.
Garbí, monte (Valencial: 15.
Gardeno, yaUe (I talial: 95.
Garana, do (FranciaJ: 14.
Genil, rio (Granado): 228.
Germanio: 229 y 264.
Gerona: 19 o 21, 101n., 130, 143, 144, 168, 110, 111, 111 0185,2\1,253.
251,2 59 y 211.
Gher no (Cirenaico, Africa): 142.
Gibraltar: 81.
Gignoc-Io-Norlhe (Francial : 221.
Girando (Francia ): 210n.
Glastonbvry (Somerset, Inglaterra): 219n .
Groo de Valencia: 225n.
Groufesenque, Lo (Francia): 2 12 y 211.
Grecia: 108n., 120n., 121, 128, 130, En o 139, 142, 144, 150, 15In., 153
o 155, 266 y 280.
Gra la do Noscenle do ria Almonda (parlugal): 211.
Groll e du CreuK du Laupe (Francia) : 1.
Hawara (Egipto): 253.
Hélode: 138.
HemerO§Copian: 105n.
Henera del Piwerga (Palencia) : 218.
Higueruela (Valencia): 68.
Hispalis, hoy Sevilla: 266.
Holanda: 142.
Hornillos del Comina (Burgos) : 211.
Hoyo de Sonia Ano (Albocelel: 105 n.
Huelva: 151n.
Ibi:.a: 131n., 211 y 225 .
IIdura, hoy Molar6: 211 n.
Inglaterra: 131 n., 181,210, 219n. y 229.
Isarca, ria (Italia! : 88 y 98.
Ischio, isla (Mor Tirreno, Italiol: 21, 138, 113 y 253n.
ISlrio, peninsula (Itolia): 81 .
Ilalia: 85 0104,108,138,139,143,144,150, 151n., 153 0155,113,185,
210,213,229 o 231, 253n., 254, 256, 2610 264 y 210.
lulla Emano (Europa cen tra ll : 265.
Izana (Soria ): 218.
Jaén: 152 y 156.
Jone t, cueva (TivisSQ, Torragana): 11.
Jótiya (Valencia) : 105n. y 251 .
Jere:. de lo Frontero (C6di:.): 151n.
Jerusalén: 215 o 281 .
}obenbühel (Monti cola, Ita lia): 92 y 96.
Jonio (Grecia) : 158.
)uliobrloa (Reinoso, Santonder): 218 n.
Juro (Francial : 222 .
Karl sr uh. (Boden, Alemonia) : 142, 143, 150, 155 y 156n.
Kef, El (Túnez, Africa) : 269.
Kubon (C6ucO$O) : 153n.
-
29 5 -
[page-n-366]
Logundo (Itolio): 96.
loncio (L eón ): 211 .
longa de Duero ($orio) : 2 18.
Longuedoc (Froncio) : 11.
Lopon io: 93 y 95.
Lougen: Ver "Luco".
Louro, hoy Urio (Ede lonio): 116 y 2 54.
Loy (Froncio): 221.
León : 211 y 2 18.
lePlls (Alrico del Norte): 268.
Lérido: 208.
Levanle español: 15 o 18, 35 o 84,105 0139,159,185,208, 219,236, 248
y 251 o 213.
Leyde (Holondo): 142.
LezouJ( (Froneio): 211 .
libya (Alrleo) : 210.
lIgurlo (1Iolio): 81.
limes germánico: 211.
lirio (Volencio): 65,68, 152n., i53, 159 0116,201,221 y 254 .
lIJ(us, noy Lorocne (Morr uecos): 268.
Logroño: 218.
Lombordío 111(110): 98.
Londres: 131 n.
L050 del Obispo IVolencio): 65 y 69.
Lucenlum, noy Aliconte: 106.
Luco (ltollo): 98.
Lugdunum Covenarum, noy SI. 8ertrond-de-Cominges (Froncio): 210.
Lusl tonio: 2 55n.
Lyon (Froncio ): 143.
Llono de 10 Consoloción (Monteolegre, Alboce le): 105n.
Llo10S, covocno (Andillo, Volencio): 68 y 11 .
Ll lnós del VolI~ (Borcelono): 32.
L1ome tes, Les (Alcoy, Alicante): 56, 59 y 61.
Mocedon io (Balcones): 280.
Madr id : 149, 151n., 152n. y 2 16.
MoQno Grecio (lto!io): 144 y 150.
Mokóo (Menorco): 212n .
Molnz (Alemanio): 229.
Mollorco: 185, 216 y 259n.
Moresmo, comarco (Co toluño): 29, 32 y 211n.
Moriernon t (Bélgico): 143.
Marjol, partido (Novorrés, Volencio): 52n.
Mo,lh (Borcelono) : 215.
Morsello (Froncio): 122n. y 259.
Morti, necrópolis (Ampurirn;, Gerono): 118.
Mos Costellor (Penodés, BorceIOna): 254n .; --de Menente (A lcoy, Ali co nte):
49n. y 83; --de Modesto (Ares del MoeSlre, Cos tellón): 52n .; --deis
Polloresos: Ver "Polloresos".
Mo!orá (Borcelona ): 30n. y 211n.
Mou ritonlo Cesóreo, hoy Argelio: 261 .
Medl!erróneo, mor: 14,81,1 0 1,105,136,139,141,1 44 ,145,141,153,154 ,
156 o 158, 111, 116,253 y 256.
Megoro Hybloeo (ltolio): 154.
Melos (Grecia) : 154.
Meluno (holio): 98.
Mérido (Bodojoz): 2 58n.
Meselo cenlrol: 105, 185 y 209.
Micnlgo n lEE. UU.): 143.
Milán (Itolio): 218.
Millores, Los (Almerio): 62.
Minoledo (Alboce te) : 105 n. y 254n.
MizQul tillos, borroneo (V illo. del Atzobispo, Volencio): 65 y 68.
Mocho, cerro (Villa, del Arzobispo, Valencio): 65 .
Mogente (Valencio): 105 a 139, 141 o 145, 1410 158, 161, 168,208 y 2 16.
Molo Rernigio (Ares del Maestre, Costellón): 52n.
-
296 -
[page-n-367]
Mo"1iluelfo (Itolio): 95.
Montogno (Ilolio): 97.
Mon toru (Francia): 271'1.
Monle de lo Borsello (Torremanzanos, Alkonle): Ver "Sarsella, lo".
Manleogudo de los Vicarias (Seria): 218n.
Monlkolo (Italia) : 92 '1 96.
Monlroy (Sierro Almagrera, Sucinte npoñol): 21 l.
Monzo (holio): 27B.
Morolollo (Murcio): 77.
Moritzig: Ver "Son Maurizio".
Mulo (Murcio): 147'1. '1 157.
Munlon'lo Redono (Albolol deis Toronchers, Valencia): 17.
MUnlOn'lela de Cabrera, del Vedal (Torrente, Valencia): 49'1 .
Munlmajor (Bor celono): 215.
Murcio: 52'1., 53n., 55n., 60, 77, 108'1., 147'1., 152'1., 157, 215, 254'1. a
258n., 264 '1 266.
Murto, lo (Albolo l deis Toronchers, Volencia) : 17.
Museo: Ant;qvorivm de Berl in: 153'1. '1 155n.; - Arqueológico de Borcelana:
107'1., 131'1., 143 o 145, 168'1., 170'1271'1.; -Arqueológico NacionCIl
(Modrld): 149, 152'1. '1 216; ---de Ar l6 (Mallorco): lBS; - Británico
(landres): 13In.; ---Civico de Bal zono (I tolio): 96'1.; ---C:torloryski de
Crocovlo {polonia): 143; - lapidario de Narbona {Francia} : 275 o 281;
---del louvre (Poris): 155n.; ---de Motoró: 271 'l.; - Mun icipal de Hislor lo de lo Ciudad (Barcelona): 271 n.; - Nocional de Atenas: 150 '1
154n.; - Nacional de Karlsruhe (Alemon io): 142, 143, 150 '1 156'1.;
- Nacional de Antigüedades de Leyde (Holanda ): 142; ---del Polai, St.
Pierre, de L'Ion (F rancia): 143; -de Prehis toria del Servicio de Invnligoción Prehistórica de la Excmo. D¡;xstoción Provincial de Volencia: 37,
49, 5 2, 107, 141 o 145. 148n., \67'1., 168'1., 187, 20B, 211,2 16'1.,
225 o 231 '1 242; -Pa\eocrisliono de Tarrogana: 269; - Valencia de
Don Juan (Modrid): 1"19'1 151n.
Nanln (F rancia): 212.
Nópoln (1Iolio) : 143 '1 144.
Na,bo, hoy NarborlO: 260.
NQrborlO (Francia) : 275 o 28 1.
Narbonense: 259 '1. '1 271.
Navarro : 21 5 y 218.
Navam!s (Valencia): 52'1.
Negro, mar: 1"1' o 1'14.
Necrópolis de Bonj06n (Ampurios, Gerona): Ver "Bonioón"; - Marli (Ampurios,
Gerono): Ver " Mor,," .
Nemo\lSO. hoy Nimes: 260.
Nimes (Francia) : 260.
Non, valle (Vene lO, 110Iio): 89 '1 98.
Nules (CosteIl6n) : 239.
N umancio (Soria): 205, 217 '1 21B.
Occidente mediterróneo: 110, \30, 131, 136, 138, 166,256'1275.
Olius (lérido ): 208.
Olivo (Valencia ): 106.
Oltreodige ( 1Ialio): 88.
Onda (Costellón): 205.
On tu. (Al bocele ): 253n.
Ol'lmplo (Grecia): 153n. '1 155.
Ol'ln to (Grecia): 120n., 127n., 128, 130n., 137, 138'1142.
Oporto (Portugal) : 77.
Oro (Italia ): 93.
Oriente mediterráneo: 1 lO, 130, 1'11, 14"1, 153, 15'1, 157, 25'1n . o 256, 259,
265, 271 '1 212.
Orihuelo (Alican te): 52",.
Ortisei (I talia): 95.
Orvie to (h alio): 155.
Ostia (Romo, Italia) : 253n. '1 270.
Paises Bajos: 142.
Polancia, río (Valencia): 15 '1 17.
Pa lencia: 218.
_
297_
[page-n-368]
PoUor!'50S (Torrogona): 266.
Ponodés, cornarca (Cataluña): 254n.
Panetiere, Lo (Francia): 216.
Porís: 13, 14, 155n. y 276.
Pascala, monte (Italia): 90.
Posquai (Italia): 95.
Pec!ralva (Valencia): 65.
Peloponeso (Grecia): l55n.
Peño, de lo Dueño (Teresa, Cas tellón): 82; _ Royo, monte (Urla, Valencia): 65.
Pe,;albo (CaUellon): 181.
Penoles (Francia): 11.
Pesara (halia): 262.
Pinarejo, monte (Andilla, Valencia): 65.
Pirineos, montes: 251 y 275.
Pisou.a, hoy pesa.a: 262.
Pite.mon (Toles, Egipto): 269.
Placa.d, caverna (Fr ancia): 11.
Planl6n, cerro (Villa. del Arzobispo, Valencia): 65.
Poelovium: 265.
Polonia: 143 y 205.
Polle nso (Mollorca): 176 y 216.
Pollenlio, hoy Pollensa: 116 y 2 16.
Pompeyo (Componia, Ilol ia): 256.
Panle Nova (Ital ia): 93.
Pattugal: 11,209 a 211, 2 13, 211 y 219 o 22 1.
Premi6 de Dalt (Barcelona): 32.
Prumuliog, hoy Vendres: 2 12.
P,avenza (Francia): 213.
Puig de les Aligues (Gerona): 19; ---Cas tellar (SonIa Colomo de Gromene t, Barcelano): 2 16.
Pun lal de Cambra (Villar de l Arzobispo): 65 o 84 .
Pusler;a, volle platia): 89 y 95.
Puymoyen (Francia) : 11.
Quima de Modeira (Portugot): 221.
Rob05es, les (Albalot deis Ta.onchers, Valencio): 16 y 11 .
Rambla, orrayo (Vi llar del Arzobispo, Valencia): 65.
Róvena (h alia): 261.
Recio (AI~): 85.
Reclu$ (Francia): 14n.
Recoux (Fronda): 9, 11 y 12.
Rhelnzobern: 271 n.
Roc de lo Fode (Francio): 11.
Roca d'En Toni, dolmen (Vilos.so, de Oolt, Borcelona): 30 y 31; - Llobotera
(Vi lossar de 0011, Borcelono): 32.
Rocoforl (Va lencia): 55 y 59.
Rocca (lt oHo ): 90,91,93 y 95.
Rochlna (Sol de Ferrer, Cas tellón): 205.
Rodas, 1510: ISDn. y 154.
Rollos: 105n.
Romo: 2 53n., 255 o 257 y 262 o 264.
Rosos (Gerona): 19 021, l07n., 130, 143, 144, 168, 110, 111, 117 o 185,
211, 251, 259 y 271.
Rusio: 144.
Sobodell (Barcelono): 29n.
Sacoias (Brogom;a, Par lugal): 209n. y 2 10.
Soelabls, hoy Jóliva: 105n., lOO y 257.
SogunlO (Valencia): 191,210, 231, 241, 254, 255 y 260.
Soinl Berlron-d-de-Cominges (Froncio): 270; - Foy-Lo Gronde (Froncia): 210n.
y 212; - Froigne (Froncio): 11; - Yrieix (Froncóo): 1.
Soi nt e Co therine (Francia): 1 l.
Soi nl onge (Francia): 11.
Salamanca: 217 y 218n.
Salobral: 105n.
Salobror, borraneo (Andilla, Valencia): 65.
Solónico (Grecio): 142 y 280.
-
298 -
[page-n-369]
Salvotierro de 10$ BorrO$ (Bodojoz): 24B.
Son Antonio (Ibizo): 211 ; ---Mourizio {llolio}: 96 o 9B; ---Miguel de Urio: Ver
"Lirio"; _ Miguel de Sarbo (Mun lmojor, Borcelono); 2 15; .......pielro o
Fib {holio} : 86 y 93.
Sanfins (portugal) : 220.
Sant Genis de Vilossor: Ver "Vil05sor de DoII".
Sonlonder: 211 y 21Sn.
Santo Domingo de SilO$ (Burgos): 21 0 y 21l.
50nl0$ Lugares: 215 o 28l.
Sanuno Ptollo) : 94, 96, 98 y 99.
Sorso, cuevo (8ocolrente, Volencio): 61.
Sclotbi, necrópol is: 130n.
Scmor, mantel (110110) : 90 y 96.
Sedielos tRegua, Portugal): 213.
Segovio: 218.
Segorbe (Costellón): 181.
Selvo, Lo (Gerona ): 253 .
Sesmorio (Por tuga l): 220.
Serpis, río (Allconte-Volenclo) : 242.
Servicio de Investlgodón Prehis tórico de lo Ellcmo. Of¡:¡utoción de Volencio: 15,
35,31, 66 n., 69, 101n., 110, 142, 148n., 159, 111, 181, 192 y 225.
Serreto, Lo (Alcoy, Alica nte): 105.
Sevilla: 215, 227, 2 5Bn. y 266.
Siccoe Vene'io, hoy El Kef: 269.
Sierro Moreno: 221 .
Siusi (Itolio): 99.
Sofío (Bulgorio) : 143.
Son Fobor, toloyal (Mollorco): 151.
Sorio: 205, 2 11 Y 218.
Sot de Ferrer (Costellón): 205.
Stufon (Or llsel, Itolio): 95.
Suero, hoy JUcO': 106.
Sudesle español: 60, 18S y 219 .
Toberne$ de Volldigna (Valencia) : 59.
Toln (Foyum, Eg ipto) : 269.
Tomudo (Marruecos Español) : 219.
Tonaco: 253n. y 210.
Tarraconense: 251, 25B, 212 y 213.
Torrogono: 11, 209, 210, 215, 216, 253n., 254, 256 o 258n., 260 o 263 y 265
o 212.
Torso (Cilicio, Asia Menor): 266.
Tortessos: 156.
T emplo de Júpi ter (Olympio, Grecio): 155.
T eresa (Costellón): 82.
T ermeno (Italia ): 96.
Terre,s, Els (Albolot deis To,onchers, Valencia}: 15 y 11.
Tesloccio, mon te (Italia ): 229
231, 254 y 256.
Tindorl ISicllio, Itolio) : 171.
Tivisso (Torrogono}: 11 y 215.
Toledo: 2 11.
Tolmo, El (MinO ledo, Alboce le): 25 4 n.
Torre de los Esclpiones (Torrogonol: 212n.
Torre del Mol Poso (Co$ lelnovo, Cos tellón ): 1B1 o 223.
Torrellos de Foix (Borcelono): 45 y 61n.
Torremonzonos (Alicon te): 52n., 53n., 55n., 56, 59 y 60.
Torrente (Valencia): 49n.
TorlOSO (Totrogonol: 258n., 256 y 266.
Totono (Murcio): 52n., 53n., 55n. y 60.
Toulouse (Froncio) : 260 y 215 .
Tromin: Ver "Termeno".
Trentino (Itolio): 90 y 101.
Trípoli (Atrico del Norte): 142.
Trugny (Frondo}: 211 .
Tuillet (Froncio): 221.
Tudo, río: 65.
°
-
299-
,
[page-n-370]
UUaSlrel (Gerar>O): 107n.
Vocher: Ver "Fonlaine Vacher" .
Valencia: 15 o 18,21 , 29n., 35 (1 84, 88n., 105 o 139, 141 o 145, 141 o
111, 181, 191, 208, 210, 211 , 216, 225 o 249, 254, 255, 251 , 260
y 272n.
Valent ia: 106 y 116.
Valvet$Ch-Ka T
zenlocherbühel (Castelrolto, 110Iia) : 81.
Valladolid: 218.
VaUromanes, dolmen (8arcelonai: 24n., 26n., 30 y 32.
Vandoles di Solla (h alia): 88.
Vedot, par T
ido (TorrenTe, Volencia): 49n.
Vei;: 155.
Vendee (Francia): 13.
V~ndres (Francia): 212.
Venecia Triden tino (1Iolia): 85 o 104.
Ventimiglla (h alia): 111 , 213, 253n. y 261.
Verdolay (Murcio): 215.
Vio Augusto: 30n.
Vich (Barcelona): 25B.
Vlenne (Francia): 261.
Vilo, cueva (lo Febr6, Tarragona): " .
Vilar!nllo dos Cos tos (portugal): 220.
Vilassor de Dalt (Barcelona): 30 o 33; -de Mor (Barcelona): 30n.
Villafranca del Panades (Barcelona ): 208.
ViUar del Arzobispo (Valencia): 65 o B4.
Villalonoo (Volencia): 241 o 249.
ViU arreol (Cas T
eIl6n ): 239 y 241.
Viña del Pou (Vlllafranco del Ponades, Barcelona): 208.
Voell (Francia): 11.
Vols (llolia): 86.
Voul~zoc (Francia): 11.
Yeda, caslra (SonIa Domingo de Silos, Burgos) : 21 0 y 211.
York (InglaTerra): 229.
Yverdon (Franc ia): 212 .
-
300-
[page-n-371]
INDICE DE PER50Nfl5
Ad,iono: 191 y 219'1.
AeUonus: 256" .
Altro Curo: 236.
Al'rais, Atros, Atrosia y Aerosiano: 233 y 235 o 231.
Afrodita: 272.
Ago tnocules: 261.
Alber!lnJ, E.: 252.
Alc6cer Grou, J. : 65 o 84 y 110n.
Alcino Fronen, A.: 58 y 64.
Alejandro Severo: 193, 194 y 221.
Almagro Boseh, M.: i 77 o 185 y 259.
Almorc"", Vó~qUt1. . F.: 105 '1.
Alvorel O550.io, F.: 147n. y 152n.
Ammon : 269.
Antonino: 219".
Arocl1 : 36.
Arcodio: 194 y 219".
Arco, A. del: 267 .
Arios, 1. A.: 2S8n.
Arisloleo: 259.
Amol, J.: lln.
Anem is: 157.
Allis: 259". y 212n.
Ausonio: 256".
Avilio, C. Vale.io: 260.
Bol,1 1II0no, A.: 251 o 273.
Bollesle. Tormo, l.: 15,21,35 o :31, 39,42, 48n . o SOn., 52n., 54 o 56"., 58
060".,69, 88n., 102, 101"., 108'1., 110, l31.n., 141n., 148n., 152n.,
151'1., 159". y 187n.
Borros de A,ogón, F. de ID~: 21 5n.
Bot lle Hugue t, P.: 236n ., 263 y 269.
Botloglio, R.: 102.
Beozley, 1. D.: 13B, 141 y 142.
Beldo Dominguez, J. : 52" ., 55n. y 56n.
Beldom, rnocS lro ceromis to de: 183.
Beh,6n Gallorl, A. y M.: 225.
Bel t,ón Mortinu, A.: 256n., 25Bn. y 266.
Behrón Villogroso, P.: 19<1n. y 269.
Benoi !, F.: 122n., 157, 158n. y 275.
Bernordo el Monje : 279.
Berl"lOlzik, H. A.: 93.
Bóhlou, 1.: 1<12 y 1-43.
8óhner, K.: 210n.
Bono y Borber, S.: 225n.
Bomor, 1.: 226n. o 228 y 231.
Bosch Gimpero, p,: 14,24,26, 138n, y 209",
Breccio, E.: \30n.
Breuil, H.: 102 y 2S
Br¡~son: 22\ n.
Brull, L.: 21Sn.
Buch"er: 253n.
_
301-
[page-n-372]
Cobre Agulló, J .: 77n., 215n. y 216.
Cobrol: 215, 211 y 219.
Cognot, J .: 236n., 241 y 211n.
Camponus, Volerius: 242.
Compi, L.: 102.
Co.bollo, J .: 218n.
Cotulo: 251n.
Cayo: 262.
Co:r.urro, M.: 19n. y 2 11.
Cerrolbo, E. de Agu iltro y Gomboa, Morqujs de: 209n.
CHor, Julio: 210.
Cibeles: 272n.
Cid, Rodr igo Dio:r. de Vivor: 37.
Cid Prl~o, C.: 259n.
Colominas, J. de: 21 In. y 221 n.
Commodo: 197.
Comfort, H. : 209n.
Conde dI! lo Vt!9Q del Sello: 77n.
Conl1, A. : 210n., 212 y 213.
Constoncio 111: 221.
Constan tino: 219n., 276, 218 y 280.
Coste-Messellere, P. de Lo: 155n.
eotord, 211.
(outl,,: 221 n.
Creseenl: 231 .
Cuodrodo DiClZ, E.: 50, 77n., 147n., 207 y 2 53n.
CuodrodCl Rujz , J .: 52n. y 56n.
Cuflense: 231 .
Cumont, F.: 272n.
OlObre t, A.: 2IOn., 236, 237, 239 y 241
Childe, V. G.: 14n.
DClremberg, Ch.: 217n.
Dowkins, R. M.: 155n.
Dechelelle, J.: 20, 212, 211 y 228n.
DelClnre: 150n.
Dios de DllUs, A. : 219n.
Didio Murt is, IlbertCl: 236.
Didius Fuscus, L : 236.
DiocleclonQ: 254n. y 255.
Diodoro: 15 1n. y 255n.
Dionisios: 180.
DIOseS MClnes: 261 y 268.
DClmlciClno: 2 54.
Dressel: 226, 231 y 254n.
Druso: 85.
DurCln y Sempere. A.: 211 n.
DuvClI : 221 n.
Ebef!, M.: 219n.
Egger, A.: 8S y 102 .
Escrlvó Puig, S.: 242.
Esteve Guerrero, M .: 20Sn., 209n. y 21 5n.
Estrobon : 151n. y 255 CI 257n.
Eterio: 219.
Etlenne, R.: 271n.
Euhado, L. Em1lio: 266.
Eusebio: 279.
Foust¡nQ: 197 .
Fernande:r. de Aviles, A.: 219n.
Feytmons, D.: 143.
Filenis, Fulvio: 237 o 241 .
Fmpo: 280; - el Arobe: 195.
FlIipone. V. : 102.
FilO, F.: 239 y 241 .
FlelCher VolIs, D. : 68n., 102, 107n., 110, 142, 148n., 158n., 16On., 116n., 181
CI 223 y 254n.
-
302 -
[page-n-373]
Fo.el, Abbe: 14n.
For ne r Tigell, V.: 239n.
Fox, C. : 216n.
Fron", L.: 102.
Frickenhous, A. : 183.
Fron tino: 116n.
Fus te Aro, M .: 188.
Gabriei, E. : 143.
Goleno: 256n.
Gollo, 8ebio: 263 .
Gorcio y Bellido, A.: 105"., 143, 148n., 152n., 156n., 2091'1., 2181'1., 222". y
210 o 272n.
Gorcio y ViUodo, Z.: 280n.
Gorrigo Pujol, J .: 191'1.
Gouthier, J .: 7 o 14.
Gel1ia: 253 y 2511'1 .
Ghlslol'l"oni, E.: 102.
Giglioli, G.: 1551'1.
Gimene" Arnol, C.: 219n.
Giner Boiro, V. : 1071'1 .
Girault: 212.
Giró Romeu, P.: 208n. y 25 4n.
Góme" Moreno, M .: 21 .
Gómez. Serrono, N . P.: 68".
Gon"Ólez. Salos, S.: 209"., 211". y 218".
Go.diol'lo: 193.
Grobor, A.: 275, 276 y 219 o 281.
Grociono: 195.
Gracia: 2571'1.
Gron Oioso: 151.
Groniono, Q. Llcinio Silvano: 262 y 263.
Grenier, A. : 228 y 2291'1.
Gri lle, L. : 211.
Grimes, W. F.: 2191'1.
Gui ll eumes, A. : 24, 32 y 33.
Hoimon, moeslro ceramisto d e: J 80, 181 y ) 8 3.
Holler, F.: 102.
Holt, J. J .: 2 591'1.
He leno, Ph.: 211.
Heliodoro, M. Aurelio: 266.
Henderson: 251 n.
Hero: 235 .
.Hero Akroio: 1551'1.
Her ois: 235.
Heras: 235 y 236.
Herosius: 235.
Hernánde" Morales, A.: 2161'1.
Hipól ito, L. Em ilio: 266.
Holste, F.: 102.
Holwerda, J. H.: 142.
Honorio: 19<1.
Horoclo: 85.
Hi,ibner, E.: 236, 231, 2<10, 252, 259 o 261 y 26<1 .
lanuorio, C. Tedio: 262 .
Innerebner, G.: 81, 89 o 91, 96, 91, 102 y 103.
lsosi Ronsome , R.: 2161'1.
Isis: 2121'1.
JonnorlJ'f, J .: 1011'1.
Janssen, L. J . F.: 142.
Jo"dzewsk i, K.: 205n. y 2 191'1.
Jordá Cerdá, F.: 681'1. y 192.
Jornet Peroles, M.: 60 y 232 .
Jubo, rey: 212 .
Julio Mommeo: 194.
Jullion, c.: 212 y 213.
_
303-
[page-n-374]
Joipilet: 155; ---Cossio: 272.
Kern, J . H. C.: 141 o 145.
Keune: 229.
Kilbtide-Jon«, J . E.: 219n.
Kocq VOn Breugel, c.: 142.
Krysiok, K.: 131n.
Kühn, H. : 210n. y 219n.
Kukohn, E.: 141 o 158.
Lodurner Porlhoms, M.: 103.
Loel, S. J . de: 271n.
Lomb, W.: 153n. y 155n.
Lomboglio. N.: 105 o 139, 14 1n., 145, 161 n., 162n., 165n., 161 n., 168n.,
I1 l n. o 113n., 115n., 210n., 2 13 y 214.
Lont ier, R. : 102, 151, 219n., 254n., 212n. y 213n.
Lovioso ZOmbolli, P. : 91 a 99 y 103.
Ledereq, H.: 215 y 211 a 219.
Leonordl, P. : 85 o 104.
Liberolis, L. Num is¡u ~: 261.
Livio, Tila: 116n. y 2 55n.
Lópu Cuevillos, F.: 2 11 n.
Louis, M.: 11 n.
Luello, Marco Aurelio: 265.
Lu crecio, Morco: 263.
Luengo, J. M.: 211.
L10brés Bernol, J.: 216n.
L1olos Burgos, V.: 66n. y 69.
L10pls L1opls, S.: 254n.
L1oreo Rodríguez , J .: 214n.
L1uch Arnol, E.: 239.
Mocdonold, G.: 2 1On. y 213.
Moe Elderry : 25 1n.
Moller, V.: 103.
Moreetino, Aurelio: 265 .
Morci liberlo Philoenls, Aemilia : 24 1.
Morcio l: 254 y 256n.
Morco Aurelio: 195, 191 y 220.
Morco Antonio: 221 .
Morconi, P.: 103.
Morchese tti, C.: 103.
Moreh i, G. de: 102.
Moriner Bigorro, S.: 225 o 249 y 212n.
Morato, S.: 22 5n.
Morli Goreeron, R. : 181, 190, 195,213 y 214.
Morti Grive, P.: 45n. y 61n.
Morline:r. Aloy, J.: 232 y 233.
Mortine:r. Burgos. M. : 211n.
Mortine:r. Sonlo-Olollo, J.: 63, 11n., 103, 15In., 156n., 209n. y 21 8n.
Mortorell, F.: 210.
Moterno, C. Domitio: 264 .
Moterno. Tiberio Julio: 263 .
Moteu y L1opis, F.: 194n. y 221n.
Mo:o:imino: 195.
Moyr, K. M.: 103.
Mela, Pomponio: 255n.
Melete, Volerio: 261.
Metido Alinori . J . R.: 218n. y 258n.
Melisso : 229.
Melissus, lun;; : 229.
Menghin, O.: 104.
Mergelino, C. de: 11n., 152n 217n. y 218n.
Merhorl, G.: 104.
Mezquiri:r. Irujo. M.O. A.: 101n. y 159 o 116.
Milo, Cordenol Luis de: 31.
Mi lhros: 212n.
Molinero pere:r., A.: 2 18n.
-
304-
[page-n-375]
Monlo r><>, lo Voler¡o: 260.
Mont tverde, J . L.: 2 11n.
Mon
Moró n, c.: 2 11 y 2 18n.
Mau re t, F. : 107 n., 117 n., 122n., 212 y 2 13.
Muehleslei n, H.: 155n.
Mu ller- Korpe, H.: 2 19n.
Necloris: 269.
Nie to Gollo, G. : 2 15n, y 218n.
Obermoier, H.: 147n.
Oberrouch, L. : 104 .
Ober
OinornOO$: 155.
Olivo, C.: 269n.
Olivo PrOI, M.: 19 o 21.
Olivei ro Mor lí ns: 273n.
Olives Conols, S.: 269,
O.sl, P. : 104 ,
Poo;o, A. do: 21111., 220 y 221 n.
Polol Solellos, P.: 21 0, 2 13, 259n., 272, 213n. y 275 o 281 .
Pollorés, M .: 77 n.
Pon, 1. del: 2 11n.
Ponckoucke, C. L. F.: 143.
Po nyell o, A.: 19n.
Po,;s, P. : 2 11 .
Poscuol Pérn. V,: 61 n.
Pou, C.: 19 7.
Pouly_W lsSQwo : 227n. y 229 n.
Povío, J .: 24 1 y 24 2 .
Pellegri nl, G. B. : 10 1n. y 104.
Pem6n, C.: 151 n.
Penney, C. L. : 227 n,
Pé.e
Per lcol Gordo, L.: 9 n., 19 n., 23 o 27, 49 n., 55n., 6 3, 77n ., 107 n., l08n.,
11On., 131n., 138n., 14 1n., 148 n. y 2 11 n.
Peri n, J.: 229n. y 2 36n.
Pe.nier, L. : 155n.
Pelr ie, F.: 2 53.
Pelron ;o: 2 56n.
Philelo, C. T e.eneio: 26 2 y 26 3.
Pho tios: 280,
Pi,oulel, M.: 222n.
Pill ioni , R.: 104 .
Pió Bolle5ler, E.: 35 o 6'1 y 16On,
PUnio: 2 53 o 257n.
Poir jer, M .: 7 .
Poll bio: 255n.
Ponse ll Corlés, F.: 49n.
Porcor Rlpollés, J . B.-: 187 .
Porciono, L. Cecilia: 267n.
Primo, Au Udio: 268.
Probo: 2 5411.
Prun e. , A.: 7711 .
Pude ns, P. An tonio: 26B.
Pu jol, V.: 2 39 y 24 1.
PUll., D. : 104.
QuO"O, C. Cecilia: 269.
Quintero Atouri , P.: 2 19n.
Romos FolQues, A.: 158n.
Rosma: 96n.
Rec Io, Lucio Emilio: 264 .
Rekh, D.: 104.
René, l .: 2 16n .
Rl")', R.: 27 5, 277 y 279 o 28 1.
Ribos Be. tró n, M.: 30n. y 32 n.
-
30 5 -
[page-n-376]
Riquet, R. : 11 n.
Roberti, G.: 94 y 104.
Robin50n, D. M.: 130n., 131n. y 142.
Rodrigun, J. : 11n.
ROSlov t:r.eff, M.: 254 n. y 210.
Rufo, Julio: 260.
Rull Vi ll or, B.: 199 y 205 n .
Russell Corte:r., F.: 11n., 209n., 211 , 213, 217 , 219n. y 220.
Soglio, E. : 211n.
Solin, E.: 281.
Soltet, 211.
Sombon, A. : 155n.
Son Agustín: 256n.
Son Cn6reo de Arlés: 215, 218 y 281.
Son Cucufote: 213n.
Sóncnn Alborno:r., c.: 251n.
Sónche:r. Jlmenn, J. : 214, 253n. y 254 n.
Sonchis Slvero, J.: 241n., 24 3 y 241.
Sondors, H.: 151n., 152n. y 22i.
Son FélllC 213n.
Son Pociono: 213n.
So n Rustico: 211 .
Son Volero Aporisl, J . 61n. 158n. y 254(1.
SorthoY Correres, C.: 239 O 241.
Sostre Alemony, V.: 243.
Saturnino, Cloudlo: 261 .
Saturnino, Mumm io: 261.
Scnlunk, H. : 209 y 21 0 n.
Scnmoron:r.er, J.: 104 .
Schulten, A.: 156, 116n. y 254".
ScimniU5, Scymnioni, Scymnus. s.cymnis, s.cymnionus : 226 O 229.
Secundo, Lucio Volerío: 261.
Séneco: 256n.
Seprimio Severo: 195 .
Seropls: 212n.
Serro Rafols, J. de c.: 14n., 23 o 33, 101n., 21In. , 21511. y 216n.
Serra y Vlloró, J.: 208n., 209, 215n., 216 n., 263, 261 y 281.
Sertodo: 116 y 221.
Sidonio Apollinor: 253 y 251n.
Slgal, L.: 216 y 211 .
Silio Ir61lco: 254 y 251n.
Sl ret, E. y l.: 13n ., 211n., 219n. y 221n.
Soler, V.: 36.
Sueronio: 2 56n.
Supior, J.: 220.
Toboodo, J.: 217 n.
Tonit: 158.
Toraceno Aguirre, B.: 212, 2 13, 21 Sn. y 218n.
Torrooell Mo reu. M .: 19n.
Toxio tes Tossi1ius, J. : 266.
T eodosio: 211.
Terentius lonuoriu5, Morcus: 248 y 249.
Terentius Thoumosrus: 248 y 249.
Te$pis: 259 .
Th.weno), E. : 221n., 258n. y 211n.
Thouvenot, R.: 212n.
Tiberio: 218.
Tovar Lorente, A.: 208n.
Trojono: 221 y 264 .
Tr iptolemos: 138n.
TKnurtscnentoler, P.: 104.
Tullo, J .: 269n.
Ubach, P.: 31.
Ursa : 232 o 231.
Vol Co turlo, E. del : 11n.
-
306 -
[page-n-377]
Voliente, F.: 59n.
Van NO$lrond: 2 51 n.
VO$sit$: 212.
Voultier, M. : 21 1n .
Vó:¡que:r. de Porgo, J.: 21 5 n. y 2 18n.
Venturo, J.: 31 y 32.
Verecundo, Q. Moneyo: 260.
Ve:¡posiono: 211.
Viono, A.: 219n.
Vicedo, R.: 56n.
Victorino, Morco Aurelio: 265.
Vilonovo y Piero, J .: 56n. y 61.
Vi loplono Julio, E.: 56n. y 61.
Viloseco Anguero, S.: 72, 77n. y 215n.
Vincent, H.: 279.
Visedo Moltó, c.: 49n.
Vitrubio: 255.
Vi"inghoff, F.: 2 51 n.
Vives, J .: 266, 267, 272n. y 281.
Vogell, A.: 142 y 143.
Wohers, H. 8.: 131 n.
Wheeler, R. E. M. : 21 9n.
Wheeler, T. V.: 219n.
Wi eser: 104.
Willioondo: 279.
Wolff, K. F.: 104.
Zbys:r.ewskl, G.: 211n.
Zelss, H.: 21 0.
Zenon, M. Em ilio: 265.
Ziocos, Pulicio: 268.
Zoticus: 241.
-
307-
[page-n-378]
[page-n-379]
INDIC.E
GENERI'IL
P" I n.
GAUTH IER, J.: Stolion néolithiQUf d e lo Fon je;ne Vach!!, (commune de
1
la Ccuron"e, Cno.ente)
MONZO NOGUES, Andrés: Lo Alba rdela (All:olol deis Toronche", Vo-
15
lencío) ..... ,
OUVA PRAT, Migu el: El dolmen de la C'fU .~'En Coberlello (Rosos, Ge ra no) y su cercano poblado ibero-romono ..
SERRA y RAFOLS, Jase de C.: El es tudio de le. culturo
lano ......
m~lil¡co
19
calo -
o ....... .
23
PlA BALLESTER, Enrique: Lo Covela del Borrone d el CosteUel (Carricolo, Volencio) . .. . .
35
ALCACER GRAU , José: El Punto! d e Combfa (Villa, del ArzobispO, Vo_
le ndo ) ..
65
LEONARDI , Piero: I costeUlerl dello Venez io Tr identino
85
LAMBOGLlA, Nino: Lo ceramlco "prec;ompono" deUo Bas tido
105
KER N , J. H. C.: No lice sur une oenochoe oUique el gloo;ure noir, du
Musee de P,eniSloi'e de Valendo ( E~gne) . .. .. . ...
14 1
KUKAHN, E.: Es to tu illo de bronc:e de un guerrero o cobollo del poblado
iberico de Lo Bostido d e les Alcuses (Mogente. Volencio)
141
MEZQUIRIZ, Mario Angeles: Lo cerómico de impOr toción en Son Miguel
d e Ur io ...
159
ALMAGRO SASCH, Mo r,in: Sobre el origen y cronología de lo ' iDUlo nispónico ...
177
FLETCHER VALLS, Domingo: Lo cueva y el poblodo de lo Torre d el Mo l
Pom \Cost el lrlovo, Cos tell ón) ...
.. ... ... . . . ... ... . .. ...
187
MAR INER S IGORRA, Seboslión: No tos de ep igro fio valenci ono ... ..
BAl1L ILLANA, Albert o: Lo economio y los habi ta nt es rtO ni5j)Ón icos del
Levon te español dl,.lron te el Imperio romortO ... . . . . . . . .. . .. . . . . ..
225
25 1
PAlOl SALEllAS, Pedro de: Uno representocia., del MorlyriJ,.IfTI de Je51,.1cristo en el Ml,.Iseo Lopidorio de Norbono
m
Ind ices al fo beticos .................... .
283
-
309-
[page-n-380]
LAS OPIN IONES VERTIDAS EN LOS
TRABAJOS INSERTOS EN ESTE VOLUMEN DEBEN ESTIMARSE COMO JUICIOS PERSONALES DE LOS RESPECTI VOS AUTOR ES.
[page-n-381]
Este Servicio de Investigacion Prehistorica remi te sus publicociones oora es loblectr
y mantener in tercambio con los ce ntros cie ntificos y señores inves tigodores en
esto eY,leclolidad. Por elfo espero ser correspondido con el envi<'l de los publicacio nes del receptor, ent endiendo, coso contrario, que no se deseo sostener inter_
cambio y suspendero .... lteriores e nvias.
Todo lo : or respondencio diríjase 01 DireCl::n del Servicio de inves tigoc ion Prehis_
tórico de lo Excmo. DipLJ lacion Provincial de Valencia.
•
[page-n-382]
•
[page-n-383]
PUBLICACIONES DEL S. 1. P.
SERIE DE ANUARIOS
ARCHIVO DE PREHISTORIA LEVANTI NA, r.~Anuor;o del SIP, 1928.- Volencio
1929,
Con tenido:
BolIHler Tormo (1.): A guiso de Proemio. El Servicio de l,westigoti6n Prehistórico
y su Museo.
Viñe¡; (Gonzalo J.) : Lo "Covo Negro" (JÓlivo).
Sreui' (H .l: Stotion moustérienne e l peinrures préhis torlques du "Conolizo el
Royo", Minoteda (Albocele).
S.tui! (H. ): Ves tiges de pelnlures prehistoriqu es " "Lo Cueva tiel Pernil", J ótivo
(Volence) .
Perico! (L.) : El depósito de bra zale tes de ;:>ec' .... n( ulo de "Penyo Ro jo" (Cuolretondelo ).
Bollester Tormo (l.): Lo covocha sepulcrol de "Cami Reol", A'boido.
Pon$.ell (F.): lo "Covo de lo Sors.o" (Bocoirente).
Jorne! (M .): Preh istoria 'd e Bélgido . 1. Hollo'lSlOS eneoli,ic~.
Pericol (L.) y Ponsell (F.): El Poblado de " Mas de Menenle" (Alcoy).
Gómn (Nicolás Prim itivo) : Un " Hio lu!" ptehislórico en los estociones arqueológicos de oltura, Itvontino1O.
Pericot (L.): El poblado ibérico del "Cnorpolor".
Basen Gimpera (p.) : Relociones enTre el arte ibé rica '1 el griega.
BoUesTer Tormo (l.) '1 Perlco t (L. ): Lo Bastida de "Les Alcuses" (Mogente).
NOTiciario.
No tos BibliogrÓficos.
ARCH IVO DE PRE H ISTORIA LEVANTINA. II._An uor io del SIP, 1945.-Volencia, 1946.
Conten ido:
BoUes ter Tormo (l. ): Unos .palabras de ptólogo.
Joroo Cerdó (F .): La "Covo Negra" de Bellus '1 sus industr ias liticos.
Porcor Ripollés (J .): I.,terpte toc iones sobre el orte ru pestre.
Pericot Gorda (L.): Lo cueva de "Lo Cocino" (Dos Aguos) .
Feroondn de Avilés lA.): Lo cueva funerar io, eneolitico, d e lo " Loma de los Peregrinos", en Alg uazas (Murcio).
Vil oseco (S.): Vestiglos de un poblado '1 necrópolis p rehis tóricos e n Ri...decols (Torrogono ).
Vida l '1 l ópe z (M.): Materi a les sonorionos en Valenci a .
Chocomeli (J.): la pr im ero e~ploroc¡ón polofih co en Espoi'ío.
BoUes ter Tormo (l.): 10010$ ocu lodos volBnCianos.
LebzelTer (V.) : Sobre a lg unos cró neos eneolí ticO$ de l Este d e España.
Alc6cer Grou (J .): Dos eSTociones orgóricas de lo regibn levan t ino.
Fle tcher VoUs (D.): lo construcción megalític.:l de Monfor te del Cid.
Plo BoUesler lE.) : "COva de les Moravelles" ¡Gondia) .
BaUeste r Tormo (l.) : Notos sobre las cerámicos de Son Miguel de Liria.--Estocas
h\rreos.- Vaso solar.
Breuil (H.) '1 Lah ti.et" (R.I: ViUoges Prerramoins de lo Péninsule lberlque.
Bollester Tormo (l.): Los monos de mor tero ibéricos.
Jornet Peroles (M.l : Prehistoria de Bélgido.
Gómez Serrano (N. P.): E~covocian es poro lo a mpliación del a nt iguo Polocio de
la Genera lida d.
Beltr6n lA.): Acerco de los nombres d e Cartogeno e n lo Eda d Ant i¡¡uo.
Noticiario.
Bibliografía.
[page-n-384]
,
ARCHIVO DE PREH ISTORIA LEVANTINA, II I - Anuario del SIP. 1952. -V:olencia, 1952 (Hom~noje o don Isidro 8QUester Tormo, vol. 1) .
Contenido:
Palabras ~ev;os del Excmo. Sr. Presidente d e lo Diputación .
Biografío de don Isidro Bolleste. Tormo, po< don Luis Perico!.
Beltrón Mortíne:z: (A.): AcefcQ de los !imites cronológicos de lo Arqueología.
Vilost<:a (S.): Musui'ro- levo U
oisiense en Reus.
Molvesin-fobre (G.) y Roben (R.): DeuK obje ts enigma l ic¡ues en bols de renne dons
le MQ9dole ni enne d e " lo Voc"e" (Ariege).
Gur,eo CrltSPO (V.) y Peno lbo Fous (J.) : bplorociones en lo comor( o d e Ga ndio ,
Rull Villor lB.): Orfgenes prehistóricos del proceso penal.
Ponsel! Corlés (F.I: Rutos de expansión (uhura l almeriense por el nO.le de lo provincia de Al ico nte.
Bernobó Breo (L.): Ovilla preistoric:he delle ¡sole Eolie.
Gi l Fo rres ID.): ElIIrocción de pinturas murales celtas.
Cobré de Morón (M. E.): El simbolismo sola r en lo ornamentación de espodo5 de
lo 11 Edad del Hierro Céltico ae lo Península lberico.
Cuadrado lE.): Uno interesonte tumbo ibérico de lo necrópolis del Cigarroleio.
Romos Folqucs (A ): Uno vajilla de cerómico ibérico en "Lo Alcudia".
Pascua l (V.): El poblado ibérico de "El Pulg" (Alcoy).
Vidol y L6pez (M.I: Tipología de los fusoiolos del opoblodo iberico de "Son MI.
guel", de LI ria.
Visedo (C.I: Hallazgos orqueol6gicos en lo camorco de Alcoy.
Lofu ente Vidol (J.): Influencio de los cull05 religi05O$ cartogineses en los mativos
ortíst icos de los iberos del S. E. espaiíol.
Figueros Pocheca (F. ): Esquema de la necrópolis cartagi nesa de Aliconle.
Moluquer J~ Motes (J .): Sobre lo cueva de " Na Flguef o" en Parella . Menorca.
Lon!i er (R. I: Lo " Pkhe" sous·morine aux onliquités.
Boirroo·OI!i.a (J.): Ouatro ~as do coleqoa de lucernos do M ... $e!,I Mochado .:le
Caslfo, proceden tes de "ConinbJigo".
Maleu " lIapis (F.I: Hollazgos arqueológicos en lo ploza de lo Almayno de 'o
ci udod de Voler.cia.
TarrodeU (M.I: El l.:.mulo de Mezora (Morruecosl.
Alcino Fro nch (J.): Dis tr ibución geogrólico dI' los pinloderos en Amérlco.
Tovor (A.): Observociones sobre escriluros tartesias.
Alvarez ':>elgoda (J .): Lo falsa ecuación " Mossienl·Baste to nl" y los nombres .. .,
". Io ni"
ARCHIVO DE PREHISTORIA LEVANTINA, IV . - Anuorio del SIP, 1953 .-Va·
leneio, 1953. -(Homenoje a don Isid ro Bc;lIesler Tormo, vol. 11 ).
Conten ido:
Jordó Cerd':' (F.): Nuevos hollozg05 en Cóvo Negra (JÓ livo).
Waechter (J .): The I'Kcova tion 01 Gorf-lom's cme ond ils relol;on lo Ihe prehlslor"
01 soul hern Spoin.
Cheynier (A.I: Slro hgrophie de ¡'obri Lochoud el les c ultu res des bords OOO llus.
Clork (J. ro. D.): The groove ond splinler lechn ique 01 worki ng rel ndeer ond red
deer onl !er in U¡>per Poloeolilnic ond Eorly MeSOli lhic Eurape.
Corbollo (J .): Los caveriOaS con pintur05 rupestres del monte del Coslillo (Puente
Vlesgo, Sonlonder).
Porcor RI,>o'ltis (J. R.): Las pinl ur'.lS rupestr es del barranco de "Le-s OOpues".
Russell CO ·' .::r. (F.l: Aspeclos do neolí tico .-:le POrTugol.
RiQuel (R.): Ano lysc: an lnropalogique des tranes eneoli lhiques de lo grolle sépul.
erole -le " Lo PasToro" (Alcoy).
Arnol (J .} " BerTrOnd {R. ): PresenToT;on de ntlUVeaUK tumu li no" mégoll thi$lues.
CosliIla (A. del) : Lo~ Tres copos de lo CUev1J dI! Somoen (So~ ,ol .
Do P~o , A.) "CasIo Arlhur (M. L.): COSTrO dc Vilo Novo de Son Pedro, IV, Semenles r re·hístÓlicos de U nha
Fusté (M.) y Fletch Chade (V. (,.1: The Middle Bronz", Aoe.
Baseh Gimpero (P.I: Los urnas de l Boverot ¡Almol.aro, Cas tellón) V los infilt rociones (\:l l ic05 " n tielfos volencionos.
Fernóndez de Av iles lA.): Excovocione-s en ~ I Llono de ID Consoloción (1 891·1946 1.
Senoil (F.I: Chevou'< du Levo"1 lberique. Cell'sme ou Medi lerronéisme?
[page-n-385]
Gorcio y ~('lIIdo (A.) . El cuho o Aphrodite 1e Aphrodisiós en lo Penrnsulo I~rico .
Gómez Moreno (M.): El ploma de Urio.
Behron Villogroso (P. ): Segóbrigo.
Sónc~z J i,nénez (J.I: Un molde poro lo fobri ~oción de lucernas.
Pollotlino (M). : Per uno nuoyo prospetlivo dellc storio dell'orte or.t leo: 11 ~oblern::l
dei rop >()ft; Ira !e esperienze ;>tedossiche, periferiche .e postcloniehe nel mondo cirel.lmrne J6uregui (J . J. ): Jóbegos y e6robes.
ARCH IVO DE PREHISTORIA LEVANTINA, V - Anuario del SIP. 1954. -Volen,
elo 1954 (Homenaje o don is idro Ballester Tormo, \/01. 1111 .
Conlenida:
Gou lhier (J .): SIal ion neolflhiQue de lo Fonla;ne Vaeher (eo:TIrnune de lo Cauronne, Chatente).
Monz6 Nogués (A).: Lo Alborde ta {Albolal deIs Taronche.s, Valencia!.
Olivo (M.) : El dolmen de lo Creu d'En Cobertella (Rosos, Gerol'o l, y su cerca"o
poblado ibero- romano.
$erro Rafals (J . C.): El estudio de lo cultu ro megoli lico cololo"'o.
Plo Bollesler (E.) : Lo Cove to del Borronc del Coslellel (Carricalo, Valenclo),
Al cócer Grou (J. ): El Pu"'ol de Carnbro (Vil '01 del Arzobispo, Valenclo l .
Leo"ardi (P.): I costell ieri dello Venezia Tridentino.
LombogUo (N.) : Lo ee.ornico "Precompono" de lo Bastida de les Aleuses (Mo gente, Valencia).
Kern (J . H. C.) : Notice sur une oenochoé atliQue Ó gl~ure noire 01.1 Musée tle
Pre histoire de Valencia (Espogne).
Kukahn (E.): Estatuilla de bronce de un guerrero a caballo del poblado i~rleo de
Lo Bast ida de les Alcuses (Mage" te-Vale"dal.
MezQuiri z (M . A.) : La eerómico de impO
AlmoOro Baseh (M.): Sobre el origen y cronologia de lo fíbula hi!QÓnlca.
Flelcher VoUs (D. ): La cueva y el poblado de la Torre del Mol Poso (CO$ lellnovo,
CosteIl6").
Mariner Bigorra (S.) : Not en de epigrafio Valenciano.
Balil lIIono (A.I: La ecal'lOfflia y habi tantes no hi5pÓnicO$ del Levon!e Español dura"'e el Imperioo Romana .
Palol Salellas (P.I : Una representaei6" del Morlyrium de Jewc rislo e" el Museo
Lapidario de Na.bono.
Sf:RIE DE MEMDRIAS ANUALES DE LA DIRECCION
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SIP y
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su Museo de
del SIP y
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su Museo
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del SIP y
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Prehistoria en 192B.-Valencia 1929 .
,1 posado año 1929. -Vole"cia 1930.
Museo
,1 posado año 1930. -Vale"cia 1931.
Museo
,1 posado año 1931 . -Valencia 1932.
Museo
,1 posado año I 932.- Vale"cia 1933.
Museo
Museo
el pasado año I 933.- Vole"cla 193 4.
Museo
los años 1935 o I 939.- Vole"c;a 1942.
Museo en los años 1940 o 1948 .- Valencia 1949.
1944.- Valencia 1945.
Museo
el posado olÍa d, 19'15.- Valenclo 1946.
Museo
el pasado alÍo d, I 946. -Valencio 1941.
el posada año d, 1941. -Valencla 1948.
Museo
el pasada año d, 1948. -Valencla 1949.
Museo
Museo
el pasada año d, 1949.-Volenclo 1950.
el pasado año d, 1950.- Va lencia 1951.
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Museo
el pasada o"" d, 1951.- Valencio 1952.
el pasada año de 1952. -Volencio 1953,
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Museo
el posado año de 1953. -Valencio 1954.
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SERIE DE TRABAJOS VAR IOS
I.-"EI CO$'ellel del Porque''', par l. Ballester Tormo.
2 . -"Breus no'es sobre el pobla' ¡berlc de Son! MiQuel de LUrio". par D. Flet _
eher Vo1ls.
[page-n-386]
3 . -"Estudi$ d'art originario Els inrectes en I'ar t cuoternari", flOr M. Vidal '1
Lópe>;.
4._ "Un en!erramen! prehistoric 01 Borran<: del Cinc tA"oy)", por C. Visedo
Molió.
5.- "Collecció de trebolls del P. J. Furgus sobfe prehislorla volenciano" .
6 .-Euudios sobre los cuevas paleolíticos valencianos.
Contenido;
CoYO - Negro de Bellul:
Viiies (G. I: "Notos sobre las excavaciones".
Jord(¡ Cerdó (F.): "Nuevos aspectos polelnol6gicos de COvo- Negro".
Royo Góme>; (J.): " Relación detallado dpl moterial fósil '1 resumen sis tem6tico de los onimales clasificados".
COYO del Porpolló;
Pericot (L. t : "Estado ac tua l de los es tudios sobre lo "Cova del ParpaIl6".
A1cabé (S. ): "El cróneo del ParpoIlÓ".
Sos Boinat (B.): "Avance a uno clasi ficación de su fauno v re lac ión de lo
mismo" ..
Vidol Lópe>; (M.): "lo founo mal acológIco de lo Cueva del ParpaIl6".
1 ._" Apuntes sobre las estociones prehis t6ricas de lo Sierra de Orihuela" , por
Santiago Moreno. Con nolos de N. P. Gómez; Serrano.
B. -"Sobre Un in teresan te vaso Mcrito de Son Miguel de Uria", por P. Beltr6n
Villograso.
9 . -"EI enterramien to en Cuevo de Roca/o. t", por , . Ballester Tormo, con el
estudia de un cróneo por el Dr. S. Alcobe.
IO.--Comunicociones del SIP 01 Primer Co..,greso Arqueológico de levante.
Contenida:
Uno noto preliminar, por 1. B. T.
Jordó Cerdó (F.I : " El Musleriense de lo COvo de lo Pechina" .
Pericot Gorcio (L.) : "Estado ac tual de lo:; problemas del Paleolítico superior
levant ino" .
Vldal V Lópe>; (M.): " Neolítico valenciano. lo COVO Negro de Morcnu_
quera" .
PI6 Bollesler (E.): " El Sercot de Goyones".
Alcócer Grau (J .): " Exploraciones arqueológicos en B~ís" .
Bolles te. Tormo (l.) : "los ceremicos orcoilanles valencianos" .
Visedo (C. ) V POKuol (V.): "Un&.; fragmen tos cer6micos de lo $.e1reto de
A"oy" .
Fleteher Volls (D.): "Exploraciones arquwlógicos en lo comarco de Casinos".
11 ._"Lo covacha de Uatos (Andilla)", por r. Jordó y J. Alcócer.
12.- "Co...a de
Sorso (Bocairenle}", por J. Son Volero Aooris i.
13.- "Repertario de Bibliografia Arqueológica Valenciano. 1", par D. Fletener y
E. P16.
14 ._ "Repertorio de Bibliografía ArqueológICO Valenciano, 11", por D. Fle tcner y
E. PIó.
15.- "La$ pi ntu ras rupestres de 005 Agu as". por F. Jardo y J. Al cÓcer.
16.- "EI plomo escri to de lo Bastida de les Alcuses (Magente)", por P. Bel ' rón
Vlllagrasa.
17. -" Po rieto l neandertalense de Cova Negro (Jativa)", par Migud FU$té Aro.
'0
PUBLICACIONES DIVERSAS
"L;J cOvo del Porpal1ó" (Gondio). Excovacion\!S del SIP de lo Excmo. Diputación
Provincial de Valenc ia", par don Luis Perico t Gorcio.- Modrid 1942 . Obr;J
Que ob tuvo el Premio Ma rtaren. Publicado 90f el Consejo Superior de Investigaciones Cien tificos.
"COfPUS Va50rum Hisponarum.-la cerámica ¡bérico del Cerro de Son Miguel de
lirio", por 1. BoUester Tormo, D. FlelCher, E. Pió, F. Jordó '1 J . Alcócer,
(publicoción del Consejo Superior de Investigaciones Cient ificos) .
"Nociones de Prehistoria", por D. Fletcner. Publicación de lo Ins tituciÓn " Alfonso
el Magnánimo" de lo Ex cmo. Diputación de Valencia.
[page-n-387]
[page-n-388]
[page-n-389]
[page-n-390]
RCHIVQ
DE
•
RE'HISTO~IA L EVANTINA
HOMENAJE A
O.I.~IDRO BA1.LESTER
TOMI>
111
}\XVARlO DlL SElMCIO DE IlM!6IlGAClON JlRIIHlrn)RICA
U
lA
€'XC'w.. O
tPVTACION O ROVDlCIM. DEV .AU!NCL\.
(NSTlTVCION
}\LfONSO
EL
MAGNANINO
INSTITVTO RoDRI~O CARO DEL C.
VAUNCIA. )(CM\.lV
S.
DE
J. C.
[page-n-2]
•
[page-n-3]
[page-n-4]
ARCHIVO DE PREHISTORIA LEVANTINA
v
-1954
[page-n-5]
I NST IT U T O
D E
A R QUEO L OG I A
"RODRI G O
CA R O "
CONSEJO SUPERIOR DE INVESTI G A C I O NES
C1ENTIFICAS
I NS Tl TUC ION , A LFONSO EL MAGNAN IMO.
EX C ELENTISIMA
D!PUTA C I O N
VALENCIA
P. R O VIN C IAL
[page-n-6]
fiRCHIVO
DE
PREHISTORIf'i
LEVf'iNTlNf'i
HOMENAJE A O. ISIDRO BALLESTER TOHMO
TO~'IO
111
I'IN UI'I RIO DEL SERVI CIO DE INVESTIGMClON
PREHI5TOR ICl'I DE LI'I EXCELENTlS IMI'I
DIPUTl'IClON PROV I NCII'IL DE VI'ILENC II'I
VOL. V
1954
VI'ILENCIl'I, MCMLlV
[page-n-7]
ISSN - 1989 - 0508
Edhmial F.-iJo",.,.eoll. S. A • Mar , t9. V.I."d.
[page-n-8]
J.
G A U TH IER
(Fran rin)
!:Itation Néolithique de la Fontaine Vacher
(collullune de La Couronne, Chorenle)
A 2 kilometres QU Sud du Bourg de Lo Couronne (O kms. au
Sud d' An90uJé~eJ pres du homeou de la Courode et en bordure de
la roure dépor,tementol e N,- 103 (S t -Yrieix Ca Claix gafe) se Irouve
au lieu dit " Lo Fon taine Vocher", une s talion néolithique occupon l les parcelles 308 -309-3 16-3 17 du plan cadostrol, sect ion E,
dans lo vollée de la Boeme (Fig . 1).
Du poin! de vue géolog ique nOU5 5ammes en présence cl 'un terroi n secondoire d'étage cénomanien de sable o Ostréa Biauriculato e l d'orgiles tégu lines.
HI STOR IQUE : En 1945 Mr. Poirier, octu el propriétoire du gisement, me commun ique quelques sílex qu'il avai t recuei ll is en surfoce dans une vigne qui occupe la porcel1e 316; mois le terroin
trap bouleversá por les lobours successi fs ne permet pos de sovoi r
s' ,1 s'ogi t lo d'un simple lieu de possoge ou d'un hobitot rendu
possible por lo présence toute proche de lo Boeme et de lo source
Vocher. Lo stotion qui se situe o I' en tour de lo ferme de Mr. Poiri er est occupée por des vignes jusqu'a lo porcelle 317 pu is por un
petit beis de chénes qui descend en pente douce vers lo Boeme .
Elle est encod rée o l'Est et a l'Ouest por 2 ploteoux co1coires d'ossez fo ible oltitude dons lesquels son t percées queJques petites covités dont cer toines semblen t ovoir été occupées des l'époque Mogdolénienne. Lo présence dons lo "Grotte du Creux du Loup " d'une
grovure poriétole oujourd'hu i disporue mois visible en 1948 confirmeroit cette opinion . Sur ces ploteoux fUr ent recueiUi s un certoin nombre de si lex toil1és de type moustérien métongés o quel-1-
[page-n-9]
2
J. GAUTHIER
ques preces néolithiques don t aucune n'offre d'intenH suff ison t
pour étre étudiee id. (Fig. 2).
NATURE DE L'OUTILLAGE : La m otlere premiere utilisée est
soit du .sil ex qui se frauye en obondonce sur les ploteoux voisins,
soit du jaspe assez fréquent dons les gisements 'Poléolithiques de
lo regían ou meme parfois du gres
•
-
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. .• .... 1\-<•
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¿e9·"dI.
11' ,h\ ....."
- - . 1. 1.>( , ... "'.~ .... \
Fig. 1.- Situotion d e la Chorenle
Les 55 outils recueillis jusQu'o ce jaur se dassent en:
24 pointes de flech es, une gouge, un e herminette, 7 haches ou
hoche ttes, 3 rocloirs, 10 grattoirs, 8 lomes, 1 ou t íl tria ngulaire el
tronchon t tres abrupto
Pointes de fl eches.-Dons les pointes ir convíent de distinguer:
8 pointes de fle ches, pédonculées sons oilerons (sílex blenc et
blond) dont deux d'une facture particulieremen t soignée en roche
verte. 3 pédonculées sans ai lerons (silex 6 pa tine blanche avec troce de rouille) . 13 foliocées dont 3 en silex noir pourroient étre
confondues, si ce n'étort leur époisseur, ovec des paintes de tech-
8 -
[page-n-10]
STATION DE LA FONTAINE VACHER
3
nique solutréenne . Ceci d'oilleurs ne doi t pos nous é tonner ou tre
mesure puisque les origines memes de lo poin t e proprement dite,
les poi ntes a oi lerons et pédonc.u le comprises se placent ou SoluIréen ( 1) .
Nous avons jugé a ce propos qu 'il ne sero it pos sons intérel de
.+.
»,
,
u. , •••••
1
l'\ouIln do. lo.
~
c-.4.
\
Fig. 2. -SiTuar¡on d ... gisemenl. Extroit d ... plan codoslro1. Commune de Lo
Couronne.
foire une comporoison ovec le gisement plus connu de Recoux
(Chte) -comp for ti fié- qui o livré:
4 3 pointes de fleches .
6 poinles de fl eches t riongu loi res o base convexe du type
Sohorien.
8 pointes de fl eches o pédoncule.
104 pointes de fleches o oilerons et pédoncu le.
53 pointes de fleches foliocées .
(1) L. PERICOT GARCIA: "Lo cueva del Por~Uó (Gond¡a). Excovaciont!S
del Servicio de 1nvesl igoción PrehislÓfico de lo Excmo. Dipu tociÓtl Prov incial de
Valencia", C. S. de J. C., Insli tulo Diego Vel6zQuez, Madrid, 1942
-
9 -
[page-n-11]
4
J. GAUTH IER
F'g. 3.- 1 Q 5: Pal nt es foliocees.-6: Lome OpPOin,ee.-1: Pointe foliacee brisée
du Iype feuille de sou le (2 el 3 égolemenl }.-8: Lome brisée dont 1 ' ,on0
(a tufe a e le relouchée.-9: Lome a encoc::hes formon, j:lfotlOir Q une eK_
I,émllé.- IO e l 11; Paintes Q oilerons, de stel;on triongu loire - 12 el 15:
Paintes sa ns oilerons, de SKtion triongu loire. 13: Polnte o Iron.cnOnl
t,onsversol.- 14: Lomelle minee relouchée en gro lloir sur une exlremité.
- 16: Roelo;, epais bifoce pDflont sur choque foce e l syme t,iquefflenl une
cavi lé circ u loire volon toiremenl oménogée.- l1: Roelal, épOis.- 18 : Ha _
che loillee (tronche!?)
(2/3)
-
10 -
[page-n-12]
STAT10N DE LA FONTA1NE VACHER
5
MoIgré ces chiffres il fout remorquer que clons lo région les
poi ntes o oilerons e t pédoncule o I'encontre de ces deux stotions
ne sont pos les plus nombreuses; ce son t des poi ntes o t ronchont
tra nsversa l et les foliocées qui dom inent (FeuiJlade Chte) contrai·
rement o ce qui se posse dans le Languedoc, chez les Campign iens
pas teurs des plateoux (2) . Néonmoins on en trauve également o
Ste. Cotherine (4 kms. d'Angouléme), au moulin de Boud ion (6
kms. d' Angoulé me) a insi qu e dans la 'pluport des dolmens des environs (Foré t de lo Boixe, Chauve t) .
Les fhk hes o tranchan t t ransversal san t plus nom breuses aux
Pe rrotes, o Fontenille, a lo caverne du Placord, o Puymoyen, a
Voulgézac, ou Bois -Menu, dons lo forét de lo Boixe e t o Fe uillade .
IFIg. 1).
Les pointes foliocées se rencontrent fréquemment o lo Boixe,
a Feuillade, sur le plateou de Voeil, ou Bois-Menu, o St.-Froigne,
aux grottes du chofoud (Fig . 1) .
Les pédoncu lées se rencontrent fréquemm en t o lo Boixe, o Feu iI'ode el le Roc de lo Fode o Fon lenille o fourni quelques fleches o
oilerons el pédoncu le.
Herminette et gouge: Ces objets ossez rores en Fronce son t lCl
d'une fa c ture particulierement soignée. La herminette est e n silex
patiné blonc ovec quelque trace de rou ille produite por le choc des
instruments arotoires. Lo herminette plus soigneusement palie fui
.reta il lée o son extrémi té sons d ou te pour fovoriser I' emmonche ment o (F ig . 5,28).
Grottoirs: Alors que le per~o ir domine en Saintonge (3) , I' instrument couron ! des compigniens de la région Choren te, Dordogne
est le grottoir;
40 o Recoux.
50 aSte. Co the rine.
Tres nomb~e ux o Feuillode (Ch te) e t a Etouors (Dordogne) .
Ceux que nous evons recueillis ó lo Fon taine Vacher sont dons
I'ensemble soigneusement retouchés e t semblen t ovo;r été utilisés
tres longtemps . 6 sont en si lex gris avec une pa tine assez doire .
(2 ) M. LOU IS: " Préhistoi re du Long ... edoc Med ilerraneen el du Roussi llan" ,
Nimes- Paris, \94 8.
(31 J. ARNAL el R. RIQUET: "Reloc;ones ent re Los Chorent as froncesos y el
Sud- Este español en lo época de los dólmenes", dans Cr6nico del 11 Con~ reso No·
cIonol de Arqueo1ogio {Madrid 195 1J, Zorogo;¡:o, 1952, pp. 203 o 2 16.
11 _
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6
J . GAUTH IER
len silex nair (Hg . 3, 14). 2 en silex blond (tig . 4, 19) , e t 1 en
silex patine blenc ovec t roces de rauille.
Les racloirs : Son! tres f réqu ents dons lo region m ois son ! génera lernent b ien moins beaux (Claix, Recoux-Comps de pla teoux) o
part ceux qu e nOU$ Qvans recueiUis el Feuillode don! 10 f inesse de
trovoll es ! excep tionnell e, lIs son ! lous les 3 en silex gris e l d/ossez peli te tai lle (7 6 9 cms.) (fi9 3 el 4) . Les lomes -son t peu épaisses de sec t ion t riongulaire, en sílex blond, Icutes son! brisées, e lles
en ! poru servi r ossez longt emps el deux d'en t re e lles porten ! q ue Jques retouches olternées (Fig . 4, 24) .
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20-
F¡g. 4._ 19: Grottoir lo térol pedoncu h!. -
20: Roelo;r epO is _ 21 : T (anche t (?)
ovec troces d 'eclo tement.- 22: Rodo;r d i$COide epO i,. - 23 : Oulll b:isé
e l omenoge en gro lloir.-24: lome mince de seclion lroonguloire du l)'pe
fréquent o Fonlo ine Vacher.
(3 / 4)
12 --
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STATION DE LA FONTAINE VACHER
7
Loo h.,he" Elle, ront toute, pol; e, de toH le moyonne (5 6 8
cms .), de forme trionguloire o talan pointu . 11 n'o été trouvé ou·
cun exemploire o boudin, o bouton, perforé, con t roiremen t o ce qui
orrive en Bretogne et dons lo regían porisienne. Les hoches o bou ton sont d'oilleurs rori ssi mes meme dons leur cen t re qui eSI lo Ven·
dee. 11 o élé recueilli 7 haches ou hoche ttes. I1 convien t de distin·
guer une hochette 8 x 3 cm. toi llee en silex pa tine morron· rouge,
4 +"!ochettes dont lo toj lle oscille en tre S el 9 cms. (toutes en s íl ex
pa t iné gris ovec t race de roui lle).
25
Fig. 5. -25 : Hache palie, silex joune.- 26: Poinle bifociale epoisse.- 21 : Hoche
palIe en gres IU$tre. -28: Hache palie formont herminelle.
(3 / 41
-
13-
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8
J. GAUTH IER
2 en gres lust ré, dont I'une ovale ó tolan droit, ¡'cutre trianguloire o talen pointu. 1 hachette en silex patiné ¡aune cloi, (Fig .
5,251 .
11 convient oussi de signoler deux outils toiltés el éclotés au feu
qui pourraient etre ó la rigueur des tronchets (Figs. 3, 18 el 4, 21).
CONGLUSION
Régrettons I'absence de la poterie qui auro; ' daté plus exoct emen t. Pourtont le mobilier de silex est tell ement typique qu'il
et oit in téressant de le signoJer. 11 correspond exactemen t o ce que
Bosch -Gimpero a décri t sous le nom de civilisation Seine - Oise Marne (4).
Si le mobilier est plus grossier e'es l qu e nous avons affaire (1
une s lo t ion de plein oir, 6 des ou t ils obimes el obondonnes sur
place.
Les lomelles, les fleches tronchan tes son t méditéranéennes mais
por lo forme t rapézo'idale de ces demieres et la présence d'ormatures de fleches o ailerans et pédoncules, nous sammes au temps
des ollées couvertes de la région porisienne (S)
Cóté campignien il y a les haches en sil ex, le gros tranchet,
les gra ttoirs et les rac1oirs.
Ce complexe est bien attribuoble o la civilisation Seine-OiseMame qu i a royonné de lo Belgique jusqu'o la Garonne et qui couvre la France d'un immense croissant.
(4) P. BOSCH_GIMPERA el J . de C. SERRA RAf OLS: "Eludes sur le Néoli_
IniQUe el l'EnéolilniQue en Fronce", dOr>!i Revue Anlnropolog iQue, Por ls, 1921; d .
V. G. CHllDE dons "l'Anlnrcpologie", 1950, n. 1.
(51 O. Confe-retlce SUr le mobilier du Dolmen de Recl u$ fouille por l' AbbC
F()(el el publie dons lo Revue Ard.eolog ique, 1936.
-
1-1 _
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ANDRES MONZO NOGUES
(V~I.nd.)
La "Ibardeia
(Albol.! rlels Toro nchers, Voleneio)
Escribimos estos líneas con el único propósito de que no falte
nues tro modesto colaboración en lo pruebo de afecto que a la memoria de don Isidro BoUester Tormo dedicon sus discípulos, colaboradores y amigos 01 cumplirse los veinticinco años de lo funda ción del Servicio de Investigación Prehistórico.
Nos ha costado decidirnos sobre el tema, ya que reiteradamente hemos escrito sobre lo arqueología de lo comarco que mós o
fondo hemos reconocido (1), escogiendo, finalmente, entre ot...os
muchos estaciones dignas de ser detenidamente estudiados, Lo
Albardeta, por ser lo menos conocido, yola que sólo hemos
mencionado, inciden talmente, en uno ocasión (2) .
La Alba rdeta es un cerro o cabeci ta muy destocado, que se descub re debajo del Garbí y casi frente a la estación del fenrocor,il de
Estivella -Al balat. Un profundo barranco la .s~pora del Gorbí y otro
barranco del despob lada prehistórica de Els Terrers. Se hoJla en término muni cipal de Al ba la t deis Toranchers, o lo derecho del río
Poloncio, entre el Borranquet de Put;ol y el ot ro que poso por la
entrado de la mencionado estación del ferrocarr il de Aragón .
El yacimiento presento los siguientes característ icos : por el NE,
dificultosos r6pidos, sembrados de mal eza y algunos pocos pinos;
•
(1) A. MONZO NOGUES: " Nolos orqlleológicos de l ogro soguntino", en
Anot es del Centro de Cul turo Volenciono, XIV, num o 15, pó¡¡. 58 y nUmo 15.
pág. 139, Valencio. 1946.
121 A. MONZO NQGUES: " El Mi iores y el Miioren5e", separo ta de Anoles
del Cent ro de Cultura Valeoc:iano, pág. 40, noto, Volencia, 1951.
-
15 -
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z
A. MONZO NOGUES
por el E. se hallo defendido por un tojo de bastante ahura, por d eboja del cuol siguen los dificultosos rópidos; por el SE., tros un
trecho de unos doce o quince me tros de bravos escarpaduras, sua."izados algún tanto por los derribos de paredes y murallas, se une
o los cercanos montes por un calladito, donde se ven, muy tr itura dos, algunos restos de cerómica neolítica. Como a un tiro de honda
y o bastante menos altura, mano la fuente de ricos aguas denominado, antiguamen t e, Fan t del Sopo y hoy, del Gorbí. El cer ro
estó formado por concreciones de rojizo rodeno, del que se extraje ron centenares de metros cúbicos poro el pavimentado de lo copitol. El camino carrel-ero abierto para el acarreo de bordones y
adoquines, conduce casi a la mismo cumbre del cerro. Los can teros
des truyeron uno buena porte de lo muralla de grandes bloques de
piedra, que les facilitó considerablemen t e su toreo, y abrieron allí
nuevas canteros. Por fortuna aún qu edan algunos restos de dicha
muralla, como se distingue bien en lo lómina 1. En la actualidad
se han abandonado los canteros, pues de segui r el ritmo de hace
cuatro lustros, ni raSlros quedarían al presente de nuestro yacimiento, de indudable importancia si se encontrara intacto.
Los restos mós importantes de mural las se descubren en lo que
podríamos llamar el pie del poblado. y su totalidad debía cubrir
todo lo que no defendían los despeñaderos. Estó constituido con
grandes blOCjues de radeno, de diferentes tamaños, notándose en
ellos los efectos de uno continua erosión . Su trazo es bien parecida
o los restos de la vecina estación de Les Robases, aunque en ésta
son de calizo .
Algo más arriba percibense, a fl or de t ierra, señales de muros
más senci llos. En lo parte SE. parecen verse ángulos como de torre,
no pudiéndose afirmar con certeza, por causa de los grandes derribos de paredes y demós restos de construcciones.
En lo porte NO. yacen, de manera impresionan te, lo mayar parle de los derribos. También en lo porte cime ra no se descubre otra
cosa, al presente. Las piedras de esto cumbre no poseen ot ra ligazón que las arenillas, ocasionadas por la erosión.
En esta parte más alta se suelen descubrir bastantes restos cerómicos neolíticos, de varios clases, pero imprecisbs en sus formas
por causa de su diminuto fragmenta ción . T ienen desde tres milímetros de sección hasta de nueve. Son negros algunos y con mayor
abundancia de arenillas o tros . En los de mayor tamoño se puede
apreciar el in terior de la vasija como reforzado con un color rojizo,
-
16 -
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LA ALBARDfT A
3
de formo semejan te o como ocurre en los fragm en tos recogidos en
lo Muntanya Redona. De Les Raboses y Els Terrers no poseemos
ningún resto cerámico con esto carac teríst ico.
Podría ser qu e Lo Albarde to pasara o fu sionarse con Els Terrers, y que más tarde, a mbos o uno, se bajaron o los ori llas del
Polancio. A todo estación eneolí ti ca de nues tro término municipa l
corresponde uno ibero-romano, cuando no ibérica, de cerámi cos
sencillas y s in decorar, con señales de esparto en e l int erior de los
vasijas más grandes o de otra clase de .hierbo. y o esta gen te pertenecen los hornos alfareros, que llamaríamos de cubo, por su forma circular, ya que hemos encont rado uno en El s T erre rs y otro en
Lo Muria, correspondiéndose con sus estaciones de montaña. Estos
hornos, de diferentes secciones, con pa redes de borro de unos doce
a qu ince centímetros, endurecidos por la acción del fu ego que les
ha proporcionado un color g risáceo, y muestran en derredor, o cerco de ellos a l menos, abundantes restos cerómicos. Se nos insi nuó,
que pudiera tratarse de hornos de cal mós mode rnos. Estos se ven
por lo montaña, y son de distinto técnico, no encon trá ndose en sus
proximidades restos de cerámica. Ademós, en lo ori llo izqu ierdo
del Borronc del Pl o de l'Aljub se descubre uno, que tiene sobre su
porte super ior más de metro y med io de acarreo. Y sobre todo ello,
los restos cerómi cos copiosos y típicos. Son los hornos ibéricos que
siguen trabo jondo poro los conqui stadores, que no cambian los t éc_
nicas de horno alfa rero, por lo menos en lo que conocemos hasta
el p r~sente .
Como mós ca ract eríst icos mencionaremos a lgunos fragmentos
cerámicos :
o) Fragmento pequeño, de color amarillento blanquecino, perfec t amen t~ pulido y fac turo gris con arenillas. Reborde suave con
sección semi circu la r.
b) Fragm en to de mediano vasi ja de caracterís t icas parecidos
al an te rior, fa ct uro t errosa y t ipo carac terís ti co de l Argar.
cl Fragmento de gran vasija, de espesor de 9 mm . en su borde, que se mues t ro simétr ico, con un pedúnculo bosta osi como su
aplicación sobre el mi smo, que se ve a unos t res centímetros de lo
boca. Es más basto, con gran can t idad de arenillas y color rojizo
en su parte interno . Si segui mos el paralelismo de sus vecinos, el
pedúnculo debe estor pegado o la vasi ja valiéndose de un agujero
en lo m ismo, siendo luego remachada, bas tamen te, can los dedos,
en su parte visibl e.
-
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4
A. MONZO NOGUES
Dijimos 01 comenzar que, como o un tiro de hondo del poblado, manaba uno fuente de ricas aguas que los viejos del pueblo 110 mOfan Fon t del Sopo. Como resulto que el topónimo 10 hemos visto
aplicado o bastante número de fuentes, creemos oportuno decir
algo sobre él, paro term inar .
Hemos estudiado tres fu en tes con el mismo nombre y los tres
manaban en terrenos arenosos o de rocas de aren isco, que ta mbién
suel ton su can t idad d.~ arenillas sedimentados en el pozo donde
cae e l agua . Asi, pues, se t ro ta de un topóni mo de romanio (si es
que ésto no lo tomó del país) orig inado de sabulo. Aqui observa 0
mos, no lo conversión de P en B, si no qu e 1 P noció de la obligado
pronunciación de los átonos - bulo, como cualqu iera puede ob se rvar. Lo pronu nciación de los átonos nos proporciono fenómenos
en los que debiéramos de fijarnos bien, yo que se noto uno te n dencia en el lenguaje popular o oglu linar y transformar los mis mos. Entendemos que lo supresión de le tras es fenómeno menos
corrien te de lo que o primero vis to parece. De lo cua l podemos
condu k que Fon t del Sapo es lo mismo que Font de l' Are no.
~-
18 -
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LAM, I
MONZO NOGUIS.- La Alba,d. ta
Res tos de lo muralla, cons truido do grondes
blOQue~
d e piedro
(Foto Mon z:ll
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MIGUE L
O L IVA
((l~rfln.J
El dolmen de la Creu d'En Cobertella
(R.o!)a!), Gerona), y !)u cercano poblado
ibero-romano
A la so lido de Rosos por el este, posando por la ca rretero mi Iilor que, bordeando o trechos la costo, conduce o Codoqués, se
llego en poco mós de medio hora de comino o un oltozono que es
un estribo rocoso del Puig de les Aligues, en el poraje conocido por
Can Marés, donde se hallo el sepulcro de corredor llama do lo ereu
d' En Cobertella, uno de los monumen tos megalíticos mós imponentes y famosos del grupo del Alto Ampurdón, y el que tiene la
loso de cubierto mayor en t re todos los de Cataluña (1) (16m . 1) ,
muy popular en el país y frecuen temente visitado por los excursionistas, habiendo estado o veces en t ronce de desaparecer, o pesa r
de haber sido denunciado el peligro de su destrucción mós de una
vez (2) . Convendría que se procedi ero o su consolidación y 01 de·
rribo de las cons trucciones anejos que lo rodeon desf igurándolo
considera blemen te, ya que este dolmen si rvió de dependencia de
(1 1 M . CAZURRO: "Los monumen tos megol íticos de lo provincia de Gecono", Centro de Estud ios Históricos, Modri d, 1912, pOgs. 29 y n.
lo PE RI COT GARC IA: " Lo ciyilizoción megalítico co tolona y lo culturo pirenaico", Borcelono , 1925, péIg. 92.
A. PANYELLA \' M . TARRADElL; "Excovociones en dólmenes del Al to Ampur.
d6n", en Ampur ios, V, Barcelona, 1943, pOg . 181.
J. GARR IGA PUJOl: " No tos de orqueologío ompurdoneso" . en Es tudios, 1,
Barcelona, 1950, póg. 11.
L. PERICQT GA RCIA: "los sepulcros meg.oliticos co tolones y lo cul turo pirenaico", segundo edici6n, Borcelona 1950, póg. 140.
121 Véose "Mern6ries del~ Amics de l'Arl Vell" , 1929- 1935. Borcelo~.o.
1935, piIg. 54.
-
19_
[page-n-22]
2
M . OLIVA.
uno coso de campo, hoy desaparecido, que lo uti lizó como corral.
Con lo limpi'eza de los paredones modernos que se hallan en sus
inmed iaciones, podría estudiorse bien lo disposición del monumento y excavar sus can tornos, labor que es tá todovía por hacer.
Es te dolmen mereció la visito del sabio arqueólogo francés M.
Joseph Oecheletle en 19 12, según se desprende de un recorte de
per iódico que casua lmente ha venido o nues tras monos (3) .
Inmediato 01 dolmen y en lo vertient e poblado de olivos que do
sobre la corretera, S-~ encuentron obu ndont ísimos fragmentos de
cerómica, que denuncian la exist encia de uno es tación ibero-romono emplazada en aquel lugar, hasta ahora inéd ito .
En lo vi sito que efectuamos duran te las excovociones de la
Ciudadela de Rosas en noviembre de 1946, tuvimos ocasión de recoger uno regu lar cantidad de fragm entos de cerámico gris, del t ipo
llamado ampuritano, correspondientes o vasos de m uy dis t in tos tamaños y de formas bicónicas, con oso latera l acanalado; algunos
trozos de vasos de ceróm ica basta, o mano, conteniendo la posta
muchos granos de feld espato, cuarzo y mica; otros de vasos comu nes, de cerómica rojiza, hechos a torno, y tipos de vasos ovoides
Fragmento de cerornico companiense con grofilO iberico (T. n.).
con boca de bordes vueltos . Un fragm en to de borde de kolothos
ibérico; un trozo de tapadera troncocónica con pivote cen tral ; pero
lo que mós abundaba ero la cerámico com poniense en sus t ipas A
y B, y de lo especie de borniz luc ien t e; en t re oellos hoy fragm en tos
de borde de boca correspandi- ~n tes o piezas en formo de pequeños
13)
Ve ose "Dia rio de Barcelona", Barcelona, l." d e m oyo d e 191 2, nUme-
ro 120.
-
20 -
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EL DOLMEN DE LA CREU
3
cuencos (pateras) , bases de vasos con rosetas estampados en su
interior; un trazo de lucerna de tipo helenística igualmente ~n ceromi ca componiense, y finalmente, de la mi sma cerámico es el
fragmento de vaso en forma de cuenco, que pertenece al llamado ti po A de esto clase de cerámica, llamada también cerámico de Ischia ,
el cua l ostenta el grafito ibérico que publicamos, grabado en caracteres incisos finos y profundos, de 15 y 12 mm . de a ltura (In ven tario General número 3, 1 13) (fig . l.").
Del vocablo inscrito folton proboblemente letras en su comienzo y final, por rotura del vaso, conservándose solamente dos caracteres que, habido cuento de las muchas variaciones de detalle en
la formo de las letras del alfabeto ibérico, pueden carr-espondu
a uno M, N o Y (?) lo primero; siendo uno N bien cloro lo segun do, de ocuudo con el alfabe to de G)mez Moreno (4) .
(4) M. GOMEZ MORENO; "Mlscelóneos. Historia-Arle-ArqueoIOl)jo (Disper_
sa, emendoro, adillo, inédila), Primero serie: Lo Antigü@(jod", C. S. 1. C., Madrid,
1949, póg. 275.
-
21 -
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[page-n-25]
OLIVA PRAT.-EI dolm e n de la C.eu
LAM. l .
Vi, la del dolmen de Rosos, conocido pOr "Lo Creu d'en Coberlella", y zona de 5U5
Inmediaciones, donde se holl" el poblado ibero-romono
(Fola Olivol
[page-n-26]
J.
DE C. SERRA RAFOLS
llIantlou)
El e!>tudio de la Cultu ra Megalftica
Catalana
Con razón dice el profesor Pericot que pocos manifestaciones
de la Prehistoria resulton ton fáciles de estudior como los sepulcros megaliti cos, pues "son éstos ton visibles que mucho ont.¿s de
que los eruditos inicioron el estudio científico de los vestigios prehistóricos, los ... dólmenes habían atraido ya lo otención de los aficionados a lo antigüedad " ( 1).
Con todo, la que fue tesis doctoral de nuestro viejo a migo y su
segundo edición (esta vez en verdad "corregido y aumen tado") (21
quedon continuamente superadas por los nuevos descubrim ien tos
como él mismo prevé y deseo, en cuan to o su corócter de catálogo
exhaustivo de los monumentos mega líticos ca tolanes.
y es que los dólmenes, a pesar d¿ su visibi lidad, se acuitan
mós de lo que parece posible y siguen proporcionando nuevos e jemplares de estas sepulturas las comarcas mós frecventados por todo
género de viandan tes, desde los pseudo - excursionis tas, que sólo
desean devora r kilóme tros y realizan sus travesías con un carócl'é!r
poco dif.erente de sus botas y bastones, hasta los que, mien tras
andan, investigan el paisaje y sus elemen tos naturol-es y humanos.
Señolemos como ejemplo muy demostra t ivo, bien reciente, el descubrimiento por el Coloborador d~ la Comisaría Provincial de Excat 11 l . PERICOT GARC IA: "la cultura megalilico en .... rogan·· , Pirineos,
VIII, pÓg. 485, Zaraga:la, 1952.
(2) lo PERICOT GARCIA : "la civill:loc;ón megalítico cOlolan.o y la culturo
pirenaico", Barcelona, 1925.
L. PERICOT GARCIA: "Los sepulcros megalílicos catalanes y la cultura pire _
noico", Barcelona, 1950.
-
23 -
[page-n-27]
2
J. DE C. SERRA RAFOLS
"odones Arqueológicos de Barcelono, don Antonio Guilleumes, de
los dól menes mós próximos o la capital ca talona que se conocen
hasta ahoro, en una zona que, desde hoce t¡ ~ m po. se conside raba
agotada en este aspecto (3) .
Recordemos o es te propósito las campañas sistemóticos orga nizados RO' nuestro maestro Bosch -Gimpero llevando como ouxilia r
01 mismo Perico ! y que teni endo, como quien dice, megalitos 01
a lcance de lo mano, se iban o buscar, en penosos excursiones, casi
o 200 kilóme tros de distancio .
Si es to poso en los transi tadisimas montañas que tocan o Barce lona, se puede suponer que daben quedar sin s'3ñolor decenos y
decenos de estos sepulturas en los vastos manchas exi stentes dentro de la zona dolmenica, donde no se seña lo ni un solo megal ito
(4 ), en comarcas donde no ha habido ningún investigador local
(precioso e indispensa ble colaborador de la investigación ~ n c ral ,
01 que con frecuencia se regateo y hasta se n iego lo beligerancia),
y lo mismo e n aquellos qu '~ han sido mós o menos inte nsamen te ex plorados.
Ademós ha de considera rse casi un axioma que, incluso los
dólmenes mós des truidos y aquellos que son mas visibles y que por
la tonto han sido violados desde mós antiguo y de seguro innumerables veces, contienen todavía algún resto eh los hombres que los
levantaron y de sus industrias, y con fre cuencia de aquellos que los
utilizaron posteriormente. Incluso dólmenes que han sido excava dos por pe rsonas experimentados, no siempre es seguro estén agotados en sus hallazgos. Es frecuent ~ qu e en los compañas de e xploración dolménico no se cuen te mós que con unos escosas horas (o
seguido de una camina ta agotadora) poro explorar un megalito, y
que esto Ipbor se rea lice apresuradament e, en uno verdade ro carrero con t ra el reloj . Como se aprecio en seguido que el dolmen ha
sido violado, y por lo tonto se sabe qu e su conten ido ha de aparecer
removido, se considero qu e los observociones de car6cte r es tra ti gráfico no han de dar resultado alguno, y por lo tonto casi se prescinde de ellos. Libl'es de este es torbo que obligo o trabaja r lentamente, los exploradores buscan ton só lo recoger lo mós rópidamen t e posible las restos de huesos o mobi liar ia que hayan podido
(3 )
,ovo•.
Dolmen d e
VoJlfornan~,
;ned ito, pero eKplorodo, y o lro todov¡o sin ell(-
(4) Veose el mós rec iente mapa de su d istribución en L. PERICOT: "Los sepukros megoHtic:os ... ", fig . 86.
-
2'1 -
[page-n-28]
ESTUDIO
D~
LA CULTURA MEGAlITICA
3
subsistir, y como estos suelen reducirse o fragmentos de cerómica
liso, con frecuencia ton menudos y desg:Jstodo;; que resultan casi
inclosificabl~s, pronto se agoto, junto con el escoso ti empo de que
se dispone, el in t eres del explorador, y sin que honradamente se
puedo a firmar que ha sido removido y ta mizado todo lo tierra susceptible de con tener olgun resto, se do por terminado lo excovación . Y este termino es poco menos que defini t ivo, yo que el dol men explorado estó ton alejado del pun to de residencio y partido
del arqueólogo, que es muy di fic il que este vuelvo o encantrar ocasión favorable poro repetir lo la rgo y penoso excursión, que esto
vez tendró el -escoso aliciente de visi tar un megal ito yo conocido y
teóricamente excavado. Personalmente hemos de reconocer que en
los no muy numerosos dólmenes en cuyo excavación hemos colaborado, hoce yo mucho;; años, no tenemos lo seguridad (ni incluso
dentro de lo que son los seguridades humanos) de que estén exhoustivamente excavados. Y si nuestros colegas Que han intervenido en compoñas seme jan t es quieren ser sinceros, reconocerán lo
mismo en cuanto a gran numero de sus trabajos. Hoy que pensor
que esto faha, que serio menos que venial en excavaciones de salvamento, es decir, aquellos realizados apresuradamente y forzosa mente poro salvar todo lo posible de yacimientos que van o ser
destruidos por motivos ajenos o la arqueología, es más grave cuan do se troto de excavaciones intencionalmente llevados a cabo, en
lugares que o veces podrían esperar tranquilamente tiempos futu ros, incluso generaciones futuros, en Que los cosas pudieran hacerse en mejores condiciones.
Por esto o lo pe t ición que hoce Pericot de Que se comprueben
los plantos de los dólmenes conocidos, un imos por nuestro parte
que se comprueben los excavaciones efec tuados, cosa que él tam bién aconse jo; lo rec tificación de plantas ha de ir acompañado de
observaciones minuciosas sobre lo existencia de en losados, formados por piedras mós o menos planos, de dimensiones no muy grandes. Nos ha admirado que en dos dólmenes cuyo reciente excava ción detenido hemos presenciado y orien tado, pertenecien tes o comarcas bastante dis tant es y de características geográficos y geológicos diferentes, hayamos podido comprobar la -existencia de ta les
en losados en sus respectivos cámaras. Nos resis timos o creer que
se trote de casos excepcionales; más bien opinamos que tol-es pisos
en muchos cosos han posado desapercibidos a los exploradores y
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J. DE C. SERRA RAFOLS
que su exist encia debió ser bastante mós g!nerol de lo que se de duciría de los estudios efectuados (5) .
Son estos labores muy Q propósi to, como primeros a rmas en 10
arqueología de campo, de las nuevas y numerosas promOCiones de
jóvenes arqueólogos que aparecen continuamente en el palenque
cien t ífico. Aleccionadoras por uno porte y científicamen te útiles,
por otro, Ahora bien, quienes los verifiquen han de pensar que
codo megalito o replan tear y reexploror requ iere, poro hacer bien
los dos cosos, un t iempo bastan te largo, ya que poro recoer en lo
fa lta que hemos de tallado no vale la peno de gas lar nuevos ener-
gías.
•
Repu tamos, pues, que en el es tr ic to campo de los mega litos que
lIoma mos pirenaicos queda uno considera ble labor a hacer, qu e si
se hoce bien, puede proporciona r todavio elemen tos de es tudio muy
importa ntes.
Pero, como sigue señalando Pericot, al lodo de las dólmenes
en su mismo órea geográfico, exist en ot ros 'estaciones que revelan
uno cul turo idén t ico y cuyo est udio, poro usar sus propios palabras, "ofrece todavía un amplia campo a lo invest igación" (6) .
Bosch Gi mpera fue el primero, yo hace años, en apreciar esto
iden tidad cu ltura l (1) y esta apreciación ha sido a m pliame n te
comprobado por los nuevos hallazgos. Se t ro to principalmen te de
cuevas, en lo que me jor conocemos de ellas, de cuevas sepulcrales.
Es decir que también aquí, pora conocer lo manero de vivir de
aque llos gentes, nos hemos de va le r de sus sepu ltu ras . Ton to es lo
iden tidad cul tural de estos tumbos trog lodí t icos y megalíticos, que
juzgamos no hay mot ivo de separar el anólisis de los elementos
proporcionados por el estudio de los a jua res descubiertos en unas
y en ot ros.
También aquí, y todavía mós que en los dólm enes, ha de intentarse corr-egi r lo imperfección de los excavaciones. Uno cueva, aun
(5) L. PERICOT GARCIA: "Los sepulcros mepoli ticos ... ". póg. 39. dice unicomente o prOpÓsi to de lo existencio de povimen tos en los dólmenes: "en \fOrios
cosos se ho observodo uno espeo;:ie de e nlosodo hecho con loso, delg.odos en lo
porle de lo en trado; osí, en los sepulcros del Barranc y de lo f ant del Ra ulo en
Espolio, y de COl lelltou ".
Como hemos dicho, e n los dos cosos citodos el ensolodo ho sido descubierto
e n los cómoros 9ropiomente dichos. Uno de estos enlosados, el del dolm en de
Vollromones, ofrece circunstoncias especioles Que OQul no pOdemos delollor.
(6) L. PERICOT GARClA: "Los sepulcros megolllicos ... ", pllg. 91.
PI P. BOSCH-GIMPERA: "PrehistOrio Catolono", Borcelono, 1920. En es to
ob
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ESTUDIO DE LA CULTURA MEGAUTICA
s
siendo pequeño, se considero ya uno entidad con mayor personalidad que un dolmen y, por lo tonto, yo no se juzgo que unos horos
de apresurado labor basten poro excavarlo. Pero lo proporción de
t iempo y esfuerzo que o ellos se dedican, en relación al volumen
de trabajo que en realidad ofrece su exploración, es del mismo orden del apreciado en los dólmenes. Un ejemplo aleccionador de lo
formo de explorar, y publicar, una muy pequeño cueva sepulcral
(no importa pertenezco a ot ro cultura que lo dolménica pi renaico
de lo que nos ocupamos ahora), nos lo d io don Isidro Ballester, en
su excavación y publicación de lo covacha sepulcral de "Cam í Real"
de Albaida (8) . Puede si se qu iere, hacer abst racciÓn del capítulo
IV de lo monografía qu e dedicó o ello, y de lo ú ltimo porte de l VI,
de.; tinodos o comparaciones, pero lo restan te, dedicado 01 estudio
propiamen te de lo covooha, puede ofrecerse como modelo, t rasun1"0 de uno ·excavaciÓn igualmente modélico, y hoy que recordar que
se t ral6 de uno excavación de salvamen to, verificado, ciertamente,
en ópt imos condiciones.
Así, pues, algunos de los cuevas que cataloga Pericot, hoy que
reconocerlos nuevamente an tes de considerarlas agotados. Exceptuaríamos los cosos en que se hubiese, intencionadamente, de jado
una porción por excavar como testimonio, próctica ton aconsejable, Siempre que seo posible, coma poco ate ndido . P\! ro no recordamos que se hoyo seguido en ninguno de los cuevas de excavación
reciente que se enumeran .
Pero el campo más amplio de las nuevos investigaciones se encuentra en los cuevas y abrigos bo ja roca no explorados. Mas aquí
no nos cansaremos de aconsejar 10 máximo prudencia, lo m ismo o
los investigadores locales que a los arqueólogos profesiona les, con se jo que, na turalmen te, no se refiere sólo o las cuevas de la zona
de 1 cu ltu ro megoHtica pirena ico, sino o todos los de l país. Si uno
0
cueva no corre peligro de ser dest ru ido o vaciado por cua lquier
causo, a removido por personas ignorantes, es decir, si hoy motivos
para creer no será tocado su yaci mien to, 10 excavación no ha de
emprenderse sin que se cuen te con todo seguridad con Jos medios
adecuados poro llevarlo adelante con los máximas garantías ci en tíficos de que ninguno observación podrá perderse, y no hablamos
del material, pues éste es mós fócil de recoger que no los observo(8) l. 8ALLESTER TORMO: "La covacha sepulcral de Comi Reol d 'Alacanl
(AIIJQido,", Archivo de Prehistoria Levont ina, 1, p6g. 3 1, Valencia, 1929.
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6
J. DE C. SERRA RNOLS
ciones referentes 01 mismo. Hay que pensar que es en los cuevas
principalmen te donde podemos esperor encon t ror estratigrafías, y
que és tos pueden perderse por fal to de tiempo, de atención o de
conocimien tos, y entonces, si tales estratigrafías existian, el volor
ci entífico de los objetos recogidos es pun to menos que nulo en comparación 0 1 Que habrían podido lener. Hoy que con tor, pues, con
el t iempo suficien t e y los med ios económicos indispensables, odemás de los conocimi en tos y lo próctica necesarios y ta m bién la aptitud inno ta pora ser 'e xcavador (9) Que hoy que suponer en todo
persono qu e se enfren te con empr.esa de esto na tu ra leza .
Claro que lo legislación arqueológico vigen te sólo concede 'e l
¿-erecho de rea lizar toles traba jos o personas competentes, previamen te au torizados, y que ni los Comisarios de Excavaciones arqueológ icos, Directores de Museos o Profesores Universitarios, no
t ienen, por su si mple calidad de tales, esta autorización . Pera esta
legislación, como tantas otras, 'resu lto, con aflict ivo frecuencia, in operante en Jo práctico. Poro frenar impaciencias hoy Que pensar
que <.le lo misma manera que no nos cabe duda de que ac tual mente,
por lo general, excovamos mejor que lo hadan nuest ros predecesores de comienzos de siglo, tampoco la tenemos de que mejor
lo harán nuestros sucesores de principios del siglo próximo. No es
que pc
!nsemos que el progreso de los técnicos y los reolizociones
cien t íficos en estas moterias, s igan una I¡n eo ascendente ininterrumpida, hoy sus altos y sus bajas, que tados podemos apreciar,
pero r.as parece que un concepto mós exac to de lo que se busco en
estos exploraciones, que no es la recolección de objetos poro llenar
vitrinas de museo; o colecciones privados, ni lo lia tisfacción de una
Simpl e cur iosidad, sino lo ~edacción de un capítulo de 1 H istoria,
0
influye a lgo en que coda cual siento la responsabil idad que contrae
a l realizar uno tarea de es te orden .
Heohas estos digresiones, en ,el campo de los estaciones de
esto clase, donde hay una labor ton vasto o hacer, queremos señalar muy particu la rm ente el interés que ofrece uno cat egoría de
(9 ) Ho y personas con grondes conocim ientos a rqueo lógicos y verdadero talento de inves tigadores Que na son capaces de permanecer pac.ientemente, o vec es
durol'll e largos dios, las ocho o mois naros de la ¡o
magnificamente los resultados de los excavaciones a jenas. No d iremos o ... e excaven dl!$Co rg óndo<;e to tal mente, de hecha, e n bvenas ayudant es, ounq"' e estos na
d eberian falt a r n ... nca , P"' e$ e n este coso na serón ellos los verdaderos elCcovodoO'i
res, y 01 hacer lo cons ta r así en 1 publicaciones se ves tlrón con plvmos a jenos y
los grajos de lo lóbul o n ... nco no<¡ han si mpatiza do.
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EST UD IO m . LA CULTURA MEGAU T ICA
1
ellas, que viene o cons tituir un intermedio -entre los dól menes y los
cueva s sepulcrales propia men te dichas, y que, en dete rminadas coma rcas, ofr ecen caracterist icos peculiares, sobre la s que no se ha bia f ijado debidamen t e la a tención.
El abr igo bajo roca (admit imos esto expresión o pesa r de su
carác ter de galici smo) es un ti po de estación bi en conocido, y que,
según su a mplitud, el hombre pri mit ivo u t ili zó poro refu gio de vivas a de muertas. Insensiblemen te se pasa de él o lo cueva, con
todos los grados de t rans ición . Aun en te rre nas quebrados, según
seo la composición geológica de l s uela, na a bundan o na exis te n
las verdaderos cuevas, pero los agentes na tu rales no ha n de jado de
desgas ta r desigua lmen te las rocas, creando pequeñas refugias que
han s ida muy buscados por los gen tes de vida pr imitiva. Debida a
los reducidos proporc iones de muchas de ellos, gran núme ro han
desa parecido, yo seo que la s aguas, los ali maña s a las m ismos
hombres las hayan vaciada de su con te n ido ant iguo, ya seo que
los acarreas los hayan cub ierto tota lmen te (en cuya coso for man
uno na despreciable " rese rva" pa ro la arqueolog ía del porveni r)
(l O) .
En la camarca lla mada de la Maresma , en las sierras a l evante de Barcelona, elemen tos de la viejo cadena hercin iana que all í
bordea el actua l litoral , el te rreno está cons tituido por granitos
que han sufrido uno m u/ti mile norio eros ión y descomposición quí m ico. Lo que debieron se r mon tañas elevadas se han conver tido en
suaves co linos de pocos cen tenares de me t ros de oh uro sobre el
nivel del mor, que ahora baño sus pies. El hombre prim it ivo, queremos refer irnos a las gen tes del Neo lí t ica y Eneoli tica, en parl e
encon t ra ron el país e n uno forma no muy ditere.nte de la a c tual,
0
por lo Que se refi ere o su re li eve. Es cie rto que desde en la nces 1
erosión ha segu ido traba ja ndo inte nsamente aquellos roca s, cuya
superf icie, some t ido o la acciÓn químico que de te rm ino su caolin izoción, se disgrega fócil men te por lo acción mecónica del agua y
del vien to. La pruebo la tenemos en la enorme acumu loción de
orenos (lo descomposición del sauló de la te rm inologío local)
110) Lo covocno de Com í Reol , Q lo q ue nos helTlO!; referido , es un ejemplo
de eSle modo d e desopOric iÓtl, v sólo u no casuali da d lo PUSO 01 descubierto. Los
covocnas del Borro neo de Son t Ole-guer, e n Sobodell, con enterramientos de segu ndo g rado del e neol ilico o Bronce 1, son 01 ' 0 ej emplo parecido , en Un terreno de
consliluclOn geológ ico semejon le. Vease poro eSlos: J. de C. SE RRA y RAFOlS:
"Sepoullu ros con YOSO camponifor me descubiert os en Sobodell" , Ivronono, vol. 1,
;>p. 17 -92, $obodell, 1950.
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29 -
•
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B
J . DE C. SERRA RAFOLS
qu e se han acumu lado en los valles y en los borra ncos y que cubre,
con estra tos potent ísimos, restos de lo a nt iguo presencio humana
E'n estos lugares ( 11) . Pero de la parte a lta de lO sie rros, la denu S
doción ha sido en genera l menos in t enso que la acumulación de
arenos e n los barrancos y portes bo jas, arrancados aquéllos principal men t e de los laderas.
En este relieve suave, en muchos ci ma s exis ten pequeños pla n icies donde e l suelo se ha ma nten ido o un nive l seme jante 0 1 de
hoce cuotro milenios. De ello tenemos uno pruebo arqueológico,
proporcionada precisamente p or los dólm enes ex is ten t.es en es tos
lugares, qu e no se ofr ecen ni enterrados por acorreos, ni sobreelevodos por reba je de los tierras circundan tes, Los lúmu los, natura lmen te,
deci mos son La Roca d'En Toni, de Vilossor de Do lt, uno d e los
dólmenes ca ta la n es conocidos desde fecho mós an t igua, y 'e l de
Yollromones, uno de los de descubr imien to mós reciente.
En es tas mismas zonas los grani tos erosionados se ofrecen en
forma de acumulaciones de rocas de -pe rfiles suaves y desgastados,
que a veces reciben el nombre de boles, precisamen te par lo formo
vagamen te es fé rico que a fec tan en ciertos casos sus portes más
salien te s (12). Estos a mon tona mientos graní t icos, surgiendo d e un
medio vege ta l de pinar y matorral no espinoso, no e xces ivamen te
densas, en el que a veces subsiste n algunos elemen tos test imonia -
,
11 11 Uno necrópolis de urnas de la Primer a Ed ad d e l Hierra, sit uada en u na
nondana da de la riera de Argentona, ce rca de Mo toró, no librado unos pocos
tumbos, encont rados casua lmen te 01 per forar pozos, o pro fu ndidades d e nosta 22
me lros. Un miliario de la Vio Augusta, desc ubie rto el 12 de junio de 1954, cerco
de la pa rt ici Ón de los tér minos de Vilossar de Mar y Cabrera d e Ma to ró, jun ta 01
110modo Ca mí del mig, en Un terreno abierto y 110:'\0, en el que lo acumulación
de tierrClS arenosas no es particula rmente activa , queda ba e n lo par te superi or di.!
lo bese, q ue corresponde 01 nivel de had o comi e nzos de lo Ero, o cerco d e dos
me tros d e p ro fund idad , Sobre los n ive les a ntiguas en es to comarco véase M . RISAS
Y B~ RTRAN : " El poblame nt d 'lId ura" , MemOries de la Secció Hlstórica - Arq ueoIbg ico d e l' lns litu t d'Es tud is Ca la lans, Barcel ona , 195 2.
(1 2) Al es tudiar los mega litos hoy que lener en cuen to 1 no luro lez a pe rro_
0
gró fico de los pied ras que los forma n y e l medio climó tica en qu e se leva ntan,
paro explicarse varios hechos referentes o los 1
050S de que es tó n hechos y su condesaparecer, ma teria lme n _
servación. Los dólmenes de grani to están d es ti nados
te, podr iomos d e<: ir, poi' disoludón, cOflvirtiéndase en areno. No es mejor la suert e
q ue han d e correr los formados poi' aI ras racas todavía mós sujetas o resquebra_
jarse, en especial en zOnas d e helados in tensos. Cloro que es to lo p
dólmenes, no Quedado ninguno de ell os. e xcep to los que hubiesen sida p ro teg idos
por sus tumu l05, des tru idos poi' lo acciÓn lenta pero im;¡locoble d e los agen tes
na turales,
°
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ESTUDIO DE LA CULTURA MEGAlITICA
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les de antiguos encinares y robledales, llegan o forma r un paisaje
muy característico de los crestas de estos sierros, intensamente
mediterráneo y no exento de belleza . Con frecuencia unos rocas se
apoyan sobre a Iras y don lugar o lo existencia de cavidades más o
menos amplios, que no pueden llamarse propiamente cuevas, y que
en lo comarco reciben o veces el nombre de caus (a lgo osi como
guarida o madriguera). Como es natura l, tol es caU$ sue len t ener
varios entrados, a unque ero fáci l cerra r una o más ar t if icial men t e.
Los más visibles tienen nombres, ot ras carecen de él. Al lodo de estos caU$ o guaridas bien definidos, hoy masas graníti cos qu e se
han desgastado mós por la base o que se han incl inado has ta formar precarios abrigos.
El primer g rupo de es tos for macion2S na tu ral es que en lo co marco llamó 10 a tención de los estudiosos, fue el si tuada cerco de
la masía d e Can Baquet. Allí el colaborador de la Comisario de
Excavaciones Arqueológicas de Barcelona dan Jaime Ventura, que
es el delegada de lo misma en Vilassar de Dolt o San t Genis de
Vi lassor, térm ino muni ci pal 01 que per tenece lo masía ciloda, y
varios colaboradores suyos, especial men te Pablo Ubach, efectuaron
uno prospección en aquellas rocas, y los resultados obten idos fu eron verdadera mente óptimos, Con gran cuidado se exploraron dos
de es tas caU$, uno llamado cou de la Granoto, probablemente por
lo vago formo de rano que a fecta uno de las grandes rocas que lo
forman ; 'el a iro sin nombre, que fu e bautizado cava d'En Pou. por
el de su descubridor, situados a un cen tenar de metros de dis tancio
el uno del otro,
Los hallazgos efect uados en ellos pertenecen plenamente o lo
cultu ro dolménico, y de la proximidad de es tos estaciones arqueológi cas o un megali to da ideo el que el citado dolmen de La Roca
d'En Taní se ha llamado también dolmen de Can Boquet. Ef ec tiva mente, del dolmen o los dos caU$ citados hay menos de qui ni entos
me tros de dis tancio. Se tra to de lugares util izados poro en terramien tos, y ello evidencio qu e lo población eneolí t ica en cuyo com ple jo cultural figura ba el rito o costumbre de sepultar a sus mu ertos en tumbos formados por gra ndes piedras, 01 encon tra r a montonamien tos de rocas que en muchos cosos a mayor escalo p roporcionaba n uno estructuro semejan te, no los desdeñaban poro
u tilizarlos con lo m ismo fina lidad .
A base del ma teria l encontrado, abundan t es cuchillos y bellos
puntos de fl echo de s ílex, ploqu itos de pizarra, granos de collar,
-
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cerómica , no puede reputarse que quienes aqu í r¿ posaron fueron
de cond ición distin ta, mós hum ilde, que los sepul tados en los dólmenes (13) .
Ot ros a br igos próximos con menos p~(sono1idod , pertenecientes
0 1 mismo núcleo de Can Boquet han proporcionado ta mbié n ind icios de util ización por el hom bre pri mitivo, a unque de menos entidad. Se Ih!go casi 01 conve nci mien to de q ue toda roca o con jun to
de rocos qu e o fre cía un leve refug io fu e a provechado desde t iempos a n ter iores a los dólme nes hasta época más recien te que e llos,
ya que los ha lla zgos, gene ralme nte reducidos a pequeños fragmentos de cerámi co, va n desde los t iempos de lo decoración cordial
has ta lo época ho lls tótti ca .
El núcleo de Can Boquet, del que forma n p ort e con juntos laberín t icos de amon tonamientos de rocas, como el llamado Roca Llabatera, de exploración muy d ifícil por su complicación, es trechez
y peligrosidad de sus gri et as y espesor del ma torra l, no es un coso
ún ico n i excepciona l 'e n nuest ros sierros de Levan te o Maresma .
Al con tra rio, exis ten en o tros té rm inos zonas de caracterist ica s seme ja ntes; seña lemos como ejemplos el Cou o COYO del Dimoni, er.
té rmino de Premió de Da lt, ta mbién descubierto como estación
prehistórico por el señor Ven turo, parcial men te explorado, y que
ofrece tes t imonios de u t ilización primitivo, no sólo en su conten ido
(limi tado o fragm e n tos de ba rros), 'Sino e n res tos de labro h um an ~
claramente percept ibl es en las rocas que lo forman.
En otro lugar de pa recido aspecto, en lo porte monta ñosa del
t érmino de Uinós de l Vo ll és, ,ho sido explorado o tro ca u, seña lado
por el ci tado y act ivisi mo colaborador de lo Comisario señor Gui-
t 13) No haremos oqui lo publicoci6n de es los eslociones. Indiquemos que
en el citado libro de RIBAS y BERTRA N, se dio uno breve not ici o d e e llos. De
hallazgo realmente muy reciente. ~on prócticomenle ined ilos. Con lodo observoremo, Que I~ reSl~ de huesos huma r.O$ eron extraor d inariamente escasos. Creemos Que eUo es d ebido mós Que o lo remoción de los COY I, especi alme nte par 10$
a limoños, lobos y zorros principalmente, Que debían tener en ellos sus g uoridos,
nosT Que próc ticomen te se ex tinguieron en el eu rlO del siglo pOlOdo, o lo no turo_
o
le;r;a silíceo del t('<"reno. Lo vegetación exiSTente e!'l tol6 terre!'los es óvido de los
subs tancias eoli;r;os y 10$ d igiere rÓpidame"te. Es to delOiXlrición d e los huesos lo
hemos observado, tooovio mUs acentuadomente, en dólmenes si tuados e n condi ciont$ de T
erreno semejan tes. En los ,a UI los raíces penetran menos abundantemente
y por ello se conserven tadovío a lgunos restos de hu esos. En el dolme n de I/ollro_
manes, en i¿e n lico terreno ócido, pero ll eno de vegetación, uno escrupuloso rebusco no pe rm itió encontrar n ingún fragmen lo óseo, e n tont o Que ptoporcionoba
l(llet'esonte material de a Iro clase. Serio muy util Que los conocedOfes d e estos
problemas de Do lónico y edafología estud iasen toles cuestiones, QI.>t, nosotro:;,
sólo POdemos trotar muy ligeramente, par fo h o de conocimien tos especia!i;r;odos.
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ESTUD IO DE LA CULTURA MEGAUTtCA
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Ileumes, de características naturales muy interesan tes, y cuya ex cavación, todavía na terminada, y que ha sido fr uto de uno si mpá tica y desinteresado co laboración de e!ementas de Barcelona y
de muy diversas l oca l ¡da ~·~s de la com a~ca, que caincidian en el
lugar de trabajo proceden tes de las cuatro puntos cardinales, ha
dado resu ltados compa rables o los apuntados en Can Boquet y los
hallazgos enca jan también dentro de la culturo dol ménica. Hemos
bau ti zado esto guarida con el nombre de Cau de la Mustela 11, por
existir, mejor dicho, haber existido, o cinwenta posos de distancia,
otra madriguera cC!1oci:;!a por Cau de la Mustela en la que también quedaban res tos de utilización por e l hombre primi ti vo.
Esto nos obligo a consignar uha no ta pesim ista fi na l. Rocas naturales como todos los citados, si tuadas en lo alto de los s ierras
en terrenos de basoui! y motorral, parece deberían estor per se,
preservadas de lo d ~s trucc¡ón por le acción humana. Desgraciada mente nodo mós lejes de ella. Lo proximidad de un núcleo humano
monstruoso como Barcelona, de necesidades in:Jgo tobl .~s en tod:Js
los órdenes, ha det ::!rminodo el nacimiento de pequeños can teros
que explo tan los grani tos poro abastecer o lo urbe de bordillos poro sus calles. Resultando mós económico explota r es tas boles q ue
profundi zar en lo roca, pequeños contratis tas arri~ndan parcelas de
mon te poro "limpiarlas" de ellas. CU:Jnda nuestro compoñera
señor Guilleumes visitó el lugar, el CaU de la Mustela había yo desaparecido casi totalmente en una de estas explotaciones, y sólo
pudo verificar que entre los rocas que lo form aron aparecían fragmentos de cerómica prehistórico. Localizado en otro cau sin nombre, se inició su exploración pensando fuese "de salvamen to", en
lon to la Comisaría h:Jcia ges tiones, que momentóneamente han
t enido resultado, para S'J preservación, ya qu~ se troto de un con junto tan típico que, o pesar de ser natural, ofrece ve rdadero interés arqueológico conservarlo, sin contar que formo parte de él
un monolito na tural con impor tantes s::!ñales de trabajo humano.
Esa qui ere decir que, a lo menos hasta donde llego desgrac iadamente la ¡nfluencia des tructora de lo capital, es tas exploracion es
tienen mÓS urgencia de lo que aparentemen te padría pensarse.
Las notas anteriores demuestran que existen aún amplios cami~
nos paro aumentar el caudol de conocimientos que tenemos sobre
esto cu ltura que ti ene su espina dorsal en lo cadena pi renaico y
cuyo origen y desarrollo ofr~ce to:::lavía tontos prabl .~mos no resuel los.
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ENRIQUE PLA BALLESTER
(Yalc" rle)
La "Coveta del Barranc del Ca!otellet"
(Cnrrleoln-I' aleneio)
Desde que en 1929 'e xcavara don Isidro Boll ester Tormo lo pequeña covacho del Barranc del Cost ellet, fu e su intención publicor
los resultados, como lo anunció 'e n varios de los trabajos que edi·
toro, pero siempre, por una u otro rozón, se fu e demorando su pu blicación . Poco antes de su fallecimiento nos entregó el diario de
los excavaciones realizados en la covacha, osí como a lgunos pocos
notos referen tes o los ma t eriales que esto proporcionó. No pudimos tampoco inmediatamente completor su estudio, que hemos
venido haciendo estos últimos t iem pos, con in t errupciones largas
dedicados o ot ros quehaceres. Por ello consideramos que nuestro
me jor colaboración en este homenaje a la me moria del fundador y
pri mer Director del Servicia de Investigación Prehistórica, con el
que tan fuertes lazos de parentesco y afecto nas unían, debiera ser
lo publicación del estudio de la Cove ta del Ba.rrane del Cast e lle t,
que tan to deseara él ver t erminado. Sea pues, éste, mi recuerdo y
mi homenaje.
ANTECEDENTES
En la prime ra decena de siglo, unas vecinos del pueblo de Ad·
zaneta de Albaida aue se hallaban cazando de noche por el Barrane
del Cast ellet, té rm ino mun icipal de Carrícola, al que rer ensanchar
10 boca de una madriguera en lo que habio re negada el hurón, hi cieron cede r unos gruesos piedras que lo topaban, de jando a l descubier to la en trada de uno 'Pequeño cueva . La curiosidad les movió
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E. PLA BALLEST-fR
o penetror en e lla, hollando un esqueleto humano echado o 1 lar0
go, y fue tal lo impresió/l que recibieron que, recogiendo el hurón,
abandonaron el sitio lo mas rópidamente posihle .
Hacia 1927, despues de haber excavado don Isidro Bcllester el
despoblado ibérico de Covalto, y haber efec tuado alguno que otra
prospección y coto en otros yacimien tos cercanos 01 pueblo de Adzoneta de Albaida, produciéndose con ello los consigu ien tes comentarios en t re tas gen tes de la localidad que le proporcionaron mul litud de noticios de hallazgos, un vecino d~ dicho pueblo, Vicente
Soler, que -había tomado porle en la acciden tada expedición cinegético, le refi rió o aquél lo ocurr ido unos años antes.
Na turalmen te mostrase el señor Ballas ter interesado en el descubrimi en to y decidió girar una visi ta a l lugar, para 10 que pidió
ayuda a los componentes d~ lo referida excursión, pero éstos se
apresuraron a ad~ l an tarse en busca del t(,.$oro, d es truyendo el esqueleto y cavando y revolviendo el yacimiento. Sólo hollaron un
pequeño vaso de perfil en escoro que ofracieron en venta al señor
Ballester, que no quiso adqui rirlo poro no acostumbror o las gentes
a socar d inero de talas rebuscas. Se vendió luego a un chamarilero
ambulante, vi niendo o parar a monas de persono ton ale jada de
los estudias arqueológicos como ero el arquitec to alcoyano señor
Aroci!' Ignoramos ac tualmente cuól seo su des tino.
Según declaraciones de los propios profanadores de 10 covacha,
el esqueleto yacía alorgado en posición decúbito-supino, sobre una
especie de banco hecho de tierra, la cabezo 01 fondo y los pies ha cia lo en trada. Junto o él, casi superficiol, se encon traba el vaso.
Ex tendido lo noticia de este hallazgo, fue muy visi tado la cueva por gentes de muy diversos clases, en tre ellas algunos aficionados a lcoya nos que, según todas los referenc ias, únicamen te racogieron pequeños fragmentos de hu esos, al parecer humanos, qu izó
pertenecien t es 01 esqueleto.
Por rozones de trabajo ineludible, y por lo creencia de que n ingún resu ltado positivo se logra ría sacar ya de tan profanado enterramien to, no fue visitado por el señor Bollester hasta que, o principios de 1929, al const rui rse un camino por los Ingen ieros de
Mon tes de lo Repoblación Forestal de lo cuenco del Albaido, qu e
posaba precisamen te por delante mismo de la cueva, se terminó
d! vaciar és ta, empleando su relleno en lo cons trucción de aquél
en el tramo que va desde frente o 10 covacha has ta uno curvo
existente mas 01 Norte. Ello obligó o que don Isidro Bollester se
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36 -
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COVET A DEL BARRANC DEL CASTELLET
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apresurara o visilarla e i nl~nlara recoger 1 poco que pudiera res0
tar. Así lo hizo el primero de junio de 1929, rea lizando uno peque ño excavación que dio, o pesor de todo, bastan te buen resultado.
Los materiales que s~ hollaron estuvieron duronte muchos años
en el pequeño Museo particular de don Isidro Ballester Tormo, en
su coso de Adzaneta de Albaida, y actualmente se encuentran en
el Museo del Servi cio de Investigación Prehistórica de la Excmo.
Di pu tación de Valencia, 01 que hizo donodón de su colección hoce
varios oños (1)
EL "BARRANC DEL CA5TEU,ET"
Lo sierro de Benicode l1, bien conocida en lo Geogra fía regional,
si rve de lím it e por esto zona entre los provincias de Val encia y
Alicante. A dos terdos aproximadamen t e de altu ra de su umbrío,
en lo ver t ien te inmediato 01 puebl.~ci ll o de Carrícolo, exis te uno
ligero hoyada formado por dos vaguadas, separados por pequeño
altozano, qu e se unen en lo alto cerca del naci miento de uno fu en t e, lo Fant del Caldero, que do nombre o lo partida. Y aquí s'? ini ·
do el Barronc del Costellet, cara 01 valle, ahondándose y con la deros abrup tos y de raudos pendientes.
Lo vertiente que miro 01 NE. termino, yo sobre el valle 01 f inol
de lo barranquera, en un a ltozano o espolón rocoso sobre el que se
alzan los ruinas de un castillejo, conocido en todo el valle de Al baida por Coste llet de Corrícolo, que pertenedó 01 señorío de Al baida y del que se conoce el acta de su posesión por el Cardenol
don Luis de Miló en 1471. Y que quizá formara siglos an t es, junto
con e l costilla d e Benio tjor más a Levante, lo atalaya de Benica deJl 01 SE. y el cas tillo de Carbonero en medio, el conjunto de fortif icaciones qu e sirvieron de refugio al Cid en sus luchas 01 Sur de
10 provinda de Valencia. En lo lóm ino 1, B, dornas uno visto gene ra l del Borronc del Costellet, en lo que se des toca lo porte a lta
del cast ille jo, y en lo lómino 11, A, se ve perfectam~nt e éste desde
dentro de 10 covacha.
Lo vertiente opues ta, continuación de la d el Caldero, bien so leada -por m irar 01 SO., es en generol ton abrupto y bravío como
( 1) En variO$ de las publicaciones del señor Balle:;ler se hocen referencios a
e:;le yocim lenlO. Cfr. 1. BALLESTER TORMO: "Lo cavocho sewlcral de Comí RII!OI.
Alhnido", Arch ivo de PrehislO1io Levontina, 1, 1928, Valencia, 1929, ~s. ·13
51.
°
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CQVETA DEL BARRANC DEl CASTEllET
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la fron tero, inaccesible en alguna:; puntas, sobre todo en la porte
mas ba ja, pues desde medio ladero es practicable, aunque con difi ·
cultodes, en muchos sitios. A medio ladera y o unos 250 metros
del comi enzo de lo barranquera se encuentro 10 cova cha objeto de
este trabajo, y cercano a el la varios madrigueras y OQuedades que
pudieran se r o tros en terramientos, aunque de su $OfTIero explora·
ción nodo se pu ede a firm a r. En la lamino 1, A, se ve lo ladero que
describi mos, y en ello la senda forestal y, casi imperceptible, lo
covacha (fig. 1) .
LA CUEVA-ENTERRAMIENTO
Nodo puede decirse del aspecto de la cueva anterior o lo expoliación, aunque es de suponer que sólo -se vería exteriormente uno
pequeña oquedad, semejante a tontas y tontos madrigu eras de conejos como exis ten por sus cercanías.
En su origen, mas que cueva sería abrigo, de algún fondo, cuyo
amplio entrada cerrariase con grandes piedras, algunas de las cuo·
les fueron los quitadas por los obreros forestales, dejando lo oque·
dad en el estado en que se encontraba 01 ser visitado por el señor
BaUester, y que yo no ha variado hasta el presente.
Una vez vaciada la cuevo quedó su en trada estrecho y alta, de
formo irregular, como puede verse en lo lám ina 11. Al parecer esta
entrado debió ser, en lo forma definitiva de la cuevo, menos alta,
pues lo piedra que .hado las veces de dintel fue tirada por los expoliadores poro facilitar el poso. Al quitar la tierra que Il enabo el
inferior "Se dejó también sin apoyo otro gruesa piedra a lo izqu ier·
da entrando, con gran peligro de desprendimiento. Ello nos confirmo lo posibil idad an tes mencionado de que originariamen te fu ese
un abrigo, yo qu e los rocas qu e sirvi eron poro completar lo covacha estaban muy sueltos, como puestos adrede.
La planto de lo cueva (fig. 2) es irregular : lo pared de 10
derecho entro casi en línea recto hasta encontrar, formando antes
uno lig ero rinconada en arco, lo del fondo, y ésta presento un salien te convexo que produce o lo izqui erdo un hondo rincón; lo po·
red de es te lodo, casi o parti r del rincón dicho, se ahonda forma n·
do uno hoyada y luego de un pequeño saliente, dej a otro rinconada a lo izqu ierdo en t rando.
El 'techo, que va a umentando de a ltura hacia la en trado, es
también muy irregular, y presento un orificio superior, especie de
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CQVITA DEL BARRANC DEL CA$TELLET
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respiradero, que debió yo estor abierto en tiempos anteriores 0 1
empleo de lo cueva como enterramiento, o juzgar por el color de
lo roca.
El suelo, uno vez vaciado totalmente lo cueva, muestro ligero
pendiente hacia d~ntro, que aumenta a portir del primer tercio, al
mismo t iempo que ta mbién se indino de derecha a izquierda, sien do muy pronunciadas ambos pendientes en el rincón de lo izquierdo del fondo, qu~ al parecer sería el lugar por donde desaguaría
la cueva.
Por último, las pa redes de lo derecha y del fondo son casi perpendicu lares respecto al piso, mierl tros que la de lo izquierdo se
indina hacia delont~ hasta unirse a l t echo, formando en su parte
inf erior uno boja y estrecho covachuela (fig . 31 .
Al parecer pues, lo actual l,.ovocho es en realidad mixta : abrigo rocoso en el fondo, constituido por una concavidad nat ural, poco
profundo, de amplio en trado y planto aproximadamente rectangular, de p~rfil muy s inuoso, con pendi en te hacia el fondo y hacia lo
izqui erdo, y de bóveda de arranque boja que aumentaba de altura
conforme se acercaba o lo boca; y cueva logrado artificialmente
aprovechando el abrigo originario, que se toparía u tilizando una
roca suelto de extraordinario tamaño que existiría (o "Serio puesta)
o lo izqu ierdo de lo en trada y que se asienta sobre gravas y terreno de aluvión, mientras qu e el resto de lo entrado fue tapodo con
otros gruesos piedras, de mena r tamaño, puestos entre aquéllo y
lo pared rocosa natural del abrigo o la derecho. Estos piedras son
los que en porle desmontaron los expoliadores de lo covacha, sin
grandes dificul tades puesto que es taban muy sueltos. Ello, junto
con el peligroso estado en que quedaron otras piedras y lo grieto
o fisura que en el interior de lo cueva pu ede verse en tre la piedra
mós grande dicho y lo pared de la izquierdo de la covacha, apoyan 1 hi pó tesis de que ésto es mixto, mitad cueva artificiol y mi 0
tad abrigo.
EXPLORACION EN LA SENDA FORESTAL
El primero de junio de 1929 se ¡nicioron los trabojos de exploración y excavación de lo qu e restaba intacto en la covoooo, así
como de lo senda forestal. Como labor previa se trabajó en ésto,
paro cuyo construcción se -había empleado lo tierra sacodo de lo
covacha y que por su coloración y por conMner fragm entos de hu esos se distinguía perfectamente de la ot ro tie rra empl eado.
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B
E. PLA BALLESTER
Se nolabo que la tierra del es trato sólo había sido utilizado en
el tromo de senda que va desde delante de 10 boca de lo covacha
hosta la primero curva existente lodero adelante . (Véase lámina
1 Al .
,
En uno primero exploración se hallaron sup~rficiales tres ho jas
de sir ex, un t iesto de ceramico campaniforme, otros troz05 de cerómico liso y un pequeño punzón fragmen tado de hueso.
En díos posteriores, uno vez terminados los trabo jos en el int erior de la covacha, se fue con sumo cuidado recogiendo 10 t ierra
suelto qu e exis tía en la superf icie de lo senda, siendo cribada y
vuelta o poner en su si tio, no pudiéndose cribar mós porqu e paro
ello había que deshacer lo ca lzada y luego volverlo o const ru ir.
El cribado de estos tie rras dio gran cantidad de obj etos : pun tos
de fl echo de sí lex, cuchill itos y hojas da 10 m ismo, cuentos de collar, ti estos cerómicos decorados y lisos, etc. O sea, el mismo ma terial que se encon t ró en los pequ eños r incones del interior de la
covacho que aún pudie ron ser excavados, o los qu e nos referimos
a con tinuación .
EXCAVACION DE LA COVACHA
Los obreros qu e lo vaciaron de tie rra se dejaron, afortunadamente, a lgunos partes de estra to sin tocar y éstos fueron excavadas por el señor Ba llester, lo más cuidadosamente posible, pues de
los observaciones que se lograron dependía el estudio de lo covacha
y de su en t erra mien to.
Los restos de es trato estaban distr ibuidos por 1 cueva (fig . 2)
0
s iempre arrimados a las paredes, sit ios donde lo ex tracción de t ierras por qui enes lo vaciaron resultaba mós c;l ificultosa. Estos zonas
intactos morcaron lo pau ta a la excavación, y di6se les a coda uno
un número poro facilitar los referencias.
Así se llamó zona o sec tor 1 o lo poco can tidad de es tra to qu e
quedaba arrimado o lo pared de la derecha enti'o ndo, hacia su
mitod; zona 11 , o los res tos oigo mós abundan t es de ti erra qu edados en la rinconada interior de lo de recho; zona 111 la existente
en el cen tro de lo pared del fondo; zono IV lo de 1 rinconada iz 0
quierdo ; zona V lo situado f r e n t e a lo rinconada a nterior
0 1 lodo del saliente de lo por e d del fondo; zona V I lo pequ eño covachuela estrecho y de poco altura que se abrío cosi al
fino l de lo pared de lo izquierdo; zono VII lo exist ente o mitad de
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CQVET A DEL SARRANC DEL CASTELLET
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lo pored del mismo lodo, y zona VII I la de la rinconada de lo iz quierdo entrando. (Véase la distribución de los restos de estrato en
lo figura 2, y el fondo de lo covacha antes y después de ser exco·
vado en lo lómino 111 ).
Los masas de relleno que re ~ tabon, presen taban generalmente
una coloración blanco o gris claro, por debajo de lo cual asomaba
tierra gris oscuro O negruzco; inferiormente, en los sitios vaciados
completamente por los expoliadores, se veía una especie de piso
de tierra arcil losa rojiza. En los paredes quedaban restos de los di ferentes rellenas, especial men te del de ti erra blanco, pudi endose
deducir de ta les señales que esta capa se inclinaba hacia dentro,
casi paralelamente o lo inclinación del suelo.
Deba jo del agujero existente en lo b6veda y 01 que ya hemos
hecho mención, se veía el 'terreno más suelto, con teniendo cen izos
y carbones en un espacio de un05 60 cms. de diómetro, como indi cando lo existencia de un hogar colocado en un punto de lo covacha a propósito poro lo salido de humos.
Lo excavoci6n de los d iversas zonas se realizó durante varios
dios, y su resul tado fue, en sín tesis, el sigui en te :
Lo sono 1, en lo que qu edaba muy poco ti erra, no dio ningún
material. Asomó en seguido la tierra arcilloso del fondo, que re ·
sult6 completamen te estéril.
En lo sona 11, de t ierra negruzco, Sé! encontraron los siguien tes
objetos : dos puntos de flecho de sílex, un diente de sierrecillo también de si lex, varios fragmentos planos de útil de hueso, un frag _
men to de colgante de hueso decorado con acanaladuras y uno
cuento de collar verde en for mo de olivo.
En lo s ona 111, entre la t ierra bla nco superior, habían huesos
mezclados; por debajo, tierro negruzco yo, se encont ró: dos puntos de fl echa de sílex, cinco dentaliums y un pequeño frogmento de
c! rómica cardiol.
Lo :lono IV constituía la por te mós hondo de lo covacha; ta mbién aparecieron huesos mezclados con lo tierra blancuz ca, en t re
ellos uno vértebra, y el cribado de lo t ierra de lo copo inferior, gri s
oscura, proporcionó lo siguien te: Un colgante, varias cuen tos d e
collar discoidales, verdes unas y blcncas ot ras; un ti esto de cerÓ·
mico inciso y varios de lisa, y a lgunos carbones.
Lo s ona V dio los sigu ien tes hallazgos en la capo de tierra
oscuro : Dos puntas de fl echo de silex, varios lóminas de si lex tam bién, un posible raspador y uno lasca, igualmente de pedernal ; un
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eo. PLA MLLESTER
dentolium, uno ciprea, un pectúnculo, dos conchos de cordium, dos
incisivos de cóprido, uno de ellos horadado; un colmillo de cerdo
horadado, uno cuento de collar discoidal blanco, un trozo de laminilla de cobre o bronce y un trozo de cerómico liso con mamelón .
Lo zona VI proporcionó, ta mbién en el c rihado de su ti erra oscuro, los sigu ien tes obje tos: De sílex, tres puntos de fl echo y una
lóm ino pequeño, un pequeño punzón de cobre o bronce, y bucn nú '
mero de cuentos de collar: tres discoidoles de piedro verde, una
cilíndrico negro, cuatro discoidoles tamb ién negros y varios discai deles blancas.
El cribado de lo t ierro, escosa, existen te en la I:ono VII, sólo
dio un dento lium .
y en lo sona VIII salieron, una punta de fl eoho de sílex, varios
la minas y lascas de lo mismo, dos cuen tos de collar di scoidoles ne ~
gros, otro ci líndrica también negra, varias discoicloles blancos, un
fragm ento de cerámico con decoración inciso y un pequeño punzón de cobre o bronce.
Lo excavación del resto de lo tierra de lo covacha, que yo hnbía sido revuelto, no dio ningún ob je to.
Se pudo observa r lo existencia de uno copo infer ior de 1ierra
rojizo arcilloso, qu e formaría el piso de lo covacha, comple ta m ente
es téril; el material arqueológico sólo sol i6 en lo parte de estrato
de tierra gris oscu ro O negruzco, y sobre ést e exist ió uno copa de
tie rra blanco, como de col, en lo que se encon t ra ron fr ecuen temen t e restos óseos, como formando brecho. En el cen tro de lo cue·
va apenas si qu edaban restos de estra to gris y su c ribado fu e in fru ctuoso. Ta m poco dio nado lo mancho de cenizos mezclados con
tierra suelta y a lgún carbón que existía, jun to o uno grueso piedra,
debajo m ismo del agu jero de lo bóveda.
EL MATERIAL ENCONTRADO
Como se desprende de lo dicho hasta aqur, lo mayor par te de
los ob jetos p rocedentes de esto covacha se encontraron e n el cri bado de tie rras extraídos antes de lo excavación, y que si rvi eron de
rell eno o un tramo de la senda forestal const ruido por dela nte
mi smo de aquéll o. Sólo uno m ín ima porte se ho lló in situ, y por lo
visto en lo excavación parece ser qu e el n ive l arqueol6gico estaba
formodo par lo t ierra gris oscura o negruzca .
El detalle de los obj etos recog idos es el sigu ien t e:
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COVET A Del BARRANC DEL CASTELLET
II
METAL
Fue muy escoso el material metólico encon trado, pues se redu ce o tres pequeños punzones y dos laminillas que, debido o su r~ ·
ducido tamaño, no nos hemos atrevido a analizar, desconociendo
por lo ton to si son de cobre o bronce, aunque por su aspecto nos
inclinemos por lo primero.
o) Punzones.-Son tres, de pequeño tamaño y secclon rom boidal. El prime ro apareció en lo zona V I y m ide 36 mm. de longi tud por 3 de ancho móximo; sus dos extremos terminan en ounlo,
aunque uno de ellos seo mucho mas aguzado que lo otro. El menor,
procedente de lo zono VIII, mide 22 mm. de largo por a lgo mós
de 1'5 de ancho móximo, y termino uno de sus puntos muy oguzodomente mientras q ~le lo opuesto es romo. Y el tercero, aparecido
en lo tierra de lo sendo, mide 29 mm . de largo por casi 2 de grosor
móximo, y, como el anterior, un extremo termino en punta aguza do y el otro es a lgo romo (Iómino VI, Al .
b) Laminillas. - Son dos las que se encontraron, uno muy
oxidado, informe, algo curvado, hollado en lo zona V, cuyos di mensiones son 16 mm. de longitud, 6'5 de ancho y 1'5 de grueso.
Lo otro es uno delgada cinta curvado, con el extremo que quedo mas pequeño que el resto de la lómina y sin perforar (lamino
VI, A, derecha); parece que se hizo o golpes de martillo por los
señales que lleva en su superficie; la coro superior estó ornamentada mediante una serie de pequeños incisiones hechas casi en '!I
borde y por grupos de lineas paralelas, igualmente incisos,
de los que se ve uno formado por tres líneas cercano al ex tremo
que quedo y parte de otro grupo, del que 'SÓlo se ven dos lineas,
in terrumpido por lo rotura de lo pieza . Mide 18 mm. de longitud,
5 de ancho y 0'5 de grueso. Fu e encontrado en los t ierras !!x traídos de la covacha y que sirvieron de rell eno o la senda. Es pieza
que puede ser iden t ificado como OI'rocada, pues nas parece porte
de un objeto semejante 01 que, clasificado de tal, se hollaro en L'Es querda de les Roques de El Pony (Torrellos de Fa;,,) (2) .
(2) p . MARTI GRIVE : "L'Esquerdo de les ROques de El Pon" IPencdesl",
Anuorl de l'I~liIut d'E~ tudI J Co tolons, vol. VIII, MCMXXVII -XXXI , Borcelon:J,
1936, pógs. 19 o 35 .
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12
E. PLA BALLESTER
CERAMICA
No son muchos tampoco los restos cerómicos proporcionados
por lo covocha y aún éstos en fragmentos de pequeño tamaño. Son
los siguientes:
o) Fragme nto de cerámica cordial. - Pequeño fragmento de
borde de un vaso indeterminable, decorado, poJ 10 poco que se ve,
mediante uno serie de lineos incisos paralelos y en posición horizontal, de los que surgen hado arriba y obl icuamente otros series
de incisiones de borde de cardium, terminado coda serie en su ext remo supe rior por impresiones del notis (16m ino IV, el . La posta
es bostan te bueno, oscuro en medio y pardo hacia su superficie
ex terno, qu e presenta un bruñido lúcido, 01 parecer logrado median te espotulado. Se encon t ró en tre las tierros de lo senda.
b) Cerámica puntillado. - Cinco fueron los fragmentos encon trados de es to clase de cerómico, de ellos dos muy p.equeños.
Uno (Iómina IV, A, 1) es porte del vientre de un pequeño vaso
de formo inde t erminable, dz pasto de mediano calidad monrón
oscuro con lo superficie interno negruzco, y cuyo cara externo va
decorada incisamente, viendose en lo que hay, una banda horizon tal formada por series de lineas de puntos, por enci ma de la cual
s e ve surgir una royo inciso continuo en sent ido oblicuo, y por deba jo de ella se pusieron mós puntos, notóndose algo mós a la de recha porte de o tra línea continuo incisa; lJOdria deducirse que la
decoración debió ser de bandos puntillados sobre las que descan sarían trióngulos de línea inciso rellenos a su vez de puntos . Es de
observar que el puntillado se logró incidiendo oblicuamente sobre
lo pasta blanda con un objeto aguzado (punzón o algo parecido) .
Otro t iesto (Iómina dicha, A, 2) es igualmen t e parte del vien t re
de uno vasi ja de formo indeterminable, de posta algo m6s cloro
que lo del on t.uior ~ragmento, aunque su coro inte rno esté mós
ennegrecido; presento en su coro externo restos de espotulado '!
unos ligeros su rcos horizon tales muy débiles, como huellas de jados
por lo espótula. Lo decoración est6 compuesto por una bando horizon tal formado por tres líneas paralelos de puntos, de lo que,
hacia lo mitad del tiesto, nacen hacia arribo y en dirección oblicuo,
otros dos líneas puntillados y paralelos en tre si. Las incisiones de
lo bando horizontal son sem ejante~ a las del tiesto antes descri to,
pero los que forman los dos línea!. paralelos superiores son mós
tinas, menos profundos y hechos, 01 parecer, incidiendo el punzón
u objeto aguzado perpendicularmente a los paredes del vaso.
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COVET A DEL BARRANC DEL CASTEllET
13
Otros dos fragmentos son de muy pequeño ,tamaño, quizó perte.
necientes o alguno de los vasos o que corresponderían los fragm entos antedichos. Lo posta y coloración no di f iere de aquéllos y uno
es tá decorado con puntos inci~s como los que formaban las referidos bandas, mi en tras que en el otro el puntillado es fino, igual 01
de los líneas oblicuas del últimamente descrito.
y porte de un borde (lámina IV, A, 3) de vasa, 01 -parecer de mediano tamaño y de formo indeterminable, aunque su cuello pudie ra ser casi cilíndrico ensanchándose ligeramente hacia abajo. Su
pasta es me jor que la de los t iestos anteriores, mar,'6n oscura en su
co ro externo, ennegreciéndose paulatinamente hacia el interior.
Lo cara externa esló muy bruñida, brillante y decorada median te
puntillado, de- cuyo ornamen todón resto uno líneo de puntos, de
incisión p~rpendicu l or, parolelo y cercano 01 borde, y aIro serie de
puntos de incisión oblicuo, formando una lineo inclinada que corre
precisamente jun to a lo roturo lateral inferior del ties to; en el óngula que forman en lo parte de rechc los dos lineas de roturo parecen verse dos royas incisas con tinuas, uno que debía estar deba jo
de lo de puntos y lo otro perpendicular o ello.
c) Ce rómico componiforme.-A es to variedad cerómica pertenece el mayor número de fragmen tos recogidos, lo que es de in ~
terés por tra ta rse de uno especi2 poco conocido hasta lo fecha en
nuestra región .
Un pequeño frogm erllo (lámina V, El, de pasta de mediana
calidad, gris rojizo ex teriormente y negro en su coro interno, esputu lado por fuera y decorado mediante lineas de profundo incisión, limpiamente hechos como o pun to de cuchi llo, formando uno
serie de 1rióngulos interiormante rellenos por rayado paralelo :l
uno de los lodos.
Otros dos fragmentos van decorados median te líneas hor izon tales incisos combinados con pequeños trazos ver t icales for mando espino (Iómino citado e y o), y parecen pertenecer 01 m ismo vaso, uno al borde y otro o lo port e inferior del vient re, yo que
la posta seme jo ser igual aunque lo coloración superficial seo distinto en codo uno, producido seguramen t e por lo fragmentación
de los vasi jas desde tiempos prehistóricos y lo permanencia de uno
de los tiestos en lo copo de tierra blanca como de col, donde fue
encontrado al excavar lo covacha.
Los res tantes fragmentos campan iformes per tenecen todos a un
mismo ti po ornam enta l: bandos paralelos compuestos por dos lineas
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14
E. PlA BALlESTER
horizontales rellenos con reticulodo formado por trozos oblicuos
entrecruzados, todos hechos med iante incisión continuo. Entre los
tiestos uno es el fondo plano de una vasija (lamino V, A , 6). y
otro, porte del cuerpo de un vaso indudablemente caliciforme (la
mismo lámino, B); de los restantes fragmentos sólo puede decirse
que son parte de los poredes de vasos de formos imprecisobJes, debido o su dim inu to ta maño. La posto de todos parece 5(!r igual,
Qunque es dificil precisarlo, y su coloración, rojizo en principio,
tomo algunas veces un tinte oscuro achocolatado. La superficie
ex t erna, única que vo decorado, presento en algunos cosos restos
de bruñido, que debían llevarlo todos y haberlo 'perd ido por el tiem po, pues uno de los fragmen tos, el B de la lómina V, compuesta
de dos trozos, en uno conservo el bruñido y en el otro no. Es interesante destacar el hecho de que en algunos fragmentos (lámina citada A, 2, 3, 5 y 7) los zonas decoradas se encuentran en un plano
in feri or a los lisos, como s i an tes de producir el rayado ornamental se hubiese presionado sobre la posta blanda formando zonas
horizon tal es alternos, unos en resalte y los otras remetidos, y luego sobre estos últimos se trozoro el motivo decorativo. Imposible
es decir si todos los fragmentos encontrados p ertenecieron o un
mis mo vaso, pero creemos que no, puesto que ni el grosor de la
cerámica ni 10 curva tura de los tiestos porecen indicarlo, aunque en
estos cerámicos hechos o mono no son estos razones suficientes
paro llegar o tal conclusión; sólo t enemos dos dotas seguros: lo
existencia de un vaso del tipico pe rfil en compono, y lo base pIona de ese mismo vaso campaniforme o de otro. Tampoco se puede
afirmor si 1 -pasta blanco que se conservo en los incisiones fue
0
puesta adrede o no; uno primero observación nos inclinaría o de cir que es producto voluntario, pero 01 verse o veces sobre los zonas li sos y, casi siempre, recubriendo en porte lo superfieie interno, en donde no producia ninguno función, así como en tre los poros de la masa en los bordes de roturo, junto con lo existencia en
la cueva de uno copo de tierra blanca, como de ca l, que ha teñi do
en porte a los objetos qu e estaban o estuvi ~ ron en con tocto con
ella, nas hacen sospechar qu e ta les res tos de pintura s~on consecuencia de uno mero casualidad (31.
13) Para la comparaci.:m de los cerómicas d escrl ta$ hasta oqui, can o tras
cantcmparón.ro$ d e yaCimien tos eercanos, clr. 1. BALlESTER TORMO: "Unas cerámicos interesantes en el Valle de Alba,da", Culturo Valenc iana, 111 , 3 / 4 , Valendo, 1928, pág. 11 y ss.
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COV ET A DEL BARRANC DEL CASTELLET
15
d) Cerámica lisa. - Ta mbié n fueron basta nte numerosos los
fragme ntos de cerá mico de posta de mediano ca lidad, oscuro, enneg recido en su coro interno y, general me nte, bruñida med ian te espa tulodo lo exte rno .
In te reso destocar aquí unos fragme ntos que pa rece n ser po r t ~
de l fondo de un casqu ete esférico, a parecidos en la zona IV, y un
t ies to de media no ta ma ño (lá mina IV, B) , procedente de lo zona
V, que es p ort e del borde de un vaso de paredes cilíndricos 01 parecer, por lo menos en el cuello, some ra ment e ornado mediante
dos zonas horizonta les en resal t e de cas i med io coño, lo superior
de las cua les ll eva un ma melón semidi sco idal a proxi madamente,
pues to en p osición .horizontal ; presento lo part icu larida d d e ten er
o lo derecho del ma melón y un poco por deba jo de lo zona superior
resa ltado, ca si 01 lodo mi smo de lo rotura, un orificio perfecta men te ci rcula r que se va es trecha ndo a modo de embudo de fue ro
a den t ro, excep to en su fina l que vuelve o ensancharse casi im percep tiblemen te, de formo ta l que su d iámet ro e n lo par te ext erior es de 11 mm. y en lo interior de 6. ,Es to es, si n dudo, restos de l
la ñado de 10 vasi ja, que debió repararse poro su reu til ización .
Por último nos re fe riremos 01 ún ico vaso aparecido ente ro y
que, como quedó dicho 0 1 principio, no figuro en [a colección Que
se conserva en el Museo de Prehistoria d e Valencia . Fue encontra do por los profanadores del enterram ien to, qui enes manifes ta oran que 6e holl aba super ficia l junto 0 1 esquele to que , en pos ición ex tendido, vieran al entra r por primera vez en lo covacha . S e t r o t o de un peque.ño vaso (lámina IV, D) de
pas to de flo jo ca lidad, oscura, si n restos de pulido, de cue rpo carenado y base en tulipa (4) . Su fo rma y ca ra cte rís t icas 1 indu 0
('1 ) C. VI SECO MOLTO: "Breu noticio sobre It'$ pri me' es edots del metal! n
les proxJmi lOts d 'A!coi", BU lllelí de )'Associoció Co lol ono d 'Anlrooologio, Etno logio I Preh is tórlo, vo l. 11 1, fosc. 11, Barcelo na, \92 5. póg . 11 3. Lo pu blico el a ut or
como p rocede nte d e u n en terramiento de Ad:.oneto de Alba ida, vert ien te norte de
lo ,ierro d e Ben kodell , en lo lóximo X IV, 3, aUnQue sin hacer refere nc ia ning uno
del m i~mo en el le >
6oico, pue$l O que quie nes lo encc--. tr or on y ve nd ie ron eran vecinos de d icho pueb lo y, oJ emas, lo covacha de l Borro nc de l Co~t ellel e~t ó, o unQue
en termino de Corrico la, muy cerco del limite con el término municipa l de Ad ~ o
ne to. En eurec ho reloción con e~te voso eSló.-. los de 10 MunTonyeto d e Cobrero
del VedoT d e Torrente, oún inéditos, y a lgunos de N'.cs de Menen te de Alcoy, d e
u-. Bronce 11 mt Servicio d e InveUigociÓtl Prehis tórico y su Museo en el pasado año 193 1", Vu·
leneio, 1932, pOg. 18; F. PO NSELL CORT ES: " Excov(lCiones en lo finco Mas d e
Menen te, T ino de Alcoy". J un io Suoetior de E"coyoc;ont'$ y An tigüedode$,
erm
Memorio nUm o 18, Madri d. 1926; y L. PERICOT GARClA y F. PONSELL CO R_
TES: " El pob!odo d e Mas d e MenenTe (Alcor)". Archivo d e PrehiSToria Levan tino,
" 19 28, Valencia, 1929, póg. 10r.
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E. PLA BALLESTER
yen, de conformidad con 10 utilísima tipología propuesto por Cuadrado Dioz, en el tipo 5 (vasos aquil lados, carenodos o tulipiformes), subtipo 11 , lo que nos evi to dor uno descripción más detallado (51 .
SIL E X
Abundantes fueron los restos de sílex encontrados, destocándose los pun tas d~ flecha, de las que se recogieron quince ejemplares, cuat ro puntas geome tri cos, uno posible raedera, lám inas y lascas, re tocados unas y si n re toque ot ras.
a) Puntas de flecho. - A quince ejemplares asciende, como
acabamos de decir, el núme ro de puntas de fl echa encon t rados,
ocho de ellas den tro de lo covacha y los res tan tes entre las ti erras
sacados para relleno de la senda. Su con junto es bastante homogéneo, pues todos los tipos pueden ser derivados del romboidol y
del foliáceo, con pocas variantes. De la serie se destacan como
formas ex trañas dos pun tas : una en sílex gris oscuro, romboidal,
casi triangular (lá mina VII, e, 14), ligeramente retocado por su
cara posterior, con pequeños muñones, uno de el los bien destocado
en el lodo recto; es pieza qu e porece derivación de los puntos de
t ipo geométrico, de las que también se encuentran varios en este
yacimiento, y no es muy frecuente (6); se encon t ró en lo zona VI.
La otro pieza ex tra ña al conjunto (lámina V II , B, 1) es de sílex
blanco, con el cuerpo en formo de ho ja, dos pequeños muñones y
base triangu lar; parece fUe hecho de uno hoja de sección triangu lar, en lo que solamente se retocó lo imprescind ibl e poro darl e su
actua l formo y destacarle los muñonas laterales.
Cuatro puntas ,Son de tipo romboidal. La más característico
(lámina VII, B, 4) ti ene el rombo formada por das triángulos opues_
tos por la base, el superior isósceles y el inferior equilátero, y en
lo unión de a mbos se nota, muy ligeramente, el inicia de das muñones; es tá h~cha sobre síl ex amarillo melado, es de labro bifacial
y de técni ca muy b ~ena, y se halló en la zona 11 . Ot ro, de form a
más irregular, t iene los dos t riángulos casi del mismo ta maño, li 15 } ·E. CUADRADO DIAZ : "Utiles y orma~ de El Argor. Ensoyo de ' ipol og io" , Crón ico de l I Co ngreso Noc ional d e ArQueologio y del V Congreso Arqueológico de l Sudes te jAlmeria, 1949), Car'ogena, 1950, póg. 103.
161 En Cami Real d'Alocant y e n Cavo d e l a Pas tora se DUeden V<'r punt o~
d e fl echo muy poredd os. e fr. 1. BAlLESTER TORMO: Ob. cit. en L not o 1, Ino
m ino VIII, A, 4 , y pag. 61, e IBID: "lo labor d el Ser vic io de Inves tigación Pr... his tórico y su Museo en los posodos oiíos 19<1 0 a 1948", Valencia , 1949, póg. 5 '
y lóm. VI, A.
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CQVETA DEL BARRANC DEL CASTELLET
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geromen te más a largado el superior y destocándose algo los muñones late rales (lá mina di cho, e, 12) ; es de silex gris, de labra
bifacia l aunque de retoque no total en ninguna de los dos coros y
de técnico bosta. De forma semejan te es uno tercera pun to (Iómina citada, B, 8) sobre sílex blanco, con retoque incomple to por
ambas caras y de técnico también poco depurada; solió en lo zona
VI r J. Con el triáflgula superior muy destacado y los muñones latera les b ien visibles, es lo cuarta pieza de este tipo (lo mismo lámina,
C, 15), de sílex melado, con la ca ra superior totalmente retocada y la inferior sólo en los bordes, de técnico algo mejor que los
úftimas; se encontró en lo zona 111.
Los tipos biconvexos y sus derivados más próximos es lán repre sen tados por los t res pun tas sigui entes: Uno, perfectamente bi convexa (lámina VII, B, 6, invertida en el grabado), de perfil sua ve, hecha en sílex blanco, de bella labro bifacial y bueno técnica,
a lo que le falto el extremo superior, y que se holló en lo zona V.
Lo segundo recuerdo las pun tas de laurel de cu lturas mós antiguos
(lo misma lámina, B, 11) , es de sílex amarillo tostado y de buen
retoque bifociol. Y lo tercero (lámina dicha, B, 9), participo de los
formas biconvexo y romboidal, tiene como un principio de muñones
y el cuerpo más alargado que lo base, y es de sílex amarillo tostado jaspeado de blanco, tolla bifocia l y buena t écni co.
Por últi mo hay un grupo de pun tos Que .pueden considerarse
como tipos derivados de los anteriores. Uno es básicamen te rom boidal, con el perf il algo curvo y con los ángulos latera les muy
destocados como inici6ndose los muñones (Iómina VII , C, 131. de
sílex acaramelado translúcido, tollo bifacial y buena técnico. Ol ro,
ligeramen t e asimét rico (lámina dicha, B, 10), es también de perfi l
romboidal con los lodos algo curvados y muñones Que se destacan
bi en, cuerpo muy alargado y base tr iangular; es tó hecho de sílex
blanco rosado, con la coro superior lotalment~ ta ll ado y la pos terior, plana, únicamen te re tocado en los bordes y bas~, de bueno
técnico. Tambi én algo asimétrica y de perf il parecido 01 de lo an terior, aunque con sus lodos menos curvados (Iómina ci lodo, B, 2),
es la punta aparecida en la zona VI, con los muñones laterales bien
destocados, de sílex amarillo tos tado jaspeado de gris oscuro, lalta
total en su cara anterior y sólo en los bord~s y base en lo posteríor,
de técnico muy perfecto. Seme jante a las dos anteriores es otra
pun to, procedente de -la zona V, asimétrico, de perfil romboidal
can los lados ligeramente curvados, muñones destacados y con el
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E. PLA 8AlLESTER
cuerpo superior menos a la rgado q ue tas descritos an tes (lámina
mencionada, B, 7), estó hecho de sí lex blanco con to llo tota l en su
coro anterior y sólo en los bordes de su envés, y es de técnico no
muy perfec to. Como t ipos m ix tos de los dos bósicos de que a ntes
habla mos existen dos pun tos, u no de cuerpo triangular i50SCél icv
apoyado sobre un equ ilá te ro, que forma lo bose (Ióm ina dicha, B.
5). con lo par ticu la r idad que el lado de ést e sobre el que se apoyo
el triángulo superior es de mayor longi tud, sobresali endo u n tonto
por a mbos lodos y dando lugar o la existencia de m uñones, mientras que los ot ros dos la dos estón ligeramen te curvados; es de sí lex
blanco a mari ll en to, de cuerpo m uy delgado, 'tollo bifociol y técn ico
muy bue no: se encontró en lo zona VI. Y lo otro de tipo mix to (le
mismo lá mina, B, 3) es uno de los e jemplares comple tos me jores
que se conservan en e l Museo de Preh istoria del S. 1. P.: m ide 51
m m. de a ltu ra, 15 de ancho máximo y 3 de grueso; el cuerpo su perior, olargado, ti ene los lodos graciosamente curvados formando
o jiva y term ino en pun to muy afilado; la base, triangu lar, sobre·
sale, como en lo pun to an te rior, lateralmen te formando muñones;
es de sHex melado, tallado total mente en la coro an te rior y sola ·
mente en los bordes de la posterior; el retoque es muy fino y del icado, de técnico perfecto {1) .
b) Sílex geométricos.-Cua t ro fueron los piezas de esta clas-?
Que se encon t raron en el enterramien to Que es tudiamos, todos trapezoidales y con retoques salomen te en los lodos superior e inferior. Podemos agruparlos en dos t ipos: propiamente trapezoidal y
trapezoidal casi triangular. Al primer t ipo sólo pert enece un eiem(11 Entre los yacimientos más cercanos, el Que propOrcionó el conjunto más
semejon te 01 nues tro fue la Cóva de la Postoro de Al coy, y también parecidos,
en porte, SOn los de lo Ereto del Pedregol de 'o Marja l d e Novorrés, el d e l MO:"l te
de lo BorSl!~lIo de Torremonzonas y el de Los Blooquiz:ares de Lebor de ToH.. .,o.
Curiosa el la difere ncia entre la serie de puntas de Corrlcola y las del cerceno
en terromiento de Comí Reol d'Aloco nt , a pesor de la proximidad (unos tres kilóme tros) y poder ambos clasificorse como con temporá neos. Apor te d e los estocione;
onora citados, hoy puntos de flecho de tipOli pore<:idos a 10$ de 10$ nuest ros en
Mas de Modes to y Molo Remigio en lo provincio de Coslellón y en lo cueva de La
Roca de Qrihuela, en lo provincio de Alican te, entre o tros.
1. BAlLESTER TORMO: ab. ci l. en lo noto 6, págs. 51 y 52 y lóms. VI y VII,
Y p6gs. 89 a 93 , 10m. XXII I.
J . BELDA DOM INGUEZ : "Excavaciones en el Monte de lo Borsello, termino
d e Torremanzanos (Al icontel" , J un io Superior de Excavac iones y An tigüedades,
6m
Memorlo .,úm . 100, Madrid, 1929, 1 . V, y Memor ia núm . 112, Modrid, 1931 ,
p6gs. 16_ IB, lóms. V y VI.
J . CUADRADO RU IZ: " El yocimiento eneolítico de Los Blanquizares de L~_
boI", en lo provincio de Murcia", Archivo E$poñol de Arre y Arqueologio, VI, Madrid, 1930, pélg. 51, fjgs. 8 a 10.
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CQVET A DEL BARRANC DEL CASTELLET
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piar (lám ina VIII, A, 1), est recho y largo, con el borde superi or
más inclinado que el inferior que es algo convexo, tolloda sabr~
uno lámina de sección t riangu la r de sílex melado cloro; se encontró ep lo zona 11. Los o tros tres ejemplares son de tipo tropezaida;
casi t riangula r por acortam iento del lodo izqu ierdo: el primero (Iómino ci tado, A, 2). hollado en lo zona 11 1, tiene los bordes la terales divergentes hacia arribo, siendo el mayor algo curvo, y el bo~de
superior, de muy buen retoque, fu ertemente inclinado, mi ~ntras que
el inferior, tombién de bueno toll o, es cóncavo; se h izo sobre ancho
lá mina de sí lex blanco-amarillen to, jaspeado de gris, plano e" su
envés y de tres choflanes en su coro antariar. Sobre lámina de sílex
rosado, tambi én de t res chaflanes en su coro onterior y plano e.,
lo posterior, es el e jemplar mós triangular de todos (lámina citado, A, 3), cuyo lodo izqu ierdo es muy corto, e l superior muy incli nado y el inferior casi horizontal. Por último y hecho sobre lámina
pla no en su envés y de dos chafl anes en su coro anterior, de sílex
melado oscuro, es un ejemplar con el lodo mayor cu rvilíneo, el superior muy inclinado y el inferior cóncavo (lám ina dicho, A, 4) (8).
e) Otros objetos de silex,-También se encontroron buen número de ho jas y loscas, retocados algunos de ellos, que pueden verse
en los lóm. VIII, A y B y IX, A. Solamen te son de des tocar lo posible raedera sobre sílex blanco con retoqu es en su fi lo (lá mino IX,
A, 1), un nódulo-buril (lo mi smo lámina, A, 7) , dos gruesos lascas
largos, posibles cuchi llos, con retoqu es en sus f ilos (lám ina dic'-lo,
A, 6 y 8), lo pequeño hojita traba jado en todos sus lodos mediante
fin ísi mo retoqll! (lámina VII I, A, 10) y los dos ex tremos de láminas con los bordes reba jodos y terminados en pun to (Iómina dicho,
B, 1 y 2) .
Piezas traba jados, con retoques, son los de lo lámina VIII, A,
12, 13, 15 y 16 y a , 3 ; y sin retocar los restantes (lámina VIII , A,
5,6,7,8,9, 11 y 14; a, 4 y 5, y lómina IX, A, 2, 3, 4 y 5 ), aunque
a lgunos piezas t ienen señales de u tilización en sus bordes.
OBJETOS DE ADORNO
In teresan tes y abundan tes son los objetos de adorno encontra dos en lo covacha. Los agruparemos en diversos aportados poro s\.l
mejor descripción .
IBI Aunque en cosí todos los cuevas cont emporóneos o lo nuestro Que se conocen en el Levante exis ten también silex geOmé tricos, los tipOS son .no obs tan te
muy diferentes. No se hollaron en Comí Real d'Alocont, en el Monte de lo Borseno ni en Los Blonqui:zores' de Lébor. Clr. bibliogra fía de 1 noto an terior.
0
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E. PLA BAlLESTER
a) Cue ntas de collar. - Fueron d2 dist intos tipo,> y mot los encon tradas, la mayor porte aparecidas en el cribado de tie rras
de la senda y a lgunos pocos en las zonas excovados en el in te rior
de lo covacha .
De uno ma te ria bas tan te b lando, de color g ris oscuro hast a
negro, qui zá varios de estea t ita o piedra ollar, o tros de lignito y
ta l vez alguno de azabache, s:! encon tra ron 53 enteros y a lgunos
fr ogmen tados. Abundon las d iscoida les de p los 2'5 mm . de diáme tro por menos de 0'5 de espesor, hasta tipos
bastan te mayores (7 m m. de dióme t ro por 4 de grosor); dos son
cilínd ri cas, e n basta nt e mol estado de conservac ión pues se agr ietan y seccionan con facil idad, y m iden 7 mm. de dióme tro por 7' 5
de la rgo, uno, y la o tro 7 mm . de diáme t ro por 7 de long itud . Es ta
último, jun to con dos discoidales, se encon tra ron en lo zona VIII ,
y la o tra ci líndrica más d ieciocho discoidales en la V I. (Lá m ina X I,
A,3y 4).
De ca llais seguramen te, de formo discoidal, son ca torce cuentos enteras y fragme ntos de var ias más, con coloraciones que van
de un verd~ cloro, pasa ndo por in tenso, has ta ll egar a azulado; sus
ta maños oscilan en tre los d iáme tros 5'5 y 7 mm. y los espesores 2
y 4 mm . (los e jemplares e xtremos miden 5'5 mm. por 2 ; 7 mm . por
3 y 6'5 mm. por 4 ). Se encon traron dos e n lo zono IV, cua t ro en lo
V I y las res ta ntes -en lo senda (lám ina X I, A, 2 ). Qu izó ta m bién de
la m isma maler ia verdosa son los seis cuentas de colla r en forma
de oliva, normal mente a largados, que se reproducen en la lá mina
X I, A, 2, cen t ro. Lo mayor mide 16 mm . de largo par 10 deo diá me tro má ximo, pero los res Ion tes sálo osci la n en tre 10 y 13 mm de
longi tud por 5'5 y 8 mm. de grosor. Except uando una que a porec;ó
en la zona 11 , las de mós lo h ici eron en el cribado de t ierras de lo
senda . E igualmen te de calloi s pa rece ser uno cuen to de color verde in tenso y de formo cilíndri co con 10 5 ex t " ~ mo s a cha f la nados, de
5 mm . de largo por 4 d e diáme tro. Se encont ró entre ,los t ierras de
lo senda y se reproduce e n lo lóm ino X I, 2, en t r
De ma teria blanco-amarillenta (piedra cal izo o concho), Con
a lguna tend iendo a gris cloro, d io lo covacha cerca de dosdentos
cuentas d iscoidales (el coll a r reproducido en lo lómino X, 3, ti ene
190 p iezas que fu e ron los únicos que so lie ron comple tos), y, a l
igua l que observara 'é! 1 señor Bal les tcr a l estud ior los del enjerra-
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COVETA DEL BARRANC DEl CASTElLET
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miento de Rocofort (9), pueden distinguirse unos delgados, f lojos
yen mol estado de conservación, que bien pudieron ser de conchos
de molusco aunque no se ve en ninguna de ellos restos del costillaj e de aqué llos, y otros, fu ertes y gruesos, brillantes, bien conservados, podrían ser de piedra calizo. Los tamaños oscilan entre los
3 y 1 mm . de d iómetro por menos de medio milímetro o 2 mm . de
~rueso. Uno se encontró en lo zona VI, otro en lo V, tres en lo IV
'1 veinticuatro en lo VIII; las res tan tes en lo ti erra de lo senda
ex traído de lo covacha.
De formo casi esférico, con los polos achatados, es uno cuent·:)
de collar de regular tamaño (1 0 por 15 mm .), de piedra muy blondo
y de color blanco verdoso . Su perforación es tó hecho, como en lo
mayor portie de los que acabamos de citar, por dos ·talodros algo
cónicos que se encuen t ran en el cen t ro de lo cuento. Es tó repro
ducido en lo lómino XI, A, 1, centro.
Por último, y de piedra negro brillan te, quizó azabache, es uno
pequ~ño cuento de formo bitrancocónica irregula r, con bueno perforaci ón logrado med iante dos conos opuestos que se encuen t ran
en e} centro (lá mina dicho, A, 5) (1 0).
b) Colgontes.-Tombién se encontraron en nuest ro covacha
algunos objetos de hueso y concho, con un orificio poro su s uspensión , que describimos o con t inuación.
De pecten seguramen te son dos colgantes de formo ova lado,
uno convexo por uno coro y con uno depresión alargada semielipsoidal por lo otro, que no ll ego o los bordes, de los que lo separo
un bordonci llo; está horadado en su parte superior, por donde se
rompió, y se encontró en la zona IV. El ot ro, encontrado en lo sen
do, se conservo entero y es casi plano por un lodo y abombado poi
el otro, 'especia lm en te en lo porte inferior. Se reproducen en lo lámina VII, A, , y 3 .
(91 l. BALL ESTER TORMO: "El enteHomiento en cuevo de Rocofort", Serie
de Trobajos Varios del S. r. P., númefO 9, Vo lendo, 1944, póg. 22.
( 10 1 Cuenlos de collo, de todos eslos lipos se encontroron en 10$ lonlos veces
cilodos cuevas de lo Postora, Blonqu¡:
re-gión volenciono. Cfr. r. BALLESTER TORMO: Ob. ci t. en lo noto 6. p6gs. 58-59
" l6ms. IX '1 X; J . . BELDA DOM INGUEZ: M emor¡o 112 d iodo en lo noto 7, lóminos XI o XIII , y J. CUADRADO RUIZ : Ob. cil. en lo noto 7, ligs, 8, 10 y 13.
lo PERICOT GARCIA: "Sobre alg unO$ ob!e los d e ornomen to del ln eolitico del
Es te de España", Anuorio del Cuerpo Focul totivo de ArchiverO$, Bibllotecorios '"
Arque6!OgO$, Homenoje o Me lldo, vol. 111, Madrid, 1935,p6g. 129'1 ss,
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E. PLA 8ALLESTER
De h ueso es una lóm ina algo curvado, cortado por los ex tremo.3
casi rectilíneomente, que lleva un tal adro en lo porte superior. Fue
encon t rado también en lo senda y ge reproduce en la ló m ina VI .
B, 5.
y d~ dien tes de ani mal son un incisivo de cóprido y un colmillo,
qu e mós bien parece de cerdo que no de jabal í, a mbos horadodo.i
en su extre mo puntiagudo o raíz, y -encon t rados en el sector V.
(Ló mina V I, B, 3 y 4) .
Por ú lt imo existe un fra gm ento de hueso cilíndrico, de dos cent ímetros de longi tud y 5 mm . de di ómet ro, con un acanalado o rayado en espirol, roto por un extremo. Es, sin dudo olguno, 1 partE'
0
inferior di- un colgan te en espira l o formo de torni llo, seme ja nte
o los d e las cuevas de La BQuello, de Torremonzonos, de Les Llome tes, de A lcoy, e tc. Fue encontrado en 10 zona 11 y se r e p(oduc~
en lo ci tado lámina VI, B, 8 (11).
Concho$.-Los ton fr ecuen tes conchas.con or ificios poro ser
ensartados en collares no abundaron en nuestro covacha. Los ha llazgos se reducen o los sigu ien tes:
Dos eje mplares de Nosso, con uno solo perforación artificial,
encon trados en el cribado de t ierras de 10 senda (lám ina X, 1, en
los extremos).
e)
Sie te ejemplares de Trivio orctico, con doble orificio, también
hal1odos en e l cribado de t ierros de lo senda (lá m ina d icho, 1, ceno
troj.
Dieci nu eve ejempla res, m ós o menos comple tos, de Dentolium
(ló mino c itado, 2), de los que cinco aparecieron en 1 zona 111 ,
0
uno en lo l~ y o tro en lo VII ; los res tantes en lo senda .
Ademós se encon t raron en 10 zona V uno concho de cordium y
o tro de pectúncuJo, a m bos horada dos en el no ti s (ló mino X II , 5 y
7 ), y entre los t ierras de lo senda o tro pectúnculo, de m enor ta ma ño, igualmente horadado en e l mismo si tio (1 citada lómina, 6 1
0
112) .
(11) L BALLESTER TORMO: Ob. cit. en lo or.O IO 6, pétgs. 49 y 50, 1
6m. V.
J. BELDA DOMINGUEZ: Ob. cil . en lo noto 1, Memoria 112, 1
6m. X.
J. CUADRADO RU IZ: Ob. cit. en 10 nolO 1, lig. 13.
E. VILAPLANA JULIA y J. VILANOVA y PIE RA: "Lo gru ta de Les Llome tes,
en AIc:OV". pág. 61 y ss. del vol. J de lo "Historio de AIc:OV'" de V. Remlgio Vicedo, Alcoy, 1923,
(12)
Cfr. los obras ci todos en los dos notos onleríorH.
-
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CQVET A DEL BARRANC DEL CASTELLET
23
OBJETOS DE HU ESO
Aporte de los objetos óseos de adorno, que han sido descritos
anteriormente, poco fue 10 que proporcionó lo covacha.
Los punzones fueron escasos y ninguno completo. Un pequeño
fragmento de lo parte superior de uno, 01 que también le fal ta lo
pun to, de sección circular, bien Irabajado (lámina VI, B, 13); aIro,
finísimo y también incomp1.~ta, de sección plano-convexo, de dos
milímetros de ancho máxima por menos de uno de grueso (lámina
dicho, B, 12); un ,tercer fra gmen to, labrado sobre pequeño hu eo;o
largo, muy pulido y brillante (lo mismo lámina, a, 9), y, por último,
otro logrado aprovechando un hueso delgado y fino, de ove 0 1 po·
racer, que conse :"Va la articulación en su extremo no aguzado. To ·
dos se encon t raron en los tierras de la senda .
Se d ieron también algunos fragmentos, planos y estrechos, de
sección biconvexa u oval muy aplanada (lámina VI, B, 6 y 7, y e),
das de los cuales están negros como si hubieron sufrido lo acción
dal fuego. Son res tos de punzon~s o agujas planas, Ion fr ecuen tes
en e910ciones similares . Excepto un fragmento hollado en el sec tor
11 , los restantes salieron entre las tierras de la senda .
Por último, mencionemos los restos de una planchuela o lami n¡lb de hueso, ancha y muy plana, incompleta, encontrado en dos
pedazos al excavar lo zona II (lámina VI, S, 11 ).
OBJETOS VARIOS
Ademós de todo lo descrito hasta aquí, se encon traron también
los siguientes objetos:
Una pieza de piedra calizo, larga y estrecho, muy aplanado,
de sección bi convexa, con un extremo casi rec to y el otro curvo.
Presen to en su superficie, especialmente en los bordes, fuertes señales de utilización (lámina IX, B). Lo hemos clasificado como afi lador, y se encon tró en lo senda.
En su estado na tural sa encontró un pedazo de cristal de roca
(lámina VII, A, 2) y otro de yeso crista lizado (lámina VII I, B, 6) .
y un pequeño -trozo de una delgado loseta, de color morrón, que
rayado con uno novaja deja un surco rojo in tenso, y que tampoco
parece haber sido trabajada por la mano del hombre (lám ina dicha,
B, 7).
De aspacto como de corcho, pero más duro, salieron unos trozos de forma indeterminado, que se reproducen en lo lámina XI ,
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24
E. PLA BAlLESTER
B, Dan la impresi6n de trotarse de pequeños esquirlas de madera
que han estado en contocto con algunas moterias colorantes, pues
unas tienen un tinte amarillo, mien tras que otras lo tienen rosado
Por último, se encontraron, en diversos puntos de la cuevo, y
hasta mezclados con las tierras sacadas de aquéllo y puestos en !o
senda, restos de ca rbones, indudablemente made ro quemado, como
dejan ver algunos fragmentos incompletamente carbonizados.
RESTOS DE ANIMALES
Debieron ser abundantes los huesos de animales que contendría
10 covacha, pero 01 ser saqueado se fragm entaron de tal formo ~ue
noda aprovechable paro el estudio de su fourlO se ha podido recoger. Solamente existe un diente de cobra y un colmillo de cerdo o
jaba lí, semeja ntes o los descritos anteriormente en tre los colgantes, pero carentes en este caso de perforación, y Urla pequeño lobo
(lámina VI, e, " 2 y 10).
Y conchas sin horadar se encontraron varios de ca rdium, un
fragmento de pecten y uno cipreo (lámina XII , Bl .
RESTOS HUMANOS
El hallazgo de un esqueleto fue lo primero noticio que se tuvo
de la existencia de esta covacha, pero, por desgracia, los expoliadores lo des truyeron de tal forma qu e, cuando lo yisit6 el señor Bo lIester por primero vez, sólo qu edaban pequ eños fragment os de
huesos esparcidos, inu t ilizobles paro el estudio. Se sabe que los vi sitan tes que a cudieron 01 conocerse lo exi9tencio del en te rramien to, recogieron los huesos más completos, principalmente largos.
Al excavarse el interior de lo covacha se encontraron sólo pequeños esquirlas, algunas mezclados con la tierra blanco que formaba 10 copo super ior, y también pequeños fragm entos de cráneo,
ton diminutos que tampoco sirvieron poro el estudio antropológico.
Tonto en los t ierros de 10 senda así como en los restos de estrato del iNteriOr de io covacha se encontraron buen número de dientes humanos (Iám. XII, Al , que han s ido estudiados por lo Odon tólogo doña Agu edo Alcino Franch, de cuyo detall ado informe (13 )
se deduce la existencia de por Jo menos seis enterrados, entre los
que uno seguro fu e muj er, y, por lo menos dos, de edad avanz·odo.
(13 1
Reproducimos a l fi"al el "I"farme" de la Odontólogo Agueda A!cifICI.
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COVET A DEL BARRANC DEL CASTEllET
25
Nodo puede decirse de los característi cos ant ropológicos d~ éstos,
excepto que eran individuos de caro oncha y pómu los salientes,
menos uno que era de ca ra aval y alargada.
COMPARACIONES y CONCLUSIONES
Del con junto de ob jetos hollados en 10 Coveta del Borranc del
Castellet, 1 primero que llamo lo a t ención es 10 inexistencia d~
0
hachos o azue las de piedra pulido, que aco:Tlpañon siempre o los
complejos materiales de yacimientos semejan tes. No creemos que
se hayan perdido 01 saca rse los t ierros y esporcir9:! por lo senda,
pues to que ob jetos mucho mós p .~queños fu eron también ex tra ídos
y sin embargo S2 ho llaron 01 crib:Jrse aquéllos. Habró qu~ buscar
lo rozón de lo carencia de tol-es instru:llen tos, en los condiciones
de vida del pueblo o que per tenecieron los enterrados en la cava ·
cho . Los a lrededores del lug:Jr en que se hallo ésto, y hoy que su ·
poner que el poblado no estaría muy a lejado, no son en lo ac tuali dad aptos para el cu lt ivo agricola, pues aunque ~ mon te no es muv
agreste, tampoco hoy espacios en donde, si n grandes dif icultades.
S2 puedo dedicar el terreno 01 cult ivo. Y si hoy, gracias o los esfuerzos de varios generaciones de agricultores, existen algunos compi tas escalonados en pequeños tablas por las laderos :-nenas inclinados, hoy que suponer que en los pri meros t iempos de lo civi lización ogricolo, con los rudimentarios métodos utilizables y con sobro
de espacio en donde establecerse en mejores condiciones, no ocu rriría así. Por lo que el enterramiento lo serio de un pueblo que no
practicaría lo agricultu ra, manteniéndose aún en una economio de
ti po ganadero y cazadora.
Por el material no cerámico se puede situar el yaci mi en to dentro del conjunto de enterram ien tos, más o menos si milares, qu e
lonto abundan en nuestro región : Comí Real d' Alacon t (Alba ida).
niveles medios de Covo de les Moravelles (Gandío). Cova de les
Foydes (Tabernes de Valldignal. covacha de 1 Caseto Molino (Bo0
cai ren te). cuevas de Les Llometes y Lo Postora (Alcay). cueva del
Monte de lo Ba.rsello (Tarremanzanas), enterrami entos de Rocatort, Cu llera y Chivo, etc. (14). Los puntos de fl echo, cuen tas de
(14 ) l. BALlESTER TORMO: Ob. cit. en noto 1.
E. PLA BAlLESTER: "COvo de les Morovelles (Gondia¡", Ar~hivo de Prehisto·
rio Levantino, 11 , Volen~;o, 1946, pag. 191 Y ss.
F. VAliENTE: "Algunes dodes per a I'es tud i de lo prehistorio de VolldiQnn.
lo cOvo funerario de les Foyetes", Toula de les Uetres Volenciones, nUmo 19. Vo_
lencla, 1929, pág. 10.
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26
E. PLA BAllESTER
collar, colgantes, el extremo de ci lindro acanalado, los restos de a lfileres de hueso plonos, los pequeños punzones de metal, nos ponen
en estrecho con tacto principa lm ~m t e con dos estaciones: Covo de
la Pastora y cueva del Monte de lo Borsella, ambos en lo provincia
de Alicante, aunque no muy a lejadas de lo nuestra .
En la Cava de la Pastora se dieron todos los mismos moterialzs
qu e en lo de Corrieolo, excepto la cerómico decorado, pero en ma yor abundancia y cubriendo seguramente un periodo moyor, pues
los puntos de flecho lIegon a t ipos mós perfectos, aparecieron hue ·
sos-idolos aculados pintados (1 5 ), cuentos de á m bar, ídolos planos
de hueso recor tados y a lgunos ob jetos más que fol tan en ' o que pu blicamos. Lo mismo puede decirse que ocurre respec to a la cueva
del Monte de la Barsello, donde en lo necrópolis inferior se dieron
materiales oen todo seme jan tes o los de la covacha del Barrane del
t,
Castelle- a unque también mós ricos y abundan t es.
Así, pues, en ¡¡ste grupo de cuevas habrá que situar la del Barrane del Castellet, pero distinguiéndose de ellas por la I!x istencio
en és ta de cerám ica campaniforme, que ll egaría seguramente, no
con el complejo del material propia de las cU'evas enterramien tos
levantinos, en los que no se ha encontrado hasta ahora ceróm1ca
de esto especie, sino de los cercanos pobladitlas situados en los o! ·
rededores de Bélgida, de los que excavara hoce ya años don Ma riona Jornet algunos fondos de cabañas (Alfagós y Atareó), 2ncon trando los mejores vasos de cerámico campaniform e hallados
hasta el presente en la provincia de Valencia (16) . Aunque más tejana , pero situado en e l camino de expansión de los culturas del
sudest e hacia el nort e, está la cueva de Las Blanquillares de Lébor
(Tatana, Mu rcio), en lo que jun to o un mater ial semejante 01 de 10<;
cuevas valoencianas ci tados presenta 'tombién cerómico campani .
for me, por lo que el pa ral elismo con lo nu estra es mayor que el de
aqué llos.
El hallazgo de un solo fragmento de cerámica cordial úni camen te pued e ser indicio de uno perduración de este tipo ce rámico
neolí t ico, O quizá de uno anterior ocupación de la covacha qu c?,
(15) 1. BALLESTER TORMO: "ldolos O(ulodos yolendol'\05". Archiyo de Pre _
historio Levon tino, 11, Vo lencio, 1946, piIg. 115.
(161 M. JORNET PERALES: "Prehistoo-io de Be1gido, 1" , Archivo de Prenistodo Levonlino, 1, Volencio, 1929, pcig . 91 l' ss.
1. BALlESTER TORMO: Ob. ci t. en flo to 3.
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COVET A DEl BARRANC DEL CASTEllET
27
por su situa ción geográ fica, se ha lla en uno zona rica e n halla zgos
co rdia les: cuevas de la Safsa, Coveta de l'Or, Ccseta del Ge neral
y Caseta Molino, en t re ot ra s, todos ellos en ambos es tribaciones
del Ben icodell ( 11 ).
Respecto 01 vaso carenado, propia del Bronce II o a rgórico,
encon trado, según noti cias, superficial y junto O un esqueleto humano extend ido sobre el piso de lo cueva, habremos de referirnos,
poro encontrar paralelos, o los noticias que dieron Vila nova y Vi laplana de l hallazgo de esquele tos en ta l ;>osición, con vasos de
t ipo argárico, en lo cueva alcoya no de Les Llomet es (1 8) forma ndo un pri me r nivel, por deba jo del cua l exis tía ot ra con esqueletos
en te rra dos encogidos, que proporcionó ins trumen tos de piedra pu lido, cuchi ll os, raspadores y pun tos de f lecho de sí lex, punzones
de hueso, colgante cilindrico de hueso con acana laduras, e tc. La
semeja nza en lo disposición de es tos dos n iveles con los qu e exist ieron en lo covacha que es tudiamos es muy interesanl'e.
Del examen de lo covacha y de los pocos res tos de est ra to quP.
se pudo excavar, se puede deduci r que el enterra mien to sufr irío las
sigu ien tes fases:
Sobre el fondo de lo covacha, de arcillas rojizos u ot ra t ierra
apisonado, debióse vi vir en pe ríodo a nterior a l del e n terro m i'~n to:
uno amplio mancha de ti erra cenicien to con a lgún ca rbón, así como los restos de éste encon trados en la ti erra arci lloso frecuent emen te deba jo de gruesos piedras, a lguna piedrecila calcinado, y el
hallarse la s cen izos precisamen te deba io de lo aper tu ra existen te
en lo mós o lto da la bóveda, es decir, en el pun to mas adecuado
poro deshumar, nos hocen sospechar el primi t ivo empleo de lo covacha como vi viendo. Algunos abj'¿tos podríon ser de este primer
momen to, especialmente los restos de cerómica cordia l.
(l7) J. SAN VALERO APARIS I: "Nolo! paro el es tudio de la cerá mica cor _
dial de lo cueva de lo Sorsa (Valencia)", Actos y Memori as de la Sociedad Espariolo de Antropologia, Etnogra l ja y Prehistoria, XVII, Modrid, 19'12 . pcigs. 87 y ~s
J . SAN VALERO APARISI : "lo cueva de la Sor!iO (Bocoirenle-Volencio}", Seri e de Trabajos Varios del S. 1. P., nUmo 12, Volendo, 19S0.
P. MARTr GRt VE: Ob. d I. en lo noto 2. ObsCrvese Que lo sucesión estroligro' ico de la hQuerd o de l eli Roqul!1 de El Pony deb ió ser muy parecido O lo (I ~
nuestro covocho.
No mendonamos OQuj lo Covo del Solumon, pOlque segun nos comun ica el colaborador de eli te SIP, don Vicente Poscuol, de Alcoy, en di~r50$ explorociotleli,
elcc tuodos en lo mismo, no he e ncontrado ni un !iOta fragmen to de cerómo cor_
co
•dio!.
(18) E. VILAPLANA JUl.IA y J . VllANQVA y PIERA: Ob. cit. en lo nolo 1I
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E. PLA BALLESTER
Encimo de este posible n ivel de viviendo se en t erraria, 'en segundos inhumaciones, ya Que los res tos humanos y sus ofr lo que se pudo observor de lo poco excavodo cuidadosamen te, se
hollaban dispersos, demostrando ello uno remoción semejant e o lo
de Comi Real d'Alocont, con lo que por otro parte ton pocos pun tos de contacto tiene, y no el proc edi mien to de enterrar por pa que tes de huesos y ob je tos que se observara en la Cava de la Postora de Alcoy.
Este estra to sepulcral, de tierra gris negruzco, se cubrió con uno
copo de ti erro blanca, como d.e col, que, por los restos excavados
y por los indicios dejados en las paredes de la covacna, tuvo muy
d is tinto espesor, llegando en algunos casos o mezclarse con restos
humonos y fragmen tos de cerómica, lo que puede hacer sospechar
que di cha cub ier to d ebió revolverse alguna vez, quizó al abrirse
poro depositar otros restos humanos, quedando aprisionados en ella
a lgunos de los preexi stentes a l ser colocado de nuevo.
Y, .por último, sobl'¿ esto copa de tie rra blanca se inhumó indi ·
vidualmente en periodo mós moderno, como se deduce del vaso carenado y del esqueleto primeramen te hollado por los expoliadores
de lo covacha.
Seguramente era el período de los enterrami entos colectivas de bió convert irse el primi tivo abri go en lo covacha que se excavó y
en tonces se ce rraría a rtifi cialmen te esta, como se ha de jado apun tado con anterior idad.
Lo situación cronológico de lo covacha, en lineas generales,
podemos considera rlo del sigu ien te modo : Tras uno posible ocupa ción durante el Neolítico hispano-mauri tano como viviendo, se ente rró colec t ivamen te por los ibero-sahar ianos del Bronce l. Lu ~o,
du'-ante el Bronce 11 , se u tilizaría por última vez como en t erramien to de inhumación, quedando entonces cerrada la covacha hasta nuestros días.
En su momen to mós importan te, el de los en te rramien tos co lec t ivos, debió signi fi car un ja lón mós -en la expansión de lo cultur:l
al meriense duran te lo fose de apogeo de Los Millares hacia el Norte, por lo cos ta levantino. El vaso cam paniforme, por su base piona, pued¿ significar uno fase más antiguo dentro de lo evolución,
por a Iro parte Ion discutida, de este t ipo ceróm ico, y el hecho de lo
inexis tencia, o en todo coso estado rudimentario, de la agricul tu ra,
corroboraría ta l momen to. Podría, pues, con todas reservas, consi derarse paralelo o Los Millares 1, por lo que, en el esquema del
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COVETA DEL BARRANC DEL CASTEllET
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Dr. Pericot, estorio en el período XXI, Bronce 1, o, con uno cronologia absoluto oscitondo entre el 2.000 y 1.700 antes de J . C, coinciden te con la que indi co también e l Dr. Mortínez Santo - 010110
(1 9 ).
Fijar con mayor exacti tud 1 cronología relativa de este yaci 0
m ien to es tarea, por ahora, que no se puede hacer. Hoy que esperar o que, en un futuro próximo, se realice el ton necesario estudio
de todas las estaciones levantinos de lo Edad del Bronce, que, si en
general, tienen muchos puntos de con tac to, cuando S'Z estud ian
mós detenidamente presentan diferencias qu e pueden signi fi car
momentos diversos de la expansión de los ibero-saharianos en su
comino de sur a norte,
IN FORI'IE SOBRE L OS DIENTES HUI'IANOS
"1.
P ¡e~os
" ( 1)
"(2]
"13)
"( 4 )
"(S )
super iores:
5 centra les (uno derecho con absolut o seguridad , los otros
"dudosos):
"o) individu os: 5; b] edodes: dos cmciorlO$ (mucho obro_
5ion); se>tOS: uno posiblemen te femenino; los reslontes de
hombrl!S.
~ lo teroles izquierdos: o) individuos: 3 .
3 caninos ¡~ Qu i erd05: o) ind ividuos: 3; b) se>tos: uno 0 ( 0 '>0
"de mulero
3 caninos derec ho:i: o ) ind ividuos, 3; b) edodl!S: uno .xo"boblemen le de anc ia no; e l se>tos: el mismo eorrespon" d e o hombre .
5 bieüspid es: o) individuos: 2 d iferenciodos y 3 pie~ os -:lu .
"dO$O'S; b) detalle: los dos piezas d iferenciados son. 4
"superior izqu ie rdo y 5 superior; e l edad y se>to dude-
"sos.
"(6]
3 pri meros molor es (2 izqui erdos y 1 derechol: al ind,vid uos
"2
Ó
3.
" (1 1 4 seg undos molo'es (2 der echas y 2 izquierdos): o) ind" i.
"dUal: 2 por 10 menos.
"(8) 2 terceros mo lares (del juicio ) izquierdos: o) ind ividuos, 2;
bl edades: más dI' 18 o 20 oños _
" 19) 5 molores inde te,mi:-odos luno de c llos onbmola) .
1191 J. MARTINEZ SANTA -Ol AlLA: " Esquema polelnol6gico de lo P e n; n~u .
lo Hispánico" , 2 ,- edición, Madri d, 1946, pág. 59 y $$ .
l , PERICOT GARC IA: "Lo Espoiía Primitivo", Barcel ona, 1950, páQ. 356 .
-
63 -
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30
E. PlA BAllESTER
"ti.
Piezos inferiores:
"(10)
"(11¡
"(12)
3 segundos incisivos Izquierdos: o) indiYlduos: 3; b) ed:wf'
I
5
"(13)
3
"(14)
4
"( 15 )
,
"(16)
2
"(11)
3
"(l8)
"(19)
"indeterminado (no joyenes); e) sexo: probo~lemenle
"hombres.
segundo indsiYO dere<:ho.
cen tral es: o) individuos: proboblemente 4; b) edod: no
"jóyenes; c) sexo: prOlbablemenle mascu lino.
d ientes inclasificables (uno posiblemenle de niño).
segundos bicUspides d ere<:nos: al Indiylduos: 4; b) eda d '
"adul tos (dos de ellos jÓyenes).
bicúspides izquierdos (2 primeros, 3 segundos y 2 ¡nde ..
"Ierminooos): 01 individuos: pOI 10 manos 3; b) ed.ld:
"uno ondono; e l otro posiblemen te femenino.
primeros molares (ur'\() izquierdo y el otro de recho ): "j
"indiyiduos, 2 .
segu ndos molares (2 derechos y 1 iz~ul erdo): o) indiyi"dues: 3; b) edades: dos vi ejos.
tercer molar izqu ierdo (del ju iciO ): o) individ\lOs: , ; b l
"edad : odullO no muy viejo.
muelo anómalo.
"Conclusio.1es:
"( 11
" (2 )
"(3 )
Número de individuos: Según el examen pordol de coda
"pieza hoy por lo menos 4 ind ividuos (ycose núm. 14).
"Pero como eslOS bicúspides inferiores d ere<:hos no co"rresponden por su tamaño o los cinco bicúsoides ;z"quierdos, hoy que deducir se troto de un tOlol por lo
"menos de 6 ind,v iduos .
Conservación: Muy dis linlo Qrodo de conSl!fVOCIOn. Algu~
"estón d eformados por 10 acción de elementos naturales.
"Unos ejemplares porre en haber sido resgl>Ordodos d el
"medio ambien le o son mOs modernos.
lo fOl"ma de 10 cara d e estos individuos se puede deduci r
"por lo de los d ien tes. El con junto corresponde o indi_
"yiduos de coro
y pÓmulos solienles (formo tr ia,,·
"guiad; hoy uno excepCión : 1 de un ind ividuo de coro
0
"ovol y o lorgada (se deduce del central superior mÓ5
"gronde)" .
oncno
"Volencio, 21 Marzo 1952.
"Aguedo Alcino (firmodo)".
-
6< -
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U.M. l .
PlA BAllESTE R.- Coveto del Borrone del CollcUe t
A
•
Á.- lodero del Borrone del CasleUel, en 10 que se obre lo (oyocno·en lerromienlo ~
B.- Viuo del Borrone del CosteUel . A lo i¡:quierdo, lo lodero e n lo q ue se eneuenIro lo coyocho.
;
{Folos Bo Ues terl
!~~:'
\..~
[page-n-69]
LAM. 11 .
PLA BALUSTER . -Co'fclo del Barrane; dcl Cadcllcl
•
A._ EI Cos tellel d e Corricolo
B.-En/fado de 10 covacha.
VIS I O
desde dent ro de 10 covocho.
(f o tos Bollesterl
[page-n-70]
PLA BALLESTER.-Cotldo dlll Borrone del Costellet
LAM. IU .
A
•
A. - Estodo del interior de la covacno antes de in iciarse los excavoclanel por el señor Bollester.
S. -La covochc una vu termInados los trabalos.
(Falos Bolles!e!')
[page-n-71]
PLA BALLESTf R•.-COYCltcl dol Borrarle d. 1 COII Cl llol
LAM . IV .
A
e
B
o
11: Frag mentas de cerÓlTlico puntillado (reducidas o 2 ¡3 1._8: Trazo de botde de
YOSO hlO (reducIdo o 3¡·U.--C: Fragmento de cerÓlTlico cordial (T. n.I.- O·
Voso co,enado enlero (se ignoran \us medl~1.
( Fotos Grallo '1 Vicedal
[page-n-72]
PlA
BAlLESTER .-Co~eto
LAM. V.
del Borron, del Costellet
A
•
e
o
Cerómico companilOfme. (A y B, reducidos a 2 /3;
E
e,
D y E, a tom. nat.).
{Fo tos Grollo)
[page-n-73]
PLA BALLESTER._Covetllll del Bllllllllllnc del Cllllite llet
LAM. VI.
A
•
,e
A' Punzone$ y lominillos de metol (T. n.l.- B V C: Objetos de hueso {reducidos '1
<1 /5 1.
(Fotos GrollOJ
[page-n-74]
PLA BALLESTER.-Cowoto del BOI,onc
d~1 Cost~lIe l
LAM. VII.
A
B
e
{1
Ir
A: Colgantes d e pec:ten y frogme nl O de cri$IOI de roca /T. n.l. B y C : Punlo$ de
flecho de $lIex (4 / 51.
[Fotos Grol1o l
[page-n-75]
LAM. VIII .
PLA BALUSTElt- Covelo del 8orto"c del Cotlellet
A
3
1
8
r
,
7
Ob;etO$ voriO$ de , ile• . (A : 4 /5; B: T
o"
n.!'
(Fotos (;.-01101
[page-n-76]
PLA BALLESTER.-Conto dlll Barronc dlll Castu Ullt
LAM. IX.
,
•
,
•
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E
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§
•
g
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[page-n-77]
PLA BALLESTER ._ Coye to del Barront del COlhll. 1
LAM. )( .
.-
e
,
o
v
•
~
[page-n-78]
PLA BALLESTE R._Coy " tCl d,,1 BCI"Clrlc dol CClslolld
3
f
•
A: Cuen tas de collor de d lvl!nOS espec ies.-8: Pasibles res lOS d e modero . (T . n.).
LAM. XI.
[page-n-79]
PLA SALLESTER .- COye lu del Sorroll e de l CC ell et
lSl
LAM. XII.
A
•
A: Oientes
hYmQnQ~.-·B:
Conchos de cordium, ele peclen y cipreo. (2 / ::11 .
(Folos Grollol
[page-n-80]
JaSE ALCACER GRAU
(hl.nd.)
El Puntal
d~
Cambra
(Villa! del Arzubispa-Valencio)
ANT ECEDENT ES
En el Noroes te de lo provincia de Valencia se ex t iende una pequeño llanura s ituado o unos cua t rocien tos me tros de a lt itud, porl e de la cual pert.eneció o lo antiguo Baronía de Chu li llo y hoyes
conocido con el nombre de campo de Lirio (fig. l ,a). Act ual men t e
forma parte de 105 términos municipales de Villor del Arzobispo,
Loso del Obispo, Casinos y U r io, estando limitada por los maci zos
montañosos llamados Pinare jo, Coleto, Bolos y Peña Roya, que se
exti enden en dirección NE.; el cerro de los Clochas, Plantón y el
Mocho por Levante, los cuales dejan entre sí amplios collados que
lo comunican con los llanos más ba jos de Casinos y Li rio; pequeñas
alturas no supe riores a quinientos met ros por el Su r la separan del
valle del Tu rio, y el cerro Castellar y las estr,i baciones de las montañas de Chelva por el Oeste completan el ce rco. Sus aguas, recogidos por varios borroneas (Rambla del Vi llar, Salobrar, Mizqui t ilIos, Cinglo, Antigón) forman lo rambla de lo Aceña, que, uniéndose o lo de Costellordo, vierte en el Turio entre Pedro lvo y li r io
Il;g. Z.' ).
Esta comarca ha debido reunir muy buenos condiciones de hobi l0bilidod po ro los pueblos prim itivos, a juzgar por lo obundon -
65 -
[page-n-81]
2
J. AlCAGER GR AU
cia de es taciones prehis tór icas descubiertos en 'S u suelo (1 l. En
efec to, mi entras los numerosos cerr iles les proporcionaban fóci l d e-
...._..i._....;·:...-'l'
I!. ...
.... .
°' 0
0-
Fio;¡. l."-Mapa de la zona de Vmar del " ,¡¡obispo
tenso, los buenos campos de cultivo y pos tos a segu raban sus me dios de subsis tencia . En tiempos protohi stóricos por su situac ión en
(J I Mi buen a m igO don Vicente lic Ios, infa tigable p.()$pKIOf de leI comarco
y Qu e ka dodo a conocer gron nUmero de yoclm ien t05, nos
prOpOrcionado muchos de los dotos que aqui se consignan. Queremos nacer constar aqui nuestro
agrodecimienlo (1 su amabili dad y (1 lo coos lon re y di!'Sinteresodo colaboración Que
siempre nos ha prestado, lon lo 01 S.I.P., como a "lOSOIros per$Onolmen le. Véonse
iU$ trabojos: " Estociones prehislÓt'icO$, ¡bericos, romonos y orobe$ d el término mU_
nicipo l de Vlllor del Ar zobispo y colindo nles", en Soilobi, oño V III , nUm o 28, Valencia, 19<18; y "Mapa arqueológico de Villor del Arzobispo V su comarco". en
curso de publicoción por e l Servicio de Investigoción Prel"!i$ tó,ico de Volencio.
no
[page-n-82]
EL PUNTAL DE
3
CM~ BRA
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ID
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YACIIYII(Hi05
,
. .
". ".
Fig. Z- -Mopa de lo comarco de Vi llar del ArzobispO con jndlcación de los mós
impor tanTes yacimien T del Bronce.
os
-
61-
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•
4
J. A.LCACER GRAU
el comino na tural que une Valencia con Arogón (liria, Villar, AndiUo, Begís y Barracos), fue ocupoda por multitud de coseríos ibero-romanos, al igual que los d~más terrenos comprendidos en esto
vío (2) y según recientes estudios his tóricos, en su t erritorio se desarrollaron importantes acciones bélicos entre sus pobladores y los
cartagineses (3) .
II
EMPLAZAM IENTO
Sa liendo de Villa r por la carrelera loca l de Andi llo, posados el
cerro de la Cruz y el em palme de la carretero de Higueruela, quedo a lo derecha un espolón que, desprendiéndose del elevado cerro
de las Cobras, vo descendiendo escolonadomen te hacio Villar, terminando en el est recho borranco de Ca lderón o Mizqui til los. A
continuación se encuentra un doble cerrito, el mayor de los cuales,
de 550 metros de altitud, e;; conocido con el nombre de Puntal de
Cambra (tomado de un an t iguo propi e tario de unos campos de sus
laderos), distante t res ki lóme tros del pueblo y situado en lo partido de Cañada Palamara, que también do nombre 0 1 cerro. Por su
pie poso una antigua vereda de ganados que, proc!!diendo de Andilla y bordeando el barranco, se diri~e o Bugarro y Lirio. En el
ext.remo orien tal de su falda se encuen tro lo Ca .. acha de Llatas,
interesante estación mesolítico que ya dimos o conocer hace unos
años (4) . En el cerrito inmedia to no -hoy indicios de ocupación, pero
si en unos campos distan tes poco mós de cien me tros, donde se encuentra cerómica ibérico y romona; viñedos y olivares son los cu ltivos ac tuales de los alrededore;;, algarrobos en los to ldos de los
mon tañas, pinos y encinos disem inados en los a lturas.
(21 D. FLETCHER VALLS: "EKplOfoClones orqueológicos el> lo comorco de
Casinos", en Comul>kociones del S.I.P. 01 Primer COl>greso Arqueológico del Levante (Noviembre 19461, número 10 de lo Serie de Trobalos Vorios del S.I.P.,
Volencio, ~941, p6g. 65.
131 N. P. GOMEZ SERRANO: "Guerras de Anibal preporotorio~ del litio de
Soguntum", Volencio, 19S 1.
(4) F. JORDA CERDA y J . ALCACER GRAU : " Lo covocho de Llotos (And i_
110)", número 11 de 1(1 Serie de Troba¡os Vorio~ del S.I.P., Volencio, 1949.
-
•
68-
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EL PUNTAL DE CAMSRA
5
111
EL YACIMIENTO
Lo porte superior del cer·~o t erm ino en uno foja estrecho y alargado que tiene su mayor anchura en su parte central ; por el Oeste,
grandes rocos desnudas y puntiagudas ocupan el tercio de lo exI-ensión; o continuación se encuent ra la porte mós elevado, dond~
se hallaba un amontonamiento de piedras sobre una construcción
dando lo impresión de uno mayor altura; la faja de t&:reno sigue
estrechóndose en pequeño declive hasta llegar al vértice, emplazamiento del gran mojón de separación de los términos municipales
de Vi llor y Andi lla. La vertiente Norte que li mito con el barranco,
es inaccesible en muchos lugares (Ióm . 1, b), prin c ipa lm ~ nte en lo
parte ocupada por el poblado; no osi 10 opuesto, que do fren te a
Vi llar, ounqlle tiene también pronunciado pendiente (Ióm . 1, a).
Cuando, entre otros yacim ien tos, lo visitamos en 1947, estaba
muy revuelto, aflorando cen izas, fragmen tos de cerómica y, en mu chos lugares, la roco, quedando poco estroto arqueológico, como
ponía de.relieve uno calicata rea li zada por su descubridor yocompañan te nuestro, señor Llotas. A tal es tado habían con tribuido, entre otros, los varios reconocim ientos de mojones efec tuodos en los
últimos s iglos, por hallarse allí, como hemos dicho, el de separación
de los términos municipal es (5 ), los cazadores deshaci endo los paredes poro cons.!ruir sus casetas, y la acción natural de los agentes
a tmosféricos, principalmen te lo lluvia, que al desaparecer las murallas había arrostrado las t ierras, dejando sin rostro de paredes ni
estra to buena par te del yacimiento.
No obstan t e su es tado de destrucción, el ·en tonces Director del
S. I. P., don Isidro Ballester, o cuya memoria ofrecemos es te modesto trabajo, creyó conveniente que se excavase, considerando, por
una porte, su proximidad 01 Castillarejo de los Moros, poblado del
Bronce qu e excavamos por enca rgo del S. r. P., y que actualm en te
tenemos en estudio, y, por otra port e, ci erta seme janza con el no
muy lejano d e la Atoloyuelo, de Losa del Obispo, igllolmen te excavado y estudiado por dicho Servicio (6).
151 Según dOlOS focililodos pOr e l señor lIOIOS, Cronista de la localidad, des_
de la constilución del término muni(ipal en 1334 naslo lo octuolidad, hay (onslanda de rKonocimien ta de mojones en los años 1549, 1639, 166 1, 1669, 1141,
1710 y 1906.
16) l. BALlESTER TORMO: "lo lobor del Servicio de Invesligoci6n Prehis_
t6rica y su Museo en los oños 19'10 o 1948", Volencio, 19'19, pci.g. 101 y ~S.
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69 -
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6
J. ALCACER GRAU
IV
LA EXCAVACION
Se reali zó por compJeto en una compaña, en agosto de 1948.
Los trabo jos se extendieron desde el torreón hacia el Este, oleonzando una extensión aproximada de 24 me tros de longitud por 16
de anchuro, poniendo de manifiesto lo existencia de seis departamentos y un sistema defensivo formado por los restos de l torreón
mencionado, 10 muralla y un muro transve rsal (figs. 3 y 4) .
Al
Sistema defensivo
Del sist ema defensivo qu edaba lo base de uno torre cuadrangu la r (E) de 4'5 m. de base y 0'70 m . de a ltura, apare jada con grandes piedras unidos entre sí con borro, estondo situado en la porte
más alto del yacimiento, limitóndolo por Poniente 116m. 1, d y el.
De uno de sus ángulos solía un muro (F) , de 0'90 m. de ancho,
también de grandes piedras, desaparecido en porte, que tomando
lo dirección Noreste terminado en un escarpe casi inaccesible de
lo vertiente Norte, cerrando el poblado (16m. 11 , cl . Adosado 01
muro por el exterior aparecen otros dos, más pequeños, circulares
escalonados (G y Hl, de 3 m. de diómetro y distantes entre sí 7 m .,
posibles boses de torres de defenso, hollándase al m ismo nivel que
los departamentos 3 y 6 (Ióm. 11 , bl. La muralla (MI, de lo que
sólo quedan los cimientos, se extiende desde lo torre hacia el Este,
bordeando lo vertiente Sur, protegiendo lo ladera más accesible,
debiendo rodear el poblado por Levante, donde estaría lo enNada,
no quedando en dicho lugar n ingún vestigio de esto construcción.
Todo la vertiente estaba llena de piedras caídos de lo muralla, habiéndose utilizado muchos en lo construcción de corrales y paredes
de sos tén de los campos circundantes {16m . 1, fl.
BI
Habitaciones
Se han señalado seis departamentos de formo cuadrangu lar
irregular o diferente nivel, acomodándose o los irregularidades del
terreno. Así, el primero, segundo, tercero y cuarto, pueden considerarse formando un solo plano (fig . 4." y 16m. 1, cl; el quinto se
hallo o 1'80 m. de profundidad respecto o los anteriores, y el sexto
o 1'SO m. respecto 01 quinto. Poro lo cons trucción de estos dos ú lt imos departamentos fue rebajado el terreno, quedando empotrados en el suelo. Sus paredes eran de piedra, por lo menos hasta
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El PUNTAL Dé CAMBRA
7
cierto altura, estando protegidos por un enlucido de 3 o 5 cms. de
espesor, si bien en lo base del torreón llegaba hasta 10 cms. Los techos, como es couiente en esto clase de poblados, eron de coños
,
PUNTAL DE CA MBR A
Villar dtl ArlOb itro
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Fig. 3.a -Planla del pobloda
y romos, algunos de bastan te d iómetro, según se desprende de los
restos hollados, cubiertos de barro endurecido por el fuego. El suelo
se formó nivelando los irregu larida des del mon tículo con peqlJeños
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8
J. ALCACER GRAU
piedras y tierros, sin mós preparación, por 10 que no ha sido posible
su presencio duran te las excavaciones, 10 que pudiera conf irmar la opinión del señor Viroseca, de que estos departamentos
sean solamente depósitos situados debajo de los viviendas destrui dos, a l igual que ocurre actualmen t e en los pueblos de la montaña
(7) .
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Fig. 4 .__Sección longi ludma! y Iro nversol del pOblado
Departa men to 1.°- Los poredes y techo debieron derrumbarse
por lo occión del fuego, como parece indicarlo grandes cantidades
de cen izos ext endidas por todo él, y los quemaduras de m uchos
mat eria les (cerómicos y cuarci tas). Entre los cenizas y tierras negros se hollaban fragmentos de cerám ico de imposible reconst rucci6n, correspondientes o pequeños vasos espotulodos; frag men tos
de cerá mico con cordones; o tros con ma melones, con el borde liso;
gran can t idad de cantos rodados de l tamaño aproxi mado de un
huevo, olgunos can señales de uso y otros O los que se les hobía
sacado loscas por uno de los extremos (fig . 5); fragmen tos de moli nos, e tc.
En los t ierras de relleno que nivelaban el suelo se ha ll aron toscos sílex, en tre ellos uno sierro (fjg. 6, o) . En est e departa men to
hemos de des tocar un pequeño espacio lim jtado por 'Piedras planas
puestas de corola (r), que en ot ros lugares se han considerado como
ni 5. VllASECA ANGUERA; "ColI del Moro, poblodo y 'ümulo po$ lhollstÓll ieos en Serro de Almots, term ino de Tivisso (Bojo Prlorotol", Estud ios loorieos,
1, del Ins tituto de Estud ios lbericos y Etnologio Volenciono, Voleneio, 1953, PÓgir'KI
2'1 .
-
72 _
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EL PUNTAL DE CAM8RA
9
hogares (8). Junto o la muralla existe un espacio ovalado formado
por piedras irregularmente dispuestos, apreciándose en su interior
un enlucido formado por co l y arcillo (s).
Departamen to 2 ."- Fue· muy pobr
elipsoidal de cerómi ca, poco cocido, con dos agujeros, cuya util idad
no determinado con cert eza aún, parece que fue poro retorcer fibros vegetales (fig. 6, el. Abundaron también los cenizos y tierras
quemados estériles.
Fig. 5."- CUOfci tas talladas del departame nt o 1.°
Departamento 3 : -Junto o lo pared del 4 .° dio abundante material cerámico, que ha permitido lo reconstrucción de algún vaso
y lo de terminaci6n de formas de otros. No aparecen cenizas como
en los pn teriores. Entre los piedras y tierras cloros que formaban
el ...ellena del suelo se encuentran fragmentos cerámicos más bastos,
sin espatular, de color amarillento y con anchos mamelones (lámina
111 , b, y fig. 10, dI. En su porte Oeste, junto al muro tronsverso l,
hay uno masa compacta de enlucido que debió I"I2cubrir aquél (lámina 11 , o).
(81 E. '1 l. SIRET: "los pdmefos edades del metol erl el Sudeste de ESpO';a",8orcek.M, 1890, Album de 16mirlas, lomino 3." .
, - 13 -
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J. ALCACER GRAU
Departamento 4 .o-Situodo bajo del tonreón, ha dado mues tras
de varios clases de cerám ico, entre ellas unos fragmen tos con cordones dispuestos en semicírculo y un raspador de cuarcita (fig. 7 ,').
Carecía de cenizos, siendo abundantes las t ierros arci llosas muy
apelmazadas, tal vez provinentes de lo descomposición de los adobes. Abundaban los "piedras coídos del torreón.
Departamento 5 .~-Como yo se ha indicado, está mós profun do que los a nt eriores; fue de gran riqL.l!!za cerómico, hallóndose en
él tres grandes vasos ovoides adornados con cordones, un gran
cuenco y otros vasos pequeños, la mayor parte de ellos junto O lo
Fic;¡. 6.a-Sierredlos de sílex: o) departamento 1.°; b) departamen to 5.°; tamaño
nol. pieza de ce r6mico, e) depon,omento 2."
pared divisorio del departamento 3 .... Oos de los grandes vasos aparecieron juntos, estaban apoyados laleralmente en las rocas Que
sobresalían de lo pared y descansaban como empotrados en el suelo firme (Ióm. IV) . Junto a ellos apareció una moledera casi descompuesta y un pequeño vaso, con bellotas carbonizados en su interior. Al igual qu e en el departamento 3.°, el r-elleno del suelo, for_
mado con pequeños piedras y tierras claras, contenía fragmentos
de cerómicas amarillentas con mamelones (fig, 10, f) y una .sie.
rreci ta de sílex (fig. 6, b) .
Departamento 6."- Solió poca ce rÓmica. Lo mós destacable fue
otro lot e de cantos rodados de cuarci lo, seme jante 01 ya indicado
del departamento 1.·, Un pequeño fragmento de cobre sin forma
determinado fue el único hallazgo de meta l que nos depar6 lo ex_
7<1 _
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11
EL PUNTAL DE CAMBRA
covaClon . Adosado a la pared divisoria dei S," se descubrió un ban-
co enlosado en tre dos grandes rocas de 0'70 m. de ancho por 0'50
de a ltura, dividido en dos porles por una delgado losa vert ico l (lá mina 11 , d y f ig . 3, t).
Solamen t e .en el departamento 3 ," nos fue posible señalar lo
exis tencia de dos estra tos separados por una delgado copo, boston te uniforme, de piedros sueltos. El superior alcanzaba uno profu ndidod de 40 a 50 cms., estando formado por tierras de color rojizo
Fig. 7,--Rospador de cuorci ta d el de;>or lamento
4 .~.
A 1/2
oscuro, 'Si n manchas de cenizos, siendo abundan tes los piezas de
cerómi co, en lucidos, frogmentas de carbón, be llotas, e tc., y el infe rior, de gran pobreza y espesor irregu lor, contenía t ierras cl oros
muy apelmazados y piedras, que r.e ll enaban los desigualdades de l
su elo na tural ; en él se hollaron fragmen tos de cerómica de facturo
más grosero, en poco can tidad, siendo lo más des tocado el vaso
con mamelones ventra les qu.e solió, aunque aplastado, casi com ple~o (fig . 10, d y lá m. 11 , el .
Es to estratigrafía nos llevó a t ra la r de precisarla en los demós
depa rtamentos, en los que no se acusó de un modo decla rado. Así,
considera rnos como per t.enecien t es al nive l más profundo los sí lex
hollados en los departamentos 1.- y 5.°, a lgunos frag men tos de ce rámico de cordones y gruesas incisiones del depar tamen to 4.°, en el
cual, por ser el más a lto y revuel to y tener menos espesor, no es
posible conceder o sus ma teriales mucho crédito O este respecto.
Igua lmen te inclu imos en est e est rato los fragmentos de otro vaso
con mamelones hollado en el departamento 5. 0 (tig. 10, fl que solió
entre los dos copos y tal vez el hollado en e l depar tamen to 6 .0 (f ig .
10, el. sin que en est e coso pud ié ra mos precisar su si tuación.
-
15 -
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J . ALCACER GRAU
12
C)
Holla:a:gos
1) Hueso.-Sólo apareció un pequeño fragmento de punzón
(departame nto I ,G).
2) Vegetoles.-Diversos trOZO$ de carbón, segumment,e pino,
y gran cantidad de bellotos carbonizadas, en todos los departamen tos, aunqu e más obundont.es en los 3 .° y S.·, en el interior de pe!queños vasos.
3) Moluscos y objetos de odorno.-Vorios helix (iberus) 0110 nensis, uno columbelo util izada paro coll ar y uno cuenta d iscoida l
plana de piedra.
4) Me taL-Pequeño fragmento de cobre muy descompues to
(departa men to 6.
Q
) .
5) Silex.- Se recogieron 18 piezas en los depar tam entos I .A
,
3 ,·, 5.- y 6 .", de los que sólo merecen señalarse dos s ierrecitas (depar tamen tos ¡ .H y S.") (Hg. 6), que presentan en ti dentado la pótino brillante característico de estos instrumentos. Todos estos piezas de s ílex aparecieron en los copos inferiores entre el relle no del
sue lo.
6) Molinos y molederaS.- Se recogieron cinco molinos naviformes, a lgunos incompletos y muchos fragm entos de otros; sus medidos oscilan de 25 o 30 cm . de longitud por 15 de anchura y de 6
o 8 de espesor. Se hollaron en todos los departamentos menos en
el 4 .-, El mós comple to de los molinos so lió en e l departamento, 2 .".
También se encon traron tres molederos, dos requemadas y descom puestos .
7) Cuarcitas.-Los encontra mos formando dos lotes: uno en
el depa r tamento 1.0, consti tu ido por la pequeños can tos de ta ma ño menor que un huevo de ga llino, 9 núcleos o los que se les había
sacado lascas por uno de los extremos, 12 fragmentos de núcleos y
29 lascas, restos de fabricación (fig . 5) . El otro lote corresponde a l
departamento 6 .° y es tó formado por 11 'pequeños con fas rodados
enteros, 8 núcleos t rabajados por un extremo, un núcleo con seña les de rozamiento por uno de los extremos y 14 lascas. Es tos cuar·
ci tos, cuyo técnico r.2cu2fda 10 de los picos astu rienses, pr.esentan
señales de uso. Lo aparición de tol es útiles sorprendió o los excavadores de los primeros yacimientos en que 'S e acusaron, dando lugar
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76 -
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EL PUNTAL DE CAMBRA
13
o interesantes trabajos con sus diversas opiniones (9) . Hoy se consideran estos hallazgos como normales, pues suelen aparecer en
muchos estaciones del Neolítico y Bronce, llegando incluso o época
romano. Así podemos señalar su presencio coexistiendo con ceró ~
mi cos del Bronce en Ar.eias Altos (Opor to, Por tuga l) (10); en lo Cava
de Janet, de Tivisa y Cava de la Vilo, de Lo Febr6, en Tarragano
' ( 11) ; en la Coñoverasa, de Maratalla (12) y en el Cabezo Redon
do, de Archena ( 13). ambas en lo provincia de Murcio. Par nuestra par t.e, hemos hollado cuarcitas ta llados en los inmediatos yaci mi en tos de Covacha de L1atas y (astillar-e jo de los Moros. Es tas
nódulos de cuarci ta son muy abundantes en el vecino Cerro de los
Bolos. de los que tomo el nombre, y de este lugar se proveerían de
ma terio primo los habitan tes de l Puntal de Cembro,
Del departamen to 4. 0 es un .aspador de cua rcita formado de
medio can to rodado (tig . 7).
8) CerÓmicO.-Como en muchas estaciones va lencianos y catalanas, presenta este yacimiento lo mezclo de cerómicas de cor~
dones con incisiones, bos tas y de molo cocción, con otrOs lisas, sin
adornos, mejor cocidos y de ma terial mós depurado, fre cu en te m en~
te espa lulodos, tipos que acusan la mezclo en este poblado de 10
influencio hispano-maurit ano e ibero-sahariana.
•
(9} CONDE DE LA VEGA DEL SELLA: "Lo t,onsic¡60 01 Neolí tico ~I\ la coslo canlób!'ico", Aclas y Merno
M . PALLARES y L PERICOT: "Els jntiments as turians del Montgri", Anuari
de !' Inst llut d' Eslud is Co tolans, MCMXXI -MCMXXVI, Barcelona, 1931, pág. 27.
J. CABRE AGUILO: " Instrumentos lallodm en cuarci ta en el af<)órico de lo
provirlCia de Avila", Actos y Memorio$ de la Sociedad Espoí'iola de AntropOlogía,
Etnogrofia y P,ehistorio, X, Madrid, 1931. póg. 285 y ss.
J. MART1NEZ SANTA-OLALLA: "Sobre el Neoli lico ootiguo en España" , A ,~
tos y Memorias de Jo 5o(-iedo
de EstudIOS del Seminorio de Arte y Arqueología de lo Universidad, tomo VI, números XX II o XXIV, Valladolid, 1940, póg. 22 y ss.
J . RODRIGUEZ: "A propósi ta del pre tendido rejuvenecimien to del asturiense dI;!
Lo Guordio", Ampurios, 111 . Barcelono, 19'11, póg. 135.
(10} F. RUSSEL CORTEZ: "Aspectos do Neolítico de Portugal" , A rchivo !lo
Prenjstorlo Levantina, IV, Valencia, 1953, pag. 91.
( It¡ S. VILASECA ANGUERA: "Dos cuevas prenjstóricas de Tivisa". Ampurias, 1, Barcelona, 1939, póg. 159; S. VILASECA ANGUERA y A. PRUNER: "La
(Ovo de 10 Vilo de la Febró, en lo Sierra de Prodes", Ampt.lrlas, VI. Barcelona,
1944, póg. 87.
(12) E. CUADRAOO: "El poblada arg6rico de Coñaverosa (Mo.-Olalla)". Saltabi, númerO$ 9 y la, Volenc!a, 1945, póg 5.
(13) E. DEL VAL CATURLA: "Una nueva estación del Bronce medite.-rÓneo
en Archeno", Bolelin Arqueológico del Sudeste Es.poí'iol, núm. 3, Cartageno, 1945,
pág. 50.
-71-
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14
J. ALCACER GRAU
Lo masa en genero l presenta muchos impurezas, siendo abundan tes los gronos de cuarzo, mico, etc . Su imperfecto cocción produce manchas de distin tas tona lida des. Su color es rojizo, amari llento, gris o negro; su formo carece de regular idad, siendo d e espesor variable inclu so den tro de Jo mi smo zona . No obstant e, hoy
ot ros vasi jas más bi.en modeladas, con materiales mós depurados
y me jor cocción, que suelen estor espo tulodos. Lo ornamentación
se reduce a cordones en relieve con incisiones, incisiones en los bordes y.en la porte loterol, osas y ma melones.
.~,~
~
•
u
Fig. 8,-
l os cordones en relieve ci rcundan generalmente el cue llo por el
arranque de las osas, otras veces presentan un dobl.e cordón para leja y en o tros vasos forman adornos en abanico o en semicirculo.
Las incisiones .estón hechas con un instrumen to cortante; con
palito, punzón u ob jeto cilíndr ico que deja huello de sección semici rcular; con uno cuño de sección en V; y con lo punto del pun zón, forma ndo hoyuelos.
Los osos encontrados son tubulares ci líndricos de sección ci rcu .
lar, tubul ar.es a planadas de sección ova l, y en forma de cin ta.
Los ma melones son ci líndricos, troncocónicos y aplanados ha.
rizontol es.
En cua nto a las formas ob tenidas pueden redu ci rse o los sigui entes:
o)
Cuencas.
Pequeña fragmen to rojizo oscuro ex teriormente y negro en el
interior, de superf icie espatulada y ma melón ci líndrico junto 01
borde. Dióme t ro de boca: 13 cm. aproxi madamente. Departamen to
l.. (fig. 13, nj .
Gran fragmento de calor gris con ma nchas negros, espat ulado
inferior y ex teriormen te, de bueno cocción, con pequeño oso en cin.
-
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•
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EL PUNTAl DE CAM BRA
15
tao Medidas aproximadas: dióme tro boca, 36 cm .; alt. 16 cm ., espesor del cuello 6 mm .; espesar de lo base, 9 mm . Departamen to
5.- (fig. 8, a).
Otro gran fragmento de color rojizo exteriormente y negra en
su interior, de superficie rugoso y pequeño mamelón troncac6nic.t,
cerco del borde. Mide aproximadamente : Dióm. boca, 37 cm., oh .
15 cm .; espesor del cuello 6 mm ., espesar de la base 9 mm . Departamento 3." es tra to primero. (fig . 8, b).
Fragmento, de color grisáceo, de un vaso pequeño de paredes
delgados, con tendencia a cerrar hacia el borde; pequeña osa ci -
,
L!...U...J....I .....
Fig. 9.-
lindrica que arranca del mismo borde . Sus medidos aproximadas
son : DiÓm. de boca, 11 cm .; alt., 8 cm. Departamento exterior 01
muro (fig . 11, ¡j.
b)
Pucheros
Vaso casi completo, reconst ru ido, de color negro in terior y exteriormen te, con muchos puntos d e cuarzo en lo maso, de buena
cocción y espatuloda; sólo tiene un oso tubu la r, de sección oval,
colocado verticalmente, y su base es pequeña . Con tenía t ierra ce nizoso y un pequeño carbón. Alt . 12 cm.; dióm . boca, 14 cm .; diá metro móx . 15 cm.; diám . base, 5'5 cm.; espesor cuello 6 mm .; de
lo base, 9 mm . Depa rtamen to 3.·, est ra to primero (ti g. 9, y lóm .
111 , o).
Fragmen to de maso rojizo siena con abundantes puntos blan cos; ti ene un mamelón de sección oval a lgo inclinado hacia aba jo
faci liltando la .suspen sión; llevo incisiones en el borde hechos con
un pequeño instrumento cilíndrico. Dióm . aproximado de lo boca,
14 cm. Departamento 3.·, primera capo (fig. 13, m).
Vaso casi completo, recons truido, de color terroso cloro, con
manchas y muchos impurezas en lo pasto, superf icie in terior y ex_
19 _
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J. ALCACER GRAU
tariar llenos de picaduras. Por agarraderos ti ene dos mamelones
aplanados de sección ova l, en posición horizontal. Ah., 24'S cm .;
diém. boca, 28 cm.; dióm, móx., 29 cm .; dióm, bose, 8 cm.; espeSOr cuello, 7 mm.; de la bose, 10 mm . Departamento 3 ,·, segunda
copo (16m . 111 , b, y Hg. 10, dI .
Vaso cosi comple to, reconstrui du, de caracte rísticos seme jan tes
0 1 anterior. Alt ., 20 cm.; dióm , boca, 22 cm.; diám, móx., 23 cm .;
dióm. bose, 7 cm .; espesor del cuello, 6 mm.; de la bose, 9 mm.
Depa rta men to 6.°, segunda copa (16m. 111 , d, y fig . 10, el.
Fragmen to de un vaso semejan te o los anteriores, de moso ro j iza con manchas negros y mamelón plono horizontal e incisiones
1
Fij). 10
obiertas en el borde. Alt., 15 cm.; diám. boca, 16 cm .; dióm . móx .,
17 cm. Departamento 5.~, segundo copo (fig. 10, f) .
Fragmento de pequeño vaso de cuello apenas iniciado, posta
amarillento en todo su maso, de bueno cocción y superficie picado
y pequeños incisiones en el borde. Departamento 5." (fig . 11, h) .
Fragmento de un vasito en el que parece iniciarse lo formo
aquillado, de color amarillo cloro. Departamen to 3.", primero copo
(I;g . 11 , g).
Fragmento de pequeño vaso de color rosado 01 ex terior y negro
0 1 in terior. Departamento 3." primero copo (fig . 13, o).
Pequeño fragmen to de color negro, borde vuelto hacia fuero y
superficie picado. Departamento 3 .", primero copo (tig . 13, pI .
Pequeño fragmento de un gran vaso de color grisóceo, cerómi ca liso, cuello muy exyasodo y gran panza . Depar tamento 2." (fig.
13, 1).
-
80-
[page-n-96]
EL PUNTAL DE CM-\BRA
17
e) Aquillados.
Fragmen to de un diminuto vasi to de color negro. D¡Óm . boca,
6 cm . Departamento l .·.
Vaso oI'econst ruible de paredes f inas, color rojizo doro, muy espatu lada, de maso de buena calidad y cocción. T iene una delgado
capo arcilloso ex terior. OiÓm. boca, 21 cm.; d ióm. de quilla, 17
cm.; ol t., 10'5 cm.; espesor de cuello, 6 mm.; de lo base, 7 mm .
Departamento 1.-, primera copa (fig . 12, j).
Gran fragmento de maso ro ji zo oscuro en el ex terior y negro en
el in terior, espa tu lodo y con uno pequeño aso tubu la r junto O lo
,
Fig. 11
quilla. De dimensiones semejantes 01 anterior. Departamento 3.',
primer estrato (fig. 12, k).
Fragmento de un vaso semejante o los antariores, pero de mayores dimensiones, con gran oso en cinto . Departamento 5 .-.
Fragmento de un pequeño voso de cerómico amarillen to, sin
que se puedo precisor su formo, que presen to en su parte loterol,
dispuesto de arribo o boja, uno sucesión de incisiones circulares
hechos con lo punto de un punzón. Dimensiones: a lt., 2'5 cm .; ancho, 2 cm. Depar tamento 5. (16m. 111, fj.
d) Ovoides.
Gran vaso reconstruido, de color negro, en e l que se destocan
mu cho los pun tos blancos de cuarzo y mico; dos cordones en relieve
paralelos circundan el cuello, uniendo los orronques de los cuatro
osos de que estó provisto. Los cordones llevan incisiones h echos
con un diedro abier to. DiÓm . boca, 37'5 cm.; d iÓm . móx., 53 cm.;
olt., 61 cm. Departa mento 5 .~ (Ióm . IV, o).
Varios fragm en tos de un vaso de colo: rosado exterior y negro
in teriormente . Posee un cordón en rel ieve con incisiones, un iendo
los orronques superiores de los asas, cuyo número no puede preci sarse. Es semejante 01 anterior, pero mós pequeño. Departomento
quinto.
-
S1-
[page-n-97]
18
J. ALCACER GRAU
Gron YOSO recons truible, de cotor terroso exteriormente debido
o una delgodo copa arcillosa, posible engobe, Que ocul ta los impurezas de lo maso. D~ mayor riqueza ornamen tol qu e los anteriores,
presen to un cordón que, rodeando el cuello, une los arranques de
sus tres a sas aplanados, y del que parten ot ros perpendiculares
que lIegon hasta el tercio inf.erior. D.e una de los osas nacen en
aban ico otros cordones mas pequ eños. Alt., 51 cm.; d ióm, boca,
36 cm .; dióm . máx .. , 45 cm. ; espesor del cuello, 10 mm . y espesor
de la base, 14 mm. Departamento S,· (1 . IV, b) .
6m
Fig. 12
Fragmentos que no unen, de un gran vaso de color rosado exterior y negro interior, con cordones en rel ieve formando orcos y
lineas perpendicu lares. Los incisiones de los cordones muy abiertos. Resalto lo gran seme janza de es tos dos vasos con otros h alla _
dos en nuest ros excavaciones de Peño de la Dueña (Teresa, Cast elIón) (14) . Departamen to 4.- (Ióm . 111 , e) .
v
CONSIDERAC IONES GENERALES
La edi f icación ero sólida, con paredes de p iedra en lucida, cuyo
a ltura no hemos podido precisar -puesto qu e los muros descubier tos
no ll egan o los 0'40 m .
Nodo podemos decir de su a limentación animal , pues no hemos
ha llado el menor fragm en to de hueso en que fu ndarnos. Como res(14 ) J. ALCACER GRAU : "Dos es taciones arj)Órica$ de lo Región Levont ina" .
Archivo de Prehi~tor¡a Levontino, vol. 11, pag. 151, Valencia, 19<15.
-
82 -
[page-n-98]
EL PUNTAL DE CAMBRA
19
tos de a limentación vege ta l t enemos los be llotas, abundan tes en
los encinares q ue cubrirían los mon tes ci rcundantes, y tri go que
cu lt iva rían en los llanos de los a lrededores.
Los frag men tos de sierra de sílex fo rmarían par.te de haceoS como los conocidos en ot ros es taciones de la época, en tre ellos la del
Mos de Menente (Alcoy); los molinos, ton abundan tes en todos los
-
11
].
Fig. 1:L- A 1/ 2
depar tamen tos, servln an poro lo molturación de bellotas y trigo;
algunos cuarci tas enma ngadru pudieron servir como rudimen ta rios
ins trumen tos agrícolas; la pieza de cerómica con dos agujeros tal
vez estuviera deSltinodo o lo fabricación de te jidos para la confección de prendas de vestir.
Los unicos objetos de adorno que podemos me ncionar son una
col umbela y uno cuen to discoidal de piedra .
No hoy vestig ios de sus armas.
El cosería tuvo la rga perduración, puesto de manifi esto por los
dos est ra tos seña lados y, aunque todos los materioles puedan atri buirse o lo Edad del Bron ce, no hoy dudo que en tre los ob jetos de
uno y a Iro nivel exis ten algunas di ferencias, con t rastando lo cerómi ca poco depurado del inferior con lo mós cui:::lada y esp:Jtulada
del superior, lo que permitiría aceptar un pariado mós avanzado
del Bronce, y tal vez influencias de procedencia céltico llegados o
través dE! los tribus de pos tores que circularían por aqu ellos vera dos.
Lo impresión gen eral es que 01 ser abandonado el poblado, sus
habitan t es se llevaron sus a juares y cuan to podía interesarlas, su·
-
83 -
•
[page-n-99]
20
J . ALCACER GRAU
fr iendo después el caserío los con t inuos expoliaciones na turales en
Jos lugares abandonados.
Lo proximidad de es taciones de época ibérica a las de 10 Edad
del Bronce, fenómeno que venimos observando en ot ras m uchos tu ·
gares de la provincia de Valencia, nos induce o creer que nues tro
poblado fue ocupado hasta fecho avanzada, trasladándose sus me ·
radores o o tro emplazamien to donde d esarrollaron lo nueva fo se
cu l·lurol ibéri co, de la que se encuentron vestigioS en 1 proxim i.
05
dades, como decíamos al pri ncipio de este trabo jo.
-
•
84 -
[page-n-100]
ALCACER GRAU .-Pu"tal d, Cambr,
LAM. I
b
r
al V,~IO de la ladero S.---b ) VIsta de lo ladera N.-e ) V,sto generol de lo e>tcClVoción.---d1 8CKe del tarreón
desde el O.- e) Lo larre dnde el N. -fl Restos de lo muralla por el S.; 01 fondo el Cefro de los Cabros.
(Fotos Alc:ócerl
[page-n-101]
ALCACER GRAU ._PII"'al de Camb.a
LAM. 11•
•
al
Rincón O. del de;Ja,tomen to 3." -1>1
treOn por lo ladero N .- dl
Departa mento 6. u y colzodo circular.- c ) Muro que desciende desde el to-
Pored y banco del depor tom(>nlo 6." -
el
Departamento 3 .", fragmen tas del "'ClSO
"In situ".
(f Olos Alcocer)
[page-n-102]
LAM. 111 .
ALCACER GRAU ._ P"n tol de Comb.o
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01 '1 cl.- Ceramica del eS!roto superior d(!1 D;:Olo. 3 ....
bl. -Vaso del es trato In/erior del Opla. 3 ....
d) .- Vaso del OpIo. 6.~ .
e J.- Fragmen to de ceramica del Opta.
(Fo tos G.ollo )
[page-n-103]
ALCACER GRAU._II PUlllal d. CamOla
LAM. IV.
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[page-n-104]
PIERO LEONARDJ
(11.1111. ,
1 Ca!>tellieri della Venezia Tridentina
Quondo i Romani risolirono le valla t e Alpine per estendere il
Joro dominio sulle popolazion i della Rezio (Genouni. Venostes, Isor·
ei. Breuni¡ ecc.) dovettero superare non lievi difficolto nel I'espu·
gnare i numerosi for tilizi che coronovano le sommito dei colli fion cheggionti le principali vie di camun icaz ione.
Arces trcmcndis Alp'ibus impositos chiamo Oroz ia questi far ti ·
li zi nella suO ode Q Druso, il conqu isto tore dell'Alto Adige (1) e da
questa s tessa citazione risu lto chiaro I'icnpressione che essi dovettero esercitare sugli invasori romani.
La fondozione di insediomen t i umani sui coll¡ dello regione
sembro risolire o tempi obbastonzo lontoni, all'Eto del Bronzo o
oddi ritura oll'Eneolitico, ma quest e cu lture piu on t iche sono rappresento te piuttos to sco rsomente ne lle s tazioni preistoriche otesine, mentre ci sono orma i perfetta mente note le cara tteristiche degli obi ta t i dell'Eto de l Ferro e dell'Eto romana.
I villoggi fQrt ificat i di cui s tiamo parlando, sono chiamoti
co.tellieri con una denominozione che risale obbos tanzo indie t ro nel tempo, poiché la troviamo -variamente altuala, ma sem pre focil men t e riconoscibi le- nei vari dial etti dell a regione : eostelir, casi ir, castlier, costelar, cOltelera, caltelot, castin, castion,
cosloc, costelos, costel pagano, geschlir, sehleier, ecc. Analogo si ·
gnificata ha ji t ermine tedesca Burgstall , dal quale derivona, anche
(11
D,ulu Ge naunol , imploddum genu,
lI.eunosqu • .,eloen d Q,ee,
Alpibul impolita, " emendil
De iec" ~,. (od e 14 .~ Nov. lO 5eog.L
-
85-
[page-n-105]
2
P. l ,EONARDI
in zone ¡talione, come ricordo d i popolazioni nordiche immigra te,
le denominazioni pu re obbastanza diffu se di Postol, Postel, Postal,
Bostel. I motivi che honno spi nto gil an t ichi obitatori della Venez io
Tr identina aporre i propri insediomenti su llo somm ita del colli sa no fod lmente intu ibi li.
N
...
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~.':
".
:
Fig. 1. -Sch in o lopogrolico del cos lell iere d i S. Pie tro di Fle (Vals). (Ri lievo den'
autore).
·Innonzitulto lo necessi ta di defenders i dog li attacchi di popalerisol to che fino olla conquis to roma na le popolazioni re tiche erano t utt'ol tro che omog anee e pacificomente conv iventi- sio m igron ti da l nord o dol sud;
e probobilmente anche dalle belve (or5i, lupi, eee.) che infestavano
le selve circastan ti.
zion i nemi che, sio indígene confinon ti -
Ma poi anche la magg iore so'ubritó delle. posiz ioni elevo te,
tenendo presente che speciolmente neHe valle del!' Adige iI d ivagare de' fium a su, fondo oll uvionale dovevo dar origine o zone pol us-
86 -
[page-n-106]
3
I (ASTELLlERI DELL A VEN!::ZIA TRIDENTINA
tr i tutt'oltro che propizie oll'insediomento permonen te. Del res to
lo costruz ione dei cen tri a bito t i in posizioni dominanti non e eselusivo delle popoloz ioni otesine e si puo di re che tole usonzo e
ossoi diffu so in tutte le regioni mon tognose e collinose del boc ino
mediterroneo dalle rive dell'Asio m inore f ino olla st retto di Gibil -
1"
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10
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I'W w.iC,,~"oJ~==..====3i..........!
E..
Fig. 2.- Pio nlo del coslelUere Volnelsch-Kol zenlocherbühel
(R llievo di Giorgio Innerebner j.
presso
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l.: 1"
COSlelrollo.
t erro, porticolormente nel periodo di Lo Tene, mo anche in epoche
anteceden t i.
Bos ta pensare oi costellini dell' ls trio, della Bolconia e del10
Ugurio, oi Cast e!lars detlo Francia meridionale, e oi nume rasi C OI -
87 -
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4
P. LEONARDI
t illares, castellares, c:o$tillitos e cQstellets delta Catalogno e de l]'
A ragono (2) che presentono tutt i s troordinarie onologie con i nostri ..,i 1 099i fortifica ti della Venez io Triden tino (fig . 2, 3 e 4).
1
Come si e delta i cas leU ieri sono frequenti sopro tutto sui collí
che fionc heggiono i fondivolle, in posi zioni che dominovono le li-
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Rg. :I.-Pion lc del Coslelliere di Yor>doies d i Sollo (N iedervintll . (Do Adrion Egger, 1941 1.
nee di comun iCQzione.
Essi sano qu indi frequenti soprotu tto nelle
vollate principali de!l'Adige e dell'l sarco, e porti colormen te nello
conco di Bolzano, e nell'Oltreodige, che nell' Et(¡ del Ferro risultana densamente obitoti .
(2} Colgo I'occosione per far rllevore la sl raord inoria somigliom:a d i ale",n;
vas; fillilí del cas leUicre Ircn tino del Dos Zelor, con analoghl vasi rinven",U in
ale",n; insedklmen li preistorici dell a regione d i Valencia ri feribili al periodo d i l o
Time.
Vedi: 1. BAllESTER TORMO: "UI'\(I$ cer6micos interesontes en el Valle de
Albqldo", C",It"'ro Vol enciono, 111 , c. O 3 / "1, Valencia, 1928, fig. 7,1 e Hg. 9.
-
88 -
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I CASTELLlE RI OELLA VENE Z lA TRIDENTINA
5
Non mancano peró numerosi esempi di costell ieri onche nelle
volla te loteroli (Val d i Non, Val di Cembra, Vol d i Fiemme, Pusteria) , e perf ino nelle volli piú prossime olla spartiocque a lpino.
Fino o pochi onni or sono si ritenevo che questi forlilizi preislorid non onlrepassossero peró una certo allezzo oggirontesi su i
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Fig. 4. -Pio nto d el cos telli ere e rur nefwo nd pre5SO Comedo (Ko rneid) . (Rilievo d i
Glorg io Inn erebne r) .
1.
guerrieri obitanti sugli altipioni dolomitid e sulle montagne dell'
Alto Adige, ci honno dimos trato che insediomenti preistorici e protostorid di questo tipo ovevano roggiunto onche le dme di monta-
89 -
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P. LEONARDI
6
gne obbostonza elevo te, quali lo Roeca (m . 2439) (fig . 5 e 6) Ira
Bolzano e lo Val di Fiemme e JI M del Paseota (m . 2439) che domino lo conco di Bressanone.
Evidentemente Questi insediomenti casI elevol1, quondo non
ovevona un 519nifi coIO religioso, come iI luogo di culto del M. Coslello (Burg stall, m . 25 10 ) nello Sc ilior, che pero non presenta 01 cuno traedo di vallo o di costruzioni, roppresentovano luoghi di ri ·
fugio per le popolozioni degli a ltipion i so ltas tenti in t empi col o m itosi per lotte fra tribu e ¡nvosion i di popoli, e probabilmente venivono anche in lempo di pace come posti di vedetto e di segnalazione medi an te fu och; e ahri meni ott ici.
I fuochi che ancaro oggidi vengono ocees i sull e montogne delle
Humus
@íil
Terra scura carboniosa con restl
cultural!
Terra sabbiosa giatlastra
Roccla podlrlca
e
Fig. 5.-Profito 5C hemol ico Nord-Sud del cos lelliere del M. Rocco. 11 nord a d esIra.
(Disegno dell'oulOfe)
vollote t rentine 0110 vig ilia di quolche grande fes to religioso (per
esempio in Vol di Fiemme oHo vigilia del!' Assunz.ione) derivono con
ogni probobililo do questi fuochi preistorid occesi sulle dme o
scopo religioso o di segno lozione.
Fino od oggi sano s lote segnolote nella. Venezio Tridentina,
spedalmenle in Alto Adige, alcun e centinaia di questi coratte ri stid villaggi forti fica ti. 11 solo Ing . G. Innerebner oHa cui gentil ezzo devo al cune delle piante e delle fotografie qui riprodotte, ne ha
finora individua ti oltre 400.
La configurazione del Castelliere e a ssai cora tteris t ica: lo sommito dei dossi meno facilmente accessibili e ci rcondo ta do un muro
d i larghezza abbastanza rilevante (normalmente phi d i un m e tro,
-
90 -
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8
P. L,EONARDI
o Goide fi no a m. 1'75) e di alIeno vo riabile. Le pie tre sono di
grossezza ossoi vario: talara si honno veri e propri mur i con 9 r05se pietre (fino o un me t ro e men o d i lunghezz:o) regotormen t e 50 vropposte le une elle ol tre, come od esempio nel Jobenbühel sopra
Mon t icolo (fig. 7); in al tr i casi le pie t re $000 a nche abbas tonza
minu te e si dovettero oyere piuttosto dei volli d i sassi mistj o fe rro
piu ttosto che ve re e proprie m uro.
... •• Muri strat ¡f ica.ti
'1st R'st¡ cH', vaUi
14111 Se u i a,n ti cll¡
JI'IMt Ru pi
"P;"nr.. ".1 (.,r.U j~a Jo b f,,~ ¡¡h . 1
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(¡'I~ n ~ ~ ,b,. ...
Fig. 7,"
Lo malta per lo piu e ossen le e si tro to d i mur i O secco, mo non
ma ncano esempi di cost ell ier i con m ura le cu i p ie tre sono connesse
do molto biancost ro piu ttosto scoden te.
Tolvolto il vallo peri fe rico ci rcando de l tu tto I'i nsed iomento,
mo obbostonzo frequentemen te esso e invece incom pleto, quondo
su uno a piu la tí del calle pore t i scoscese castílu ivono uno di feso
not urole. Viceversa i lo t i pi u focilmen te occesibi li sano spesso di·
- 92 -
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I CASTELLtERI DELLA VENEZIA TR IDENTINA
9
fesi da due o piu vall; suceessivi piu o meno cancentrici e talara da
fassati, e non moncono in vari casi, attarno al valle principale, a
quota piu bossa, piceol i valli semicircolor i e variomen te odottat;
alla morfologia del call e, rispondenti od avamposti, che richiamono
concelti dello fortificozione moderna.
In alcuni costellieri vi seno indizi di torri o pionto circolare o
quadrata, collegole calle mura periferiche o ¡solo te al cen tro dell'
insediomento.
Fig. 8.- Coponno loppone di romoglio e zolle di 10. 00, che puO dore un'ideo dello
Slru tt uro delle copenne o base elrcolore dei coslellieri. (Do H. A. Bernol.
z ik, 1935).
Lo stoto di conseryozione di quest i volli e ossai vario. In quol.
che coso si honno traW di muro ancor ben conservati che si olzono
per qualche metro suJlo superficie del terreno (Tav. 11 , figs . ¡ ·3) .
Mo piu frequentemente I'ozione degli agenti otmosterici o I'opero
dell'uomo hanno quasi completamente demolilo le opere murorie
losciondone sussistere solo dei cardoni di pie trame sconnesso ---<:0·
me od esempio nell caste lli ere dello Rocco (Tov. 1, fig . 3) e in quel·
lo tuttoro inedito del M. Cas tello (Bu rgsta ll) sopro Ponte Noyooppure le sole fondozi oni appena offioronti dol suolo, come sul calle
di S. Piet ro a Fie (fig 1) .
Non soro mole accennare qui, o proposito di quest'ultimo cos·
telliere, che malta spesso sulla sede di questi antichi abi toti ven ·
nero costruite fortificozioni romane, barbariche O medioevoli (si
veda od esempio il Costel feder presso Oro in Vol d'Adige) (Tov.
1, fig. )) o ch iese, per lo piü dedícate o S. Pie tro, uti)izzondo i ma·
terioli delle murag lie preis toriche e COU50ndone quindi la piu o
meno totole sporizione.
-
93 -
•
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10
. P. LEONA RO l
In a ltTi cosi la distruzione dei vollí e dovuto oll'utilizzezione
delle pietre da parte dO!i contadini per costruire i muri o secco che
delimitono i pascoli e le culture. CiD e ovvenu to od esempio --o
Quonto mi ossicurono gl i abi tanti del pasto-- su l Dos Zelór in Va l
di Fiemme, su l que le restono ben sco rse trocee dell'originorio vallo
perimet role.
Le obitazioni in general e eTano mol to primitive. Ve ne sono di
vOTi ti pi, o pion to quodrong olo re e o pian la circolore o ellittico. Le
pri m e ovevono per lo piu una bose in muraturo di pietre con o sen ~
zo mol to ed eTano costru ile per il resto in legnome onologa mente
a molti fienili a ttuoli deHa zona (ba ite ) con i quoli ques te ontiche
abiloz ioni dovevono oyere molti pun li in eomune (To\!. 111, fig . 3).
Fig. 9.-CovoH ino di !>ronzo con iscrlzioni dell o stlpe votivo di Sonzeno. (00 G.
Roberti, 1950).
Non manca qualche esempia di vere costruz ioni in murotura. Presso Br·essanone ne furono ri nvenute olcune de lla base di m. 5-8 per
2 e con muri che roggiugono I'altezzo di m . 1'70. Quolche vol to
esse erono apoggiote con un lo to e llo roccio, che risulto inciso in
corrispondenza (Tov. 111, fi g. 2) . Le dimension i sano varie. Quelle
do me scavo te sul Dos Zelór presentono de 3 o 5 me tr i di loto.
Le caponne a pianto circolore per lo piu non honno base in mu ro turo, ma erano semplici buche scovote nel te rreno ricoperte probobilmen te do un tetlo canica di romi e frasche, e presenlona nolevoli onalogie con i classici "fondi di caponne" di molti insediomenti preistorici dello pianurc veneta e podano. A questo tipo op-
•
94-
[page-n-114]
CASTELLIERI DELlA VENEZ lA TRIDENTINA
11
partengono le obi toz ioni del piccolo costelliere dello Rocca (Tav.
111 , fig . 1). Esse dovevano presentare notevoli anologie con cerle
coponne attuoli della lapponio (Hg. 8).
I vori tipi di copanne risultano talara assacio t i. Nei tempi piu
ontichi le abitazioni erana turte comprese en tro il vallo. Ma col!'
aumen tare de lo popolazione lo sammitó dei colli non fu piu sufficien te a con tenere I'obitoto, e ques lo si esponse sui ripioni e suJle
pendici circoston ti, dimodoche il costelliere vero e proprio venne o
roppresentare solton to il ricovero in cui si rifugiovo lo popolozione
in coso di pericolo. Un tipico esempio ne e I'insediamento del Dos
Zelor in Vol d i Fiemme, in cui il costelliere suJlo sommito del colle
risponde oppeno od un quorto dell'oreo roggiunto dal villoggio in
epoca romano.
In general e quesli coste ll ieri venivano cost ruiti in prossimito
di sorgenti o ruscelli in maniera do po ter disporre perennemen t e
del preziosa elemento. Non moncono pero esempi di covi to noturoli o ortificio!i nelt'ombi to del vallo, che eviden temente dovevono
servire per roccogliere I'ocquo piovono in tempo di ossedio.
Non ci sono nole frequentemente le necropafi de; vad cos tel lieri, dimodoche obbiomo notiz·ie meno obbondon t i di quonto si
posso ritenere sui riti funebri delle relotive popolozioni. A cio si
oggiungo che in general e le sepolture preistoriche e protostoriche
otesine sano ossai poW!re di corredo, dimodoche spessa non ne e fo ciJe iI riferimento cronologico.
Nelle necropoti riferibili 0110 popalazione vene to prevale il rito
dell'incinerazione . I res ti dei cremati venivano depasti in piccole
cisle di las.lre di pielro oppure in vosi di lerrocotto. Uno dei piu
clossici esempi di necropoli con sepolture di incinero ti e quella scoperta o Monguelfo in Pusterio, che comprendevo 25 sepolture.
Non moncono pero esempi di sepolture secando iI rito dell'i nu mazione, che va onzi diffondend05i nella regione verso lo fi ne del
periodo di lo Te!1e e nel periodo romano. Citoro il c1assico esempio
de llo sepol tu ra doppio di Stufon presso Ortisei in val Gordeno (Tov.
IV, Hg . 3) e della piccola necropoli di Costello di H .:!mme (fig . 10)
(viO Avisio) e di Covolese (vio Posquoi), quest'uUima .riferibile al
IV secolo d . C.
In c¡ues te necropoli gli inumoti sano distesi su pi ni con le brac cía di stese lungo iJ carpo o incrociote' sul tronco.
DelIa religione degli obi totori dei coste Uieri, e in generole delb
r.egione ofesina obbiomo testimonianz-e obbostonzo notevoli e spes -
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•
•
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12
P. l.fONAROI
so molto suggest ive, che troyano riseantro nel substrato di o1cune
Ira le piu poetiche leggende ladine.
La piu carotterislico e certamente costituita dalle tomase statue -mznhir, (Tev. IV, fig. 4-5) che scaperte dopprimo o Lagund:::l
(Algund) e a Termeno (Tromin), sono sIet e recentemen te rinvenute oncl-re presso Bolzano (3) .
•
Questi importantissimo repe rti, che venivono l empo oddietriJ
rHerili oll'Eto del Bronzo o addirittura oll'Eneolitico, sono attuol·
mente - piu a rogione e porer nostro-- ottribuiti oll'Etó del Ferro
o 01 massimo 01 periodo di t ronsizion'e trQ 8ronzo e Ferro.
Vanno poi r icorda le le obbondon t i 91ipi votive, costitu ite do
oggetti fittil i o meta ll id. T ro quest'u ltim i VQMa ricordoli i piceoli
Fig. lO. -Schelelro dello picc:olo necropoli di Coslello (Vol di Flemme). 1I cronio
ero slolo osporlOlo do .... no SCOYO precedente.
•
bronzi con in teressonti iscri zioni di Sonzeno (fig. 9) e do miglioio
di enelli bronzeiscoperti nel 1831 presso S. Mourizio (Moritzig) in
prossimito di uno sorgente sulfurea.
Tra gli anlichi sentueri della regian2 atesina merito un cenno
perticolore quella, gio citota, scoperto su llo sommito del M . Costello (Burgstall ) nel gruppo dello Scilior, per lo suo quoto eccezionolmente elevota di m. 2.5 lOs. m ., in cu i vennero riscontrO le indubbie test imon ianze di r iti religiosi consistenti nell'occensione di
enorm i rogh i, su i quali ven ivono brucioti animoli per lo piu doma:itid, e in libogion i con carotteris l ici boccali rost roti (Tav. V, fig . 6).
Secondo G. Inn2rebne r uno no tevole tes timonianza dello reli gione ol tootesina de'Eto del Ferro sarebbe costitui to do l costelliere del Jobenbühe l presso Mon t icolo, ji quole in reolto non roppresen terebbe un fortilizio, mo un luÓgo di culto .
Infatti ¡I muro perimetrale oltreche essere cos tituito con eccezionale perizio lecnico (Tav. 11, fig . 1), presento uno s tronissimo
•
131 Debbo Quest' .... lt imo segnolo1.ione 0110 tar tesio del Pro l. Rmmo, direllore
del Museo Ciyico di 8ol1.ono.
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I CASTELLlERI OELLA VENEZIA TRIDENTINA
13
pion to, con un prolungomento, uno specie di vio d'ingreso fionch eg ·
glota do mu ro, il cui osse nel Irotto inlerno indico il punto dell o
levoto del sale n2 1 solstizio inverna le, e nel tratto esterno moslro
lo corrispondente direzione del tramon to (fig. 7).
Sembro del resto, sempre secondo G. Inne ~ bne r , che I'astrono ·
mío -probabilmen t e in relozione col culto- fosse gi6 olloro col ,¡'voto, e che essa abbio de "~rminoto, anche in al t ri casi, port icolorí ori-en tomenti delle opere murorie o addirituro lo scelto del luo
go d'insediamento de i costellieri.
Fig. II . -Elmo in feno di l ipa cellico rinvenuto
Zomboni, 1(38).
O
S. Mou, l:. io. IDa P. LoviO"..o.
I! probobil e che obbiomo ín relazione con rit i (eligiosí le fre quenti coppel le tuttoro conservole sulle superfici rocciose l-evigote
doi ghioccioi o su mossi isolOI;, 2 cert i conoletti, pure incisi sulla
rocciO, che ·non raramente sano collegoti con le cappe ll e.
Meno chiaro e iI signi f icalo di olcuni p,~trog1i t i, che pur non
0
0
raggi ungen do neonche lontanoment e 1 ricchezzo e 1 elegonzo di
quelli de llo Vol Comonica, sano sta l i segnolali qua e 16 nello V alle
dell' Adige e nelle volli vicine.
Ricorderemo Ira ques t i gli slrani grofiti rami fico!i do me scoper 'i nel Das Zelor in Vol di Fiemme (Tov . IV, fig . 1) e quelli u lt;mam ente individuoti pure do me nelle ad ioc:mz e del Cos telfeder
presso Mon logno in Vol d'Adige (Tav . IV, fi g. 6) .
Circo lo vilo príva to e le usonze d~i costricoli o tesin i lo s ludio
dei moterioli provenienti do cosuali rinvenimen ti e soprotulto do
scovi regalar! ci fornisce dol i obbas lonzo obbondonti e precisi.
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p, t.,EQNARDI
Lo suppelle ttile sio fittile che metollico rivelo un livello culturole notevolmente elevata, specialmente nella secando Eto del
Ferro, nelle vallate principali (Valli dell'Adige e dell' lsarco) e nell '
Anounio (Val di Non), che per lo SUD grande f er tilita e per la SU;)
posizione o cO'lollo di uno linea di comunicozione ossoi importante
nello preis torio e protostada tra lo Lombardia e la conca di 601zo -
no, dovevo godere di un granae benessere.
Fig. 12. _ Ri cos tru:;ione dello cislo figuroto di bronzo
100 P. Lo vioso Zambo!", 1938).
loml ~o lO
di S. Mouri zio.
Lo ceromica della secando Etó del Ferro roggi ung e una perfe ziene tecnko assoi notevole e uno eleganzo di sogome 'C di ornoti
veromente deliz iosa nei suoi tre ti pi fondomenloli di Sonzeno (f ig .
13). di Meluno (Tov. V, fig . 5) e di Luco (Lauge n). Ques t'ul mo lipo di ceromico, derivonte del secando per groduol e evoluzione, pe r lo fil")!!zzO dell' imposlo buccheroide e per lo nob¡1t6 d2110
conformozione e degli ornoti roggiunge un livello veromente ele volo (Tov. V, fig . 6).
-
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t CA$TELltER t DElLA VENEZ1A TRIDENTINA
15
Anche lo recnico del metal1i si dimostro ossai progredita fin
dall'Eta del Bronzo con utensili enei vad (coltelli, rosoi, oghi, crinoli, ormille), mo sopro tutto con le oscie od olette, con i pugnoli
e con okuni mognifici esemplari di spade (noto sopro tutte que11a d i
Siusi ), che "eró non e ofotto escluso vodono in porte riferiti 0110
la Etó dl!1 Ferro per il ben noto fenomeno dell'ottordomento cultu role nelle voll¡ olpine.
Nell'Eta del Ferro, especialmente nel periodo di Lo Tene i mo nufotti metollici (fibule tipo Certoso e Lo Tene, pendagli, oscie,
oghi, ormille, ecc .) divengono porticolormente abbondonti e pre gevoli, e comprendono -fro I'ollro--, olcune ciste e situle in bron-
Fig. 13. -Vasa 'i"ite di Sanl.cna. (Da P. la ... i~-ZQmban ¡ , 1936).
zo lominoto e lovoralo o sbolzo che presentono strette anolog;e
con famas; e.gemplori delle culture atestino ed et>rusca, ed honno
un enorme interesse anche dolpunto di vista documen tarío pú j
costumi e le scene che rappresentano (fig. 12) .
Gli scovi compiuti recentemente ci danno notizie anche sulle
obitudini culinarie dei coslricoli otesini. Nelle sta zioni preistoriche
abbondano le osso di onimoli, per 10 piu spezzote, evidenti rifiuti
dei posti. Tro gli onimoli rappresentati prevalgono nettamente i
domestici (pecoro, capra, bue, maiole) ma non moneo quolche rappresen tanzo de; salvotici, consisten te per lopiu in osso o corno di
cervo e d i slombecco.
Risulto dunque eviden te che le' popolozioni otesine dell'Eto del
Ferro praticavano su largo scola ,'ollevamen lo del bestiame, pur
-
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16
P. l'EONAROJ
non trascurondo lo caccia oi nobíli abitator; delle selve e del
monti.
Circo I'epoca di fondozione dei costellieri obbiomo ancora ben
scarsi dati, perche finara sono pochi ¡ costellieri nel quali sono stoti fotti scovi m etadici con criteri strot ig rofici .
Come obbiomo 9;0 occennato, j piu antichi insediamen ti umoni nella Venezia Tridentina sembrono risolire a lmeno oll'EneolitiCO. Me non ci sono elementi precis i per stobilire che j cara tterist ic i
villaggi fortificati di cui ci st iomo occupando ri50190no o qu es t \~po
cc. Si puó ¡nvece ritenere abbos tanzo fondota la convi nzione ohe i
piu onti chi castellieri siona stoti fonda t i ne ll'Eto del Bronzo, in
quanto nei res t; cul turoli rinvenuti in oleuni insediamen ti d el gene·
re figurana aleuni repert i - sca rsi a dire il vera- ch e tipo!ogicamente sono riferibi li olJ' Eto sudde tta (4) .
Lo maggior porte pero delte opere murori e e dei resti culturali
dei costelti eri sono riferibili all'Eto de l Ferra e soprot ut to 01 periodo di Lo Tene, e lo assaciozione - consto tata anch e da me pe rso·
na lm en te- di monete romane de l periodo impe riale (fina 01 IV
secolo) a i res ti culturoli dellJl periodo Lo Tene nei fond i d i capenne di aleuni costelli eri (Tov. VI, fig . 5-6) d imostra che qu esti inse diomenN prosperorono conservando la cultura ind igena fino oi pri·
mi secali d. C.
Non in frequentemente i rest i del costell ieri presen tano trocee
indubbie di incend io, e mostrono che I'insediomen to ha ovulo fine
con catostrofi de l genere, mancando tes timonionze cu lturoli dei
seco!i successivi. Per esempio sul Dos Zelór, in cui tutti i fond i di
co pon n~ mostrono uno strola di co rboni, evidente prodotto del crallo dell e soprostrutture lignee corbanizzote, non c'é oleun repert:)
ottri buibi le a secoli successivi 01 IV d. C.
In altri casi, come gio si e occennoto, og li oppido ra moni, che
gio si erano sovrapposti a i castellieri preistori ci, successe ro farti lizi borborici e costelli medioevali , pe r lo cui cost ruzione vennero
utilizzoti i moteriali dei valli -preistorici .
Non si honno ancoro idee ma lta chiore sulle popolozioni cui sano dovuli i Costelli eri dello Venezi o Tridentino e che honno cer tamente appartenuto o stirp i d iverse nel corso del tempo.
(4) Ancne o questo proposito e bene pero tener presente i1 gio occenno to fenomeno dell'ollordomenlo culturole, in conseguenzo del quole non si poO ollribu ire o questi ri t rovoment i u n volore oS5Olul o.
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I CASTELlIERI OELLA VENEZIA TRIDENTINA
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Al subs trato originario schiettom·: te m : iterroneo con eviden ·
m
d
li influssi delle óvi lto polafitticolo e terramaricolo della pianuro
padana, si savrapposera successivamente -Iralasciondo minori
ondale m igrotorie- piu o meno chioromente conosciute, come
quel la che ci ha losciato i ben noti "compi di urne" (5).
Vene li e Ga l1i, i quali, piu o meno amalgomot i Ira loro e con
il sudde tto substrato, vennero o cos tituire 0110 fine dell' Eto del Ferro
--01 periodo cu lm inan te dello sviluppo dei castellieri- una popolazione piuttosto et erogeneo che viene comunemen te indicata con
la denominoz ione di Reti, nello cui culturo risul tano ossimi loti, ta loro con no levoli attardamenti, e ,i elaboro ti in fu nzione dell e ca··
rotteris t iche a mbien toli, elemen li propri delle successive onda t e
cu ltu rali, e di popolozioni fi nitim e (fig. 11) .
Le nostre conoscenze su ll e antiche popolozioni della Venezia
Triden t ino ri mangono tuttoro olquonto lacunose, doto che fino od
099i g li s tud i si sano lim ita t i per lo piu oll'esome di mo terio le raccoi to casua lment e.
!: sperobil e che vere campagne sistematiche di scovo, condo tte
con severi criteri stra t igrof ici nei numerasi cosle llieri ind ividuad
nell'Alta Ad ige e nel T rentino, ei consentano di (isalvere i numerasi problem i che rimangona a ncora insaluti 01 riguorda di queS¡f i earatterist ió insediamen t i preistarici e protostorici dell e Al pi T rident ine.
151 Secondo recenli $t udi onche queslo ondoto migra torio dell'Eto del 8ron10
medio-$uperlore sorebbe ,iferibile o; Vene l;.
Vedó; G. B. PELLEGRINI : " A ptoposito de; Veneli" , pag. 3 dell'eslr.
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P. LEONAR DI
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761 PITTI ONI, R. _ Stand un d Aufgabe n de. u.geschichtlichcn Forrc hung in
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771 PUTZ, R. _ Di e Togum e. Wallbu.g "Niamandlteund"; oer Sehlern, 1935.
781 REI CH, O. _ I COllellie,; dcll'Alto Adig e; Areh. Allo Ad ige, 111 , 1908.
1 Callellle.; del T.e ntin e; Rododendro, 11 , 1905; VI, 1909; Lo Po791
oonello, 1; 1910.
801 ROBERT!, G . _ Invente.;o d egli eggelt; Jillei d~l TrentirlO; 1 Suppl. pro
Cu huro, 1910.
Pe . la Valle dell'Avisio sulle tro cee dei IUO; p. ;mi ob itoto.i; SI. T ren811
lino, Se. Sloriehe, V, 192"1 .
De pos ite di b. a nulti "oomo.fi co n ;".i"ioni no.de trulc he . ill'f' 821
o San" eno; SI. T rem. Se. SIor., XXIX, 1950.
831 5CHMORANZER, J . -Tapog rophie de, p.o chist a .;schen Funda.la des Ue bu_
etsc he . Gebielcs; Der Sehlern, 1930.
ZU. Topo!l.ophie de . Vo._ ulld F,üh lilCschic hll ic he ll Fundste ll en des
841
Me.oll e. Beckells; ibid . 1934.
851 TSCHURTSCHENTALER, P. _ Ne uendeckt e Wol1bu.g en ill unfel.n Puste.101; ibid. 1929.
Oe r Hellen.te; n b! ; Te . ento ¡m Pusl arlole_ ein Be ilrog ",It KUlld e de.
861
Schole nsteine; ibid. 193"1.
871 WIESER . ........ P.o ehista.;sche Wollbu.gen und Ansiedlulllil en be; Se is und Kas_
tclruth; Fer d . Zeilsehr., lnnsbruek , 1898 .
881 WOLFF, K. F. - G"o.g Inll c. ebne'l Wollbu.g en _ We . k; oer Schl ern. 1950
741
-
10 4 -
[page-n-124]
LEONARDI .-Col tellie,i dello Vcnu;o TridentinG
lAM . I
, - --
I - Vcd!.lta del Cos lellcder pressa Ora in Val d'Adige. Fo!, P. Leonord ,.
2 . -11 Dos Zelor pre~50 Cos lella in Vol d i Fiemme (Trenlino) . Fol . P. leonord i.
_.- Resli di muro del cos lelliere del M. Rocca (m. 2439 s. m .). FOl . P. leonardi.
4 . - Pendoglio d i bronzo del Dos Zelar.
[page-n-125]
LAM. 11.
LEON AROL_ Calte Ui e,¡ dell a Ve nn ia T , ide ll t ina
1
5
l. IV .. a del cas lell iere Jabenbü hel pr~sa Mon licala jAita Ad ,ge!. Fot. G.
Inneleboer.
2. MUlO del cas lelhere S,",chkopf pr~so Merono (Alto Adigel. Fa!. G. Innerebne •.
3. Muro del costell ie.e di Lombrechl presso Applano (Alto Adig el. Fa!. G.
Innerebner.
4.- Pcrle d , cotl ano del Dos Zelo. (Trl1ntino l.
5.-F,bula romano di lxon1.O del Dos Zelo •.
[page-n-126]
'JQlaZ sea '0110:> DJJaj 1,.11 0iOP:lj ap osad- '!;;
'(OUi l UilJjj JQlaZ saa lap ouow o oU!lnw 'P o juawwoJ::I- ' v
'IPJDU0iI1 ' d "j0::l "au,!J. 01 'p opo,jad lau pawa l SOJ lap IUO!Z
-0l!qD allap oapl,un aJop Qnd a..,p '(a6iPV o l IV ) ou6opa~ ossaJd OI IDa- "E
'! pJouoa-¡ "d "\0::1 "(OU ! juaJ.l) JQlaZ sea lap DUuodo:> iP 0PIJ0::l - "Z
"!pJDIJOa, "d "1°::1
'(6EvZ "w) 0:>:>01:1 "W lap aJa!lIa jsoJ lap omw iP !ISilJ a aUlJodDJ IP !pu0::l- "I
s
'111 'W"'1
[page-n-127]
LEONARDI ._Costelli et. lIello V. nuio Tridentino
.-Pelrogl¡fi del Dos leló, (Trent ino). Fot. P. Leonardi.
2.--Coppelle sul fondo di Una caponno del Dos lelór. Fot. P. Leonardi.
3.- Doppio sepoltura di Stufon in Yal Gordena. Da Y. Filippone 1942.
4.-Slalua-menhir di Logundo presso Merono. Do P. Lov;oso lombo!!; 1938.
5.- SloIUO-menhir d i Termeno (Alto Adige). Do P. Lov ioso lombe Oi 1938.
6.- Pelroglifi presso C<>Slelfed er in Yol d'Adige. Fol . P. Leo·ordi.
LAM. IV.
[page-n-128]
U ONARDI ._ e/lilI, III,rl d, lIa VOllllla Trldonlhlll
LAM. V.
¡
v
1
2
4
3
5
6
l.- Muro d'ongolo del ~ o$ t elhere del M . Rocco (m. 2439). Fot. P. leonord¡.
2.- Pendoglio d¡ bro nxo del DOs Zelor (Tren tino).
3.- 0!lo fi!lile del Dos lelOr.
4.- Voso fi!lile del Oos lr.lor.
5.- Boccole fi, ,,le di Meluno IMeloun). Do P. lovioso lombo ll i 1936.
6.- Boccolr buccneroide del M. CO$, e!lo $u!lo $ciliar. R i~O$ trux ione de U'ou .
lore.
[page-n-129]
,"AM. VI.
LEONARDI.-Ca, lell l'rl della Venu:la Tridentino
2
3
5
4
7
6
8
9
I . -Ascio di brom:o rinvenu/o presso Cos/ello di Fiemme (Trenlinol.
2.- Spodo d i bronzo rinvenu lo presso Siusi 0110 base dello Seillor. Do P. La*
viosa Zambolli 1938 .
3.- ,4.scia d i bronzo rinvenUIO presso Coslello di Fiemme {Trenlinol.
4.- Fibulo in bronzo d el [)os Zelor (Tren tinol.
5.-Maneta d i Costonlina rinvenu lo su! Dos Zel6f.
6.- Monela di Anton ino del Dos Zelor.
7 . -Spirole di bronzo del Dos Zelór.
B.-Armilla d i bronzo della ne<:ropali di Vio Posquoi o Covalese (Trenl lno).
9 .-Chiave romano d el Dos Zelór.
IO.- Pugnoletlo di bronzo del M. Rocca (m. 24391.
10
[page-n-130]
N.
LA M BOG L JA
(llalla)
La cerámica "precampana" della Ba!>tida
L'oppido iberico delta Bastida de Mogen te, si tuoto o ci rco 100
km. O sud di Valencia ( 1), lungo lo vio di pene t raz.ionc preromana
ha il li torale e lo Meseta e sul li mite approssimotivo fra il territo·
rio dei Contestoni e dei Bostetoni (lig . l .a ) (2), e uno dei giotimen ·
ti fondomen toli per lo studio e per la dete rminaz.ione cronologico
dei moterio!i del IV secolo o. e, e in spetia l modo deUa ceromi co
compano o vernice nero, nello Spogno e in tu tia il Mediterroneo
occidentole.
Scavoto in piccolo parte ho il 1928 e jI 1931 (fig. 2 .- e 3 .a ) esso
ti offre il coso, ossa; roro fino od 099 ;, d i un obi to to iberico che,
dopo un periodo di vito non lungo e lega to a circostanze storiche
finoro oscure, fu definitivamen te obbondonoto in etc anteriore
oll e guerre puniche; e fu, a quonto s.embro, un obbondono ropido
e improvviso, che, non avendo consen t ito og1 obi ton t i di dors i ad
¡
(1) ~ ol la ell :O 100 m. sullo pionuro circos lonle, che dom ino per un 10roa
roggio. l o cotlino, ¡sololO, e oggi e do lempa ;mmemoroblle del lutr o incol lo.
(2 ) Esso fa porle del sis tema d i oppido iberici d e l relrO lerro d I He me roseo.
pi on e d i Akro Leuk ci (eslremo nord de llo regio Contesto nio l, che oppalono ' orl e·
mente e Ueni:u:oli e di c!,Ji sano principali coposo ld¡ lo Serrelo de A1coy, Covoho,
Cos lellon d e Rugol e 10 $leSSO- Soetobi s (JoI;VO). E I'eslremo pun to ovon'l'O IO ver·
sa lo 'l'ono ;nlerno di Albocele (Ierr itorio de i BO tetoni ). c he appore pure apel lo
l
fin de l V secalo (bronze tt l di Rollos e del Uono de lo Consolm;i6n; ceromlco d i Coso
del Monte, Mino tedo, Salobrol, Hoyo de Sanlo Anol 011 0 penetroltione commerci:Jle e cuLturole greco. Cfr. F. ALMARCHE y VAZQUEZ : "Lo an tiguo civili zación
¡~,;co en el Reino de Volencio"; Volencio, 1918; A. GARCI A y BELLIDO: " His·
ponio grneco" ; 1948, t. 11, p. 70 segg., 81 segg., 114 segg. Se ji nome de La
BOltido non fosse comune Per "ol turo for tilico to" in lullo lo zona del ll!VQnle,
si potrebbe onche irrvnoginore uno sovropposilt;one oc! un coleo senlO nt ico Iro iI
suo nome e quello dei BOltetani, d i cu i o rigore polrebbe essere un pOSto OVOn2.010.
Mo nullo po.>O provorlo.
-
10S -
•
[page-n-131]
V
LENTlA
,
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DIANIU M
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A l to y
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ALOllole
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Fig. I .---Co rta d eUo re-gíone I! wd d i I/alencia, con l'i nd icoJ.ione lopogrofico "ello
Bastida I! d eg li allrJ oppidi I! locolilo flnora noli per lo prll'SC!'nZQ di oggelli
di impor toJ.ionl! tronsmaflna.
1
[page-n-132]
LA CERAMICA "PRECAMPANA" OELLA BASTIDA
3
uno fugo orgonizzoto, losció in situ, sul suolo s tesso delle case
incendiat e e in porte crollo le, lo maggior porte dégli ogge tti di wso
domestico e quotid iono, in uno regione difficilmen te occessibile e
poco esposta a saccheggi. Di qu i I'inconsueta quan t itó di vosi integri o ricostruibili, e di altri oggetti di ogn i tipo, che le prime compogne di scavo hanno permesso di roccog lie rvi (3) (fig. 4 .- e 5").
Quondo, nel 1949, vis itoi pe r lo primo vaho il Museo di Valencia, fui immediatomente colpito sia dalla stretta rossomig lianza
dello ceramica o vernice n~ro della Bastida con quella della
necropoli di Ensérune (4) e con quello di a h ri oppidi dello Cotalogno (5), sio dalle eccezionele omogeneita del ma leriole, che non
sola non pre'sen to olcun inquinamen to d i oggetti pos l eriori al IV
secolo (6), ma a nche per quanto ,iguarda lo ceromice iberica off re
13j 1. BALLESTER TORMO e L. PER ICOT: "La BQ$lida de " Les Alcus~"
IMagen!ej"; in Archivo de Prehistoria Levon l,":>, I ( 19281, Valencia, 1929, pp. 179
e ss., con XX lavole. Gil scov; si sono sVQlti nella porle cenlrale e piu olla del 'oppida, la cui ci nla muraria si In lravcde ancora ai marg,ni del pianora. Una larga
e!plora:r.ione resla ancora posslbile, e resta pure da ricercare la necropoli, che darebbe cerio grondi risullal i. Nel10 mio visi la al SilO, il 17 settembre 1952, 'n
compagnia del Direl lore del S, 1, P. Domingo Flelcher, del1a Srto. Morio Ang eles
Me:z:q ujri:z: e del sigo Glner Boiro, un limi to tissi mo soggio d i scovo in una del1 ...
cbi lo:tioni ancora inlolle ha dOlO confermo del10 stra lig,ofia assoi semplice gja
onnala la dal Balleste, e dal Perlca l; SO ll O I' hum us recenl e si ,ncontra un primo slro_
10 di di5 Iru:tione, conle."pora neo o di poco 9QSleriore all'abbandona dell'oppido, e
uno Slrolo arc heolog ico in silu, im med io lamenle an terlore 0110 distru:z:ione. Ne5suno Iraecia si ha finara di un 'occupo:z:ione molto piu onlico del V- IV secolo a. C.
(41 xrivo inlen:tionolmen te "fose ibe,ica", rif erendoml 0110 necropoli del
IV-II! sKolo con cefamica campano, percne ri tengo che sio sopo-alulto Quesla, od
Enser une, la vera facies rOpPresen lolivo della eivil lo iberica, conseguenle 011'0"'_
vo deg!i lberi coo lo 1010 linguo e col loro alfobeto graf l ito su! vosi camponi. La
primo fase, ri!er ita 01 V 5«01 f"IO(1 e coro tler iu ola do olcuna serillo in coro Ueri
0,
ibericl e i vQ$¡ sana greci, pseodoioniei od md igen;' Sutla nKropoli e su; material,
di Enserune V. per Ola spedolmenle F. MOURET: "COlpuS Vowrum Anl;quorum,
Fran.c:e, N.O 9, ColIKlion Mauret lFoultles d' En$érunel"; Paris, 1929: J. JANNO _
RAY ; "Les fou;Ues d'Enseru-ne", in Revue AreneologiQue, XXVI, (19461, pp. l.
41; J . JANNORAY: "Los excovaciones de Enser une y el problema de lo cerómica
"ibérico". Estudio de es trat igrafía y de cronología", in Archi vo Español de Ar _
Queologío, numo 74, Modrid, 1949, pp. 1-20; J. JANNORAY : "Les !a uilles d'Enscir une el les ci villso tions préromoines du Mid i de lo Fronee", in Riv;s la di 3tudi
lIgurl, XIV, Bordigh ero, 1948, pp. 85-103.
(51 I phi sl,ell i roppar ll si possono 'inora osservare, oltre che con gli slroli
di Ampurios, con l'Opt)ido d i Cabrero de Mata ró (1 materiall sono visibili nel Mu _
seo Archeologko d i Borcellono; cfr. J. DE SERRA RAFOlS: "Lo coU ecció Rubio
de la Serna al Museu de Borcelona", in Anuo,i de l' lns tilut d' Estudis COlolan5, VII ,
( 1921-26), Borcelana, 193 1, P. 67 segg.1 cd oro on.c:he con Quelli dell'oppida di
Ullos l'et in provincio di Gerona, in corso di $Cavo.
(61 L'esome di tUllo lo massa del maleria!e proveniente dogll $Covi dl!'l 1928_
31, roccol to nei maganini del Museo di Volencia, ha pienamente con!ermolO I'assolu to ossen:z:a di ceromica pos ler iore 01 IV secolo. Fa solo ecce:tlone un hommento di compana B (formo 5 1, che, se non é ' rutto di confusione nello rcdal.io ne
dcU'invcnlar io, soro cerIo troccia di un cosuolc possog.gio di persone due secoli
dopo.
-
10 7 -
[page-n-133]
4
N . LAMBOGLlA
uno faci es del tutlo primi t iva, es troneo elle for me e oi t ipi d~co ·
ra t i"i che s i off"'rmano nell'e tó delJe guerre puniche e otl'inizio
delta romanizzaz ione (7). 11 ma leriole dello Bast ida, parolleloment e o que llo di Ensérune, ha perció servi to di base 0110 clossificozione preliminore della cerern ice compano (8), especial men te 0110 de-
Fig. 3. -P ian lc deU'oppido dello Bastida, con 1'¡l'Idicozcione d dl'oreo esplorO lo fino
o; 1929. (xola I : 6000).
t erm inozione delle forme e de lla c ronologia generale d i quello produz ione piu on lico, di tronsi zione Ira 1 cerornice al l ica nOn de0
corota a vern ice nera e quella piu propriomen te e sicuramen le ori ginario della Componía, a nte riore 01 300 avon t i Cristo, che ha proposto d i defin ire col term ine generico e non impegnotivo di "ceromico precom pono" (9).
,) Cfr. BALLESTER-PERICOT, 1. C., pp. 202-213 e tov . X IV_XV III. Lo ~tei
so lo PERICOT; "Lo céromique iberique de San Miguel de lirio", in Revue A'cneologique (V Iii, 1936, p. 9,) , iconosce I' es t,elt o offinito deUo cerom1co iberlco delta
Bastida col gruppo del!'Andol ucio, pi utlosto che Con quelto di Lirio o di ElcheArcheno, che 51 retrovo invece negli oppicl o piu vicinl 0110 cos to (in reol to pero li
divide principalmen te 11 diverio eronologico di circo 3 s!!'Coli! ). Uno penet,ot.ione
d i prado" ; dol!'ovest per vio d i terra resta possibile, sop,ol utto se si ommeltesse
che 11 terri torio d ella Bostida appor tene5se 01 g'uppo emico dei 8 0. tot oni pl u ttos lo
che o quello del Co ntn to ni. Mo, pe, non cad ere in errare, soro ne1:essorio primo
conoseere oltroverso oll,i giocimenti dello casio I'eso lt o !ocies de llo ce, omico iberico de l Levante nel IV secolo o. e .. e dis linguerla do quell o del III e d el II per
quonta riguordo le fOlme e lo decorot.;one. II lolto piu evi dl!nle il per oro he.
Ira le forme dello Bas tida. manco tOlolmen te iI "sombrero de copa". lo cui dalu
;"it.iole e per me il primo !ondomento do s tobilire per finare lo crooologio dello
ceromico iber1co.
(81 N. LAMBOGlI A: "Per uno clossi licot.iOl'le preliminare de llo cer:lmico
campano" , In Attl del I Congresso In ternazionale di Stoo i Liguri, BOfdighero, 1952,
pp. I 39-206.
(9) Queslo defini t. ione il nato oc! En$érune, nelle d iscusionl IIolo- froncospagnole sul problema dello c(!fomico iberico d uron te i C()fsi In terl"lOt.iOf'loll di
Slooi U;uri del 1949. Esso he il gran von loggio di elooere, per iI momen lO, 11 pro _
blema dello provenienzo d i queslo piu o n tico ceramico o vern1ce nero, che
premoturo voIer risolvere, e consente d i inclooervi onche lo proc!uz iOf'le o figure ,osse
del V e IV secolq dello Grecio proprio non d!!'C()fo lo.
e
-
108-
[page-n-134]
~':" U fY
n,
e
CROpV,IS
de las excavaciones del poblado iherico
de la Bastida-Mo~en.e
Fig. 2,-
[page-n-135]
••
"
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f.scala de 1:500
: ...¡¡_....;'¡;_..;¡'r;.....:'•·_"';¡.';.....:·.'_~•,';......;,'_..;.";......;'
....
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'
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••
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.0. rft .
[page-n-136]
5
LA CERAMICA "PRECAMPANA" O::LLA 8ASTIDA
Fig. 4.- Schema slraligra fi,a dtgli $Cay; S. I.P. 1928·31.-1. Humus retenle. 11 . Tena acc\A'TlUlala dopa la d.slruz iane dell'appida.-III. LlYe!la atcneo·
log ico in silu.
•
,~
,
.- " ,
Fig. 5.- Slrahgraf.Q rolevala nel iOggia di scova del 11 HllembJe 1952.- 1. Hu·
mus 'lKenle.- II . Terra accumula la dopo lo disl ruzione dell'app,do.
11 1. Tetra ton carbone e cene!!:!, ricco d. fronvllenll in Silu.
-
109-
[page-n-137]
6
N . LAMBOGLlA
Ritengo oro ut ile 01 progresso d eg li studi cronologici sull o st es·
so ceramica ca m pano, e in oUeso che nuove osservozioni e nuove
compogne di SCOVQ occrescono ulteriorm en te gti elernen t; d i giudi·
zio, corrispondere 01 earlese invi to del Servicio de Invest igaciones
Preh istóricos dello Diputación Provincial de Va le ncia (e in portiealare del SU D dire ltore D. Domingo Flet che r Vol1s) e pubblicore per
eSleso, con uno docum enta z ione gra fico adeguo to, tutti ; vos, di
t ipo precompono, di cui nel S U Q a rticolo preliminore i1 compia nto
don Isidro Bolles te r ha do to solo un cenno e uno serie limitot e d i
fo togra fíe (1 0 ). Tol e ricerco servira o tissore, pe r casI dire, gli incunabo]i della produzione o ve rni ce nero imporlc la nell'estre mo
Occ id ent e fin do l IV secolo, a s tob ilirn e lo diffe re nziozione do
que llo del III ed o de te rminare in modo piu preciso, se possi bil e, le
coro tter ist iche e I'evoluz ione cronologico delt a pr incipa l¡ forme
"precampone" (21 -28, e dalla 40 in poi secando lo "Class ifi cazi one preliminare" citata) che si di tfondono in Spogna gi6 ne l IV s'a ·
co jo a . C.
Primo di far confronti e di trorre concl usioni d'insieme e necessa rio I'ono lisi de ttoglioto di tu tto il mate riole e delle sue cora tte ·
ris t iohe, seguendo e s .... iluppondo lo serie t ipologico d~1I0 "Clossif icazione preli minore" ci to to.
FORMA 21
E ro ppresento to do uno ricco serie di esemplori, che di mosl ro no essere ques to il t ipo di piotto f ine d i uso corre nte 01 momento
della d ¡s t ru zi o""'~ dell'oppido. Essi sano di dimensia ni ....oriabili, do
un d iometra mossimo di m. 0'24 o uno di m. O' 11; tutti peró recono cara tt erist iche comuni, che possono ri ossum ersi como segue :
o) pos ta rossiccio, iden tica aque ll o dell o campano A dei se coll pos terior; 01 IV, in t olun ; esemplor i altera ta e divenuto piu o
meno grig io sio pe r ozione del fuoco nell'i ncend io dell'oppido, sia
per efte lto delta prolu ngo to o impe rfetto cottu ra;
( l O} BALLESTER e PERICOT, 1, c., PP. 19€-10 1 e ta y, XI - X I I. I d iseg ni tal
no tu,ali, ,idO tutt i di me to ",e l cli( he} sana SIan; l'$eg ui li a cu ra de l S.I.P. d i Vo _
!li
lencia , da l sigo Alcócer. Pe, lo riprc duz ione d elle pa lme ll e - problema tecn ica d i
asso; djff ic ile so] uziane volendone do,e u no ,oppreo¡e nlaz iane g ,of,co lole do pe' me rte,e con fl o" I, su lo'go seo lo sen zo lo visione d eU'origlnole- ro fin' lo pe' see g lie'e il sis lema d i riprod urrc i cole n, o mo tita, ol quonto C()!; toso, me I' un ico CN:
d io ,isol to ti sodd isfoc",r li. in luogo d el d is"'9no o d ello oncor pi':' cos toso fo togralia d i og nuna $U I fando del vaso.
_
11 0 _
[page-n-138]
LA CERAMIO, "PRECAM?ANA" ORLA BASTIDA
7
bl vernice nera malta fine e brillante, ma in malti esemplari
carroso e irregolore o per lo stessa causo di incendio o per lo natura
del terreno di eonservaziane, e in non poehi esemplari sfumato di
rosso per ossidaz;one de11a fiamma durante ro cotturo;
el presenza costante del cerchio rosso, di tradizione ottieo,
privo di vemice, sullo superficie estema del piede e spesso anch e
nell'ongolo tro il piede e 10 careno; e in due esemplor; anche delta
deeorazione a cerchi a lternatamente rosso e neri sull'i ntero superficie 001 fondo es tema, diretta continuazione o reminiscenzo dello
stile ottico o figure;
d) presenza quasi coslante (saltanto due esemplari ne sano
privi) deHo caratteristica "unghia" sul bordo in terno del piede, che
formo un gradina sopraelevato di uno o due mrn . ri spelto oll'esterno;
el piede vertieare assai alto e rigonf ia all'esterno, in qualche
esemplore anche can rigonfiomen to a spigolo vivo;
f) pare te spessa nella curvatura, assattigriota verso I'arla, che
formo sempre una rientranzo assai mareato;
g) presenza costante, sul fondo eslerno, di un "umbitico" al
centro, piu o meno ma rcato;
h) presenza costonte (solo un esemplare ne e privo) deUa
decorazione a polmette sul fondo interno, quosi sempre accompagnola da uno o due cireoli di strio ture o rotello, osso; fini e regolori.
Le polmette sono sempre impresse, ossio col disegno incovato e
il margine esterno e i vuot; intemi a rilievo: soto in un caso (num.
17) ques ta tecnica peculiare del IV secola accenna ad invertirsi,
come di regala ovviene nelle palmette del 1n e II secolo (11) ,
I mo tiv; a palmette sono in evidente rapporto con la dimensioni maggiore o minad del vaso, cioe con lo super fi cie orizzontal e
disponibile sur fondo stessa, per lo sviJuppo del disegno decora tivo
In base o ta te rapporto di misura si possona distinguere, seguenda
le definizio ni che ha gia cerca ta di fissa re neHa "Class¡fieazione
preliminare della cerornico campano" (pog. 201 -203) :
o) palm ette callegate da una serie d¡ sattili so1coture o gam·
bi stilizzot i (in diversi eSémptari, 4, anche da un cerchietto cen·
j 11 1 Ques ttl dislin z itlne ho in l rodolltl oppcna di Sfllggila neJllJ " Cloniflu_ io.
ne p.climino,e" piu val le ci loro ¡p. 204,. EsSQ e in feollo un elemen to d i giUdo:tiO
fondomenltlle pe! flconoscere le polmette "prec;ompone" do queUe compone.
_111_
[page-n-139]
8
N, l AM BOGLlA
t role) troce¡a te a mano, con tccni ca meno regalare che nei plU O~ ·
·'ieh; esemplari c u id (o pa lmete "combinote" con fes toni ed
ovoli) , me sempre obbastanza fine ed occuroto;
b) palmette simmetriche, rovvicinote a croce plU o meno re·
galare, senza collegamen to di so1coture, in genere Q gruppi d i 4
contrappost e, mo non ancora o contatto !'uno con I'altro ;
el palmette 099ruppate. oddosso te e spesso anche sovropposte
I'uno 011'0 11(0, o gruppi di 4 come le precedenti, suí vosi che affrono uno super fici e orizzontole oncoro minore;
d) senza palmete.
A questa di ff eren zio zione corrispondono i due gruppi fondu men ta ri di vosi delta forma 21 in t egri o ¡n.gron par t e conservoli,
che si posSQno descr i v~re como s~gue (12) :
PATERE DI GRAN DI DIMENSIONI
(con polmetle collegol.)
l . Es. con verniee nero brillonle ben conservala, munlto d i unghla ne l piede
e d i cerchio r0550 sul piede es lerno e sulla carena. Jnv. 8 1530. Proviene dol vo~
no 169 e doll o slrolo 111 (8 luglio 1931).
2 . Es. eOll vern iee brillante come iI prec edenle, munilo di ungh io e d i cereMo ,~so. Inv. 8. 1528. Proviene del V
polmelle quosi del lutlO corrose e righe tta ture meno fini; piede ad unghlo, ce,ehlo
rossa nel piede e nello careno. Inv. 8. 133. Provie ne da i vani 2S-32. sen za Indi.
co zione di $lrO lo (24 lugUo 1931).
4 . Es. con orgillo ross.a e verniee O5$Oi ben conservolo, con piede ad unghio
oppena morco lo, cerchio rosso nel piede e nello careno. Inv. S. 168. Proviene dol
vano 6, SIrolo III fl 6 luglio 1928).
5. Es. in orgiUo ross.a S(;uro, con ver niee brillante non ben conse,vo to e orrO$$O to sull'orlo e sul fondo Mlerno; unghio nel piede completomenl e consun lO, cero
chio r~so consunlo nel piede e nello corena. Moho frommen lOl o e con quall .. o
~i fari di salda lurll anliche. Inv. B. 1529. DoI valla 212, $lrOlo I (IS lug Ua
1932 ).
6. El. ¡,ammentario, in argilla scuro pe, coltura, con verniee meno br illan te
pOCo Orr0550tO, piede ad un ghio, cerchia rosso nel pi!de e nella careno. Inv. 8 .
2 501. DoI vano 192, strota I (S lug Ua 1931).
PATERE DI DIMEN SIONI MINORI
a} con polm e ttc coll egole:
7. Es. In argi llo rossa, con vernice nero bri llan te moho consun la , in porte
afrono to; polmette Quasi comple tamente scomparse per corroslone d el fondo, u n·
ghlo e cerchio rosso nel piede. Inv. B. 153. 001 vano 75, s tra to 111 (13 luglio
1929).
8. Es. In o,gi ll o ossal scuro pe' cOllu ro, con vern iee nera brillonle olQuonlo
carroso; palmelle in porte mancanti per rolt ura d el fondo; u nghio nel plede, cerchio r05SO nel piede e nella careno. Inv. S. 1516.001 vano 183, 51rOlo 111 (Iug lio
1925) .
(1 2) I numerl d i ¡,-.venlorlo s. riler,scono oll'elenco genero le de l materlole d ello
Boslida, focenl e parle del co tolOgO del Museo d, Valencia. I dali d i provenienza
sano IrO ll i dol giornale d i S(;ovo e i ,iferimen!i agli slra ti non honno par lieolore
va lore ctonologico, per lo ragione chiori lo sopro, noto 3.
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LA CERAMICA "PRECAMPANA" DELLA BASTIDA
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j
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Formo 21
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N. LAMBOGLlA
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'---_-L_ _~ 7
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Forma 21
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LA C!:: RAMI CA "PRECAMPANA" ORLA BAST IDA
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Fo rm G 2 1
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N. LAMBOGL IA
9. Es, in argilla pi" ehiaro, forse pe. (olluro, con vernice nera brillonte ben
conservolo; ungnio nel piede, cerenio (0550 nel piede e nello coreno. Alqua nlo
mulilo. Inv. B. 1517. 001 vano 2 23, 51'010 III (22 luglio 1931).
10. Es. In orglllo olquon lo scuro, con bello vernlce nero brillonte; u nghlo nel
piede, cerchio rosso nel piede e nello careno. Inv. B. 167.001 vono 30, senzo in.
dicozione d i stro to (16 luglio 1928).
11. Es. in orgillo rosso, con vernlee mollo consunt o; ungnio 'lel 9iede, cerchio
'(X$O "el plede e nello careno. Inv. B. 15 13. DoI vano 242, 51.010 111 (28 luglio
1931).
12 . Es. frommentorio in argillo scuro, con bello verniee nero brillonte, ungh io
nel pitde, cerchio fOSSQ nel piede e nella coreno. Possiede Kce;rionolmenle pore
un cerchio marrane 5(uro su l fondo interno. Inv. 8. 2508. Senzo preciso indicozione di Pfovenienzo.
b¡
con polme ll e . imm eh iche:
13. Es. in orgillo moho 5curo per CO lturo od USlione, Can verniee brillonle
orrossola, mal conservo lo, unghio nel piedt, cerc h io rOS50 ntl piede e nello careno. rnv . 8155.001 vano 15, SlrolO 111 (13 luglio 19291.
14. Es. in orgillo rossO-$Curo e vernice ..,ero brillante alQuonlo carroso; piede
aS50i piu sottile e diverso doi Timonen ti. senza unghio, con cerchio rosso nel pie-d~
e nello careno. Inv. 8 . 1518.001 vano 223, $tr(l IO 111 (22 luglio 19311.
15. Es. In orgiUo moho $Curo per co ltu ro od ustiore, Can vernice nerO brillonle molla ben conservolo; unghio nel piede, cerchio rOSSQ nel piede e nello careno.
Inv. B. 1519.001 vano 128, slro lo 111 (18 lug lio 19301.
16. Es. in orgillo moho chioro, con verniee nero brillo nle 05501 conservoto;
unghio orel piede, cerchio rOSSO nel piede e nello careno. Inv. 8. 149. 001 vOn()
85, senzo indicozione di s lrolo (8 I"glio 19281.
cl
con polmett e og gruppol e:
11. Es. In orgiUo rosso, con vernice nero ben conservalo e fondo In terno lor_
gomenle orrossoto; unghio nel piede, cerchio rosso nel piede e nello care no. Inv.
B. 2510. Senzo eSO llo ind icozione d i pro~t'nlenzo .
lB. Es. f rommen lorio, in orgillo '0550, con verni ce ben conservo to, unghi o nel
piede, cerchio rO$so n el piede l' "'.ello coreno. Inv. B. 2 509. Senzo eSOllo indiC;j·
zione d i p
conservolO; unghio nt'1 piede, cerchio rosso nel piede e neJlu careno. Inv. B. 1503.
001 vano Z08, $trolo 11 (18 lugho 19311.
20. Es. in orgillo !>Curo per coltura, con vernlce nero opaco; ungh io nel piede,
cerchio rosso nel piede e nello careno. Inv. B. I SI. 001 vano 2 1, senzo ind icozione di s lrOlo {luOlio 19281.
21. Es. ih orgillo mol la SCUrO per cOlturo od ustione, con verniee apOCo 01.
quonlo 0"055010; unghio nel piede, cerchlo rosso ntl piede e ntl!o careno. Inv. r.
148.001 vano 7, s lrOla 11 (3 lug1io 1928)
2Z. Es. In orOi ll o rossa, con vtrnl ce nera 05501 brillanlt; unghio nel piede, ce.chio rosso nel piede e nello carena. I"v. B. 150. 001 vono 183, slralO 111 (lO lugllo
1931).
23. Es. olquonto ,"ulllo, in orgillo rO$so. eslernamcnlt $Cura per o zione del
fuaco; unghio nel piede, ce.chio rosso ntl picde e n,,1I0 coreno; cerchio rosso seufa anche nell'in lemo, con polmelle mol la mo le impresse, o groviglio. I"v. B. 1509.
001 vano Z08, stroto 1 (16 luglio 1931).
dI
Senzo po lm ett e:
2'1. Es. in 0101110 rosso, con verniee nero ben conservo lo, moho sfumoto di
rosso; unghlo nel piede, cerchio rosso nel piede e nello careno. Assoi coro tl eris_
Iko; per I'ossenzo delle polmette, SOSI;lulle do un sempliee cerch iolino o mono, e
per lo presenzo d i uno solo lineo di s trio lure o rot ella, sovropposle od un circol~
rosso sfumo lO. Inv. B. 154. 0 01 vano 75, 51rOlo 1 (13 lugtio 1929).
116 _
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LA eERAMICA "PREeAMPANN' DEllA BASTIDA
13
l o formo 2 1 si presento dunque 01 Bastida con lo stesso fre10
quenzo e con corotteristiche onologhé! o quelle che si possano notare nello necropoJi di Enserune; mo olcuni elementi di differenzio·
zione sano do sattolineore.
Moncono totalmente 0110 Basl ido le forme con carena piu riolza la, che sfociono nello for mo 26, come pure le vorion t i con pore te meno spesso e meno rien t ron te, che parrebbero leggermente piu
evolu te; manco pu re totolmente lo for mo 26, ji che e porticolormen te sign ificativo per [o dotozione di quest'u ltimo od uno fose, sia
pur lievemen te, piu lardo.
Tu t-t i gli esemplori dello Bast ida presen tono lo caro tterist ico
unghia nel piede, e lutti in genere ir cerchio rosso precampano sul
piede e nell'ongolo della careno, men tre od Enserune le forme col
piede ad unghia si a llernono con oltre a piede smusso to o del tutto
piano (13).
Nelle polmelte, inf ine, si nolo olla Bas tida uno nolevole uni formi to e regolarita nel disegno, pur gio degenera to dalla trodizione
o ttica di cui sano proprie le polmette a disegno combinoto. TuIIOvio le polmette dello Basl ida sano ancora tu lte impresse, e muni te
dello voluto inferiore che si lego dirc ttomente olla :rodiziane greco,
menlre nello necropoli di Enserune oppoiono gio lipi piu evoluli
e privi di tole corotteristica (14) .
Questo 'Prima serie di oss~rvozion i , oltre od inquadrarsi nell'im ·
pressiane generale che i vosi deBo Bastida siona di dota leggermente anteriore a quall; analogh i dello necropoli d i Enserune, permet·
tono di in t rovedere, per la forma 21, uno lineo evolutiva, che portendo dalle prime ed outen tiche fo rme g reche, della prima meto
del IV secolo, giunge intorno al 300 ovon ti Cristo con esemplori a
pare te meno spesso nello curva tura, m eno r¡en tron te nell'orlo e
con piede sempre verticole mo privo di unghia , nei quoli la carena
a poco o poco si eleva dando luego olla for mo 26 o a t ipi in termedi
2 1/26 (I5) . E: ossoi probobile che duivi da un'evoluzione de ll0 for o
113) MI r¡¡t,isco pe, oro 01 ei l. " Corp u." del MOURET, lov. 22, e od UM
generole revl 5ione del moteriole di Enserune compiulo nel 1950. Honno piede smussola, od Ensérune, I numer i d'inv. MM. 183 e 48; piede piano senzo lJnghio ¡
numerl 44. 4 5. 62, 119, 63, 42, 164 , 33, 147. l'unghio ricorre sollonlo ne l nu·
me'; 186, 12, 60, 68, 58, 322.
(14)
I elloli esemplori con piede Pfivo di unghi o nonl'lO in tIO,Ikolori lutti :t
polmelll! o . meyo, ~so I'IOn p,"" coUegole se non do un eereh,e.lo, e Pft$tnl,J.t\O
¡ .....II •• un \en«i hile n~w"¡OHom~n'o npUn ..,...... ...
(1 5)
lo " Clou ¡, jCO"¡O prelim inore" cil., pp. 175_176. Ancke su que510
IlO
formo od Enserune compoiono piedi od unghio, smussol¡ e plonl, eon lo slesso COf_
,i5pondenzo ne l lipi di polmette ,ilevolo 011 0 nolo preced~n le.
ef,.
-
11 7 -
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14
N. LAMBOGlIA
me 2 1 "precompana" la successi . . a formo 5, cara tteristico della
campano A e B dol Ir r 01 I secaro o. C. {l61 .
FORMA 21 /25
Esso e rappresen ta to 0110 Bastida do entrombe le \larie to che
abbiomo 9iO riconosci uto nella def inizione pre liminore de"e forma
precompane: quello con prede normole verticale, sim ile a que llo
delfo forma 2 1 me privo di ungh ia {senzo dubbio O causa delle pic o
cale d imensionil, e qu ello con piede smussa to ossoi co ro tt~ r ¡s t ico,
molto largo ed obliquo, che loscio al cen tro una piccara cavi to od
umbilica.
I due soli esem pla ri che si hanno de l pri mo tipo sono muni t i, su l
fondo es terna, d i una peculiore decorozione o cerch i alterna tamen te rossi e neri, mot ivo di di re tta derivo zione a ttice. Que ll i piu
nume rosi del secondo t ipo presen tano ancoro su l piede un onalaga
disegno o due cerch i ne ri che inquodrano lo facda ros5O non vernida to, e il cerchio r05SO nell'angolo della careno.
La for mo 2 1/25 si d iff erenzio dol ti po piccolo della formo 2 J
per le sue proporz ion i ancora minori, che ne denundono I'uso come "dotolo" e la avvidnano perció alle fo rme 24 e 25. Pel rima nen te lo sogoma dello careno, con orlo 05501 rientronte, e onaloga
o quello delta formo 2 J, ed e evidentemente od esso con temporoneo e di identico praven ienza, anche per lo quoJi tó dell'orgillo, rossa negli esempla ri non degrodati dol fuaco.
Ricorrono su questo formo sio le pal mett e simm etriche sio queJ le oggruppa te (mai natural men te quelte callegare), con le medesim e coro tterist iche gió natate per la formo preceden te, sempre prive d i st riot ure o rat ella per lo 5t rettezza del fondo piona.
T IPO /lo (con pie de no,ma le yo.tica lo)
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2 5. Es, in orgilla rOS$O_S'uro per otione del fuoco, con verni'e brillante be..
conse,vo lo, decoro to sul fondo es lerno con cerenl ol le rnO lomen te rO$$1 e neri;
munito sul fondo di polmelfe impresse simmetriche. Inv. B. 146. Da l vano 14, se n_
2.0 Indico2.ione d i slrolo (12 lug lio 1929),
26.
Es. in orgi llo rossa e vernlce discretomenle conservo to , del:orolo come iI
prel:edente sul fondo es terno, mo privo di polmelle. Inv. B. 1501. 001 V0l'10 20~,
$Iroto 1I (lB lugHo 1931).
1161 Parlico:ore sig n iflcoto honno 01 riguardo olcuni esemplo rl d i Ensérune
(MM. 161 , 243), che possono essere consideroli come d i Ironsizione Ira lo lormo
21 e lo forma 5. L'evolu2.ione di questo nel corso del 11 1 seco lo reSlo perottro do
slobillre.
_
IIB _
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LA CERAMICA "PRECAMPANA"
D~LLA
BASTIDA
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TI PO B ( o lo. go p;.,de obliqlO o)
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27. Es. In orgillo $Curo per ozione del fuoco, con vern;ce di$Crelomenle con·
servOlo, mun;Io ,1,11 fondo di polmelle jmpr~e, simmelricne ma o conlollo doto
lo limilolo superl iCie. Inv. B. 147. 001 vono 74, senzo indicozione di urato (12
luglio 1929).
28. Es. in oroillo rouo e vernice ben cOllservoto, con piede obliquo mu nit;)
oOlChe di ungnio inlemo; polme"e oggru;>po te , piccole e mole impre$se. Inv. B
1506.001 vano 208, slrolo 11 {18 luglio 193\}.
29. Es. In orgillo $Curo per ozione del fuO(o, con vern;ce ben conservolo e
con polme"e simmelriche mole impresse. Inv. B. 145. 001 vono 24, se nzo Indl.
cozlone di 51ro l0 (12 lugllo 1929).
30. Es. frommenlorio, In o.gillo rosso, con vernice ne.o brillo nte e londo Inlerno 0"055010; palme"e simm elr ic ne mole impresse e irregolori, entro un quodrupl1ce eerenio di slr/o lu re o ro re llo. Inv. B. 2505. Senzo indicozione di prOV'tnienzo, in mogozzino.
31. Es. lIevemente mu tilo, in orgillo seu.o pe. ozione del luO(o, mun ilo oncne
di ungnio Interno nel piede come il n. 28; polmetre impresse simmetriene, 01.
quonto i" *'orl, uni!e do un eerchiolino in terno. Inv. B. 2504. Senzo indlcozlone di provenienzo, in mogoz:r.ino.
32. Es. in orgill o .osso, con vernice molto corroso e moncon te, con polmelle
impresse simmelriehe, olsoi irr*lo.i. Inv. B. 144 . Dal vano 24, senza indicozione
di strato (12 lugllo 1929).
33. Es. in oroillo rosso e vern;ee OISO; deg.odoto. con polmelle impresse, simme l.iche mo o eonlollo, ossoi .*lor;' Inv. 8. 143. DoI vano 19, $enzo indicoziooe di SI.010 (16 lugllo 1928).
34. Es. in orgillo rosso e verniee discretamente conservo to, munilo di ungni
119 _
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16
N. LAM80GlIA
in terno come; n , 28 e 31; palmelle assoi min ...5Cole impresse, OQOruppo le ¡.reoolarmenl!!. I"v, B. 142.001 vono 12, :¡.enza indicozione d i $1.010 (lB lugho 19281.
35. Es. in orgUla rOSSO-$Curo e vern ice opaco degrodoto, con palmelle simme·
Iriche quosi o confoUo. I"v. B. 1525. 001 vono 126, slrO IO 1I (151119"01930).
36. Es. in orgiUa ros.so e vernke degradolo, con piede o bese QUO$i d el 11,1110
orlnonlole, privo di polmelte. Soro lievemente piu lordo de; pre
Anche per la cronologia di ques to formo ji confron to con lo fa cies di Ensérune El particolormente significa t ivo: quivi la formo 21
/25 A non presento pi u lo co rotN!r ist ica se rie di cerchietti sul fondo
esterna, e lo formo 21/25 B El presente in due sol¡ esemplor i, cioe
in minoronzo rispetto a l t ipo A (17), mentre 0110 Bastida lo si tuazione e inversa. QU2sto puó anche essere na t uralmente frutto del
coso ed e prema turo t rorne illozioni general i circo lo dala di estin zione dello formo 21/25 B, ma e certo che qu esto continua e si
sviluppa nel 111 secolo, com binandosi con le forme 24 e 25, m 2n1fre
la 21/25 B code precocemenle in di suso.
FORMA 22
Con perfetto parallelismo rispetto 0110 si tuozione di Ensérune,
questo formo occompogna lo preced2n te formo 2 1 con un minar
numero di esem plori: 4 integri e pochi oltri riconoscibili dai fram mentí, con tra 24 della formo 21 ; od Ensérune 2 soli esemplori, contra 18 di forma 21 (18) . Essa presento caro tter istiche onologhe
01 forma 21 nel pi2de ad unghio, nei cerch¡ rossi sul fondo est erno
10
e nello decorazione a polmette; e si nolono due vorieló fondomen tolí nelle dimensioni: uno grande (n. 37 ) e uno medio (no 38-40).
37 Es. grande, con porete o perletto c ... rvot ... ro o Q... orto di cerchio; in orgme
rO$$·O con vernice discre tomen le cOnservolO; piede od unohio e cerchio rO$$O nel
piec!e e nell'ongolo dello careno; palmette impresse collegote (In por le moncon li
pe, ro n ... ro), entro "'1'1 deppio cercnio di striol ... re a rotello. Inv. 6. 169. 001 vono
6, SlrO lo 1I1 (16 I"'olio 1926).
36. Es. di mino, i dimensioni, con porele o per feHo quorto d i cerchio mo 01quonlo piu ,Iolzoto delle precedenle; in orOlllo rO$$O e con vem ice nero brillante
ben conservo lo; piede od ... nllnio e cercnio rosso nel piede e nell'ongolo dello coreno; mun ito di 5 pal mette impresse collellote, 05$Oi Irrt~olo,l, can cercnlollno 01
cenlro, entro doppio zono d i strio""re o ,olello. ¡"-IV. B. 2506. 5enzo indicozlone
di provenienzo.
39. Es. di piccole dimensioni, con parele o perfetto quarlo di cerenio ma ~on
orlo olquonto espon$O e piu verlicole delle preceden!i, In orolllo '0550, o vernice
ben conservo lo; piede od unOnio e cercnio r05SO onel piede e nell'on-golo deUo careno; munito di 6 polmetle coUegole, entro zono di s lr lo lu'e o roleUo. IrIV. IJ.
1515.001 vano 223, slroto III (22 luglio 1931) .
(17) el.. " Clouificazione prelim inore" dI., pp. 174_175.
(18) i! pure 0$$01 sinlomotico che onolOQO PfOpOrzione e ossociozione Ira le
forme 21 e 22 si rilevino od 0111'110 in Grecia (v. l'opero Ci lOIO oll,e, 1'1010 29).
--.. 120 -
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LA CERAMlCA "PRECAMPANA" OELLA BASTIDA
11
40. Es. di piccole d ime nsioni, con perete o perfe lto quorto di cerchio mo (on
orlo onc he p iu espenso del precedente, in argillo rO$$O con vernice pure moho
arra~so lo; piede od u nghia e cerch io r0550 nel piede e nell'ongol0 dell o careno;
muni lO d i 6 polme ll e collegole, con (erchio lir\O 01 centro, e nt r'b zona d i s lriolure
(] rOlello. Inv. 8. 152. Do! vano 21, senzo ind icoz ione d i 51rolo (lugliO 1928).
______
~
________J3 1
_ _ _ _~L__ _ _ _J\O
11 confronto con Ensérune puó consentire onche qui di introvedere lo lineo evolutivo dello formo 22 nel corso del IV seco)o : i
quottro esemplori dello Bastida honno tutti uno curvatura dello parete piu o meno perfetta e regalare, e solton!o I'orlo ha Jo tenden-
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N. LAM80GLl A
ZO od espondersi leggermen le. Ed Enserune in ...ece s i noto uno vor ieto piu careno la e o pore te quosi fle sso, che roppresento probobilmente I'evol tlzione final e dello formo, assente nell0 ceramica
campana del 11 1 5ecolo ( 19).
FORMA 23
Del carotter isti co "pion o a pesee", comune 0110 ceramica graca o figure rosse e a vernice nefa non decora to, non si honno olla
Bastida esemplari molto nume rasi: uno solo in tegro e quolche olfro
framm ento. Ció e forse in relazione con Jo posiz ione lantano dol
more e con l' effettivo uso di tole vaso pe r servire iI pesee, che cer tamen t e non era Ira i cibi normal; olla Bastida ,
41 . Es. in orgilta rono simile o quella delle forme preceden!!, con pied e piano
privo di un.ghio e o semplice ce.chio rosso sullo superficie inferiore; fondo o 10r')0
umbilieo e eoviló in lerflO bene oTrolond%, or·1o penden te relt o e poco obHquo.
Inv. B. 15 10.001 vano 123, s lrOIO 111 (11 luglio 19301.
Toli ca rott erist iche concordono notevolm·: le con quell e dello
m
stesso formo 23 od Ensérune, e roppresentono evidentemente lo fo.
se di svi luppo di tole formo nel IV secolo. L'evolúzione successivo
res to totalmente da s tabilire (20) .
FORMA 24
Esso rtcorre olla Bastida in ur numero limi to to di esemplori, e
di un tipo ma lta uniforme, ne ttomente "precampano" e di trodi zione ottico per lo perete moho spesso e rien tronte, per ¡I piede
sempre malta largo, quosi quonto k. bocco. 11 piede ha sempre la
caratteris lica " unghio" delle forme 21 e 22 e I'umbil ico al c·~n tro.
Lo vernice enero briqante, talara arrossoto come negli ese mplori
dello forma 21, l'orgill 0 rosso quondo non e alterata pe r oziane d ~1
fu oco. Si trolto dunque con cer tezzo sem pre de lla medes imo fo bbrico.
(19 J Clr. " Cfollificol;onc p.c lim;no. c", ei l., p. 111 -17 2; MOURET, " CO.PUI"
e;I., rov. 22, n . 48 e 49.
(20) Ho cre-dulO d i po leme ;nd ieore lo Itaceio, "CloSlificniono p. elimino.e"
cil ., p. 172 oello pOssibile odozione d i uno eoneovi la od 000010 negll esemplo. i pi':'
rec;enli; mo e do nolore ene nello nave romano d i Mo.siglio, dot a ra inlorno 01 180
o C. (cfr. F. BENOIT, "L'o. ehéoiogie sovs-mori."le e n P.ovence", In Rivislo di
Srudi Ligud, XVII I, Bordigne.o, 1952, pp. 244 segg.) si trOVCl Un esemplote d.
"piollo o pcsce" od inc:ovo londo, del lipo c ne polevo g iudicofsi pi':' on tieo. Deve
I.olt o.sl perció di uno d iffe.en zo d i fobb.iene e non d i cronología.
-
122 -
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LA CERAMICA "PRECAMPANA" ORLA BASTIDA
19
°
I sei esemplori in lC!gri, oltre
pochi oltri fr omm en ti, prese1tona un ospetto casi iden t ico che e superfluo una descrizione pa rt icolareggioto . Mi limiten> a darne la provenienzo :
\ J2
\ J2
\ J 2 \J
42.
43.
44.
4 5.
46.
".
Iny.
Iny.
Iny.
Iny.
Iny.
, ~.
B. 1524 . 001 YOrlO 242, s lrOlo
(28 luglio (931).
varIO 242, slrolo 111 (28 lugUo 1931).
YOrlO 37, Sefl:r.o indi to z ione d i ~lrO IO· (' 8 l"'Olio 1928).
yana 37 , u nzo ind,tazione di $lrO IO (1 5 iuglio 19281.
YOrlO 242 . slrolo
(2B ruguo 1131).
'la.
yono 75, senzo inditozione d i s lrOIO (13 l... gUo 1929).
"'
8. 1520. 0 01
B. 14 i. DoI
B. 139. Dal
B. 1521 . Dor
001
B. 1
'"
Anche per ques·ta forma si opre, ottraverso ji confronto con Ensérune, la strodo per scoprirne uno possibile evoluzion e cronologica: gli esemplari di Ensérune, ol lre non passedere piu I'unghia nc l
piede, hanno t utti lo parete ossoi piu sottile e normole, il piede
piu stretto rispetto olla boceo.. led obliquo.
Malta significativo e I'ossenzo totole, 0110 Bastida, dello decorozione a roselle, che diviene normole negli esemplori di Ensérune,
e di ogni oltro segno sur fonda interna. ¡; pure do rilevore che moncano completamente le vorionti 24 B e 25 B con orlo a boccelloture . ¡; probobile che queste coro tteristiche siano entrombe posterio ·
ri 0110 data in cui si es li nse I'oppido della Bastida .
°
_
123-
[page-n-151]
20
N. lAMBOGUA
FORMA 40
Cratere, rappresentoto do un numero non grande di esemplori:
a tto in 'tutto integri o quasi, di piccole dimensioni. Sono tutti di
iden tico quolito di posta rosso-vivo 2 vernice brillante come i precedenti, con piede od unghia e modanoto come nelle varionti O e
E di Ensérune, me sempre pri"i di decorazione a fes toni groffiti e
dipinti e di ogni al tra decorazione, tranne str ioture o ro lello ed an che polmette curiosamen te impresse su l fondo nonoston te lo ristreHo concavitó (n. 51, 52 e 53). L'arlo e sempre piu o meno pendente, I'ansa a lingu slonciato, corrisponde a l tipo E di En séruna, che pure ha il piede
sogomoto in modo ono1090. Si possono distinguere :
al
tipo con orlo pe nd enta CI can bocce llotu,e:
•
48. Es. in orgi llo '0550, con bello vernice nero brillante, orranolo da un loto,
munilo di baccelloture 51,.1110 pondo. Inv. B. 160. 001 vano :n, senzo indicozion(l
di 5trol0 (19 IU\l;io 1928).
b)
tipo con 0.10 pe nde nte lenlO bocullotll.e:
49. Es. quos; idenlico 01 pre<:edente mo privo di baccellolure e poco piu slonciOIO, con vernice apOca. ¡nv. B. 159. 001 vano 26, senzo Indicozione di Slroto
(13 lugUo 1928).
50. Es. In orgillo rosso e vemice quosi completament e carroso. Inv, B. 16 i .
001 vano 11, sl.oto 11 (3 luglio 1928).
51. Es. mutilo do un loto, in orgaJo rossa e vernice ooaco consun lo, munito sul
fondo di quoltro polmette impresse, slmmerriche, plccole e olQuonlO i,regolorl, con
doppio zano di strio ture
rolello. Inv. B 164. 001 vano 3"1, unzo Indlcozione di
sl,oto (22 lugl io 1928).
°
-
124 -
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LA CERAMrCA "PRECAMPANA" DElLA BASTIDA
,
50
5l
-
125-
21
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22
N . LI\MBOGLlA
el
tipo (on 0,10 upo nto ¡e".o boccellolu,e:
52. Es. In orolllo IOS$O e vl!fnice OpOCo, con $lliolure o rOl ello e probobllmenle palmelle obfose sul fondo i" lt'rno. Inv. B. 157.001 vono 7, Itrolo 11 (3 lugl'o
19281.
53. ú. idenlko 01 precedente. C Vl!fnke ossoi ben con~IVOto e :zono di
M
SllIo lule o 10lello s.ul fondo interno. Inv. B. 158. Dal vono 1 1, ,trolo 11 t3 luglio
19281.
54. El. idenhco al precedente, ma con velnice comple tamenl e orlossota. e con
«poio zona d, Sllloture a 101e110. Inv. B. 162. Dal vono 15, sllo lo 111 (13 log:¡Q
19291 .
-
126_
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LA Ct.RAM1CA "PRECAMP ANA" D ~LLA BASTIDA
23
Per lo cronologio di questo formo, ossoi comune nei giocimenti
del IV e del 1II seeol0 o. c., e soprot utto notavole lo moneonzo olIo
Bost ido dello vorieto di grandi dimensioni, che e la piu frequent e
ad Ensérune e oltrove, decorata nelJo s l ile de tia " di Gnazia" o fes·
ton; ineisi e fog li e sovradipi nte. L'onteriorito del giocimento della
Bast ido e indica to dolla mancanza di ogni treccia di questo s li le
decora tivo; e colpisee inoltre il fatta che tutti gli esemplori deseri t t i siana di piceale dimensioni e del lo s tessa t ipo, basso e poco sloncioto, che anche in Grecia oppare como il piu an tico (2 1) . Se ne deve forse canclude ra che I'evoluzione del cra te re piu gronde e decoroto e post eriore 01 350 a . C. ed e in relozione can lo gradual e
esti nziane della produzione o figu re rosse, che t enevo primo il
cam pa incon tras tato, come og g~ tto di lusso nelle obitazioni e come
urna cineraria nelle necrapoli.
Anche ques ta osservozione puó essere di fandomentole imporlanzo per lo cronologia del la ceromica precampona e campano, e
dovro esserne tenuto can to nelte ricerche fu ture, par accerlarne ';)
meno il valore generale ed ossoluto.
FORMA 42
Kylix apoda, di eui esis lano due vorie to fondomentali : uno a perlo, o pare le molto inclinota, che con tinuo di rettomen te lo tradizio
na a tt iea e decoro la o f igu re, un'al tra concavo e o pareli vert icali,
che costituisce il precedente della kylix campana del 111 e 11 S2colo.
Lo primo formo, roppresen tota da un solo esem pla re piu com ple to e do numerosi oltri f rammenti dell'orlo, e carotlerist ico spcciolmente per ji piede, oncoro di t ipo puramen te attico, con c~ rc hi
rossi e neri o lterno ti, e pe r il bordo ingrossa to, che all'in t ernu formo uno leggero rientronzo .
ss
55. Es. po."iolmen le .kosl ..... iIO, in 0'9i ll o .C».50 e veroiee mol to brillon te, Instro lucido; co n p ie_
lemomenle decQtolo d o .... no filiO ~r¡e di eerch¡ eoneen l.,,1
de bo~so ed ob llQuo, privo d¡ ungh io , ed oose oblique, mu tile. Inv. B. 2503. $en"O p.e-c.$O indico" ione d i provenien"o.
°
(21) Ved. i risullol. degli 5-Covi di Olinlo, nell'opero cllolO oltre, nolo 29. l""1v.
183-192.
-
121 -
[page-n-155]
24
N. lAMBOGLlA
Lo secando vorian te, con onse quasi orizzon lali, pore te ricurvu
ed orlo vert icole non sagoma to, e pure 0550i coro tterist ico, rispetto
09 1i esemplori pi ':" evolu li del II I gecolo, per lo presenza nel p¡ed~
di un'unghia molto piu marcala che nelle s tesse forme 2 1 1;0 22, éi
un cerch io rosso e di uno profondo soleOl uro nell'ongolo della coreno . Tu t t i gli esemplari (quo tt ro in tegri e molr¡ frammen ti) ha n no su1 fondo strio ture o ra fello e pol m ~ tt e s imme trkhe o aggru ppo te, che seguono I'evoluz ione e lo t ipologia delle fo rme 2 1 e 22.
56. Es. ;ntegra, in orgillo rossa cOn vernice apoca olquonlO consu nlD , m .... "i.
to su l fondo in terno di 4 .palmelte impresse oggr upPOte, entro un cetchio di slriaTure o ,afelio. Inv. B. 166. 001 vono 20, senzo indiCO'lione di slrO lo (3 luglio
1928).
51. Es. olquonlo mu tilo, in orgillo chioro per O'lione del fuoeo, con vemiee
nero brillonte ben conservo to e fondo in terno orr05so to; muni lO di 4 po lme tt e lmpresse simme triche. colll!gole da un ce"hiell o. Inv. B. 1511. 001 vano 2 42, s lroto 111 (2B luglio 1931).
58. Es. o lquonlo mut ilo, in argillo rosso olteroto dol fuoco. con bello verni ce
nero brillonle, muni lo sul fondo inlerno di 4 :>almelle impresSe simmelr iche, col.
lego le do un cerch iellO. en lro Una 10no d i s lriolure o ro lello. Inv. B. 1531 . Dol
VOf'O 163, Slroto IJI t2 IU91io 1931).
59. Es. olquon lO mulilo, in orgiUo rano e vern lee brl llonle poco or'O$$olo, can
cerchio r~~ nel piede e nell'angalo delta careno, munilo sul fondo inlerno di
quollro polmette simmelriche impresse, en l,o uno 'lono d i slrio ture o ,olello. Inv.
B. 1509. DoI vano 208, 51.010 I (16 luglio 19311.
60. Es. in orgillo rO$$O e can vernlee apoco, di formo legge'mente pi .. operto
delle precedent', con cerchio r 05SO nel piede e nell'ongolo dello careno, muni l?
sul fondo interno d i 4 polmelle oggruppole impresse, ent,o >:ono d i s lriolure o '0_
tello. Inv. B. 165. 001 vona 40, sefl>:O indico'lione d, Slrolo (2 0 luglio 1928).
Contra ria men te o quon to si potrebbe sospettore o primo visto,
lo kylix dello forma 42 B non e uno sviluppo dello tormo 42 A, ne
e esclusivo del 11 1 secola: entrom be coesis lono gia 0 110 Bost ido,
come pure ad Olin to in Grecia (221, e ques !'u1timo loca lita d imostra che anche la formo 42 B ha origi ne an tedore olla me ta del
IV secolo. Gli esemplori dello Bas t ida risulta no pero inconfondi bil i
pe r le cora tterist iche del piede e de llo carena che obb ioma sopra
occenno to, e permettono torse di fj ssore un momen to ben de finito
ne ll'evaluzione di ques ta formo, con una cu rva tu ra o quar to di
cerchio q uosi pe rfe tto. Gio diversi oppaiono g li esemplori d i Ensérune, dove lo pore te l ende o diven tore vert ico le oppure o fl e tte rs i
(poro ll elomen te o quon to owiene per lo formo 22 ), e iI piede e od
unghio basso oppure semplicemente obl iquo, le pal me tl e gia a r i·
lievo e stocca te, e compoiono anche le rose tte ch~ oll a Bastida 50no totalmente ossen t i.
t22}
Ved i 1'0P. d I. oltre nolo 29, lov. 205-213.
-
128
[page-n-156]
LA CERAMICA " PRECAMPANA" DELLA BASTIDA
2S
FORMA 43
Lo skyphos oppore moh o roro 0110 Bos t ido, e solo poch issimi
frommenti, oppor tenenti 01 fondo, possono r iferi rvisi. Ci t iomo ¡ se·
guenti :
61. Es. mutilo di tu ll a la parte su?eriare, in aroillo
ntra b
noto; non siC.lfomen te per tinent e oc! uno skyphos. Inv.
indicoz;one di provenienzo.
129 -
rosso con bella vemice
provtnie nzo.
dello parete OHQ; Inel i8 . 2511. $enza Pfll!C iiQ
[page-n-157]
26
N. LAMBQGltA
Appare chiaro, dalla solo inclinazione delta porete, che si t ral to a ncoro di esemplori o tt id o d i t rodizione c tt ica o forma ova le,
an teceden !i 0 110 svilu ppo dello skyp!'-os cam pono con pore le f lessa
o ven t re r io lzoto, che a sempre lo pare te ¡nferiare quasi verlieale
(23 ).
FORMA 44
Oinochoe, roppresenta la do un solo escmpl are ecceziona le:
63. Es. c.on boceo o lob; ondulo t; e con al to onso superiore 0110 b!Kco, mun;·
10 di baccelloture in ' 1,.1 110 lo me ta ¡nferiore d el carpo. ~ in org ill o rO$$O come lu llí
j preceden!i, con bello vernice nero brillonte. Inv. B. 163. 001 V(lno 37 , senZQ indl co:tlone di 5lro lo.
Ha !rova to od esso finara un solo po roll elo acl Emporio" (24) ,
per quon tb (¡gua rdo la $pagno e ,'Occidente. Essa ha r iscon !ri ne llo Grecia e nell'Orienre nel IV secol0 (25) e non sembro focdo
porte del repertorio comune dello ce romico compano piu tordo . Lo
suo presen za 0 110 Bast ida e camunque do ri tene re come un pun to
d 'appoggio per gli s tud i futuri.
(23) Queslo ipotesi ha ovonzoto in " CloSliliu :lione pr elim ino. e" ,ir., pp. 190191, e soronno lU ttovio 00 vedere i limili aello SUD ve.osim ig llonzo.
(24) " Clonifi cO:o; io ne p,climin o. e" cit., p. 192.
125 ) Ad Olinto IROBINSON, cp. cit. o. nolo 29, lov. 154 e pOg. 211 ). e
nell o necropoli di Sdolbi lE. BRECClA, "lo ne<:ropoli ::Ii Sclolbi", 11, lov. XLIV).
-
130-
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•
LA CERAMlCA "PRECAMPANA" D~lLA BASTIDA
27
FORM E 45 E 46
!: ossa i coro t teris t ico I'ossenzo quosi totole, anche Ira i from men ti, di avonzi di lucerne e dei vosi impropriamen te definiti "gutti", in reol ta por toal ío per lucerne oper te (26) .
Di questo genere di vosi 1'unieo s ignificativo e comp!eto e il
guttus od 051r090 1 (form o 46) descritto 'SOtto.
0
Del "guttus" piu comun~, boc:cellato e con beccuccio o protome
leon ina, un solo trammento esis te, e quo1che ahro from:-n~ntino con
boccello ture, che potrebbe riferirvisi. In confronto con la frequenza
delle a ltre forme e!·.!mcate finara, la rori !o di questo t ipo di vo:>o
oppa r-e sintoma t ica, e debe o Q\lere un significa ta cronologico o
ind icorne lo scorso uso Ira gil ¡ndigen i delta Bastida. Sto p~ró di
fotto, in concomitonzo con le o~tre osservozioni gió fo tte sopra,
che ji "guttus" baccelloto e proprio sopratulto del II I secolo a . e,
e che lo suo asse nza puó benissi mo spiegors i con lo doto piu anli ca in cu i I'oppido fu obbondonoto.
64. Gult us od os tropolo, mulllo d el colla e deU'o nso superiOfe, in o rgi llo rosso
con bello vern ice nero brillonte. Inv. B. 172.001 va no 68, UrOIO 11 11 0 luglio
1929,.
Questo vaso, gió no to in ollri giocimen ti occiden toli mo non mai
molto fr2q uen t e (27) e cer Io esclusivomenle dé'1 IV s ~colo, se non
del V, a. c.; non ne obbiomo alcun esempio 0:1 Ensérune . La suo
cronologia, fi nora ossoi indetermino to, riceve qu indi LIn primo pun to di oppoggio 0110 Bast ido.
(26) Di lucerne vere e plap,ie, o vernice 'I1e,o , nan oppore in mogo1.ziou .c
non Un piceolo frommen lO (dol vano 68, 10 luglio 19291, sen zo coto "er islic~,e
d,stlnguíbili, ma che sembro oppor lenere od uno lucerna aper lo, d i u no formo lipico de l IV secalo.
(27) Un fi!mplore inleg ro • nel Museo Atcheolag ico d i 80rcellona, prove"i e!'lle do lb;::::! lfiguralo in " ClolI;" 'o,;o"" preliminarc" ci t., p. 1931. BAL!..ESTE~
PERICCT (1. c., p. 22 no to l hanna g ia ci lala gU esempl:JIt de l Brilish Muscum
tWALTERS: "Corpus Vosor u m Anti(luarurn" , fase. 4, p. 3 1. Cfr. pu re K. KRYSIAK :
"The tibiol lorsol bone 01 o $lag tC~rvus Elop!1usl os o ?O"e'v mode l in ancienl
Grece", in Sprowo1.danio P. M. A. ¡Varsovia), 11 (i948- 49), pp. '11-''13.
_
131 -
[page-n-159]
28
N. LAM80GlIA
FORME RARE E SPORADICHE
Oltre olle forme comun i sopra descritte, si possono r;levare, nel·
la mOSSa de; frommenti (oltre 2000) di ceramico attico o precompona che sono sto!; roccoll; nelle compogne di scavo 1928·3 1, 01 ·
cuni pezzi che si riferiscono o forme eccezionoli, e che conviene
segnolare per futu ri cenEron !i con altre s tazion i coeve. Essi sano:
65. Cope.chictto di un vaso piccolo o o boceo anal SIro! 10, tOO preso supcriore a pkeala pomo, piano di poso op;¡iottito e cancovi la interno 05$01 prolondo.
Inv.
1522.
e.
66. Fr. di coppo pert inente forse alfo forma 56 Imor'lOO:'Iso tol. con porete
cu'v(I e orlo non 5Ogomolo. Inv. 8. 2513 .
,j.
.7
') t
~,,(
67. Coppo parziolmen1e ricom;>o."\ibile do vod fromment¡, in orgillo rO$SO con
vemlce complelomenle conSUnTo: si puó ri ferire olla forma 22 mo ha la parllre
p io o;¡er lo e I'orlo olquonlo pendenle, ed é d i dimensioni ossol maggiori. Sul fon~
do ~onservo Un lembo dello de~oroz:ione o polmeOe combinale, di lipa on~oro prellomenl e olli~o. Inv. B. 2101.
\
\
;;
,
68. Fr. di c:oppo ~on orlo oppiollilo e poreli leggermen le ricurve, non ri feribile od o1cuno delle forme ri~O<1O$Ciule sopro; é in orgillo rosso, con vernice o5soi
op:xo. Inv. 8. 2515.
-
132 -
[page-n-160]
LA CERAMICA "PRECAMPANA" DELLA BASTIDA
29
69. Fr . di eoppo con orlo sogomoto ed ~nso, munilo di uno rienlron~o interno simile o Quello che obbiomo risconlrolo ne l tipo A dello formo 42. Conservo
uno bello vernice nero brU1onle; I'orgillo e griglo-scuro per o~ione del lu oco. Inv
B 2514 .
PALMETTE SU FONDI DI VASO DI FORMA
NON PIU RICONOSCIBILE
Esistano inol tre, tro i from ment i in moga zzino, num (!ros; esemplori di decoroz;one a pol me tte su fondí di for mo non piu ricono::;·
dbile, e che si
lo presenzo di un numeroso gruppa di "polmette combino te", con
festan i ~d ovoli, che oppartengono o vosi evidentemente pie. an t ichi
di quelli conservoti integri a l momen to dello distruzione dell'oppi do (28).
01 Pal mette combinot e
Fondo o eefchi olternoti rossi e oeri, sen:.o unghio , con due giri di 001melle e :.ono semplice di Slrlolure a rO lello. Inv. B. 2001 . 001 vano 125 (15 lu.
glio 1930111. Fondo ollieo o vernice brillonle, con piede verlicole sen:.o unghio. F05l;io
di ovol; enlro sconololure, e neU'inlerno 15 polmelle sciolle; 01 centro forse un:.!
lIello entro un eerchio. Inv. B. 2002.
72. Fondo olllco o cereh' ross l e neri. Foscio di ovoli piccoli e stiliuotl, con
frongio es lerno di flQlmelle e fes loni, entro Irípliee ~ono di slriolure o TOlello. Inv.
B. 2003, (19291 .
73. Fondo otlito o cercni rossi e neri, bello ver nice brillante. Foscio di ovoll
piceoll e $Ill1uotl e Irongio di polmette e les lonl, come nel precedente. Inv. B.
2004 . 001 vano 115, slrolo 111 (19301.
74. Fondo Oll lco o cerehi r05si e neri; vernice e or9illo degrodole Der o:.ione
del fuoco. Zona di ovoli Iro due seonololure e 'rongio di polmette e les lonl. Inv.
B. 2005.
'/5. Fondo oUleo o eerehi rossi e neri; vernice nero brillonle. Dopoio giro rli
polmelle o f6 10ni ¡n(focioli, seporote do uno ~ono di strlolure O ro lello. Inv. B
10.
2006.
76.
Fondo ollito O cerehi r05si e neri; verniee degrodoto per fuoco . Doppio
giro di polmetle o feslonl Introcioli, separole do slr;olure o rOlello, come il pre~edente. Inv. B. 2007.
(2BI EssI moncovono di uno
numero 2001 01 n. 2054.
numero~ione,
-
133-
e sono sloli elencoll ex novo dal
[page-n-161]
N. lAMBQGUA
30
11. Fondo aUico (1 errehi r
18. Fondo auico Q ce,ehi rossi e neri; piede Q'quonlo obliquo s.enzo ungh;:!
Fascio di oYol¡ e foscio esTerna di polmetle poco regalad, en lro sconalolUre. In ....
B. 2009.
19. Fondo anico (1 eerehi rossi e ntri; o.gíllo e verniel! degrodole. Festin d;
oyoll, con frongio di palmelle (1 feslon;; cerchio';"'o interno ;solo lo. Inv. B. 2010.
80. Fondo ouico (] cereni rossi e neri. Al cenlro 5 polme lle simme triche intorno od Un cerchio; foscio di ovol' piccoli e slili1zoli (come nti n. 12 e 13) e
!rangio "terno di 90Imelle e fesloni. Inv. 6. 2011 .
81. Fondo ollito (1 eerehi ross; e neri; ... er"ice brillonte, argillo degradot.,.
Polmelte simme trkhe (?) 01 centro; 105cio di ovoli, Irongio di palmetl~ o les toni
Incrocio tl, ed esternomenle zono di punlini rodi. lnv. B. 2012.
GIi esemplori descritti finoro sono lulli di lipo 'non solo precom;xlnO, mo quosI
certomen te o Uico, coro ll erizzoto spe<::iolmenle doi cerehi multlpll fossl e neri sul
fondo esterno. Inveee quelli che SeguOnO, sempre o polmelte combinole, presentoro un londo nero uniforme, interro llo do u n solo cerchio rosso. Si pairo dire
in luturo si questo dlversito corrispondo od uno evoluzione cronologico O od uno
vorie to ' di fobbrico.
82. Tre frommenli, con (Jiede od unghio mol lo morco lo. fOf$e di ky lix. Polmel le interne, forse simmelriche; zOllCl di ovoli Ira s<:onolot ur e e fronglo d i pa lmelte o feslOni. Irw. 8. 2013 . 001 vono 115, $trolo IV (19301.
83. Vernlce brillonte e piede od unghio morcolo come 11 precedenTe. 20na d i
ovoli e frongio di polmette o festoni . Inv. B. 201'1 . 001 vano 115, $trolo IV
(1930).
84. Vernice brillllnle e pitde od unghio mareolo. Polmelle simmelrkhe i-n_
lomo o un cerchiello cen trole; zono d i ovoli e Irongio di polmelte o leston;' Mol.
lo $imile oi due frommenli precedenli. Iny. 8. 2015. 001 'lOna liS, $lrO lo IV
(1930).
85. Polmelle inlerne o lesionó. Zono di ovoli e Irorgio di polmelle o feS lon!.
Inv. B. 2016.
86. Piede od ungh io non riolitoto; orgillo piu chioro e vernke ossoi rO$50. lorse per eHelto di colluro. Cerchio di ovoli 01 centro e ',ongio di palmelle o feston;
olQUonto Ifregolor i, inlomo od Un cerchio; zono estema di striolu'e o .otello. Inv.
B. 2017 .
87. Fondo o ?Orele molto soltile; vernice brillante. Polmelte simmetriche ;JI
cen tro, e 2.0no di ovoli lltl'esterno. Inv. 8. 2018 .
88. Fondo o porele molto sotlHe; vernice brillonte. Zona di ovol; e frongio di
polmeTle
feslC<-li .
°
b)
89.
Po lm ette colle9 0le
Piede od unghio. Polmelle collegote do lesloni regalo'; Incrocio tl, e quoI'
Ira polmelte simmelriche sovroimpresse 01 cen lro. Inv. 8. 2020.
90. Fondo es lerro
c:¡uod ruple. Inv. B. 2020 bis. 001 vano lIS, $!ro to IV (19301.
91. Piede od unghio morcolo; vernlce interno degrodo to. Polmelle coUegole
do les loni regalori incrocioli, e 01 centro due cerchielli concenlrkl Quosi impe r.
ce.l libili; oll'esterno zona multiplo di strloture o rOlell o (otto li lel. Inv. B. 2021 .
92. For:do comple tomenle nero, od umbil ico; piede od ungh io no" marcolo.
Polme ll e COIf~(lle do les toni regalad incrocio li; zona Ir ipllce di Slrioture o rolello. Inv. B. 2022. 001 vClno 99 (1930).
93. Fondo nero od umbllico, piede od unghio non morca ta. Polmelle coll~o!e
do fesloni regalori 'ncrociOIi. Inv. B. 2023. 001 vano 99 (1930).
94. ~ondo nerO od umbiti,o. Pol ....eue cotl~te d o;> IHlon; ;"";rociotj .. l<.t ..... n1o
irregolo 11930) .
-
134 ;-
[page-n-162]
LA CERAM ICA "PRECAMPANA" OZLLA BASTIDA
31
95. Fondo nero od umbilico; ve,nice brlUonle; piede od vO!Jhio non riolzolo.
Polmetle eoll~le do fesloni iocrocioli regolori. Inv. B. 2025.
96. Fondo ... e,o od vmbilieo; vernlee nero moho brillonte. Ove ee'chiolini
concenlrici oll'interno COme nel n. 91. Polmelle collegote do festonl ioc,ocioli regolorl; zono mvlliplo d i striolure o rotello. Iny. B. 2026.
91. Fondo neto od umbilico e piede od unghio. Polmelle eollegole do feslon;
olquonlo im:golori; zono muhi;>lo di Uriolu,e o ro leUo. I.w. B. 2021.
98. Fondo cd umbilico; yernice degrodolo e rossiecio oll'inlerno; piede soll:le,
od unghio non riolzOlo. Polmelle collegole do lesloni al~uanlo irrepolori irn;racio!!. Inv. B. 20 27 bis.
99. Fondo nero od umbilico e piede od unghio. Polmelte collegole do festonl
Inlreccio!!, obbaslonzo regolori, con cerchiello sovroppoSlo nell'inlerno; zona di
minule slriolure o rolello. Inv. B. 2028. 001 vano 99 (19301.
100. Fondo nero od umbilico; piede od unghio. Polmelle colle90le do feslO'll
a 10songo. Inv. B. 2029.
101. Fonda neto od umbilico. Polmell e collegole do festonl 510ceoll, COn ee:chleno In terna. Inv. B. 2030.
102. Fondo nero od umbHico; picde cd urn¡hio non riol:.olo. Polmel 1e eoll,.go te do lestonl rodioll olquonlo irregolor i, con cerchiolino a l cenl ro. Inv. B. 203 !.
103. Fondo nero od umbilico; verniee r0550 deqrodolo; piede od unghio non
riolzolo. Polmelle collegole do festonl inerocioti, olQuon to irregolori; zono eSI"'ro di slriolure a ro le llo. Inv. B. 2032. 001 vano 115, 51rolo IV (19~01.
10'1. Foooo od urnbllico; vernice fo~ d'imitoz ione, bruno ed opaeo. Polmel'e
collegole da leiloni; zona di sl rio lure a rofello pio rodeo Inv. B. 2033 . .
105. FOl1do od umbilico, inlernomenle orrossOlO; piede od unghio poco riolzo10. 4 polmetle collegale da fesloni o losange, con eerchiolino 01 centro; duplice zona di $I
Polmelte colle-gole do feslani incrocio li, con ce,chiolino 01 centro. Inv. B. 2035 .
el
Pal melte _immchic he
°
r01. Piede d i lipo ollico cerehi ,oss; e neri. 4 polmelle dispaste o croce ;n.
lorno un cerchlello, enlro Un cerchio eslerno cor.centrico. Inv. B. 2036. 001 vano
62.
°
108. Fondo con yernice poco orrOSSOlO. <1 polmelle dlsposte o troce; zona e-.;.
lerno di slrÍ1:lture a ,olello. Inv. B. 2031.
109. Fondo
vernice deg rodoto (opporliene o un voso d i forma 21 / 25 8 1.
4 palmelt e dispoMe o croce olquonlO irregalore. Ir"IV. B. 2038.
110. Fondo od umbilico e pil!de CId unghio. 4 palmelle disposte o:. croce (egolore; zona rnultlplo di slrlolure o ro le ll o. Inv. B. 2039. 001 vono 99 (1930\. ,
111 . Fondo nero od umbilieo, piec!e od unghio morcolo. 4 palmell e d l$po~t é
o CrOCe o lquonto irregolore, ¡n torno CId un ce,chiolino; zono d i slr iolure o rotello.
Iny, B. 2040.
1 12. Fondo CId un,bilico, orrO~SOIO e con vernice deg,odolo> pieile' M u~g¡,io
morCO IO (pertinente o u no k~I¡.) . 4 polmette d ispOS t ~ a ( roce, entro zono ,di slrío;
lure o ,olello. Inv. B. 2041.
113. Fondo e5ternomenle orros5O lo, con piede od unghio ' morCO lo (pe'rtlnen tCl
O uno ky li. ). 4 palmelte dispos te
croce intorno o Un cerchiolino, en tro diJplic~
zono di , slrio lure o rotello. Inv. B. 2042.
114. Fondo nero od umbillco; piec!e od unghio non morcolo. 4 ""Imelle dlspos te o croce olQl.lOntd irregalore, enlro zona di slrio ture o rOlello. Inv. , B. 2043.
I 15. Fondo od umbilico; verni~ olQuon lO degrodo to ed eslernomenle orros,
solo; piede od unghio osso; so ll ile, con cerchio rosso. 4 palmetle d isposle o croce.
;ntorno eS 1.11"1 cerchiolino, entro duplice ze..,o, d I slrio lure b ·rolello. lriv. -8. 2043 bl~\
116. Fondo olquanlo orrossolo, con vernice forse d'imi lo zione; piede CId un·
ghio non marcolo. 4 polmelte disposle o croce, e'1lro zono di slr.i0lure o rQ~ello
rcdc. Inv. B. 2044.
°
°
_
135 -
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32
N, lAM80GUA
111. Fondo, pertinente forse a Un VO$O 5U piede (ky lill ?); piede od unghiJ
non ';01:'010. " polmelle poco simmeukne e ;,regalad entro :tona di slriotu,. o
rolello. Inv. B, 2045.
118. Fondo a vernite oliVOs lra, for se: d'imilo:.ione; piede od unghio non tial
119. Fr. di vaso su piede (símil. 01 n, 111)." pa lmelte cvgruppot. o croce.
Inv. B. 2041,
120·125. Se¡ 'rommenli di formo 21 / 25 S, con bello vemiee neto o leililermente orrossolo. " pa lmelle oggruppole o croee olquonto ¡rregalare. Inv. B. 2048_
1053.
126. rondo o v.,nice neto opa.co, lotse d'lmito:r.ione. 4 polne". oggruppole,
05501 ¡,reootari. Inv. B. 2054.
I
Lo clossificazione delle polmette precampone che abbiamo tracdato sembro dunqué! reggere 0110 provo di un piu vas to gruppó di
moterioli del IV secolo o. e, che rientrano tutti in uno delle quot ~
tro co tegori-e def inite.
Sembro pure confermoto I'ant eriorito delle polme tte "comb i ~
note" su quelle "collegate", e. fra queste ultime, di quelle a di segno molto regalare su quelle in cui i festoni si vonno in t recciondo
e s taccondo ,'uno dol1'altro, con tecnico progressivamente piu scodente. ¡: notevole che iI primo gruppo ricorro in moggior parte su
frommenti che pie. sicuromen te si possono definire "o llió" ed oscrivere 0110 fine del V e 01 principio del IV secolo. mentre le altre
apportengono ai vosi in uso 01 momento della distruzione dell'oppido. 1 frammenti con polmelte combino te di cui si hanno ancora i
dali di provenienzo si riferiscono infotti a live!! i profondi (III e IV
st roto) an teriori olla distruzione .
¡: infine confermata. dalla descrizione de; frommenti, la cons_
tataziane che tutte le palmette presenti olla Bastida sano impresse, e che percio la data di inversione dell o tecnica, con odozione
del disegno in rilievo, e posteriore oll'abbondono della locali ta .
• • •
Qua li insegnomen ti genera li si possono trorre de l maleria le del la Bastida per la cronolog ía e la diffusione della céromica precampano e campana in Occidente?
Sono pochi gli elementi di confronto su cui si posse fore offidomen to sicu ro: I'unico f inoro val ido ne! Mediterraneo occiden ta le
e quello de llo necropoli di Ensérune, databile intarno a l 300 o . e,
o cui ci siamo gio piu volte riferi t i. Vol la peno di fis sare in sun to
gl; orgomenti che ci portono a giudlcare lo facies tinole della Bastida anterrare di due o tre decenni o quella di Ensérune. cine fra il
350 e il 330 avont; Cristo:
_
136 _
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LA CERAMICA "PRECAMPANA" DELLA BASTIDA
33
o) Seno assenti 0110 Bastida i vasi decarati nella stile detto
"di Gnazia", largamente rappresenta t i ad Ensérune, e in part ieolare ¡grande erateri di for ma 40;
b) manco olla Bastida i1 vaso pr~campona di forma 26, che
ad Ensérune si associa 0110 forma 2 1 e ne sembra una di re tta evoluzione;
e) manco pure ogn i esempia sia della t ípico coppa bocee Ilota
24/25 B, frequentissi ma ad Ensérune, sia delle forme 25, 27 e 28,
proprie della piu an t ica ceramiea campano, come pu re del "gtJol tus"
o baeeell atu re (forma 44);
d) le pal metl e sano sempre impresse, non a ri lievo, e manco no total mente I·e pol me tte s taceate; lo lega t u ro de ll e polme t te e
sempre abbastonza accurota e regalare, mal trescurata e convenzianole come appare 0 110 fine del IV secola ad Ensérune;
e) e costan te lo presenza su l fondo dei vasi e in torno 01 piedc
del motivo e cerchl rossi e neri, proprio della ceT ice attica a fi am
gure, m<
!ntre ad Ensérune si puó consta tare che esso e in piu avanzato stodia di scamporsa .
In tutt'altro ambiente, ed assai piu lontano, ci offre un buan
porallelo il materiale di Olinlo, in Grecia, distrutto e abbondonota
nel 348 o. C. e perció eorolteristico dello primo metó del IV secolo
(29). 11 confron to con Olinto rivela uno not evale serie di onologie
nelle forme e nelle decorozioni, per quanto ivi lo gamma della produziane sio infinitamente piu riceo e piu vario. Rileviomo in portio
colare:
o) lo presenza de; vasi di formo 21 e 22, con sagome e poimelle onaloghe, e I'assenzo del vaso di for mo 26;
b) lo presenzo delle m inori for me 2 1/25 e I'assenza delle for me 24/25 con boccello ture, nonché de lle al t re for me della cam pana piu antica sopro citote;
c) lo presenza de l cratere di for mo 40 solo in esemplori di
piceole di mension i e con sempliee zona di baccellatu re, priva di decarazione savradipin ta;
d) le pa lmette ma lta regalari, di solito "combina te", e I'assenzo di que lle co ll~ga t e con disegno irregolore.
129) I vosi di Olinto $Ono pubblicoti e ompiomen te sludioti do DAVID M.
ROB INSON : "Ellcovotions 01 Olynlnus, XIII; VOSl'$ fovnd in 1934 ond 1938",
Boltimore, 1950 (seguito o Quelli gio pubbticotl nel vol. V, Soltimore, 1938).
__ 137 _
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34
N . LAMBOGLlA
Poiché lo dato dell'abbondono di Olinfo e finara lo 5010 mat~
maticamente esotto, ne consegue che "obbondono della Bas tida
non puó essera od esso posteriore se non di uno o due decenni, 11
che el ovvicino sempre piu al limi te del 340-330 ovan ti CriSlto, che
crediamo di poter in t rovedere. E: questo difotti lo dato oHertaci pure da lla non grande quantitó di ceramica greco o figura rosse che
olla Bos tida accompagno lo "precompana" : il frommento piu tor o
do, secando il BeozJey, puó oppunto cadere in torno 01 330 o . C.
(30) .
Si offaccia oro na turalmen t e il quesito : qua! e il luego di pro veniem.a di questo ceromico, come di t utto quello o vernice nera
che ero im porta la in Occidente, e porticolormen t e sulle cos te della
Spagno, primo dell0 general e diffusione del10 ceromica propria men t e campano?
Lo risposto piu ovvio e che questo cen t ro obbio do ricercarsi
nel10 stesso Componio, o comunque nell' ltolio meridionale, ed esso
sorebba indubbiomente suggerito anche dall'anologia delta posta
rossa con quelto della campana A dei secoli successivi. Ques to ¡potesi non t rovo pero conferme, finara, in questo supposto p:l trio
d'origine: 0110 stoto o Huole delle nostre conoscenze si c~rchereb!::le
invono, nel mondo itolioto, uno stre t to riscontro di forme e un:l
ano logia di tecnico con lo ceromico precompono dello Bastida o di
Ensérune, tole do legittimore lo supposizione. Quel che e oro possibile osservarvi dorebbe luogo piuttosto olt'ipotesi con t rario : lo
posta e di solito color nocciolo e piu chioro, le forme non sano iden fiche anche se presentono notevol¡ elementi di offinifa . Solo om ·
mettendo che lo produz ione "pr-ecompona" o posta rosso sio lo dire Ita onteno to dello campano A, e che lo vorieta o posta rosso sio
escl usivo dell'e fobb riche isch itone ed obbio perció roggio d'oz ione
morittimo e non t errest re (31 j, si pot rebbe acce Hore I'ipotesi che
gia dalla Companio provenissero i vosi o vernice nero dello Bost ido.
L'alt ro possibili ta e che quest i vosi provengono ancoro do ignoti
cen tri dell'Ellode e siono s trettamente legoti 0110 produz ione attico
non decorota a figure, nelle sue vorieta e nell e sue imi taz ioni da
••
(30 ) Dalaz iane comun icala da l Bea zley, per il fr. di vaso con la sce no d i Tr it lo lerno, a P. BOSCH-GIMPERA: " La formación d e los pueblos de España", MeJeica, 194 5, p. 230. V. gli allri frommenli pubblical i In mon imo pOrte d o BALLES·
TER-PER ICOT, l. C., lav. XIII .
(3 1) Clr. " Clallifico&;one p,clim;..a,e" cit ., p. 16 3 Scg{J .
-
138 -
[page-n-166]
LA CERAMICA "PRECAMPANA" DELLA BASTIDA
•
35
parte di fobbriche 10coli. Ci manco finara egni punto d'oppoggio
per offermarla o per negarlo, e sol ton to dol progresso delle ricerche
sio nello Gracia prapria, sia nell'l talio meridional e, potra scaturire
lo verilO. Questa incertezzo legittima uno vaho di piu il termine
di "ceromica precompona", per tutto lo produzione del IV secolo
non oncoro sicu~omente ottes tato in Componio e che si \.390 oncoro
s trettomente 0110 trodizione Ofllico . Aquesto constotoz ione credo
che dabbiomo per il momento orrestorc:i .
Un lungo comm ino resto ancoro do compiere per determ inore
i coposoldi cronologici e il flu sso delle corren t; commerc:io li ante riori 0110 romanizzozione nel M~diterroneo occiden tole. Giocimenti
come quello dalla Bastida possono oprire lo vio od uno soluz ion2
del problema, mo e necessorio che essi si mahiplichino e che !rovi no onzitutto le loro bos; cronologiche in laco lito dotote do eventi
s torici ben conosciu ti.
-
139 -
[page-n-167]
[page-n-168]
LAMBOGLlA.-CC jca "pfICampana" d.lla Baltlda
fam
Po!melle " collegole" dello ICN'mo 21
LAM. 1.
[page-n-169]
LAM, 11 ,
Polmelle "col1egclle" dello formo 21
[page-n-170]
LAM. 111.
Palmette "callegale" della farma 2'
[page-n-171]
LAMBOGlIA.-C• •omico " p. llco mpOrl O" d. llo Bost ido
Palmelle "colleoole" de!1o formo 21
LAM. IV.
[page-n-172]
LAM80GLIA.-C"ClmiCCl " prlCClmpClIICl" d, IICI 8C1ltldCl
Polmell e "callego1e" dello formo 21
LAM. V.
[page-n-173]
LÁMBOGLI .... _ Ctrornlco "procompollo" clona BOItlclo
Polmette "coUegote" dello forma 21
LAM, VI .
[page-n-174]
LAMBOGLIA. -Ce.omieo " p.e( ompano" dello So.lido
Polmeltl! ",lmmetrlcne" della formo 21
LAM. VIL
[page-n-175]
LAMBOG LlA . -Cc romico " ptcco mp ono" delto BOltido
LAM. VI II.
21
11 / 23: Polmelle "oggruppole" deU o formo 2 1
24.- 5en:<0 polrnl"He
[page-n-176]
LAMBOGLlA.-Ce.amiea " p.ecampana" dclla Bastida
Pal me lle • simm ... l.iche" e "oggruppcle" della forma 211.25
LAM. IX.
[page-n-177]
lAMBOGLlA.-Cerom ico "prec;ompono" dello BClstidCl
\
Polmelte "collegote" dello formo 22
LAM. )( ,
[page-n-178]
L... MBOGLI ...._C..omlco " P'l compono" d, lIo So. t ldo
Polmelle e ,Irlolu,e dello formo 40
L"'M XI .
[page-n-179]
LAMBOGLlA.-Ce.amiea " p. l umpana" de lla Battida
Polmette "simmetriel"le" e "oggruppote" dello forma 42
LAM. XI I.
[page-n-180]
LÁMBOGLIÁ.-Cera",ica " precal'l'lpana" deUa Bastida
Polmet te "combinate"
LÁM. XIII .
[page-n-181]
LAMBOGLIA .-Ceramica "precampana" dalla Baltlda
Pa!melte "combínate"
LAM. XI V.
[page-n-182]
LAMBOGLl A.-e.tcaMleca "pr.Ult'lpcallca" dellca Bcaltldca
Polmette "combinote"
LAM. XV.
[page-n-183]
LAMBOGLIA. -Ccrami co " pr cca mpana" da lla Bast ida
Palmelte "combinore"
LAM. XVI.
[page-n-184]
LAM. XV . I.
Polmetle " combi not e "
[page-n-185]
LAMBOGLJA._Ce,,,m;co " p.ccompono" del! o Bostido
Palme lt e "callega!,,"
LAM . XVIII .
[page-n-186]
L MBOGLI ....-c:.romlca "pr. campo"o" deno BOltldo
...
L"'M. XIX.
.•
"'
•
.,',•
:.~
2..:.-
Polmelt' "collegot,"
\
[page-n-187]
LAMBOGLIA.-Ceromico " precompono" dello Boslido
PalmeUe "call egote"
LAM. XX.
[page-n-188]
LAM80GLlA.- Ce tom lco " ptecompa no" della Bal tida
."
"
Pa!melle "callega' e"
LAM. XXI •
[page-n-189]
LAMDOGLl A . -ee'Q mic:o
LAM. XX II .
~
.¡,,
,
Palmelt e " 5lmmelriche"
:'1;', 1I
Oi
[page-n-190]
LAM80GlIA.-CtraMk .. "prtC:OMpOllO" deU o 8."tido
Palmelle "$immelriche"
LAM. XXI II.
[page-n-191]
LAMBOGL IA.- C. ,om;eo " p, ec:om pono" dello BOltido
Pcl meE I!! "cgQ'uppo'."
LAM XXIV
[page-n-192]
J.
H. C.
KERN
(Hllla " dal
Nolice ~ur une oenochoé attique
a glac;:ure noire au f"Iu~ée de
Pr é hi~toire de Valencia
(Espagne)
Lo tres ¡alie oenochoé (planche 1, 1), qui a eté découverle o Lo
Bas t ida de Les Alcuses (Mogen le) (1), el se trouve oujourd'hui ou
Musee de Prehis toire de Valencia, n ,- 163, entre dans une séri,e -:le
voses o tliques 6 glo'iure na ire d u 4éme sitkle ovan! J . ehr. L'oe·
nochoe Va le ncia 163 mesure 12'5 cms, de haut, diame tre du gOUI0!
frené 5 '5 cms., diometre du pie d, en form e de menu tore 5uppor·
tonl, 4 cm. Forme 2 d'oenochoé, d'apres 10 nomenclature dans le
grand ouvrage de J. D. BEAZLEY, Attic Red Fig ure Va se Painters
(Oxford, 1942). Lo panse mon tre des cat.es vertica les, mode lées
dans I'orgile, qui pourra ien t bien suggérer des pro totypes en meta l (bronze, orgent) . Tout le vese est couvert d'une bonne gl o~ur e
noire, ossez lu isonl e, o I'exterieur, ainsi que tou t en hout de -I'i ntérieur.
I1 yo une longue serie de pieces stric temen t onologues, don t
on o t rouvé pos mol d' exe m plo ires sur tout outour du bossin oriental de lo mer Méditerronéenne, ainsi que de lo mer Noire. Le contex te, al.! il es t cannu, semble ind ique r une dote ve rs 400/350 avon t. J.
(1) 1. 8ALLESTfR TOR MO e t L. PER ICOT GARCIA: "Lo Bost ido de Les Al _
cuses (Mogente)", Archivo de Prehistorio Levonl;no, 1, póg. 179 el ss., pI. XI ,
H, Volencio, 1929.
N. LAM8OGLl A: "Pe<' uno dossilicozione preliminorc dello t eromico comp:!no", All i del ..- COfl9re~so Internozionole di STl.Jd¡ ligur; (19S01, pOg . 192 ove:
lig. A (des~i n) el lo no le 179, Bordighero, 1952 .
-
141 -
[page-n-193]
2
J . H. C. KERN
ehr. Le lieu de fab r ication de telles o~nochO nes. La di st-ribution extremement répandue des exemplaires, de 10
mer Naire d'u:1 cóté, jusqu'a l'Espogne, de l'outre coté, s'explique focilement por la voje du commerce.
En donnant suite a une oimoble inv itat ion par M. D. FLETCHER, Directeur du "Servicio de Investigación Prehistórico de lo
Excmo. Diputación d~ Valencia", je m' empresse d 'offrir ei-opres
une pelite lis te des cenochoai parolléles, qui me son ! connu es d'opres les publico t ions, ou d'ou tops ie meme, dans dittéren ts Musées.
Je veux fair e comm encer men énumérotion ovec un exemploire OU
Musée Notional d'Antiquités o Leyde (Hollonde ). q ui Q été c?n:;tomme nt sous mes yeux lors de la rédoction de ces notes.
l .-LEYDE (Ha Honde), N." K. v . B. o 62. Repraduit su r notre
Planche 1, 2. J: F. JANSSEN: Cato (1848), 11, 1490 ; J . H. HOLWERDA: Co to (1 905 ), XXV, 125; J . H. HOLWE RDA : ... Gebruik ·
$oordewerk ... (1936), n." 69 sur p. 13, f ig . 1 sur p. 10; J . D. BEAZLEY : Etrusca" VO$e-painting (Oxford, 1947), p . 257, al! la piece
est da nnée comme probablement a t lique. Naire oenochoé fui trou vee lors des fouill es protiquées par le Consu l-Genéral des Pays-Bas
o Tripoli (Afriqu e du Nord), ~e Jonkheer (o peu pres I'équivalen l
de Baron) ' Cli fford Kocq van Br-eugel, dans les reg ions de Gherna
el Derno en Cyrénaique. Peu apres, en decem bre 1838, le mem e
Clifford Kocq van Breuge l faisait don de !ou te so collection d'obje!s trouves da ns la Cyrénoique, au Musée de Leyde. Ces t alors,
que natre oenachoé cólelée elle-oussi esl ent rée dans naire Musée.
Houleu r 12'25, d ia metre de la panse 7 cm .
2.-SALON IQUE 34.2 52. ,D. M. ROBINSON : Olynthus XIII
(19501, N.- 295, planches 154 el 159. Lo piece tul décauv-!rte 19 34
dons lo ma ison A - l O d'Olynthe (Grece sep tentrionale) . Le contg)(te,
d'apres le fouilleur, serait quelqu es onnées ova nt la dest rudtion
d'Olyn lhe, qui tombo en 348 ovon t J . Chr. L'oenochoé, un peu
mutilée, mesure 11'5 cm. de haut .
3 .-Autrefoi s o KARLSRUHE, coll ec tion A. Vogell, J . BOEH LAU : Sommlung Vogell (Cossel, 1908), N." 211 sur p . 24; pos
d'itlustrotion . Provient sans doute de la Mer Noire . Hau teur 19'4
cms.
4 .- Autrefois o KA RLSRUHE, collection A. Vogell , J. BOEHLAU : Op. cit. N :' 21 1 su r p. 24 e t pI. 6,32. Provenonce comme 3 .
Cou ronne de feu illes dg lourier foit es o lo borbotine aulour du col.
Hau teu r 19'5 cms.
-
1'12 - _
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QfNOCHOE ATTIQUE AU MUSEE DE VALENCIA
3
5.-Aulrefois o KARLSRUHE, collection A. Vogell, J. BOEH·
LAU : Op . cit. N.- 212 sur p. 24 : pos d'illuslration. Provenance
comm.! 3 -4 . Hauleur 10'9 cms.
6.-S0FIE (Bulgariel 71 86. Fouilles et recherches 11 : Apollonic
Pontique (1948) (texle bulgore, ovec un resume en fram;ois) p.
41 et fig . 45 sur p. 42. Trouve o Apellanie Pon tique, tombeou 10 .
Hout.eur 18 cms.
7.-BOULOGNE-5UR-MER (Fronce) 503 . Provient de la colleclion C. L. F. Panckoucke . T rouve o Co lymnas (Dodecanese) . Hou·
teur 19'2 cms.
8.-BOULOGNE-5UR -MER (Fronee) 366. Provient de la callee lion C .L. F. Panckoueke. Piece endammogée, I'onse manque pour la
plus grande perlle. Hou teur préservée 17'7 cms.
9.-NAPLE5. E. GABRIC I dans Monumenti Antichi 22 (1 913 14) . Col. 649, pI. CIV, n.- 5 o droite. Trouve 1880 o Cumes (Com panie), tombeou 188, cantexte 4éme siéc1e avam J . Ghr. Houteur
22 cms.
10.-MICHIGAN (U. S. A.l . Université 4 .663. e v Michigan
1, pI. 19, 11 . Aurail été trouvé oux olenlours de Noples. Houleur
19' 1, diom~'tre 11'5 ems.
1 l.-BARCELONA. A. GARCIA y BELLIDO : Hispon i'o Groeca
(Barcelona, 1948), vol. 11, sur p . 168 el pI. CXI, n. 138. Trouvé o
Emporion (Ampurias) . Publié comme camponien, mais sons doute
oltique, je dirais d'oprés lo reproduction.
12.-CRACOVIE (Pologne) . Musée Czorloryski 1460 e v Pologne 2, Crocovie Czortoryski pI. 14,3 . Houteur 14 cms. diamétre 9
cms.
13.-LYON, Musée du Palois Sto Pierre (réserves, gronde etiqu ette 22) . Houl eur 20'2 cms.
14 .-MAR IEMONT (Belg ique) G. 134. D. FEYTMAN 5 dons Les
Antiquités du Musée de Moriemont (1952) G. 134 su r p. 11 5, pI.
42 . Hou teur 18'3, diomé tre 9'7 cms.
M
La liste que nous venons de dresser d-dessus reste ro necessoi rement incompléte el monquan te sous tous les ropports. Elle ne
couvriro, en réolite qu'une tres foible portie des exemplaires de ce
Iype : oinochoé forme 2, panse cotelee, g loc;u re naire, haut.eur qui
varie entre l O et 22 cms., qui son t con~rves dons I ~ s Musees el les
callections un peu portout. Toutefoi s, nolre liste pourro servir comme groupernen l represento tif, pour donner une idee opproxim:Jtivc
_
143 _
[page-n-195]
4
J. H. C. KERN
de lo dislribution de t.elles oinochooi, déjó dons "onliquit é. Ces!
un ves te t err itoire I¡ttorol méditerronéen, qu i vo de lo Mer Naire
jusqu'o l' Espogne.
Ce n'est pos toujours facile de distinguer en t re les voses o 910~ure naire de travoil QUique, el Jeurs imi totions, souvent fideres,
fobriquées en t er;r itoire d2 Magna Graeoio, sur tout lo Companie.
Or, en ce qui concerne na Ire liste, Qui vise 6 ne recuei ll ir que des
exemploires oUiques, ir y o lieu d'jnsis te r sur "importance des pi¿ces trouvees autour de la Mer Noi re (nos. 3-6l 'e l du bossin ori ental de la Me r Méditerranéenne (nos. 1-2 e l 7) . En effe-t, les exem plaires trouves dons de t ell es régions 21 en contexte d'environ 400 ·
350 ovan ! J. ehr., semblent a ttes te r d'une maniere tres certoin!':,
qu e leur t rovoil sera attique. En tout cos, rien ne justifi e I' idée
d' une exportatia n massive de vases noi rs campani ens vers ces rivages lai ntains.en Russie et en Grece, qui, exacte ment, a la dite epoque, importaien t des vases attiques presqu'a exclusivite, laissant
tres peu de possibilites pour les produits campaniens.
11 sera i! done a conclure, que les nos. 1-7 énumerés en haut, seraien ! certainement de manufac ture ott ique, chose qui es ! pleinemen t confirmee d'oi lleurs por lo nature de I'argile el lo tonoli té si
choude e t ploisante de lo glasu re .
Paur les nos. 8- 14 de notre liste, il n'y o pos I'indice de lo provenance, qu i puisse nous oider pour ottribuer les pieces aux o t.eliers
ottiques. Bien ou contraire, des li eux de trouvoill e comme Cumes
(no. 9), "oux olen taurs de Naples" (no. 10) sero iel1't parfoi t ement
compa t ibles ovec I'idé-z d'une fabrico tion compa n ienne; nous S'J·
vons en ta ut ca s qu'il y ovoi! une grande production de voses noirs
en Campan ie pendan t tou te une longue période qui s'échelonne du
3eme ou l e r siecle ovan t J. ehr. Pour les deux oinochooi de Lo Bas tida, a Valencia (sujet de nol re no te) e l d'Ampuri os, 6 Barce lona
(no. 11), on seroit oussi tente de c roi re a une origine camponienne, sur tou-t quond on considere I¿> grond nombre d'importations
campon iennes en motie re de ceramique dans ces régions.
Ceci di t, nous t iendrons 6 remorquer que c'est en ver tu d'une
ressem blonce des plus étroites en t re les eX' ~ mploir es (nos. 1-7) el
les autres (Valencia el nos. 8-14), que nous n'hésiterons pos a ot tribuer ces dernie rs e ux-aussi oux o tel iers ottiques.
Le poin! ne manque pas d'intéret, espérons nous, pour I'archéologie de lo Pén insule Ibérique . En effet, il y o de nombreux echan ·
til lons de céramique ottique a gla!Oure noire, qui da te nt justement
[page-n-196]
O';NOCHOE ATTIQUE AU MUSEE DE VALENC IA
5
du 4eme siecle avan l J. Chr., aux Musées d~ Barcelona el de Vo·
lencia . Ainsi dans Atti del 1,- Congresso Interno.ionole di Studi
ligur¡ 1950 (Bordighera, 1952), p . 202, fig . 1· 3, M. NINO LAM·
BOGLlA reproduil des decorations de palmetles, imprimées o I'oide
d'eslampilles dans I'in térieur de plats noirs, qui son ! indubitable·
me:'It de fabricatian ottique : ces pieces anl eté !rauvees o Lo Bos·
lido el sont mointenant canservees a Volencia . Oons ~aucoup de
cas, ces voses son! appeles pre -camponi ens dans les publications.
Le terme, ossez vogue, sero it o preciser : d'abord grec, avec lo de terminatlon plus exocte comme attiqL:e, e !c.
Or, le principal bul de ma peti te note c'etal ' jus!-ement d'indi ·
quer, que I ~s Musées espognols obriten t de tres importonts mor·
ceaux de céramique otlique nai re du 4éme siecle ovo".! J . Chr . Ces
exemplaires meriten t d'é, re étudiés dans un cadre comparatjf, qui
vise ó trocer le territoire de dislribution sur tout te littorol de IIJ
Me r Médi!erraneenne des types respectifs. Oans ce sens, les oinochaoi de Barcelona -e l de Valencia consli tu~ nt un fort précieux té·
moignage, de noture o enr ichir sensiblement le tobleau de distribu ·
tian oncienne des voses en question .
-
1"5 -
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LAM. l.
KrAN .-Ocncchoí dc LCI BcllldCl (Mo, entc )
- - - ----""_
.........
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E.
KUKAHN
Estatuilla de bronce de un guerrero
a caballo del poblado ibérico
de "La Bastida de les fllcuses"
(Mogenle -Vnlelleio)
Loo pequeños bronces de los santuarios prerromanos de Españ:J
presentan en general un carácter que, o pesar de los f~rtes in fluencia s locales, no pueden desmentir que pertenecen o lo comú.,
civilización de lo cuenco del Mediterráneo. Efectivamente, no adm iten uno closi ficoci á n cronológico impecable según el método
aplicado en los países clásicos, pero nos don uno impresión muy
cloro de lo población de lo Península Ibérico de entonces y de su
nivel cultural , y juS'ti f ican su denominación de ibéricos. Es caracte rístico en los piezas de esto roma de lo producción artístico no
encon t rar represen taciones de dioses ni diosas, sino exclusivament e exvotos cuyo significación, hasta el memento, no ti en-e mós que
un interés arqueológico (1 J. Entre los diversos exvo tos ho llados, pri meramen te sin observación cie ntífico a lguno, y luego e n excavo ·
ciones s ¡ s t~m á t icos {2) rea lizados bajo lo protección del Estado, se
(1 1 Solamente nuevos inves tigaciones en los sonluorios ibé ri cos pueden oper_
tornos mejores result odO$ respec to o los relac iones de los exvotos y de los d ivI n i_
dades o los que era n dedicados, lo que yo no sido en porte .eolizodo ¡}(Ir los '!x
(ovaciones de El Cigorrolejo, el. E. CU ADRADO DI AZ : "Excovaclones en el sonluor io ibérico del Cigorroleio (Mulo, Murcio)", Informes '1 Memori as de lo ComIsario General de Excovociones Arqu eológicos, núm. 21 , Modrid, 1950. Al fin:)1
de n ues tro ar ticulo tro toremos sobre es to cuestiono
(2) Rem ito s," enume.orlos o tod?s los Dublicaciones su fici en teme nte ci tooos
en lo com;¡leto bibliogrofio d e F. ALVAREZ-OSSORI O: "Museo Arqueológico Na _
0$
c'l)nQl . Cotologo de 1 exvotO$ de bo-once, ibéricos". Moorid, 1941, pÓg. 156. CI.
,ombien H. CBE RMAIER : "Al t.beriscM VOlivbo-onzen". Pontneon, 1931, pOg. 2 51
_
147 _
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2
E. KUKAHN
encuentron, 01 lodo de piezas pobr.es y de un mediocre volar, otras
de uno cierta calidad artístico. Con lo ayudo de los rQsgos estilísticos y de otros indicios que no tienen anologías en lo esfera del
orte ibérico, la opinión de que han sido influidos por
Así, la estoluilla
sobre todo porque se distingue de las demós por una ciert a calidad
01 mi smo t iempo que ti ene un volor arqueológico,
El caballe ro f u e encontrado juntamente con un torito en
bronce, con su yugo y un fragm ento de timón, que debió formar
par te d~ uno yunto, en el poblado ibéri co de La Bastida de les Al cuses (Mog<2n te, Va lencia) (6).
Es un bronce ploeno, de 7'3 cms. de altu ra, excelente desde 31
punto d<2 vista técnico, de superficie suave y pátina v~rde oscura
bril lante. D~spués del modelado, los detalles del rastro fueron retocados.
Sentado sobre un caballo, un poco pequeño, estó un guerrero
desnudo mirando 01 frent..e, .erguido, con la cabeza oblongo, y Je
aspecto atrayente. El cobol lo 9~ apoyo sobre las potas sin coscas,
de formo cilindrica, que desde la par le superior se hacen más gruesos; el cuerpo es igualmente carla, algo cilíndrico y 10 cola va pr:gada, en lo porte alta, haciendo curvo, y volviendo a pegarse sobre
las patas troseros del animal. Además de los detalles de la cabezo
(ore jas punt.iogudas, o jos, nariz, boca -ent reabierta), también estó.,
indicados las largos y grandes crines.
131 De uno gron impOr loncio son los investigodone5 clenlff komen le fundados d e A. GARCIA y B!:LlIDO: "Relaciones en lre el Arte etrusca y el Ibero", Archivo Espoñol de Arte y Arqueo logio. !. VII, Madr id, 1931, P. I 19 y ss.; "Un
ApOlo orcoko Ibérico de bronce", !.P.E.K. 8, 1932-33, Berlín, 1934 , p. 99; "ContoCIos ./ re la ciones entre lo M09na Grecia y la Península Ibérico según lo Arqueología y los te>c tos clósicos", Boletín d e lo Academia d e la Historio. Madrid . 1935.
r4~
Valencia, Museo de Prehistoria del Servicio d e Invesligación Prehistórico
d e lo E>ccmo. Dipu tación Provincial, Palado d e lo Gen!ra lidad del Reino.
15) Las fotografios y los d ibujos d",lallados de vasos iooricos los d",bemos o
lo gontile:r.a de dan Domingo Fletcher VoUs, Di recta.. de l Sa,vicia de Investigación
Pr ehis tórica, al que agradecemos el permiso paro publicar es te in tereson'e bronce.
(6) l. BALLESTER TORMO: "La 1
000r del ~rvkio de Invest igación Prehistórica y su Museo en el pasada año ¡931", Vol encio, 1932 , lóm. V, l. 2.
L. PER ICOT GARC IA: "Historia d e España, r, Epocos ..... imit iva y romana",
Barcelona, 1934, pág. 403.
A GA RC IA y BELUDO: "Ard..oologiscne AUigfObur'lglln und Forscnungen In
Soonien, 1930_ 1940", ArckOologischen Anuiger, c.- I y 2, Betlín, 19.¡ 1, P. 22 I
f,g. 26.
-
14B -
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EL GUERRERO DE LA BASTIDA
3
El caballero está, como hemos dicho, s.:mtado, actualmente 10
parte alta ligeramente inclinado hacia lo derecho, y can las piernas
colgando en con lacta con los potas delanteros del caballo. El brozo
derecho lo tiene doblado en ángulo hacia atrás, de forma que, In
espado que llevo en lo mono presto o golpear, reposa sobre su mu:;lo; lo riendo de este lodo, sólo visible en la porte delantero, está
verosimilmente sostenido por la mono derecho. Lo mono izquier.
do, obl icuamen te extendido hacia adelante, parece agarrar 10
ri endo cerco de lo brida, acción ocultado por un pequeño escudo
redondo con umbo. Sobre los muslos se ve un objeto oblongo, seguramenta lo vaina, dirigido hacia la izquierdo . De jando libre lo m irado, el caba ll ero llevo un cosco de rebordes reforzados, que le protege lo cabezo has ta el cuello, coronado por un penacho o modo
de cimero, tocando el casquete y el reborde posterior, sostenido
par ancho soporte, a lo manero de los cascos greco-corintios. El rostro está caracterizado por lo linea que va desde lo nariz 01 frontis
d~1 cosco y por los ojos, en formo de almendro, con los con tornos
rehundidos y cinc.alodos. Lo boca, cuyos comisuras están un poco
levantadas, está abierta .
Aunque lo ejecución es, en parte, ruda en lo es tructuro orgánico d~ 1 caballero y caballo y en lo masa del cuello y de los mi embros, groseros y redondos, el motivo está bien comprendido y la
acción muy claramente plasmado. El caballero retiene los riendas
en tanlo s ~ lo permite el hecho de sostener sus armas, y lo cabezo
de l caballq responde o dicho movimiento quedando un instante en
esto posición.
Muohos ejemplares parecidos 01 nuestro se encuentran en lo,>
grandes col ecciones de bronces ibéricos. Por ejemplo, una ~sta tu i 11 0 (7), actualmente en Madrid (Iám . 11, 1); pero parece que no
existe ninguna que seo en teramente comparable con nuestro gru po, sobre todo desde el punto de vista de 10 ca lidad, como nos
muestra el Católogo de bronces de Madrid (8). De los cuales, desde
el punta de vista estilístico, aunque son más recientes, se difer·encia el nu-estro, primero por representar un t ipo arcaico y después,
por el hecho de que aquí se reproduce un cosco con al to penacho
flotante .
(7/ Madrid, Colección del Ins tituto del Conde de Va lencia de Don Juan. O .
COSSIO- PLJOAN: " Summo A' lis" , Vol. VI, Madrid, 1946, póg. 422, fig . 649.
(8) Cf . ALVAREZ _OSSORIO: Ob, cit . en noto 2, 10m. 77- 79.
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149 -
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4
E. KUKAHN
Por ello vale la peno ras trear qué modelos pudieron haber influ ido en el broncista ibérico. Lo firm e formo plóstica y lo exactitud en los detalles de la obro, coract-e rizan un tipo generalmente
ll a mado grcai'co. Asi, nuestra esta tu illa se relociono con los produc tos del mismo estilo de origen m ~diter róneo y sobre todo con
103 proceden tes del orea dominado por el orl e griego o de regiones influenciadas por éste. Lo afinidad ti pológico con lo terracoto
de Atenas (9) (1 0m. 11 , 2), que reflej a tra zos de arte geométrico
remontabl e hasta el siglo VI Q . J . e, es fácilm-~nte visible. Lo estruc turo severa de los formos redondeados del c uerpo y de 105 pier nas, lo colo curvado, lo ejecución de los ore jas y la mo ta de crin es,
asi como la forma dibu jada de los detalles, acredi ta n, a pesar de
las diferencias de material , los mi smos fu ndamentos plóst icos aun que en e l bronce apa rezcan mas moderadas y fa ltos de vivacidad.
El caba ll ero ibéri co es tó sentado con ligereza y par el lo es mós
comparable con represen taciones del mi smo género pe rtenecientes
01 fin de la época a rcaico o ya al comi enzo del siglo V o . J. e, como el caballe ro con cosco (1 01 de Korlsruhe (lóm. 11,3). Todos esI'os comparaciones que nos ind ican cómo el mismo ti po sO! cons ·~ rvo
y continúo con un derta retraso en ~I modelado (11), son salomente de volar poro nuestro bronce en ton to nos muestran las mismos
especies de la comunidad mediterráneo . Aquí, .al espacia sólo nos
permite señalar el problema. Lo producción artístico de pueblos
separados no se desarrolla al m i s m o t iempo ni progresa en
las mismos etapas. Aun en una misma comunidad, uno part e,
a veces, permanece más o menos largo tiempo en un estadio de propansián hacia el e.iti lo arcaico. En -es te sen tido séome permitido
señal a r un d isco en t erracota de lo necrópolis de Doui mes (12) (lá m ina JI, 4) que represen ta en relieve un caballero que S~ dirige ha cia la derecha acompañado por su perro, frente o uno plan ta . .'\
pesor de lo continuidad del es tilo an t iguo, -evidentemente gri ego,
en gene ral recordando los produc tos de lo Magna Grecia, lo plan ta
(9) At enas, Museo Nocional, Inventario 4 .011. Cf. BCH, 14, 1890, 16m. 13.
1101 I
05
0'$
en b,orn;e, que deion en !)enerol
su producóón. l
1121 CI. DElATTRE: "Musee lov igerie de SI. loui$ de Cotthog,", 1, Pori~,
1900, lóm. 20, 5.
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150 _
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EL GUERRE RO DE LA BASTIDA
5
mencionada ,tiene sus ana logías en discos decorados más rec¡ent~s
de origen púnico. De la relación del reli eve de Douimes con repre sentaciones ibéricas habremos todavía de tratar más adelan te.
Para el arte ibérico en bronce, Raymond Lanti er ( 13) desde hoce t iempo ha comprobado lo con tinuidad del arca ísmo en los niveles mós recientes de las excavaciones. espoñolas y lo improbobll'l
de uno influencio griega directa . En cosos especiales no S2 puedo
ev i.tar aceptar uno infuencia indirecto, que, por ejemplo, en re lación con nues tro grupo, consiste menos en ~ I tipo del caballero
arcaico, que en lo acepción del gran penacho de tiempos pre ~c1ási~
coso
El escudo redondo con limbo, 10 espado corto O folcoto españo~
la corriente, el cosco, osi como los lanzas, per tenecen en general
01 armamen to ibérico (14). Las fuente s antiguas (1 5 ) nos cuen tan
sólo que el cosco normalmente estaba hecho de cuerdos tramados
o de bronce de un color latón a marillo y decorado por un símple n
triple p enacho. De ello se deduce que se utilizaban d iferen tes formas. Hasta el presente no conozco ningtln original (1 6) comparo ·
ble con el casco de nues tro bronce y por ton to dependemos de los
representaciones sobre vasos pin tados, bronc es o ·terracotas, que o
causo de su estado de con se rvaci6n no nos son de utilidad por lo
general.
(13) R. lANT IER: "Bronzes VOI; ' s iberiques", I.P.E.K ., 1930, póg. 38.
( 141 el. H. SANDARS: "TIle weopons 0 1 Ihe lberlom" Arcnoeologio LX IV
Oxford , 19 13, p. 2 05.
"
,
(1 51 OI ODORO, v , 34; ST RABO, 111 , 15 y 16.
r 16) ExCeplo los dos cascos corinti os impor tados d e Gr(!(:;o y encontrados en
el Med iodía d e lo Peninsulo (Huelvo y J eru de lo Fron tero, el. e. PEMAN: "Sobr~ el cosco grieg.o de l Guodole le", Ar ch ivo Espo lÍor de Arqueología, l. XIV, Mo_
dnd, 1940-41, pag. 4071 yel mayor nümero de COKOS d e tipo lo T~:ne procede., les de muy diversos lugares, conozco w lo el COKO de gola en plato de eoudete (Valencia), mencionado en GARel A BELLIDO: Op. cil. en noto 6, 'póg. 243
conservado en el Insliluto de Valenc ia de Don Juan (Madrid). Es o es le au tOr ~
Qu}en .debo . el. conoci mien to de eslO pieza el
lo formación de c uernos, de C$ le cosco y el adorno publicado en "Germanio" 20
1936, 1 . 21. En lo o ho I talio ~o ir,fl uencio local $e dejo $enti. en lo Irod'ició~
6m
ticnico nollstótlico, mien tras Que aqui es prefedble admitir uno in flu encio c&l t ico
sabre lo Pe ninsulo Ibé rico. Con rC$pec lo ti esto opinión veose J. MARTINEZ
SANTA _OL ALlA: "COKO de plato céh i<;o de la Edad d e l Hierro" InveSligació:l
y ProgrC$o, olÍa VIII, nÜm. 1, pág. 22, Madri d, I 93't.
'
.
-
151 _
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6
E. KUKAHN
A vec~s los estatuillas de bronce (17) lIevon un bonete prole
gicndo lo cabeza hasta el cuello, dejando libre la coro, lo que tam bién muestro nuestro caballero. Las mejores onologíos es tón represen tadas por dos eslatuillos (18) de guerreros o pie, portadores de
vasos de ofrendas procedentes del Santuario de Do:!speñaperros, de
los que uno (16m. 111, 1) estó bien conservado, permitiéndonos uno
comparación estilístico, con lo única diferencio de que el penacho,
colocado sobre el casquete, es mós pequeño.
Entre las pinturas de vasos ibéricos, con roz6n datados como
de fec ho muy tard ío (19), aparecen un gran número de coscos di versos y verosímilmente no todos de metal, pues su dibu jo, a veces
recordando 'e l est ilo cre tense, impide un onólisi s cloro de los for4
mas. Lo for mo de lo representación geomét rico (20) (fig. 1.·, arribo) no difiere- mucho de lo del estilo geométrico griego, lo que
equiva le o decir que solamente se puede dis tinguir lo cresta del
penacho indicado por si mples líneas. En 'el esti llo llamado rico y dasa rrollado (Hg. 1.·, centro y bo ja) (2 1), el penacho estó indicado,
sin detalle, tocando el casquete o flotando. Un alto penacho, como
el que ll eva nuestro estatuilla, no ti ene analogías. El cosco estó supedi todo o los detalles del rostro o, mós corrientemente, se indico
sólo por el penacho (22). Las bonetes si mples no metóli cos son mÓs
numerosos. Pintura, raticulado y decoración de escomas, vivifican
lo representación, -pero no dan ningún trozo común con nuestro
estatuilla, hecho nodo extraño dado lo epoca de su fabricación .
1111 el. 01 lodo de lo figurilla reproducido en lo 16mino 11, 1, F. ALVAREl.
OSSORIO: Ob. til, en lo noto 2, lómino LXXVIII, numo 603; lóm. LXX IX , numo
607. e. DE MERGElINA: "El sontuorio hispano de lo Sierro de Murcio. Memor,o
de los El
ALVAREZ_OSSORIO: Ob. ci t., lómino XXXVII , num o 232 y 230.
(1 91 Recien temente, A, GARCIA y BELLIDO: "Nuevos dol os sobre lo "0.'10logia lino l de lo cer6mlco ibérico y sobre su el
(20) Cascos pintados sobre los VO$OS del Cerro de Son Migue l de Urio. el. 1
BALLESTER TORMO: "Lo labor del St-rvicio de lnvestigacl6n Prehist6rico V su
Museo en el posado año 1934", Valencia, 1935, y "Lo labor del St-rvkio de In _
gestigoción Prehistórico y su Museo en los oños 1935 o 1939", Valencia, 1942.
CI. lambie n: "Corpus Vasorum Hispanorum. Cerómico del Cerro de Son Mi guel. Lirio. Museo de lo El
(21) Véase bibliografía citodo e n lo noto anterior.
(221 CI. por eiemplo el vaso de Archeno, en H. SANDARS: Ob. d t. en Jo noto
14, lóminos XV V XVI.
-
152 -
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EL GUERRERO DE LA BASTIDA
7
Sin embargo, exist e un t razo común corac te rís t ico en r etoc i ó~
con la formación del cosco ibéri co. Fal ta el s~n tido pa ra una forma
a rt icu lado y orgón ica, lo que es significativo poro el cosco gri ego y
sobre todo pa ra el corin t ia, most rado aquí por un bronce mesen io
(23) de A tenas (Ióm. 111, 3). El cosco ibérico no t iene nodo d e común con lo f igura g ri ~ga: consist e en un bone te colocado como un
1)~ft~,,9
~
Fig. 1."-Diversos tipos de coscos ibéricos represen tados en los vasos cer6micos
del poblado de San Mig uel (Liria).
c ubo sobre lo cabezo, en ~ I que sólo lo por te del rost ro ha sido recortado. De este tipo si mple y próc t ico derivan todos los demós
e jem plar.es, mós o menos variados, y se ~ncu en tra en lo zona griego del Medi terr6neo, en lo Italia etrusco, osi como en los países
orien tales veci nos de Grecia (24). Pero -en estos ú ltimos parece s~r
que fueron inventados independ ien t emen t e.
En cuan to a los cascos griegos can un cuadrado recor tado e~
la part e fron ta l, me remito o lo invest igación que sobre las m ismos
hemos hecho (25). Para aclarar las r<:! lociones mutuas, séame per-
(23) CI. "ArcMoiol. Deltion", 2,1916. lóm. A; W. LAMB: "Greek and Roman
Branl.es", 16m. XXXVII I, b.
(241. Cosca en bronce, en otrO tiempo en Berlín, Anliqvarium, I",v. 30.932,
Ma ll ada en el d is tdta de Kuba n y verasimilmente de aflgen escita.
(25) '''Der GrieCMische Helm", Marburg, 1936, 15, 53. Segun los recien tf!s
halla:r.gos, especialmente en Olympia, y de los represen tociones, el t ipO se pUede
señalar cama cosco de cabollera griego de afigen medilerr6nto (l(lentol, (Jue desde
el siglo VI se enc uen tra solamente en gran número, entre lOs pueblos de 10 Grecia
s~ lenrriono l.
-
153 -
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8
E. KUKAHN
mitido completor las observaciones, apoyóndome sobre represen tociones. Estas y o tros recien t emente holladas, muestron que desde
el siglo VII antes ó.:: J . C. el tipo de casco se encuen tro no sólo en
las islas del Egeo, sino también en lo Grecia continental, lo que
permite suponer que tuvo sus orígenes y desarrollo e n el Mediterróneo orien tal. El hé roe de lo lliodo en el comba te con motivo de
la preciado armadura, sobre un vaso del grupo de Melas (26) (f igura 2 ,"), y los dos guerreros de un relieve en terraco to de Rod'Js
Fig. 2. o- Representación de combote en un vaso del grllpO de Melos.
(27) (lám . 111,2), en o tro tiempo en Berlín, lo llevan con penacho
mós detall ado. En un alabas tron prola-corintio (28) (Ióm . 11 , 5 )
de lo is la de Cre ta, lo llevo uno esfinge, m ientras qu e en un fra gm ento con t emporáneo (29), ejempla r muy interesofl'te recientemept e encontrada en Megara HybJaeo, es tá represen tada un guerrero
can él.
(26)
11 1.
(27)
(28)
(29)
Alenos. Mu~ Nocionol, el. A. eONZE, "Melische Thongefi:i5se", 1
0m.
el. Be,berl. MU5een, ]939,31 , lig. ].
GI. JHS 53. 1933, 293, lig. 17; BeH 58. 1934, p6g. 268, lig. 35.
"Fosl; Arcl->oeoJogici", 6 . 1953, póQ. ]59, Ilg. 53.
-
154 -
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EL GUERRERO DE LA BASTIDA
9
Todos estos cascos se di ferencian del ibér ico por su sis temótica
coincidencia en un casque te, limitado sobre los ojos por uno línea
horizon tal y par los corrilleros, unidos en rectá ngulo y descend iendo
hasta los ora jas. Su desarrollo y perfeccionamie nto se deben o lo
Grec ia con tinen tal, donde desde principios del V II siglo o. de J . e,
lo simple forma genera l (30) (Ióm . 11,6) reempla zó 0 1 casco cóni co, y esto formo aparece todavía des pués y se conservo sobre todo
en los ma rf iles (31 L o veces con trozos corin t izont.es en los corri ·
ll eras (32), pero es abandonado por el casco vise ra cor int io, que
pres to uno mayor protección, y de origen gri ego, a l que imita en la
6m. IV, 1) . De estos orígenes si mples
formo de los ca r,ril le ras (33) (1
se desenvue lve lo forma pr incipa l (34) (Ióm. IV, Z), qu e llego o ser
el ca sco especí fi co 00 los ca ball e ros de lo Grec ia septen t rional,
predominando e nt re los Tracias y los Ili rios desde -e l siglo VI. Pero
ta mb ién su forma antigua , que recuerdo 01 casque t e de la estatuilla ibér ica , sa encuentra en la plóst ica y en lo pi n-Iura de l arte con ·
t inen ta l. Al lado de sencill as figuras en terracota, uno da las cua les, el ejem plar de Ka rl sruhe (Ióm. IV, 3), se reproduce aqu í, y de
o tros representaciones en a r te menor, lo llevo ta mbien lo f iguro de
Oinomaos antes de par tir poro lo carrera de carros, que se encuent ro en el fron tón del templo de J úpi t er en Olympio.
Poro lo in flu encio sobre el cosco ibérico es m uy signifi ca tivo
que tam bién en el arte e trusco- i'IÓlico, lo forma general (35) (Iá nl .
111 , 4 ) yo veces lo corintizante, sean muy conocidos, como se ve por
lo cabeza (36) de un guerrero etrusco d<:! Orvie to (16m. IV, 4 ), hoy
en Florencia, y, por ot ra par te, en los ca bezos de te rracota de Veii
(301 Sello de marfil del son tuorio de lo Hero Akroio, Corin to. CI. " llI us troud
London News", 2 de moyo de 1931, pag. 748.
(31) Proceden te de Espor to; JHS, XII , 1891, 16m. XI, 3. R. M. DAWKI NS:
"The SonctuOly 01 Ar temis Or thio", 1
6m. 99, 3.
(32) Corocteriuicomen te en ~os bronces procedentes del Peloponeso (p. e. 'lM
0m. 44, c. A. SAMBON, Lo coll. Worneck, 1905, nú··
Quor terlY,4, 1929-1930, 1
mero 136, lig. p. 2 3\. y en los relieves de morfil Que pueden remont orse o ,¡no
fue nt e orIen tal (en Oelphos, aCH 63. 1939, 1
6m. XXXV. P. DE LA COSTE- MESSELlERE; " Oelphos", Po,;s, 1943, 55, lig. 44, OJ.
(33) El orybolO$ ~Ofinlio del Museo del Louvre, "Corpus VOSOfum ...... IiQuo.
rLNTI", 111 , Co, 16m. 19, 21 (F roncio 4881.
(34) Berlin. Antiquorium Inv. L 33.
(35) E$toluiUo en bronce de Brolio en f lOfencio. CI. L. PERNIER, "DMolo",
11 . 1921-22,492. W. LAMB: Ob. ei l. en noto 23, 10m. XX Iv', O. Foto Brogi
22206-8.
(361 CI. G. GIGUOL I: "L'Arle E t ru~o", 1
6m. 120,21. H. MUEHL ESTEIN:
"Die Kuns l der Etrusker", fig. 235.
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10
E. KUKAHN
y en peq u ·~ños bronces. El poco espacio me perm ite solamen te m enta r los problemas de los re laciones e trusco-ibér icas. Parece lo mas
razonabl e pe rma necer o la especto tivo y con reserva s con respect,')
o ,explicaciones como las ex presadas por A. Schulten en su úl'linm
libro sobre To rtessos (37 ), Es bien seguro q ue se pu eden percibir
relaciones, pero solam en te la revisión o lo busquedo de hallazgos
nos apor taró n uevos resul t a dos en esto d irección , Si se -encuen tran
en tre los bronces de España esta t ui llas e truscos (3 8 ) como del t ipo
de lo reproducido en lo lóm , 111 , 6, por e jemplo, se puede suponer
que el cosco etrusco-griego, decorado con penacho, ero conocido
en t re los iberos. El cosco de l caba lle ro de Va lenc ia, no t iene, como
hemos vis to, de ta ll es carac teríst icos q ue lo re lac io nen con . 1 qu é llus,
lo que q uizó se deba o su inferior ca lidad. Sin pre tens iones nos
m uestro una fo rma común del Med it errá neo, e laborada más ex·
presivamente en algunos exvotos. Sólo e l hecho de es tor decoro :!o
con un penacho, ún ico del mundo ibérico, nos lo muzstra como inspirado en eje mplos Ha lo-g riegos, lo q ue ta m bién se puede postulo: ,
con toda reserva, po ro los estotuil las de guerreros de Desp.Jñap~.
rras.
Hemos comparado nuesfora es ta tuilla y su cosco, en generol, con
ob j ~tos de arte m eno r arcaico, lo q uz es debido o su seme jan t e caróc ter. De acue rdo con los periodos est iligticos de los pa ises clási ·
cos, cuyos ob je tos de estilo o riéntolizon te corresponden o los vasos
pintados sem e ja n tes de lo España del sig lo 111 a. J . e, Sl! debe situar el origen de n ues tro esta tuilla en uno época anterior geomé·
tricQ, lo cual significa en España e l período de ar te ibérico arca ico.
Lo helen izocián de lo cos to levantina, en 10 cual, un poco hil cia el in terior se encuentro Lo Bastida, comienzo yo en el siglo V
a. J. e, aunqu e los restos de cerámico figurado son m uy roras; se
muestro tempronamen t e, como nos lo ilus tran los r icos e j ·2mpla r ~s
de cerám ico negra estampado y lo producción ito lo - helenís tico,
desde e l sig lo IV a. J. e Es tos indicios fechan nuest'ra esta tui lla
(311 A. SCHULTEN: UTortessos", Homburgo, 1950.
(381 Cf. A. GARCtA BELLIDO: "Uno apottoción 1TlÓ$ 01 esTudio de los relaciones entre etruscos e iberos. Un bronce etrusco de Ampurias". Anuario del Cuerpo Facultativo de A., B. y A., Homenaje o Metido, vol. 11, Madrid, 1934, pélg. 303;
y CH"T
ículo "Los reloclones ... ", ci tado en lo noto 3. Vease Tombie n J. MART IN EZ
SANTA-OLALLA: "Nuevo bronce ibérico del santuario de Dcspeñaperros (Jaen¡"
en lo revisto ci todo, póg. 163.
(39) Es ta tui ll a en bronce de Karlsruhe, Museo Nocional, lnv. R. 501 .
-
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EL GUERRERO DE LA BASTIDA
11
en un periodo comprendido en t re el fin del siglo V hasta el IV, dotación comprobada .por el conjunto de objetos hallados, entre los
que se encuentran también piezas de cerómica griega per teneciente
o la época del estilo rico (40) .
Debido o que los estotuillos de caballeros y de caballos son de
gran importancia en los san tuarios ibéricos como exvotos, como nos
lo demuestran en particular los mÓS recientes hallazgos de El 090!'ralejo (Murcio) (4 1), F. Benoi! (42), en este mismo Archivo d ~ Pre ·
historia Levantino, ha planteado con rozÓn lo cuesti6n de si se troto aqu í en cuanto a su origen, de un celtismo o de un mediterraneísmo. Sin que yo intente llegar a un resultado defin itivo, me poreo:e
necesario remitirnos al tipo de lo representación de los dioses, junto a un culto hípico, que es de origen mediterróneo orien tal. ,El tipo
Fig. 3."- Fragml.'n lo d I.' vaso iberica de Elche (Alicanle).
heróldico de lo Gran Diosa, situada entre dos cabal los en Asia Menor, yo conocido desde los ti empos de los grandes mi graciones, ha
sido pres ta da a los re presen taciones ¿·e dioses gri egos, sobre todo
de Art emi s, si empre qu e el cul·to de la Gran Diosa no se hoya COrlservado inalterado en algunos son tuarios, en particular de los pa í.
ses que bordean el MeditErróneo.
Es carac terís ti co que lo Di osa puedo ser reemplazado por U:"'l
(40 1 e/. 1. BALlESTE R: Ob. CI!. I.'n lo r olo 6, pilg. 23.
e l . nota 1.
(41)
(42 ) F. BENOIT: "ehevoux du levont looriQUe. Cehisme 0lI Méditl.'rroneisme?"
Archivo de Preh,Slolio LevantIno, IV, Vall.'ncia, ]953, pag. 21 1.
-
151 -
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E. KUKAHN
12
s ímbolo vege to l, como por ejemplo en el voso pin todo (43) de Jonia
orientol , hoy en Bonn (Ióm . 111,5 ), con el cua l, en principio, son
equiparables el caballero fr ente o uno planto del mencionado disco
de Car loga (Ióm . 11 , 4) y seguramente lo composición sobre un
fragmento de voso ibéri co (44) (10m. IV, 5) . Por ot ro lado lo diosa
alada Toni ! t iene los caba llos en com pos ición heró ldica como en el
I
Fig ....· -f ragmento de varo ibérico de Elche (AUcont e!.
voso de Elche (45) (f ig. 3), o es tá rodeado de plan tos crecien do exubera ntes, como sucede en un vaso (46 ) de lo m ismo procedencia (fig. 4) . Lo va riación en la represen tación de lo d iosa, de
for ma humano o la vege tal, parece remon ta rse o 1 fuen te medi0
te rróneo mencionado an te riormen t e, por lo qu e as imismo ha s ido
inspirado el exvoto del coba lle ra de La Bostida de Mogen te.
(43) Bo nn. Akod. Kuns tmuseum , Inv. ¡ .524, Cf. " ArchQologiKhe n An
("14 ) CI. J. SAN VAl ERO APAR ISl y D. FlETCHER VA ..lS: " Pr imera cam·
paño de e~covotiones en el Cobezo del T ia Pio (Archena)", Informes y Memorios de lo Comisario Generol de E~covacoo.'es Arqueológicos, num. 13, Mo(hd ,
1947, IÓm. XVI II.
1"15) Rep
Folques, por haberme permitido uliliz ar la fol~ro fia.
-
158-
[page-n-211]
KUKAHN ._ EI IIUg.tc:tO dg Lo Bostido (Moge nt e)
r
LAM. 1.
[page-n-212]
LAM. 11 .
KUKAHN .- EI gu erre ro de lo Boslido (Moge nle )
[
•
3
-------
•
o
l.2.3.4 .5.6.-
Bronce ibérico del Museo de Volencio d e Don J uan.
Tenoco to de Atenos.
T er rOCO I0 d e Korlsruhe.
0isco e n terra co ta de lo neoópolis de Dou imes.
AloDas lr6n pro lo-corin tio, de ere to.
0 isco de mor fil, procedent e de Espor to.
[page-n-213]
KUKA HN .-II lIuon.ro do La Bastida ( Moll o ~ ta)
LAM. 111.
J
2
•
o
I.-~uerrero del San tuario de Despeñoperros.
2 .- Terrocoto de Rodos .
3.- Bronce mesenio, de Atenas.
4 . -Bronce de 8rolio, en Florencio.
5.-Vaso de Jonio oriental.
6 - Bronce e lru5CO .
[page-n-214]
KUKAHN._EI guerr ero de Lo BOltido (Mogent e)
LAM. IV .
.
~.
3
1. -Arybolos corintio del Museo del Louvre.
2.--Casca. del AnriQuo"um, de Bedin.
3.- Tenacoro de Korlsruhe.
"'.--Cobe~o de guerrero el rvsco de Orvielo.
5.- f rogmen ro de cerómica Iberica de Archeno.
•
[page-n-215]
M. R ANGELES MEZQU IR IZ
IP~ mptft n .J
La Cerámica de Importación
en San Miguel de Liria
Los excavaciones del Cerro de Son Miguel de Lirio, han sido uno
de los me jores conquistas de l Servicio de Investigación Pr.2h istÓrica
de lo Excmo . Diputación Provincia l de Valencia, o lo largo de su
vas to ac t ividad cien tí fico en el Levan te Español, sobre todo en lo
referen te 01 conocimiento de la cerómico ibérico ( 1) y O t ravés de
ello, uno considerable a m pliación de los invest igaciones en torno
01 al f ab~ to ibérico, por los numerosos vasos con leyendas que se
han ido encontrando, llegando o plan tear problemas ton sugest ivos
como el del famoso vaso Gudua Deitsdea (2) referen te o su relación con lo lengua vasco.
Estas excavaciones, de resonancia internacional, tienen una solo
coso que lamen tar y es, la fa h o de uno sucesión es trat igrófica, Qu e
hubiese dado, con exac titud perfecto, lo evolución d e esta cerómi ·
ca ibérico. Se tro to de un cerro con ver ti en tes de g ran desnivel,
que sólo e n su par te supe rior tiene uno p equeña plata forma, la cua l,
lóg icamen te, serio el lugar idea l poro pode r encon t ra r uno super pos ición de niveles, pero toda la por·te a lto del cerro estó ocupada
por la e rm ita y depar tamen tos conventuales de Son M iguel; los
excavaciones se ha n hecho, casi obsolu tament- en los que aflora con t inuamen te lo roca vivo . A pesar d.2 todo, se
,
1"
Veose "Corpus Vosorum H i~pooorum, Cerámico del Cerro d e Son M;_
guel. lirio. Museo de lo E"cmo. Dipu tación de Valencia", C. S. de 1. C., Inst ituto
de Arqu~log¡o "Rodrigo Coro", Madrid, 1954.
(1} L BALLESTER TORMO; " Lo toOOr del Servic io de Investigación Prehistórico y su Mus~ en el posado año 1934", Valencia, 1935, pOg. 57 y 58.
-
159 -
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2
M,O A. MEZQUIR1Z
han podido establecer numerosos habitaciones, ounque los f rag~
men tas d~ ce róm ica, arrost rados por las aguas o el viento, se han
separado y espo rcido por todos portes, de modo que fragmentos d ~
un mismo vaso aparecen, algunos veces, en distintos habitaciones.
Existe pues, un ún ico est roto, O raramente dos, separados por una
lige ro copo de incendio, que no es continua en todo lo excavación.
Es, por lo tonto, de in t.:!rés estudior la cerómico de importación, escosa, pero suficien te, pora poder es tabl ece r los lími tes de
tiempo en qu e vivió el poblado que se a sien to en el Cerro de Son
Miguel de lirio. El término "post qu em" es to señalado por el haIlazgo, en lo compaña de excavación de 1950 (3) de un lekythos
griego de figllras negros del sig lo VI a . de J. C. Nosotros vamos a
es tudi a r la cerómica im portado de ba rniz neg ro, sin decoración,
p r'ecamponi ~ns~ y componi en s~, que presenta gran d¡v~ rsid od de
for mas, que juzgamos de in t erés.
ESTUDI D DESCR IPTIVO
FORMA 2 1
;;
,
Pla to de for ma 21, res taurado en porte. Mide 0'036 me tros de
altura; 0'123 m. de diómetro de boca; 0'0 \ m . de a ltura de l pie y
0'07 m. de dióme t ro del mismo (4 ).
13 1 D. FLfTCHER VALLS: "Lo labor del Servicio de Invesligocion Prehislorico y $'" Museo en el posodo año 1950", Valencia, 195 1, pilg. 26.
E. PLA BALLESTER: "Nalas sobre las cerómicos del Cefro de Son Miguel de
Lirio: unos frogmeolos de ¡nleres" . Cronica del 11 CongreKl Arqueológ ico Noclonol (Madrid 19511, Zoragoza, 1952, póg. 405.
1-11 Todo$ los dibujos de los YOSOS eslon redu
-
160 -
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CERAMI CA D~ IMPORTACION EN LI RIA
3
En cuan to o su formo, se caracterizo por tene r el borde ligera mente realzado y lo pared oblicuo; ~I pie es un poco inclinado y
tiene uno típico moldu ro en lo por·te que apoyo, dicha porte, es de
color rojo; otro circulo rojo aparece sobre lo careno. El interior está
decorado con cuatro palmetas en bajorrelieve dispuestos en formo
de cruz y unidos 01 cen tro por un pequeño circu lo inciso; este conjunto de palmetas va den tro de dos circulas concéntricos de ruede ·
cilla.
Lo orcillo es de color roso cloro, aunque se advier te que ha sufrido alguno quemo posterior o su fabricación.
Nos parece que podría dotarse hacia lo segundo mitad del sig lo
IV a . de J. c. : en primer lugar, par lo composición de las pa lme tas
y sobre todo par estor éstos en bajorrelieve (5) y en segundo lugar
par la moldu ro del pie, que generalmente no aparece posteriormen t e o dicho siglo (6) .
eS.M ., Dep. 46, Campaña de excavación 1936, Inven ta rio número 505.
,
Plato de tipo á tico, de formo 21, con barniz negro muy brillan .
te y arcillo roja . Mide 0'073 m. de altura total; 0'215 m . de diá ·
metro de boca; 0'023 de al tura del pie y 0'125 m. de diámetro del
m ismo.
(5 1 N . LAMSOGl tA: " Pe. uno c!assif;ca1.;ane pretim;nore d ello ceramica
campano" . Arr i d el , .~ CongreSlO ' n letnozianoJe di Slud¡ ligur; /1 950 ). Bot-d ighe ro, 1952.
(6 ) N . LAMBOGl JA: Op. C;I ., pOg. nI.
_
16 1 _
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4
M,a A. ME-ZQUIRIZ
Su formo se caracteriza por el borde comple tamente vuelto hacia adentro y pie perpendicular, con uno molduro seme jante a la
que vejamos en el vaso anteriormente descrito, también decorado
con circu lo rojo en la parte de apoyo y en la careno.
La decora ción del interior estó constituido por un grupo de pa lmetas ligados, im presas en bajorrelieve, de los que sólo se conservan dos, incompletas; limitando el grupo de palmetos va un círculo
compuesto por cua t ro líneas de ru edecí llo .
Su dotación, osi como sus caracterís t icas, nos parecen seme jantes a los del vaso a nter ior.
C.S.M . Dep. 25, Compaña de excavación 1935, Inven tario nú·
. .. ¡t :
mero 507.
"
Plato de imitación componiense, que m ide 0'052 m . de altu ra
total; 0' 17 m. de diámetro de boca; el pie ti ene uno altura d~ 0'009,
m. y un diá metro de O' 1 m.
Se t ro to de uno formo muy carac terístico, con lo pared curvo
y borde vuelto hacia adentro, que tiene como principal peculiaridad
un pie boja e inclinado con lo porte de apoyo oblicuo y formado
por siete estrías en relieve.
Lo arcilla es de calor gris, seguramente por efecto de uno cae·
ción demasiada len to, y su barniz presen to un color n ~gro - grisáceo
muy opaco.
Salvo lo formo del pie, es uno imitocián perfectamente canse ·
gu ido de la forma 21 componiense, hecho indudablemente copia ndo un plato de importacián, por lo que su cronología no creemos
puedo estor muy lejos de la ya establecida paro lo formo campo ·
niense (7) . El pie, ton caracterís t ico, nos recuerdo a l de la formo
21 /25 .
p)
N . LAM8OGLlA: cp . Ci l., pOg. 170.
_
162-
[page-n-219]
CERAMICA DE IMPORTACION EN LIRIA
5
eS.M., Dep. 20, Compaña de excavación 1935, Inventorio número 506.
Plato de imitación de lo formo 21 camponiense . Mide 0'095 m.
de altura; 0'305 m . de diómetro móximo y 0'125 de diómetro de
lo base.
Merece especial atención por ser un ejemplar absoluta mente
excepcional : por una parte, imita perfectamente lo formo 21 compan iense, tonto en el p~rfil de lo pared como en el pie, con lo úni co diferencia de que, en eSlle vaso, el comienzo de la careno forma
un óngulo más morcado que en los tipos normales. Lo a rcillo con
que se ha fabri cado es comple tamente diverso a lo del resto de los
vasos de este conjunto que es tudiamos y coincide de modo perfecto
con lo de lo cerámico ibérico, propiamente dicho; no llevo ningún
barniz .
En el in terior, el fondo está decorado con un círculo formado
par dos lineas de ruedecilla muy marcodas, separados por uno línea
inciso; en el cen tro hay cuatro ovos dispuestas regula rmen te en
formo de cruz, en lugar de polm~tas y un idos entre sí par unos líneas de puntos incisos trazados tambien con ruedecilla .
-
163
~
[page-n-220]
6
M.- A. MEZQUIRIZ
Es un coso de perfecta imitaci6n indígena dz uno formo impor.
todo, muy antiguo. Ahora bien, 10 fidelidad de lo copia nos hoce
suponer que no existe mucha diferencio de tiempo con el modeJo,
por lo que no creemos seo posterlor 01 s iglo IV o . de J. C.
es. M.,
Dep. 102, Compaña de excavación 1947, Inventario
núm, 383.
FORMA 22
J.. 110
Plo to de formo 22, de arcillo oscuro, casi gris, por efecto d e la
cocción; el barniz es negro, muy brillante, de tipo ático. Mide 0'08
m. de altura tota l y 0'218 m. de diómetro de boca; el pie, bastante
al to y perpendicular, t iene 0'025 m. de al tura por O' 125 m. de diá metro. Lo pared es ligeramente carenado.
Presento uno doble d~coroción : en el in terior, un espléndido
con junto de pa lme tas i m pr~sas en bajorrelieve, ligados entre si por
-
164 _
[page-n-221]
CERAMICA DE IMPORTActON EN LIRIA
7
lineos incisos, formando dos circulas tangentes o otros compues tos
por uno serie de p2queñas ovos muy finos; en el cen tro, un grupo
de cuatro palmetas unidos por un circulo inciso, formando cruz
perfec to .
Lo decoración de 10 porte exterior es también la característ ico
de los vasos áticos : circu las concéntricos de color cloro en el pie, y
otros en el comienzo de la careno y debajo del ensancham ien to del
borde.
Por las ca rocteris ti cas d escritos (8). creemos podría dolorse en
la primera mitad del sig lo IV a . de J. C.
e .S.M., Dep. 19, Campaña de excavación 1935, Inventario
núm . 120.
Ploto de lipo ótico, con arci lla oscuro y barniz negro brillont~.
Mide 0'015 m. d~ altura total por 0'252 m. de diámetro de boco;
el pie tiene 0'025 m. de altura y un diámetro de 0' 13 m .
(81
N. LAMBOGLIA: Op. cit., póg. 171 y 172.
-
165 -
[page-n-222]
8
M.a A. MEZQUIR IZ
La formo de 10 pared es muy carenado, con borde abierto y
bas tan te ancho; a mbos caract erís t icos 10 diferencian ligera men te
del e jemplar an t erior y le don una do tación algo más mode rna .
Viniendo a coincid ir con la dotación deducido de 10 formo, lo
decoración, en el interior, presen to un grupo de palme tos im presos
en ba jorrelieve, combinadas entre sí con líneas incisos, formando
dos círculos tangentes (] otros hechos con ruedeci llo; a pesor de la
seme janza con Jos palmetas del vaso anteriormen te descri to, es fóci l adver t ir en el que ahoro estudiamos, lo fa lto de los elemen tos
mós an tiguos, es decir, las ovos han sido sustituidos por la deco·
roción de ruedecil l0, eviden tement e más moderno . En el ex terior,
aunque conservo los círculos ro jos en el pie y en el com ienzo de lo
careno, no los llevo deba jo de l borde.
eS. M., Dep. 14 , Compa ña de excava ción 1934, Inven ta rio nú mero 119.
FO RMA 23
llfl
7
Pla to casi integro de arci llo roja y barn iz negro, muy bril lan te.
Pertenece al t ipo llamado comúnmen te " pla to de peces" y es el
que continúo en Occiden te los antiguos vasos á t icos e itoliota s decorados con fig uras ro jos de grandes peces.
Se carac l,eriza por uno concavi dad cen t ral y un borde vuelto
hacia a fuera, muy a ncho. Estó decorado con círculos ro jos a lrededor de d icha po rte cen t ral, e n el borde y en el pie. Mide 0'03 5 m.
de altura total; por 0'192 m . de diómet ro de boca; la foso cen tra l
t iene 0'0 I m. de profund idad por 0'05 m. de d iáme tro; el pie e'i
de 0'02 m. de a ltura, con un d iámet ro de 0' 108 m .
Creemos qu e su cronología puede es tablecerse hacia fin es d el
siglo IV o comienzos de l "' a. de J . e , yo que aparece, en tre otros
lugor-as, en Ensérune, coincidiendo con el es t ra to ibérico.
-
166 -
[page-n-223]
CERAMICA DE IMPQRTACION EN LIRIA
9
eS.M., Dep. 42, Compaña de excavación 1936, Inven tario número 11 8.
Existe también en el conjunto de cerómico componiense del
Cerro de Son Miguel de Uria, uno imitación del plato de peces, en
arci llo gris, sin barniz alguno y cuya formo imi,to o t ipos más tardíos, en los que fal to, por e jemplo, lo t ípico moldura en lo porte de
apoyo del pie, que veíamos en el an terior plato descrito.
eS.M., Dep. 17, Compaña de excavación 1935, Inven ta rio número 504.
FORMA 24
, , \;J
?
Vaso de formo 24 de arci llo de color muy cloro y barniz negro
brillante, algo deteriorado por el t iempo. Mide 0'035 m . de a ltura
totol por 0'068 m . de d iómetro de boca; el pie tiene 0'0 12 m . de
a ltura y 0'048 m. de diómetro.
·Esta formo es siempre de pequeñas dimensiones y abunda mu chísimo en toda ,la cerómica p"ecampaniense y campaniense an tigua : lo encontramos represen tada, junto con otros vasos, también
antiguos, d el siglo IV o. de J . c., en la Bast ida de Magente (Valencia) (9).
Como cara cterísticas de dicho on tigüedod seña laremos el pie
vertica l con la típica moldura en la parte que apoyo y círculos rojos en esta porte y en el com ienzo de lo careno .
(91 Museo de Prehistorio del S. 1. P. de Valencia, numeros 139-141, 1520.
1521 y 1524. Cfr. N. LAMBOGLIA: "Lo ceramico precampono della Bastido" en
este mismo volumen.
-
167-
[page-n-224]
M,a A . MEZQU IRIZ
10
eS .M., Dep. 12, Campaña de excavación 1934, Inve ntar io "úmero 113.
".\ J ?
10
Otro ejemplar de formo 24, de arci llo color oscuro y barniz br i·
liante, muy deterio~odo; parece evidente que ton to lo arcil lo como
el barn iz han sufrido olteroción du rante algún incendio .
Respecto o su for mo, nos 'parece que pr-esenra caracter ísticos
mas tardíos qu e los del \lOSO an t erior, ya que fol to 'o molduro en
lo part,e de apoyo del pie y éste es mucho mós bojo y menos per o
pendicular. Mide 0'035 m . de al tura y 0'062 m. de diámetro de
boca; el pie tiene uno altura de 0'006 m. y un diómetro de 0'045
metros.
es. M.,
m ero
Dep. 25, Campaña de excavación 1935 , Inventario nLl '
500.
FORMA 42
JI
Kylix de formo antigua (10), de orci llo ro jo y barn iz negro muy
bri llante, enrojecido en algunos portes o causo de uno cocción poco cuidado . Est e m ismo tipo lo encon t ramos en lo Bast ida de Mogente (11) y Ampurios (12), supone lo continuación de l modelo
clósico, griego, de f iguras. Estó provis to de dos osos senci llos, uno
de los cuales ha sido restaurado casi por completo.
( lO)
(11 )
la 9.
(12)
N. LAMBOGLlA: Op. ci t. , pág. 188.
Museo de Pre his torio de l S. l. P. de Volencio, nUmero 2503 .
Museo Arqueológico de Barcelona, números 1933 V 169.
-
168 -
V~e 1'00-
[page-n-225]
CERAMICA DE IMPORTAC10N EN URIA
11
Esto formo parece que no se encuentro pos teriormente a l siglo
IV a. de J . C. y mós bien creemos qu~ puede dotarse en lo primera
mitad de di "ha siglo.
Mide 0'051 rn . de altura total y O' 16 m . de diómetro de Ixlco;
el pie tiene uno altura de 0'014 m. y un diómetro de 0'09 m.
C.S .M., Dep. 102, Compaña de excavación 1947, Inventario
num o 11 5.
FORMA 40
I---r".......,.,.
"
..
12
Crótera de arciUo roja y barniz negro bastante bien conservo·
do. Mide 0' 127 m. de altura, en lo que quedo ; 0'078 m . de dióme"
t ro de boca, y 0'085 m. de dióme lro móximo.
Presento uno formo ovoide y alta; en tomo 01 cuello llevo uno
decoración, llamada de tipo "gnazia", es decir, pintura en blanco,
formando uno senci llo guirnalda; lo panza está formado por unos
gallones, poco abultados, que lIevon en su parte inferior y rodeondo el vaso un círcu lo rojo, que se r-epite unos centímetros debajo
de éste.
C.S.M ., Dep. 2, Compaña de excavación 1933, Inventorio nú ·
mero 108.
_
169 -
[page-n-226]
12
M,O A. MEZQUIRIZ
FORMA 45
Vaso conocido generalment e con el nombre de "Guttus", se cree
que ero utilizado poro llevar y echor el aceite en los lucernas abiertas. Es té decorado todo ed con ga llones y la boca poro vert er los
líquidos tiene formo de pequeño cabezo de león ; debajo de és to
lleva un aspa inciso, de tal le que aparece frecuen t emen te en ejemplares de es to época como vemos, por ejemplo, en un oenochoé
de l Museo de Barcelona, procedente de Ampurios (13) .
Parece ser que su uso decae cuando comienzo o utilizarse 10
lucerna cerrado y por lo tonto, estó ausen t e por completo en los
yacim ientos y estratos o part ir del siglo 11 o. de J. c., mientras que
en el 11 1 y especialmente en el IV alcanza su apogeo.
C.S.M., Oep. 102, Compaña de excavación 1947, Inven tario
número 111 .
(131
Museo Arqueológico de Bo,celono, ""umeros 722, 114, 11 5, 1132 '11 130.
-
110 -
[page-n-227]
CERAMIO. DE IMPORTACION EN LIRIA
13
FORMA 48
Voso de formo de cá liz de arcillo rojo y barniz negro, opoco,
casi verdoso.
Parece derivada del "cyathas" á t ico, aunque éste tiene uno
solo oso. Su pared es completamente curvo y el pie formo una doble moldura ; de las dos osos horizon tales, uno es completamente
restaurado . Mide 0'09 m. de altura por 0'098 de diámetro de
boca; el pie tiene 0'013 m. de a ltura y un diámet ro de 0'06 m .
En España conocemos un ejempla r muy seme jante procedente
de Ampurias.
eS .M., Dep. 25, Compaña de excavación 1935, Inventario nÚ ·
mero 112.
FORMA l4
Vaso de cerámico componiense, de t ipo A, de arci llo color rojo
doro y barniz negro, poco brillante. Pudiera ser un tipo de transi ción en tre la formo 25, mós antiguo y 10 34 propiamente dicho, en
lo que lo pared formo un ángulo más morcado que en el ejemplar
que estudiamos (14); por esto creC!mos que puede fecharse en lo
primero mitad del siglo II o. de J. e, yo que lo formo 25 pertene ce 01 siglo II I y lo 34 se uso en pleno sig lo 11.
11-4)
N. LAMBOGUA: Op. c'I.,
-
pag.
182.
11 1 -
[page-n-228]
M.& A. MEZQUIRIZ
14
En el interior no llevo ninguna decoración . Mide 0'041 m. d~
oltura total por 0'067 m. de diómetro de boco; el pie es de 0'01
m. de alturo y 0'04 m. de diámetro.
eS.M., Dep. 93, Campaña de excavación 1943, Inventario nú '
mero 114.
FORMA 27
Vaso incompleto de cerámica campan iense de tipo A, propia mente dicho; lo arcillo es de color ro jo-vinoso y el barniz. negro,
poco brillante y deteriorado; en el ¡ntoeríar de lo pared no llevo decoración y en lo parte externo solamente un grafito ilegible.
Es uno formo que tiene larga perduración; comen zando a fa bricarse en el siglo 11 1 a. de J. e, llega hasta los comienzos del
siglo 1; durante este t iempo sufre uno morcado evolución, posando de lo forma completamente redondeado de la pared y fondo de corado con rosetas, a tipas, que creemos pertenece el que estudiamos, sin ninguna decoración y cuya pared hoce uno flexión cerca
de 10 boca (151.
Mide 0'043 m . de altura total par 0'09 m. de diómetro de
boca; el pie tiene 0'007 m. de ahura par 0'041 m. de diÓme tro.
C.S.M., Dep. 20, Compaña de excavación 1935, Inventario número 501.
FORMA 36
Plato casi integro, de cerómico componiense de tipa A. Mide
0'04 m . de altura por O' 17 m. de diómetro de boca; el pie es .-je
0'007 m . de altura y 0'072 m. de diómetro.
(15)
N. LAMBOGLIA: Op. cit., pág. 116.
-
112 -
[page-n-229]
CERAMICA DE IMPORTACION EN LIRIA
15
Su arcillo es de color roso cloro, semejan te 01 que parece S2r
ca racterística de los fábrica s de Campania, propiamente dicha. No
es frecuente encontrar en nues tro Península cerámica procedente
de esos fábrica s, yo que se importaba, generalmente, 10 producción insular, como es, por ejemplo, la supuesto de Ischia.
Respecto o su forma, nos parece que pertenece 01 último pe riodo de su evolución: t iene, -en primer lugar, lo pared bastante
grueso, que se doblo en uno aris ta muy vivo, en el comienzo del
borde; éste es curvo y de bastante anchura; en segundo lugar, falto en el interior lo decoración de palmetas, que aparece siempre
en los formas mós antiguos, éstos e9tán sustituidos por un círculo
rajo en el cent ro, no hecho con a fán decora tivo, sino o causo del
sis tema indust rializado de fabricación, es decir, cociendo varios platos de uno vez, apilados unos sobre otros, de modo que lo porte central de uno ocupada por el pie del que llevo encimo, se ClJ'2Ce menos
y de ahí que presente ese color rojizo, ot ras ve ces morrón, e incluso
rojo vivo, según lo mayor o m·enor cocción que ha sufrido. En el pi e
y en lo careno hoy también algunos portes rojizos.
Es uno de las formas más difund idos por todo el Mediterróneo,
y su cronología ha podido ser establecido con exac titud, yo que se
encuentro obundantemenfle representado en perfec tos excavaciones estratigráficos como los de Tindori y Ventimiglia (16), y pertenece o lo segundo mitad de l sig lo 11 o . de J. c., continuondose
su uso durante casi todo el siglo 1.
eS.M ., Dep. 4, Compaña de excavación 1933, Inventario número 503.
J8
Fragmento de pie y fondo de vaso de cerámica companiense .:::le
tipo A. Su arcillo es de color rojo oscuro, con barniz de brillo me(1 6 ) N. LAMSOGlIA : " GIi 5cavi d i Albin tim il ium t la cro no loJia delb ceramico romana. Parle prima : Com;lO<) ne d i sc ova 19 38- 1940" , Bord ighero, 1950,
es trO IO VI.
-
173 -
[page-n-230]
16
M,a A. MEZQUIRIZ
tálico; lo pared es muy grueso decorado en el cen tro del fondo con
una rose ta, dentro de un círculo morrón . Creemos que puede fecharse hacia lo mitad del sig lo 11 o. de J . C.
eS .M., Dep. 21 , Compaña de excavación 1935,
In~ntorio
nú -
mero 502.
LUCERNAS
~
'"
"- ' / '
~.
19
LucerflO de ce rá mi co camponiense de barn iz neg ro muy brillon ..
te. Pertenece a l tipo de lucernas cerrados, con disco superior com pletamente liso; lo formo del pico es a largodo y en punto, pero
está desgastado y quemado desde a ntiguo. El cuerpo es cilíndrico,
con oso loteral delfinoide y pie muy inclinado. Es uno formo ti pico
del siglo ti o. de J. C.
Mide 0'035 m. de al tura to tal; 0'085 m. de longitud moxlma ;
el pie tiene 0'005 m. de altura y un diómetro de 0'042 m.
eS .M ., Dep. 102, Campaña de excavación 1941, Inven ta ria
nú m. 116.
-
174 -
[page-n-231]
CERAMICA DE IMPORTACION EN LIRIA
"
I
ji ;
17
1
r
D
2Q
Lucerna cerrada de pasta gris y barniz rojizo, cosi morrón . Su
formo es de tronco de cono; en Jo parte superior llevo un disco liso,
con agujero sencillo en el cen tro. Como en lo lucerna anteriormente descrito, tiene aso delfinoide en un lado. Pu ede dotarse sin
duda den tro del sig lo II a . de J. c., aunque parece algo mós tardia
que aquéllo .
C.S.M., Dep. 12, Campaña de excavación 1934, Inventoria nú mero' 17.
• • •
El con junto de los vasos de ceróm ica precampaniense y camponiense encontrado en San Miguel de Lirio, aunque na muy abundante, tiene una rtCO variedad de formas que nos permiten rcco ·
rrer, desde los vasos, seguromenle ót icos, del siglo IV a . de J. e,
pasando por aqu ellos del siglo 1II y II Y llegar has ta las farmas que
serón de uso común en el siglo I o. de J. c., si bien, su fecha de fa bricación cae den t ro de l siglo 11 .
Los vasos que don uno fecho mós moderno son los formas 27 y
36 y los luo<=rnas, que podrían señalar el momento de destrucción
o abandono del poblado hacia fines del siglo I a . de J. c.; poro esto
hipótesis hemos tenido en cuento otro dato que merece señalarse :
1171
N. lAM60GUA: "Per uno clor.sificoz ione .. :', pág. 140.
-
175-
[page-n-232]
M,O A. MEZQUIRIZ
18
lo fal to absolu ta de com poniense B; sabemos que lo tabri:oción
de esta ceróm ico comienza en lo segundo mitad del siglo 1I a. de
J. C. (1 7 ) y que e l apogeo eh su uso está señalado especiolmen t '~
en e l siglo I o. de J. C. El hecho d~ su ausencia en li ria, suponien do que ésta fuese destru ido poco después del año 100 o, de J. C.
podría explicors~ fóci lmen te, supon iendo q ue los productos imp:>r todos lIegaríon con cierto di f icu ltad, a couso de lo fuerte competencia que opond ría 10 producción local (pensemos en la inmenso
desproporción en tre lo ce rá m ico ibérica y [a importada, que se ha
encontrado), por esto, no es de extrañar q ue un produc to de últ i·
ma modo en e l com e rc io de l Medi te rró neo, no Ilegose inm ediatomen te a Liria y no serio e l prime r caso de ciudades, cuya fecha de
fundaci6n a chst rucción, se gu ra, es pos te rior al 150 a. de J. e, en
tos que ta mpoco se encuen t ro cam pan iense B, m ientras que en
o tros, qu e segura me nt e ocog ion con mós entusiasmo los innova ciones y ta m bién con cronologio segu ro, la encon t ramos abundon tement.? como en Volen tio y Palien tia, colon ias fundadas en el 138
•
y 122 o . de J.
respectivamen te.
Finalmente, aunque no in t en tamos profundizar en el in te resante problema de la posible id'en t ificoción de li rio con Lauro, dest ruido por Sertario (18), creemos poder a f irm ar q ue lo ceróm ico componiense encontrado, no con t radice esta tesis y puede es to r p.? rfec tamen te de acuerdo con el año 76 o . de J. C. cO"'o fecna fi nal
( 191.
e
(181 Fragmen T de li vio en FronT
O
ino, 2 , 5, 31. Véase A. SCHULTEN ; "los
guerras de 154- 12 a . de J . c.", Fantes Hisponioe An tiQuoe, IV, Borcelor'lO 193'1,
pÓg. 194.
(19) D. FlETCHER VAlLS: "El poblado ibé rico de Son Miguel de li rio", .",eTOS y Memorias de lo Sociedod Españolo de AnT rOpOloglo, Etnografía y PrehiSToria,
1. XVI, C.- I y 11. Madr id, 1941, pag. 112, y "Sobre los límiTe$ cronológicos de
lo cerómico pintado de Son Miguel de lirio" , Comunicoción ptl!WnTodo al IV Con .
greso Inlernoc ionol de Ciencias Prehistóricos y Protoh iSTóricos celebrado en Ma ·
drid en abril de 1954.
-
116-
[page-n-233]
MARTlN ALMAGRO BASCH
(8 ....r.uJ
Sobre el origen y cronologla
de la "jlbula hi~pánica"
Deseamos con Jos paginas que siguen incorporarnos 01 jus to
homenaje que tan tos a migos y arqueólogos hemos quer ido t ributar
01 fundador del Servicio de Investigación Prehistórico de Vale ncia y
o su me ritorio labor en el campo de los 'es tudios de nuestro remo to
posado.
Con el presen te traba jo queremos dar o conocer el ha llazgo de
dos eje mpla res de fíbulas del tipo que ton to arraigó en todo el área
peninsu lar, que se ha dado en llamar vulgarmente "fíbula hispánico". No son únicas estas dos piezas en Ampurios, pero el da to cro_
nológico que nos proporciono el a juar funerario del que formaban
porte, el hecho cosi cierto de ser dos fíbulos griegas, o 01 m enos
per tenecientes a dos individuos griegos de la colonia focense d~
Emporian, nos han parecido hechos de gran interés dignos de ser
destocados poro mejor conoci miento de ton eX'l endido tipo de f íbula por todos los yacim ien tos de lo España prerromono.
El primer e jempl ar lo hemos hollado bastan te deteriorado. Se
t rota de una fíbula anu la r de bronce, de tipo "hispánico". Mide 3S
milimet ros de dióm . y llevaba un fuer te resorte ad~rido 01 aro. Lo
pieza ha perdido parte del an illo, del puen te y la aguja, pero de
estos partes recogimos algunos fragmentos. El oro es sencillo y no
sobemos exoctamen-te lo forma del orco o puente, aunque parece,
o juzgar por los simples fragmen tos recog idos, que t erminaba en
un ba tonci ll o yero también de sencillo alambre ci línd rico (Hg . 1l.
-
177-
[page-n-234]
M. ALMAGRO BASCH
2
Fig. 1."_ Fibula de lo necrópolis MarI;, Inc:lneroción nUmo 9.
(T. n.)
Es to f íbula de ti po anulor, o pesar de su pequeño tamaño, es d ~
estructura idéntica a las fí bul as hispónicos . Se holló en lo N~crÓ·
polis Marti, inci neración núm, 9, y lo acompa ñaba un lekito á t ico,
cuyo fecho entre el 500- 480 es seguro (fig. 2).
F,g. Z.O-
Incineración Morli, 5epul luro 9.
{l / 3}
Otro e jemplar de este m ismo modelo de fíbula lo hollamos en
'o Necrópolis griega de Bonjoán, inhumación núm . 55, y es una
-
178-
[page-n-235]
OR IGEN Y CReNOlOGIA DE LA "FIBULA HtSPANtCA"
3
pieza mucho mejor conservado, mós fuerte y d e mayor ta maño (figuro 3, núm. " . El oro mide 60 mm . de d iómet ro y es de grueso
ola mbre cil índrico de bronce. El orco, también de l m ismo meta l,
quedo bien suj eto en su cabecero por el resorte de lo agu ja, que es
muy si mple, en ton to que o sus pies quedo fijado por un loza hecho con dos vue ltos de olambre. Esto porte final de l orco de lo f íbula queda bien seña lada y ofrece un acanalado de su jeción poro
la aguja, que es recto y cilíndrico. El orco es omorcillada en su
centro, recordando la est ructuro, aunque muy suavizado, de las f íbu las de orco en forma de "naveci lla" . Esto f íbula, magnificamen12 fabricado, apareció en la sepultura ci tado típicamen te griega,
con un 'rico a juar que hemos pod ido fechar con exacti tud y qu ~
consis t ía en Jos sigu ien tes ob je tos:
0 -0
Fig. 3."--- NC1: rópolis de Bon joon, se;Jul1uro núm. 55.
(T. n.1
Un anillo de pla to de formo ci rcu lar, omorcillodo, con el sello
ovalado del mismo me ta l en lo por te superior, de 20 mm. de dió'
met ro (fig. 3, núm. 2) .
Un ja rrita de posta de vidrio policromo, en forma de anforitc,
con la base de bolo achatado y dos osas sobre la espalda, cuello y
boca con reborde. Decoración, sobre fondo azul in tenso, un fr iso en
zig -zog en a marillo y azul verde. Mide 72 mm . de altura (Iig. 4 ).
-
179 -
[page-n-236]
4
M. IILMAGRO 6ASCH
Jarrita jonio focense, formo ven trudo, parecido a l olpe, con oso
lateral circu lor. Superficie muy desconchada, pero en lo que se
aprecian todavía restos de pintura en rojo que había cubierto lo
pieza . Altura, 115 mm. (fig. 5, num o 1¡.
Otro ja rrito igual al anterior, con restos de pintura rojo. Altura,
83 mm. (Hg. 5, núm . 2 ).
•
Fig. 4 .·-Ne
Vaso de cerómica gris ampuritona, de formo compon ifor m ~,
cha to, con dos oguj eri tos en el reborde de lo boca. Altura, 67 mm.
(Hg . 6) .
Lekito ático de figuras negros con la superficie muy descon chado, qu e afec to o la escena pintado, obro de l pintor de Hoimón
(480-470 o. de J. Cj . Decoración, sobre el vi..entre, de un fri so con
restos de cuat ro f iguras, uno da ellos, lo cen tra l es Dion is ias r ~·
costado sobre un lecho; a sus pies, apoyada, se ve uno mujer vestido con largo tún ico, segu ramente tocando lo lira; de trós de ello,
una orl o de mirtos. A los pies yola ca bezo de esta escena dos fi
guros mós, de pie . La escena que represen ta est2 vaso no se ve biell
par su mol estado de conservación, pero es la misma que aparece
en otros lekitos de la necrópolis Bon joan. Sobre el hombro, decoraciÓn muy perdido de capullos. Cuello res ta urado. Altura, 195 mm.
(1;9 . 7) .
-
180 -
[page-n-237]
OótlGEN Y CRONOLOGIA DE LA "FIBULA HISPAN ICA"
5
Un vaso sim ilar ha sido publicado en el C. V. A. Cam brid g ~,
lám. XX II, núm. 22, fechado o f inales del sig lo V I o pri ncipios del
V a . de J . C.
C]
Fig. 5."- Necrópoli$
d~
Bonjoán, sepultura numo 55.
Fig. 6!- Necrópolis de Sonjoo", sepul tura numo 55.
(1 / 21
(1/2)
Lekita ót ico de figuras negros, desconchado, del estilo del Din ·
tar a ten iense llamado maestro d~ Haimón. Decorado sobre el vi en·
tre con un friso en el que se represen to dos guerreros mon tados
o cobo llo, luchando con uno lanzo. Sobre lo espalda, decoración 'e
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181-
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6
M. ALMAGRO BASCH
capullos estil izados y gruesos puntos alrededor de la bose del cue·
110. En lo base ti ene grabados incisos 105 grafi tos IN. El color del
Fig. 1.·- NecrÓpolis de 8 0nj06n, sepultura numo 55. ( 1/, 2)
Fig. 8. a _ NecrÓpolis de Bonjoón, sepultura nUm. 55. t 1/2)
barnizado negro se ha posado al rojo en m uchos lugares de lo decoración . Altura , 160 mm . (fig . 8) .
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OR IGEN y CRONOlOGIA DE LA "FIBULA HI SPAN ICA"
7
Leki to á tico de f iguras negros sobre fon do blanco. Decoración,
sobré! el vientre, de un fr iso en el que se represen tan tres palme tas
extendidos en abanico de formo ovalado, incl inados y enlozados
en t re sí por unos lallos, del estilo del pintor de HoimÓn. limito a
esta decoración arriba y abajo un tema de tablero de ajedrez y fa
jos en la parte inferior. Sobre la espalda capu llos estilizados. Algo
desconchada la superficie y restaurado el cue llo. Altura, 140 mm .
(I;g. 9).
Fig. 9."-Necr6poIis de Bo,.. jOÓn, sepuhuro nUm o 55. (1 / 2 )
Paralelo o este vaso á t ico es el lekito ampuri lono correspondien te 01 núm. 69 del trabajo de FRICKENHAUS, Griechische Vosen
ous Emporion, publicado en el "Anuari de l'lns litut d'Es tudis Catolons", de 1908.
Dos lekitos áticos de figuras negros, exactamente iguales, d~1
grupo del pintor de Beldom, que traba jó del 480 01 470 a . de J . C.
Decorado sobre el vien tre con tres palmetas desplegados en formo
triangular alargado, con capullos est ilizados en los in tervalos. Líneas de ovos en lo base de estos palmatas. Capu llos esti lizados ra-
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8
M. ALMAGRO BASCH
diformes en el hombro y trozos finos a lrededor de 10 base del cuello.
Altura 113 y 111 mm. (fi95. la y 1 1).
Fig.
I O.-N.,;rOpoli~
de Bonjoón, sepuh ... ro nUm. 55.
fI / 2)
f ig. t I.- Ne
(1 / 2)
Vasos .similares a éstos pueden verse en el C. V. A. de U. S. A.,
núm , 8, Fogg. Collee. LÓm . XII, núm, 8, fechados o principios d~ 1
siglo V.
Lo aparición de dos fíbulas de este tipo entre los ajuares d,
sendas tumbos griegos ampuritonas de comienzos del sig lo V antes
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OR IGEN y CRONOL
9
de J . e , nos ha parecido de cierto interes, pues en primer lugar nos
aseguro 1 gran an tigüedad de este modelo de fíbula, que tonto SP.
0
generalizó en España . En segundo lugar nos han comprobado Icc;
hallazgos ampuritanas el uso muy frecu2nte en tre los griegos tle
Ampurios de este t ipo de fíbulas an tes de lo generalización de los
fíbulas de La Tene I y del tipo de Lo Certosa. Es este un doto que
qU2da bastante asegurado por los hallazgos de fíbu las en los sepu ltu ras de tos necrópolis de Ampurios, o cuyo excavaciÓn y estudio
hemos dedi cado un extenso traba jo recientemente públicodo (1) .
Parece seguro suponer que los foce nses extendieron con su comercio este mode lo de fíbula, que pronto se genera lizó por todo
nuestro Levan te e incluso Bo leares (Véonse unos curiosos e jemplares del Museo de Arló, procedentes del ta layot de Son Fobar, holl ados con cerámico campani ense del siglo 11I a . de J. c. j . Cab2
pen sa r que los centros urbanos del Sur-Este español, organ izados
muy tempranamente, produ jeron en primer lugar y en g ran con ti dad este mode lo de fíbu la, que luego penetró en el Valle del Ebro
y los Mesetas, ll egando hasta el occidente peninsular.
Ton largo duración del t ipo ha permitido el nacimiento de uno
seri e riquísi mo de variantes regionales, poro cuyo cronología, oú"
totalmente sin precisor, hemos querido destocar estos dos datos s~
guros, 01 menos poro el comienzo de esto fíbul a . Ello será uno aportación mós de los proporcionadas por las excavaciones de Ampuríos, siempre contero utilísimo e inagotable de conocim ientos y noticias paro la arqueología española.
¡J) MARTJN ALMAGRO: "Los Necró;¡olis d!' Ampurias. l/al. l. N!'crÓ?Q1is
griegos". Barcelona, 1953.
_
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DOMINGO FLETCHER VALLS
(Valrncla)
La cue.va y el poblado de
La Torre del f'\al PaSto
(Cn'lellno l' o·Caslellón)
ANTEGEDENTES
Hoce algunos años, don Ramón Marti Garcerón donó al Museo
de Prehistoria de lo Excma. Diputación de Valencia, un lote de
fragmentos cerómicos y otros objetos, recogidos por él en diversos
prospeCCiones que efectuara en uno cueva situado en el -para je de nominado Torre del Mol Paso, en los proxim idades de Castellnovo,
pueblo de lo provincia de Costellón, distante cincuenta kilómetros
de lo capital y tres de Segorbe, desde donde el yacimiento es fócil mente accesible posando por el coserio de Córrica (Peñolba) (fig.
l.') (1) ,
A lo visto del in terés que revestían algunos de los piezas donadas, se llevaron a cabo, por el Servicio de Investigación Prehistórico d e Valencia, dos compañas de excavaciones en lo citado cue va, en 1946 y 1947, previo lo autorización de lo Comisario General
de Excavaciones Arqueológicos y de acuerdo con el Comisario Provincial de Excavaciones de Castellón, don Juan Bautista Parear .
(1 l 1. BALLESTER TORMO: "Un donativo interesonl e al Museo de Prehis_
toria", Archivo de Prehistoria Levonlina, 11 , Valencia, 1946, pOg . 352.
, . BALLESTER TORMO: "La Labor de! Servicio de Inv estigación Prehistórico
'1 $1,1 Ml.ISeo en los años 1940 a 1948", Valencia, 1949, pag. 24 .
-
IB7 _
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D. FLfTCHER VALlS
2
Durante lo primera de estas campaños se exploró, asimismo, un poblado ibero-romono, emplazado en lo alto del montículo en cuyo
ladero se abre la cuevo, lográndose interesantes moteriales, Que
auguraban unos resu ltados satisfactorios, en porte hermanos de los
aparecidos en ésto, sin que a pesar de ello se hayan realizado nuevos trabajos en el mismo, por interferirse otros tar2QS de más urgente realización.
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Fíg, 1."- Emplol.cmiento del yacimiento de 10 Torre del Mol Poso (CQsteUnovo,
CO$IeIl6n l.
En lo presen te noto nos referiremos exclusivamente a los materiales ibero-romanos y posteriores tonto de la cueva como del poblado, aplazando la reseño de los niveles pre. ibéricos de aquélla
hasta tanto na esté t erminado el estudio de los cróneos que, de lo
mismo, estó efectuando el Dr. Fuste.
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LA TORRE DEL MAL PASO
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D. FLETCHER VALLS
11
LA CUEVA
La cueva afecta lo formo de un largo pasillo, de unos 21 metros de longitud y 3 de ancho, por término medio, a excepci6ñ d~1
tromo final, en el que se abren, o lo izquierdo, unos pequeños ga lerías (fig. 2 .. ), siendo e n esta últ imo port'e donde efectuó sus prospecciones el señor Morf í Gorcerón, llegando o 10 profund idad medio de 0'50 me tros (fig . 2 ,", sector D) , En estos exploraciones sacó
o luz a bundante cerómi ca de diversas épocas, y a lgunos otras obje tos, mereciendo destocarse porte de un gron so,Tlbrero de copo,
reconst ruido posteriormente con o tros frogmentos logra dos en nues-
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Fig. 3."- F.ogmcn to de cerémico ibérico con voriada decoración, procedente de lo
cueva.
Iros excovociones (a lt. 32'5 cms., diam. móx. 38 cms.) (Ióm. IV,
núm. 2) ; frag mentas de vasijas ibéricos con decoración vario (fig .
3.", 4 ." Y 5."); dos grondes cuen tos ví treos policromadas (Iongitu:::l
media 2'2 cms) (Ióm. " núm . 2); un fragmento de cora l; un pequeño di sco de vidrio, con ornamentación en relieve (dióm . 1'9
cms.) y uno cuento, tambi én de vidrio (di óm , 1'7 cms.) (lóm. 1, nú -
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LA TORRE DEL MAL PASO
5
mero 3); una piedra con signos en relieve en ambos caros (long. 6
cms.) (Ióm. 1, núm . 5); fósiles (Iám . 1, núm . 4) ; porte de uno gran
tinajo con múltiples perforaciones cuadrados, hechos antes de la
cocción ; un oso de lucerno romano; uno escud jl la con agu jeros d'!
fig.
fig . 5." -MolivO$ decorativos en lo ceramico iberico proceden te de la cueva.
lañado (alt . 6'6 cms., d iám . 13'8 cms.) (lám . VI, núm. 2); una fu sayola cónica; un pequeña vaso (alt. 6'6 cms., dióm. 9'8 cms.)
(Ióm. VI, numo 3) ; porte de a Iro, de posto claro, con restas- de fuerte borniz rojo (a lt. 7'4 cms., diÓm. 9'5 cms.) (Ióm . VI, núm . 4) ;
-
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6
D. FLETCHER VALlS
uno tapadero con perforación central, de posta grosero (diám . ]3'6
ems.) (10m. V II , núm , 3); y dos vasijas moriscos (att . 11, diám . 9'5
y 30 y 15'6 ems. respect ivamente) (16m. VII, núms. 1 y 2) ,
En cuan to a las excavaciones realizadas por el Servicio de Investigación Prehistórico, se p racticaron bojo 10 dirección de don
Francisco Jordá y el autor de estos lí"eos. Poro su mós metódico
estudio divid ióse la cueva en :diversos sectores. El E. corresponde o
la entrada, el e, 0 1 áreo situado debajo d~ uno chimenea na turol;
los A y B. o la port e centro l y el D, 01 último tercio de lo cueva.
Esto se ho llaba ma terialmente cubierto de bloques de piedra desprendidos de techo y paredes, a lgunos de los cuales no pudieron extraerse dodo su gran volumen y lo impos ibilidad de uti lizo r explosivos a couso de lo d.:deznable resistencia de lo cueva .
El resul tado de nues t ros traba jos, re ferido ún icamen te a los ma teriales ibero-romanos y poste riores, es el siguiente:
SECTOR E,
No proporcionó materiales comprendidos en este estudio.
SECTOR C,
Nivel l.o 1Hosto 0'20 mts. de profundidad) . - En el límit e
con los sectores A y B,fragmenlas de cerómica ibérico con decoro);
ci6n de ovos (fig. 6.& un pondus perforado (olt. 11 cms.) (Iám .
Flg. 6,"-DecorociÓn de unos fragmen tos dI! cer6mko ioorko (sector
e,
ni"el l.")
11, núm. 1); una agu ja de hueso (OCU $ crinoli s) y minúsculos chapi tos de cobre o bronce ·(diám . medio, 1'5 cms.) (lóm . 1, núm . 1) .
Nivel 2.--(O'20-0'3S).-Estéri l.
Nivel 3."- (O'3S-0'6U).-Frogmentas de cerómico ibérico decorado con series de circunferencias y sem icircu las ta ngen tes y con-
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7
LA TORRE DEL MAL PASO
céntricos ('ig . 1."); porte superior de uno onforillo (dióm . 19 cms.)
(Ióm. VI, núm. 1); un botón de bronca (dióm. 3'3 cms. ) (Ióm . 1,
núm. 7) ; uno hemisfero de hueso o marfil (dióm . 2' 3 cms.) (Iómina
11 1 núm. 11 ).
,
Nivel 4. - (O'60-0 ' 80) .-Estéril.
G
Fig. 7."-Temo orr¡omen:ol de uno vO$i¡o iberico (sector
e,
nivel 3.°) .
SECTOR A,
Nivel I .o ( Has ta O'201.-Delgadísimas planchuelas cuadrado:;
y circul ares como los hallados en C-l .~, y dos monedas valencianos
de haci a 16 10.
Nivol 2 .~-( O' 20 - 0·40) . -Algu nos fragm entos de cerómico mo
risco .
Nivel 3: - (O'40·0 ' 70) .-Abundantes piedras y ti erra ceniciento . Fragmentos de cerómica ibérico decorado con temas geométricos, y romano ; tres monedas, uno de Gordiano, airo de Alejandro
-
193 --
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8
D. FLETCHER VAllS
Severo y otro valenciano de hacia 1610 (2); dos agujas de hueso
(olt. 6'6 y 4'8) (16m . 111, núm, 2 y 3); botón de bronce (di6m. 2'6)
(16m. 1, núm, 15) y restos de osa del mismo metal.
Ni,.el 4:-(0' 70- I 'OO) .-Un tejuelo de cerámico ibérica ; frag mento de acus erinali! '(olt. ¡'S) '(Ió:n . 111 , núm , 4); un anillo de
bronce (dióm . 2 '2) (16m . 1, num o 16) ; fragmen to de un brazalete
posiblemente de modero carbonizado (long. 3'5) (1 . 11 , num o 3).
6m
En lo por te boja de esto capa aparecieron ya puntos de flecha
de pedúnculo y oletos y cuchillos de sílex, con t inuándose en los n iveles inferiores. Los figuras S y 9 de lo lóm , II I (long . 4'3 y 12' 1,
respectivamente) corresponden 01 nivel 5 .°, con pun tas de flecho
de sílex.
SECTOR B,
Niyel 1 .~-(Hos la O'20) .-Fragmenlos de cerámica marisco V
trei nta chapitos cama 105 reseñados en C- l : y A- 1.-. Una monedo
de difícil identif icación (Honorio a Arcadia) .
Nh'el 2 .--(O'20-0'40) .-Cerómica marisco, planchuelas y un
fragm ento de acus crinalis.
Nivel 3.--(0'40-0'70) . - Tierras cenicien tos con abundantes
piedras, cama sucede en el mismo nivel del Sector A. Un fragmento
de brazalete de azabache (long. 3'5) (Ióm . 11, núm . 4) ; lam inillas
de bronce; un clavo de hierro; anilla de bronce (dióm . 2'1) (Ióm . 1,
núm. 12); un hueso espotulado (long . 4) (Ióm . 111 , núm. 8); frag mentos de cerómica ibérico decorados con teorías de eses V OV"lS
(f ig. 8) ; uno pulseri110 de ora, enl're cuyos es labones, formados por
finos hilos retorcidos en loza, se intercala un dado, as imismo d e
oro, con los ángulos redondeadas y la s caros c6ncavos con pequeña
circuli110 central grabado (long . 8'9) (10m . 111, núm . 13) ; dos mone das, uno de Ale jandro Severo y otro de Julio Mommeo .
El nivel 4.-, sin materiales que puedan interesar e n el presente
trabajo.
(21 Debemos o lo amabil idad de los sMot" Bel tro n Villagroso y Mal eo v
Llopi$ la c1osificoción de l conj un to mane tal de nlo cueva, siendo im pm,ble lo determinación de a lgu nas pinos o causo d e su de ficlent isimo ntado d e cQftl.enación. Desde " los li neos agr adecemos o ambos señOfn su valioso cola boradon.
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LA TORRE DEL MAL PASO
9
SECTOR D,
Nivel 1: - (Hosto 0'50, o seo hasta lo profundidad medio 01
·
canzado por el señor Morti Gorcerón en sus prospecciones) . Mezclado con abundante piedra suelto se holló cerámico ibérico
muy fragmenta do: un kólathos (olt. 14 '2, diám. 18) (Iám . IV, n ." 4 y
fi g . 9 ."); gran po rte de uno tinaja decorado con un pájaro, uno his·
Fig. 8."- Ornomenloción de un fragmento de cerámica íoor ica (sctor a , nivel 3 .").
toriodo cruz doble y otros motivos geometricos (fig . 10); cerámico
oscuro es tampado (long. 16'5) (Ióm. V, núm. 2); chopitos como los
mencionados en los niveles primeros de A, B y C; uno aguja de hue·
so (o lt. 6'8) (Iám. 111, núm. 1); uno hebil la de bronce (long . 5 ) (Iá.
mino 1, núm . 10); cerámico negro mote con circulil los estampados
(long. 22'5) (Iám . V, núm. 4); lam inilla de hueso (long . 4 '9) (Iá ·
mina 111 , núm. 6) y tres monedas de Grociono.
Nivel 2 .°-(0'50 .0'801 . - Uno cuento de vidrio; un botón d~
bronce (dióm. 3'3i (Ióm. 1, núm. 14); fragmentos de t erra sigillota
de lo llamado hispánico (olt . 8'7, diÓm. 16'5) (Iám. V, núm . 3); dos
anillos de hierra (dióm . 5'5 y 5'3 respectivamente) (Ióm. 1, núm . 6
y 13) ; chopi ta s como las ya descritas, y seis monedas, dos de Mar·
ca Aurelio, una de Septimio Severo, das de Moximino y una de Fi ·
lipo el Arabe.
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o. FlETCHER VAlLS
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LA TORRE DEL MAL PASO
II
Niyel 3 . ~-(O'SO - I'1 O).-Abundante cerómica ibérico de 10 qU!!
reproducimos en los figuras 11, 12, 13, 14, 15, 16 y 17 . a lgunos
temas ornamen tales, geométricos, florales y zoomorfos, y una la rgo inscripción pintado sobre una tapadero; un botón de pasto vítreo (dióm . 2'3) (Iám . 11, núm. 6); gran parte de uno pátera de cerómica rojizo estampado (d ióm . 33) (Ióm. V, núm. 1); fragm entos
de anillos de bronce (dióm . 2'S) (Ióm . 1, núm. 9); clovos de hierro;
chopitas, de los ton reiteradamen te citados; una laminilla de hu eso (long . 4'6) (Ióm. 11 1, núm. 7), y se is monedas, dos indescifrabl es, t res de Faustina y uno de Commodo
Nivel 4."- ( " 10- 1'351 . - Gran abundancia de piedra sueh o y
a lgún fragmen to de terro sigillato tardío.
Niv el 5."-(1 '35 - " 60) . - Un fragm ento de terro sigillota seme jan te 01 menci onado en D-2.0; planchuela rectangular de bronce
con dos perforaciones (long. 3'2) (Ióm . 1, núm . S), y dos monedas,
uno de Adriono y ot ro de Morco Aurelio . En 10 porte bo ja de es t !
nivel aparecieron yo pun tos de fl echo y cerómica de lo Edad del
Bronce.
Nivel 6. ~-{ 1 '60 - 1 '80). - Fragmen tos de cerómica ibérico y
materia les de lo Edad del Bronce.
Niyel 7.°-(1'80-2'10) .-005 ostrógalos (long. 2'9 y 2'8 respectivamente) (Ióm . 111, nÚms. 10 y 12); fragmentos de mandíbula
humano; y un pasador de bronce (a lt. "2) (Ióm. " núm. 11).
Niyel S."-(2'10-2'40) .- Fragmentos de cerómico ibérico y uno
monedo de 50gun to con cabezo goleado en el anverso y proo de
nove en el reverso, sin poderse dis t inguir mós detalles o causo de
su deficientísimo estado de conservación .
III
EL POBLADO
En lo meseta deJ montícu lo, en cuya ladero se obre la cueva,
existen res tos de edificaciones mencionados por C. Pau (3), en tre
los que se distinguen muros de habi taciones y dos torres, uno cir-
(3J C. PAU: "Muros y castros de Segotbe", Bolelin de lo Sociedad Castellonense de Cul turo, e.O 111, Costellón, 193 1, póg. 121 .
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D. FLETCHER VAl LS
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LA TORRE DEL MAL MSO
cu lar y o tro cuadrado, de lo primero de los cuales porten dos muros de piedra que von o morir en el cariado que delim ito lo mese ta
Por lo porte suroes te (fig . 18) .
Nuest ro prospección se ef.ectu6 en los proximidades de lo torre
Fig. II.- Trmo ornamentol e n ccrémico ibérico (seclor D, nivel 3.
fi
) .
Fig. Il.- DecorocIOn de V
circular, en uno pequ eño habitación (fig 19) que yo fue explorado, aunque superficialmente, por don Baltaser Rull, hoce algunos
años.
Lo habitaci6n, de formo rectangular, afreci6 los siguientes ca racterísticos:
-
199-
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14
D. FLETCHER VALLS
El muro a, al llegar aproximadamente o un metro del b, desa parece, dando origen a una puerto. Este muro descanso directamente sobre la t ierro o lo altura del piso de lo hobitación, El muro
b se cimento sobre uno hilado de piedras por debajo del nivel de 10
habitación . El e, de iguales característicos que el anterior, t iene
uno ancha bose saliente; en su parte central, a 1'20 m. de profundidad, aparece destrozado en su coro interno, formando un hueco
como hecho exprofeso pora utilizarlo como vaSOr u hornacina, que
proporcionó abundante cerómica. El muro M descanso por lo parte
interior de lo ·habitación, sobre el suelo natural. Ignoramos los ca-
Fig. 13 .-Oe1iorrollo de lo omamentoción de un kólotnos ibérico (SKlor O, nivel
lercero).
racteristicas ext ernas de estos cuatro muros, yo que lim itóndonos
o uno si m ple exploración, no efec tuamos ningún trabajo fuero del
recinto.
El piso de éste se -hollaba o 0'80 m . de profundidad, referido a
lo superficie actual del mon tículo; estaba formado por fuerte copa
de tierra endurecida, de un espesor de 30 cms., por deba jo de lo
cual, 01 rebasarlo poro comprobar lo posible existencia de niveles
inferiores, nos encontramos con otro estrato fértil a 1'20 m. de
profundidad con respecto 01 piso actual de lo meseta.
Los hallazgos fueron los siguientes:
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200 -
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15
LA TORRE DEL MAL PASO
-
20 1 -
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D. FLETCHER VALL$
16
PRIMER NIVEL (A O'SO de profundidad) :
Punto núm, l.-(Véose f ig. 19).-Un mortero de pi edro con
vertedor y dos apéndices late rales, y la base perforada por el uso
(long. 39) (16m. V III, núm, 2); frag men tos de ceróm ico, unos ibéricos con decoración geomé t rica y ot ros de pos ta grisáceo con oco -
Fig. 15.-De<:oroción de un piolo ibérico ( s~lor D, nivel 3.").
na taduras en el cuello (long. 15'5 y 12'5 respectivamen te) (lóm ino
V I, núms. 6 y 7). y dos c ris ta lizaciones de pirita d e h ierro, que son
abundantes en la comarca.
Punto núm. 2.-Un d isco de piedro perforado (dióm. 4) (lámi-
na
11, núm, SI.
-
202 -
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LA TORRE DEL MAL PASO
17
Punto núm . 3.-Abundante cerómica ibérica, con la que se ho
podido 'reconstruir dos kólothoi decorados con temas geométricos
(olt. 12 y 16'8) (10m . IV, núms. 1 y 3); uno piedra de formo oval
(long. 10'4) (Ióm . 11 , núm. 7) y uno caracola .
Punto núm . 4 .-Aporeció fragmentada el gran vaso ibérico de
perfil caliciforme y decoración geométrica reproducido en la lómino
VI II, núm . 1 (ol t. 36, dióm. 34).
Punto núm , 7.-Un pico de h ierro (long. 32'5) (Ióm . VI II , nú ·
mero 3), uno agu ja de fíbula y tres pondus qeshechos.
Punto núm . S.-Un pondus y un fragmento de t u ro sigillcta
igual a los reproducidos en lo IÓm . V, núm . 3.
Fig. 16.-Frogmento de ploto, cen decOtoción de peces (sector D, nivel 3.").
SEGUNDO NIVEL (A , '20 de profundidad)
Punto núm , 3.-Exoctamente debajo de donde oparecieron 10'i
dos kólothoi del mismo punto del nivel primero, se hallaron frag mentos de cer6mica gris oscu ro.
Punto núm . 4 ,-Deba jo de donde apareció el vaso cali ciforme
se halló en este segundo nivel una laminilla rec tangu lar de plomo
con un extremo agujereodo.
Punto núm, S.-Lógicamente debiera estor ocupado por el mu ·
ro e, pero, como yo hemos indicado, és te presen taba uno pequeña
oquedod en lo que se encontraron fragmentos de cerómica gris
acanalada, de iguales características Que lo hollado en el núm . 1
del nivel superior, pudiendo reconstruirse uno pequeño vasija (olt.
11'6, diÓm. 13) (Ióm. VI, núm. 5) y un plato (dióm . 19'5) (lám ina
VII , núm. 4) .
-
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O, FLETCHER VA LlS
,
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1
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Punto núm . 6 .-Oos pondus, uno completo de 11 cms. de a ltu ra; dos crecientes o apoyos de vasos de sección triangular, uno
de piedra y otro de a rcillo (long, 14'4 y 14, respec tivamente); un
percutor de piedra con pequeños cazoletas en ambos coros (long.
8'8) (Ióm, 11, núm. 21, y tres fragmentos de cerómica camponiense.
Punto núm , 9 .-Un fondo de vaso de posta gris oscuro .
IV
LOS MATER IALES
Hecho suci nto relación de los hallazgos, expondremos algunos
consideraciones sobre los mismos:
l.- CERAMI CA
o) Ibérica.-La mayor porte de los temas ornamen ta les son
los corrien tes en lo decoración ibérico : circunferencias concéntri cos, secantes y tangen tes; líneas ondulados; postas ; teorías de eses,
etcétera, etc. Otros temas no son, si n e mba rgo, ton frecuentes, coma sucede con lo svás t ica de lo figuro 3, cuyo paral elo, hasta ahora, únicamen te podemos señalarlo en nuesllra región en yaci mientos próxi mos 01 nuestro, como son el de Rochina y el de Ondo (4),
pero creemos que ha de tener un origen europeo, ya Qu e, opart!!
de hallarse en Numoncia, aparece idén ti co aunque inciso, en cerómicas polacas (5 ). Poro lo doble cruz del vaso de lo f iguro 10 no
hoy parale los en los ce rómicos ibéricas valencianos, constituyendo
un nueva temo o incorporar 01 yo Ion rico repertorio ibérico (6).
Los golbos no presentan novedad alguno : pla tos, cuencos, tapoderos, killot hoi, etc., etc., mereciendo ún icamen te destocar el gran
tamaño de alguno de estos vasos y del ca li ciforme de lo l óm . VI II ,
núm. l.
{4} O, FLETCHER VALLS: "El poblado ibérico de Rochino", Actos y Merr>')dos d e lo Sociedad Esponolo de Ant ropologia, Et nogralía y Pre his torio, Mad rid ,
1940, pág, 125. f,g. 4 b.
B, RU LL VILLAR: "Noticio rio histórico de Onda", Alcira 1943,
/51 K, JAZDZEWSK I: "Pr
(6) Lo primero g.an recopiladon d c t cmo~ o, n omen to les ibé;, icQ1 se hollo
e n el HCOIj)U~ Vasorum H,spano,um. Cerómica de l Cerro de San M igu~l, Utio",
redactado por ~I per5QnQ1 del S. 1. P. y Edi tado pOr el lnstitu la d~ Arqueologio
"Rodrigo Coro", del C.S.1.c., Ma drid , 1954.
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La vasi ja de posta clara y barniz rajo, muy pe rdido en lo ac tua·
lidad (Ióm , VI, 4 ). es semejan te a_otro de Son Miguel de lirio, co-
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Fig. 19.-Plonla y sfccianes de lo habitación nUmero
del Mal Pa$/),
rn .
del pe¡blodo de 1 Torre
0
rrespondiendo ombos 0 1 tipo d3 de la closificoción de E. Cuadro ·
do (7).
171 E. CU ADRADO: "Maleriales iberi(O$: cerámica rola de Pfocecfencio 1
".
(ier lO", Zrphyrus, IV, Salamonca, 1953, póg. 265.
"Corpus Va5Otuon Hlsponorom. Cerómico del Cerro de San Miguel, LIrio". 16·
mino, IX, 3.
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O. FlETCHER VAlLS
Lo e n for mo (Iám. V I, 1) corresponde 01 tipo que se ha dado en
lIa mor púnico, encontl'ándose con bastan te profusión en el Levante y Sur de España (8).
l a vasija con perforaciones cuadrangula res t iene su réplica en
otros poblados ibéricos, ta mbié n en vosos de gran ta ma ño, como el
de la Viña del Pau (Villof ranca del Pa nadés), da tado del sig lo 11
o. d e J. C. (9); su finalidad no estó clara, habiéndose considerado
como f il t ro, col mena y hasta recipiente poro lo conservación d e caracoles (1 0) . Vasi jas de menor ta maño, perforados en todo su su perf icie o solamen te en su t e rcio infe rior, se señalon en La Bostida
de les Alcu ses (Mogente ), Anseresa (Olius) y otros pu ntos (11) .
Destoco por su int erés ,lo tapodero con le tre ro ibéri co (fig. 17),
puesto que no s61 a um enta el núme ro de inscripciones ibéri cas del
0
Mu seo de Preh istori a de Va lencia (12) , si no que ademós am plfa el
órea d e los escritos sobre ce rómico hacia el in te rior de la prov incia
de Cas tellÓn . Lo in terpretación de alguno de los signos no es seguro
por lo borroso de la pin tura; son de cloro lectura el 1, 2, 3, 4 , 5,
6, 10, 11 , 12, 13 y 14; son dudosos el 7 (Bi o Ti ), 15 y 16 (A o ta l
vez. el enigmótico Y) y no hemos podido descin:or los signos 8 y 9 .
Nues tra lectura quedo osi (13) :
A T E U A s A a l ? ) A S ORDQN A
1 2 3 4 S 6 1 8 9 1 0 11 12 13 14 15 16
Tonto lo co lidod de lo posta cerómico como to ornamen tación
de los vasos ibéricos de nuestro yocim i2n to, son defi cien t es, lo que
nos m ueve o suponer que se t ro to de producción de época tard ío,
{81 M . ESTEVE GUERRERO: "Excavaciones en Asta R'.qi" (Mtln dp As to.
Jernl , campana de 194 5-1 946" , l{l larmes y Memorias de lo Com isaría Genera l
6m. XV. fiQ. l ." dch:l.
de b covacioncs Arqueológicas, núm. 22, Madri d, 1949, 1
(9) "Memorias de los Museos ArQueológi cos Provinciales". Mad rid, 1944,
1
6m. LlX, 3.
(10) P. GIRO ROMEU: "La cerornica ibérica de la Viña del Po", En el Pen~_
dés . Natas poro su estudia", Arc hiva Espa ño l de Arqueología, XX , Mad ri d , 1947,
póg. 200, lig. 28.
111) J. SERRA y VILARO: "Poblado iberico d e An sereso (Oli us)", Memorias d e
la Junto Superior de Excavac iones y An Tigüedades. n . . . m . g enera l 35, Madri d , 192 i,
16m. VI, b, nums. 1, 2 y 3.
Los ma teriales de La Bastida de l es Alcules IMage nT e l se hollan expuestos
en el Museo de PrehisToria de Valenci a.
112) D. FLETCHER VALLS: "Inscripc iones ibe rica5 de l Museo d e Prehistoria
de Valen.cia". Publicaciones del InsTil ula de Estudios Ibéricos y Etnología Valenciana. nUm o 2 , Volen.cia, 1953.
(13) D. Fl ETCHER VALLS: loe. d T. naTO an terior, pag. 5 1.
A. TOVAR, na ta crí' ico o la an terior obta. en ZephY'U5 V, Salaman.ca. 1954.
~. 86, lee: ATEUASABIR, ASORTONA ...
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LA TORRE DEL MAL PASO
23
dentro yo de lo pleno romanización, de la que con certeza son otros
muchos hallazgos de cerómica ibérica (14).
Ot ros elementos de ju icio que estudiaremos a continuación vienen a corroborrar nuestra anterior suposición.
b) Terra sigillota.- (Lóm. V, 3) . Los fragmentos hollados son
del tipo de lo denominado hispánico con ornamentación en circulillos y lineas verm iformes, que se hallo muy difundido por todo lo
Península, 'tonto en ambos Castillos, Andalucía y Portugal (15) como en comarcas mós próximos o nuestro yacimiento, toles como
10 necrópolis de Torragona, que comenzó a u tili zarse, según Serra
Vilor6, o mediados del siglo 111 , cesando los enterramientos hacia
el 400, de acuerdo con Jos monedas (16), aunque poro Schl unk no
¡ 14) A. GARCIA y BELLIDO: "Nuevos datos wbrc lo cronologio finol de lo
cer6mlca Ibérico y sobre su expansión e;o¡ tra_pe ninsular", Archivo Español de Ar_
queología, XXV, Modrid, 1952, p6g, 39.
D. FLETCHER VALLS: "lo Tyris Ibérico y lo Valentia romano", Boletín de 1.,
Soc:ieOod Castellonense de Culturo, XX IX, c. O IV, Castellón, 1953, pág. 291.
(1 51 MARQUES DE CERRALBO: " El Alto Jolón", Madrid, 1909, pOg, 159, fI.
guros 1, 2, 3 y 4.
J . PEREZ DE BARRADAS: "Los villas romanos de ViUaverde Bajo IModridl".
Anuario de Prehis toria Madr ileño, 11 - 111 , Madrid, 1932, póg, 101. Lo villa, situado en el arenero tercero del ventoffa del tia BI05, fue fundado posiblemente, se·
gun el autor, en los ultlmos años del siglo 1 d. J. e, deb ie:ldo ser destruido en el
11 0 ptinclpiQ$ del 111,
P. BOSCH GIMPERA: "Lo cerÓlnica hallslóltica en los cuevas de lo provinCIa
de lag,año y su oc::upoción en distintos ~pocas", Comisión de Inves tigoc:iOfles Po.
leontológicos y Prehistóricos, nUm. 5, Madri d, 19 15, róm, IU, 2 /6; proboblementt
del siglo IV.
J. MARTINEZ SANTA_OLALLA: "Antigüedcde$ romanos de Pazo de lo Sul
¡Burgos}", Anuario de Prehistoria Madrileño, 11 -11 1, Madrid, 1932, pág. 127, lómino XXI II , 14, 11 y 24 . El au tor considero que e$to cer6mico llego hasta fines
del Imperio,
S. GONZALEZ SALA: " HaUa",gos orQueológicO$ en el Alto de Yeclo, ~n Sont.,
Domingo de Silos ¡BurgQl.}", Actos y Memorias de lo Sociedad Españolo de Ant ro.
pologío, Etnogrofio y Prehistor ia, XV, Madrid, 1940, pOg. 103, lóm, X, 3 o 21 y
29031.
S. GO NZALEZ SALA: "El cos tlO de Yedo, en Son to Domingo de Silos (B ... , .
gas)", Informes y Memorias de lo Comisario General de Excavaciones Arqueológ i.
cos, núm. 1, Madrid, 1945, 16m. VII. El au tor lo denomino hispano-romano, con.
sider6ndola del siglo IV en ade lante.
M . ESTEVE y GUERRERO; "Contribución 01 conocim ien to de A$lo Reglo". Ac·
tos y Memorias de lo Soc:iedod Espoñolo de Antropologia, Etnogrolia y Prehlstono,
XV I, Madrid, 1941, pOg. 3B6, 10m. L1V, núm. 2 .
F, RUSSELL CORTEZ; "De terro sigillata tordio encontrado em Portugal", Bei_
ro Alt o, Viseu, 1951, fig. 24 , Considero los fragmentos del cos tra de Socoias lBr:Jgo~al (:omo del tipo D de 10 clasificoción de lo terro sigillota ellOOñola he<:ha por
Comforl.
(161 J . SERRA y VILARO: "Excavaciones en lo necrópolis romono-cr;st 1.lnO
de Tarrogona", Memorias de lo Junto Superior de Excavaciones y Antigüedades,
nUmero general 10<1, y número gl'nerol 133. Madrid, 1929, 16m. LXXIV, nVme' os
.5,22, 26, 21, 2R, 29 y 30.
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D. FlETCHER VALLS
hoy sarcófagos cris t ianos del siglo 111 ni de la primera mitad del
IV, fechando lo mós antigua inscripción en el 393 y la mós reciente en el 471 (17). Es de señalar que en Terragona, como en Costellnovo, esta cerómico s igillato aparece m~zclado con ceramico
estampado y con cerámico ibérico, lo que sucede también en Santo
Domingo de Si los, Socoies y otros lugar¿s. Algunos frogmentos pro.
ceden t es de Sogun to son iguales o los de la Torre del Mal, Poso
( 18).
".
Es tipo cerómica de período tard ío den tro de la rom~nización,
no siendo por ton to ex traño que aparezco con cerómico .es to'T'pada,
como yo hemos indicado.
el Cerámico estampado.- (Lóm . V,I, 2 y 4 h Los fragmentos
que se conservan corresponden o grandes platos de color rojo oscuro y gris, con divef"sOS mot ivos estom podos en el borde y fondo.
Es tipo cerómico ampliamente ex tendido, encon tróndose en Ing lbterro, Francia, Ale mania, Ital ia, et c. (19), y den tro de lo Penin sula Ibérica se señala en múltipl es yaci mien tos portugueses y españoles. Zeiss ci tó una bueno serie de ellos (20). ampliando lo relación Palol en un interesant ísimo resumen sobre la cuestión (2 1).
(111 H. SCHLUNK: "U n tall er de sarcófogos cris tio."lOS en Tarrogona", Ar.
chiva Español de Arqueología, XXIV, nÚl"ns. 83 y 8'1, Madr id, 195 I,?6g. 61.
1181 A. CHABRET: "Sagunlo, su historia y sus monumentos", 11, Barcelona,
1888, póg. 219.
(191 G. MACDONALD: " Forsá,ungen in Rijmisc.hen Britonnien 1914/19111",
Deutsc:he$ Archiiologisches Institut, ROmisch_Ge rmanisc.he Kommission, neun:z:ehnter Be
la Sodé té Préhis torique Frarn;oise, XXVI, numo 1, Pods, 1929, pag. 86, fig. 2.".
Se t,oto de un vaso can palme tas estampadas proceden te de "Les Chompl!lIans",
cerco d e Sain t-Fay-Lo Grande (Girandel, atribuida 01 ¡f¡¡la 11 .
H. KU HN : "Die vorgeschichtliche Kuns t Oeutsc:hland~", Berlin, 1935, lomi nos
410 y 411. Fragmentas de cerámica que el au tor denomino "Ironkische Tonge losse", considerándolos de hacia el 600.
N. LAMBOGLlA: "Nuav¡ scovi o Taggia e
San Remo" , RiviUo Ingauno e
Intemel io, VIII , 1, Bordig hero, 1942, p6g. l O, lig. 1. El autor la atribuye
lo
edad " tordo- romono".
N . LAMBOGLlA: "Gli sca ... i d i Albintimilium e lo cronolQSlio delta ceromica
romano . Porte prima. Campogno d i sc:avo 1938/40", Bordlghera, 1950, lig. 82,
nilms. 12 a 14. Closillcodos como de los siglos IV y V.
K. BOEHNER: "Die fronkischen G.Ober van Orsoy, Kreis Mors" , Banner Jahrbücner des Rheinisc:hen Landes Mus.eums in Bonn, Hel! 149, Bonn, 1949, pagino
146, lig. 9, nums. 3 y 6. Clasificada como del siglo VII.
1201 H . ZEISS: "Spi::it'Omische stempel';er ~ierte Keramik aU$ Portugal unll
Spani en", Homenogem o Mortins $armento, Guimaroes, 1933, p(t¡:¡ . 466.
(2 11 P. DE PALOL SALELLAS : " Lo Ce<6mica estompada romano-cris tiana",
Crónica del IV CQ:'\gre50 Arqueológico del Sudeste (Elche, 1948), Cartogeno, 19""9,
p6g. 450.
°
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2 10-
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LA TORR E DEL MAL PASO
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Posteriormen te Russe ll Cortez aportó nuevos hallazgos portugueses (22). A los listos dados por es tos a u tores podrían añadirse segura mente los "'a llazgas de lo Groto da Nascente do ,ío Almondo,
en Portugal (23) y los de Ho,nillos del Camina, Sa nto Domingo de
Si los, lo Cacasa, Toledo, Valencia y los que aquí es tudiamos proceden tes de Castellnovo, en España (24).
Se considero de época avanzado, como lo conf irman los ha llazgos de Ampurias (uno de cuyas fragmen tos se conservo en el Mu s~o
de Prehis toria de Val encia), encuadrados par Cazurro en tre los siglos V y VI, en pleno época visigodo (25); los de la sepu ltura 28
de lo necrópoli s de Can Flit, con monedas del 25 3 0 1 337 (26); los
de Mon t roy, proceden tes de un habitat d osificado como de t ie...,pos b izan t inos (27 ); los de Barcelona, can monedas de Vespas iano
o T eodosio (28), etc ., etc.
Mas o pesar de ello no exis te un criterio unón ime en cuan to o
lo exaota cronolog ía de esto cerómico. o su origen y 01 emplaza mi en to de .sus cen t ros productores.
(22) F. RUSSELL CORTEZ: Loe. dI. nola 15. Cita algunos nuevos VOClmll~n
las en los que lo cerómico nlompodo aparece con lerro sigillala h ispón ico V e n
algún coso con monedos imperlo ln del siolo IV.
(23) A. DO PAC;O, M. VAULTIER y G. ZBYSZEWSKI : "Gloto da noseenle do
d o Almondo", Trobolhas d e Antropologio e Elnolog io, XI , fase. l. Porta, 1947,
16m. XI, flUmS. 53 V 58.
(24) M . MARTlNEZ BURGOS: "Lo nec'ópolis de Horn illos del Comino"; M emorias de los Mu~ Arqueológ icos Prgyincioles, VI, Madrid , 1945, p:lg. 28, 16mino V, nÚms. 1I y 12. El ou lor considero esto ceromico como "la con linuoción
visigoda de lo lerro sigillolo de los últimos tiempos del Imperio", situando la necrópolis en "los comienzos de la dom inacion visi!,)Oda en Espoña".
J . L . MONTEVERDE: "Sobre la necrópolis romana de Hornillos del Comino
IBurgos l", Arc h ivo Espa';o l de Arqueolag'o, XVI II, Madrid , 1945, póg. 338. COi.lci de en su aprec iación cronológico con el anterior trobojo, si tuando lo cerómlco
es tampado en el siOlo V.
S. GO NZALEZ SALAS: Loe. ci l nolo 15. Encuadra esta cerómka en el siglo V.
J . DE C, SERRA RAFOLS: "La villa romana de la deh eso de Lo Cocaso". Ha daJoz. 1952, lóm, XXX iiI.
L DEL PAN : " El yacimiento prehis tórico y protohis lór ico de lo Albe rqu i110
(Toledo)". Bole l,n de lo Real Academia de la Historia, LXXXI , c." 11, Madrid,
1922, póg, 136, Ilg. 9.
Un fragmento de exce len te calidad fue hallado en los excavacio nes Que, bo lo
los auspicios del Excmo. Ayvn lamiento de Vale nc ia, reali zamos en la ca lle de l
Reloj Viejo de esta ciudad .
(2 5 \ M. CAZURRO: "Terro sigillolO: las vasos oretinos y ws im llacianes gola- romanos e n Ampllrlas" , Anuo, l de l' lns tilut d' Es tudi s COlolons, 111, Borcelor.a,
1911, póg, 290, fig. 30.
(26) J . COlOM INAS: " Excavaciones de necrÓpOlis roma,.,os en Ibiza V f Ol'_
mentera", Ampourias, IV, Barcelona, 194 2, 'PÓQ. 139.
(211 lo SIRET ; "Villoricos y Herrerías", Madrid, 1901.
1281 A. DURAN y SEMPERE : "Vestigios de la Barcelona romana en lo p¡o7.a
del Rey ", Ampurias V, Barcelona, 1943, póg. 5 3 , 16m. XV III, lig. 40.
-
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D. FlfTCHER VALLS
Dechelette (29) copió lo que Giroul t expuso Q este respecto,
tomándolo o través de C. Jullion, quien no estaba de acuerdo co.,
lo datación dada del siglo IV o V, puesto que lo consideraba mós
bien del VI y aún quizá del VII.
Pora Conil (30) serio la misma técnico de fabricación y decoración que considera vossits y ocepto Dechele tte (31) como de procedencia 'e sencialmente céltico, llegando un poco modificado al si glo V con los visigodos; los cera mistas indigenos, 01 incorporar o las
pa lmetos otros motivos ornamell.toles (como se ven en Bu rdeos,
Nantes e Yverdon) origina ron este t ipo especial de cerómico denominada cri's tiona de Burdeos, existiendo por tonto fi lioción en los
procedimientos de fa bricación en t re esta cerómica cristiano de Bu r ·
deos y su predecesora de Chompellans, la que a su vez se origino
01 aceptar los celtas uno t écnico y decoración de tipo helén ico.
Discrepando de este criterio Mouret (32) afirmó no ser necesaria acudir 01 valle del Donubio poro encontrar esto cerómico desde
el siglo 11 , pues lo halla en las capas profundas de los ruinos de !o
ciudad de Vendres (an tiguo Prumuliog ), 01 lodo de lo sigillato
de lo Graufesenque, y aunque reconoce que los motivos cristianos
no hocen su aparición hasta el siglo 111 o IV, cree que esto cerómiCa ornamentado con temos paganos es tuvo en uso mucho tiempo
antes.
El llorado T orocena hizo en un bello opúsculo (33) mención o
este tema opinando, como Mouret, que la cerómico estampada se
encuentro yo en los siglos 11 y 111, comenzando su esplendor técni co 01 decaer el de lo sigilloto, no debil!ndo sobrepasar su existen·
cia el sigla IV a todo lo mós los comienzos del V. ya que sólo exc~pcional m ente aparece en los cementerios germónicos de los orlmeros tiempos de las invasiones y en cambio abundo en los yaci mien tos del siglo IV, 'o fines del cual comienzo o en t rar la cerómi ca africana decorado con símbolos crist ianos. Supone que en Espo·
ña hubo alfares de esta cerÓmico.
{29} J. DECHELETTE: "Les vas~ ceramiques ornés de la Gaule Romoine" ,
vol. 11 , Poris, 190'1, v. 1
6m. XI I y XII I, con cerámico semejan te o lo de nu~stro
yacimiento.
130) A. CONIL: Loe. cil. noto 19, y "Ci!rom iqu~ ó palmellH", Bullelin de lo
Societe Archoeologique de Bordeoux, XXXIX, 1920-21.
131) J. DEC HELETTE : Loe. cil., pág. 327 y 5$.
(32) F. MOURET: "Corpus Vosorum An t;qUOfum : FroMCe, Collection Mau rel
iFouilles d'EnsCrune)" , pag. 12.
(33) B. TARACENA AGUIRRE: " Lo cerámico antiguo españolo", Mod rid. oño
19'12.
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lA TORRE DEL MAL PASO
27
En el citado trabajo de Palal se estudian formas, pastos, bar nices, técnicos y motivos ornamenta les, reconociendo el autor lo
imposibilidad actual de establecer los exactos limites del comienzo
y fin de esto cerómica, pero parece ser qu e todo apunto hacia 1:)
segundo mitad del siglo V, exist iendo pocos ejempla res o tribuibles
01 siglo VI y siendo muy dudosos los datables en el VII. Poro Palol,
la cerómica estampada serio lo última proyección de lo terra sigi.
lIata, producto de olferes pa leo-cristianos provenzales, sin t en~ r
nodo que ver con el pueblo godo.
Russell Cortez, 01 aceptar los puntos de visto de Polol, conside ·
ro los platos de Bairral y Sed ielos como de fabricación local, tal vez
de los siglos V o VI.
En resumen, vemos que con respecto o lo cerómica es tam pado
se man ti enen crit erios dispares sobre su cronolog ía y origen. Sobre
aquéllo Mocdonold, Conil, Mouret y Taracena la creen de los siglos
11, 111 y hasta IV, m ien tras que Jull ian, Polol y Russell, tienden a
encuadrarlo precisamente a partir del siglo IV, hasta el VI, can
a lguno posible extensión 01 VI I. Respecto 01 origen, unos autores
lo creen procedente de talleres célticos del Danubio, y otros de ta lleres poleocristionos provenzales, con probables fabricaciones locales en diversos lugares de nuestro Península.
Creemos que ambos teorías pueden hermanarse, admitiendo la
existencia de diversas etopos y procedencias, hasta llegar 01 siglo
VII, en el que, con todo probabilidad, desaparece.
Los fragmentos de la Torre del Mal Paso los consideraríamos
como del sig lo V.
d) Cerámico gris.- (Lóm . VI, 5 o 7 y VII, 3 y 4) . Uno tapadero se recons truyó con los ~rog m entos donados por el señOr Morfi
Gorcerón; otros fragmen tos proceden del nivel l .· de lo habitación
del poblado junto con cerómi ca ibérica y otros se ha ll aron en el so
cavón del muro e.
Las primeros t rozos que hollamos en el nivel superior de lo referida hobit9ción, nos hicieron sospechar que se trotaba de uno
cerómica medieval, pero 01 reiterarse el hallazgo en el segundo ni vel, pensamos en lo posibilidad de que fuero cerómico romana de
facturo bosta, por lo que lo re lacionamos con lo gris con ocanola duros clasificado por Lamboglia como " tordo-romano", hallado en
sus meticulosos excavaciones de Ventimiglio, procedente de sus ni ·
-
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28
D. FLETCHER VALLS
.
veles 1- 11, Y contemporóneo de lo cerómico de los si glos IV y V (341.
El propio Lambog lia (35) habla de cerómica "dello piu torda ramon ita, farse del s. V", 01 referirse a un vaso de color ro jo con oso,
boca muy abierta y cuello ondu lado, cuyo perf il recuerdo el de
nuestros fragmentos. También presento un perfil semejante al d~
nuestro vasi ja de la Lóm . VI, núm. 5, lo reproducida por Sónchez
J iménez, procedente de "la necrópolis ibero-romano de época tar dio " de La Cueyo (36). Todo ello nos induce o considerar esta cerómica como de época romano avanzado, con lo cual se complico lo
cuestión de lo pervivencio de lo lIomado cerómico ibérico, pues
junto con ésto y por debojo, solió aquéllo en lo citado habitación,
que por haber sido excavado con sumo cuidado, no ofrece dudo al guno en cuanto a su estra tigrafía. Sin dudo alguno, en fu t uros excavaciones del poblado de lo Torre del Mal Paso, podrá dilucidorsc
esto in tetesan te cuestión de las pervivencias de lo c2rómica ibérico .
e) Ce rámica marisca.-{l óm. VII, 1 y 2) . Con los fr agmen tos
donados por el señor Mortí Gorcerón fueron reconstruidos dos vosi jas moriscos de posta amarillo-cloro con decoración da si mples
bandos y líneas ondulados en rojo oscuro, datables verasímilmC!'lte
en tre los siglos XII y XI II , y proceden tes de los al fa res de lo cuen co del Po loncia (37). Ignoramos el lugor exacto de hallazgo de e~
tas vasijas, osi como su estratigraf ía, yo que, como hemos indicada, fueron holladas por el señor Marti Garcerón en sus prospecciones en el sector D de lo cuevo, en los que no posó de 50 cms. de
profundidad.
2.-PIEDRA
El hallozgo de útiles de piedra es frecuente en los yacimientos
de época ibérico y ramana, por lo que no es difíci l señalar po,olclos
tonto poro el a lisador (Iám. 11, 7) como poro el a nillo (lo mi smo
lómi na, 5) y el percutor (Iómina dicha, 2), pero no osi poro el mortero (Iám . VI II , 2), del qu e no podemos señcila r tipo idén tico.
1341 N. LAM80GUA : Loc. dt no to 19, s~undo obro, ligs. 81, 88 y 104 .
(35) N. LAM8OGUA: "5ccvi nene lerme d i Cemenelum", Rivislo di Sludi lI ·
gud, XI 1194 SI, num o 1_3, So,dignero, 19<16, póg. 20, 'ig. 15.
(36) J. SANCHEZ JIMENEZ: "Excavaciones y Irobojos orQueol6gicos en lo
provincia de Albocele, de 19<12 o 1946", InlOfmes y Memorias de lo Comis,ltio
General de Excoyociones Arqueol6gicus, num o 15, Madrid, 1941, 1
6m. LVI I, b.
(37) DOloci6n y procedencia facilitados por don Jose L10rca Rodriguez;, o quion
desde eslos lineas agradecemos su colaboración.
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214 -
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LA TORR E DEL MAL PASO
29
T ipos seme jantes de a lisadores los encon t ramos, por ej.!mplo,
en Son Miguel d e Sorbo, Coste jón de Arguedos y Los Cogotos (38);
an il los o arandelas en pi edra las hay en Cobecico del Tesoro (39)
y el percu tor 'tiene igualmente paralelos en diversos puntos de España, como Morlés, Constantino, Asto Regio, Los Cogotos, CostelIet de Boñolos, y en Cas te j6n de Arguedas, en el ml'imo nivel que
el alisador yo mencionado, etc, ele. (40) .
3.-HUESO
Las agu jas o ocus crinalis (Ióm . 111 , 1 o 4) son obundan t ísimas
en los yacimientos roma~os llegando has to tiempos muy tard íos,
apareci endo en muchos pca siones, como sucede en lo cueva de l
M?I Poso, con cerámica es ta m~oda.
Los astrága los (Iá m, 11 1, 10 y 12), que debieron se r util izados
en algún juego seme jante 01 pentelitho griego, se encuantran desde
t iempos de los colonizaciones hasta lo boja ramanidad.
Lo semiesfera (Iám, 111 , 11) debe ser uno pieza de aplique sin
coracteristicas d~fin idas, así como los restantes piezas de hueso de
lo mismo IÓmina .
Lo abundonlísi mo bibliografía referente o estos ob jetos nos ró!levo de hacer aqu í mención de fuga res de hallazgos.
(38 ) J . SERRA VILARO: " El poblado ibérico de San M iguel de So
drld, 1922, lig. X IV, 8 .
8. TARACENA AGUlR RE y J. VAZQUEZ DE PARGA: " ExcovociOl'les en N (1vaHO", Pomplono, 1941 , 1 . 1, nivel 3,-,
6m
J . CABRE AGUILO: " Excavaciones en Los Cagotos, Cordeñoso (Avi lo). 1, El
costra", Memorias de lo Junto Superior de Excavaciones y Antigüedodes, número
general 110, Madrid, 1930.
(39) G. NIETO GALLO: "No ticias de los excavaciones re
(4 0 ) J . SE RRA VILARO: "Trobono p rO lonis torico o Morlés", Anuo,i de l' lns_
l ilu d ' Eslud is CO lolon5, VI, BorcelOl'lO, 1923, pág. 513, lig. 328.
F. 8 ARRAS DE ARAGON : "Un obje to neolítico de Cons tantino (Sevilla}", Ac_
los y Memorias de lo Soc¡edad Españolo de Ant ropología, Etnogro lía y Prehis toria,
Mad rid, 1924, t. 3, póg, 11.
M. ESTEVE GUERRERO: loc. ci t, nolO 15, lóm. XLV II I, 1.
J . CA8R E AGUILO: loc. ci t . noto 38.
J . V ILASECA ANGUE RA, J . C. SERRA RAFOLS y L. BRULL: "Excovociones d el
Pla n Nocional en el Cos tellet de 80noles de T íviso (Torrogano)", Infarme$ y Memor i9s de lo Comi$O,ía Generol de E>lcovaciones Arq ue
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30
D. FLETCHER VALlS
4. -METAL
o) Oro.-Por la técnica de construcciÓn de la cadenilla (reproducida en lo lóm , 11 1, 13, o doble tamaño) nos indinaríamos o
considerarlo de t iempos romanos avanz.ados, como los qu e se exhiben en el Museo Arqueológico Nocional de Madrid ; gron seme janza
técnico encon tramos también con una caden illa de bronce, dotable del siglo VII , procedente de lo necrópolis de lo Pon etieh e, en
Chompigny-sur-Yonne (Froncia), y con otra de PoUen tio (41) .
b) Hierro.-Lo pieza mós in te resonte es el pico (lám. VIII, 3)
aparecido en el primer nivel de lo habi tación excavado en el poblado. Aunqu e los herramientas son rela t ivamen te abundantes en
los poblados ibéricos, como por ejemplo Lo Bastida de les Alcusc$
(Mog ,mte) y Puig Cas tellar, ele., etc. (42), no hemos encontrado
pico de formo idéntico 01 de Cas tellnovo.
c) Bronce.-AI efectuarse el hallazgo de los prim eros chapi·
tos (Ióm . 1, 1), supusimos que se trotobo de restos de pos tas, de
cartuchos o cargo de trabuco, pero 01 persis tir los hallazgos en d iversos lugares y o diversas profundidades de lo cueva, dudamos de
tal atribución, s in encon t rar por e l momento otro que nos satisfaga
plena ment e.
El botón (Ióm . 1, 7), corresponde o un t ipo romano de gran di ·
fusión geogréfico y cronológico, apareciendo hasta en yacimientos
del 450 en adelante (43 ).
El pasador o gemelo (Ióm. 1, 11) ti ene Su réplica en Ta rragono, Los Cogotos y otros lugares, en los que también se encuantran
planchuelas como lo nuestro de la lám. 1, -8 (44).
(41 1 J. LL A8RES BERNAL y R. ISAS I RANSOME: "Excavaciones en (05 terreo
nos donde eSlvva e nclavado lo ci udad romano de PoUenlia", Memorias de lo Junto
Superior de EKcovociones y Antigüedades, n .... mero general 131, Madrid, 1934, 16m ino XIV. Los autores señalan lo aparición de monedas hoslo del 301 .
lo RENE, e n "Gollio", VI, 1.°, póg. 254, lig. 8.
(42) En el Museo de PrehislOtio de Valencia.
J. C. SfRRA RAFOLS: " El poblomiMTO de lo Mare-sma o cos to de Levante en
lo epoco an T
e-romano", Ampurias, IV, BarcelorlO, 1942, póog. 69.
(43) C. FOX: "Oykes", Antiquity; pág. 135, fig . 14, junio 1929.
(44) J. SERRA VILARO: Loe. cit. -noto 16, lóm. LXVII I, 3, l.
J. CABRE AGUILO: Loe. ci t. noTO 3B, 16m. LXIX,
A. HERNANDEZ MORALES: " Juliobriga, ciudad romano en Cantobria", Ce;'1.
Ira de Estudios Montañeses, Santander, 1941. Coincide también con nuestro yor. imiento pOr lo terro Ilglllolo y lo hebilla.
-
216
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LA TORRE DEL MAL PASO
31
La hebilla (Ióm . 1, 10) es tipo corriente en época romano (451
Dechelette, al estudiar esta clase de hebillas (46). expone el critedo de p. Por is, quien las denomina fíbula s portuguesas 'pOr su abundancia en dicho país, aunque se pregunto si na pudo haber sido
importado por los celtas, ci tando o e5te respeclo un ejemplar de
Trugny (Aisne). procedente de una tumba de inhumación, asocia do a una fíbula de La Tene 1, suponi endo, no obs tant e, Que la forma en omega debe se r más reci en te, puesto que se encuentra en
un ca. tallum del rimes germónico ocupado del 40 al 60, ¡por lo que
concluye considerándola como un tipo del s. I o. J. C. o qu izós más
reciente todavía.
Lo posibilidad de un origen peninsular ha sído postulado, igual.
mente, por algunos otros autores. Para César Morón (47) estas
hebi llas serían anteriores o la invasión romana de Galicia, Lancio
y Numoncio ; J. M. Luenga {481. las cree indígenas, 5i tuóndolas entre el s. 11 1 0. J. C. y la plena dominación romano; Russe ll Cortez
(49) las supone de tradición ibérica, pero llegando su utilización
hasta muy tarde .
Por nu est ra parte creemos muy poco factib le la posibilidad dg
un origen hispano, pero merece destocarse la frecuencia de su ha ·
lIazgo en tierras célticas peninsulares y su relativa escasez en el
oriente y sur de España. En Galieía aparecen estas hebi llas con monedas del s. 1. a. J . C. y en yacimientos próximos a los invasiones
bárbaras (50); en Asturias, San tander, Salamanca (con monedas
(45)
(461
DAREMBERG '1 SAGUO, 11, 2, pág. 1111.
J. DECHELETTE: "Les petits bronzes ibériques". L'Anthropologie, XV I.
póg. 29.
f471 C. MORAN: "Colección sal mont ino de líbulos", Revislo de Guimoroes,
XLV III , 1/3, Guimoroes, 1938, póg. 111.
(48) J . M. LUENGO: "Los fíbIJ10s '1 hebillos celtibéricos de Loncio (León)",
Actos '1 Memorias de lo Sociedad Españolo de Antropología, Etnogrofío y Prehisto.
rio, XVI, 3/4, Madrid, 1941, pág. 451. Apcllecen con (erómico dOlable det 5'010
IV d. J. c.
(491 F. RUSSELL CORTEZ : "As eK(avo.;oes orquealooico~ do CO$tellum d:¡
Fonte da Minho", AnDes do Instituto do Vinho do Porto, 1, Parla, 1951. Salen con
otros objetos clasificod05 (omo del 2~ o. J. C. al 25 d. J . C.
( 50) L. PERICOT y F. LOPEZ CU EV ILLAS: "Excovociones en lo citonia de
Troña", MemoriO$ de 10 Junio Superior de Excovociones y Antigüedades, num e'O
genero! J 15, Madrid, 1931.
F. LOPEZ CUEVILLAS y J. TASOADA: "Uno es tación galaico-romana en el
outelro de Bollar", Archiva Español de Arqueologia, 63, Modrid, 1946, póg. 111,
fig. 5.
C. MERGEUNA: "La (Ílonio de SonIa Tec·la". Boletín del Seminario de Estu.
dios de Arte '1 Arqueologia de la Universidad de Valladolid, XXXVII / XXX IX, Va_
II0d0Ud, 1945, póg. 13. El au lor las sitúa en época romona, hociendo uno esque0
ffiÓtica discriminación tipológico, o cuya tefcer t ipo corresponderío 1 de la rorro
del Mor Posa.
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32
D. FLETCHER VALLS
hasta de T iberio), León, Bu rgos', Palencia (en lo necrópolis visigodo
de Herrero del Pisuerga, doloble del 485 01 620), Numancia y otros
puntos de las provi ncias de Soria y Logroño (Izono y Langa de Duero, da tados como del s. I o. J. C), Segovio (en lo necrópolis de Durotan, del s. Vl), Valladolid (necrópolis visigoda de Carpio de Tojo), Navarro (Cost ejón de Arguedas, aldea de los siglos I a l 111 1,
etcétera, etc. (5 1).
(511 A. GARCIA y BELLI DO: " El cos tro de Cooíia (Asl urlos ) y a lgunos no tos
sobre el pOsible origen de esta cultu ro". Archivo Espoñol de Arqueologío, 4Z, Madrid, 1941, ¡KIg. 188.
J. CARBALLO: "Col6looo del Museo de Prehistoria de Santander" Sonl onder,
1943, 16m. XIII. El eJemplor procede de Jullobfigo.
C. MORAN: "Reseño histórico-artístico de lo provincia de Solomanco", Solomanco, 19'16, póg. 95, fig. 33. Procede del Cerro del Berrueco, señalando el a utor
que los más rKientes monedas son del "13 o. J . C., aunque en sus "Excavaciones
arqueológicos en el Cerro del BerruKo", Memorias de lo Junto SuperiOr de Exc:lvociones y Antivüedodes, numero general 65, Madrid, 192"1, se ci tan como más
rKientes las monedas de Tiberio, indicando que el yacimiento estobo revuelto.
V. noto "18.
J. MARTINE Z SANTA_OLALlA: "Antigüedades romarlOS de POl.a de lo Sol
IBurgQ$}". Anuario de Prehistoria Madri leño, 11 / 1' 1, Madrid, 1932, póg. 127.
S. GONZALEZ SALAS: loe. cit. noto 15.
J . MARTINEZ SANTA-OlALLA: "Excavaciones en lo necróPolis visigodo de
Herrero del Pisuergo (Palencia)", Memorias de lo Junto SuperiOr de Excovociones
y Antivüedodes, número general 125, Modrid, 19H.
G. NlfTO GALLO: "El yacimiento pre-romono de Paredes de Novo (Palencia)".
Boletín del Seminario de Estudios de Arte y Arqueología de lo Universidad de Valladolid, XXXI/XXX ii i, Valladolid, 1943, póg. 189. Extrañamos el tí tulo de eslo
noto, pvesto que en ello se reproducen buen numero de objetos de tiempas roma_
~.
R. MELloA ALINARI y B. TARACENA: "Excavaciones en Numoncio". Memo, ios de lo Junto Superior de Excavaciones y Ant igüedades, num o general "19, M:ldrid, 1923 .
B. TARACENA AGU IRRE: " Excavaciones en los provincias de SOlio y Log,oño". Memorias de 10 Junto Superior de Excavaciones y An tigüedades, numero ge··
nerol, B6, Madrid" 1927, y n umo general 103, Madrid, 192~.
B. TARACENA AGUIRRE: "Excavaciones en lo provi ncia de Sorlo", Memorias
de lo Junto Superior de Excavaciones y Antigüedades, num, genera l 119, Madr id,
1929, ' En este trabajo vuelve o citar los de Langa, insistiendo en que hoy monedas
has ta del 9"1 n, J , C. En Monte Agudo de los Vicarios, podríamos hollar el pratalipa, pues los extremos del orco aparecen "ocolados en botones no doblados sobro;!
sí mismos, y lo ogujo suje to 01 oro par el muelle arrollado y no por pe rforación" .
El señor Toroceno lo clasificó como del s, 111 o, J, C., aunque por nuestro po: te
nos inclinamos par uno do taciÓn mós reciente, o lo visto de los demós objetos del
yacimiento en cuestión,
A, MOLINERO PEREZ: "Lo necróPolis visigod o de Durat6n ($egovial", Act:l
Arqueológico Hispánico IV, Madrjd, 19"18, Es lo unica hebilla de eSle tipo hol!c;do
en es te yocimiento; el autor lo considero como de t ipo romano.
C. MERGELlNA: "Lo necrópolis de Carpío de Tojo" . Boletín del Seminario de
Esludlos de Arle y Arqueología de lo Universidad de Valladolid, XLIX/L. Vallado_
lid, 19"19, póg. 1"15.
.
B. TARACENA AGUI RRE y L. VAZQUEZ DE PARGA: loe. cl!. no to 38. Al
dcsc,íb'r los hollol.gQ$ de Castejón de Arguedos, se clasifican como "objetas romo_
-
218
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LA TORRE OEL MAL PASO
33
También Portugal da buen porcen ta je de hallazgos (52), pero
és tos no son tan frecuen tes en los comarcas meridiona l, orien ta l y
sudeste de España (53).
Fuera de nuestro Penínsu la se encuen tran d esde Tamuda, en el
nort e de Africo, hasta Fin landia (5 4).
De la rópida enumeración qu e an tecede se desprende que e!
área de difusión y cronología de es to h ebilla san a mplísi mos, datón_
nos hallados en el primer es trolo del poblado", "uno nebilla circular de bronce
con los cabos doblodos nocla aluero, ocabodos e<1o bolones, l ipa Que noce 01 f'nal
de lo segunda Edad del Hi erro y paso al mundo im¡>(!riol romano".
(52) F. RUSSELL CORTEZ: loe. ci l. nOl O 49.
F. RUSSELL CORTEZ: " Mosaicos romanos no Douro". Anois do Insti tulO do
Vinno do Por to, 1946. Procede de Longroivo.
A. V IANA y A. OlAS DE OEUS: " Necr0p6l"s célt ico-romanos de El vos". ArchiY() Español de Arqueología, núm. 80, Madrid , 1950, pág. 229. Al noblor de e~le
tiPl) de hebi ll as, que denominan de lira, suponen que perdu,6 naslo com¡en~os de
lo ero criSliana.
153 1 H. KUHN : "Kunsl und Kultur der Iberer" . Monnus 25/30 moyo 1926,
Leip~ ig, 1921, p6g. 145.
R. LANTlER: "El Santuario lberico de Castellar de Santisteoon". Comisión de
Investigaciones Paleontológicos y Prehistóricos, núm. 15. Madrid, 1911.
L. SIRET: "A prOpOS de po teries pseudo-myceniennes". L'An lhropologie, XVI II,
póg. 211 .
L. SIRET: Loe. cit., Mta 21 . Lo denomino "variedad de libulo de lormo iberico" .
A. FERNANOEZ DE AV ILES: "El poblodo minero ibero-romono del Co~zo
Agudo, en Lo Unión", ArchiY() Español de Arqueología, XV, Modrid, 19<12, pagino
136. Se clasifico como nebillo de Lo Tene.
(54) P. QU INTERO AT AUR I y C. GIMEN EZ ARNAL: " Excavociones en Ta_
mudo, años 1943/45 y 1946". Publicaciones de lo Alto Comisaría de Educación
y Cul tura, nums. 1, 9 y 10. Los monedas de es ta ci udad, ses¡ún los a utores, llegan
desde liempas precriUial"lO$ has ta Conuontino y Arcodio.
En Ingla terra se encuentra un tipo muy parecido, llamado de Glas tonoory, con
espirales terminales en Il.1Qo. de bo tón. Se clasif ican como de La T~ne, v. ('.R IMES: "Gulde to Ihe Colleclion ill ustfa ting the Prehistary of Woles", Na tiono! Museum 01 Wales, Cordiff, 1939, póg. 125, lig. 4 3, numo 11.
J. E. K ILBR IOE-JONES: "xots loomorphic Penon nulor brooches". Proceedings a l
Ihe Society 01 Ant iq uaries 01 xO lland, LXX; si xth Series, vo l. X, Ed imburgo, 1936,
póg. 124. Son abundantes en Escocia con ojos o cabezos de animales en los termino les, algunas del S. 11 1 y IV d. J . C.
R. E. M , W HEELER and T . V. WHEELER: "The Ramon Amphiteo tre at Coerlean, Manmouthshire", Arckotologia or Miscellaneous T roe ts relatings to AntiqulIy, publlsned by the $ociety o / Antiquories of London, LXXV III , Londres, 1928
p6g. 111, lig. 14, num o 21, 22 y 23. Una de ellos sale osociodo Can cer6mlco de
tiempos de Adriano_An tonino; "this type kod o long lile but oecured in a deposi t
os eorly as 80/120 A. D.",
H. MULLER-KARP E: "Ein ro.nisches Gebilnde in Gouting (O~rboyern)". Germon10, año 30, c.· 2, Berlín, 1952, póg. 268, fig. 1.
JAZDZEWSK I: lac. cit. noto 5, lóm. 31. Supónelas un pOCO an tes del cambio
de era.
En el Reollexikon der Vorgeschichle, de Ebert, vol. 111, 16m. 143 y vol XIII ,
16m. 11 y 12, se señalan en Finlandia, como pe.r tenecien tt'$ 01 S. II I/ IV d. J. C.
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219 -
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D. FLETCHER VALLS
dase desde el s. 111 o. J . C. hasta época visigodo . Por es to rozón,
como dice Supio! (55) "de no conocer procedencias", es difícil saber "si realmen te se trata de ob jetos visigodos, doJdo la antigüedad del t ipo y su mismo persistencia en el t iempo. En las necrópolis francesas correspondien tes o los sig los V y VI son abundantes"
Con ello se j usti f ico lo dificultad de uno exac to datación de la he billa de La Torre del Mol Pa so, pero ot end iendo que se trota de un
tipo ovalado y no circula r, nos incli namos o considerarlo de fines
de la romanidad.
d) Monedas.-Los monedas presen ton uno con tinuidad desde
el l' 7 0 1 249, exist iendo un hiatus 'entre esto última fecha y el
375, desde el que se llega a los in idos del siglo V, presentando
uno cierto relación estratigrófica en tre ellos, salvo la valenciano
de 16 10 aparec ido en A-3 y los dos de Morco Aurelio de D-2 .
Aquéllo pudo muy bien haber formado late con las o tros de igual
fecha, de A- 1, y haber llegado, por cualqui er remoción o causo mecón ico, un poco mós hondo (uno distancia menar de 50' cen t ímetros) . En cuan to al hallazgo de las dos monedas de Morco Aurelio,
con ot ras cuatro qu e oscilan del 193 al 249, no puede considerarse
como uno a nomalía si tenemos en cuento lo gran vigencia de circulación de los monedas, por lo que no es dificil que formara lote
con los restantes de 0 -2 . Ej emplos daros de perduración de las monedas se nos presentan en un sinfín de hallazgos peninsu lares y ex ,
trapeni nsul ores. Russell Cortez (56) menciona un pla to con monedas romanas de bronce del 253 a l 337 e insist e en que "en sepu lcros indudablemente pertenecientes 01 s. IV, hemos encontra'10
monedas pertenecientes o empe radores del s. 11 ". Este mi smo autor (57) habla de un t esoril lo de 700 denorias del 217 01 64 o. de
J . C. Afonso do Pa~o nos habla de otro t esoro de monedas de plato, procedente de lo Citania de Sanfins, del 230 a. J. C. 01 28 d .
J . C. y varios tesorillos mós, como el de Castro de Vilo rinho dos
Cotos. con 93 monedas de los s. 1, 11 y IV; el de Sesmorio, con 2 1
kilogramos de monedas de los s. 11 , 111 , IV y principios del V, ha-
(55) J. SUPIOT; "Fibulos visigodas", Boletín del Seminario de Estud ios da
Arte y ArqueolOgía de la U n¡ve~idod de Valladolid, X, Valladolid, 1936, póg. 79.
(56) F. RUSSELL CORTEZ: loc. ci t. no to 15.
(51) F. RUSSELL CORTEZ ; "O T esouro monetario da lugo, do pajo (Porodelo
de Guioes)", Nummus, 1, n. . . m. 1, Porto, 1952.
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LA TOR RE DEl MAL PASO
35
liada s dent ro de un án fora, y el de lo Quinta de Madeira, con 200
monedas republ icanos e imperia les de diversos fe chas (58) .
En España tenemos, en tre ot ros, los tesoros de Sierro Morena,
con denarios que van del 268 01 92, escondidos, según Sondors
(59 ) durante los guerras sertorionos, y el del Ce rro de Son Miguel
de Li rio con monedas del 2 14 01 43 (60) .
Fuera de lo Pen ínsula, seña laremos los hallazgos :le Tuillet (6 1)
donde en un fondo de ha bitación se encont raron, con aeus erinalis, monedas romanos de T rajano y Cons tancia 11 1; el de Loy, con
moneda s de Marca An ton io a Ale jandro Severo, y el de la cueva
Gignoc- Ia-Nor the, con monedas de l 11 al V, cerómica de Banassac
y otros cerómicas crist ia nos con decoración de círcu los y pa lm etas
(62).
Hemos aducido es tos pocos ejemplos poro demostrar que, si
b ien los monedas son orien tadoras para señala r un tope cronológi co, pues to que ningún resorillo puede ser anterior o lo moneda
de más bo ja fecha que en él a parezca, no siempre pueden se rvir
paro lo da ta ción absolu to de un yacim iento, dado el uso
prolongado de ellos a través de períodos de l OO, 150 y has ta 200
años, lo que hace posible su convivencia con objetos de fe cho muy
pos terior a l de la emisión de aquéll as.
S.-OBJETOS VARIOS
Los cuen tos de collar (Ióm. 1, 2) , de pasto a zu l, se encuentra n
en yacim ien tos de época avanzada y en cuanto a la s vértebras de
pescado, fósi les, cris ta lizaciones, etc., no falt an en los pobla dos
ibéricos (63 ).
1581 A. PA<;O: "Ci lo nio de Sonfins: 111 . Breve no ticio de .... m tesouro mon~
lorio" , Brole,;o, LVI, lisboa, 1953, pág. 613.
(59 1 H. SANDARS: "Aj)vnt e¡ sobre .... n tesoro de denarios romanos hollod05
e n Sierr o Moreno, en el S.... r de España " , Bolelin de lo Reol Academ ia de lo Histori o, LXXXIV, c.O V, Mad rid, 1924 , p6g. 489.
(50) F. MATEU y LLOP IS: " Holl ozg05 mone loríos" , Amp .... rios, V, Borcelo"lo,
1943, póg. 224.
(611 COUTIER, BRISSON e t DUVAL: " Fouille d'llobi tolion gollo-romoine o ....
T .... ill el, terrtloire de Mor oi"s. A .... lnoy (Morne)", B.... ll elin de lo Societc Prehisloriq .... e
F ro~oi se, XXVI , 7 / 8, Po ris, 19 29, póg. '129 .
(62) "GoUio", VII I, póg. 128 y 15 1.
(631 J . COLOMINAS: loe. d I. ~IQ 26.
L. SIRET : loe cil. ~ Io 21 , 1
6m. XVII , 52 y 63.
-
221 -
[page-n-278]
36
D. FlETCHER VALLS
El brazalete de azabache no puede considerarse como hallazgo
corriente en nuestros yacimientos, encontrándose, no obstan te, en
todos los niveles del de Cha fecu -sur-Solinas {641.
V
FINAL
En realidad, poco más de 10 que acabamos de exponer sobre lo,;
ma teriales puede deducirse del estudio de los niveles reseñados de
la cueva, ya que la sensación que de ellos se soco es lo de cierto
revolti jo y mescolanza, a pesar de lo relativamente lógico estra t i·
ficación de los monedas. Por esto roz6n, la presencio de cerómica
ibérico, aunque para nos'otros de epoca tardío, junto o materiales
romonos avanzados, no nos autoriza, hoy por hoy, a considera rla
con temporóneo de éstos. Preferimos, por el momento, cons ideror
que esto coexis tencia en lo cuevo del Mal Paso se jus tifico por lo
revuelto de sus niveles más que por una real perduración de dicha
cerámica más allá del s. l d. J. C. (65) . Sin embargo, creemos que
bien vale la pena tener presen te el da to de la aparición de ob jetos
romanos de tiempos avonzados con cerámico ibérico, no echóndolo en olvido en futuros estudios y excavaciones, yo que es muy pos ible que en otros yacim ien tos menos removidos que el nues tro,
puedo darse esto conjunción probatorio de lo persis Nmcio de elemen tos ibéricos hasta tiempos avanzados del Imperio.
Sin dudo e l poblado de lo Torre del Mal Pasa podrá dar luz sobre este asunto, puesto que en la habitación excavada encontramos
cerómica ibérico en el nivel superior, prueba de que venia utilizándose en el momento de abandono del poblado, lo que d ebió suceder
bastante tardíamente si nos atenemos o los restos de terra sigilla ta hispanico del mismo nivel yola ceramica gris a car1alado del in fer ior. Este doto sería un buen punto de apoyo poro dotar lo cerámico ibérico de lo cueva, pero hasta ton to no se .realic en más am plios excavaciones en el poblado no podemos, en definitivo, fijar
los diversos etapas y momento final del m ismo y con él 10 cronol ogio de lo cueva.
164 1 M . PIROUTET: "La ci ta d elle holls ta lt ienne o po ler ies he ll en iQUt'$ d ...
Cho leaU-$ur_So linas puro)", Veme Cang.es In lerna lianol d 'Archeologie IA loe r
16 ay,i ' 19301, Alge., 1933, pág. 41, 1
6m. 11, nUm. 11.
(65 1 A. GA RCIA y BELLIDO: " Nuevos do lOS sobre 10 cranolOQja '¡nol ~ lo
cerómica iW.ica '1 50bre su expansión extra_pen insu lar", Archiya Espaóol d e Arqueología, XX V, Madrid , 1952, pag. 3 9.
'4 _
-
222 -
[page-n-279]
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[page-n-280]
[page-n-281]
FLETCHER VA.LLS .-Torrl dol Mol PotO
LA.M. l.
i't
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10
S
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11
H
e o o
.,
¡t
~
1. -Plor"ch .... ela¡, de cobre a b, once de d,versos ni v ~les y sectores de la c .... ey(].
Z, 3, 4 y S. Cuentos v treos, disco, fósil y piedra con signas en relieve, proceden tes de los c",,10 ",coner.
t, G"·cecor".
6, 13 y 1 ~.-Andlo$ y botó , de bror ce (D, Z).
7.- Botón ¿e brorc e IC, 3 ).
S.- Plonchuelo de bronce (O, 51.
9.- Andlo de bfonce (O, 3 ).
tO.- HebdI0 de bronce ID, 11 .
1 t . -Pasador de bronce (O, 71.
1Z._A,A,lIa de bronce lB, 3)
15.- 80tón de bronce lA, 31.
16.- Andlo de bfonce lA, 41.
""':1
IMed,dos en el le"tol
(Fo tos Grollo y Fler, ncrl
[page-n-282]
FUTCHER VALLS._ Torre del Mol PO lO
LAM. :J .
1. -Pondus !;on perforociones le, 1l.
Z. -Pe.cutor de piedra (pablodo, nivel Z.· ).
3.- Frogmento de bro1alete de modero l?i lA, 4).
4 . -Frogmento de bra10lele de o1aboche (B, 31.
5.- oiKo de piedra (poblado)
6.- 801 de poSlo ví treo (O, 3).
0..
7.-Piedra ovol (poblodo).
¡Medidos en el le>
(FalOS G.ol1o )
[page-n-283]
LAM . 111.
FUTCHER VALLS._Torre d,,1 Mel PalO
1_'
"
10-12
I Y 6.- Aguio y lomin,lla de hueso (O, I j.
2 y 3.- Agulos de h Ue5Q (A, 3).
4. -AguJa d e hue5Q (A, 41.
5 y 9 . -Huesos lA, SI.
1 . -Lam,n,llo de hueso (O, 3).
B.- Hueso espalulodo (8, 3).
10 y 12. Awóga:os (O, 1 1.
11 . -S4!m,esfera de huesa le, 3).
13. -Pulser1Ua de oro (B, 3) (reproduc,do o doble de
(Medidos en e l lex lOI
W
lomoñol .
(Falos Grallo)
[page-n-284]
FLETC:HU VALLS.-Tou, d,1 Mol POtO
LAM. IV.
Kólo lhol
1 Y 3.- Procede nl es d el pobloda.
2 . -Proceden te de los e~ plorociones Mo rli GorcerÓn .
... .- Procedenl e de D, 1.
I
(Med idos e n el
l e~lo l
(FOlos Grollo l
[page-n-285]
FUTCHER VALLS.-Torre d,1 Mol Poto
LAM. V.
1.-Pó lero d e cerámico roio, estompcdo (D, 31.
2 .- Pó tero de cerómico oscuro, es T mpado (D, 11.
a
3.- Cuenco de ferro sigilloro h ispó"¡co (D, 2).
4 . -Borde de pótero de ceróm ica neg ra mo te, estampado (D, 11.
(Fotos Gro Uol
(Medidos en el text o)
[page-n-286]
FLETCHER VALLS._To ..... eI ... 1 Mol Poso
LAM. VI .
l.- Porte superior de onlor illo (C, 3).
2, 3 y 4.- Vasijos proceden lei dI! las exploraciones M ar i; Gorcer6n.
5.-Pequeño vasija procedente del 5equndo nivel del poblado.
? - Fragmen tos dI! YOSOS d. pos to gris, acanalado, procedenlei del poblado.
6 y
(Medidos en el texto)
(Fotos Groll a)
[page-n-287]
fL[T CHER VA LL S. -Torr e o! el Mol Poso
LAM . VII .
3
2 y 3.- Vosos mori5COS y lopodero, procedentes de los explorociones Mari;
GorcerÓ n.
4 .- Ploto de
po~lo g ri~,
¡)loceden te de l 2." nivel del poblado.
(Medidos en el textol
(Fotos GrolloJ
[page-n-288]
FUTCHER VALLS.-Torr. d.1 Mol Po,o
Gro.", vaso ,berico, mortelO 'f
IMed¡dos e" e! TexTOI
PICO
LAM. VIII .
de hierro, procede"'1!1i del poblado.
(FOTOS Grollol
[page-n-289]
SEBASTlAN MAR INER BICORRA
("'Alud. )
Nota~
de Epigrafía Valenciana
LAS ANFORAS DEL MUSEO DE PREHI STOR IA
A).- EI ánfora completo
El 23 de julio de 1952 ingresaba en el Museo del Servicio do;!
Investigación Prehistórico, de Valencia, por donativo de doña Angalo y doña Maria Beltrón Gallort, un ánfora romano, pescada moterialmente a primeros del mismo mes entre los costos de Ibizo y
Denio, donde debia yacer o unos 300 o 400 m. de profundidad (1).
El curioso hallazgo fue divulgado en unos no los de la prenso diario
de aquellos fechas, notos que constituyen lo único escrito sobre di cho pieza hasta el presente (2) .
El estado de conse rvación del ónfora es perfecto, si bien lo superficie apareciera extensamente cubier ta de concreciones diversos,
que hocian imposibl e todo inten to de lec tura de 10 estampillo o estampillas qu~ las osos pudiesen presentar . Por fin, grocios o un
traba jo de minucioso lavado y desincrustación, rea lizado por los
técnicos del SIP, han aparecido est a mpillas en ambas osas con posibilidades de lec tura, Jo cual, o su vez, permite ilustrar con algu nos datos lo procedencia y época de lo pieza en cuestión.
(1) Dos ónforos d el mismo tipo, hollodo~ en poroje n.") muy d,Slanle Urente
al monte Alvedró, de Ibiza}, a unos 500 metrO$ de profu ... d idad , figuran desde
1943 en b coleccion Que dan Salvadar Morota pO$ee en el Grao d e Va lenc ia.
(21 B. BONO y BARBER: "El á nfora romana pesuda en aguas de las Islas
Baleares por e l ?eSQuero valenciano "Tio Pona", ha pasado 01 Museo de Prehis to_
ria de nuestra Dipu tacióo" , en el diario "Levante", de Valenc io, de 21 de jul,,,
de 1952.
-
225 -
[page-n-290]
2
S. MARINER BIGORRA
Por su formo (Ióm. 1, 1), corresponde 01 tipo 20 de lo closifica -
ción de Dressel. Mide 0'73 m. de ol turo; lo longitud del circulo mó ximo ~s de 1'9 m. Los diómetros exterior e interior d !! lo boca, O' 11
y O' 1 m 'I respectivamenta. A 0'6 m. d e ésta presento un pequeño
orificio circular de 0'007 m. de diómetro, que parece practiccdo
desde ontiguo. De se r así, 10 utilidad que pudo tener en un ónfora
de transporta es dificil de pf(~cisor . Cabe sospechor, pe:-o si n posor
de sospecho, que pudie ra emplearse para el vaciado de olguno por.
t e liquido del contenido (¿poso de aceite? ¿sal licuefacta?) qu e can vanio que no se mezclara con lo mercancía Que se vociaba por lo
boca.
Su copacidad (90 litros) corresponde, sólo aproxi modamenle, o
7 urnac romonos (en coso de que hubiese cont ·~ nido liqu ido) o o
10 modii (Si s~ toman los med idos poro áridos) . Vocio peso 31 .500
gramos.
Los dos osos oparecen estompi llodClS con morcas cuyos let ras corren en el mismo sentido: de izquierdo o de recho paro quien ve el
ánfora tal como aparece en lo lámina J, l . La d~l osa izquierda
(Ióm . 11, 3) es mucho menos legible que la del osa derecho (1 .
6m
11 ,2); con todo, parece que ambos se obtuvieron con lo mismo im pronta, dado lo identidad de dimensiones de los rectángulos que
encuadran los le tras (0'055 x 0'0 17 m .). Estos tienen también en
uno y otro oso lo mismo altura (0'005 m.) y di sposición :
F
S
e
I M
N I A NI
es to es, f (u"di) Scim"ia"i.
En lo porte opues to o lo que presento en lo lamino 1, 1, el c u ~ lla
ofrece (16m. 11, 1l. uno V gror1de, inci so, 01 parece r, antes eh lo cocción (0'055 de altura x 0'045 m. de ancho). Lo signi ficación de este
signo es dificil de precisa r; parece que no cabe pensar en lo inicial
de u (inum) como indicación de con ten ido, pues es común lo opi niÓn de que estos ánforas de lo' Bético, y muy particularment e los
del presente t ipo 20, se d edi caban 01 transparte de acei t e! o de lo
sa lazón llamado garum (3 ), o 101 vez también 01 de aceitunos, que
(3) J . SONSOR: "Los pueblos antiguos del Guadal Quivir V las o1far e,io$ '0·
monos", Revis to de Archivos, Bibliotecos V Museos. Mod rid, 1902, pág. 22.
-
226 -
[page-n-291]
NOTAS DE EPIGRAF IA VALE NC IANA
3
lo Bético exportaría yo entonces en importan t es cantidades (41Tal vez se t,rote de uno indi cación numeral, referente 01 lugar que
pudo ocupar esto ón fora en tre otros semejantes; o si, como parece
mej or, se lo supone incisa antes de lo cocción, puede ser la marca
perso nal del alfarero que lo fabri có.
Hasta lo hcho no se han descubierto otros señal es marcados
o incisas; n i tampoco ha sido posible apreciar si es ta ónfaro, como
otros ejemplares conservados, tuvo pintado en su superfici e alguno
ind icación sqbre su procedencia, dest ino, conlenida, navieros, peso
de embarqu2, etc.
Lo es tampilla f( undi ) Scimniani y ot ros si milares - f (unda)
Scimniano, fig(lin ae) Scimnianae- , estón abundantemen te docu mentadas (5).
8.
ii IVN'M.LISSI
E. T M ELlS5E~
6/
12
r SCiM
Il
f ig.
Ir SCIMV1 ¡
NI!
~
1.·-Mor~
NIANO
del taller de Scimnius (segun BonSOfI.
Corresponden estos marcos a una alfarería establecida junto o
Eci ja -osi admitiendo lo interpr2tación dado de Jos letros pintadas en el fragm ento C IL XV 2, 1 fig(linae) Scimnia nac As[ ti giJy concretamente, según Bonsor, en lo estación Los Delicias, o cinco
kilÓmet.ras de aquella ciudad (6) . Véase lo figu ro 2.', Con lo ubiccd on de los disti ntos alforeríos de dicha estación s2gún Bonsor.
(4) E. THEVENOT; "lo slo t,on ontiQue de$ Bo!ords Q Nuil$-Soinl-Geo,g",s
ICó le-d'Or)", Gallio, 1. VI, Poris, !950, pp. 289-341, especialmente pag. 300.
151 PAUlY_WISSOWA: "ReolencyklopOd",•.. .'F, .. A col. 820-821 y X col.
1.054. Véase asimismo en lo f,guro l." una reproducciÓn de algunos de dich ..n
morcQ'S segun figuran en lo lámina XXXII! de !Q'S l¡slOS de J. BONSOR; "The 0'choeologico! ex~di l ;on olong the Guadalquivir", trod. de Claro L. PENNEY, Nueva
York, 193!, especiolmenl e lo numero 83 que, aunque incomple to, parece corres··
ponder o la nuestro, sobre lodo por lo formo complicodo del punto Que aparece
después de lo f .
16) J . BONSOR; Ob. cit. en noto onterior, pp. 15-16.
-
227-
[page-n-292]
S. MARINER BIGORRA
4
Lo duplicidad de denominación, fundus y figlina. permite sospechar que la figlina en cuestión fuese port e de una gran propiedad agrícola, del t ipo que menciona A. Grénier (7) : "ar ces gronds
propriétoires ne son t pos des industriels spéciolisés. Les omphores
- ()1'f< 'c,i. ~
(
2
SED' - 11 VI TVS
·I" L
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I VCVNJ>/VS
p·S · TVSCVS
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FE.L./X
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M.f.LlSSVS
5/LVESTfR.
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SCLMNIANVJ
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.,
p.S. AVITVS
f\
(;.ERMANVS
I~
MEC.·--
Flg. 2,o_Ubicaclón de alfarerios
Q
orlllos d el Genil (~egun BOMor).
ne son t que ,'une des productions de leurs domoines. Un gran doma ine o ses f igli noe pour ]'écoulemen t de ses produits noturels. Lo
fabricatían des om phores es t un succédoné de lo cult ure de lo vigne, de lo fobricotion de I'huile, de la production des céréales" .
(7) A. GREN IER: " Ard..eologie Gollo-Romoine", Vol. VI del " Monuel d'A~ _
chéologie Préhistotiql>e. Celtique el Gollo- Romolne" de J . DECHELETIE, Porís,
193<1, póg. 628.
-
228 -
[page-n-293]
NOTAS DE EP1GRAFIA VALENCIANA
5
El nombre del propietario en esta época, Scimnius, es dado como ibérico por Keune (8), aunque con alguno reservo : "Der Nome
5cimnius scheint iberisch zu sein" . Parece, con todo, mucho mós
probable que se trote de uno grafía incorrecto, bien que no sorprendente (los e jemplos de i por y abundan en lo epigrafía hispo no y, sobre todo. en lo onomástico, según puede comprobarse con
uno sencillo ojeado 01 Indice gramatical del C IL), de Scymnioni,
ad jetivo onomástico de ascendencia griego ( !: ~ IIIl ~ ", = Cotu tus), atestiguado en los formas Scymnus, Scymnis (fem .) y Scymnionus en lo onomóstica latino (9) .
Lo actividad de este tall e r con tal nombra, parece que ha de
fEchorse en lo último mi tad del s. 11 d. e, dado Que todo lo producción a mon tonado en el Testoccia se sitüo entre 140 y 25 1 de C.
( ID) y que pronto aparecen ánforas con dos estampil las distintos,
uno en codo oso; en uno de ellos se mantiene lo morco en cuestión,
m ientras que en lo otro se lee el nombre de los probables sucesores de Scimnius. o saber, lunjj Melissus et Melino (11).
Lo difusión de 105 piezas d e dicho foctoria fue notable. A loo;
ejem plares reseñados por Keune, numerosos en el monte Testaccio
(CIL XV 3168, ron nuestro mismo morco y otros con f (undo) Scimniono), algunos en Germanio (Singerbrück om Rei n, Meinz), uno,
incluso, en Inglaterra (York) (12), ha venido o agregarse esto magnífico pieza completo, perdido, seguramente, en su transporte
desde Hispon io o lo capital.
B).-Frogmento de ánfora.
Guardo tamoién el propio Museo del SIP desde el 8 de junio de
1954 el fragmen to superior de un ánfora del mismo tipo 20, pescado unos díos antes de lo indicado fecho en el mismo paraje qu~
lo anterior y por los mi smos equip05 pesqueros, algunos de cuyos
componen tes aseguran haber extraído en otros ocasiones otros
fragmentos de ánforas, a lgunos con estampillas, que, por su escoso
tamaño, devolvieron 01 mor .
181
(9)
PAULY-WISSOWA: Loe. ci t. en 0010 5.
J. PERrN: "OnQll1O$ticon tot;us 10Iinitotis", Potovii, 1920. s. v. "Scym-
nus" .
(la)
(11)
(12)
A. GRENrER : Ob. cit. en no to 7, pág. 606.
A. GRENIER: Ob. cil . en noto 7, p6g. 630.
A. GREN IER : Ob. d t . en noto 7, 1. U. c.
-
229 -
[page-n-294]
6
S. MARINER BIGORRA
El qua nos ocupa, en cambio, comprende la porte mós impor tan te y significativa del ánfora (Ióm. 1, 2 ); fuero de lo copacidad,
peso y altura, las demás caracte rís ticos d~ 10 pieza pueden perte,~om ente de terminarse o reconstruirse o base de lo conservado: círculo móximo, 1'9 m.; di óm , exterior d e 10 boca, 0'16 m.; ích?rn
in terior, 0'1 m .
Ambos osos presentan lo morco de origen en letras capital es
(altura medio : 0'0 1 m.) grabados en relieve, 01 parecer con lo mi smo estampilla, Que corre en el sentido del asa desde -el cuello hacia
lo porte inferior (longitud: 0'085 m.), es trechándose un poco (de
0'018 o 0'0 12 m .) desde uno O otro extremo. Los bordes mayores
son rectilineos; los de ambos extremos o fllccen formo arqueada . Las
marcas están grabadas en dirección apuesta, de modo que siem pre
queden leg ibles (e. e., "de pi e") las le tras de lo morco que el observador tiene a su derecha.
Lo marco del oso de lo izquie rda para quien ve el ánfora como
en la ló:-nina 1, 2, apareció libre de concreciones, pero con las le lros
muy gastadas por la humedad y roce (Iám . 111 , 1). Lo de la derecha, en cambio, na ha sido legible (Ióm. 111, 2) hasta después de
librada de una espesa red de concreciones que cubrían la estam ·
pi lla.
La identidad de formo y dimensiones de ambas estampill as, asi
como del t ipo y tamaño de sus letras, conduce a pensar, como ya
se di jo, que estón obtenidos con la mismo impronta. De la combi nación de los letras que parecen seguros en el oso izquierda
F CVF
con los también ciertos de lo der2ch ....
LF CVF
y la resti lución de los rasgos que aparecen después de una y otra
F, se ll ega o lo lectura (letras dudosas, en negrito):
LFCCVFS
coincidente con el número 2594 o del Cl L XV 2.
Esfa morco y otros con variantes en los letras que aparecen
an tes de lo segundo e y después de lo segundo F, pueden verse
agrupadas, pOr contener el elemento común CVF (en algunas sólo
CV). en los núms. 2587-2603 del citado vol. XV del CI L, dedicado
a las ánforas del mon t e Tes taccio.
-
230 _
[page-n-295]
7
NOTAS DE EP IGRAFIA VALENCIANA
El origen hispónico de estas marcas porece también indiscutible . Bonsor (13) regis tro cinco morcas con -el elemento CVF en lo
estación d e Lo Dehesil la, y otras dos en El Cas t ill ejo (fig . 3."), uno
de los cuoles (núm . 22) no tiene ot ra diferencia con la nuesfra qu ~
el presen tar invertida lo S final. Según Bonsor (14), ambas alfarerías ribereños debieron de pertenecer a Jo mi smo empresa .
Dressel (15) deduce, de la comparación do! todos las estampillas que contienen CVF, que en el con junto aparecen designados
tres nombres de dueños. Nues tro morca corr-esponderío al primero
de los propietarios por él indicados, Cresce ns. Lo in t upretación d~
,_'-_ ~ ?ALM" DEL nlo
1
0
S
40
.
~--------~--------~I
I
,_
Flg. 3.a_ EI Guadalquivir de-sde PO$Odos (onliguo Delumo) h01ilo su confluencia
con el Genil, con lo ubicación de los e-s lociones de Lo Oenesillo v Castillejo (según Bon$Or).
CVF es problemótica. Basandose en un posible adjetivo Borcufiense.
registrado en dos inscripciones pin tadas en anforas del mismo T estaccio (3977, 397 8), Dressel sugiere lo adm isión de un opus Cu f(iense), si n ulterior explicación . No he hallado otras alusiones (1
estas vocablos fu e ro de los del Thesourus L. L. (16), que recogen,
si n mas, 10 sugerido por Dressel.
El desciframiento de esto marca, L(ucius ) F(?) C(rescens) CU!f (iense) 5(?), qu edo, pues, por ahora, lleno de inte~rogantes de di ficil solución.
(\3)
(14)
( 15)
(16)
J . BONSOR : Ob. ci t . en noto 5, lomino XXXI .
J . BONSOR: Ob. ci t . en nOIO 5, pag. 9.
CIL, XV, póg. 495.
"Thesourus L. L.", suppl. fose. IV, col. 139.
-
231 -
[page-n-296]
8
S. MARINER BIGORRA
11
EL EP ITAFI O DE URSA
En el volumen 11 de este Archivo, correspondien te 01 año 1945,
y en un articulo d e don Mariono Ja rnet, benemérito i nv~s t igodo r
de lo arqueología de Bélgido, sobre antigüedades de aquello comarco, se do cuen to del ha llazgo de l fragmento supe rio r de una lópido sepulcral (Iám. IV, 4) (11 ). A uno bueno fotografía de lo pieza
acompaño uno transcripción y lectura pub li cado por e l cron is ta de
lo provincia, señor Mor t ine z Aloy, a bose de un ca lco que o t a l
efecto se le remitió (18):
D(iis) M (onibus ). I Urso, on (norum) XVIII! I h(ie ) s(ita ) e(st)
oera (rio) s (vo).
Por no pa recerme del todo satisfac toria lo suposición de que,
en la lópida de uno joven de 19 años, pudiese constar que se te
dedicó un epitafio con su propio dine ro (aparte de qu e e l vocablo
aerorium es impropio para designa r los bienes de un particu lar)
( 19), he creído convenien t e inten tar una revisión de dicho texto o
lo vista de lo lápida, que se guardo hoy en 110 vitrina núm. 5 de los
ins taladas en el an t iguo Palacio de la Diputa ción de la plazo ::Ie l
Te mple. De paso, procuraré dar algunos características de lo pieza,
que no pudie ron consignorse, como es natural, en e l artícu lo citado
por haber trabajado el señor Mortínez Aloy, cuya in t,erpretoción se
transcribe, sólo o base de un calco, según he indicado yo.
T rátose del frog m ~n ta superior de una lápida cuadrado o rec ·
tangu lar de mármol rosado, con escasos ve tos lineales de color a zu l
obscuro. La coro inscri to ofrece uno superf icie perfectamente pulimen tado; lo opuesta, fue también alisado, s i bien co n menos esm ero. De las dimensiones de lo pi edra dadas por el señor Jorne t en
el artícu lo ci tado (0'22 x 0'275 x 0'035 o 0'02), lo prim ero, correspondiente a lo longitud, se refier-e 01 borde derecho; e l izqu ier-
(11[
M. JORNET PERALES: "Prehistorio de Bélgido, 11", Archivo de Prehis to11, Valencia, 1946, pp. 266-261 '116m. IV, D.
(18) J . MART INEZ ALOY: "Noticiario arqueológico (Lo lópido romano d I!
Olas[", en el diario "Los Provincias" de Valencia, de 29 de oc tubre dI! 1914 .
(19) "Thes. Llng. La!.", 5. v.
ria
L~nti.no,
-
•
232 -
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NOTAS DE EPIGRAFIA VALENCIANA
9
do mide 0'2 m. y lo máximo del fragmen to es de 0'23. Lo variación en el grueso corresponde 01 decrecim ien to de d icho d imensión
desde el borde superior hasta lo supe rf icie de frac tura .
Lo inscripción que, por 10 forma de sus letras, especial men te
los M, A y R, cabe si tuar en los ú ltimos t iempos del paganismo.
presen to no pocos irregularidades en cuan to o lo dist ribución de lo,>
d is t in tos reng lones en 10 superf icie de lo lápida . Así, en los márgenes, de los que sálo el superior es cons tan te (0'0 18 m.), y aun ello
no .es muy no table, porque el pri mer reng lón se compone de sóJo
dos le tras. Lo variación en el derec·ho (de 0'08 m . en los dos pri meros renglones o 0'0 16 m. en el cuorto). pudo estor motivado por lo
di stinto longi tud de lo inscr ito; lo del izqui erdo, en cambio, qu e va
decr.eciendo o medido que ovonza el texto (2.0 r., 0'03; tercer reng lón, 0'021; 4" r., 0'025) no se expli co más que por inhabi lidad o
descu ido. Asi mismo, lo d istancia entre algunos le tras rompe lo un i.
form idod : osi, -en el r. 2.- lo que sepa ro lo R y lo S de VRSA (0'022
m., en ton to que en tre V y R median 0'0 15 y entre S y A 0'0 16).
El tamaño de los le tras es también varian te : de jando aporte lo S
de AERAS, grabado intencionadomen te con dim ensiones menores
que .Ios demás (0'02 m.J, hoy osci lación no sólo en tre las le tras de
renglones distin tos (rr. 1 y 2 : 0'033; r. 3, 0'035 ; r. 4, 0'039; do lo
impresión de que el tracisto fue oumen tondo el tamaño según iba
viendo Que tenia espacio suficien te), si no aún entre los de un mismo r.englán : osi, en el 3", los les del numeral de los a ños crece n
ostensiblemen te par el mismo mot ivo, pues dicho numera l rebaso
por este lodo izqui erdo el espacio que en el renglón an terior ocupo
VRSA, lo cual perm ite fácilm en te este notorio aumen to de tomoño
de los ú lt imos signos (hasta 0'04 m.l.
Es tas irregularidades, unidos o la estridente presencio de uno
ho jo ' de hiedra en t re dos let ras de un m ismo vocablo -A y N d ~
AN( norum)- hocen pensa r qu e e l grobador de Que dispusieron los
fam iliares de Ursa o ero bastan te inhábi l, o no puso mucho esmero
en la e jecución de su toreo. Y esto inhabi lidad o fal to de o tenció,
ha brá de tenerse en cuen to a propósi to de los incorrecciones Que
supone en el texto de lo lópido lo interpretación Que mós adelante
propondré; incorrecciones de más fócil explicación en uno inscripción de texto poco cuidado, como es lo presente.
Uno separación anormal de letra s, que aparece en el renglón
afectado por la fracturo, merece uno mención especial. El texto del
señor Ma rtínez Aloy do en dicho renglón uno A y dos trozos más,
-
233 -
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10
s.
MARINER BIGORRA
cuyo interpretación debió de parecerle incierto, coso natural, pue'i,
justamente por estar en la extremidad del colco, no debió de reflejorlos éste con suficiente fidelidad. En cambio, lo lópida permite
dar Iy creo que puede tambien corroborarlo 10 fot0grofía adjunto)
como muy probable un comienzo MA. Lo fracturo sigue el trozo iz quierdo de 2510 u1t ima letra y doblo luego en sen tido casi paralelo
01 borde superior hasta el centro de la lópida, en que presen to una
muesco hocio el in t erior de ésta. Ningún resto de let ra aparece en·
tre lo A y la m uesco; como seo que, según pU2de apreciarse en lo
fo togra fía, la fractura corre aqu í más abojo del lugar o ,donde hu bieron debido alcanzar los extremos superiores de los letras de este
reng lón, se puede concluir con seguridad Que no hubo letra alguna
en el espaCio de referencia. A lo derecha de lo muesco, oporeca
también uno le tra: con gran probabilidad, uno T . Suponiendo para
lo A una anchura como lo Que t iene en VRSA, entre dicho letra y
lo T mediaría n 0'04 m., d istancia Que casi duplica la sepa ración,
ya en sí anorma l, Que se vio antes entre la R y la S de VRSA. Es
cierta que dicha diSltancia se vería ocartoda suponiendo Que 10 muesco en cues tión corresponde a lo parte superior de uno letra. Pero
ésta difícilmente pudo ser otra que 1, dada el exigua espacio que
medio entre ello y la T siguiente; o lo sumo, cabría admitir la pa sibi lidad de una L; tocios las demós letras, cuya parte superior cons ·
lo de a lgo mós que de un solo trozo vertical , quedan excluidas porque no aparece ningún resto de dicha porte superior o ambos lodos
de la muesco. Aun así, pues, lo distancio entre lo A y esto supuesta letra 1 o L serio notoriamente exagerado en comparación can 10
que separado lo M y la A, supuestos en el comienzo de este ren glón .
Obsérvese, em pero, que lo m uescu en cuest ión aparece rodeada
en ambas caros de la lápida por un declive, Que no parece natur:::ll
y praducto de lo fracturo, pues se presen to pulimen tado, especia lmente el de Jo cara anterior. Por ello pienso que se trotó adrede d~
practicar un orificio en este punto central de lo lápida, orificio
destinado bien a la aplicación de a lgún adorno me tólico, bien a lo
penetracián de algún soporte que fijaria la propia lápida. (Lo existencia de tal or ifi cio yo antes de lo fracturo pudo ser caUSa de que
ésto se realizoro precisamente en esta porte de lo piedro) . En esto
suposición, la distancia que medio entre A y T halla uno eXRlicación plausible: se habría dividido el vocablo que debía grabarse en
-
234 -
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11
NOTAS DE EPI GRAFIA VALENCIANA
este renglón, escribiendo antes del orificio la primera sílaba, MA .
y continuando después del orificio lo segundo parte del vocablo.
En esta segunda parte, la fractura, después de la T, va pen~
trando en la lópida hasta poca mós o menos lo mitad del espacio
entre la T y el borde derecho; a partir de dicha mitad, vuelve a ole jors~ de l borde superior. El lavada de la lópido eliminó de su superficie todos los concreciones, si las hubo; la superficie de fracturo
aparece también libre de ellos, excepto en das porciones que .s iguen
o lo T . Creo que estas concreciones han podido persistir precisamente porque allí coincidieran con la fractura las incisiones hori·
zontales correspondientes a dos letras. Y, como seo que o lo derecha de la segunda de dichos supu estas incisiones la frac tura pero
mite ver, según se ha dicho an tes, más pa rte de 10 lápida y en ella
no aparece señal de let ra a lguna, ,infiero que son .sólo dos los letras qu~ fal ton después de T. Y, en consecuencia, sugiero para este
renglón lo lectura MA TER, res tituida según aparece diseñado en
lo figuro 4 .
D
~
M
'VRSl\
f\ ,N ~X \l1lf[
H1S ~f,A[I\AS
Fig. 4."_ EI epitafio de la 1
6m. IV, 4, completadas las lelrQs de
lurado.
SLI
renglon frac·
Ello me obliga a ver en AERAS el nombre de lo madre de Ursa.
Dos dificultad es plantea esta suposición . Una de ellas es fócilmen te obvioble, a saber, lo fa lta de ortografía que supone lo A del comienzo. Creo, en efecto, que este nombre es uno de tantos derivodos de · 11 p.. frecuentes en la anomóstica griego y latina : He·
rai, (muj er), Hera (varón y muj er), Hero, (varón), Herosius, etcéte _
235 _
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12
S. MARINER BIGORRA
ro (20) . Lo grafía AeTos por He ros no -debe ext roñor. Dos motivos
de índole distinto pudieron causarl o: el parecido del trozado de
A y H; y la equivalencia que antes del i racismo griego debió darse
en t re oe (pronunciado e largo y abierta) y lj (e largo y abierto
también) . Prescindiendo de otros justifican t es de es to equivalencia,
numerosisimos, citaré justamen te uno muy o propósito en el 'Pres~"
te caso: lo adaptación en lo mitología romano de lo advocación de
- ll pII Y. llp l ll o - lI p~ y."úp~
seescribió normalme nt e AeraCura (21) .
No hallo solución ton satisfactorio lo segundo difi cultad aludido, a sober, qu e Aeras (esto Si el texto no contiene aquí errata alguna del lepiciclo (así, p. e" el
olvido de uno I an tes de S, grabada a menor tamaño, resolvería
todo cuestión con la lect ura Ae rois) y si no hay que in t erpretar
que la ma nera de escribir esta S a utorice a suponer una abrevia tu ra (Aerasia a Aerasiona eliminarían tambien la dificultad), parece
que no qu eda mas remed io que adm itir aquí una d e las e)(cepciona les aplicaciones de un nombre de varón a una m uje r.
Es cierto que el indice onomástico del CIL 11 señala un caso de
He ros como nombr~ de muj e r y precisamente _en la región levanti na (6038, epi taf io leido por Chabret en Benicalaf) ; pero no sin salvedades (lleva la indicación correspondiente a las lecturas no bas tante ciertas o de e)(plicación dudosa) _ En efecto, el texto del epitafio
HERAS DIDiAE . F . eRA ...
DIDIA . L . L . MVRTlS
L . 010rvS FVSCVS
AN . XXVII I H . S S .
no permite uno discr iminac ión segura o es te respec to. Admitiendo
con Hübner que, errore quodrotorii, el s~ gundo vocablo seo Didioe,
con lo cual Heros resulta, probablement e, hijo o hi jo natural (dado
su filiaci ón por el nombre de la mad re) (23) de L, Didius Fuscus y de
su liberta Didio Murtis, precisamen t e es to condición de ilegitimi dad quita a lgún valor (24) a la falta de pro enomen ante Heros,
(20)
1211
(221
(23)
1241
J . PER IN : Ob. cil . en nola 9, $. v.
" Tnes. ling . lal.", 1, cal. 1.052.
J . PERIN: Loe. cil. en nata 20.
J . CAGNAT: "Cours d'Epigroph ie La Tine", Par;5, 1914, pOg. 61.
P. BATLlE HUGUET: "Epig ra fia la tino", Barcelona, 19-'16, pp. 31 y 35.
-
236 _
_
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NOTAS DE EPIGRAFIA VALENCIANA
13
(mico indicio de que se trote de uno muj er, pues nodo cabe deducir
su eognom en, fragmentado.
Lamento no podu dar un argumento más comproban t e poro
lo admisión de Aeros como nombre de lo madre de Ursa . Creo, en
efecto, que se reconoceró lo absolu to adecuación que con uno de
los estructuras corrientes en los epitafios ofrecería, de ser admiti dos mis conjeturas, el t ex to que propongo :
d~
D(is) M(anibu s) I Ursa I an (norum ) XVII 11 I h(ie) s( ita ) e( d ).
Acros I moter I [filiae pi entissimae et obseque ntissimae J .
Lo dimensión de l suplemento puede \lariar o tenor de lo ex tensión que se concedo o lo porte inscrito en el fragmento desapa recido. Mi propuesto de un suplemento bastante largo estribo en
que supongo practicado el orificio y partido lo lápida aproximadamente por su por te c-entroL
111
EL EPITAFIO DE FULVIA FILENIS
El num o 197 de los inscripciones hisponos publicados por Hübner como continuación del Supplementum del ClL ti (25) es un epitafio leído aceurate por el médico de Sogun to don Francisco Cho bret en 1892, con el siguient e texto:
D M
FVL
FILE
NIOI
AN
NOR XXII
ZOTICVS
MARI TVS
VXORI
KARISSI
ME
(25)
FIDELlSS
Berlin , 1897, pág. 96.
_
237 -
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14
S. MAR INER BIGOR RA
I
!
=dO
c.m
F,g . 5·- O ,seno d e Un cako del epi.ofio de Fulvio Filen!,.
.
-
238 -
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NOTAS DE EPIGRAFIA VALENCIANA
15
Con post e rioridad, se han dado lecturas de este epígrafe que
difieren de lo an terior (26) .
Debo 01 erudito conocedor de lo historio de es te re ino, don Em i~
lio Lluch Arna l, lo ubicación preciso de esta pieza, que, hollado
en Nules según los Additomcnto 01 Corpus, se encontraba en Villo ~
rreol según Sorthou y habría sido trasladada, junto con otro, o Bu rriono, según el P. Fito . El cipo hállase hoy en el jardín de lo caso
de don Vicente Pujol en Villarreal, núm . 18 de lo calle de Polo de
Bernobé.
He de agradecer o lo amabil idad del señor Pujal y de sus fami liares los facil idades que me reli eron poro verificar una lectura de
uisu del texto en cuestión; cl'eo que lo fotografío qu e con es to ocasión saqué (Iám . IV, 2 y fig. 5) compruebo suficientemen té que la
lectura acertado es lo de Ghabret; así que no haré mós que mencionar o modo de uoria lec:tio los discrepancias de Sart hou y Fita :
Renglón 2 : UPVE (Sorthou) ; IVL (Fito); FVL (Chabre t) . PHILEV (P y H en nexo, Fito ); FILE (Chabret y
Sorthou ).
Renglón 3 : UM (Sorthou); AN (Chobret y Fito).
Renglón 4 : MOR (Sorthou ); NOR (Chobret y Fita ).
XXIII
(Sorthou); XXIIX (F ito); XXII I (Chobret).
Renglón 5: ZOTIEVS (Sorthou); ZOTICVS (Chobret y Fita).
Renglón 9 : FIDEUSSI (Fito ); FIDELlSS (Chobret y Sorthou).
Renglón 10 : (inexis tente en realidad) ME. D. S. F. (Fito ).
Unicamente en el renglón 3, donde no vi el punto entre I y A, y
en el r. 4, o propósito del numeral, cr20 modificable la lectura de
Chobre t. Es cierto que no debe sorprender Ja gra fía XX II X, que vie-
(26 ) C. SARTHOU : "Uno lópido ramo no en Villo rreol". Rev isto de Cos telló" ,
Año 11 , nUmo 38. pÓg . -l. Cos tellón de lo Plof)o, 30 de sepT
iembre de 191 3.
F. FITA: "Lapido ib-erico de Cobones '1 ramonos de Almenoro, ViUorr eol V To_
rrogon.o", BoleTín de lo Reo l Acad emia de lo Hislorio, r. LXIV, Modri d, 1914, piIgi nos 193- 20 2.
V. FORNER T IGELL: "Uno colonia fenicio en el lermino de B.... rriono", BaleI;n de lo Socif"dod Cas lellonense de C.... It .... ' o, XIV, c." 111 , Coslellon de lo Plono,
1933, pÓg . 255, recOge el leXIO del P. Filo.
Los tres o .... rores ( ilodos debie,on de (Orecer de infor mación acerco de 10 lectura de Chobrel. El P. Fila trobojó sólo !-Obre .... n calco.
-
239-
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16
S. MARINER BIGORRA
ne supuesto por el texto XX II , dado por él, paro duodetri ·
ginta; pero, aunque no es sorprendente, no dejo de ser anorma1. A
mi ver, lo que se ha tomado aquí como signo J no es sino la estrio
profundo, producida en una veto que corre en sentido vertical desde
el comienzo de lo porte superior O~ lo .piedra o lo inferior de la inscripción. El incisOr habría dejado ¡ntocto este espacio, y grabado
más 0116 de él uno X que aparece fragmentado por desgaste de l
borde derecho. Eliminando, pues, e l supues to segundo trozo verti cal, quedo lo grofio corriente XXIX.
Mi con jetura requiere que lo es tría ex istiese yo en lo piedra
cuando se grabó la inscripción; y qu e realmen te, el incisor soltara
el espacio averiado. Creo que una demostroción de que uno y otro
' coso son probables, la do la separodon en t re lo N y la I de NIDI
en el r. 3 : e nt re a mbos le tras medio también uno estrío, Que ca ·
rre desde e l barde superior del cipo hasta lo V inicial de l r. 7. Ello
habr ía de t erminado que lo d is tancio de N a I seo claramente mayor qu e lo que separo los demós letras de aQuel renglón, según
puede comprobarse en lo fotogra fí o. Obsérvese ta mbién quz, al grabar KARI SS IME, cor tó la palabro, pese o tener suf iciente espac.o
(si no hubi ese debido evitar lo estrío) para M y E en e l m ismo ren glón .
Ta mpaco me parece que los anaglypha q ue adornan la porle
superior del monumen to szan los que do e l Cll: un tr ióngulo ent re
dos círculos. Poro mí no hoy circulo n inguno; y en lugar del tr ióngula, una lín ea q uebrado en fo rma de M invertida (figu ro 6).
r VV]
.
.
Fig. 6."- Diserio del ocIorno en lo por te superior del epitofio de lo 1
6m. IV, 2.
Hoy también discrepancias respecto 01 moter:ol de l cipo : ex
lapide colcarío, según lo obra de Hübner; "de piedra mórmol gris",
según Sarlhou . Creo que se tra to de un mater ia l de mayor dur~zo,
lo que explico la irregularidad de la supe rf icie inscrito ; para mi,
salvo el m ejor parecer de los en tendidos, un basalto,
_
2'10 -
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NOTAS DE EPIGRAFIA VALENC IANA
17
Los dimensiones (que el Cl L no do) aparecen equivocados, por
errata, ton to en 50rthou como en Fito; hoy mide lo pieza 1'015 x
0 '41 x 0'45 m. de a lto, ancho y grueso, .respectivamente.
Los noticias que do 50rthou acerco de los diferentes vicisitudes
del c:ipo pueden ser ciertos; no así su con jetura acerco del posible
hallazgo de la pieza en el ex convento del Carmen de Vlllarreol :
según Ghabret, el monumento no pasó a poder de don Santiago
Pujol y familia desde dicho conven to, sino que fue hallado preciso.
mente en una finco de dioha señor. El t raslada del epitafio o Bu·
rriono, consignado por el P. Fita, parece que no puede comprobarse.
En cambio, son vólidas los explicaciones acerco del nombre de
Z otieu s y d ~ la difusión de lo onomóstico griega por lo cos ta levantino, dados por el P. Fita en su ar t ículo. En
epigrafía hispano en lo época en que se redactaron los índices onamas ticas del Supplementum del ClL 11 , puede ser de inte rés no tar
qu e se le cane::e ahora atestiguado ta mbién en uno lápida de 50gunla (21) : Aemilia M{arei ) I(iberta ) Phila enis, en donde di cho
nombre aparece escrito con perfecta ortografía, o diferencio del de
nuestro inscripción.
IV
DOS EPIGRAFES DE VILLALONGA
Dos inscripciones latinos he tenido ocasión de ver recientemente en Villalonga, gracias a uno indicación de mi buen amigo don
Jase Pavía yola deferencia de su~ familiare s
Una de ellos (¿inéd ito?) es un fragmento de un paral elepípedo
(Iórn . IV, 5) de mórmal rosado con vetos en f"orma re ticu lar, bien
pu lim en tado por sus cuatro coros la terales. La base supe rior está
fragmentado en sen t ido convexo; lo inferior, en cambio, ofrece uno
concavida d. Esto y el hecho de que debajo del último renglón con servado de lo inscripción queda un margen mucho mayor (0'05 m.l
que lo interlineación (0'01 5 m.l podrio hacer pensar que el frog .
127 1 J. SANC HI S SIVERA: "Epigrafía romana-valenciann". en "Lo D,óce'l15
Va!en lir>CI, E~ l ud ,O$ h's lóricos", Ana les del Inslituta General y T ecnico de Valencia, va l. V, nUm. 2 3, Valencia, 1920, pp. 31-198, lapIda rUmo 212.
-
24 1 _
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18
S. MARINER BIGORR A
men to corresponde prec isamen te o la par te inferior de lo in scripción; hoy que notar, con todo, q Ui! las bases de ,los cuatro ca ros la terales carecen de regula ridad, por lo que lo mós probable es que
también lo porte interior do? la pieza hayo sufrido algunos roturos.
Apareció hoce unos 30 años en uno finco de don Salvador Escrivá Puig (p::Jrtido de Buixerques de dicho término de Villalongo),
en uno de cuyos mórgenes, orientado 01 E. sobre lo carretera de
Adar, que bordeo el río Serpi s, la vi empotrado en 1 .~ de abril de
1954 (1 . IV, 3). De allí fu e ex tra ído por gestión de mi citado
6m
a migo, señor Pavío, y donado al Museo de l SIP, donde ingresó el 20
de mayo del mismo año.
Los dimensiones máximas del fragm en to son 0'258 x 0'225 )(
0'246 m., los dos primeros en el sen t ido de ancho y alto, respec ti vamen te, del roes to de lo ca ro qu e ll evo lo insc ripción. De dicho co ro
subsiste sólo uno superficie de 0'225 x O' 15 m. , respectivamente.
La follo móximo, como se ha dichc, porece ser por lo parte supe rior; a lo izquierda se conserva un resto de la primera le tra del ú ltimo renglón sufi ciente poro suponer un marg:m de 0'015 m .; o la
derecho fa ho lo última le tra del mismo renglón: puede conje turarse con probabi lidad un margen de dimensión par-ecida, de modo que
lo in scr ipción estorio parfectoment.e cen trado (16m. IV, 5 ).
Esto regularidad en lo simatria de los mórgenes se corresponcie
con otros indicios de que lo piedra procede de un bu en taller y fu e
traba jado con esmero: pulimen tado de las coros, perfecto paralelismo da los dos re nglones conservados, un iform idad en la incisión
de las le tras, en su distribución yen su forma: capital alargado
(altura : 0'048 m.), que puede fecharse entre los ss. I! y 111 d. c:.
La legibilidad, pues, da los dos renglones conservados es pCo'r ·
te::: to, según pueda compraba -se (10 e del r. 2, aunque fragm en tado, es seguro) :
VALERI
CAMPANV
esto es, Valeri ( usJ Campanu [s} , con supl ementos también al margen de todo dudo . Quedan restos de otro renglón, especialmente un
trazo inclinado, s ituado sobre lo E de VALERI, que no puedo a tri buir decis ivam ente a ninguno letra determinado.
Tampoco puedo dilucidar lo índole del monumen to. Con lodo,
la suposición de que los renglones conservados sean los últimos :lf!1
epígrafe me hoce sospechar que no fue de carócte r sepul cra l.
• • •
-
242 -
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NOTAS DE EPtGRAFt A VALENCIANA
19
Del segundo epígrafe o que debo referirme había publicado
dan José Sonchis Sivera (28) 10 siguiente lectura e interpretación:
AR INIV
NVAR IVS
AN LXXXX
H S E
LAELIVS SIN
SIVS P B M
[VJcuiniu(s) rJJanuarius, an (narum) non09into, h(ic) s(itus)
e( st). Laelius Sin(e )sius, p (osuit) b(ene) m(erenti) .
La onomás t ica del epitaf io, así como la interpre tación de los
s ig los f inales, han de ser, en m i opinión, modificadas.
Es cier to que lo lec tura presen to dificultades, pues lo piedra, un
enorme parale lepípedo ( 1'6 x 0'62 x 0'55 m.) de calizo, de color
gris amarillento pálida, que se intensi fica h acia lo parte inferior,
con abundan t es vetos obscuros en formo re ticular, ofrece basta nte
desgas tado lo supe rfic ie que contiene la inscripción; y quizá más
hoy que cuando se verificó lo lectura que aprovecharía Sanchis Si~
vera, pues esta coro está, lamentablemente, >en posición horizon ~
tal, que lo expone mós al desgaste por la lluvia y el vien to (Iámi~
no IV, 1) desde que se d~scubrió en 189 1, al remover unas tierras
en el m ismo luga r donde hoy se encuentra, linde N. de lo f inca propiedad de don Vicente Sast re Alemony, en la partido d e Al teret ,
a l O. de Villa langa. Despues de su descubrimiento debió de in t entarse remediar el desgaste de los letras resiguiendolas con un lápiz,
de lo cua l quedan hoy res tos eviden tes.
Dicha supe rficie no fu e pulimentada, sino sólo ali sada . Las caras la t erales, meramen te allanadas, parecen conservar todavía huellas d el t rabajo del cincel. La base no es llano; ofrece una profun ~
do concavidad en el cen tro, y no tiene señal alguna de haber sido
traba jado . Hoy presenta la pieza quebrados los cua t ro vér tices de
lo cara que con tiene lo inscr ipción, con una fallo móximo de 0'2
m. (vér tice inferior izqui'2rdo) y min.ima de O' 1 m . (ídem ídem derecho). De resu ltas de ello y de un desconchado que corre longitu-
1281 J. SANCH IS SIVERA: Ob. cil. en nota an terior, lápido num o 491 . l a pri_
mero mención de e$la lápidQ se encue ntra en . " EI Archivo", lamo VI , cuod erna
VII, ValencIa, septiembre de 1892, póg. 297, "lnKripdán romana en Villalon,¡a
(Gondia)", con igual lec tura que la de Sanchis Sivera.
-
24 3 -
[page-n-308]
20
S. MARINER B1GORRA
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~ r[~ffN~ ~~~
JfN~\RJ\U
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SN ~ ro ~olA)\o
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Fig. 7.--oiseño de un calco del epitaf io d e lo lóm. IV, 1 lIos Irat.os di:;conlinuos
feprHenlan por lM de le lras gas tados o fragmen tados ).
-
244 .-
[page-n-309]
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NOTAS DE EP IGRAFIA VALENC IANA
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Fig. 8.&_ RH tit...ción d el epi toljo de la 10m. IV, I (Ie lras wp ,'1<><>'5 en !fOltO pun• ..
leodo) .
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2'15 -
[page-n-310]
2Z
s.
MARINER 81GORRA
dinalmente por el lado derecho, la inscripción aparece mutilado en
los renglones 1 (derecha e izquierda), 2 (ídem ídem), 3 (izouierdo),
6 (ídem) y 7 (ídem) (Hg. 7) .
En su integridad, debió ocupar esta porte inscrita un espacio
de 0'54 x 0'36 rn. Aparece enmarcado por los lodos y fa bose inferior, aquí a bastante distancia (0'285 m.l del último renglón, por
tres estrías profundas. La de lo derecho no deja margen alguno;
los renglones largos (2, 3, 6 y 7) llegan hasta ella. Lo de lo izquierda dejo un margen de 0'035 rn . En el borde superior, muy desgastado, parece rostrearse lo porte izquierdo de uno M, antes de lo
quiebro del vértice derecho. Un rebajado profundo, que no puedo
precisar si fue he~ho adrede o si se debe o occiden te, medio en tre
esto M y Jo que, en mi opinión, debió ser D, simétrico de lo M, )'
ocupando los dos el primer renglón, según ero corrien t e poro escri bir O(is) M(anibus). Si esto conjeturo fuese cierto, lo dimensión
probable del margen superior parece de unos 0'065 m.
Lo interlineación es prácticamente uniforme: 0'05 m . No así el
tamaño de los letras: pese o ser todos del mismo esti lo (capital
!ardío, muy con.taminado yo por rasgos del actuario: v. espec . los
A, B, E, H, M, P y V, probablemen t e del s. 111 d. C.) y calidad (muy
defectuoso), ,los de.los renglones 6 y 7, qu~ contienen los nombres
del dedican t e, son mós pequeños (0'043) que los de los rr. 1-5
(0'058) . Uno V diminuto (0'033) hoy quizós (en rigor, puede ser
un mero desconch~'do de lo piedra) 01 f inal de l r. 6. Es irregular
también la separación entre los letras, algunos de los cuales pare ce que lleguen o juntarse (N y V, I Y V de r.. 3; todos los X del
numeral d2 los años; V y lo letra precedente en rr. 6 y 7) ; otros,
en cambio, aparecen descompuestos, como si, diseñados descuida damente por el tracista, hubiesen sido incisos por el grabador sin
adver tir que se trotaba de trozos que d!bían ir unidos (toles los
0
N de rr. 4 y 6); algunos, por último, parecen mós separados de 1
siguiente justamente poro indicar un fina l de vocablo: osi ocurre
entre S y T de r. 6, 'entre S y P de r. 7 (¿y entre N y lo siguiente de
r. 4?) . No parece, en efecto, haberse usado lo interpunción en es te
epi tafio poro separar los palabras; los únicos puntos seguros, o mi
ver, son los que aparecen después de los siglos finales P, B, M, los
tres o medio altura, como es normal. Otros, dudosos, pues se holla rían algo mós bajos, se rastrean tal vez después de H y S en r. 5
(abreviaturas también) y después del numeral en r. 4 (aquí tal vez
poro ll enar el espacio sobrante) .
._
246 -
[page-n-311]
NOTAS DE EPIGRAFIA VALENCIANA
23
Mi lectura del epi tafio (fig . 8) se baso, según di je antes, en ia
interpretación de los siglas del r. 7. Lo abreviatura en cuestión
(29) acostumbra a interpre tarse p(atri) o p (atrano) b(ene) m(ere n.
ti ). o también p(oter) o p (arentes) b(ene) m(erenti ). Efectivamente,
el p (osuit) b (ene) m(erenti ) de Sanchis Sivera dejo en el aire justo·
mente lo que mós corrientemente se expresa en los dedicatorios:
lo re lación da parentesco o potronatus que une 01 dedicante con
el difun to. (De hecho, yo no he visto documentado tal oi nterpreta·
ción en ninguno porte). Ahora bien: de las cuatro interpretaciones
corrientes, lo úl t imo, p (orentes). es inadecuado en el presen t e coso,
pues precede un nombre de dedicante solamente, mascu lino y en
singu la r. Los demás, que establecen relación de paternidad o po·
tronozgo entre difun to y dedicante, ind inan a pensor que el gen·
ti licio de uno y ot ro sean el mismo. En el 2.° renglón correspond en
o dicho gen t ilicio los siguientes letras seguras (s~ñalo con negritas
los incompletos):
ER EN
VS
En el 6 .", los sigui en tes:
. EN V5
Creo que los coincidencias son suficientes poro apoyOr mi con·
jetu ro de una identidad de gentilicio. Los dos trozos verticales en·
Ire N y V no pueden en absoluto interpre tarse como dos ¡es. De excluir es también todo suposición de que represen ten uno e, pues o
ello se apona lo época del epitafio y el t ener esto le tro la forma E
en ot ros t res lugares seguros de lo inscripción. Ello llevo o observar
que en este epígrafe, de incisión poco hóbil (recuérdese lo dicho
acerco de lo N cuyo segundo trozo vertical aparece desunido en
rr. 4 y 6), algunos t rozos horizon tales fueron ta l vez descu idados
por el grabador, qu izós por coincidir con las lineas que pudieron
es tar diseñados como pou ta. De hecho, la lectura de Sanch is Sive·
ro do como L la le tra que precede o las cuatro X del numeral, y tom o
bién aquí el trozo horizonta l inferior falta . (Esta lectura, LXXXX,
tomando I como L, me parece, rea lmente, preferible o otros in t en·
tos de explicación que cabrío también sugerir: escrituro irregular
(291
J . CAGNAT ; Ob. cil. en noto 23, pp. 4 50-451.
-
241 -
[page-n-312]
24
S. MARINER BIGORRA
del numerol undequadraginto¡ error del lepicido, Que habría grabo .
do como I lo que ero el trozo izquierdo de uno segunda N de ANN,
abreviatura de onnorum mós corr iente que AN con una solo N) .
Con je turando, pues, que el pri me r t rozo vert ical después de N en
el gentilicio que nos ocupa sea T y el segundo, I (precisamente por
t rotarse de gen t ilicio, el fin a l en -ius es lo mós p robable)' se t iene yo ERENTI VS; Y. tomando como po lo infe rior de uno T el trazo
que opol1ece en el r. 2 antes de la E, lo lectura TERENTIVS puede
suger irse con alguno probabilidad.
Prec:isomente en Hispan ia, a unqu e no en Levan te, si no en lo
Béti co -Salva t ierra d e los Barros- estó documen tado epigrófi comente (30) es te gen t ilicio unido a l nomb~ e de lanuarius, en uno
dedicatorio de época imperiol : Victorioe I Aug . sacrum I M. Te·
rentius I M. libertus I lanuariu$ I d. s. d, Ta l vez es to coinciden·
cio con el mi smo cognomen de nuest ro epitafio puedo opoyor en
algo m i suposición.
El praenom en del difun to, a juzgar por el trazo inclinado qu e
de él se conserva y por el espacio que debió ocupar, pudo muy bien
ser M(arcus) , como el del Terentius lanuarius de la dedica torio da
Salvatierra .
Del cognomen del dedicante leo en el r. 6 es tos le tras seguras:
THA
Como 01 comienzo del r. 7 (o juzgar por la extens ión del su p lemen to T E que supuse an tes de RENTI VS en el r. 6) caben o t res
le tras de a nchu ra norma l o dos s i entro alguno de las qu e exigen
mós espacio (p . e., uno M), entre los nombres ates tiguados en 10
onomástico latina que empiezan por las le tras indicados como seguras, los que me jor se sup lirion parecen ser Tha- [Iashius, despreciando lo posible V después de THA y tomando por I 10 le tra
precedente a V en el r. 7; y Thau -[ ma]stus, admit iendo aqu ello V
y toma ndo como T lo le t ra en cuestión del r. 7 .
En cuan to a lo in t erpretación de lo siglo final, si se admi te
paro ' el difunto la edad de 90 años, -parece 'exclu ida lo pasibi lidcd
(30)
Cll , ti , 983.
-
248 _
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NOTAS DE EPIGRAFIA VALENCIANA
25
de p (ater) b (enc) m(erenti), pues serio difícil que el padre de un
nonagenario viviese todavía; y de los dos que así Quedan, ambos
posibles, me porece o mí mós viable p (atrono) b (ene) m (erenti) Que
p (atri) ... , porque el C09namen del dedican te, indudablemente grie·
go (empezado par Tha -, cua lqui era que seo el suplemen to que se
proponga), 5'.;! acomoda mejor a la suposición de un liberto que o lo
de un hijo de M. Terenti'us lanuarius.
He aqu¡, pues, uno propuesta de lectura (ténganse en cuenta
los salvedades a propósito del numeral y del suplido Thaumostus,
qu e pudo ser también Thalassius) :
lO (is)] M (onibus) / M(arcus) Terentius / [lo] nuC'rius / an
(norum) LXXXX / h(ic) s(itus) e (st) . / [Telrentius ThouJ[ma]stus
p (atrono) b(en e) m(ere nti).
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24 Q -
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[page-n-315]
MARINER BIGORRA,- Eplgtofio VolonciClno
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[page-n-316]
MARINa BIGORRA.- fpi,. afía Val" nc;anQ
Marcos del onroro completo. (Fotos Grollo)
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[page-n-317]
MARltUR BIGORRA.-Epigrafía Valencian(l
Morcas del á nfora incomple ta
LAM. 11 1
(Fa tos Grollaj
[page-n-318]
MARINER BIGORR ....-Epl"rClfill VIII,nclllna
LAM. IV.
2
4
3
,
I.- Insnipción de Morcus Teren tiu5, de Vitlolongo.
2. -Epitofio de FuMo Filenis. de Villorreol.
3. -lnscripción de Volet iU:5 Componus, d e Villolongo.
4 . -EpilOfio de Urso, de Olos.
S. -lo inscripción núm. 3, exento.
(Fotos 1, 2 y 3, Moriner; 4 y S, GrolloJ
[page-n-319]
ALBERTO BALlL ¡LLANA
La economra y los habitante!> no
hispánico!> del Levante espai\ol
durante el Imperio romano
INTRODUCCION
Fue en las costas de la Tarraconense donde, después de la Bética, se eje rció con mayor intensidad la colonización de Hispania
por los il61i cos ( 1). Junto a éstos, oporecen a lo largo del Imperio,
grupos originarios de otros procedencias. Nunca conoceremos exactamente lo intensidad y lo importa ncia de estos grupos, pero los
documentos 'epigróf icos y, a veces, los textos, nas suminis tran datos cier tos de la presencio de nu merosos extranjeros
La cos tumbre de señalar, singu la rmente en los inscripciones
fu nerarias, el lugar de orig en del difunto, .perm ite o veces a segurar
con ta clos que ya indicaban los hollazgos arqu eológicos y que com -
(1 ) C. SANCHEZ ALBO RNOZ: "Proceso de 10 roma nizoción de Españo d es d e tos Escipiones hosto Augus to", Anal es d e His torio Ant ig uo y Med levo l, 19 4 9,
Buenos Aires, 1949, págs. 5 o 35.
VAN NOSTRAND: "Tke Reorgo n izo tion 01 Spoi n by Augustus", 1916.
MC ElDERRY: " Vespasions recOl1$ truction 01 Spo ill" , Journol 01 Romo n Stu .
d ies, VIII , pág. 69 y ss.
HEN DE RSON: " Ju liU$ Coesor ond Lo tius in Spoill", 1942, pósJ. 3 y u .
F. Vr TTINGHOFF : " Rijmisc ne Kolon isotion u nd Bürgerreentspolit lk unl« Coesor und Augus tu$", Akod em ie der W issenchofte n und der Litero tur Geis tes und So·
z io lwis5ellschoftl ichen Klosse, núm. 14, Mo inz , 19 51.
-
25 1 -
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2
A. BAlIL tLLANA
pruebon los estudios de las relaciones comercia les. Albertini (2),
hoce yo 40 años, reunió todos los dotos epigráf icos contenidos en el
C. l. l .; pogteriormen te han aparecido nuevos inscripciones, pero no
se ha in t entodo comple tor el t rabajo de Albertini, que es oún fun damental, qui zó porque los hollados con posterioridad 01 Supplementum de Hübner se ha llon dispersos en gran número de publicacion es, algunos no especio lizados y otros de d ifíci l consulto, por lo
que serío muy de desea r lo edición en España de uno revis to semejante Q L'Année Epigrophique, en la que se reseñaran todos los
hallazgos y rect ificaciones de lect uras, incluyendo asi mismo las
morcas de tegulae, ánforas, sigillota, e tc., re la cionándolos también con las formas (3) . Personalmente venimos desde hoce t iempo
reuniendo cuan tos inscripciones hacen refe rencia o ~x tran i eros residen tes en Espoña, descubiertas con post erioridad 0 1 traba jo de
Albertini, y a unque, por las causas indicados, no dudamos se nos
hayo pasado por alto alguno, s í creemos haberlos reuni do en nú mero sufici en te paro poder precisa r algunos de sus pun tos de visto
y circunscribirnos o un aspecto regional.
Las tierras del Levan te español han es tado siemp re abier tas o
los influencias extranjeros. Desde el Paleolitico hasta nuestros días
son ton eviden tes las pruebas de ello que consideramos innecesario
extendernos mós en este aspecto. La pax romano facilitó e incrementó el intercambio y los con ta c tos mutuos; itá licos y griegos,
africanos y golas, panontos y corsos, residieron -en ciudades de Levante. En es te a rt ículo reseñamos por nacionalidades ,los inscrip ciones y t extos ut ilizados, ind icando ta mb ien la ci udad o que hocen referencia y el nom bre y ·profesi6n del -ex tran jero, osi como la
época o que pertenecen . Pero antes trazaremos un breve cuadro
del ·estado económico de l Levante español, en especia l de sus exportaciones que, no pocos veces, cons tituyen el origen de estos residencia s (4) .
(2) E. ALSER.T INI : "Les et,o"llers résidon t en l'E5jKlgne pendont l'Empire
Romoin", Melonges Cogno t, Poris, 19 14.
(3) Redoctodcts yo es tos lineos, llego o nuestro ooder el inleresontisimo .suplemento a nual de Archivo Español de Arqueologío, " Hisponio Antiqvo Ep lgrophl _
co", 1-3, 11950-1952), MocIrid, 1953, que viene o lIenor el vocio que señalamos
en el texto.
(4) Siendo poco asequible el "Corpus Inscriptionum Lotino.urn", incluso en
10i bibliotecas especiolj;rodos, reproducimos e n el texto 105 Inscripciones Ciloclos.
_
252 -
[page-n-321]
ECONOMIA y HABITANTES NO HISPANICOS
3
II
•
LA ECONOMIA DEL LEVANTE ESPAI"JOL DURANTE
EL IMPERIO
Lo situación de los costos y puertos del Levante faci lito cansí·
derabl<~m e nte su comun icación con los demós puertos del Mediterróneo, por lo Que, ya antes de lo conqu ista y especialmente duran t e esto, los exportaciones de productos mineros, salazones (5) y
cereal es levan tinos fu eron frecuen tes. Los comunicaciones moríli~
mas, de gran rapidez, facilitaban este comercio si n morcado dele! rioro de la mercancia (6); 1 introducción de la economía de t ipo
0
capita lis ta y lo explotación racional e intensiva de las fu entes de
riqueza, horian necesario es te comercio; por otra parte, el Levante
disfrutaba de uno completo a utarqu ía en cuan to o los mo te ria les
necesarios poro lo cons trucción de naves: maderos, a lqui trón, esparto poro el corda je, telas poro el velamen, etc.
Los productos O expor tar eran tan numerosos que han de menester una clasi f icoción:
Productos ogrícolos. Se explotaban los alcornocal es ampurda neses y de lo Selvo, como 10 ind ican Pl inio y Gctlia; Sidon io Apolli ·
nar refiere su utilización en A,.itocum, y en Hawara (Egipto) hallóse una sandalia con suela de corcho, que Pztrie consideró de origen
hispánico (7) .
151 Los ka la thai ,ooricos hollados en Ischio y Albintimilium, con dKoroción
levan tino, debt!n con~iderorse como envases de produc tos españoles, envoses ade··
mas llenos de ca la. loca l. Po, lo pequeño ca pacidad de las m ismos d ebieran con ·
tener al gún produc to de gran valor que justificara lo lujosa del envase e hiciera
product iva su e:
con l ~ríon m iel. Persona lmente y aun reconociendo lo Impor tancia de lo miel ca·
mo ma teria de e:
(6) Los noves rópidos hacian la Iravesio de Ostia o Tarroco en cualro d ios,
lo cual no es muy e:
APOlLlN AR. Ep is l , 11 , 12.
FLlNOERS PETR IE: " Howoro". Señalemos lo posibilidad de aue los 1I0mad0, pOr
SOnchez J i~nu entresuelos de COfCOO, hollados en los sepulcros de Onlu r, no
seon loles entrewelos, sino oulenlicos pisos d e COfCha, el. J. SANCHEZ lIME NEZ : "E:
nes Arqueológ icos, Madrid, 1941 .
-
253 -
[page-n-322]
4
A. BAUL ILLANA
Lo industrio vinícola alcanzó un gran desarrollo, introducido
probablemente por colonos romanos que burlaríon las rest ricciones
impuestos por lo ley protectora de los vinos itálicos, coído en desuso seguramente o fines del siglo 11 a . J .
y reimplantado, aun-
c. ,
que sin resu ltado, por Domiciono (8). Plinio cito los vinos layeta-
nos y louronenses, y Marcial lo gran producción d~ aquellos, aunque señalando su escoso cal idad . Muy alabados son los vinas de Torrogono por Plinio, Marcia l y Silio Itólico. Los morcos del Testoecio compruebon la exportación de vinos de Torroea y Lauro, e incluso es probable que lo inscripción C. I.L., XV, 2632, pese o lo refe rencia o Sogunlum se trotaro de vino de Lo uro (9) . Lo expansión
(81 LO$ teK tO$ que señalo:'! lo escasez de vino en hpaño, o mejor, su taita,
san numerosas. Schulten h.o preconizado su introducción por 10$ focenses; no comprendemos c6mo éstO$, comercian tes onle rodo, hubieron obor todo osi uno posibi_
I,dod de comercio. Si, aceptamos. lo exis tencia de viñedos en e l oger de sus colonios, pero no creemos que ellseñaron y difundieron su cultivo
10$ indígenas. Como ha supues to RO$lovtzeff, dicho cultivo, boja el dom inio ,Dm,mo. no debió opare-cer hasta lo época de los guerras civiles, y se in"oducido fraudulentamente;
cuérd ese lo interdicción del cultivo del vino en lo Transalpino, que 10$ normas
prote-ccionislos de 10$ viñedO$ itólicO$ eran muy severos y que el Senado pOnía en
su vigi lancia un especial cuidado. Añadamos que el unico testimonio cierto de lo
existencio de vino en un poblodo ibérico se halló en el Cabezo del Tío Pio (Arche_
noJ, en uno ón fo.o romano del tipo 3 de Oressel, con boca en molduro , es decir,
un tipo próximo 01 cambio de Ero. Cfr. J . SAN VAlERO APARISI yO. FLETCHER
VALLS: "Primero compaña de excavaciones en el Cabezo del Tío Pío (Archenol",
InforrTlft y Memorias, numo 13, de lo Comisorío General de EKcavociones ArqueolOgicDS, Madrid, 1947. En el Mas Castellar (Ponodes, Barcelona) se ha encontrodo
uno p.-enso de vino: P. GIRO: "Uno p.-emso iberico 01 Penod ~s", Museom, 11 ,
Barcelona, 1949, póg. 62, ounque no estó cloro lo relación existen te entre lo
. illo romano y el poblodo ibérico, cuyo .cronología se desconoce, pero es muy pasible Que, como sucede en lo mDyM par te de los poblodO$ de lo Costo CO lolono,
su abandono no tuviera lugar hoslo el siglo I O. J. C., lo p.-enso pud iera pertenecer o uno dependencia d e lo ci ta do .1110, y, odemós, su tipo es mOs semejante o
los romanos ut ilizados poro lo eloborocion det aceite. Cfr. S. LLOPIS y LLOP IS:
"Pie de pren$O de aceite, romano. de Son Ia Cruz. de Moyo (Cuencol", Archivo Espeñol de Arqueología, XXI, Modrid, 1948, pirg. 298; asimismo debierOn utilizor$e como pren$OS de aceite 105 curi 050S ejemplares to ll odO$ en lo raco, de El Tolmo
de M inOledo (Albocctl!l, publicados por 8rl!uil y Lon t;er y por $ónchl!z J I~nl!l.
Cfr. R. LANTIER el H. BREUIL: "Villages préromalns dI! lo Pé ninsule Ibérique ,
11, LI! Tolmo, 6 Minateda (Albocete J", Archivo de Prehistoria Levantino. 11 . Valencia, 19-'16, pag. 213 y ss., y J. SANCHEZ J IMENEZ: Oh. ci t. en lo noto 1. Lo
producci6n vinÍtolo hispani'a debió sufrir consi derablemente can lo invosion de
10$ francos, en I!I s,glo lit . pues Probo cui dó de su p.-Olección. Ello nos plan teo el
problema de si el hecho dI! que los vinos españoles no $I! c it en en el Edicto de
Diodl!tiono se del>e
un cese de I!xporloción por producción deficitario o 01 simple he-cho dI! que no SI! exportobon
Orien te .
Cfr. también O. FLETCHER VALLS: "El v;O'lO como faclor e-conómico '1 cultural
I!n lo Europa antiguo", Lo Sl!maO'lO Vjtivinícalo, IV, num o 1-'19, Valencia, 1949,
p6g. 27, y del mi5MO, "Lo mÓ$ onliguo marco dI! viO'lO valenciano" , Lo Semana
V, livinicol0, nUm. 335/ 336, póg. 43, Valencia. 29 nov,embre 1952.
(9) PUNIO, Not. Hist. XIV , 71; MARCIAL, 1, 26 y X III , 118; SILlO ITALICO, 111, 369; y C.I.l., XIV, nUms. 4.577 y 4.578.
°
,e-
°
°
-
25'1-
[page-n-323]
ECONOMIA y HABITANTES NO HiSPANICOS
5
del cultivo de lo vid fu e rápido, hablando Plinio incluso de vinos
ba leáricos, siendo osi que lo falto de producción vinícola en estos
islas con an terioridad o lo conquisto romano, es bien conocido {lO!.
l o exportación di? cereales seró bi en conocido cuando se estu dien los morcas de ónforo y su d ispersión; se tienen referencias de
lo producción levantino, especialmen t e en Sagun ta y Cartagena,
en és to con grandes cosechas de cebado, según Plinio ( 11 ).
Numerosos son los noticias que se poseen respec to al esparto
levantino, en esp~cial 01 del ogro cartagenero, que se utilizaba, no
sólo en la fabricación de cordaj e:; paro los naves, si no también
poro capachos e incl uso sandalias, como af irmo Plinio y ha podido
comprobarse orqueológi comen le, llegando o expor ta rse o Romo,
según Vitrubio y Estrobón. Tambié n en el Edi cto de Diocleciano se
ci to el e.;parto español (12) .
l os h igos del l evan t 2 también se exportarían, como sin duda
lo fueron por los púnicos ( 13 ).
E igualment e se sobe que Cartagena exportaba, en tre ot ros productos, a lcachofas, qu e le producían un gran rendim ien to económico (14).
Ganadería . l o ganadería tuvo durante el Imperio muy poco
importancia en el l evan t e, como igua lmente ocurre en lo actuali dad . los referencias o ello son escasos y afectan exclusivamente o
los Boleares, que exportaban a Romo oves de tipo exótico, como el
flamenco y el cormorón, y un género de caracoles cavernícolas, los
can.t ici, muy apreciados poro el t ro tam iento de lo tuberculosis.
los ja mones ceretanos, alobadas por Est rabón, eran ob jeto de gran
consumo en Ori en t e, citándose en el Edicto de Diocl eciana, que,
(10 1 PUNIO, loe. ci l. l os text os indicondo lo ofición 01 vino de los mercenorias bole6r1cos (D IODORO, V, 171 y q ue gostaban sus pogos, 01 licenclorse, odqu lriéndolo poro lIevorselo O sus tierras, ind ican suficientemente Que no se eloOOrollo
en 10$ Boleares, donde yo se produce en epoca romano, ni en el Levan te, yo Que,
en tol coso, y dado lo foci! Que es su comunicoci6n morit imo, se hubiera expor todo. Ind iquemos asim ismo, con respecto al vino, Que lo ci ta de POUBIO, XXXIV,
9, sobre su bara tura e n Lusi tan ia, puede referirse concretamente o esto comarco,
en lo Que dicho au tor no est uvo nunca, o o un es tado de cosos anterior o lo conquis to romana.
(11) PUN IO, XVIII, 68 y 75; TITO UVIO, His t . XX I, 7, : y XXV I, 47 , 8.
!12} ESTRABON , 111 , 4,9; PUNIO, No t. H is t. , XIX, 27 y 30; MELA, 11, 86;
y VITRUBIO, VII , 3, 2 .
!l3} ESTRA8ON, 111 ,4, 16.
(141 PLIN IO, Not. H¡st ., XIX, 152,
-
255
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6
A. BALlL ILLANA
como se sobe, en los vers iones que se conservon, estabo des t inado
o regir sólo en los territorios orien toles del Imperio ( 15),
Pesca, Lo riqueza pisdcolo del Mediterróneo Occidenta l, y en
especial 10 de los costos levant inos de España, no sólo era objeto
de explotación sino que también estabo reglamen tada . En t re los
centros produc tores o exportadores figuraban Barcino, con os tros y
muria que se enviaban o Burdeos, y Torrogono Que exportaba ostros ( 16), Pero sin dudo, ere el garum e l principal producto deri
vodo da lo industria piscícola; el famoso gorum saciorum es ci todo
por varios au tores (17), exportóndose a 10 Golio; morcos de ánforas de garum han aparecido, en tre otros lugares, en Pompeyo y en
el Testoccio (18). Cartagenc era uno de los pr incipales cen tras de
expor tación de garum y salazones (19). Posiblemen te! lo salpa ebu sitana, ton apreciado y de ton dificil condim~ntoción, debía t rata rse d~ pulpos, m uy abundan tes en aquellos aguas.
Minería , Como es de suponer, los me tales preciosos, princi pal producto de come rcio de lo Espoñc- prerromana, también tenían
gran importancia en los exportaciones levantinos, aunque seguidos
muy de cerco por ot ros metales menos va liosos . Aporte del oro de
lo Boste tonia citado por Estrabón, la mayor fuent e de metales preciosos fueron los minos de p lo ta de Cartageno (20), donde se sacaba también plomo. El hierro se obtenía en Dianium y de los Bo leores se exportaba bermellón, cuyo comercio con Roma, Cortago y
Egipto es bien conocido (21).
PS I PlINIO, No!. Hist., X, 133 y 135, y XXX, 45; ESTRABON, 111, 4,11.
(161 AUSONIO, Ep¡st. 25 y 27.
(171 AElIANUS, De No!. Anim., XIII , 6; SENECA, Epist. 95, 25 ; PlINIO,
No!. Hlst., XXX I, 94; MARCIAL, XI II , 102; GALENO, XII, 637; y AUSONtO,
Epis t.2 1.
(181 C. I.L., IV , n',ms. 2.648 y 5.659.
P9) ESTRABON , 111, 1,8.
(201 ESTRABON, 111,4,2 y 111, 2,10 y 11; PLINtO, NoT. H ,~t. XXX II I, 97.
EK)lotodo$ estos minos de piolo b::J,o lo domi nación corTSt9ineso, conT inuaron opravechóndose duronle el Imperio; erun propiedad del Estado, pero se urrendobon o
POrlicu!ures. Sobre lo eXllloloción ",ineru en CarlogenCl, veose A. BELTRAN MAR TlNEZ : "Museo Arqueológico Municipal de CarTogeno (Murcio), 11 , Los minos
romanos de lo r~ ión de Corlogeno, segun los dol os de lo colección de su Museo",
Memorias de los Museos Ar~ueológicos Provincioles, 1914, vol. V, Madr id, 194 '),
pógs. 201 o 209.
121) ESTRABON, 111,4,6; PfTRONIO, 68; SUETONIO, Vil. Colig. 18; SAN
AGUSTlN, Epist. SO; y Papiro Ho!m.
256 -
[page-n-325]
ECONOMIA y HABITANTES NO HISPAN ICOS
7
La sol ta mbién fue ob jeto de intenso come rcio : los salinas de
Egelas te, junto a Cartagena (22), permitian el flore cimi ento de lo
indus trio salazonero, y ésto, o su vez, e ro motivo de que se establecieron nuevos salinos. Se ci tan también salinas en la Bastetania
(23) . Los exportaciones de sol de Tarragona (24) no te ndrian probablemente gran importancia. Lo sol de España se empleaba, no
sólo como condimento, sino también en aplicaciones medicinal es
(25) .
Añada mos un producto de lu jo, los cerauni e del .pirineo, que,
consideradas como piedras preciosos, no eran un ob jeto común e n
las transacciones comerciales, pero t ienen poro nosotros el interés
científico paro conocer el saqueo de yacimientos arqueológicos.
La industria textil. T enía en Levan le uno importante base
prerramana . Industria casero prim ero, con la coloni zación posó o
s!! r una de las mós importan tes actividades industriales, junto con
los sa lazones y lo mineria . Ta rragona fue uno de los princi pa l!!s
centros, como lo a testiguan los hallazgos epigráficos en los que se
me nciona un collegium cen tonariorum (26); producia lonas para
velamen y velas finas, que se exportaban o Romo y o las Galias
(27), in t ervi nie ndo en su confección, de manera destocada, los mu jeres (2B), exporta ndo ademós sus t ejidos de lino, aunque no tenion la calidad de los de Soetobis, cuyas finos telas eran sumamente apreciados en Romo (29) . También Ampurias exportó tejidos de
lino (30) .
Relacionada con lo industria t ex til es tá lo 'Producción bal eóri ·
ca de ra íces tintóreas (3 1J.
Como con trapartida de todos estos exportaciones es taban los
importaciones de vinos itálicos, mosaicos, estatuoria en bronce V
piedra, vidri os, cerómica, elc.
(22) GELlO, An . Nocl. 11 , 22, 29; PLlNIO, Not. Hist . XXX, 80 ; y C. I.L., 11 .
numo 5.091 .
(23) ESTRABON, 111 , 2, 7 .
(24) SIDQN IO APOLLINAR, Epis l. IX, 12, 1.
(2 51 PLlNIO, Not . Hin . XXXI , 100.
(26 1 C. I.L., 11, num o 4 .3 1B
(271 PUNIO, No!. His l. XIX, 20; y CI.L., XIII, :-um. 3. 16B.
(2BI C.J.L. , 11, nUm o 4.3 18 O.
(29 1 CAT ULO, XII , 14 y XXV, 7; PUNIO, No!. H.s l. XIX, 9; Silla IT AU CO
111,373; y GRACI a. Cyncegel icon, 4 1.
130 1 E5TRA BON, 111 , 4,9.
(3 1) " Notitio Dignitol um" . X, 50, '1 ESTRABON, 111, 4, 16.
-
257 -
[page-n-326]
8
A. BALlL ILlANA
Consecuencia del comercio fu e ron los despla zamientos de h is ~
panos, proceden tes de l interior, que se estableci eron en los centros
comerci ales del Levan te, ya paro atender sus negocios, ya po ro actuor como obreros (32) . Aná logamen te comerciantes extran je ros y
repres<=ntantes de grandes empresas im por tadoras se establecerían
en el Levan te, igua l que hicieron en la Bético (33) . O tros veces 1
05
extranjeros son obreros especializados o in telectuales y artis tos.
Es to a fl uencia de ext ranjeros, y si ngul a rmente lo de los nau tos qu e
tocaban en los puertos levant inos (34). osí como los esclavos que
cn éstos se vendían, fue u no de los vehícu los de in troducción de los
cu ltos orien.ta les, y el frecuente con toc io con c om ~rc¡o nt es itólicos,
e l a h o grado de romanización de las cos tos larraconenses y la fl orecien le economía de sus ciudodes, explicon la difusión de a lgunas
(32) Po ro los desplo~omientos de los hi$pOnicos en el in terior de lo Península,
véose el trobojo de IRENE A. ARIAS: "MoteriolP.i epigroficos poro el estudio de
los desplazom ien tos y viajes de los espOñoles en lo España romono", Cuadernos
de Historio de Españo, XII , 1949, pOgs. 5 o SO. Es un estudio d igno d e todo elogio, aunque lo au tora, llevado de sU propósi to de demostrar lo mu tuo reloclón
entre los habi tantes de Hisponio, ha de'>Cuidodo lo posibilidad de los relaciones
económicos, es mOs, lo ha recha~odo. Cierlomente, no deb~ verse en codo flomen,
honrado en uno Ciudad Que no seo lo suyo, un comercianTe. pero tampoco d ebe
rechazarse, como hoce lo au tora, lo pos ibilidad de Que fueron hombres de negocio; recordemos que en l.U mayoria procedio" de lo burguesio municipal, y T
e"OQSe
en cuento, tombien, que lo a ris tocraCIa local es tobo compuesto por ricos negocion11'$. Uno pruebo de todo es to es lo inesTabilidad y lo modernidad de d icho aristocracia. Lo inscripción de Torrogono (CI.L., 11 , numo 6.1101 no debe inTerpre tarse,
como hoce lo senorilo Arios, como un un;c um; o nuestro entender, CO" ml1.condi
causa se intenTa explicar su desplo~omien ' o evenTual o Torrogono IAuso 1"1() erJ
1..1." 0 d udad comercial, seguramen te!. y su sepelio en aque llo dudad , donde le sorprendiÓ lo muerle. Del es tud io de lo señoriTO Arios se destoco lo Impor loncio comercial de Torrogono; sus 13 inscripciones ind icando ciudodo"os nativos de a Iro.
ciudades españolas (prescindimos de los cosos dudososl fren le o los 23 de Mér id o.
los 8 de Córdoba y los S de Sevilla, no pueden explicarse por uno simple invocod6n
o lo capitalidad, o los e~I
el caudal ~pigr6fico f'meritense con tc.,ido M J. R. ME Ll DA; "C1:1610no Monumen_
101 de Españ a. Provincia d ~ B'ldojoz" ti 901 - 191 01. Mad rid, 1925-26, de~conocc
asimismo los hallazgos tarraconenses Que permi ten outnenlor eSlos ci fras si n que
dismin uyo lo di ferencio indicado.
(33 1 E. THEVENOT : "Uno foma,o d e negocionles en aceite esloblecido e n !a
Boe tlco en el siglo 11 : los Aelii OpTol,", Arc hivo Español de ArQueologio, XXV,
Mad rid , 1952, pag. 225-23 1.
(34) Debemos inc luir en ellos, no sólo o los e~tronjeros (A. BELTRAN MARTI_
NEZ : "Obietos rornonos de plomo en el Museo de Cortogeno V sus inscripciones",
Memorios de los Museos Arqueológicos Prov incia les, 1941, vol. V III , Madrid, 1948,
pOg. 202; lo exportación d~e el puerto d e Cor logel"'o de lo producción de los minos de lo Boe tico V I:Js ondos ca.. inscripciones griegO$ hollados en Cor togeno),
sino tombien los españoles ¡CLL., 11 . numo 5.929 de Cortogeno y C. LL., 11 , n';' _
'1"lera -1.055 de Tortoso) .
-
258-
[page-n-327]
ECONOMIA y HABITANTES NO HISPANICOS
9
modalidades funer a rios, como lo de los sepulcros de torre (35). Luego, los con tactos comerciales con el Norte de Af rico jus t if ican los
relaciones en tre el Crist ianismo h ispánico y el africano (36); en
epocas mós avanzadas los paralelismos se presentan con el Oriente
bizantino (37) .
Reseñados suma riamen te estas bases económicos, posemos o lo
enumeración de los extran jeros residentes en el Levan te español y
o las consecuencias económ ico-socialt:s qu e pueden deduci rse.
II I
EXTRAN JEROS RES IDENTES EN EL LEVANTE ESPAI\IOL
DURANT E EL IMPERIO
Galos,
Marsella: Inscripción griega hollada en Ampurios, dedicada o Tespis, hija de Aris toleo, natural de Marsella (Hübner : "6phemeriG Epigrophica", VI II, p6gino 160, núm. 291; Almagro : " Inscripciones
Ampuritonos", inscripción g riego núm . 3) .
6E:1: 1I1
A I' I !TOAEOr
MAY:AA I Ul'A
X A 1r E
1351 J. J. HATT : " l o lombe gollo-romCllne", Poris, 1951, estud,ondo lo onomósli,o tl!Óforo en lo epigrolio fu:-eroroo, ha demos trodo que lo eK
ponsi6n en lo
Golio, desde las puer tos de lo Narbonense has ta el inlefior del poi" coincide ,on
lo difusi6n del sepulcro de torre. lo difusion del mausoleo monumen T esto ~e
oI
glado pot moT ivos econémicos. Creemos que en España podrá IIcgo,se o oOOlogos
co nclu siones; Cid Pri~o señoló su coincidencia cen lo dis tribución de los hallo;r;gos
de A"il luneroriO$. Cfr. C. CID PRIEGO: "El sepulcro de tOlre med iterr6 neo v
sus relociones con lo lipologio ornamen tal", Ampurios, XI, Borcelona, 1949, pó_
$lino 91.
1361 P. PALOL SALELLAS: "Romonocristi onos y Visio¡odos (Ensoyo de , intesis
hisTol icoorqueol6gicol", Ampuri05, X II , S",rcelono. 1950. pÓ 239.
o.
p . PALOL SALEl LAS: "Uno provincio occidentol de arte poleocristiona. Nolas para un eSludio", Zephyrvs. 111 , 1, Salamanca, 1952, pag. 41.
P. PALOL SALElLAS: "Torroco hispano-visigoda", Tol rogono, 1952 .
(37) P. PAlOL SAlELlAS: "Bronces hisponovis;godos de origen medilerróneo,
" Jorritas y PQleno! li l':'rgicos", Institulo dt: Prehis torio Med iT
elróneo, Barcelona,
1950.
P. PALOl SALElLA5: " Ponderales y exogio roma nobhonlinos en Espoiio",
Ampurios, XI, Barcelona, 1949, póg. 127.
p. PALOL SALElLAS: "los incensorios de Aubenyo (Mollorco) y lIadó ¡Geronol", Am;>urios, XI I, Borcel000, 1950, pag. l.
P. PALOL SALElLAS: "Fibulas y broches de cinturÓn de época visigodo e n
Co toluño", Archivo Español de ArqueolOgio, XX III, Madrid, 1950, pag. 13.
-
25 9 -
[page-n-328]
l O A. BAlIL ILLANA
Narbo : Inscripción de L. Valerio Montano. Lo dedicación
estó en nomina tivo, por lo Qu e debe ser del siglo
I a . J . e. Hollado en Sagunto (e. 1. L., 11, núme ro 3 .876).
L. VALERIVS MVNTANVS
TARBELLVS 1111 Sl gNANVS
DDMV.NARB .
(Noto: Las minúscu las indican le tras su pli das).
Norbo: Insc ripción de Q. Moneyo Verecundo, veterano
de lo Leg ión VI I G. F. Hollado en Tarragono (e.
1. L., 11, núm . 4 . 16 1) .
D.M.
Q.MONEIO
VERECVNDO
NA RBONENS I.V
ET.LEG.VII .GEM.
FEL.AELlA VALE
NTl NA.MARITO
BENEMERENT I
Nemauso : Inscripción de e. Valerio Avilio, veterano de lo
Legión VII Gémina . Dedicado en nomina tivo, a sociado o lo fórmula H,S.E. Hollado en Ta rragona
(C I.L., 11 , núm . 4 . 173).
C.VALER IVS
AV[LLlVS VOLT.
NEMAVSO.YET
ERANVS.LEG.VII
G. F. DEFVCTVS
ANN .XL . H.S.E.
Toloso : Inscripción dedicado por un grupo de li bertos o Ju lio Rufo, natural de Toloso y, seguramen te, comerciante . Hübner ll ego incluso o a firmarlo. Ha llada en Barcelona el año 1768 con oca sión de
realizarse obras en [o Iglesia de Son Felipe Neri,
const ruida sobre lo 'mu ralla romano (C.1.L., 11,
numo 4557) ,
iul i. f RVFO IVLlA.C L. IVLlAC F.e. IVLlO.e. F.
negot lARIO FAVSTA PRIMVIA RVFINO
domo TOLOSA
-
260 -
[page-n-329]
ECONOM IA y HABITANT ES NO HISPAN ICOS
'1
Vienne : Inscripción de Agathocul es (sic), esclavo nacido en
Vienne, de profesión dorador. Por el tipo de las
letras, lo dedicación en nominativo, lo ausencia
de lo fórmula D. M.S. o simplemente O.M ., puede fechorse hacia lo primero mitad del siglo I d.
J . C Hollada en Torrogono (C I.L. , 11 , número
6. 1071 .
AGA THOCVLES.VEr
NAV IENENSIS. ANNo
RVM.XV II II INAVRA,
OR.CORNEL.CRVSEIOis ,
SER.H.S. E.
Itálicos.
Albinti milium : Inscripción dedicado o Lucio Volerio Secundo, soldado de lo Legión VII Gémino . Estó en
nominativo. Hallado en Tarragona (C I.L. , 1" número 4 . 171) .
I.VALERIVS.L.F SE
cvNOVS.DOMO
olbeNTl BI Lr .M IL.LEG
VII G. F. PAMPHILlVS VARus
ET VALIVS.vELOX
milites.leg. eiiVSDEM
HEREDES POSVERVNT
(Noto: Lo restitución en lo línea segundo cv, cuar to ,.ii g, Y sexta mili tes.leg.eii, se baso en uno ca·
pia a ntiguo) .
Córcego : Inscri pción dedicada a L. Numi si us Uberali s, de
lo dotación de la tri era Morte, de lo escuadro de
Róvena . Esto es lo úni co inscripción hi spónico,
que conocemos, en lo que se menciono el nombre
de un navio. Hübn er cree, basóndose en los caracteres, que es de lo primero m itad del siglo 11 , en
apoyo de lo cual señalemos lo dedica torio en nominativo con Jo invocación o los Dioses Manes
Hallado en Tortosa. (CIL, 11 , núm . 4 .063) .
-
261 -
[page-n-330]
12
A. BAUL ILLANA
D.
M.
L.NVMISIV5. L1
BERALl5 M IL
Cl PR RAVENN
[11 MART STlP X II I
NAT CVRSICAN
M DIDIVS POL
10 HERES ET CQM
MANVP ET GELL I A
EXCI TATA
Pisoura: Inscripción dedicada a C. Tedio lanuario, liber to
de Cayo . Hallado en Torrogono (C. I.L. , 11, núm ,
4 . 165 ).
D.M.
CTADIO.C L.IANVAR IO
PISAVREN SI
VIXIT.ANN .XXX III I
C T ADIVS.l VCANVS
D. lEG.VI I.G.F.
Ll BOPTIME DE SE
MERITO
Roma : Inscripción dedicada o Q. Licinio Silvano Graniono,
fl e men de la Citerior, Prefec to de los cos tos lay Phileto. Segura mente ambos e ra n naturales de
Roma, pero explícitamente sólo oSe indico 10 pa tria
del dedican te. Hall ado en Torragona (C. I.L. , 11 ,
núm. 4 .226 ).
Q.LlCIN IO.Sll
VANO .GRANIA
NO FlAM AVG
PROV.H I$P.
ClTER
PRAEFECTO ORAE
MARITlMAE LAtE
T ANAE. PROCVRA
TORI AVGVSTI
CTERENTI VS.PH Il E
TVS. DOMO.ROMA
_
262 -
[page-n-331]
ECONOMIA y HAB ITANTES NO HI$PANICOS
13
Romo: Inscripción dedicado o Bebia Gallo, esposo de Licinio
Silvano Graniana, fl a minica de la España Citerior,
por C. Terencio Phileta. Holl ada en Tarragona
(Batlle : " Les inscripcions poganes de lo necrbpopolis romano-cri stiano de Tarragono", en Anuari
de l'lnsti t ut d'E s tu d i s Catalans, MCMXXV I IMCMXXXI, vol. VIII, póg . 342, inscripción número 19 ).
BAEB IAE .T.F.
GALLAE
SILVANI GRA
NIANI
FLAMI NI CAE
P.H.C.
C.TERENTIVS
PHILETVS
DDMD.ROMA
Roma: Inscripción sepu lcra l de T iberio Ju lio Materno. Lo
dedicación estó en nominalivo, faltando los fórmula:; O.M .S ., H.S.E. o S.T.T.L. Hallado en Ta rragona (C.I.L., 11 , núm. 4.322) .
Tl B. IVLl VS. T IB. F.
FAb;A MATERNVS
DOMO. ROM . ANN
XXVI II OlEr XII
Romo : Inscripción de Morco Lucrecio, peregrino de la tribu
Qu irina, cen turión . Hallada en la necrópolis de
Ta rragona (Serra Vilaró : "Excavaciones en 1 ne0
crópol is romano-cristiano de Ta rragana" . Memo_
ria de lo Ju nta Superior de Excovaciones y Anti güedades, núm. 133, póg. 66, Madrid, 1934) .
D M
M .LVCRETIO
QV IR .PEREGR INO
C. LEG.I.M INER.P .F.
IT,EM.L,EG. III CYRENA ICAE
PRAEF.COHORT. III LlNG
DEC.T AR RAC ADLECTO
LUCRET.EVCARPI A
PATRONO.lNOVL
GENTl SS IMO
-
263-
[page-n-332]
A. BALlL ILLANA
14
Romo: Dos inscripciones con textos muy parecidos, ded ic0
das o Lucio Emilio Recto. Hall ados en Cortogena
(C.I.L, 11, núms. 3 .423 y 3 .424). Hübner, basóndose en los caracteres, supone que son de época
de Trajano.
4
C.I.L. " 3.423
L AEM ILl YS. M.F.M. NEP. QYIR . "ECTYS. DO·
MO ROMA / QVI.ET. CARTHAG INÓ
NSIS ET SI ·
CELLlTAN. ET. ASOTAN ET LACEDAEMON/ET
ARCIYYS ET BASTETANYS SCR IB. QYAESTO·
RIYS SCRIB AED ILlCIYS CIY IS / ADLECTVS OB
HONOREM AEDILl TATI S HOC OPYS TEST
AMENTO SYO FIERI IYSSI T
C I.L. 11 .424
,3
Lineas 1, 2 y 3 como e'l lo inscripción anterior.
4 ADLECTVS OB HONOREM AEDILlTATIS CON ·
CORDIAE
DECYR IONYM TESTAMENTO SYO FIER I IYSSIT
• • •
L. AEMILlYS SENEX HERES SINE DWYCTIONE
XX ya TRIBVTORYM EX CCL L1 BRIS ARGEN ·
T I FECI T
Panonios y Germa nos.
A cuntium : Inscripción de C. Dom itio Ma terno, decurión de
Barcelona. Hallado en esto ciudad, en la calle de
Son Fernando, número 34, 01 derdbarse un li enzo
de muralla (e l. l ., 11, núm . 6 . 153) .
C.DOM ITJ O.L F.MATERNO ACYCENSI
HYIC ORDO BARCINONENSIYM
HONOREM DECYR IONATVS DEDI T
.U ... TI ... FAVO .. . N IA. .. AV ...
_
264 -
[page-n-333]
ECONOMIA y HABI TANTES NO HISPANICOS
15
lulia Emona : Inscripción de Marca Aurelia Vi ctorino, militar, dedicada por su hermana Aur elio Morcelino.
Es de fin es de l sig lo 1I .. Hollada en Tarragona (e.
I.L., 11, núm . 6 .087) .
D.M.
M.AVRELlO VICTO
RINO.M.F.IVLlA E
MONA. PATRIA EVO
Q.VIX IT.ANN .XXX IIII
MV I. D XVII I.STIP XV
AVREL.MARCELLINVS
FRATER .ET.AVRELlA
SABINA.HERD. FE
CERVNT H.S.E.
SIT T IB I TERRA
LEVI S
Poelovium : Inscripción de Marco Aurelia Lucilo, militar.
Hallada en Tarragona (C l. l ., 11, núm . 4 . 147) .
M.AVR .M .F.PAP.LVC ILiO.POETOVION
EK SINGVLARIB . IMP.LEGI
ADIVT.LEGII .TR.LEG. VI1 1.AVG
LEGXI III GEM ln .LEG VII CL.
LEGV II GEM ln HAST.PR
ANNOR .LKSTI
PENDIORVM XXXX
VLP IA IVVENT INA
VXOR ET HERES MARI
TO PIENTISSIMO
ET INDVLGENT ISS I
MO FAC IEND.CVRAVIT
asc ia
Orientales.
Atella : Inscripci6n de M. Emilio Zenón, libe rto de Marco.
Es de señalar el arcaísmo de la dedicación en nominativo y la ausencia de todo fórmula . La in t er-
265 -
[page-n-334]
16
A . BALlL ILLANA
pretación de la pot rio s~gún el profesor A. Belt rón Ma rt ínez. Hollado en Cartogeno (C.I .L. , 11,
núm. 3.445) .
M .AEM ILI .M .L.
ZENON IS
ATELLlANt
Grecio: Inscr ipción ded icado por su coliberto L. Em ilio Euhado (sic) o su educador L. Emil io Hipolito. Aunqu e sólo se ind ico la pa tria de ést e, es de suponer qu e el dedican te ta mbi én serío gr iego. Tanto
en Cortog eno como en Torragona, donde se ho lló
esta inscripción (C Ll., 11, núm . 4 .3 19), abundan
los libertos y escl a vos con nombres griegos, no
incluyéndolos aqu í por no expresarse sus naciona lidades.
o
M F
L.AEM Il,H tPPOLYT
L.AEM IL. EV HODV$
COLL IB.ET EDVC
B.M.P.Q.Y.ANNXCVII
SINE DOLOR E
Q. FVIT.NAT ION E
GRAECVS
Judíos: Inscripción dedicado a Isidoro, hija de Juan Toxiotes Tassi lius. Es muy posible que es to inscripción,
como la siguien te, no pertenezca a la época im +
ria l. Hallado en Mas deis Pa llaresos, provinc ia de
Tarrogona (Vives : " Inscr ipciones c ris t ia nos de la
Espa ña romana y visigodo", Barce lona, 1942, nú mero 430).
Judíos: Inscr ipción hallada en Tor tosa (Vives : Ob. cit., nú mero 428) .
Torso de Cilicio: Inscripción sepulcra l cristiano de Marco
Au relia Heliodoro, natu ra l de Tarso y habi tante
de Hispa lis, que falleció en Tarragona, en cuyo
necrópolis hallóse la inscr ipción (Sepu lcro número
-
266 -
[page-n-335]
ECONOMIA V HAB ITANTES NO HISPAN ICOS
17
1. 803) (Vives : Ob. ci t., núm . 339; Serra Vilaró :
cit . pág . 71). Por la coexistencia de lo fórmu la D.M. con los cristianos debe fecharse en el
siglo IV.
Ob.
D M AVR. AELlODORVS NATIONE
GRECA.C IVISTARSVS CILlCIA
COMMORANS .ISPALI QVI VI
XIT ANNOS LXXX PM
REC. FIDELlS . IN . PACE
Africanos :
Africo : Inscripción honorí fi ca de L. Ceci lio Porciono, natu ra l de lo provincia de Afr ica, decurión de Torra gona, donde habitaba y se ha hallado la inscripción (C.L L., 11, núm. 4 .263) .
L.CAEC.PORCia
NVS.EX.PROVinc
AFRICA. DECVR lo ad
LEct.IN .COL. TArrac
ITEMQ.AED ..... .
LOC. D.EX.d.d
Afr ica : Inscripción de Claudia Saturnino. Letras del sigl o
11. Hollado en Torrogono (C. l.l., 11. 6.075, ont.
4.5181 .
CL.SATVRN I
NO.CL.FELI
CISS IMVS AFER
SAXO FAB
M.S. M.F.
Cesáreo 1 Inscripción de Voleria Melete, dedicado par su
01:
esposo Mumio Sa tu rnino, naturol de CesÓreo . Letras del siglo 11. Hallado en Tarragona (A. del Arco
" Nuevos lápidas romanos de Tarragona " , en Boletín de lo Real Academia de lo Historio, XLIII ,
póg . 453-4551 .
-
267 -
[page-n-336]
18
A. BAUL IL LANA
D.M .
. ValeRIAE MELET
...... MMIVS.SATURNIN . ..
VE . .. CAESARIEN S.vXOR.PIISSIM ...
H.M ,H.N .
Seguramente en la cuerta lineo puede suplirse
VERnae y en lo último H .M .H.N.s.
Ci rto: Inscripción de Aufidio Prima. Los coract eres son del
siglo 1, lo que corrobora lo dedicación en nomi ·
nativo, la au sencia de 10 invocación a los Dioses
Mones y lo fórmula hic sita s um o Ha ll ada en Torragona (C.I .L. , 11 , núm . 4.320) .
AVF IDIA PRIMA
DOMO CIRTA.HI C
SI TA SVM.ANN XXXIV
POSVIT.FLORENTlN
VS. EIVS
Leptis : Inscripción dedicado o Pulicio Ziocos. Por el tipo de
los caracteres puede fechorse en el siglo 11 . Ho-
llado en Torragono (CI.L., 11 , núm , 6. 116).
D.M.5
PVLlCIO ZIO
CAS.Y.LEPTI
TAN .V.A.XCI I
P.FILlA.PVLlCI
A FLOR INA PATRI PIENTlSSIMO
Lixus: Inscripción funerario de P. An tonio Pudens. Por el ti ·
po de los letras corresponde 01 s iglo 11. Hollado en
Barcelona (C. I. L., 11, núm . 6 . 151) .
P.ANTON Ivs.r .F. PUDENS.LI X ITA
NVS SIBI ET
BAEB IAET.L.NOVELLAE VXORI
BAEBIAE PLACIDAE
ET CORNELlAE.PHAENVSAE. VXOR I
H .M. H.N .S.N .L.5.
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268 -
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ECONOMIA y HABITANTES NO H ISPANICes
19
Siccoe Venerio: Inscripció:1 dedicada a C. Cecilia Quar to,
veterano de 10 Legión VI I Gémina, por su esposo.
Hollado en los E:xcovociones de 10 necrópolis di!'
Torrogona (Bctlle : Ob. cit., inscripción núm. 25)
L. CAEC IL.QVARTO
VET .LEG V II GEM. F
BF.COS.ORIVNDO
SICCAE VENERIAE
SEMPR.FABIANA
VXOR MAR ITO
1NDVLGENTl SS IM
ET PRAESTANT ISS IM
B.D.5.M.
Aún podríamos añadi r uno inscripción dudoso, la número 123
del Museo Poleocristiono de Torrogona, que según la reciente lectura de S. Olivas Cana ls (38) puede interpretarse como la inscripción sepulcral de Nec taris, natural de Pit ermon, cerco de Tales
(Fayum). Téngase en cuenta, sin embargo, que par los lecturas de
Beltrón y Botll e (39), se trotaría da un sacerdote del templo de Am mon en T arrogono :
Lectura de Bel t rón y Bo t lle
~;Ne ,\ .l~
1\ ,\'1'
I'; I TAI K ~~K TA
PltTA AIITII:
XQI' n~ lI l 'J'E I '
2~Hl
N
Lectura de S. Olives Canals
~;:-;aA:lE
I\ A 'J'1t
I\[TA [ NE I\TA[' I:!: 'I'A ,\ U T E:
XQ I'IQ 11 1'1" 1
';1'
)[ Q N
(38) S. OLIVES CANALS: "'La Inscripción griego numo 103 del Museo PaleocriSliano de Torrogono", Balet;n ArqueolOgico, oño XLVI, epoco IV, fosco 3 _4 ,
Torrogono, 1946, póg. 41 .
(391 J. TUL LA, P. BELTRAN '1 C. OliVA; " Excovociones en lo necrópolis ro_
mano-cris tiano de Torrogono", Memodo numero 88 de lo JUnIO Superior de Ex _
covoclones '1 Ant igüedades, Madrid, 1921.
p. BATLLE HUGUET: "Les incripdons pogonc-s de lo necrópolis roma"o-crisllano de TQrra,)OnO" , Anuo '; de l' lm lilul d'Eslud,s COllllons. MCMXXVII MCMXXXI , vol. VIII, 8orcelcno, 1936, póg. 3<12, inscripción numerQ 123.
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269 -
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20
A. BAUL lLLANA
Incluimos también lo siguien te inscripción .hollado en Torragano, publicado por Mortorell ("lO), que leyó, COn algunos dudas,
en la tercero Iheo PROVINC(iae) LlB(yae), pero es de observar, coso que no tuvo en cuenta, Que no existe uno provincia Libya, y el
uso de Libyo por Africa aparece sólo en inscripciones métri cas (cfr.
C. I.L, VI II , nÚm s. 212 y 9 .018). Serio forzoso suponer qu e el lepicido hubiere errado en este sentido, o bien, que hubiese confundido reg i'o por provincio. coso muy improbable. Personalmen te, preferimos leer provincioe liberto; señelemas o este propósito que fal to lo indicación de lo tribu, lo que se relacionaría con la mención
del eontubernium.
D ,M.
GAVIAE ATHENAID
L. FAB1VS PROVINC.LIB
VICTOR CONTVBERN
CAR ISS IMAE ET
AMANTI SS IMAE
S.T .T.L.
Anólogamente, comerciantes levantinos se establecieron en el
extran jero, y así, tenemos noticias de un habitante de Oslio na tu ral de Torroea, y ot ro de Carlogo Novo que murió no lejos de Lug dunum Covenorum, asesinado por unos so lteadores (4 1).
Creemos que, de los datos expuestos sobre los extranjeros en el
Levante español, se pueden deducir algunos consecuencias. El establecimiento de itálicos como colonos es ~!!9uromente , como yo
sospechó Ros tovtz eff, anterior 01 Imperio, y ti ene su maximum du rante las guerras civile':;; el profesor Gordo Bellido ha ten ido el
acier to de destaco r un texto muy concluyen t e de César (42); asimismo creemos que la te mprano concesión de los , itu los municipales o coloniales o las ciudades del Levante confirma este hecho .
Durante el Impe rio, los descendien tes de colonos itálicos e'stán cons iderados como hispánicos.
Lo aportación de itálicos, duran te el Imperio, es en su mayoría
de funcionarios y militares. También la apor tación d~ la Panonia
(40, F. MARTORELL: " Inscripcions sepulcrols de Torrogono", Anuori de 1' 11110IHul d'Eslud.s COlolons, MCMXV_MCMXX, vol. VI, Barcelona, 1923, pag. 718.
(41, C. I.... , X IV, núm. 397 y XII, núm. 259.
(42, A. GA RCIA y BElLIDO: "Algunos problemas rela tivos o los Invosionl!§
indoeuropeos en Espoiio", Archivo E-;poñol de ArQueologio, XX III, nUm o 82, Modrld, 1951, pOg. 487. El ledo es CAESAR: Bell. Civ. 1, 51.
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27 0 -
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ECONOMIA y HABITANTES NO HISPANICOS
21
es, igual mente, de tipo mi lita r. La Galio ti ene numerosas relaciones
comercia les con Hisponio, favorec idas porque la toso del portorium
e ro, poro esto último, de un dos por cie nto (quincuogesima hispa.
niarum ) (43). Este comercio fue muy intenso en el siglo 11 , según
los invest igociones de los au lares francese'.; (44). pero sin duda era
ya f loreciente en el siglo 1, a juzgar por lo gran cantidad de vasos
que exportó La Groufesenque. Durante el siglo 11, los ta lleres de
Lezoux cont inúan estas expor taciones, pero se han de en frentar yo
con lo competencia de lo producción de tall e res hispónicos (45). El
come rcio, que en el 'S iglo 1 se realizaba principalmente con la Nar·
bonense, se efec túo ahora con lo Galio Centra l.
Lo oporta ció., de Orien te no puede ser su fic ien t emen te conocido
por los do tas epigráficos. Los he lenos aparecen como actores o in telec tuales, pero es dificil afirmar su nacionalidad .por el sim ple
nombre helénico, sin indicación olgúno de origen; poro el conocimien to de su actividad, es menester recurrir 01 estudio de lo difu-
(43) R. CAGNAT: "Etude hiSloriQue SUI les impOts indi'e<:ls chez les romoins
¡usqu'oux i¡wosions des barbares", Poris, 1882.
S. J. DE LAET: "Protorium", 8rujos, 1940.
R. ETlENNE: "Quadragesimma ou Qu ifI(Juogesimmo hi,..oniorum?", Revue des
Eludes Anciennes, Ll II, 1951, p6gs. 62-70 (poro el comen tario c;.fr . A. 6ALlL
ILLANA: "Lo loso del por lori um en Hisponio" , Archivo Español de Arqueolog io,
XXVI, nUmo 67, Mad rid, 1953, p6gs. 185_1871.
(44 ) E. THEVENOT: "L'impOltolion de produits espognols chez les Eduens el
les Ungons", ReYUe ArchéclogiQue de l'Esl de lo Fronee, 1950, pOg. 65.
E. THEVENOT: "L'Ofigine du vignoble bourgognan", Annoles de Bourgogne,
XXIII, 1951, pag. 253.
Estado de lo cues tión y critico en A. GARCIA y BELLlOO: "Los expor tociont'$
del oceile andaluz 01 Est e de froncia en el siglo II de lo Ero", Archivo Español
do;! ArQueologio, XXV, 1952, 2." semes tre, núm. 86, Mad rid, 1952, póg. 399.
(45) Frente o lo tesis generalmente aceptad o que otribuío o la lorra I;gi ll (ll (l
hispOn ko u:-o di fusión lim¡tado 01 centro de Espa ña y noroC!S te del volle del Ebro,
los ultimas investigociones efectuados en Ampurias mues tra n ,Ier lo obu ndonc io de
ello en los niveles del siglo 11 ; asim ismo hemos podido comprobar lo oparición de
es to cerómico en 1 pil ae romanos de lo Moresmo (Museo de MotorÓI. excovo0$
cion!!"!; de lo Pla zo del Rey en Barcelona (Museo Municipal d e His torio de lo Ciudad, clasificada como gálico) y en los si los de Rubi (Museo Arqueológico de Bor_
celo..,o). Frecuentemen te hemos podido comprobar lo confusi6n de es tos ctramicos
con los gálicos, publicóndolos como toles. En algunos orcos d e lo necrópolis de
Torrogono fucron muy abundantes los hallazgos de lerro l igillata hispónico, corrC'ipondient es o pequeños ..illae.
Es muy posible que lo exportoci6n de totl er!!"!; como los de Mont ons, Bonnosoc,
Rheinzobern, etc., tuv iera uno impor toncio comparable o los de Lo Groufesenoue
o LezOl.lx, pero pocos vect'$ se d lslinguen en la bibliogrofío los especies fabricados
en eS los tollere5.
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22
A . BAUL ILLANA
si6n de 105 cultos orien tales (46); anotemos sin embargo, que las
anclas cartageneros con la inscripción griego Júpit"r Cauio es el
que salyo y Afrodita es lo que 501,,0, per tenecieron sin dudo a lguno
o naves orien tales: quizá por tratarse de relaciones puramen te de
tránsito maritimo cabe explicarse lo fal to de inscripciones frent e u
lo abundancia de datos da caróc ter religio'SO. Recordemos de poso
que, como ha demostrado Polol, las influencias arqueológ icas orientales durante el Bo jo Imperio y lo época visigodo, actúon o t ravés
del Nor te de Africo, y, anotemos como un dato más, en el dualismo
Bético-Tarraconense, el hacho de la mayor importancio de lo colon ia orientol en lo Bética (47) .
Más importante es lo part ici pación africana. Bien conocida es
la in fl uencia ofri cana en Cortageno, demostroda, en t re o tros cosos,
por lo inscripción del rey Juba . Pese o qu e 'SÓlo conocemos lo existencia de colonio ofri cona en Tarragona y Barcelona, destaquemos
el hecho de que sólo en un caso conozcamos un ofri cono militar,
que, por otra parte, podemos reducir en su mayorío a l Noroeste
(46) Los hallazgos de Attís funerarios en Levante son bastante numerosos:
osi, figuran en lo Torre de los Esdpiones de Torrogono IC. CID PRIEGO: "El monumento conocido por Torre de los Escipiones en los cerco níos de Torrogono",
Ampuríos, IX-X, Borcelona, 1941-48, págs. 131 y 51.) Y otro en lo necrópoliS; en
Mohón noy indicios del culto o Attis y Cibeles IC.I.L., 11 , numo 3.106), uno esto_
tuo de esto .... It'mo hollóse en'Torrogono (HUBNER : "Antlke Bildwerke in Madrid" ,
Berlin, 1886, numo 413), Seropis luvo templ o en Volenc io (C.I.L., 11, numo 3.131)
y Ampurios (C.I.L., 11, núm. 6.IB5). bis fue venerodo en Torrogono (C. I.L., 11, numero 4 .0BO), Aquoe Calidae (C. I.L ., 11 , n.... m. 4.4911 y Volencio (C. I.L., 11, nu_
mero 3.130), etc. Cfr. R. lANTIER: "Les dieux orienloux dons lo Péninsule Iberl_
Que", Homenog~m ) Mortins Sormento, Guim('roes, 1933, p6g. 185. Por lo Que
01 culto de Mithros se refiere, su ext ersi6n y d is tri buci6n geogrOflco en lo Penín_
sula Ibérico, ho sido estvdiodo por el prof. A. GARClA y BELLIDO: "El cullo o
Milh. os en lo Península Ibérico", Boletín de lo Acodemlo de lo HiST
Orio, volumen
CXX II 11948), póg. 283.
(41) F. CUMONT: "Les syri~ns ~n Espogne et les Adon ies o Séville", 5yr;0,
VII I, 1921, póg. 330.
Poro el duolismo Boetico- Torroconense: R. THOUVENOT: " Essa; sur 10 provin_
ce ramoine de BéTique", Po ris, 1940, y el trobajo de P. DE PAlOl SAlELlAS:
"Uno provincia occidentol. . . ", ci lodo en lo flOTa 36.
J . VIVES: "Inscripciones cristionos de lo Espoilo romono y visigodo", Borcelono, 1942, esTudió los d iferencios en el formulorio epig.ófico, y tamblen S. MARI _
NE BIGORRA: " Inscripciones hispanos en verso", Borcelono-MOOrid, 1952, ha se·
ñolado los diferencias en .imo y sintaxis. Sin dudo, un es llldio de lipo económico
y sociol prof undo, permitido precisor es los diferencios.
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ECONOMIA y HA BITAN TES NO HI SPANICOS
23
peninsul ar (4 8) : la apor tación africano es, pu es, en Levan te, emi nentemen le civil, y ella justifico por sí solo lo dependencia del
crist ia nismo levan tino del a fricano (49). El Levant e no a ctuaba con
relaci6n a Afr ica sólo como exportador de sus propios productos;
por sus puer tos, comunicados en bueno porte con el in terior por el
va lle del Ebro, no sólo se exportaban mercancías y productos de la
Ta rraconense, sino que, na pocas veces, ta mbién los produc tos de
las reg iones limítrofes con lo Bético . Anotemos, f ina lmente, qu e la
dis tribución de las vías, uniendo las pri ncipal es ciudades levan tinas
y comun icándolas con el interior, con tribuía a aumenta r las ventojos de las ci udades ma rítimas cama cen t ros exportadores.
14 8 1 Un es tudio preliminar sobre la aportaci':'n de los africa nos en EspoilO fu e
el lema de nu es tra comun icoción 01 Primer Co"greso Arq ueolÓQico d el Ma rru ecos
Espe ñol: " Los a frica nos resid en tes en España d uron te e l Imperio Romano", que
tiene su com) lement o en "Los relaciones ecOnOmicas ent re Espona y Africo duran_
te e l Imperio Romano", pri mer esbo zo de To n omp lio terno, sobre el que perlsamO$
insist ir.
149 ) Esle ospe<: lo ha sido es tud iado por Palol, ton lo en la que se re fiere o lo
d ,ll.t5iOn d el cris tia nismo (aposTa!odo de Son Cucu late, de Son Fe lilt, e lC.) camo (,1
ospec lo a rqueo lógico {Cfr. P . DE PALOL SALElLAS: "Una provirn;io occid enTal .....
ci l. en lo no to 36, y R. LA NTIER : " l es orls chre He ns de lo Peni nsu le lbérlq ue
et d e l' Af riQUe du Nord ", Anuario del Cuerpo Faculta tivo de Archiveros, 8 iblio te carios y Arqueólogos, Homenaje a Metido, vol. 11 1, M odrid , 1935, pbg. 2571. El
o frican,smQ del cnslio nismo hiSpÓn ica fue defendido ya por el por Ivgués Olrveiro
Manins. s¿,olemos que el obis;>o Son Paciono 00 se hubiera preocupado mas d e
lo que $.I! prl!OCupO por lo herejio novodona si es to se hu biera desarrolla do en 5U
d ic.cesl$.
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273_
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PEDRO DE PALOL SAL ELLAS
(Uc rnM )
Una representación del Martyrium
de Jesucristo en el Museo Lapidario
de Narbona
Una de las piezas capi tales del arte poleocristiono del Occidente del Mediterróneo se guarda entre los antiguos fondos del Museo
Lapidario de Narbono . Muy poco difundido, y entre nuestros orqueólogos prócticamente desconocido, Ilomó poderosamente nuestro
otención uno posible lI'eproducción del sepulcro de Jesucristo talla do en un solo bloque! de mórmol de las canteros del Pirineo, ObSl!rvóbomos que lo pieza narbonense no hobía sido estudiado por el
profesor Grabor en su magnífico " Mortyrium" ( 1). 01 describir los
monumentos que se hablon edificado en el cen t ro del Anás tasi s
del sepulcro de Jesús. Tampoco aparecía citado dicho elemento arqueológico en lo descripción, reciente, que del Santo Sepu loro se
publicaba en el "Dictionnaire" de Cabral -Lec1ercq (2), aunque en
este Diccionario se estudiaba el ejemplar de Narbana en el a rt icu lo
"Memoria" (3) ,
Nues tro interés venía acrecen tado por la aparición de un estudio de F. Benoit sobre 105 reliquios de Son Cesóreo de Arlés (4),
( 1) A. GRA BAR: "Morlyrillm. Reche.cnes ~r le clllte des reliques el I'o rl
ch,é tien anl ique", Collége de F.ance, París, 1946. Dos voh::'menes de lexto y ur.o
de IÓmir>as.
(2) H, lEClERCQ: "Soinl-5epulcre", er: Dlctionnaire d'Archéologie Chrelienne el de Liturgie, fose. CLXVI_CLXVII , PGrlS, 1950,
(3) Arlicula "Memorio" e n el Docl ionnai'e d Iodo en no lo an tedat.
14} F, BENOIT: "Lf'$ . ellquf'$ de So¡ol Césoi.e, Archev~lle d'Arles", Cohiers
A.chéolog¡qlles. F,n de l'Anliqui te el Moyeo Age, 1, 1946, ¡,~. 21 y ss ..
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2
P. D1:: PAlOl SALElLAS
donde aparecía una representación plástico de lo que debió ser el
Sonto Sepulcro en los obras de embellecimiento que real izó Constan tino, y que concordaba perfectamente con lo reproducción del
mismo que hollamos en Norbono.
Reun imos todo la bibliog rafía concerniente y preparóbamos ;Jn
pequeño ar tículo de los represen taciones en el arte poleocristiona
del sepu lcro de Jesucristo con la inclusión de la pieza narbonense,
cuando tuvimos noticios de la existencia de uno comunicación a la
"Acodemie des Inscript ions el Sell es Le ttres" de Pa rís del profesor
Roymond Rey de Toulouse, que daba, precisamente, lo in terpretoción que había mos pensado paro el monumen to de Narbono, ut ilizando, en port e, los m ismas no t icias bibliográfi cas que t en íamos
reunidos (5) . Por ello r.enunciamos de momen to a nuestro propó_
sito, pensando dar a conoce:- O los inves tigadores españoles lo magnifica y raro pieza, como hocemos en esto noto redactado principa lmente a base de la comunicación del señor Rey,
Mós tarde hemos hablado de este problema concre to con el profesar Grabar, que nos ha expresado sus dudas en esta atribució,
del mórmol de Narbona, m otivo por el cua l no lo incl uyó en su
obro, Nosot ros creemos en -el interés de es to representación y no
dudamos en publicarlo, señalando lo posibilidad de que s"a real ·
mente un facsím il de la edificadón del centro del Anóstasis constantiniano y, en todo coso, o pesar de los grandes a na logías que
ti ene con las demás representaciones plás t icos que tenernos de t a l
cons trucción, el mórmol narbonense es uno pieza de capi tal impor.
tanda poro explicornas ciertos contactos est ilís t icos en tre Ori ente
y Occidente du ran te los siglos IV, V Y siguientes.
l a primera publicación cie'ntíti ca del edículo de Narbona se
debe a l a bbé Sigal (6) . En su estudio, que ca lificaba lo pieza como
un re li ca rio o memorio reliquiorium, y en 10 noto d e Rey del año
1949, pueden hallarse todos los do tas bibliog ráfi cos completos anteriores a sus respec tivos estudios, que no creemos necesario resu mir aqui. Presen tan los circunstandas de su ha llazgo en lo propia
ci udad de Na rbona, lo que hoce con jeturar o Siga 1 con pleno rozón
,
según nu estro juicio, qu e debió servir poro relicario de 10 ca tedra l
(5)
R, REY : " Lg Memor;g S
[61 A!>be L. SIGAl: "Un reliqua;re dv Ve. ~¡k le (luculus ou Memoria re;'quiarum) (IV Musee Lapido;'e de No,bonne", Bullelin de la Cornmission Archeobglque de Narbonne, 1924, lome XVI, ler pol lie, pp, 14 y u.
RernJus de l'Acodemle
276 -
[page-n-345]
EL MARTYRIUM DE NARBONA
3
del siglo V construido por Son Rús tico obispo, en el año 445, sin
notar los profundos seme;onzas que con el martyri um de úisto
representaba esto arquitectu ra. El art iculo del "Dictionnair~" de
Cabrol-Leclercq que hemos citado lo reproduce con los mismos tér ~
minos inspirado precisamente en el estudio de Sigol. R~y, por su
porte, desonrolla plenamente lo con;eturo de seme;anzos anunciados, yo, por el canónigo Soltet (7), por el abbé Griffé, por Cotard,
Sig:J1 y Héléna (8, 9) qu~ señalan la posibilidad explícito de su propósito de reproducir el Santo Sepulcro.
Rey, pues, en su nolo, do todo esto bibl iografía y cote;o con la s
restan~s representaciones o descripciones del martyrium de Jesu cristo llevando has to el final esto posición.
El mórmol del Museo de Norbona reprodu ce (lóminas 1 y 11 ),
con el máximo delall~,
edificio religioso cuyas forma s y es tructuras decorativos no corresponden a 105 modos arquitectónicos qu ~
conocemos en el Occidente en época poleocristiano. Se t rota de
uno pequeño copilla fo rmado por una porte anterior o manero de
vestíbu lo o pronaos, según expresión de Sigal, en formo de pórtico
con cuot,ro columnas, dos en 10 porte delantero y otros dos en lo
posterior. Es lo parte más destruido del monum~n to. Los columnas
estaban unidos por uno transenna colada con orcos semicirculares
alternados, ton corrientes en el mundo poleocristiano. Los columnos
superpuestos sobre basamentos y capiteles corintios, de facturo
completamente orientol, sostenían un frontón con arquitrabe curvo, por los fragmentos que de lo misma se conservan. Lo porte
esencial del edificio estaba cubi~ta por cúpu la y en su interior,
formado por dos habitaciones separados: lo an terior en contacto
con .el vestíbu lo, de plan to semicircu lar, cubierto por una pechina
que adorno la bóveda en cuar to de esfera. Por uno pequeño enll:'ado rectangular, esto nove comunico con lo último cámara in terior
del edificio, cuyos paredes están levan tados en disposición poligonal y en el fondo aparece como uno especie de banco, ta llado ~ n
lo mismo piedra adosado o uno de sus muros, quizá recuerdo del
sepulcro de Cristo según nos viene descrito por los peregrinos.
UI'
(7) Bunet;n de lo Société Ard~ologiQue du Midi, Toulouse, 1930. R. REY:
Ob. cit. en nora 5, pag. 23.
181 E. GR IFFE: "Histo;re religieuse des anciens poys de l'Aude", París, 1933,
p6g. 48.
(9) "Lor>Quedoc medilerranéen, Aude", 1931.
R. R~Y: " L'An raman en ses origines", París, 1945, p6g. 42, nota 31.
-
211 -
[page-n-346]
4
P. DE PALOL SAL ELLAS
Por el exterior, esto doble disposici6n desaparece y todo el edificio t iene uno perfecta unidad. Siguen las columnas que adornon
los aristas de las seis coros de este exógono. Desgraciadamente los
columnas han desaparecido, pero conservamos los basas y los capi ·
tel es del tipo del peristilo anterior. Un a rquitrabe corrido, siguiendo lo disposición poligona l de la planta de lo nao, t iene gran interés por recordarnos, como veremos, ciertos elementos decorativos
del circulo bizan t ino; y finalmente, uno cúpula achatado, poliédrica, de ocho paneles decorados rectongu larmen te con los m ismo:;
molduras del arquitrabe que sostienen los columnos. Lo port e superior de 10 cúpula tenía uno ranura poro insertar uno cruz o algún
otro elemento arqui tec tónico. Lo pared exterior de es ta nave in terno ti ene, también, Una apertura rectangu lar Que permi t ia introdu cir la mano en el interior de la pieza .
Desgraciadamen te no poseemos ninguno representación en vo ·
lumen de lo que debió ser el martyríum de Cristo en las reforma s
de Constan t ino. Pero es perfectamen t e posible comparar el tipa de
edificio Que represen to el mórmol de Narbona con las representaciones lineales que del ma,tyrium tenemos. En p'rimer lugar, lo for mo externo del edificio poligonal con columnas sobre bases corin,tías y capi teles del mismo estilo sosteniendo un arquitrabe tallado
y todo ello sobremontodo por uno cúpula poliédrico decorodo rodial mente, nos aparece reproducido en el broche de marfil del obispo Cesóreo de Arlés, muerto en el oño 442. Esto forma arquitectónico es lo porte superior de un edificio rectangulor que encerraría
el sepulcro, como oparece en lo escena de lo resu rrección del fa moso marfil de MilÓn. En los conocidos ompullae de Manzo, lo identidad de la representación con el edículo de Norbono corresponde
o lo visión del mismo desde la porte fron tal. Aparece el pronaos
o vestíbulo con su pórtico sostenido por 'dos columnas y entre ellos
lo caracteristica transenna . P,etO en lo s propios ampullae existen
variantes sobre lo represen tación del San to Sepulcro (I al . Aparece
entre ellos un edículo poligonal donde las columnas estón unidas
por arcos que sostienen uno cúpula cónica caronada por uno cruz
Otra forma mós estilizada, mues tro cuatro enormes columnas, d!!sproporcionados, con la puerta del edículo, Que tiene, en lo porte
superior, un alta frontón, que parece Que cubre lo tumba encerra-
P O)
H. lEClERCQ: Ob.
( ji .
en no lo 2, (01. 529-530 .
-
218 -
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EL MARTYRIUM DE NAR BONA
5
do dentro de re jos y cubierl a, también, por un tímpano y por una
cruz . Existe, además, otro formo todavía más estilizada, conser ·
vóndose,. únicamente, las columnas, los arcos, lo re jo, la cruz y la
cúpula. Es interesante la ....epresentación del interior del sepulcro en
estos ampullae; según Vincent ( II ) los rejos abiertos dejan ver
"en el interior, uno especie de losonje en el primer plano, y mól
lejos uno hornacina; el primero represento, sin duda, lo que hoy se
llama la piedra del Angel y que los antiguos veneraban como los
res tos de lo puerto del sepulcro que fue roto por lo victoria de Jesús
sobre lo mu erte y el segundo indico el Sepulcro del Salvador. En
el mi smo id ioma iconográf ico estos dos elementos explican lo dis·
tribución interior del monumen to en dos solos".
No son estos los únicos concomitancias en tre las an t iguas re ·
presentaciones del Santo Sepulcro y la pieza del Museo de Narbono. Si examinamos el morfil del Evangeliario de Gonnat, y las m i·
niaturas del manuscrita de la Ambrosiana reproducidos por Grabar, así como algunos de los incensarios coptos en bronce que este
autOr tambiim cita (12), halloremos uno identidad de elementos
arquitectónicos y decorativos que se avienen perfectamente con lo
inte~pretación del mármol narbonense.
Ver~mos cómo esto disposición arquitectónico responde, con
bastante fidelidad, a los pocas descripciones que de los Santos Lu·
gares nos han llegado, proporcionados especialmente por los peregrinaciones o Ti erra San to de los cuales debe proceder, con todo
evidencio, lo ideo arquitectónico que permitió tallar los estructu·
ros del mármol de Norbona . Utilizamos poro estos notos, además
de los referencias de Rey que, como el propio autor dice, proceden
de lo obro de Grabar, los noticias publicados más recientement~
en el "Oictionnoire" de Cobral-Ledercq.
De los textos presen tados por Grabar y del estudio que este au tor hoce .de los monumentos y edif.icociones alrededor del marty rium de Cristo, aparece ún icamente citado lo forma total externo
de l Anástasis en los descripciones de Eusebio, pero en Willibando
pr incipalmente, hollamos lo noticio de que, poro armonizar con es-
( 11 1 H. VINCEf'lT : "Quelques repnhen lotions onliq .... es d .... S. $épulcre cons·
lonlini_n", RevYe BiblJq .... e, X, 1913, póg. 104 .
H. LECLER:CQ: Op. di. en nolo 2, col. 529, noto 4.
(i2j A. GRABAR : oo. d t. en nolo " 10m. XV, 9 y 3. Vol .... men lel':lo " póg.
5B9, f igs. 19,20 y 21.
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279_
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6
P. DE PALOl SALEllAS
te rotonda constontiniona elevado alrededor del Sepulcro, lo roca
de éste fue d ecorada y tollado en formo de edículo. Lo describe
con mós minuciosidad el peregrino Bernardo el Monje, que cita:
.. ... colonnos in circuitu sui (sepulchri Domini)" y " (inter quas) po·
rietes optimis lapidibus", paredes que, según las representocion~s
del siglo V I, serían caladas, pudiéndose .reconocer en los mismas,
los conceles qu e ci ta en varias partes Eterio (13). Grabar por2C~
inclinarse o que estos const rucciones no fueron tollados en 10 roca,
sino que "rodeaban el sepulcro" " ex quibus nove m columnis quat·
tuor lunt ante foc:iem ¡psius monume nti (lo roca). quae cum suis
porie tibus cloudunt lapide m, corQm sepulchro positum, que m ongelus re,.ol,.it". Esta es Jo m isma descripoi6n que Photias com ple tará
con pocas variantes, dando por -e jemplo once columnas en lugar de
nueve.
Según Rey, la descripción de la piedra en los itinerarios de Eterio -o lo cual o pesar de los recientes estudios que demuest ran
claramen te ser españolo, concretamente de Golicio (14), considero
galorromano, dic2 posiblemente de lo Aquitonio- corresponde en
todo o esto fo~ma arquitectónico con su peristilo, sus canceles, lo
celIa anterior, etc.
Vemos, pues, las anologíos que estas descripciones presentan
con -el llamado relicario de Narbono. Por otro porte, lo evidencia
de sus formas arquitectónicos y decorativos nos habla de un monumento único en el Occidente, cuyos elementos son plenamente
orienloles, desde Jo construcción en cúpula cónico, hasta lo decoración de los paneles de lo mismo, con molduras rectangulares qu e se
repiten precisamente en los arquitrabes y que son una formo decorativa m uy fr ecuen te en -el mundo del circu lo bizan t ino, que ho lla_
mos, por ejemplo, en piezas del grupo estilís ti co del magn ífico ambón de Salónica o de las basílicas de Filipo en Macedon ia y que
aparece -en todo lo decoración bizantino de los siglos V y V I Y poste riores.
Es de notar, también can interés, lo observaci6n que hace Grabar (1 5 ) en su libro tontos veces ci tado, de los dimensiones reduci das qu e debía ten er el edículo que encerraba en el cen t...o del Anásta sis el Santo Sepulcro, que en los representaciones pl6sticas que
A. GRABAR: Ob. cit. en mto 1, yoll.HTlen 1, pOgs. 21'1 y 279.
Z. GARC1A y VILLAOA: " HistOfio EdesiÓ5tico de Espoño", tomo 1,
porte, Madrid, 1929, pOgs. 269 y ss.
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(15) A. GRABAR: Ob. cit. en mIO 1, volumen 1, pOg. 273.
113)
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PALOL SALELLAS._EI Morl y, ium do Norbo"o
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EL MARTYRIUM DE NARBONA
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del mismo nos han llegado siempre aparece como un pequ eñísimo
y elegante edificio. Así, por ejemplo, en el broche de cinturón del
obispo Cesórea de Arlés, los soldados están apoyados sobre el zócalo prismótica que sostiene la cúpula . La plaquita de la colección
Trivulci las representa sentados sobre esta plataforma, etc ., etc .
De ser realmente la pieza del Museo de Narbona una restitución
de esta construcción del centro del Anástasis, no sería muy difícil
calcular o qué escalo esta reproducción está hecha, no al e jándose
sus dimensiones demasiado de uno tercero parte de l original, qu~
los citadas represen taciones y Jos datos de los peregrinos -que di cen qu e en el interior del ediculo habia que penetrar agachado y
que en el in terior de la úl t ima sola, f.rente al Sepulcro de Cris to,
sólo cabían tres personas a las cuales les ero dificultoso levantarse- permiten establecer.
Este bello ejemplar de mármol de Narbona apenas si aparece
ci tada entra nosotros en 10 bibliografía científico . Lo conocieron el
Rvdo. Serra y Vilaró (16), que lo cita ocasianalment..?, utilizando
una nata de l Dr. Vives (17), que tampoco vio el alcance que sus
formas podían tener. Por ello hemos creido necesaria darla o conocer utilizando especialmente las estud ios citados de Grabar y de
Rey. El edícu lo narbonense debe añadirse o lo largo serie de ele mentos arqueológicos que llegaron al Occidente por medio de los
peregrinaciones de gentes occidentales y hallamos en falto la cito
de uno pieza de esta belleza y de esto importancia -pues to que de
confirmarse realmente ser una reproducción del San to Sepulcro de
Jerusalén, serio otro prueba de lo fr ecuencia con que fue visitado
este Santo Lugar- en obras de ton ta ambición e interés como lo
publicado hoce poco tiempo por Salín (1 8), donde ton to importan .
cia hist6rica adquieren, paro este autor, las relacion'!!s con el Oriente cris tiano en tiempos de las grandes invasiones.
(16) J. SfRRA I VILARO: "Fru<:tu6s, Auguri ; Eu log l, mOrlis Sonts de Torro_
gono", Torrogono, 1936, póg. 61.
( 17) Rdo. J. VIVES; " UflO inscdpció "isto,ico deIs MOrlirs de Torrogono" ,
Anol~lo Sacro Torroconensio, 1933, pógs. 248 y n .
PS) E. SAUN : "lo civilisolion meroving ienne, d'opres les sepuflu rH, les ' ell'
IH el le loboroloire", 2 vals., Poris, 1950-1952.
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28 1 -
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PALOL S,4,ULL,4,S.-EI Mo,t"hlln d. No.bono
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INDICE DE I'\flTERlflS
Abrigos bojo roe o: 21, 29, 31 033,39,41 y 6 2.
Aceite: 110, 126, 228 y 254 n.
AceilUnO$: 226.
At us erinolis: 99, 192, 194, 195,215 y 221.
Adobes: 7'1 .
Adorno, objetos: 53 a 56, 59, 60, 16 y 83.
Afil a dores de piedra: 51 , 21 4 y 215.
Africo nos: 212, 2 52, 2 59, 261 (1 269, 212 y 213 .
Agr icult u ra: 59, 62, 66, 83, 228 y 253 o 2 55.
Agujas plonos de hue so: 43 , 57 y 60.
Ajuores: 26 y 83; _ funerorios: 2 6, 62, 9S y 177 o 185.
Alaoostrones: 154.
Alcachofas: 255.
Alcornoqun: 2 53.
Alfabeto I~rico: 2 0. 21 , 107 n. y 159.
Alfo rerío: 212, 213, 221 (1231 y 211.
Ali men tación, al imentos, com ido: 8 2, 83, 99 y 122.
Almeriense, culluro: 62.
Alquilro n: 253 .
Ambo,: 60.
Ambon e5: 280.
Ampulloe: 278 y 219.
Anog lypho : 240.
Anos tosis: 2 75, 216 y 219 o 281.
AneJos: 2 58 n. y 272.
Anf oras: 221, ZZS (1 231 . 2 52, 254 n., 2 55 y 256.
A"'or illas: 119, 193 y 2 08.
A"illas de brooce: 96, 194 y 197; --de h ifiro: 195; --de piedro: 2 14 y 21 5;
--de piOl O: 179.
Arcoismo: 14 9 o 151, 156 Y 265.
Arci llos: 7 , 43,6 1,73 y 74 .
Argór ico, culturo: 11 y 61 .
Armos: 83, 99, 149, 15 1 Y 181.
Ar rocodos: 4 5.
Arte e trusco: 155; -geom'trico: 150, 152 y 156; ---griego: 150, 152 y 156;
- lbi,ieo: 147, 148, 151 y 156; -poleocristio"o: 27 5 o 261.
Arybo ll os: 155 'l .
Asperón: 8, 13 y 14 .
As tr6golos: 131, 197 y 2 15.
Astronomío: 97 .
Av~: 57 y 255.
Az oboche: 5 4, 55, 194 y 222.
Azuelas: 8, 11, 13y59.
8órboras, pueblos: 93, 100 y 217 .
80rbo ti"o: 142.
Borcufie"se: 231 .
Bosillcos: 280.
Bostetonos: 105, 106 y 108 n.
Bellolos: 74 o 76 y 83.
Bermellón: 2 56.
Bizont ino: pueblo, or le, elc. : 21 1, 2 59 , 278 y 280.
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Boneles: 152 y 153.
BOlone$: 193 o 195, 191 y 216.
Brozofete$: f94 y 222.
Breun;: 85.
Broches: 218 y 281.
Bronce, objetos de: 44, 45, 60, 94, 96, 98, 99, 105n., 141, 141 o 158, 171, 119,
192 o 195, 191,216 o 220, 251 y 279.
Bronce, !'dad: Ver "Edad del Bronce".
Bueye$: 99.
8urg5101l : Ver "Casten;eri".
8urile$: 53.
Caballero de Lo Baslida: 147 o 158.
Caballero en b,o.'1ce: 1410 148.
Caboños: 60, 91, 93 o 95 y 100.
Cabros: 58 y 99; -monleses: 99.
CadeniUos de oro: 194 y 216.
Col: <14,62 y 73.
Calices: 171.
Calizo: 54, 55 y 51,
Callo;s: 54.
Compiñense, culturo: I1 y 14.
Com~s de urnas: 101 .
Canceles: 280.
COpOChos: 255.
Copillas: 271.
Capitalismo: 2 53.
Capiteles: 271 y 218.
Cópridos: <14 y 56.
Caracoles: 56, 76, 203, 208 y 255.
Carbones: <13, <14, 58, 61, 15, 76, 79, 100 y 109.
Cordium: 44, 46, 56 y 58.
Cortogines, poueblo, arte, culturo: 68 y 256 n.
Coscas: 149 o 156.
Coslelir, Coslir, Coulier, Costelor, Cas telero, Costelol, Costin, Coslio;" Coslac,
Coslelaz, Cos tel pogono: Ver "Castellieri".
Costellors, Castellares, Coslillores, CosliUllos, Coslellets: Ver "Caslellieri".
Costellleri: 85 o 104.
Costellum: 2 17.
Colos: Ver ",A.brigos boja roco".
Covotici : 2 55.
Cazo: lOO.
Cozodore$: 59.
Cebada: 255.
Celta, cé ltico: pueblos, orle, culturo: 83, 151 n., 212, 213 y 217 .
Cellismo: 157 .
Ce<1;zos: 43, 44,6 1,69, 72 o 75, 79 y 109.
Cenomoniense: 7.
CerÓnlico: 14, 17, 25, 31, 32, 42, 44, 46 050,62,69, 72,73,75, 71 ~ 83,
96, 98, 105 o 139, 159 o 176, 187, 190, 197, 205 o 214 y 257 ;
---ético: 108, 132, 136, 138, 139, 141 o 145, 154, 157, 16 1, 164 o
166, 171, 17 5 y 178; ---élico de figuras negros: 180, 181 y 183;
---élica de figuras rojos: 108n" 122, 127, 138 y 166; ---de Banonoc:
221; ---de borniz negro: 105 o 139, 141 o 14 5, 156 y 160; --
li, 20, 68, 10i, 10Bn., 151, 152, 156, 159, 160, 163, 176, 190 o
195, 197, 202, 203, 205 o 21 0, 2 13, 214 y 222 ; ---de Ischio: 11;
--neolítico: 16 y 60; -precomponien5e: 105 o 139, 145, 156, 160,
167 y 175; -punt illado: 4 6 y 47 ; -i"omono: 20,6B, 193, 2 13 y 219n.;
-sigillolo: 197, 203,2 12, 213, 216n., 221 , 252 y 271; - sigilto to hispá_
nico: 195, 191 , 203, 209 o 21In" 222 y 271; - lardo- romano: 21 e n.,
213 y 214 ,
-
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Ceroun;e: 257.
Cerdos: 44, 56, 58 y 99.
Cereoles: 22B, 253 y 255.
Cerelon~: 255.
Ciervos: 99.
Cipos: 239 a 241.
Cipreos: 44, 58.
OSIOS: 95; -de bronce: 98 y 99.
Clavos: 194 y 197.
Cobre, obje tos de: 44, 45, 60, 74, 76, 99, 192 o 195 y 197.
Coleceion: A. Vogell (Korlsruhe, Alemania) : 142 y 143; - Ballester (Volenc;.]j:
37; --C. L. F. Ponckoocke (&ulogne-sur-Mer, FrO:"lcio) : 143 ; -Cliflord Kack van Breugel (Leyde, Holanda): 1<12; - Triyuki (llolio): 281.
Colgan tes: 43, 55, 56, 58, 60 y 99; -Qconolad~ de huesa: 43, 56, 60 '1 é: 1.
Colmenas: 20B.
Colmillos: 58.
Columnas: 277 o 280.
Columbelos: 76 y 83.
Collares: 31,42 o 44, 54 o 56, 59, 60, 76 y 221.
Collegium centonorior um: 257.
Comerdo: 105n., 139, 142, 144, 176, 185,226,252 o 260, 270, 271 y 213.
Comisarios de EKcoyoclones Arqueol6gicos: 23, 28, 31 o 33 y 187.
Conchas: 54 o 56 y 58.
Conqu isto romano: 86, 253 y 255.
Cons trucciones: 16, 19, 69 o 75, 82, 87, 90, 94, 160, 197, 199, 200 y 215
o 281.
ConleslonQ$: 105, 106 y 108n.
Copas: 132 y 137.
Capelos: 97.
Copto, orle: 279.
COtol: 190.
COtcho: 57 y 2 53.
COtí nt io, orle, pUeblo: 151n., 152n., 153, 155, 211 y 218.
COtmofOn: 255.
COtsa, 9ueblo: 252.
Cróneas humanos: 58, 96 y 188 .
Cró teros: 124 o 121, 137 Y 169.
Cremaciones: Ver " Incineraciones".
Cre tense, pUeblo, orle: 152.
Crislol de roca: 57.
Cris tiano: orle, cultura, elC.: 210,212, 219.,".,221,259,266,267, 273 y 275
a 281.
Cronología: 62, 63, 83, 95, lOS, 108, 110, 120, 122n., 123, 127, 131, 136,
139,1410 145, 147, 160 0185,209,2110 214, 2 16 o 222, 229, 233,
242, 246, 254, 260, 261, 26<1, 265, 267, 268, 271, 216, 211 y l~ J.
Cuarci la, objelos: 72 a 77 y 83.
Cuchillos de piedra: 31,42,61 y 194.
Cuencos cer6mica$: 21, 74, 78, 79 y 205.
Cuent os de callar: 31,42 o 44, 54 ,55,59,60,76,83,190,195 y 221.
Cuerdas: 151, 253 y 255.
Cuevas, con restos ibéricos: 187 o 223; -sepulcrales: 26, 27, 29 y 35 a 64 .
Cuila: Ver "Religión".
Cursos Int ernacionales de Esludias Ligur es: 108n.
Cyalhos: 171 .
Chopas metólicas: Ver "Lómlnos".
Defensas: Ver "Fortificaciones", "Murallas", "Torres", etc.
Dentotium : 43, 44 y 56.
Despoblados: Ver "Poblados".
Dientes, de animal: 44, 56 y 58; ---horadados: 44 y 56; - humanos: 58, 63 y 64
Dienles de sierro, de sileK: 43.
Dioses: 147, 157, 158 y 261.
Discos, de eer6mico: 150, 1S I y 158; --de piedra: 202; -de vidrio: 190.
Dólmenes: 11, 14, 19 a 21 y 23 a 33.
Domesticación: 99.
Ebusilonos: 256.
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Economio: 251 0273.
Edod del bronce: 29n., 49n., 6 1 063,67,69,77,83 o 85, 96, 99, 100, 101n.
y 197; -del Hierro: 30n., 85, 88, 96, 98 O 101 y 219n.; - de lo p;~ .
dro: Ver " Poleolítico" y " Neolítico".
Edetonoli: 106.
EdiClo de Oiac leciono: 2 54n. y 255.
Eneoli tico: 17,29,31,85,96 y 100.
EnlO$odos: 2 5 V 75.
Enlucidos: 7 1, 73, 75 y 82 .
Enterramient os: 29n., 3 1, 35 o 64, 174 Y 209.
Envoses: 253n.
Eplgro fío: 225 o 2<19, 251, 2 52, 2 57 V 259 o 273.
Eplto flO$: 2n o 24 1 y 243 o 249.
Eseltos: 153n.
Esclavos: 258, 26 1 V 266 .
Eseoplos de piedra: 8 y 1 l.
Escud ill os: 191.
Escudos: 149 y 151 .
Esfinges: 154.
Espadas: 99, 149 y 151.
E ~or to: 17 , 253 y 255.
Esqu eletos: Ver " Huesos humonos" .
Estompill os: 145, 225 o 227 y 229 o 231.
EstóluO$- menhir: 96.
Eslot ui!los de bro nce: 94 , 96, 105 n., 147 o ¡ 58 V 257.
Esleolito: 54.
Elruseo, pueblo, orle: 99, 153, 155 y 156.
Evo ngeliorios: 279.
ExporT iones: 144, 227,252 o 251, 271 y 2 B.
ac
Ex lro njerO$: 251 o 273.
EXYOT
OS: 147 y 156 a 158.
Folco tos: 151.
Fauno: 58.
Fíbulas: 99, 203 y 217; ---griegos: 177; -hispOnicos: 177 O 185; - pot t .Jgue-sos: 2 17 .
Fig lino: 228.
FillrO$: 208.
Flomen : 2 58n., 262 y 26 3.
Flamenco, oye: 2 55.
Focens~, orle, pueblo: 177, 180, 185 y 254n.
Fondos de cobaña: 60, 9 1, 94 y 100.
For to let.os: Ver " Fort i ' iCCK ion~".
Forllficociones: 16,37,70,85, 88 o 90, 93, 96, lOO, 197 y 199.
Fósiles: 19 1 y 22 1.
Fronco, pueblo: 254n.
Fundus: 226 o 229.
Fusoyolos: 19 1.
Go lerios cubiert os: 14.
Go la, pueblo, orle: 10 t , 252, 2 59 a 261, 27 1n. y 280.
Go noderi o: 59, 66, 255 y 2 56.
Ganaderos: 59.
Gorum: 226, 2 53n. y 256.
Gemelos: Ver " Posadores".
Genoun lo, pueblo al pino anllguo: 85.
Germó"ico, pueblo, orle, elc.: 2 12 , 2 17, 264 y 265.
Geschli r: Ver "Caslell ieri".
Gno t. lo, estilo decorativo: 127 , 137 y 169.
Godo, pueblo: 213 .
Grobados parieT
ales: 7.
GrolitO$: 91, 124, 127, 172 y 182; - ibéricos: 20, 2 1 y 107n .
Gron 0;0$0: 151 .
Greco-cOfintios: 149.
Griego, pueblo, or te, culturo: 105n., 107"., 111, 117, 145, 150, 15 1, 15 3, 155
o 157, 160, 168, 177 o 179, 184, 185,212, 2 15,229,236,241, 249,
252, 258n., 2 59, 266, 271 y 272.
-
286 -
[page-n-357]
Guerro: 68, 86, 90, 95, 100, 105,221, 2 54«0. y 270.
Guerros I)\:,"icos: 68 y 108.
Guerreros: 89, 147 o 158 y 181.
Gu lluS: 131, 137 y 170.
Hachas, de pied ra: 8, 10, 13, 14 y 59; -de me tol con olctos: 99.
HolIs tottico, cul turo: 32 y 151 n.
Hebillos: 195, 21 6n. y 217 o 220.
Helenistico, orte: 21 , 105n. y 156.
Helix ollonensis: 76.
Herejío novotiona: 273n.
Hierro, edod : Ver "Edod del Hierro".
Hierro, objetos de: 194, 195, 197 , 20 3,216 y 256.
Higos: 255.
Hi!il;)Ono-mouri tonos: 62 y 77 .
Hoces: 83.
Hogares: 43 y 73.
Holas, de silex: lO, 42 y 53 .
Hornacinas: 200, 20 3 y 279 .
Hornos de alfarerio: 17.
Hueso, objetos de: 42, 43, 56, 57, 60,61 , 76, 192 a 195, 197 y 1 15.
Huews, de animal: 41, 43, 44, 58 y 99; --humanos: 31n ., 36, 41 , 4 3, 44, 5a,
59,6 1,62,96 y 197 .
Ibérico, pueblo, ar te, cuhuro, ele.: 17,20,21,84, 105 a 139, 141 o 145, 147
o 159, i90 o 195, 197, 202, 203, 205 o 21 0, 2 14 , 216, 217 , 221,
222, 229, 253n. y 254n.
Ibero- romanos: 17, 19 o 21, 68 y 187 o 223; -5ohor;onos: 62 , 63 y 7 1.
Idolos, oculados de nuew: 60; -planos de hueso: 60.
llioda : 154 .
Ili rias: 155.
Imperio Romano: lOO, 209n., 2 1 In., 219n. o 222, 248 y 251 0273.
Importaciones: 106, 1 10, 144, 159 o 176, 257 y 258.
Impronta: Ver "Estampillas".
Impuestos: 271.
Incensarios: 279.
Incineraciones: 95 y 178.
Indust rio: 2 57; - vinicolo: 254 .
1nhumociones: 35 o 64 , 95 y 217; - segundos: 35 O 64 .
Inmigraciones: 86, 101 y 157.
Inscripciones: 94 , 96, 197, 204 , 208, 21 0, 231 , 241 , 242, 252, 258n., ~59
O 270 y 272.
Isarcio, pUeblo retico; 85 .
Itálico, orle, pueblo, etc.: 156,25 1, 252, 254, 2 57, 258, 261 o 264 y 270.
IIO,"Olos: 138 V 166.
Jabalies: 56 y 58.
Jamones cerela nos: 255.
Jorros: 179 y 180.
Jaspe, objetos de: 8.
Jonios: 107n. V 180.
Judíos: 266.
Kalat hoi: 20, 108n., 190, 195,203,205 y 253 n.
Kylix : 127 a i29, 135 V 168.
Lomelles de piedro: 10 y 14 .
Lóminas de hueso: 43 , 56, 57, 195 y 197; ----de metal : 44 , 4 5,192 0195. ,97,
203 y 216; ---de piedra: 8, 10, 12, 43 y 44.
Lanzas: 151 y ¡81.
Lañados: 49 y 191.
Lápidas sepulcrales: 232 o 237 y 241 .
Lascas de piedra: 72 y 76; - de sílex : 43 , 44 Y 53.
Lo Tene, cul luro y período: 87, 88n., 95, 99, l OO, 151n., 185, 117 y 2 19n.
Louranen\.eS: 2 54.
Layelanos: 254 y 262.
Legión VII : 260, 261 y 269.
Lekythos: 160, i78, 180, 181 y 183.
L~ t ras, ib~rica5: 20, 21 y 208; _ Io tinas: 226, 227, 230 O 2 36, 239, 240, 242,
246 O 24 8 y 259 a 270.
-
287 -
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Libertos: 236, 249, 260, 262, 265, 266 y 270.
Lignito: 54.
Lino: 257.
Lobos: 86.
losetas: 57.
lucernas: 21, 131, 170, 174, 175 y 191.
Modero: 58, 194 y 253.
Mogdalenie-flSf!, culturo: 7.
ManuscriTOS: 279.
Ma"os $Obre cerómico: 227, 229 o 231, 252 y 2 54 o 256.
Marfil : 155, 193,278 y 279.
Martyrium de JesUCrisTO: 275 o 281.
Medi cino: 255 y 257.
Medloevol: 93, 100 y 213.
Mediterróneo, tipo, culturo: 14, 101, 144, 147, 150. 157 y 158.
Megol1tos: 14, 19 a 21 y 23 a 33.
Mercenarios: 255'1.
Mesenios: 153.
Mesolitico, culturo: 68.
Metal: Ver "Cobre", "Hierro", "Bronce", "Oro", "Plato".
Miel: 253n.
Miliarios: 30n.
Minería: 253 y 256 o 258n.
Minia turas: 279.
Modio, medido de capacidad: 226.
Molederos: 74 y 76.
Malinas: 72, 73, 76 y 83.
Moluscos : 44, 56 y 76.
Monedas: 209, 211,216 o 218n. y 220 o 222; - rQmO.'os: tOO, 193 o 195,
197,209,211 y 2t8 o 22 1; --$agunTinos: 197; -valencianos medievales: 193, 194 y 220.
Monumentos megoliTicos: Ver "Megalitos" "Dólmenes", "Golerías cubiertos".
Moriscos, VO§OS, arte, etc.: 192 o 194 y 214.
Morteros: 202 y 214.
Mosa icos: 257 .
Murallas: 16, 69, 70, 73, 90, 92 o 96, lOO, 107n., 260 y 264.
Muria: 256.
Muros: 16, lO, 82, 90, 94, 91, 191, 199,200, 203 y 213.
Musteriense, culturo: 7.
Nosso: 56.
Noves: 122n., 253, 255, 251, 261 y 212.
Necr6polis: 30r1., 60, 95, 107, 117, 127, 136, 150, 178 o 185, 209, 211 .:J
213,216,218,220,263, 266,269, 271n. y 272'1.
Neolitico: 1 o 14, 29, 60, 62 y 77.
Nódulos de sileJC: 53.
Nórdicos, pueblos: 86.
Nucleos de cuarcita: 76 y 77.
Oenochaol: 130, 141 o 145 y 170.
Ofrendas funerarios: Ver "Ajuares funerarios".
0lpes: 180.
Onomóstlco: 226 o 229, 231 o 249, 259'1. y 271.
Oppido: 100 y 105'1.
Orlentollzante, ar te, periodo: 156.
Oro: 194,216 y 256.
Osos: 86.
Ostros: 256.
Ostreo 8iou,iculolo: 7.
Ovos Impresos: 133 o 136, 163, 165 y 166.
Ovejas: 99.
Paganismo: 212 y 233.
Polofilícolo, culturo: 101.
Poleo-cristiano: 213 y 275 o 281 .
Poleolitico: 8 y 252; - inferior : 30t!.
Palmetas impresos: 110 o 137, 145, 161, 162, 164 o 166, 173, 210n., 212
y 221.
-
2 88 -
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Pononios: 264, 265 y 210.
Paredes: 16, 69, 12 o 15 y 82.
Po~ores : 191 y 216.
PosTa víTreo: 119 y 221 .
Pouorn: 83 y 89; -de 105 llanuras, culturo: 11.
Poteroe: 21 , 112 y 191.
POlfonolus: 241.
Poviment05 de losos: Ver "Enlosados".
POIOi romano: 252.
Peclen: 55 y 58.
Pectunculo: 44 y 56.
Pedernal: Ver "Silex" .
Penlelilho, luego griego: 215.
Pe rculO1es: 205, 214 y 215.
Perforadores de piedra: 11 .
Peregrinos: 263 .
Perros: 150.
Pesco: 256.
Pescado: 122 y 221 .
Pelroglifos: 91.
Picos: 203 y 216; -osTur ienses: 16.
Piedra: Ver "SlIelOi", "Jaspe", "Asperón", elC .
Piedra, ollar: 54; -pulido: 11, 13, 14,59 y 61.
Piloe: 211 n.
Pinos: 16.
Pizarra, obieTOS de: 31.
Piri ta de hierro: 202.
Placas de pi zarra: 31.
Pl6slito: 150, 155, 216 y 280.
PIOlO: 141, 151n., 119,220 y 256.
Plolos: 110 o 118, 145, 160 o 165, 112, 203, 205, 210 y 220; -de pescodo:
122, 166 y 161.
Plomo: 203 y 2 56.
Poblados, ibericos: 11,84,88, 105 o 139, 141 a 14 5, 1410 160, 115,208,
216, 221 y 254n.; - ibero-romonas: 11, 19 o 21 , 68 y 181 a '223;
----pfehislórlcos: 15 a 18,59,60 y 65 a 104.
Pondus: 192, 203 y 205.
POflOfium, loso del : 21 1.
Poslol, Poslel, P05lol: Ver "Coslellieri".
Precomponiense, orle, cer6mita, elc.: 105 o 139 y 145.
Precl6sico, Orle, periodo, elc.: 151.
Preiberlco, Orle, periodo, elc.: 188 .
Prenso de vino: 254n.
Prerromano, arte, periodo, eIC.: 105, 141, 111,256 y 251.
Pronaos: 211 y 218.
PrOTocorinlio, arte, periodo, elc.: 154.
Puertos de mor : 253, 258, 259n. y 213.
PU¡)O$: 256.
Pulseras: 194 y 216.
Punito, orle, pueblo, etc.: 105, 151, 208 y 255.
Punlos de flecho: 8 o 11, 14,31,42 o 44, 50 052, 59 o 61, 194 y 191.
Pun¡r;ones, de hueso: 42, 51, 61 y 16; ---de me lol: 44, 45 y 60.
Puñal es de melol: 99.
Quinquagésimo hlsponiorum, loso: 211.
Quirino, tribu: 263.
Roederas de piedra: 8, 10, 12, 14 y 53.
Raíces lin Tóreos: 251 .
Raspadores de piedro: 8, 10 o 12, 14,43,61,14,15 y 11.
Reli carios: 216 y 280.
Relieves: 150, 154 , 155n., 190, 19 1 y 230.
Religión : 90, 95 o 91, 1'11, 151 , 258,259,212 y 215 o 28 !.
Reliquias: 215.
R,;¡ico. pueblo: 84, 86 y 101.
Ritos funerarios: 31 y 95.
Romanización: 108, 139, 209, 210, 211, 220, 251 y 258.
-
289
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Rcmono, pueblo, arte, etc.: 77, 85, 93, 95, 100, 122n., 191, 193,213 o 2 11,
220, 222, 225 o 249, 251 o 213 y 280.
Rosetas imprl!$
Sal: 226, 251.
Sola;tan~: 226, 253, 256 y 251 .
Salinos: 251.
Salpa: 256.
Sandollos: 253 y 255.
Santuarios: 96, 141, 152, 155n. y 151.
Sarcófagos: 210.
Schleier: Ver "Castellieri".
Secundario, periodo goológico: 1.
Sellos, de marfil: 155n.
Senado romorlO; 254n.
Sepulcro de Jesucristo: 215 O 281.
Sepulcros, de corredor: 19; -megali ticos: 23 o 33; --de torre: 259 y 212n.
Sepulturas en cuevo: Ver "Cuevas sepulcrales"; - megolíticas: Ver "M~ l ltos".
"Se)ulcros de corredor", etc.
Sierre-cillos de sile.:: 43, 12, 14, 16 y 83.
Sile.:, objetos de; 1 014,31,42 o 44, 50 o 53, 59 o 61, 72, 74 o 16, 83 V 1~4.
Sile.: geométricos: 50, 52 y 53.
Sítulas de bronce: 99.
Skyphos: 129 y 130.
Sol utrense: 9.
Sombreros de cop-a: Ver "Kolothoi".
Svósticos: 205.
Talayon: 185.
Tapaderas: 20, 132, 192, 191,205,208 y 213.
Tegulae: 252.
Tejidos: 83, 253 y 251.
Tejuelos de cerómica: 194.
Telas: Ver "Tejidos".
Terracotas: 150, 151, 154 Y 155.
Terromorkolo, cultura; 101. ,
T erro $¡gillata: Ver "Cerómica sigillata".
Tinajas: 191 y 195.
Toro de bro."Ice de la 8ostida: 148.
Torres: 16,10,11,14,93, 191, 199 Y 272n.
Tracias: 155.
Tranche ts: 10 y 12 a 14.
Transenna: 271 y 218.
Trigo: 83.
Trivia arClica: 56.
Tumbos: 26. 30n., 31, 211 y 218.
Tumulos: 30.
Urna, medida de capacidad: 226.
Urnas funerarios: 30n., 95, 101 Y 121.
Vasares: Ver "Hornocinos".
Vasco, lenguo : 159.
Vasijas: Ver "Vasos".
Vasos, cerómicos: Ver "Cerómico"; -metólicos: 141 . -rostroles: 96; - de
vidrio: 179.
Véne tO$: ¡ 01.
Venostes, pueblo rético: 85.
Vestido: 83.
Veteranos: 260 y 269.
Vias de comunicación: 68, 85, 88, 98 y 105; -romanos: 30n. y 273.
Vidrio: 179, 190, 195, 191 y 251.
Villas romonos: 209n., 254n. y 211 n.
Vino: 226, 254, 2 55 '1 251 .
Visigodos: 211 . 212, 218, 220 y 272 .
Yelmos: Ver "Cascos".
YI!$
-
290-
[page-n-361]
IN DICE DE
NO/"\B~ES GEOG~flFICOS
AceñQ, barranco (Villar del Ar'lobispo, Valencia): 65.
Acunllum: 26'1.
Adigio, río (Itolio) : 85,86,88 Q 90, 9 3, 97, 98 y 101.
Ado, (Valencia): Z
Af rito: 261 o 269, 210 y 273; - del Norte: 142, 150, 151, 158, 219, 259
y
272 .
Aisne (Fronda ): 211.
Akro leuke (Aliconle): 105" y 106.
Albocele: 105n., 214, 253". y 254n.
Al baido (Valenci a) : 27, 29.1" 36, 31, SOn" 52n., 53n., 59, 62, 10S n. y ;06.
Albo101 deis Taroncners (Valencia): 1511 18.
Albordelo, la (Albalol deis TOfoncners, Valencia): 15 o lB.
Albln limilium, hoy Ventimillo (Itolia): 253n. y 261.
A"oy (A licante): 49n., SOn., 52'1., 55n., 56, 59 o 62, 83, 105n. y 106.
.... Iemanio: 142, 143, ISO, 153" . Q i56.", 158,210,229 y 231n.
AlfofofQ (Alicante) : 6 1n.
Alfogós, ¡parlido (8elg lda , Valencia): 60.
Algar (Antos, Almerlo ): 17.
Alican te: 37, 49n., SOn. , 52n., 53n., 55n., 56, 59 a 62, 83, 105n., 106, l 08n.,
157, 158,225 y 256.
Almedo : 11 y 62 .
Al pes, montes: 85, 89, 99 y 101.
Alt ere l, por tido (Vlllalongo, Vale..,cio): 243.
Alyedr6, mont e (Ibiza ): 22 5.
Am,urd6n, comarca (Gerona): 19 o 21 y 253.
Ampurios (Rosos, Gerooo): 107n., 130, 143, 144, 168, 110, 171, 117 a 185,
2\1 , 251, 259, 211 y 272n.
Anaunia: 98.
Anda lucía: 108n., 151n., 208, 209 y 219.
Andi llo (Valencia): 65, 68, 69 y 77.
Angulemo (Francia): 1 y 1 l.
Ansereso (Ol1us, Lérido) : 208.
An tas (Almerio ): 17.
Anl igón, borranca ¡Villor del Arzobispo, Valencia): 65.
ApOlonio Póntico (pon to Eux ino, Mor Negro): 143.
Aquoe Calid oe (Coldos de Montbuy, Barcelona): 272 n.
Aquitonia (Francia) : 280.
Arogón: 15, 68 y 88.
Archena (Murcio) : 77, 108n., 152 n. y 2 54n.
Areios Ahos (Opor ta, Portu-go l): 77.
Ares del Maestre ¡Castellón): 52 n.
Argor: Ver "Algar",
Argentana, borram;o ¡Motoró, Barcelona): 30n.
Arguedos (Nayarro): 21 5 y 218.
Aries (Fronda): 275.1. 278 y 281 .
Artó (Mallotcol : 18').
Asia Menor : 87, 157 y 266 .
Asto Regio (Códiz): 215 .
Asturias: 217 .
-
291-
[page-n-362]
Atalayuela, lo (Loso del Obi~PO, Volencio): 69.
Atarcó, pOr tido (Belgida, Valencia): 60.
Atelto: 265.
Alenos (Grecia) : 142, 150, 153 y 154n.
Auso (Vicn, Barcelano): 258n.
Avila: 215 y 216.
Avis la, do (Italia): 95.
Allltac:um: 253.
Bodajaz: 211, 248 y 258n.
Balrral (8aioo, Por tugal): 213.
Balcan/!$: . 8' y 280.
8alearH, Islas: 18" 255 a 25,.
8anas$OC (Francia): 221 y 21 1n.
8arcelono: 24,29 o 33, 45, 61n., 10'n., 131n., 143 o 145, 168n., no, 208,
211,215,216, 254n., 256, 258 o 260, 264, 268, 2,1 y 212.
Borcino, hoy Barcelona: 256.
Boronía de Cnulitla, comarco (Valencia ): 65.
Barrocos (Casle ll ón): 6B.
Borranc (espolio, Gerona): 26n.; ---del CosleUet (Carricola, Valencia) : 35 o 64;
- del Pió del Aljub (Albalot deis T aronc hers, Valenclo ): 11; -de Sonl
Oleg ue, (Sabode lt, 8orcelona): , 29n.; -de Putjol (Albalat deis Toroncners, Volencia): 15.
BarseUo, Lo [Torremonzonas, Alicante): 52n., 53n., 55n., 56, 59 y 60.
Bostetanio: 105, lOO, 256 y 25, .
Bastido de les Alcuses, La (Mogente, Valencio) : 105 o 131, 141 o 145, 14,
0158, 16" 168,208 y 216.
8egís ¡Castellón ): 68.
Belgica: 14 y 143.
Bélgida (Valencia): 60, 61, 106 y 232.
Beniarres (Alicante): 61.
Benialiar (Valencio) : 31.
Benicodell, monte (Alicanle- Valencia): 3" 49n. y 61.
Benicalaf (Castellón): 236.
Berlón: 153n., 154, 155n. y 23'n.
Bético: 226,22,,248, 251 , 25B, 212 y 213 .
Blanquizar/!$ de Lebor, Los (TOlano, Murcio) : 52n., 53n., 55n. y 60.
Bac:airenle (Valencia): 59 y 61.
Boeme, río (Franc ia ): ,.
Bois-Menu (Francia) : 11.
Boixe, lxKque (Francia): 11.
Bajos, monte (At>dilla, Valencia): 65 y n.
Balumini, cuello (Alfafara, Alicante) : 61n.
Bolzano (Venez io TridenTino, 110Iia): 8B, 90, 96 y 98.
Bonjoon, necrópolis (Ampurias, Gerona): 1,8 o 184.
Bann (Alemania): 158.
BosteJ: Ver "Caste1lieri".
Boulogne-sur -Mer (Francia): 143.
Bourllon, molino (Francia): 1 l.
Brogonc;o (portugal): 209n. y 210.
Bressonone (It alia): 90 y 94.
Bretoño (Francia): 13.
8rolio: 155n.
Brunnerwond (110110): 89.
Bugarro (Valencia): 68.
Buho:querques, partida (Villolongo, Volencia): 242.
Bulgorio: 143.
Burdeos (Froncia ): 212 y 256.
BurQOS: 210, 211 y 218.
Burriano (Costellón): 239 y 241 .
Cobecico del T esoro (Verdaloy, Murc ia): 215.
Cobezo Redondo (Archena, Murcio): n; ---del Tia Pio (Archena, Murcio) : 254n.
Cobros, Cerro de Los (Andillo, Valencia): 68.
Cabrero de 11101a.ó (Borc('IOI>O): 30n. y 107".
Codoques (Gerona): 19 y 253n.
COdiz: 151n. y 21 5.
-
292 -
[page-n-363]
Caldas de Montbuy (Borcelono): Ver "Aquoe Colidoe".
Colder6n, barranco: Ver "Mi:!'Quilillos".
Colymnos, 1510 (Dodeconew, Egeo) : 143.
Combridge (Inglolerro): 181.
Com; Reol d'Aloc;onl, covocho (Albaida, Valencio): 21, 29n., 50n., 52n., 53n.,
59 y 62.
Comlros (Radas); 15On.
Camónica, valle (llallal : 91.
Campania (It alial: 108, 138, 139, 143, 144 y 113.
Campa de Liria, comarca (Valencia): 65.
Can Baquel, maslo (Vaauar de Dal!, 8arcelanol: 31 , 32 y 33; -FU t (San An_
tonio, Ibi:r.a) : 211; -Mares (Rosas, Gerona) : 19.
Cañada Palomara, partido (Villar del Ar:r.abi~, Valencia): 68.
Cañaverasa, Lo (Maralalla, Murcia): 11.
Carbanera, cauilla (Benicadell, Valencia) : 31.
Cardeñosa (Avil a): 215 y 216.
Carpia de Taja (Valladolid) : 218.
Córrlca (Peñalba, CaSlellónl: 181.
Carricola (Valencia): 35 a 64.
Cartogena (Mu rcia): 255 a 258n .. 264, 266 y 212.
Cartogo: 158, 256 y 210.
Casa del Mon te, necrópolis (Valdeganga, Albacele): 105n.
Casela del General (Bélgido, Valencia): 61; -Malino, cueva (Bocalrente, Volencja) : 59 y 61.
Casinas (Valencia): 65.
Caslejón (Arguedas, Navarra) : 215 y 218.
Caslelfeder (Italia): 93 y 91.
Coslelroflo (llalla) : 81.
Coslellor, cerro (Villa, del Ar:r.abispO, Valencia): 65.
Coslellardo, borronca (Valencia): 65.
Cauellel, de Boñoles jTivissa, Tarragono): 215; --de Corricalo (Carricolo, Valencia): 35 o 64.
Coslellnovo (Cosl,lIón ): 181 a 223.
Caslello, monle (Scil lar. llalla) : 90 y 93; --di Fiemme (llalla) : 95 y 96.
Costellón: 5 2n., 68, 82, 1810 223, 239 y 241; --de Rugol (Valencia) : 105n.
y 106.
Coslillarejo de los Moros (Andilla, Valencia): 69 y 11.
Castillejo, El (posaOOs. Córdoba): 231.
COloluño: 19 (1 21, 23 o 33, 88, 101 y 254n.
Cou, de lo GranOto, cueva sepulcral (Vilossar de 0011. Borcelonol: 31; --de la
Muslelo I ¡Llin6$ del Vallés, Barcelona): 33; --de lo Mustelo 11 (Lllnós
del Volles, Barcelonol: 33.
Coudele de 105 Fuenles (Valencia) : 151 n.
Cembro, valle (1Ialia): 89.
Cerro, del Berrueco (Salamoncol: 218.~.; --de San Miguel de Lirio: Véose "Lido".
Cerlosa, Lo (Italia!: 99 y 185.
Cesórea 101 (Maurilonla, Al dea): 261.
Cigorrolejo, El (Mula, Murcio): 141n. y 151.
Cilicio (Asia Menad : 266.
Cingla, borroneo (And lllo. Valencia): 65.
Cire naico (Africol : 142.
CIrIO (Afrlca): 268.
Ci lonlo de Son'in,: Ver "Sonfins".
Citerior: 262 y 263.
Ciudadela de Rosas (Rosas, Gerona}: 20.
Civitavecchio (Roma, Ilalio): 253n.
Clol)( (Froncio): 1 y t 2 .
Clochas, cerro (Vi llar del Ar:r.abispo, Valencia) : 65.
Cocoso, Lo, villa romano (Badajo:!'}: 211.
Cagotos, Las (Cardeñoso, Avila) : 215 y 216.
Colelo, mon le (Anelllla, Valencia): 65.
Coll del WIOro (Serro de AlmOf'$, Tivlssa, Tarrogono}: 11.
Conslantino (Sevilla): 215.
Conleslanla: 105 y 106.
Córdoba: 231 y 258n.
-
293 -
[page-n-364]
Córcega, isla: 261 .
Carinta (Grecia): 155n.
Comeda (110110) : 89.
Costo Bravo (Gerona): 253<'1.
Costas del Levanle Español: 62, lOS, 108n., 138, 156, 2 53, 256 y 262.
Couronne, Lo (Choren lO, Froncio): 1 o 14.
Cava, del Oimon; (Premió de 0011, Borcelono): 32; --d'En Pou (V ilossor de 0011,
Barcelono): 31 ; --de les Foyetes (T abernes de Valldigno, Volencia): 59;
--de les Morovel1es de Morchuquero (Gandlo, Valencia): 59: --de 1
0
Pos tora (Alcoy, Alicante): san., 52n., 55n., 59, 60 y 62.
Covallo (Alboido, Va le ncia) : 36, 105n. y 106.
Covelo del Borrone del Cos tellet (Corrlcolo, Valencia): 35 o 64; --de l'Or (Beniorres, Al ican te): 61.
Crocovio (Polonia): 143.
Creta, isla: 154.
Creu d'En Cober lella, dolmen (Rosos, Gerona ): 19 o 21.
CreulO; du Loupe (Charenta, Francia): l.
Cruz, Cerro de lo (Vi llar del Arzobis,>o, Valencia): 68.
Cueva, Lo (Albacele): 214; --de lo Roca (Orihuela, Alicante): 5 2n.
Cullero (Volencia): 59.
Cumos (Campon ia, Ilo lia): 143 y 144.
Ch.ompellans (Sain t- Foy_La Grande, Francia): 21 0n. y 212.
Cnamplgny-su'- Yanne (Francia): 2 16.
Cnarenta (Francia) : 1 a 14.
Chateau-su,-Satlnas (Francia): 222.
Chouvel (Francia): 1'.
Chelva (Valencia) ; 65.
Chivo (Valencia): 59.
Chulilla (Valencia): 65.
Danubio, rio: 212 y 2 13 .
Dehesilla, lo (PO$odo$, Córdoba): 231 .
Delicias, Los (Ecijo, Sevilla): 221.
Delphas (Focia, Grecia): 155n.
Denia (A lican te): 225 y 256.
De r... a (Ci'enaiéa, Africa ): 142.
Despeñaperras !Jaén): 152 y 156.
Dianium, hoy Denia: 256.
Dodecaneso (Egeo): 143.
Dolomitas (Alpes, Ilalia) : 89.
Dordaña (Francia): 11.
Oas Zelor (Valle de Fiemme, Ilalia) : 88n .• 94, 95, 91 y 100.
Doui~ (Tunez, Afri ca): ISO, 151 y 158.
Duratan (Segavia): 218.
Ebro, rio: 185, 211 y 213.
Ec ija (Sevilla): 221.
Ed etanio: 106.
Egelas le (Car togena): 251.
Eg ea, mar: 143 y 154.
Eg ip ta: 253, 256 y 269.
Elche (Al icant e): 108n., 151 y 158.
Emporian: Ver" Ampurias".
Ensérune, necr6polis (8biers, Francia ): 101, 108, 111, 118n., 12~ o 124, 121,
128, 131, 136 a 138 y 166.
Erelo del Pedrega l (la Marjal, Navarr's, Valencia) : 52n.
Escocia: 219n.
Esparto (Gr8(io): 155n.
Espolia (Gerona): 26n.
Esquerdo de les ROques de El Pany (Torrellas de FallO;, Barcelana): 45 y 61 ....
Estados Unidos de America: 143 y 184.
Estivella (Valencia): 1S.
Eta uars (Froncia ): 11.
Fayum (Egip to): 269.
Febr6, La (Torragano) : 11.
Feuillade (Francia ): 11 y 12.
Fiemme, valle (It alia): 89, 90, 94 a 97 y 100.
_
294 _
[page-n-365]
Finlandia: 219.
Florencia {llalia!: 155.
Fanl, de lo Areno: Ver "Fanl del Sopo"; ---del Caldero (Carrícala, Va lencia):
37; ~el Garbi (Albolal deis Taronchers, Valenda): 16; ~el Roore
{E5o;lOUa, Gerono!: 26n.; -del Sopo (Albolal deIs Taronchers, Valencia) :
16 y 18.
Fonlaine Vacher (Francia): 1 o 14.
Fantenille (Fronda! : 11.
Francia: 1 o 14,81,101,108,111, I 18n., 120 0124,121, 128,131, 136 o
138, 143, 155n., 166,210,212,216,211,220 o 222, 256, 259 o 261,
211 y 275 o 281.
Goida (IIa lia): 92.
Golia : 256, 251, 259 o 261 y 271.
Golida: 211 y 280.
Gondia (ValenciaJ: 59 y 106.
Garbí, monte (Valencial: 15.
Gardeno, yaUe (I talial: 95.
Garana, do (FranciaJ: 14.
Genil, rio (Granado): 228.
Germanio: 229 y 264.
Gerona: 19 o 21, 101n., 130, 143, 144, 168, 110, 111, 111 0185,2\1,253.
251,2 59 y 211.
Gher no (Cirenaico, Africa): 142.
Gibraltar: 81.
Gignoc-Io-Norlhe (Francial : 221.
Girando (Francia ): 210n.
Glastonbvry (Somerset, Inglaterra): 219n .
Groo de Valencia: 225n.
Groufesenque, Lo (Francia): 2 12 y 211.
Grecia: 108n., 120n., 121, 128, 130, En o 139, 142, 144, 150, 15In., 153
o 155, 266 y 280.
Gra la do Noscenle do ria Almonda (parlugal): 211.
Groll e du CreuK du Laupe (Francia) : 1.
Hawara (Egipto): 253.
Hélode: 138.
HemerO§Copian: 105n.
Henera del Piwerga (Palencia) : 218.
Higueruela (Valencia): 68.
Hispalis, hoy Sevilla: 266.
Holanda: 142.
Hornillos del Comina (Burgos) : 211.
Hoyo de Sonia Ano (Albocelel: 105 n.
Huelva: 151n.
Ibi:.a: 131n., 211 y 225 .
IIdura, hoy Molar6: 211 n.
Inglaterra: 131 n., 181,210, 219n. y 229.
Isarca, ria (Italia! : 88 y 98.
Ischio, isla (Mor Tirreno, Italiol: 21, 138, 113 y 253n.
ISlrio, peninsula (Itolia): 81 .
Ilalia: 85 0104,108,138,139,143,144,150, 151n., 153 0155,113,185,
210,213,229 o 231, 253n., 254, 256, 2610 264 y 210.
lulla Emano (Europa cen tra ll : 265.
Izana (Soria ): 218.
Jaén: 152 y 156.
Jone t, cueva (TivisSQ, Torragana): 11.
Jótiya (Valencia) : 105n. y 251 .
Jere:. de lo Frontero (C6di:.): 151n.
Jerusalén: 215 o 281 .
}obenbühel (Monti cola, Ita lia): 92 y 96.
Jonio (Grecia) : 158.
)uliobrloa (Reinoso, Santonder): 218 n.
Juro (Francial : 222 .
Karl sr uh. (Boden, Alemonia) : 142, 143, 150, 155 y 156n.
Kef, El (Túnez, Africa) : 269.
Kubon (C6ucO$O) : 153n.
-
29 5 -
[page-n-366]
Logundo (Itolio): 96.
loncio (L eón ): 211 .
longa de Duero ($orio) : 2 18.
Longuedoc (Froncio) : 11.
Lopon io: 93 y 95.
Lougen: Ver "Luco".
Louro, hoy Urio (Ede lonio): 116 y 2 54.
Loy (Froncio): 221.
León : 211 y 2 18.
lePlls (Alrico del Norte): 268.
Lérido: 208.
Levanle español: 15 o 18, 35 o 84,105 0139,159,185,208, 219,236, 248
y 251 o 213.
Leyde (Holondo): 142.
LezouJ( (Froneio): 211 .
libya (Alrleo) : 210.
lIgurlo (1Iolio): 81.
limes germánico: 211.
lirio (Volencio): 65,68, 152n., i53, 159 0116,201,221 y 254 .
lIJ(us, noy Lorocne (Morr uecos): 268.
Logroño: 218.
Lombordío 111(110): 98.
Londres: 131 n.
L050 del Obispo IVolencio): 65 y 69.
Lucenlum, noy Aliconte: 106.
Luco (ltollo): 98.
Lugdunum Covenarum, noy SI. 8ertrond-de-Cominges (Froncio): 210.
Lusl tonio: 2 55n.
Lyon (Froncio ): 143.
Llono de 10 Consoloción (Monteolegre, Alboce le): 105n.
Llo10S, covocno (Andillo, Volencio): 68 y 11 .
Ll lnós del VolI~ (Borcelono): 32.
L1ome tes, Les (Alcoy, Alicante): 56, 59 y 61.
Mocedon io (Balcones): 280.
Madr id : 149, 151n., 152n. y 2 16.
MoQno Grecio (lto!io): 144 y 150.
Mokóo (Menorco): 212n .
Molnz (Alemanio): 229.
Mollorco: 185, 216 y 259n.
Moresmo, comarco (Co toluño): 29, 32 y 211n.
Moriernon t (Bélgico): 143.
Marjol, partido (Novorrés, Volencio): 52n.
Mo,lh (Borcelono) : 215.
Morsello (Froncio): 122n. y 259.
Morti, necrópolis (Ampurirn;, Gerono): 118.
Mos Costellor (Penodés, BorceIOna): 254n .; --de Menente (A lcoy, Ali co nte):
49n. y 83; --de Modesto (Ares del MoeSlre, Cos tellón): 52n .; --deis
Polloresos: Ver "Polloresos".
Mo!orá (Borcelona ): 30n. y 211n.
Mou ritonlo Cesóreo, hoy Argelio: 261 .
Medl!erróneo, mor: 14,81,1 0 1,105,136,139,141,1 44 ,145,141,153,154 ,
156 o 158, 111, 116,253 y 256.
Megoro Hybloeo (ltolio): 154.
Melos (Grecia) : 154.
Meluno (holio): 98.
Mérido (Bodojoz): 2 58n.
Meselo cenlrol: 105, 185 y 209.
Micnlgo n lEE. UU.): 143.
Milán (Itolio): 218.
Millores, Los (Almerio): 62.
Minoledo (Alboce te) : 105 n. y 254n.
MizQul tillos, borroneo (V illo. del Atzobispo, Volencio): 65 y 68.
Mocho, cerro (Villa, del Arzobispo, Valencio): 65 .
Mogente (Valencio): 105 a 139, 141 o 145, 1410 158, 161, 168,208 y 2 16.
Molo Rernigio (Ares del Maestre, Costellón): 52n.
-
296 -
[page-n-367]
Mo"1iluelfo (Itolio): 95.
Montogno (Ilolio): 97.
Mon toru (Francia): 271'1.
Monle de lo Borsello (Torremanzanos, Alkonle): Ver "Sarsella, lo".
Manleogudo de los Vicarias (Seria): 218n.
Monlkolo (Italia) : 92 '1 96.
Monlroy (Sierro Almagrera, Sucinte npoñol): 21 l.
Monzo (holio): 27B.
Morolollo (Murcio): 77.
Moritzig: Ver "Son Maurizio".
Mulo (Murcio): 147'1. '1 157.
Munlon'lo Redono (Albolol deis Toronchers, Valencia): 17.
MUnlOn'lela de Cabrera, del Vedal (Torrente, Valencia): 49'1 .
Munlmajor (Bor celono): 215.
Murcio: 52'1., 53n., 55n., 60, 77, 108'1., 147'1., 152'1., 157, 215, 254'1. a
258n., 264 '1 266.
Murto, lo (Albolo l deis Toronchers, Volencia) : 17.
Museo: Ant;qvorivm de Berl in: 153'1. '1 155n.; - Arqueológico de Borcelana:
107'1., 131'1., 143 o 145, 168'1., 170'1271'1.; -Arqueológico NacionCIl
(Modrld): 149, 152'1. '1 216; ---de Ar l6 (Mallorco): lBS; - Británico
(landres): 13In.; ---Civico de Bal zono (I tolio): 96'1.; ---C:torloryski de
Crocovlo {polonia): 143; - lapidario de Narbona {Francia} : 275 o 281;
---del louvre (Poris): 155n.; ---de Motoró: 271 'l.; - Mun icipal de Hislor lo de lo Ciudad (Barcelona): 271 n.; - Nocional de Atenas: 150 '1
154n.; - Nacional de Karlsruhe (Alemon io): 142, 143, 150 '1 156'1.;
- Nacional de Antigüedades de Leyde (Holanda ): 142; ---del Polai, St.
Pierre, de L'Ion (F rancia): 143; -de Prehis toria del Servicio de Invnligoción Prehistórica de la Excmo. D¡;xstoción Provincial de Volencia: 37,
49, 5 2, 107, 141 o 145. 148n., \67'1., 168'1., 187, 20B, 211,2 16'1.,
225 o 231 '1 242; -Pa\eocrisliono de Tarrogana: 269; - Valencia de
Don Juan (Modrid): 1"19'1 151n.
Nanln (F rancia): 212.
Nópoln (1Iolio) : 143 '1 144.
Na,bo, hoy NarborlO: 260.
NQrborlO (Francia) : 275 o 28 1.
Narbonense: 259 '1. '1 271.
Navarro : 21 5 y 218.
Navam!s (Valencia): 52'1.
Negro, mar: 1"1' o 1'14.
Necrópolis de Bonj06n (Ampurios, Gerona): Ver "Bonioón"; - Marli (Ampurios,
Gerono): Ver " Mor,," .
Nemo\lSO. hoy Nimes: 260.
Nimes (Francia) : 260.
Non, valle (Vene lO, 110Iio): 89 '1 98.
Nules (CosteIl6n) : 239.
N umancio (Soria): 205, 217 '1 21B.
Occidente mediterróneo: 110, \30, 131, 136, 138, 166,256'1275.
Olius (lérido ): 208.
Olivo (Valencia ): 106.
Oltreodige ( 1Ialio): 88.
Onda (Costellón): 205.
On tu. (Al bocele ): 253n.
Ol'lmplo (Grecia): 153n. '1 155.
Ol'ln to (Grecia): 120n., 127n., 128, 130n., 137, 138'1142.
Oporto (Portugal) : 77.
Oro (Italia ): 93.
Oriente mediterráneo: 1 lO, 130, 1'11, 14"1, 153, 15'1, 157, 25'1n . o 256, 259,
265, 271 '1 212.
Orihuelo (Alican te): 52",.
Ortisei (I talia): 95.
Orvie to (h alio): 155.
Ostia (Romo, Italia) : 253n. '1 270.
Paises Bajos: 142.
Polancia, río (Valencia): 15 '1 17.
Pa lencia: 218.
_
297_
[page-n-368]
PoUor!'50S (Torrogona): 266.
Ponodés, cornarca (Cataluña): 254n.
Panetiere, Lo (Francia): 216.
Porís: 13, 14, 155n. y 276.
Pascala, monte (Italia): 90.
Posquai (Italia): 95.
Pec!ralva (Valencia): 65.
Peloponeso (Grecia): l55n.
Peño, de lo Dueño (Teresa, Cas tellón): 82; _ Royo, monte (Urla, Valencia): 65.
Pe,;albo (CaUellon): 181.
Penoles (Francia): 11.
Pesara (halia): 262.
Pinarejo, monte (Andilla, Valencia): 65.
Pirineos, montes: 251 y 275.
Pisou.a, hoy pesa.a: 262.
Pite.mon (Toles, Egipto): 269.
Placa.d, caverna (Fr ancia): 11.
Planl6n, cerro (Villa. del Arzobispo, Valencia): 65.
Poelovium: 265.
Polonia: 143 y 205.
Polle nso (Mollorca): 176 y 216.
Pollenlio, hoy Pollensa: 116 y 2 16.
Pompeyo (Componia, Ilol ia): 256.
Panle Nova (Ital ia): 93.
Pattugal: 11,209 a 211, 2 13, 211 y 219 o 22 1.
Premi6 de Dalt (Barcelona): 32.
Prumuliog, hoy Vendres: 2 12.
P,avenza (Francia): 213.
Puig de les Aligues (Gerona): 19; ---Cas tellar (SonIa Colomo de Gromene t, Barcelano): 2 16.
Pun lal de Cambra (Villar de l Arzobispo): 65 o 84 .
Pusler;a, volle platia): 89 y 95.
Puymoyen (Francia) : 11.
Quima de Modeira (Portugot): 221.
Rob05es, les (Albalot deis Ta.onchers, Valencio): 16 y 11 .
Rambla, orrayo (Vi llar del Arzobispo, Valencia): 65.
Róvena (h alia): 261.
Recio (AI~): 85.
Reclu$ (Francia): 14n.
Recoux (Fronda): 9, 11 y 12.
Rhelnzobern: 271 n.
Roc de lo Fode (Francio): 11.
Roca d'En Toni, dolmen (Vilos.so, de Oolt, Borcelona): 30 y 31; - Llobotera
(Vi lossar de 0011, Borcelono): 32.
Rocoforl (Va lencia): 55 y 59.
Rocca (lt oHo ): 90,91,93 y 95.
Rochlna (Sol de Ferrer, Cas tellón): 205.
Rodas, 1510: ISDn. y 154.
Rollos: 105n.
Romo: 2 53n., 255 o 257 y 262 o 264.
Rosos (Gerona): 19 021, l07n., 130, 143, 144, 168, 110, 111, 117 o 185,
211, 251, 259 y 271.
Rusio: 144.
Sobodell (Barcelono): 29n.
Sacoias (Brogom;a, Par lugal): 209n. y 2 10.
Soelabls, hoy Jóliva: 105n., lOO y 257.
SogunlO (Valencia): 191,210, 231, 241, 254, 255 y 260.
Soinl Berlron-d-de-Cominges (Froncio): 270; - Foy-Lo Gronde (Froncia): 210n.
y 212; - Froigne (Froncio): 11; - Yrieix (Froncóo): 1.
Soi nt e Co therine (Francia): 1 l.
Soi nl onge (Francia): 11.
Salamanca: 217 y 218n.
Salobral: 105n.
Salobror, borraneo (Andilla, Valencia): 65.
Solónico (Grecio): 142 y 280.
-
298 -
[page-n-369]
Salvotierro de 10$ BorrO$ (Bodojoz): 24B.
Son Antonio (Ibizo): 211 ; ---Mourizio {llolio}: 96 o 9B; ---Miguel de Urio: Ver
"Lirio"; _ Miguel de Sarbo (Mun lmojor, Borcelono); 2 15; .......pielro o
Fib {holio} : 86 y 93.
Sanfins (portugal) : 220.
Sant Genis de Vilossor: Ver "Vil05sor de DoII".
Sonlonder: 211 y 21Sn.
Santo Domingo de SilO$ (Burgos): 21 0 y 21l.
50nl0$ Lugares: 215 o 28l.
Sanuno Ptollo) : 94, 96, 98 y 99.
Sorso, cuevo (8ocolrente, Volencio): 61.
Sclotbi, necrópol is: 130n.
Scmor, mantel (110110) : 90 y 96.
Sedielos tRegua, Portugal): 213.
Segovio: 218.
Segorbe (Costellón): 181.
Selvo, Lo (Gerona ): 253 .
Sesmorio (Por tuga l): 220.
Serpis, río (Allconte-Volenclo) : 242.
Servicio de Investlgodón Prehis tórico de lo Ellcmo. Of¡:¡utoción de Volencio: 15,
35,31, 66 n., 69, 101n., 110, 142, 148n., 159, 111, 181, 192 y 225.
Serreto, Lo (Alcoy, Alica nte): 105.
Sevilla: 215, 227, 2 5Bn. y 266.
Siccoe Vene'io, hoy El Kef: 269.
Sierro Moreno: 221 .
Siusi (Itolio): 99.
Sofío (Bulgorio) : 143.
Son Fobor, toloyal (Mollorco): 151.
Sorio: 205, 2 11 Y 218.
Sot de Ferrer (Costellón): 205.
Stufon (Or llsel, Itolio): 95.
Suero, hoy JUcO': 106.
Sudesle español: 60, 18S y 219 .
Toberne$ de Volldigna (Valencia) : 59.
Toln (Foyum, Eg ipto) : 269.
Tomudo (Marruecos Español) : 219.
Tonaco: 253n. y 210.
Tarraconense: 251, 25B, 212 y 213.
Torrogono: 11, 209, 210, 215, 216, 253n., 254, 256 o 258n., 260 o 263 y 265
o 212.
Torso (Cilicio, Asia Menor): 266.
Tortessos: 156.
T emplo de Júpi ter (Olympio, Grecio): 155.
T eresa (Costellón): 82.
T ermeno (Italia ): 96.
Terre,s, Els (Albolot deis To,onchers, Valencia}: 15 y 11.
Tesloccio, mon te (Italia ): 229
231, 254 y 256.
Tindorl ISicllio, Itolio) : 171.
Tivisso (Torrogono}: 11 y 215.
Toledo: 2 11.
Tolmo, El (MinO ledo, Alboce le): 25 4 n.
Torre de los Esclpiones (Torrogonol: 212n.
Torre del Mol Poso (Co$ lelnovo, Cos tellón ): 1B1 o 223.
Torrellos de Foix (Borcelono): 45 y 61n.
Torremonzonos (Alicon te): 52n., 53n., 55n., 56, 59 y 60.
Torrente (Valencia): 49n.
TorlOSO (Totrogonol: 258n., 256 y 266.
Totono (Murcio): 52n., 53n., 55n. y 60.
Toulouse (Froncio) : 260 y 215 .
Tromin: Ver "Termeno".
Trentino (Itolio): 90 y 101.
Trípoli (Atrico del Norte): 142.
Trugny (Frondo}: 211 .
Tuillet (Froncio): 221.
Tudo, río: 65.
°
-
299-
,
[page-n-370]
UUaSlrel (Gerar>O): 107n.
Vocher: Ver "Fonlaine Vacher" .
Valencia: 15 o 18,21 , 29n., 35 (1 84, 88n., 105 o 139, 141 o 145, 141 o
111, 181, 191, 208, 210, 211 , 216, 225 o 249, 254, 255, 251 , 260
y 272n.
Valent ia: 106 y 116.
Valvet$Ch-Ka T
zenlocherbühel (Castelrolto, 110Iia) : 81.
Valladolid: 218.
VaUromanes, dolmen (8arcelonai: 24n., 26n., 30 y 32.
Vandoles di Solla (h alia): 88.
Vedot, par T
ido (TorrenTe, Volencia): 49n.
Vei;: 155.
Vendee (Francia): 13.
V~ndres (Francia): 212.
Venecia Triden tino (1Iolia): 85 o 104.
Ventimiglla (h alia): 111 , 213, 253n. y 261.
Verdolay (Murcio): 215.
Vio Augusto: 30n.
Vich (Barcelona): 25B.
Vlenne (Francia): 261.
Vilo, cueva (lo Febr6, Tarragona): " .
Vilar!nllo dos Cos tos (portugal): 220.
Vilassor de Dalt (Barcelona): 30 o 33; -de Mor (Barcelona): 30n.
Villafranca del Panades (Barcelona ): 208.
ViUar del Arzobispo (Valencia): 65 o B4.
Villalonoo (Volencia): 241 o 249.
ViU arreol (Cas T
eIl6n ): 239 y 241.
Viña del Pou (Vlllafranco del Ponades, Barcelona): 208.
Voell (Francia): 11.
Vols (llolia): 86.
Voul~zoc (Francia): 11.
Yeda, caslra (SonIa Domingo de Silos, Burgos) : 21 0 y 211.
York (InglaTerra): 229.
Yverdon (Franc ia): 212 .
-
300-
[page-n-371]
INDICE DE PER50Nfl5
Ad,iono: 191 y 219'1.
AeUonus: 256" .
Altro Curo: 236.
Al'rais, Atros, Atrosia y Aerosiano: 233 y 235 o 231.
Afrodita: 272.
Ago tnocules: 261.
Alber!lnJ, E.: 252.
Alc6cer Grou, J. : 65 o 84 y 110n.
Alcino Fronen, A.: 58 y 64.
Alejandro Severo: 193, 194 y 221.
Almagro Boseh, M.: i 77 o 185 y 259.
Almorc"", Vó~qUt1. . F.: 105 '1.
Alvorel O550.io, F.: 147n. y 152n.
Ammon : 269.
Antonino: 219".
Arocl1 : 36.
Arcodio: 194 y 219".
Arco, A. del: 267 .
Arios, 1. A.: 2S8n.
Arisloleo: 259.
Amol, J.: lln.
Anem is: 157.
Allis: 259". y 212n.
Ausonio: 256".
Avilio, C. Vale.io: 260.
Bol,1 1II0no, A.: 251 o 273.
Bollesle. Tormo, l.: 15,21,35 o :31, 39,42, 48n . o SOn., 52n., 54 o 56"., 58
060".,69, 88n., 102, 101"., 108'1., 110, l31.n., 141n., 148n., 152n.,
151'1., 159". y 187n.
Borros de A,ogón, F. de ID~: 21 5n.
Bot lle Hugue t, P.: 236n ., 263 y 269.
Botloglio, R.: 102.
Beozley, 1. D.: 13B, 141 y 142.
Beldo Dominguez, J. : 52" ., 55n. y 56n.
Beldom, rnocS lro ceromis to de: 183.
Beh,6n Gallorl, A. y M.: 225.
Bel t,ón Mortinu, A.: 256n., 25Bn. y 266.
Behrón Villogroso, P.: 19<1n. y 269.
Benoi !, F.: 122n., 157, 158n. y 275.
Bernordo el Monje : 279.
Berl"lOlzik, H. A.: 93.
Bóhlou, 1.: 1<12 y 1-43.
8óhner, K.: 210n.
Bono y Borber, S.: 225n.
Bomor, 1.: 226n. o 228 y 231.
Bosch Gimpero, p,: 14,24,26, 138n, y 209",
Breccio, E.: \30n.
Breuil, H.: 102 y 2S
Brull, L.: 21Sn.
Buch"er: 253n.
_
301-
[page-n-372]
Cobre Agulló, J .: 77n., 215n. y 216.
Cobrol: 215, 211 y 219.
Cognot, J .: 236n., 241 y 211n.
Camponus, Volerius: 242.
Compi, L.: 102.
Co.bollo, J .: 218n.
Cotulo: 251n.
Cayo: 262.
Co:r.urro, M.: 19n. y 2 11.
Cerrolbo, E. de Agu iltro y Gomboa, Morqujs de: 209n.
CHor, Julio: 210.
Cibeles: 272n.
Cid, Rodr igo Dio:r. de Vivor: 37.
Cid Prl~o, C.: 259n.
Colominas, J. de: 21 In. y 221 n.
Commodo: 197.
Comfort, H. : 209n.
Conde dI! lo Vt!9Q del Sello: 77n.
Conl1, A. : 210n., 212 y 213.
Constoncio 111: 221.
Constan tino: 219n., 276, 218 y 280.
Coste-Messellere, P. de Lo: 155n.
eotord, 211.
(outl,,: 221 n.
Creseenl: 231 .
Cuodrodo DiClZ, E.: 50, 77n., 147n., 207 y 2 53n.
CuodrodCl Rujz , J .: 52n. y 56n.
Cuflense: 231 .
Cumont, F.: 272n.
OlObre t, A.: 2IOn., 236, 237, 239 y 241
Childe, V. G.: 14n.
DClremberg, Ch.: 217n.
Dowkins, R. M.: 155n.
Dechelelle, J.: 20, 212, 211 y 228n.
DelClnre: 150n.
Dios de DllUs, A. : 219n.
Didio Murt is, IlbertCl: 236.
Didius Fuscus, L : 236.
DiocleclonQ: 254n. y 255.
Diodoro: 15 1n. y 255n.
Dionisios: 180.
DIOseS MClnes: 261 y 268.
DClmlciClno: 2 54.
Dressel: 226, 231 y 254n.
Druso: 85.
DurCln y Sempere. A.: 211 n.
DuvClI : 221 n.
Ebef!, M.: 219n.
Egger, A.: 8S y 102 .
Escrlvó Puig, S.: 242.
Esteve Guerrero, M .: 20Sn., 209n. y 21 5n.
Estrobon : 151n. y 255 CI 257n.
Eterio: 219.
Etlenne, R.: 271n.
Euhado, L. Em1lio: 266.
Eusebio: 279.
Foust¡nQ: 197 .
Fernande:r. de Aviles, A.: 219n.
Feytmons, D.: 143.
Filenis, Fulvio: 237 o 241 .
Fmpo: 280; - el Arobe: 195.
FlIipone. V. : 102.
FilO, F.: 239 y 241 .
FlelCher VolIs, D. : 68n., 102, 107n., 110, 142, 148n., 158n., 16On., 116n., 181
CI 223 y 254n.
-
302 -
[page-n-373]
Fo.el, Abbe: 14n.
For ne r Tigell, V.: 239n.
Fox, C. : 216n.
Fron", L.: 102.
Frickenhous, A. : 183.
Fron tino: 116n.
Fus te Aro, M .: 188.
Gabriei, E. : 143.
Goleno: 256n.
Gollo, 8ebio: 263 .
Gorcio y Bellido, A.: 105"., 143, 148n., 152n., 156n., 2091'1., 2181'1., 222". y
210 o 272n.
Gorcio y ViUodo, Z.: 280n.
Gorrigo Pujol, J .: 191'1.
Gouthier, J .: 7 o 14.
Gel1ia: 253 y 2511'1 .
Ghlslol'l"oni, E.: 102.
Giglioli, G.: 1551'1.
Gimene" Arnol, C.: 219n.
Giner Boiro, V. : 1071'1 .
Girault: 212.
Giró Romeu, P.: 208n. y 25 4n.
Góme" Moreno, M .: 21 .
Gómez. Serrono, N . P.: 68".
Gon"Ólez. Salos, S.: 209"., 211". y 218".
Go.diol'lo: 193.
Grobor, A.: 275, 276 y 219 o 281.
Grociono: 195.
Gracia: 2571'1.
Gron Oioso: 151.
Groniono, Q. Llcinio Silvano: 262 y 263.
Grenier, A. : 228 y 2291'1.
Gri lle, L. : 211.
Grimes, W. F.: 2191'1.
Gui ll eumes, A. : 24, 32 y 33.
Hoimon, moeslro ceramisto d e: J 80, 181 y ) 8 3.
Holler, F.: 102.
Holt, J. J .: 2 591'1.
He leno, Ph.: 211.
Heliodoro, M. Aurelio: 266.
Henderson: 251 n.
Hero: 235 .
.Hero Akroio: 1551'1.
Her ois: 235.
Heras: 235 y 236.
Herosius: 235.
Hernánde" Morales, A.: 2161'1.
Hipól ito, L. Em ilio: 266.
Holste, F.: 102.
Holwerda, J. H.: 142.
Honorio: 19<1.
Horoclo: 85.
Hi,ibner, E.: 236, 231, 2<10, 252, 259 o 261 y 26<1 .
lanuorio, C. Tedio: 262 .
Innerebner, G.: 81, 89 o 91, 96, 91, 102 y 103.
lsosi Ronsome , R.: 2161'1.
Isis: 2121'1.
JonnorlJ'f, J .: 1011'1.
Janssen, L. J . F.: 142.
Jo"dzewsk i, K.: 205n. y 2 191'1.
Jordá Cerdá, F.: 681'1. y 192.
Jornet Peroles, M.: 60 y 232 .
Jubo, rey: 212 .
Julio Mommeo: 194.
Jullion, c.: 212 y 213.
_
303-
[page-n-374]
Joipilet: 155; ---Cossio: 272.
Kern, J . H. C.: 141 o 145.
Keune: 229.
Kilbtide-Jon«, J . E.: 219n.
Kocq VOn Breugel, c.: 142.
Krysiok, K.: 131n.
Kühn, H. : 210n. y 219n.
Kukohn, E.: 141 o 158.
Lodurner Porlhoms, M.: 103.
Loel, S. J . de: 271n.
Lomb, W.: 153n. y 155n.
Lomboglio. N.: 105 o 139, 14 1n., 145, 161 n., 162n., 165n., 161 n., 168n.,
I1 l n. o 113n., 115n., 210n., 2 13 y 214.
Lont ier, R. : 102, 151, 219n., 254n., 212n. y 213n.
Lovioso ZOmbolli, P. : 91 a 99 y 103.
Ledereq, H.: 215 y 211 a 219.
Leonordl, P. : 85 o 104.
Liberolis, L. Num is¡u ~: 261.
Livio, Tila: 116n. y 2 55n.
Lópu Cuevillos, F.: 2 11 n.
Louis, M.: 11 n.
Luello, Marco Aurelio: 265.
Lu crecio, Morco: 263.
Luengo, J. M.: 211.
L10brés Bernol, J.: 216n.
L1olos Burgos, V.: 66n. y 69.
L10pls L1opls, S.: 254n.
L1oreo Rodríguez , J .: 214n.
L1uch Arnol, E.: 239.
Mocdonold, G.: 2 1On. y 213.
Moe Elderry : 25 1n.
Moller, V.: 103.
Moreetino, Aurelio: 265 .
Morci liberlo Philoenls, Aemilia : 24 1.
Morcio l: 254 y 256n.
Morco Aurelio: 195, 191 y 220.
Morco Antonio: 221 .
Morconi, P.: 103.
Morchese tti, C.: 103.
Moreh i, G. de: 102.
Moriner Bigorro, S.: 225 o 249 y 212n.
Morato, S.: 22 5n.
Morli Goreeron, R. : 181, 190, 195,213 y 214.
Morti Grive, P.: 45n. y 61n.
Morline:r. Aloy, J.: 232 y 233.
Mortine:r. Burgos. M. : 211n.
Mortine:r. Sonlo-Olollo, J.: 63, 11n., 103, 15In., 156n., 209n. y 21 8n.
Mortorell, F.: 210.
Moterno, C. Domitio: 264 .
Moterno. Tiberio Julio: 263 .
Moteu y L1opis, F.: 194n. y 221n.
Mo:o:imino: 195.
Moyr, K. M.: 103.
Mela, Pomponio: 255n.
Melete, Volerio: 261.
Metido Alinori . J . R.: 218n. y 258n.
Melisso : 229.
Melissus, lun;; : 229.
Menghin, O.: 104.
Mergelino, C. de: 11n., 152n 217n. y 218n.
Merhorl, G.: 104.
Mezquiri:r. Irujo. M.O. A.: 101n. y 159 o 116.
Milo, Cordenol Luis de: 31.
Mi lhros: 212n.
Molinero pere:r., A.: 2 18n.
-
304-
[page-n-375]
Monlo r><>, lo Voler¡o: 260.
Mont tverde, J . L.: 2 11n.
Mon
Mau re t, F. : 107 n., 117 n., 122n., 212 y 2 13.
Muehleslei n, H.: 155n.
Mu ller- Korpe, H.: 2 19n.
Necloris: 269.
Nie to Gollo, G. : 2 15n, y 218n.
Obermoier, H.: 147n.
Oberrouch, L. : 104 .
Ober
Olivo, C.: 269n.
Olivo PrOI, M.: 19 o 21.
Olivei ro Mor lí ns: 273n.
Olives Conols, S.: 269,
O.sl, P. : 104 ,
Poo;o, A. do: 21111., 220 y 221 n.
Polol Solellos, P.: 21 0, 2 13, 259n., 272, 213n. y 275 o 281 .
Pollorés, M .: 77 n.
Pon, 1. del: 2 11n.
Ponckoucke, C. L. F.: 143.
Po nyell o, A.: 19n.
Po,;s, P. : 2 11 .
Poscuol Pérn. V,: 61 n.
Pou, C.: 19 7.
Pouly_W lsSQwo : 227n. y 229 n.
Povío, J .: 24 1 y 24 2 .
Pellegri nl, G. B. : 10 1n. y 104.
Pem6n, C.: 151 n.
Penney, C. L. : 227 n,
Pé.e
11On., 131n., 138n., 14 1n., 148 n. y 2 11 n.
Peri n, J.: 229n. y 2 36n.
Pe.nier, L. : 155n.
Pelr ie, F.: 2 53.
Pelron ;o: 2 56n.
Philelo, C. T e.eneio: 26 2 y 26 3.
Pho tios: 280,
Pi,oulel, M.: 222n.
Pill ioni , R.: 104 .
Pió Bolle5ler, E.: 35 o 6'1 y 16On,
PUnio: 2 53 o 257n.
Poir jer, M .: 7 .
Poll bio: 255n.
Ponse ll Corlés, F.: 49n.
Porcor Rlpollés, J . B.-: 187 .
Porciono, L. Cecilia: 267n.
Primo, Au Udio: 268.
Probo: 2 5411.
Prun e. , A.: 7711 .
Pude ns, P. An tonio: 26B.
Pu jol, V.: 2 39 y 24 1.
PUll., D. : 104.
QuO"O, C. Cecilia: 269.
Quintero Atouri , P.: 2 19n.
Romos FolQues, A.: 158n.
Rosma: 96n.
Rec Io, Lucio Emilio: 264 .
Rekh, D.: 104.
René, l .: 2 16n .
Rl")', R.: 27 5, 277 y 279 o 28 1.
Ribos Be. tró n, M.: 30n. y 32 n.
-
30 5 -
[page-n-376]
Riquet, R. : 11 n.
Roberti, G.: 94 y 104.
Robin50n, D. M.: 130n., 131n. y 142.
Rodrigun, J. : 11n.
ROSlov t:r.eff, M.: 254 n. y 210.
Rufo, Julio: 260.
Rull Vi ll or, B.: 199 y 205 n .
Russell Corte:r., F.: 11n., 209n., 211 , 213, 217 , 219n. y 220.
Soglio, E. : 211n.
Solin, E.: 281.
Soltet, 211.
Sombon, A. : 155n.
Son Agustín: 256n.
Son Cn6reo de Arlés: 215, 218 y 281.
Son Cucufote: 213n.
Sóncnn Alborno:r., c.: 251n.
Sónche:r. Jlmenn, J. : 214, 253n. y 254 n.
Sonchis Slvero, J.: 241n., 24 3 y 241.
Sondors, H.: 151n., 152n. y 22i.
Son FélllC 213n.
Son Pociono: 213n.
So n Rustico: 211 .
Son Volero Aporisl, J . 61n. 158n. y 254(1.
SorthoY Correres, C.: 239 O 241.
Sostre Alemony, V.: 243.
Saturnino, Cloudlo: 261 .
Saturnino, Mumm io: 261.
Scnlunk, H. : 209 y 21 0 n.
Scnmoron:r.er, J.: 104 .
Schulten, A.: 156, 116n. y 254".
ScimniU5, Scymnioni, Scymnus. s.cymnis, s.cymnionus : 226 O 229.
Secundo, Lucio Volerío: 261.
Séneco: 256n.
Seprimio Severo: 195 .
Seropls: 212n.
Serro Rafols, J. de c.: 14n., 23 o 33, 101n., 21In. , 21511. y 216n.
Serra y Vlloró, J.: 208n., 209, 215n., 216 n., 263, 261 y 281.
Sertodo: 116 y 221.
Sidonio Apollinor: 253 y 251n.
Slgal, L.: 216 y 211 .
Silio Ir61lco: 254 y 251n.
Sl ret, E. y l.: 13n ., 211n., 219n. y 221n.
Soler, V.: 36.
Sueronio: 2 56n.
Supior, J.: 220.
Toboodo, J.: 217 n.
Tonit: 158.
Toraceno Aguirre, B.: 212, 2 13, 21 Sn. y 218n.
Torrooell Mo reu. M .: 19n.
Toxio tes Tossi1ius, J. : 266.
T eodosio: 211.
Terentius lonuoriu5, Morcus: 248 y 249.
Terentius Thoumosrus: 248 y 249.
Te$pis: 259 .
Th.weno), E. : 221n., 258n. y 211n.
Thouvenot, R.: 212n.
Tiberio: 218.
Tovar Lorente, A.: 208n.
Trojono: 221 y 264 .
Tr iptolemos: 138n.
TKnurtscnentoler, P.: 104.
Tullo, J .: 269n.
Ubach, P.: 31.
Ursa : 232 o 231.
Vol Co turlo, E. del : 11n.
-
306 -
[page-n-377]
Voliente, F.: 59n.
Van NO$lrond: 2 51 n.
VO$sit$: 212.
Voultier, M. : 21 1n .
Vó:¡que:r. de Porgo, J.: 21 5 n. y 2 18n.
Venturo, J.: 31 y 32.
Verecundo, Q. Moneyo: 260.
Ve:¡posiono: 211.
Viono, A.: 219n.
Vicedo, R.: 56n.
Victorino, Morco Aurelio: 265.
Vilonovo y Piero, J .: 56n. y 61.
Vi loplono Julio, E.: 56n. y 61.
Viloseco Anguero, S.: 72, 77n. y 215n.
Vincent, H.: 279.
Visedo Moltó, c.: 49n.
Vitrubio: 255.
Vi"inghoff, F.: 2 51 n.
Vives, J .: 266, 267, 272n. y 281.
Vogell, A.: 142 y 143.
Wohers, H. 8.: 131 n.
Wheeler, R. E. M. : 21 9n.
Wheeler, T. V.: 219n.
Wi eser: 104.
Willioondo: 279.
Wolff, K. F.: 104.
Zbys:r.ewskl, G.: 211n.
Zelss, H.: 21 0.
Zenon, M. Em ilio: 265.
Ziocos, Pulicio: 268.
Zoticus: 241.
-
307-
[page-n-378]
[page-n-379]
INDIC.E
GENERI'IL
P" I n.
GAUTH IER, J.: Stolion néolithiQUf d e lo Fon je;ne Vach!!, (commune de
1
la Ccuron"e, Cno.ente)
MONZO NOGUES, Andrés: Lo Alba rdela (All:olol deis Toronche", Vo-
15
lencío) ..... ,
OUVA PRAT, Migu el: El dolmen de la C'fU .~'En Coberlello (Rosos, Ge ra no) y su cercano poblado ibero-romono ..
SERRA y RAFOLS, Jase de C.: El es tudio de le. culturo
lano ......
m~lil¡co
19
calo -
o ....... .
23
PlA BALLESTER, Enrique: Lo Covela del Borrone d el CosteUel (Carricolo, Volencio) . .. . .
35
ALCACER GRAU , José: El Punto! d e Combfa (Villa, del ArzobispO, Vo_
le ndo ) ..
65
LEONARDI , Piero: I costeUlerl dello Venez io Tr identino
85
LAMBOGLlA, Nino: Lo ceramlco "prec;ompono" deUo Bas tido
105
KER N , J. H. C.: No lice sur une oenochoe oUique el gloo;ure noir, du
Musee de P,eniSloi'e de Valendo ( E~gne) . .. .. . ...
14 1
KUKAHN, E.: Es to tu illo de bronc:e de un guerrero o cobollo del poblado
iberico de Lo Bostido d e les Alcuses (Mogente. Volencio)
141
MEZQUIRIZ, Mario Angeles: Lo cerómico de impOr toción en Son Miguel
d e Ur io ...
159
ALMAGRO SASCH, Mo r,in: Sobre el origen y cronología de lo ' iDUlo nispónico ...
177
FLETCHER VALLS, Domingo: Lo cueva y el poblodo de lo Torre d el Mo l
Pom \Cost el lrlovo, Cos tell ón) ...
.. ... ... . . . ... ... . .. ...
187
MAR INER S IGORRA, Seboslión: No tos de ep igro fio valenci ono ... ..
BAl1L ILLANA, Albert o: Lo economio y los habi ta nt es rtO ni5j)Ón icos del
Levon te español dl,.lron te el Imperio romortO ... . . . . . . . .. . .. . . . . ..
225
25 1
PAlOl SALEllAS, Pedro de: Uno representocia., del MorlyriJ,.IfTI de Je51,.1cristo en el Ml,.Iseo Lopidorio de Norbono
m
Ind ices al fo beticos .................... .
283
-
309-
[page-n-380]
LAS OPIN IONES VERTIDAS EN LOS
TRABAJOS INSERTOS EN ESTE VOLUMEN DEBEN ESTIMARSE COMO JUICIOS PERSONALES DE LOS RESPECTI VOS AUTOR ES.
[page-n-381]
Este Servicio de Investigacion Prehistorica remi te sus publicociones oora es loblectr
y mantener in tercambio con los ce ntros cie ntificos y señores inves tigodores en
esto eY,leclolidad. Por elfo espero ser correspondido con el envi<'l de los publicacio nes del receptor, ent endiendo, coso contrario, que no se deseo sostener inter_
cambio y suspendero .... lteriores e nvias.
Todo lo : or respondencio diríjase 01 DireCl::n del Servicio de inves tigoc ion Prehis_
tórico de lo Excmo. DipLJ lacion Provincial de Valencia.
•
[page-n-382]
•
[page-n-383]
PUBLICACIONES DEL S. 1. P.
SERIE DE ANUARIOS
ARCHIVO DE PREHISTORIA LEVANTI NA, r.~Anuor;o del SIP, 1928.- Volencio
1929,
Con tenido:
BolIHler Tormo (1.): A guiso de Proemio. El Servicio de l,westigoti6n Prehistórico
y su Museo.
Viñe¡; (Gonzalo J.) : Lo "Covo Negro" (JÓlivo).
Sreui' (H .l: Stotion moustérienne e l peinrures préhis torlques du "Conolizo el
Royo", Minoteda (Albocele).
S.tui! (H. ): Ves tiges de pelnlures prehistoriqu es " "Lo Cueva tiel Pernil", J ótivo
(Volence) .
Perico! (L.) : El depósito de bra zale tes de ;:>ec' .... n( ulo de "Penyo Ro jo" (Cuolretondelo ).
Bollester Tormo (l.): Lo covocha sepulcrol de "Cami Reol", A'boido.
Pon$.ell (F.): lo "Covo de lo Sors.o" (Bocoirente).
Jorne! (M .): Preh istoria 'd e Bélgido . 1. Hollo'lSlOS eneoli,ic~.
Pericol (L.) y Ponsell (F.): El Poblado de " Mas de Menenle" (Alcoy).
Gómn (Nicolás Prim itivo) : Un " Hio lu!" ptehislórico en los estociones arqueológicos de oltura, Itvontino1O.
Pericot (L.): El poblado ibérico del "Cnorpolor".
Basen Gimpera (p.) : Relociones enTre el arte ibé rica '1 el griega.
BoUesTer Tormo (l.) '1 Perlco t (L. ): Lo Bastida de "Les Alcuses" (Mogente).
NOTiciario.
No tos BibliogrÓficos.
ARCH IVO DE PRE H ISTORIA LEVANTINA. II._An uor io del SIP, 1945.-Volencia, 1946.
Conten ido:
BoUes ter Tormo (l. ): Unos .palabras de ptólogo.
Joroo Cerdó (F .): La "Covo Negra" de Bellus '1 sus industr ias liticos.
Porcor Ripollés (J .): I.,terpte toc iones sobre el orte ru pestre.
Pericot Gorda (L.): Lo cueva de "Lo Cocino" (Dos Aguos) .
Feroondn de Avilés lA.): Lo cueva funerar io, eneolitico, d e lo " Loma de los Peregrinos", en Alg uazas (Murcio).
Vil oseco (S.): Vestiglos de un poblado '1 necrópolis p rehis tóricos e n Ri...decols (Torrogono ).
Vida l '1 l ópe z (M.): Materi a les sonorionos en Valenci a .
Chocomeli (J.): la pr im ero e~ploroc¡ón polofih co en Espoi'ío.
BoUes ter Tormo (l.): 10010$ ocu lodos volBnCianos.
LebzelTer (V.) : Sobre a lg unos cró neos eneolí ticO$ de l Este d e España.
Alc6cer Grou (J .): Dos eSTociones orgóricas de lo regibn levan t ino.
Fle tcher VoUs (D.): lo construcción megalític.:l de Monfor te del Cid.
Plo BoUesler lE.) : "COva de les Moravelles" ¡Gondia) .
BaUeste r Tormo (l.) : Notos sobre las cerámicos de Son Miguel de Liria.--Estocas
h\rreos.- Vaso solar.
Breuil (H.) '1 Lah ti.et" (R.I: ViUoges Prerramoins de lo Péninsule lberlque.
Bollester Tormo (l.): Los monos de mor tero ibéricos.
Jornet Peroles (M.l : Prehistoria de Bélgido.
Gómez Serrano (N. P.): E~covocian es poro lo a mpliación del a nt iguo Polocio de
la Genera lida d.
Beltr6n lA.): Acerco de los nombres d e Cartogeno e n lo Eda d Ant i¡¡uo.
Noticiario.
Bibliografía.
[page-n-384]
,
ARCHIVO DE PREH ISTORIA LEVANTINA, II I - Anuario del SIP. 1952. -V:olencia, 1952 (Hom~noje o don Isidro 8QUester Tormo, vol. 1) .
Contenido:
Palabras ~ev;os del Excmo. Sr. Presidente d e lo Diputación .
Biografío de don Isidro Bolleste. Tormo, po< don Luis Perico!.
Beltrón Mortíne:z: (A.): AcefcQ de los !imites cronológicos de lo Arqueología.
Vilost<:a (S.): Musui'ro- levo U
oisiense en Reus.
Molvesin-fobre (G.) y Roben (R.): DeuK obje ts enigma l ic¡ues en bols de renne dons
le MQ9dole ni enne d e " lo Voc"e" (Ariege).
Gur,eo CrltSPO (V.) y Peno lbo Fous (J.) : bplorociones en lo comor( o d e Ga ndio ,
Rull Villor lB.): Orfgenes prehistóricos del proceso penal.
Ponsel! Corlés (F.I: Rutos de expansión (uhura l almeriense por el nO.le de lo provincia de Al ico nte.
Bernobó Breo (L.): Ovilla preistoric:he delle ¡sole Eolie.
Gi l Fo rres ID.): ElIIrocción de pinturas murales celtas.
Cobré de Morón (M. E.): El simbolismo sola r en lo ornamentación de espodo5 de
lo 11 Edad del Hierro Céltico ae lo Península lberico.
Cuadrado lE.): Uno interesonte tumbo ibérico de lo necrópolis del Cigarroleio.
Romos Folqucs (A ): Uno vajilla de cerómico ibérico en "Lo Alcudia".
Pascua l (V.): El poblado ibérico de "El Pulg" (Alcoy).
Vidol y L6pez (M.I: Tipología de los fusoiolos del opoblodo iberico de "Son MI.
guel", de LI ria.
Visedo (C.I: Hallazgos orqueol6gicos en lo camorco de Alcoy.
Lofu ente Vidol (J.): Influencio de los cull05 religi05O$ cartogineses en los mativos
ortíst icos de los iberos del S. E. espaiíol.
Figueros Pocheca (F. ): Esquema de la necrópolis cartagi nesa de Aliconle.
Moluquer J~ Motes (J .): Sobre lo cueva de " Na Flguef o" en Parella . Menorca.
Lon!i er (R. I: Lo " Pkhe" sous·morine aux onliquités.
Boirroo·OI!i.a (J.): Ouatro ~as do coleqoa de lucernos do M ... $e!,I Mochado .:le
Caslfo, proceden tes de "ConinbJigo".
Maleu " lIapis (F.I: Hollazgos arqueológicos en lo ploza de lo Almayno de 'o
ci udod de Voler.cia.
TarrodeU (M.I: El l.:.mulo de Mezora (Morruecosl.
Alcino Fro nch (J.): Dis tr ibución geogrólico dI' los pinloderos en Amérlco.
Tovor (A.): Observociones sobre escriluros tartesias.
Alvarez ':>elgoda (J .): Lo falsa ecuación " Mossienl·Baste to nl" y los nombres .. .,
". Io ni"
ARCHIVO DE PREHISTORIA LEVANTINA, IV . - Anuorio del SIP, 1953 .-Va·
leneio, 1953. -(Homenoje a don Isid ro Bc;lIesler Tormo, vol. 11 ).
Conten ido:
Jordó Cerd':' (F.): Nuevos hollozg05 en Cóvo Negra (JÓ livo).
Waechter (J .): The I'Kcova tion 01 Gorf-lom's cme ond ils relol;on lo Ihe prehlslor"
01 soul hern Spoin.
Cheynier (A.I: Slro hgrophie de ¡'obri Lochoud el les c ultu res des bords OOO llus.
Clork (J. ro. D.): The groove ond splinler lechn ique 01 worki ng rel ndeer ond red
deer onl !er in U¡>per Poloeolilnic ond Eorly MeSOli lhic Eurape.
Corbollo (J .): Los caveriOaS con pintur05 rupestres del monte del Coslillo (Puente
Vlesgo, Sonlonder).
Porcor RI,>o'ltis (J. R.): Las pinl ur'.lS rupestr es del barranco de "Le-s OOpues".
Russell CO ·' .::r. (F.l: Aspeclos do neolí tico .-:le POrTugol.
RiQuel (R.): Ano lysc: an lnropalogique des tranes eneoli lhiques de lo grolle sépul.
erole -le " Lo PasToro" (Alcoy).
Arnol (J .} " BerTrOnd {R. ): PresenToT;on de ntlUVeaUK tumu li no" mégoll thi$lues.
CosliIla (A. del) : Lo~ Tres copos de lo CUev1J dI! Somoen (So~ ,ol .
Do P~o , A.) "CasIo Arlhur (M. L.): COSTrO dc Vilo Novo de Son Pedro, IV, Semenles r re·hístÓlicos de U nha
Fusté (M.) y Fletch Chade (V. (,.1: The Middle Bronz", Aoe.
Baseh Gimpero (P.I: Los urnas de l Boverot ¡Almol.aro, Cas tellón) V los infilt rociones (\:l l ic05 " n tielfos volencionos.
Fernóndez de Av iles lA.): Excovocione-s en ~ I Llono de ID Consoloción (1 891·1946 1.
Senoil (F.I: Chevou'< du Levo"1 lberique. Cell'sme ou Medi lerronéisme?
[page-n-385]
Gorcio y ~('lIIdo (A.) . El cuho o Aphrodite 1e Aphrodisiós en lo Penrnsulo I~rico .
Gómez Moreno (M.): El ploma de Urio.
Behron Villogroso (P. ): Segóbrigo.
Sónc~z J i,nénez (J.I: Un molde poro lo fobri ~oción de lucernas.
Pollotlino (M). : Per uno nuoyo prospetlivo dellc storio dell'orte or.t leo: 11 ~oblern::l
dei rop >()ft; Ira !e esperienze ;>tedossiche, periferiche .e postcloniehe nel mondo cirel.lmrne J6uregui (J . J. ): Jóbegos y e6robes.
ARCH IVO DE PREHISTORIA LEVANTINA, V - Anuario del SIP. 1954. -Volen,
elo 1954 (Homenaje o don is idro Ballester Tormo, \/01. 1111 .
Conlenida:
Gou lhier (J .): SIal ion neolflhiQue de lo Fonla;ne Vaeher (eo:TIrnune de lo Cauronne, Chatente).
Monz6 Nogués (A).: Lo Alborde ta {Albolal deIs Taronche.s, Valencia!.
Olivo (M.) : El dolmen de lo Creu d'En Cobertella (Rosos, Gerol'o l, y su cerca"o
poblado ibero- romano.
$erro Rafals (J . C.): El estudio de lo cultu ro megoli lico cololo"'o.
Plo Bollesler (E.) : Lo Cove to del Borronc del Coslellel (Carricalo, Valenclo),
Al cócer Grou (J. ): El Pu"'ol de Carnbro (Vil '01 del Arzobispo, Valenclo l .
Leo"ardi (P.): I costell ieri dello Venezia Tridentino.
LombogUo (N.) : Lo ee.ornico "Precompono" de lo Bastida de les Aleuses (Mo gente, Valencia).
Kern (J . H. C.) : Notice sur une oenochoé atliQue Ó gl~ure noire 01.1 Musée tle
Pre histoire de Valencia (Espogne).
Kukahn (E.): Estatuilla de bronce de un guerrero a caballo del poblado i~rleo de
Lo Bast ida de les Alcuses (Mage" te-Vale"dal.
MezQuiri z (M . A.) : La eerómico de impO
Flelcher VoUs (D. ): La cueva y el poblado de la Torre del Mol Poso (CO$ lellnovo,
CosteIl6").
Mariner Bigorra (S.) : Not en de epigrafio Valenciano.
Balil lIIono (A.I: La ecal'lOfflia y habi tantes no hi5pÓnicO$ del Levon!e Español dura"'e el Imperioo Romana .
Palol Salellas (P.I : Una representaei6" del Morlyrium de Jewc rislo e" el Museo
Lapidario de Na.bono.
Sf:RIE DE MEMDRIAS ANUALES DE LA DIRECCION
El
La
La
La
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La
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La
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SIP y
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su Museo de
del SIP y
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su Museo
del SIP y
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del 51P y
del SIP y
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del SIP
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Prehistoria en 192B.-Valencia 1929 .
,1 posado año 1929. -Vole"cia 1930.
Museo
,1 posado año 1930. -Vale"cia 1931.
Museo
,1 posado año 1931 . -Valencia 1932.
Museo
,1 posado año I 932.- Vale"cia 1933.
Museo
Museo
el pasado año I 933.- Vole"cla 193 4.
Museo
los años 1935 o I 939.- Vole"c;a 1942.
Museo en los años 1940 o 1948 .- Valencia 1949.
1944.- Valencia 1945.
Museo
el posado olÍa d, 19'15.- Valenclo 1946.
Museo
el pasado alÍo d, I 946. -Valencio 1941.
el posada año d, 1941. -Valencla 1948.
Museo
el pasada año d, 1948. -Valencla 1949.
Museo
Museo
el pasada año d, 1949.-Volenclo 1950.
el pasado año d, 1950.- Va lencia 1951.
M"~
Museo
el pasada o"" d, 1951.- Valencio 1952.
el pasada año de 1952. -Volencio 1953,
M"~
Museo
el posado año de 1953. -Valencio 1954.
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SERIE DE TRABAJOS VAR IOS
I.-"EI CO$'ellel del Porque''', par l. Ballester Tormo.
2 . -"Breus no'es sobre el pobla' ¡berlc de Son! MiQuel de LUrio". par D. Flet _
eher Vo1ls.
[page-n-386]
3 . -"Estudi$ d'art originario Els inrectes en I'ar t cuoternari", flOr M. Vidal '1
Lópe>;.
4._ "Un en!erramen! prehistoric 01 Borran<: del Cinc tA"oy)", por C. Visedo
Molió.
5.- "Collecció de trebolls del P. J. Furgus sobfe prehislorla volenciano" .
6 .-Euudios sobre los cuevas paleolíticos valencianos.
Contenido;
CoYO - Negro de Bellul:
Viiies (G. I: "Notos sobre las excavaciones".
Jord(¡ Cerdó (F.): "Nuevos aspectos polelnol6gicos de COvo- Negro".
Royo Góme>; (J.): " Relación detallado dpl moterial fósil '1 resumen sis tem6tico de los onimales clasificados".
COYO del Porpolló;
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Vidol Lópe>; (M.): "lo founo mal acológIco de lo Cueva del ParpaIl6".
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quera" .
PI6 Bollesler (E.): " El Sercot de Goyones".
Alcócer Grau (J .): " Exploraciones arqueológicos en B~ís" .
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Fleteher Volls (D.): "Exploraciones arquwlógicos en lo comarco de Casinos".
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13.- "Repertario de Bibliografia Arqueológica Valenciano. 1", par D. Fletener y
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14 ._ "Repertorio de Bibliografía ArqueológICO Valenciano, 11", por D. Fle tcner y
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15.- "La$ pi ntu ras rupestres de 005 Agu as". por F. Jardo y J. Al cÓcer.
16.- "EI plomo escri to de lo Bastida de les Alcuses (Magente)", por P. Bel ' rón
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'0
PUBLICACIONES DIVERSAS
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Provincial de Valenc ia", par don Luis Perico t Gorcio.- Modrid 1942 . Obr;J
Que ob tuvo el Premio Ma rtaren. Publicado 90f el Consejo Superior de Investigaciones Cien tificos.
"COfPUS Va50rum Hisponarum.-la cerámica ¡bérico del Cerro de Son Miguel de
lirio", por 1. BoUester Tormo, D. FlelCher, E. Pió, F. Jordó '1 J . Alcócer,
(publicoción del Consejo Superior de Investigaciones Cient ificos) .
"Nociones de Prehistoria", por D. Fletcner. Publicación de lo Ins tituciÓn " Alfonso
el Magnánimo" de lo Ex cmo. Diputación de Valencia.
[page-n-387]
[page-n-388]
[page-n-389]
[page-n-390]
El dolmen de la Creu d’En Cobertella (Rosas, Gerona), y su cercano poblado ibero-romano
Miguel Oliva PratPag. 19-22descarregarLa cerámica de importación en San Miguel de Liria
María Ángeles Mezquíriz IrujoPag. 159-176descarregarLa cueva y el poblado de la Torre del Mal Paso (Castellnovo, Castellón)
Domingo Fletcher VallsPag. 187-224descarregarLa economía y los habitantes no hispánicos del Levante español durante el Imperio Romano
Alberto Balil IllanaPag. 251-274descarregarUna representación del Martyrium de Jesucristo en el Museo Lapidario de Narbona
Pedro de Palol SalellasPag. 275-282descarregar